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Journal articles on the topic 'Formes normales de matrices'

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1

Cresson, Jacky, and Bertrand Schuman. "Formes normales et problème du centre." Bulletin des Sciences Mathématiques 125, no. 3 (2001): 235–52. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-4497(00)01070-8.

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2

Cresson, Jacky, and Bertrand Schuman. "Formes normales et problème du centre symétrique." Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series I - Mathematics 327, no. 6 (1998): 581–84. http://dx.doi.org/10.1016/s0764-4442(98)89167-2.

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3

Aurouet, Julien. "Dynamique et formes normales d’équations différentielles implicites." Annales de l’institut Fourier 64, no. 5 (2014): 1903–45. http://dx.doi.org/10.5802/aif.2900.

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4

Miernowski, Tomasz. "Formes normales d’une métrique mixte analytique réelle générique." Annales de la faculté des sciences de Toulouse Mathématiques 16, no. 4 (2007): 923–46. http://dx.doi.org/10.5802/afst.1171.

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5

Frances, Charles, and Karin Melnick. "Formes normales pour les champs conformes pseudo-riemanniens." Bulletin de la Société mathématique de France 141, no. 3 (2013): 377–421. http://dx.doi.org/10.24033/bsmf.2652.

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6

Gómez Plata, Adrián Ricardo. "Un estrato normal de las matrices normales." Ciencia e Ingeniería Neogranadina 15 (November 1, 2005): 6–11. http://dx.doi.org/10.18359/rcin.1494.

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Abstract:
Se presentará un estrato para las matrices normales. Para esto se requieren aspectos de tres ramas de las matemáticas: la geometría diferencial, la topología diferencial y la teoría de matrices. La primera se ocupa de los aspectos geométricos del análisis matemático, la segunda de los aspectos topológicos de la primera, y la última se encarga de encarar el estudio de las matrices desde diversos ámbitos y contextos matemáticos. En primer lugar, se usará la definición de espacio estratificado como una técnica que permite caracterizar de cierta manera las matrices normales. De forma más puntual se hablará de las matrices normales con una subvariedad estratificada conexa de i 2n^2. Para estratificar las matrices normales se tomará como referente la noción de estrato de la topología diferencial. Esto requerirá elementos de geometría diferencial.
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7

Manouchehri, M. "Formes normales d'équations differéntielles implicites et de champs de Liouville." Ergodic Theory and Dynamical Systems 16, no. 4 (1996): 779–89. http://dx.doi.org/10.1017/s0143385700009093.

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Abstract:
AbstractConsider the partial differential equation f(x, y(x), dy(x)) = 0, where f is a smooth real function on ℝn × ℝ × (ℝn)*. Near each singularity of the characteristic foliation, a Liouville field is associated to the equation; we classify hyperbolic germs of Liouville fields up to symplectic transformations, hence we deduce normal forms for partial differential equations up to transformations which preserve the standard contact form of ℝ2n+1. For n = 1, a theorem of Davydov enables us to deduce normal forms for such equations up to transformations of the x, y plane.
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8

Gómez Plata, Adrián Ricardo. "Uso de la descomposición TOEPLITZ en la estratificación de matrices." Ciencia e Ingeniería Neogranadina 17, no. 1 (2007): 5–12. http://dx.doi.org/10.18359/rcin.1080.

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Abstract:
Las matrices Normales N son una subvariedad estratificada en forma de estrella de R^[(2n)^2]; se prefiere para propósitos prácticos, tener en forma concreta como es la estratificación de algunas matrices. Se presentará aquí algunos teoremas que permiten decantar una estratificación de las matrices Normales hecha por medio de la descomposición de Toeplitz y que conlleva a realizar el cálculo de valores propios usando el método Hermitiano de Lanczos o el método de Arnoldo según Huthanen [4].
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9

Dufour, J. P., and A. Wade. "Formes normales de structures de poisson ayant un 1 jet nul en un point." Journal of Geometry and Physics 26, no. 1-2 (1998): 79–96. http://dx.doi.org/10.1016/s0393-0440(97)00039-9.

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10

Bolduc, Denis, and Mustapha Kaci. "Estimation des modèles probit polytomiques : un survol des techniques." Articles 69, no. 3 (2009): 161–91. http://dx.doi.org/10.7202/602113ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Parce qu’il admet des structures très générales d’interdépendance entre les modalités, le probit polytomique (MNP) fournit une des formes les plus intéressantes pour modéliser les choix discrets qui découlent d’une maximisation d’utilité aléatoire. L’obstacle majeur et bien connu dans l’estimation de ce type de modèle tient à la complexité que prennent les calculs lorsque le nombre de modalités considérées est élevé. Cette situation est due essentiellement à la présence d’intégrales normales multidimensionnelles qui définissent les probabilités de sélection. Au cours des deux dernières décennies, de nombreux efforts ont été effectués visant à produire des méthodes qui permettent de contourner les difficultés de calcul liées à l’estimation des modèles probit polytomiques. L’objectif de ce texte consiste à produire un survol critique des principales méthodes mises de l’avant jusqu’à maintenant pour rendre opérationnel le cadre MNP. Nous espérons qu’il éclairera les praticiens de ces modèles quant au choix de technique d’estimation à favoriser au cours des prochaines années.
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Sabaté, Flocel. "Evolució i expressió de la sexualitat medieval." Anuario de Estudios Medievales 23, no. 1 (2020): 163. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1993.v23.1045.

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Abstract:
Parcourir l'expression de la sexualité humaine tout au long du Moyen-Age a permis d'y apporter de nouvelles interprétations. A la méfiance envers le sexe, état de pensée propre au Haut Moyen-Age, succède le Bas Moyen-Age, époque qui accepte la sexualité comme une fonction nécessaire pour la procréation, influencée en cela par la médecine arabe, la physique aristotélicienne et les exposés philoso­phiques et théologiques dérivés d'abord de la scholastique et, plus tard, du nomi­nalisme. Une vision théologique de la fonction sexuelle s'impose: elle est considérée bonne si elle s'applique dans l'unique fin de procréer. De là dérive une obsession pour la conduite (l'utilisation) du sperme. Sont considérées comme correctes les expressions sexuelles qui garantissent son passage du corps de l'hom­me vers celui de la femme, où il devra germer. L'utilisation de la sexualité qui n'a pas cette finalité est considérée contre nature, en commençant par l'homosexualité masculine et en y incluant toutes les formes qui gaspillent le sperme (masturba­tion masculine, bestialité). Les relations sexuelles considérées comme normales se définissent par l'hétérosexualité exogame, qui n'a pas de rapport avec des groupes ethno-religieux différents et utilisant, uniquement, la pénétration vaginale. Cette relation doit se dérouler dans le cadre d'un mariage chrétien à la manière dont il s'est imposé au milieu du Moyen-Age. On réserve toujours les parcelles dominan­tes a l'homme et les domestiques à la femme. Elle perd progressivement de la con­sidération au Bas Moyen-Age, poussée tant au niveau de la féodalité que des groupes urbains, par l'agnation sur le premier né masculin et par le discours inte­llectuel contraire.
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Muñoz, Martín. "La formación de los futuros docentes. Entre historia, competitividad, e incertidumbre." Educación y Humanismo 21, no. 36 (2019): 9–22. http://dx.doi.org/10.17081/eduhum.21.36.3045.

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Abstract:
Objetivo: Analizar los rasgos de los modelos de docentes en la historia de la educación en México para poder retomar elementos que permitan comprender su complejidad en un nuevo contexto caracterizado por la globalización, el neoliberalismo y los avances científicos y tecnológicos. Método: Se ubica dentro del enfoque cualitativo, los autores analizados fueron: Woods (1987), Goetz y Lecompte (1988), Clifford (2001), Álvarez Gayaou (2003), y Geertz (2003), entre otros. A fin de tratar de comprender para hacer visible lo invisible, y dar voz a los participantes. Las estrategias utilizadas fueron: la observación, la entrevista y las historias de vida, posteriormente, se cruzó información con el análisis de planes y programas de estudio que se han utilizado en las escuelas normales mediante matrices de análisis. Resultados: Entre los principales hallazgos se destaca que la formación docente ha evolucionado de acuerdo con el marco político, económico e ideológico, por lo que “vocación,” “compromiso,” “solidaridad,” “promoción de la justicia social,” se transformaron gradualmente. Conclusiones: Se ha pasado de ser emancipador social, a técnico de la enseñanza, posteriormente a facilitador de aprendizajes y en los últimos años a ser competente con nuevos rasgos de: “calidad,” “eficiencia,” “eficacia,” y “equidad,” en un ambiente de incertidumbre.
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Raveneau, Jean, Louise Marcotte, and Yves Tessier. "LE RÔLE DU LANGAGE GRAPHIQUE DANS LE RENOUVELLEMENT DE LA CONCEPTION D’UN ATLAS PÉDAGOGIQUE: le cas de L’interAtlas." Canadian Surveyor 41, no. 3 (1987): 313–39. http://dx.doi.org/10.1139/tcs-1987-0022.

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Abstract:
Cette communication a pour but de présenter les aspects graphiques et cartographiques du renouvellement de la conception d’un atlas pédagogique à partir de l’exemple de L’interAtlas. Il s’agit de montrer comment certains concepts de communication graphique ont été mis à profit pour assurer la transmission efficace d’informations géographiques préalablement structurées selon des devis pédagogiques précis, mettant en évidence les interrelations entre les phénomènes géographiques. Dans L’interAtlas, la traduction visuelle des devis de conception-rédaction (agencement des données de contenu) a été facilitée par l’utilisation de normes graphiques systématiques assurant la fonctionnalité de l’organisation thématique et visuelle de chaque planche: adoption de la double page comme unité de présentation, utilisation d’une grille modulaire pour la disposition des images et des cartes, adoption d’un parcours de lecture numéroté, titres-choc, etc. Àl’aide d’exemples choisis, on mettra en évidence les différentes formes de traitement graphique de l’information utilisées dans cet atlas et comment elles ont servi à traduire sous forme visuelle la structuration des contenus géographiques en vue d’une communication pédagogique efficace. La carte n’est plus nécessairement la forme de représentation spatiale unique ou prédominante dans un atlas. D’autres types d’images ont été utilisées, selon leur aptitude à visualiser le plus efficacement les données et concepts à représenter: photographies, graphiques, schémas, dessins, diagrammes, matrices graphiques, etc. L’utilisation extensive des matrices graphiques à différents niveaux de traitement de l’information sera particulièrement mise en évidence. On montrera comment, dans la recherche d’une fonctionnalité optimale, les auteurs de L’interAtlas ont exploité au maximum la combinaison du design pédagogique et du langage graphique. Par ces caractéristiques, L’interAtlas pourrait être le premier d’une nouvelle génération d’atlas pédagogiques.
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Shizuo, Katsumata. "Ikki, Ligues, conjurations et révoltes dans la société médiévale japonaise." Annales. Histoire, Sciences Sociales 50, no. 2 (1995): 373–94. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1995.279371.

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Abstract:
Le Moyen Age dans l'histoire du Japon correspond à cette période au cours de laquelle apparaissent de nouveaux liens entre les hommes, des liens qui dépassent les organisations de nature clanique, tels les uji ou maisonnées. Jusque-là, ces organisations sociales reposaient sur les liens du sang. Or dans le Japon de la fin du Moyen Age, entre le 14e et le 16e siècle, apparaît un nouveau type d'organisations collectives liant les hommes. Les communautés villageoises, matrices des villages de l'époque moderne, qu'on appelle des « communes » (sôson), ou les communautés urbaines, qu'on appelle des « quartiers » (machi) et qui deviendront les unités de base des futures villes, ou encore les guildes (za), corporations de marchands ou d'artisans, se créent et se développent pendant cette période. Ces formes sociales sont les plus connues mais des organisations de nature identique naissent dans d'autres secteurs de la société, regroupant aussi bien des unités combattantes pour la guerre que des ensembles de nature artistique. Au cours de cette période, on assiste donc à l'émergence de différentes associations d'individus liés par une même activité. Parmi les plus connues citons, par exemple, les réunions d'amateurs de thé (cha'yoriai) ou les associations de poètes pratiquant les « poèmes enchaînés » (rengakai).
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Mama, Adi, Issouf Bamba, Brice Sinsin, Jan Bogaert, and Charles De Cannière. "Déforestation, savanisation et développement agricole des paysages de savanes-forêts dans la zone soudano-guinéenne du Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, no. 322 (2014): 66. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31237.

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Abstract:
Les communes de Banté-Glazoué-Ouessé (département des Collines) en zone sou- dano-guinéenne du Bénin constituent le domaine des mosaïques de forêts et une des principales pourvoyeuses en produits agricoles et en charbon de bois. Ces mosaïques de forêts sont soumises à de multiples formes de dégradation. Une étude de la dynamique spatio-temporelle basée sur une interprétation des images de types Landsat (MSS 1972, TM 1986 et ETM+ 2006) a été réalisée grâce à l’utili- sation du système d’information géogra- phique et des outils d’écologie du paysage afin d’envisager un programme de restau- ration forestière. Les résultats de cette étude ont permis, grâce à des matrices de transition et des indices de structure spa- tiale, d’évaluer les mutations liées aux pratiques agricoles. Quatre grands pro- cessus de transformation spatiale ont été mis en évidence et quantifiés pour la période de 34 ans (1972 à 2006) retenue pour cette étude : (i) la formation des savanes, (ii) la déforestation, (iii) le déve- loppement des activités agricoles et, enfin,(iv) une restauration forestière. La dyna- mique de la structure spatiale est dominée pendant cette période d’étude par une séquence de création suivie d’agrandis- sement pour les taches des classes de champs-jachères et de plantations arbo- rées ; d’agrégation pour les classes de savanes et de sols nus-agglomérations ; et de suppression pour les taches de forêt.
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Bouquet, Olivier. "Un ancien régime typographique: Culture manuscrite, société graphique et ponctuation turque ottomane." Annales. Histoire, Sciences Sociales 76, no. 1 (2021): 85–116. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2021.46.

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Abstract:
Un ancien régime typographique: Culture manuscrite, société graphique et ponctuation turque ottomaneLa présente étude substitue une analyse technique et graphique des opérations typographiques à l’approche politique et culturelle qui met habituellement l’accent sur les obstacles opposés à l’apparition de l’imprimerie dans l’Empire ottoman. Au-delà d’une démarche historiographique centrée sur les échecs de la modernisation culturelle, un examen combiné des caractères typographiques et des signes de ponctuation invite à proposer une histoire conjuguée de l’imprimé et du manuscrit. Celle-ci, tournée vers l’étude des vitalités textuelles, met au jour des convergences entre les productions calligraphiques, les expérimentations de la typographie et les progrès de la lithographie. Elle relie le travail du typographe aux actions de la main, les activités de l’éditeur aux productions de l’auteur, l’impression des matrices aux inscriptions de la plume. La ponctuation est un terreau d’innovation qui propose, au fil de ses modalisations, de nouvelles insertions, créations et hybridations contribuant au développement de la société graphique ottomane : les gens de l’écrit (scribes, copistes, lettrés, mais aussi éditeurs, typographes et imprimeurs) produisent des textes en fonction d’une culture manuscrite, de contraintes techniques et des caractères propres à la langue turque ottomane. Dès lors, une approche technique de l’ensemble des formes de production écrite permet d’ouvrir un nouveau chantier : celui d’une histoire croisée de la langue et des textes.
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Higashitani, Akihiro. "Classification of Ehrhart polynomials of integral simplices." Discrete Mathematics & Theoretical Computer Science DMTCS Proceedings vol. AR,..., Proceedings (2012). http://dx.doi.org/10.46298/dmtcs.3065.

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Abstract:
International audience Let $δ (\mathcal{P} )=(δ _0,δ _1,\ldots,δ _d)$ be the $δ$ -vector of an integral convex polytope $\mathcal{P}$ of dimension $d$. First, by using two well-known inequalities on $δ$ -vectors, we classify the possible $δ$ -vectors with $\sum_{i=0}^d δ _i ≤3$. Moreover, by means of Hermite normal forms of square matrices, we also classify the possible $δ$ -vectors with $\sum_{i=0}^d δ _i = 4$. In addition, for $\sum_{i=0}^d δ _i ≥5$, we characterize the $δ$ -vectors of integral simplices when $\sum_{i=0}^d δ _i$ is prime. Soit $δ (\mathcal{P} )=(δ _0,δ _1,\ldots,δ _d)$ le $δ$ -vecteur d'un polytope intégrante de dimension d. Tout d'abord, en utilisant deux bien connus des inégalités sur $δ$ -vecteurs, nous classons les $δ$ -vecteurs possibles avec $\sum_{i=0}^d δ _i ≤3$ En outre, par le biais de Hermite formes normales, nous avons également classer les $δ$ -vecteurs avec $\sum_{i=0}^d δ _i = 4$. De plus, pour $\sum_{i=0}^d δ _i ≥5$, nous caractérisons les $δ$-vecteurs des simplex inégalités lorsque $\sum_{i=0}^d δ _i$ est premier.
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Froger, Lilian. "Augustin Berque, Formes empreintes, formes matrices, Asie orientale." Critique d’art, November 4, 2016. http://dx.doi.org/10.4000/critiquedart.19306.

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Gómez Ticerán, Doris. "DISCRIMINACIÓN CUADRÁTICA MEDIANTE MATRICES DE COVARIANZAS." Pesquimat 1, no. 2 (2014). http://dx.doi.org/10.15381/pes.v1i2.9210.

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Abstract:
Maximizando y minimizando la función aS1adS2adonde S1 y S2 son las matrices de covarianzas muéstrales de dos poblaciones p-variantes, con vectores de medias iguales o diferentes, se consiguen dos combinaciones lineales de las componentes del vector p-variante. Si los dos grupos tienen estructuras de dispersiones diferentes, esas combinaciones son usadas para la clasificación de individuos que proceden de una de dos poblaciones normales multivariantes. Este método comparado con el método de clasificación usando el cociente de verosimilitudes (Mardia, 1976), para poblaciones normales simuladas por Monte Carlo con p=2, p=3 y p=4, resultan equivalentes.
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Gomez Ticeran, Doris. "DISTANCIA ENTRE POBLACIONES NORMALES QUE TIENEN ESTRUCTURA COMÚN DE COVARIANZAS." Pesquimat 3, no. 1 (2014). http://dx.doi.org/10.15381/pes.v3i1.9241.

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Abstract:
Se presenta el resultado teórico Krazanowski(1996) y una aplicación de una manera de establecer Distancias entre Poblaciones Normales Multivariantes cuyas matrices de covarianzas satisfacen el "Modelo de Componentes Principales Comunes (Flury, 1988)". Según el Modelo ge Componentes Principales Comunes (Flury,1988), los autovalores de las matrices decovarianzas de las poblaciones concurrentes son iguales pero los autovectores son arbitrarios.
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Tirado Amador, Lesbia Rosa, Farith Damián González Martínez, Leonardo José Martínez Hernández, Luis Alberto Wilches Vergara, and José Nelson Celedón Suárez. "Niveles de metales pesados en muestras biológicas y su importancia en salud." Revista Nacional de Odontología 11, no. 21 (2015). http://dx.doi.org/10.16925/od.v11i21.895.

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Abstract:
Resumen. En la sociedad del siglo xxi —enfocada hacia el desarrollo socioeconómico—,la continua industrialización, la práctica de la minería y de actividadesproductivas como la agricultura resultan ser opciones atractivas; sin embargo, enel desarrollo de estas actividades, es frecuente el uso y la emisión de algunos químicoshacia el medio ambiente, entre los cuales se encuentran los metales pesados.En el organismo de los seres vivos, hay pequeñas cantidades de algunos metalespesados que pueden intervenir en reacciones bioquímicas, pero otros metales norepresentan utilidad biológica. Por esto, la exposición ocupacional y la exposiciónpasiva a metales pesados presentes en el ambiente o que provienen de la dieta debenser reguladas, ya que cantidades superiores a las consideradas normales puedenocasionar ciertas enfermedades. El control de la exposición a metales pesadosincluye monitorear los niveles presentes en distintas matrices biológicas como lasangre, la orina, la saliva, el cabello y las uñas. Cada una de estas matrices estaráindicada según el tipo de exposición que ha experimentado el individuo; además,ofrecerá algunas ventajas y limitaciones. Es por eso que la presente revisión pretendeinformar sobre los efectos ocasionados en el organismo por niveles excesivosde algunos metales pesados y la utilidad que ofrecen las matrices biológicas en ladeterminación de estos niveles.
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ANTOINE, Frédéric. "Éléments pour une typologisation de la narration radiophonique." Recherches en Communication 37 (December 7, 2013). http://dx.doi.org/10.14428/rec.v37i37.50533.

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Abstract:
Le récit faisait originellement intrinsèquement partie d’un des fondements du langage et de l’offre programmatique radiophonique. La concurrence intermédiatique évinça par la suite une large part du champ narratif du domaine de la radio. Depuis quelques années, on assiste toutefois à un réinvestissement du média par des formes narratives fort diverses. Ayant observé cette évolution et déterminé les invariants organisant les rapports entre le média et l’univers du récit, cet article entend aider à l’analyse actuelle de ce domaine en proposant de typologiser ces récits narratifs et d’envisager leur approche dans des matrices analytiques.
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Grose, Irene C. "Fingerprint Identification: Potential Sources of Error and the Cause of Wrongful Convictions." Journal of Student Science and Technology 10, no. 1 (2017). http://dx.doi.org/10.13034/jsst.v10i1.171.

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Abstract:
Fingerprint identification has long been used by law enforcement to either identify or eliminate potential suspects in a case. It relies on friction ridges – the upraised skin that forms grooves on fingers – and friction ridge impressions, which form from natural secretions of sweat and other trace components. Latent prints, a common term for friction ridge impressions, have many benefits and advantages as a type of forensic evidence. However, they are not a perfect tool: wrongful convictions identified by post-conviction DNA testing and the re-evaluation of forensic evidence have spawned criticism and investigation into the scientific basis of this branch of forensics. This literature review examines literature in both the scientific and legal fields, and investigates three main themes: the principle of uniqueness assumed in individualization, the presence of cognitive bias and human error in analysis, and the changing role of expert testimony in court. There are arguments both for and against uniqueness, but it is still difficult to prove using statistical models and data analysis. Bias in examiners, on the other hand, undeniably exists in different ways, and should be actively guarded against in fingerprint analysis and expert testimony. Expert witness testimony that misleads, exaggerates, or is scientifically unsupportable has been linked to wrongful convictions in the past, highlighting the importance of careful regulation of how an expert witness is advised to testify. In addition to these topics, the techniques of collecting latent print evidence and the standard procedures of analysis have also been examined and evaluated for potential sources of error. Le maintien de l’ordre public utilise depuis longtemps les empreintes digitales pour identifier et éliminer des suspects d’une affaire criminelle. Les empreintes digitales se ent aux crêtes papillaires — les crêtes et les creux qui formes des rainures sur les doigts — et des empreintes des crêtes papillaires, ce qui se forme par les sécrétions naturelles de transpiration et autres composantes de traces. Les empreintes latentes, un terme courant pour les empreintes digitales, possèdent plusieurs avantages en tant qu’élément médico-légal de preuve. Toutefois, ce n’est pas une ressource able; des condamnations injustifiées identifiées par un test d’ADN post-condamnatoire et la réévaluation de l’évidence médico-légale ont frayé des critiques et des enquêtes de la base des sciences des empreintes digitales. Cette revue examine les textes dans les domaines scientifiques et médico-légaux, et examine trois thèmes : le principe d’unicité assumé par l’individualisation, la présence d’un biais cognitif et l’erreur humaine dans l’analyse, et le rôle changeant de témoignages experts devant la Cour. Il existe des arguments pour et contre l’unicité, mais l’unicité est tout de même difficile à prouver en utilisant les modèles statistiques et l’analyse de données. Un préjugé chez les examinateurs, d’autres parts, existe incontestablement, et devrait être activement évité lors de l’analyse d’empreinte digitale et de témoignages experts. Le témoignage d’expert qui induit en erreur, qui est exagéré ou qui est scientifiquement faux a mené à des condamnations injusti ées dans le passé, ce qui met en évidence l’importance d’une législation prudente sur comment l’expert est conseillé de témoigner. En plus de ces thèmes, les techniques de collecte des empreintes digitales latentes et les procédures normales d’analyse ont aussi été examinés et évalués pour des sources d’erreurs potentielles.
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Vibert, Stephane. "Tradition et modernité." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.081.

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Abstract:
« Tradition » et « modernité » sont longtemps apparues, pour les sciences sociales et le sens commun, non seulement comme des notions relatives, initialement définies l’une par rapport à l’autre dans un rapport d’exclusivité mutuelle, mais plus encore, comme des qualificatifs désignant de véritables régimes d’humanité – sociétés traditionnelles et modernes. Pourtant, de l’intérieur même du champ anthropologique, de nombreuses critiques se sont régulièrement élevées à l’encontre de ce découpage trop schématique, appelant à davantage de réflexivité quant à l’usage de ces catégories englobantes. En effet, durant une majeure partie de son existence, l’anthropologie a été associée à l’étude des sociétés « primitives », ou « traditionnelles », alors que la description des sociétés « civilisées », ou « modernes », était dévolue à la sociologie. Cette distinction épousait de fait l’auto-compréhension des sociétés occidentales, dont la reconstruction évolutionniste de l’histoire de l’humanité présentait celle-ci selon une succession linéaire et nécessaire de stades indiquant les progrès de l’esprit humain, manifestes tant au niveau de l’organisation sociale, de la connaissance des phénomènes, de la morale personnelle que des réalisations matérielles et techniques. Aussi, dès la rencontre effective avec des sociétés aux langues, mœurs, croyances ou activités dissemblables, l’intérêt pour l’altérité comme différence s’est trouvé en tension avec une volonté de classification abstraite, selon une philosophie de l’histoire élaborée à partir des catégories intellectuelles propres à la trajectoire occidentale. Cela passe notamment, à partir des 18éme-19èmes siècles, par une auto-identification à la Raison universelle, seule apte à circonscrire le savoir « vrai » sur la réalité physique ou sociale, à distance de tous les préjugés enfermant l’humain dans la coutume, l’ignorance et la superstition. De cette configuration culturelle particulière (dite « post-traditionnelle »), nouveau mode de représentation du monde et de l’Homme apparu à la Renaissance et aboutissant aux Lumières, découleront tant un ensemble de processus socio-politiques définissant la « modernité » (développement scientifique et technique, révolution industrielle, État de droit, capitalisme marchand, individualisation des comportements et des valeurs, etc.) qu’une opposition globale à la « tradition » (les « survivances », en termes évolutionnistes). Ce « désenchantement du monde » – pour reprendre l’expression célèbre de Max Weber –, sera perçu à travers une dichotomie généralisée et normativement orientée, déclinée sous de multiples aspects : religion / science, immobilisme / changement, hiérarchie / égalité, conformisme / liberté, archaïsme / progrès, communauté / société, etc. Si le « grand partage » entre Nous et les Autres, entre modernité et tradition, a pu constituer un soubassement fondamental à la prime ambition empirique et positiviste du savoir anthropologique, il n’en a pas moins dès l’origine de la discipline été contesté sur bien des points. En anthropologie, l’idée d’une tradition fixe et rigide s’avère critiquée dès Malinowski, l’un des premiers à souligner la rationalité contextuelle des « primitifs » en référence à leurs règles communes de coexistence, et à récuser l’assimilation indue de la tradition à une obéissance servile et spontanée, sorte d’inertie mentale ou d’instinct groupal. Chez les Trobriandais ou ailleurs, soulignait-il, « dans des conditions normales, l’obéissance aux lois est tout au plus partielle, conditionnelle et sujette à des défaillances et (…) ce qui impose cette obéissance, ce ne sont pas des motifs aussi grossiers que la perspective du châtiment ou le respect de la tradition en général, mais un ensemble fort complexe de facteurs psychologiques et sociaux » (Malinowski, 2001 : 20). L’anthropologie, par sa mise en valeur relativiste des multiples cultures du monde, insistera alors davantage sur l’importance de la tradition dans la constitution de toute société, comme ensemble de principes, de valeurs, de pratiques, de rituels transmis de génération en génération afin d’assurer la permanence d’un monde commun, fût-ce à travers d’essentielles dynamiques de réappropriation, d’altération et de transformation, trait fondamental de toute continuité historique. Selon Jean Pouillon, « la tradition se définit – traditionnellement – comme ce qui d’un passé persiste dans le présent où elle est transmise et demeure agissante et acceptée par ceux qui la reçoivent et qui, à leur tour, au fil des générations, la transmettent » (Pouillon, 1991 : 710). En ce sens, « toute culture est traditionnelle », même si elle se conçoit comme radicalement nouvelle et en rupture totale avec le passé : son inscription dans la durée vise implicitement un « devenir-tradition ». Dès les années 1950, le courant « dynamique » de l’anthropologie britannique (Gluckman, 1956 ; Leach, 1954 ; Turner, 1957), les analyses de l’acculturation aux États-Unis (Herskovits, 1955) ou les travaux pionniers de Balandier (1955) et Bastide (1960) en France avaient montré combien les « traditions », malgré les efforts conservateurs des pouvoirs religieux et politiques afin de légitimer leur position, recelaient de potentialités discordantes, voire contestataires. A partir des années 1980, certains courants postmodernes, post-coloniaux ou féministes en anthropologie (Clifford et Marcus, 1986 ; Appadurai, 1996 ; Bhabha, 1994 ; Abu-Lughod, 1993), souvent inspirés par la French Theory des Foucault, Deleuze ou Derrida (Cusset, 2003), se sont inscrits dans cette veine afin d’élaborer une critique radicale de la perspective moderne : partant du native point of view des populations subalternes, objectivées, dépréciées et opprimées, il s’agit de dénoncer le regard implicitement colonialiste et essentialiste, qui – au nom de la science objective – avait pu les rejeter unanimement du côté de l’archaïsme et de l’arriération.. Cette reconsidération féconde de la « tradition » rejaillit alors nécessairement sur son envers relatif, la « modernité ». A partir des années 1950, suite au cataclysme totalitaire et aux puissants mouvements de décolonisation, apparaît une critique anthropologique argumentée des principes de développement et de modernisation, encore approfondie dans les années 1990 avec la fin du communisme réel en Europe et l’avènement d’une crise écologique liée à l’hégémonie du capitalisme industriel. Sous l’effet d’une « mondialisation » aux dimensions hétérogènes voire contradictoires, l’Occident semble redécouvrir les vertus des approches dites « traditionnelles » en de nombreux domaines (spiritualité, médecine, artisanat, agriculture, patrimoine, etc.), à la faveur de réseaux d’information et de communication toujours plus denses. Sans trancher sur le fait de savoir si notre époque globalisée relève encore et toujours de la modernité (seconde, avancée ou tardive), ou alors de la postmodernité (Bonny, 2004) du fait des formes hybrides ainsi produites, la remise en cause de la rationalité progressiste entendue comme « métarécit » (Lyotard, 1979) semble favoriser une compréhension plus équilibrée des « traditions vivantes », notamment des mœurs des populations autochtones ou immigrées (pluralisme culturel, tolérance religieuse, éloge de la diversité et du cosmopolitisme), même si certaines contradictions n’en apparaissent pas moins toujours prégnantes entre les divers répertoires de sens disponibles. Dès lors, les deux termes du contraste classique tradition / modernité en ressortent désormais foncièrement relativisés, et surtout complexifiés. Les études historiques ont montré combien les sociétés apparemment les plus modernes contribuaient plus ou moins consciemment à une constante « invention de traditions » (Hobsbawm et Ranger, 1992), évidente dans la manifestation de certains nationalismes ou fondamentalismes religieux cherchant à légitimer leurs revendications politiques et culturelles les plus contemporaines par le recours à un passé idéalisé. D’une certaine manière, loin d’avoir strictement appliqué un programme rationaliste de séparation nature / culture, « nous n’avons jamais été modernes » (Latour, 1991), élaborant plutôt à notre insu un monde composite et hétéroclite, sous la domination d’un imaginaire social qui érige paradoxalement le progrès, la rationalité et la croissance en mythe de la maîtrise rationnelle. Et lorsqu’elle s’exporte, cette « ontologie naturaliste » (Descola, 2005) se voit réinterprétée, transformée, voire inversée, selon une « indigénisation de la modernité » (Sahlins, 2007 : 295) qui bouscule tant les univers locaux de signification que les principes globaux d’arraisonnement du monde. S’avère désormais entérinée l’existence de « modernités multiples », expression synonyme d’une évolution différenciée des trajectoires socio-culturelles à travers des cheminements à la fois interreliés, métissés, contingents et comparables. A l’inverse, nul ne semble pouvoir dorénavant se réclamer ingénument de la tradition sans être confronté à un paradoxe fondamental, déjà repéré par Hocart (1927) : puisqu’elle ne vit généralement qu’ignorée de ceux qui la suivent (selon un agir pratique incorporé dans les us et coutumes du quotidien), on fait appel à la tradition d’abord pour justifier ce qui justement ne va plus de soi, et se trouve en danger de disparaître. Ce passage de la tradition au « traditionalisme » peut prendre à la fois la forme légitime d’une sauvegarde de valeurs et coutumes ou de la résistance à la marchandisation globale, mais aussi le visage grimaçant d’une instrumentalisation idéologique, au service d’un ordre social chimérique, soi-disant pur et authentique, fût-il répandu par les moyens technologiques les plus modernes.
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Chamberland, Line. "Hétérosexisme." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.107.

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Abstract:
L’hétérosexisme réfère à l’ensemble des croyances qui valorisent et promeuvent l’hétérosexualité tout en infériorisant les sexualités non hétérosexuelles. Ainsi, l’hétérosexualité apparaît comme la sexualité universelle, allant de soi, naturelle, normale, morale, bref elle est dotée d’une valeur supérieure en référence à des systèmes normatifs religieux, scientifiques, juridiques ou autres, alors que l’homosexualité (ou toute sexualité s’écartant de la norme hétérosexuelle) se voit dépréciée en tant que crime, péché, acte sexuel non naturel, pathologie, déviance sexuelle, etc. Le concept d’hétérosexisme apparaît aux États-Unis au début des années 1970, en même temps que celui d’homophobie (Herek, 2004). Tout en contestant les savoirs institutionnels de l’époque, ces deux termes proposent néanmoins des voies distinctes de conceptualisation de l’oppression des personnes homosexuelles. L’homophobie inverse le paradigme psychomédical dominant en pathologisant non plus l’homosexualité, mais la peur irrationnelle qu’en ont certains individus. L’hétérosexisme enracine cette oppression dans le social, par analogie avec d’autres systèmes de croyances qui différencient et hiérarchisent des catégories de personnes, comme le racisme et le sexisme (Herek, 2000). Le premier terme emprunte à la psychanalyse alors que le second provient d’une pensée d’inspiration féministe, antiraciste et anticapitaliste. Les deux concepts se diffuseront largement au sein des mouvements de libération des gays et des lesbiennes, puis dans l’univers académique, d’abord dans le monde anglo-saxon et plus tardivement en France (Tin, 2003). À l’origine, le concept d’hétérosexisme s’inscrivait dans des perspectives lesbiennes-féministes. Il s’articulait avec diverses analyses critiques de la place de l’hétérosexualité institutionnalisée dans les processus de subordination des femmes par les hommes (Dugan, 2000). Dans un tel paradigme, l’hétérosexisme fait partie du système patriarcal qui assujettit les femmes, notamment en justifiant leur infériorisation au nom de la différence soi-disant naturelle entre les sexes/genres et de la complémentarité qui en découlerait nécessairement. Sur le plan politique, la notion appelle à une remise en question des constructions socioculturelles de la masculinité et de la féminité et des institutions qui maintiennent des rôles rigides de genre (Herek, 2004). En somme, la régulation des sexualités y est indissociable du maintien des rapports de domination des hommes sur les femmes. Dans cette optique, l’hétérosexisme est envisagé comme un système d’oppression étroitement relié à d’autres inégalités systémiques, comme le sexisme, le racisme ou le classisme (Wilton, 1995). Cependant, dans les usages récents du concept, les références aux théories issues du lesbianisme-féministe ou à l’intersectionnalité des luttes sociales sont le plus souvent absentes. Au fil des décennies, les définitions de l’hétérosexisme se sont multipliées tout en reprenant l’idée essentielle d’un processus systémique de différenciation et de hiérarchisation des sexualités hétérosexuelle et homosexuelle. Selon une recension de Smith, Oades et McCarthy (2012), certaines mettent l’insistance sur la normalisation de l’hétérosexualité et la promotion d’un style de vie hétérosexuel, d’autres sur la disqualification et l’occultation des autres sexualités. Dans cette dernière lignée, l’une des plus courantes est celle du psychologue Gregory Herek (2004) : « une idéologie culturelle qui perpétue la stigmatisation sexuelle en déniant et en dénigrant toute forme non hétérosexuelle de comportement, d’identité, de relation et de communauté non hétérosexuelle » (p. 16, traduction libre). Dans son opérationnalisation, le concept d’hétérosexisme se déploie tantôt vers le social, tantôt vers l’individuel, ce qui n’est pas sans générer des tensions théoriques. Dans le premier cas, la description des manifestations de l’hétérosexisme illustre son ancrage social et culturel, qu’il s’agisse de la présomption d’une hétérosexualité universelle dans les politiques et les pratiques des diverses institutions (écoles, services publics, entreprises, etc.), de l’idéalisation de l’amour hétérosexuel dans les représentations (films, romans, etc.), de l’injonction au silence ou à la discrétion adressée aux gays et aux lesbiennes sous prétexte que la sexualité relève de la vie privée, ou encore de l’assimilation de leurs expériences diverses au modèle dominant de conjugalité hétérosexuelle (Fish, 2006). Sans qu’il n’y ait de consensus sur une perspective théorique commune, les explications de l’hétérosexisme attirent l’attention sur les mécanismes structurels qui en assurent la reproduction, comme le langage et le droit. Dans cette veine, Neisen (1990) définit l’hétérosexisme en associant les notions de préjugés et de pouvoir, ce dernier s’exerçant notamment dans les sphères étatique (criminalisation des relations homosexuelles) et scientifique (discours pathologisants). Dans le second cas, l’accent sera mis sur les effets individuels de l’hétérosexisme en matière de statut et d’inégalités sociales. Ainsi l’hétérosexisme est souvent vu comme la source ou le fondement des attitudes et des comportements homophobes envers les personnes non hétérosexuelles ou perçues comme telles. Par exemple, Pharr (1997) voit dans l’hétérosexisme le pendant institutionnel de l’homophobie : le déploiement systématique de l’idéologie hétérosexiste sur le plan culturel et les gestes homophobes dans les interactions sociales se renforcent mutuellement pour maintenir le pouvoir et les privilèges associés à l’hétérosexualité. Sous cet angle, et malgré leurs racines distinctes sur les plans épistémologique et politique, les concepts d’hétérosexisme et d’homophobie ont souvent été jumelés et présentés comme des notions complémentaires l’une à l’autre, l’un agissant au niveau social, comme une idéologie inégalitaire des sexualités, et l’autre au niveau individuel ou psychologique. Pour sa part, Borrillo (2000) relève l’impossibilité de déconnecter les deux termes puisque l’homophobie ne peut se comprendre indépendamment de la reproduction de l’ordre social des sexes (sexisme) et des sexualités (hétérosexisme). Phénomène à la fois cognitif et normatif, l’hétérosexisme renvoie à « l’ensemble des discours, des pratiques, des procédures et des institutions qui en problématisant ainsi la “spécificité homosexuelle”, ne cessent de renforcer un dispositif destiné à organiser les individus en tant qu’être sexués. » (p. 24). Cependant, les deux notions sont parfois vues comme plus ou moins interchangeables et positionnées comme des concurrentes parmi lesquelles il faut choisir. Une première dissension surgit alors à propos des manifestations d’ostracisme que les deux termes permettent de capter. Au concept d’homophobie, il est reproché d’être androcentrique (centré sur les agressions subies par les hommes gays) et de se focaliser sur les gestes extrêmes d’un continuum de rejet de l’homosexualité, ce qui ne permet pas de rendre compte de leur vaste éventail, ni de leurs formes institutionnelles (Herek, 2004). L’hétérosexisme est considéré comme une notion plus adéquate pour couvrir l’ensemble des manifestations qui reconduisent les inégalités entre les sexualités, y compris les plus subtiles et celles qui s’insinuent dans la banalité du quotidien et que l’on pourrait assimiler au sexisme ordinaire. De même, comparativement aux mesures d’attitudes homophobes, axées sur le rejet, les mesures d’attitudes hétérosexistes, comme l’échelle d’hétérosexisme moderne (Walls, 2008), seraient plus aptes à saisir la persistance des stéréotypes (négatifs mais aussi positifs) envers les personnes gays, lesbiennes ou bisexuelles, même chez les individus exprimant des dispositions favorables à leur égard. Autrement dit, la référence à l’hétérosexisme permet d’enregistrer les changements sociétaux positifs tout en révélant la persistance de la hiérarchie des orientations sexuelles. Toutefois, ce concept sera critiqué en retour comme opérant une dilution ou une euphémisation de l’hostilité généralisée envers les personnes et les sexualités non hétérosexuelles qui en occulterait les démonstrations les plus brutales. Le second axe de tension renvoie aux explications, tantôt psychologiques, tantôt sociologiques, de la stigmatisation des personnes non hétérosexuelles. Le concept d’homophobie a maintes fois été critiqué pour son réductionnisme psychologique (Chamberland et Lebreton, 2012 ; Herek 2004). De même, lorsque le seul usage de l’hétérosexisme est l’application à une mesure d’attitude individuelle, il lui sera reproché d’escamoter toute analyse structurelle et de réduire ainsi la portée analytique du concept. Les implications du choix de l’un ou l’autre concept sont à la fois théoriques et politiques. Plusieurs auteur·e·s optent pour le concept d’hétérosexisme, car il engage à se pencher sur les rapports sociaux et les structures qui reproduisent les inégalités sexuelles. Il s’agit de s’éloigner des schèmes d’explication psychologique ayant la cote dans les sociétés libérales et des solutions uniquement centrées sur l’intervention auprès des individus (sensibilisation, formation, etc.) pour envisager des transformations sociales globales ou à tout le moins des mesures s’attaquant à la hiérarchie des sexualités dans l’organisation des diverses sphères de vie (famille, école, travail, etc.) (Herek, 2004 ; Wilton, 1995). Dans un récent effort de synthèse, Rumens (2016) propose de distinguer l’hétérosexisme culturel, qui réfère à la dimension institutionnelle, et l’hétérosexisme individuel. Avec la montée du post-structuralisme, le concept d’hétérosexisme connaît un certain désaveu, au même titre que d’autres notions faisant référence à toute structure sociale. Son emploi décline au profit du concept d’hétéronormativité créé par Michael Warner (1993), qui met en lumière la normativité langagière et discursive opérant à travers la construction des catégories binaires (des corps, des sexes, des genres, des désirs, etc.) qui composent la matrice de l’hétérosexualité (Herek, 2004). Dans le champ interdisciplinaire des études sur la sexualité, l’hétérosexisme demeure un concept central pour analyser la stratification sexuelle et les inégalités sociales qui en découlent. Bien que le concept se prête à plusieurs définitions, son potentiel heuristique est maximisé lorsqu’il se conjugue à des cadres théoriques et analytiques susceptibles de rendre compte de l’inscription d’une idéologie qui privilégie systématiquement l’hétérosexualité dans les institutions, dans les pratiques sociales et culturelles et dans les interactions quotidiennes, exerçant ainsi une contrainte à l’hétérosexualité (Fish, 2006).
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Candau, Joel. "Altricialité." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.087.

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Abstract:
Deux faits signent la nature profonde de l’être humain : (i) un cerveau d’une grande plasticité et (ii) la puissance impérieuse de la culture qui se manifeste non seulement par la diversité et l’intensité de son expression, mais aussi par la forte influence qu’elle exerce rétroactivement sur le développement de notre architecture cérébrale – qui l’a rendue possible. Cette plasticité développementale, résumée dans l’idée que « nous héritons notre cerveau ; nous acquérons notre esprit » (we inherit our brains ; we acquire our minds)(Goldschmidt 2000), relève d’un processus plus général appelé « altricialité » par les éthologues. Le terme est dérivé de l’anglais altricial, mot qui vient lui-même du latin altrix : « celle qui nourrit », « nourrice » (Gaffiot 1934). Dans son acception première, l’altricialité signifie qu’une espèce n’est pas immédiatement compétente à la naissance, contrairement aux espèces dites précoces. C’est le cas, par exemple, de la plupart des passereaux qui naissent les yeux fermés et dont la survie dépend entièrement de l’aide apportée par leur entourage. Il en va de même pour notre espèce. Dans le cas des nouveau-nés humains, toutefois, s’ajoute à l’altricialité primaire une altricialité secondaire. On désigne ainsi le fait que notre cerveau n’est pleinement compétent (sur les plans cognitif, émotionnel, sensoriel et moteur) que tardivement. La force et la durée de la croissance cérébrale post-natale caractérisent cette altricialité secondaire. Du point de vue de la force, le chimpanzé Pan troglodytes, espèce animale qui nous est phylogénétiquement la plus proche, a un coefficient de croissance cérébrale de 2,5 entre la naissance et l’âge adulte, contre 3,3 chez les humains (DeSilva et Lesnik 2008). Du point de vue de la durée, on a longtemps cru que la maturité du cerveau humain coïncidait avec la puberté, mais on sait aujourd’hui que la période de surproduction et d’élimination des épines dendritiques sur les neurones pyramidaux du cortex préfrontal court jusqu’à la trentaine (Petanjeket al. 2011). Outre des contraintes obstétriques, cette maturation prolongée est probablement due aux coûts métaboliques élevés du développement cérébral (Goyal et al. 2014), un processus de co-évolution ayant favorisé l’étalement dans le temps de la dépense énergétique (Kuzawa et al. 2014). Cette forte altricialité cérébrale est propre aux êtres humains, le contrôle génétique qui s’exerce sur l’organisation somatopique de notre cortex, sur la connectique cérébrale et sur les aires d’association étant plus faible que chez le chimpanzé commun. Par exemple, deux frères chimpanzés auront des sillons cérébraux davantage similaires que deux frères humains, parce que le cerveau des premiers est moins réceptif aux influences environnementales que celui des membres de notre espèce (Gómez-Robles et al. 2015). Cette spécificité du cerveau humain est tout aussi importante que son quotient d’encéphalisation (6,9 fois plus élevé que celui d’un autre mammifère du même poids, et 2,6 fois supérieur à celui d’un chimpanzé), le nombre élevé de ses neurones (86 milliards contre 28 milliards chez le chimpanzé), la complexité de sa connectique (environ 1014 synapses), les changements néoténiques lors de l’expression des gènes (Somel et al. 2009) et son architecture complexe. Chez le nouveau-né humain, la neurogenèse est achevée, excepté dans la zone sous-ventriculaire – connectée aux bulbes olfactifs – et la zone sous-granulaire, qui part du gyrus denté de l’hippocampe (Eriksson et al. 1998). Toutefois, si tous les neurones sont déjà présents, le cerveau néonatal représente moins de 30% de sa taille adulte. Immédiatement après la naissance, sa croissance se poursuit au même taux qu’au stade fœtal pour atteindre 50% de la taille adulte vers 1 an et 95% vers 10 ans. Cette croissance concerne essentiellement les connexions des neurones entre eux (synaptogenèse, mais aussi élagage de cette interconnectivité ou synaptose) et la myélinisation néocorticale. À chaque minute de la vie du bébé, rappelle Jean-Pierre Changeux (2002), « plus de deux millions de synapses se mettent en place ! » Au total, 50% de ces connexions se font après la naissance (Changeux 2003). Cette spécificité d’Homo sapiens a une portée anthropologique capitale. Elle expose si fortement les êtres humains aux influences de leur environnement qu’ils deviennent naturellement des êtres hyper-sociaux et hyper-culturels, ce qu’avait pressenti Malinowski (1922 : 79-80) quand il soutenait que nos « états mentaux sont façonnés d’une certaine manière » par les « institutions au sein desquelles ils se développent ». Le développement du cerveau dans la longue durée permet une « imprégnation » progressive du tissu cérébral par l’environnement physique et social (Changeux 1983), en particulier lors des phases de socialisation primaire et secondaire. L’être humain a ainsi des «dispositions épigénétiques à l’empreinte culturelle » (Changeux 2002). Les effets sociaux et les incidences évolutionnaires (Kuzawa et Bragg 2012) d’une telle aptitude sont immenses. L’entourage doit non seulement aider les nouveau-nés, mais aussi accompagner les enfants jusqu’à leur développement complet, l’immaturité du cerveau des adolescents étant à l’origine de leur caractère souvent impulsif. Cet accompagnement de l’enfant se traduit par des changements dans la structure sociale, au sein de la famille et de la société tout entière, notamment sous la forme d’institutions d’apprentissage social et culturel. Les êtres humains sont ainsi contraints de coopérer, d’abord à l’intérieur de leur groupe familial et d’appartenance, puis sous des formes plus ouvertes (voir Coopération). Née de processus évolutifs anciens d’au moins 200 000 ans (Neubaueret al. 2018), l’altricialité secondaire nous donne un avantage adaptatif : contrairement à d’autres espèces, nos comportements ne sont pas « mis sur des rails » à la naissance, ce qui les rend flexibles face à des environnements changeants, favorisant ainsi la diversité phénotypique et culturelle. Cette plasticité cérébrale peut produire le meilleur. Par exemple, 15 mois seulement d’éducation musicale avant l’âge de 7 ans peuvent renforcer les connexions entre les deux hémisphères cérébraux (Schlaug et al. 1995) et induire d’autres changements structuraux dans les régions assurant des fonctions motrices, auditives et visuo-spatiales (Hyde et al. 2009). Une formation musicale précoce prévient aussi la perte d’audition (White-Schwoch et al. 2013) et améliore la perception de la parole (Du et Zatorre 2017). Cependant, comme cela est souvent le cas en évolution, il y a un prix à payer pour cet avantage considérable qu’est l’altricialité secondaire. Il a pour contrepartie un appétit vorace en énergie de notre cerveau (Pontzer et al. 2016). Il nous rend plus vulnérables, non seulement jusqu’à l’adolescence mais tout au long de la vie où, suppose-t-on, des anomalies des reconfigurations neuronales contribuent au développement de certaines pathologies neurologiques (Greenhill et al. 2015). Enfin, un risque associé au « recyclage culturel des cartes corticales » (Dehaene et Cohen 2007) est rarement noté : si ce recyclage peut produire le meilleur, il peut aussi produire le pire, selon la nature de la matrice culturelle dans laquelle les individus sont pris (Candau 2017). Par exemple, le choix social et culturel consistant à développer des industries polluantes peut provoquer des maladies neurodégénératives et divers désordres mentaux (Underwood 2017), notamment chez les enfants (Bennett et al. 2016), phénomène qui est accentué quand il est associé à l’adversité sociale précoce (Stein et al. 2016). Toujours dans le registre économique, la mise en œuvre de politiques qui appauvrissent des populations peut affecter le développement intellectuel des enfants (Luby et al. 2013), un message clé du World Development Report 2015 étant que la pauvreté est une « taxe cognitive ». Un dernier exemple : Voigtländer et Voth (2015) ont montré que les Allemands nés dans les années 1920 et 1930 manifestent un degré d’antisémitisme deux à trois fois plus élevé que leurs compatriotes nés avant ou après cette période. Bien plus souvent que d’autres Allemands, ils se représentent les Juifs comme « une population qui a trop d’influence dans le monde » ou « qui est responsable de sa propre persécution ». Ceci est la conséquence de l’endoctrinement nazi qu’ils ont subi durant toute leur enfance, notamment à l’école, en pleine période d’altricialité secondaire. En résumé, l’altricialité secondaire est au fondement (i) de l’aptitude naturelle de notre cerveau à devenir une représentation du monde et (ii) d’une focalisation culturelle de cette représentation, sous l’influence de la diversité des matrices culturelles, cela pour le meilleur comme pour le pire. Cette hyperplasticité du cerveau pendant la période altricielle laisse la place à une plasticité plus modérée à l’âge adulte puis décroît à l’approche du grand âge, mais elle ne disparaît jamais complètement. Par conséquent, loin de voir dans les données neurobiologiques des contraintes qui auraient pour seule caractéristique de déterminer les limites de la variabilité culturelle – limitation qui est incontestable – il faut les considérer également comme la possibilité de cette variabilité.
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