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Journal articles on the topic 'Français (langue) – Adverbes – Adverbes'

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Álvarez-Prendes, Emma. "(Inter)subjectivisation et chaines sémantiques dans les adverbes français en –ment : analyse du passage de l'adverbe intégré à la proposition au marqueur discursif." Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 66, no. 3 (August 3, 2021): 346–73. http://dx.doi.org/10.1017/cnj.2021.23.

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Abstract:
RésuméLes adverbes français se terminant en –ment ont évolué par un double processus de grammaticalisation. Une première grammaticalisation, d'origine romane, a été responsable de l'émergence de tels adverbes, tandis qu'un second processus (appelé (inter)subjectification) a entrainé des changements syntaxiques et sémantiques spécifiques. Selon Traugott, ces changements répondent aux principaux critères établis pour le processus de grammaticalisation (recatégorisation, amélioration de la portée syntaxique, sens plus abstraits, enrichissement pragmatique et unidirectionalité (Traugott 1995b, 2010; Traugott et Dasher 2002). Afin de prouver cette hypothèse, j'analyse ici une collection de tels adverbes qui ont au moins trois usages différents en français contemporain : sérieusement, honnêtement, franchement, apparemment, carrément, décidément, étonnamment et seulement. Outre l'analyse synchronique et diachronique de ces adverbes, je rapporte des régularités spécifiques (ou chaînes sémantiques, selon Heine et Kuteva (2002) observées au cours de leur évolution.
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2

DONAZZAN, Marta, Sylviane R. SCHWER, Lucia M. TOVENA, Marta DONAZZAN, SylvianeR SCHWER, and Lucia M. TOVENA. "Les adverbes zài du chinois mandarin et encore dans le système temporel de Reichenbach." Cahiers de Linguistique Asie Orientale 39, no. 2 (2010): 157–211. http://dx.doi.org/10.1163/1960602810x00025.

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Abstract:
Ce travail étudie les propriétés sémantiques de l'adverbe zài ??? du chinois mandarin, que nous analysons comme un adverbe de répétition restreint aux événements prospectifs par rapport au temps d'évaluation, et comparons avec l'adverbe encore du français, en reprenant l'analyse de Renaud et Luo (1987). Un examen détaillé des contraintes imposées par le système aspectuel des deux langues nous permet d'analyser les interactions de ces deux adverbes avec l'information temporelle véhiculée par la phrase. Notre description formelle s'appuie sur la caractérisation des différentes formes d'itération produites par les adverbes répétitifs, proposée par Donazzan (2008); Tovena et Donazzan (2008), et sur la représentation du modèle reichenbachien des temps verbaux sous forme de treillis de Delannoy généralisés, présentée par Autebert et Schwer (2003), et appliquée par Schwer (2007) à l'étude des temps verbaux.
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Bochnakowa, Anna. "Les mots amour et miłość, aimer et kochać dans la langue française et polonaise : aspect sémantique, dérivation, phraséologie." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 16 (May 19, 2021): 49–55. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.16.05.

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Abstract:
Ce texte est une présentation du fonctionnement des mots amour/miłość i aimer/kochać en français et en polonais, afin d’índiquer les différences de sens et d’emploi dans les deux langues. On compare des relations sémantiques entre les mots amour/miłość et amitié/przyjaźń, ainsi que leur expressivité. On présente aussi les dérivés, les phraséologismes contenant ces mots. Il est à constater une grande richesse synonymique du français aimer, ainsi qu’une différence sémantique entre les verbes polonais kochać et lubić et leurs équivalents français aimer et aimer bien/beaucoup renforcés par des adverbes d’intensité qui, paradoxalement, réduisent le sens émotionnel du verbe aimer ‘aimer d’amour’ au degré correspondant à lubić ‘aimer bien’ dans certains contextes. Bien que les mots amour et aimer appartiennent aux universaux du langage, leurs champs sémantiques diffèrent dans les deux langues.
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HANCOCK, VICTORINE. "Quelques éléments modaux dissociés dans le paragraphe oral dans des interviews en français L2 et L1." Journal of French Language Studies 17, no. 1 (February 9, 2007): 21–47. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269506002638.

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Abstract:
Le propos de l'étude descriptive présentée dans cet article est de trouver des caractéristiques du discours de l'apprenant avancé en français L2. À cette fin, nous comparerons la production orale des apprenants avec celle des locuteurs natifs de français. Un trait du français parlé “spontané” (L1) est la dissociation d'un certain nombre de constituants discursifs du rhème, parmi ceux-ci des marqueurs du point de vue et des adverbes modalisateurs. Ces éléments devraient aussi être présents dans le discours d'un apprenant avancé de français. La question est ici de savoir de quelle façon la présence et le placement d'un nombre d'éléments modaux dans la chaîne parlée diffèrent entre les deux groupes de locuteurs. Pour les marqueurs du point de vue, nos résultats indiquent que les apprenants en emploient moins fréquemment, tandis que la plupart des adverbes modalisateurs sont aussi fréquents, mais que leur placement diffère de celui des locuteurs natifs.
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Van de Walle, Pierre. "Les adverbes néerlandais : un casse-tête pour les apprenants et les traducteurs de langue française." Équivalences 29, no. 1 (2001): 257–72. http://dx.doi.org/10.3406/equiv.2001.1248.

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Sagot, Benoît, Karën Fort, and Fabienne Venant. "Extension et couplage de ressources syntaxiques et sémantiques sur les adverbes du français." Actes du «27e colloque international sur le lexique et la grammaire» (L'Aquila, 10-13 septembre 2008). Première partie 32, no. 2 (December 15, 2009): 305–15. http://dx.doi.org/10.1075/li.32.2.12sag.

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Abstract:
This paper presents a work on extending the adverbial entries of the WOLF, a semantic lexical resource for French, and connecting them with those of the syntactic lexicon Lefff, which were mostly extracted from the lexicon-grammar tables from (Molinier & Levrier, 2000). This work relies on the exploitation of the derivation and the synonyms relations ; the latter are extracted from the DicoSyn synonyms database. The resulting semantic resource, which is freely available, is manually evaluated and validated in an exhaustive manner.
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Gaatone, David. "Esquisse d'un guide des perplexes : problèmes de définition et de classification des adverbes de degré en français." Langue française 177, no. 1 (2013): 37. http://dx.doi.org/10.3917/lf.177.0037.

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Hancock, Victorine, and Anna Sanell. "Pragmaticalisation des adverbes temporels dans le français parlé L1 et L2." EUROSLA Yearbook 10 (August 4, 2010): 62–91. http://dx.doi.org/10.1075/eurosla.10.06han.

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Abstract:
Nous partons dans cette étude de la polysémie d’un certain nombre d’adverbes temporels récurrents en français L1. Cette polysémie serait le résultat d’un développement diachronique (Dostie 2004, Hansen & Rossari 2005, Pusch 2006). Nous nous intéressons ici au développement des adverbes déjà, encore, toujours, alors, après, et maintenant dans le français parlé L2 chez des apprenants avancés. Nous faisons l’hypothèse que ces adverbes, à mesure que la L2 se développe, sont de plus en plus pragmaticalisés. Par pragmaticalisation, nous entendons ici le développement des fonctions temporelles et discursives et/ou énonciatives des adverbes chez les locuteurs suédophones en français L2.
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Fournet, Arnaud. "Le mokša ancien, une langue sans adverbes ?" Adverbes et compléments adverbiaux / Adverbs and adverbial complements 36, no. 2 (December 31, 2013): 184–200. http://dx.doi.org/10.1075/li.36.2.01fou.

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Abstract:
The paper first presents a little-known language, Mokša, belonging to the Uralic family, and investigates adverbs as they were listed in the first linguistic description of Mokša published by Ahlquist in 1861. It is shown that originally all adverbial forms in Mokša were motivated and transparent derivatives of deictics, adjectives and nouns. There apparently did not exist primary adverbs, unanalyzable in the synchronic system of Proto-Mokša. The unanalyzable adverbs stem from recent borrowings taken from Russian and Turkic languages. This situation opens the way toward a kind of lexical utopia where there would exist no primary unanalyzable adverbial form in a language.
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Álvarez-Prendes, Emma. "(Inter)subjectivisation et chaines sémantiques dans les adverbes français en –ment : analyse du passage de l'adverbe intégré à la proposition au marqueur discursive—CORRIGENDUM." Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 66, no. 3 (August 23, 2021): 462. http://dx.doi.org/10.1017/cnj.2021.25.

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Bertrand, Chantal. "Quelques remarques sur les adverbes français en -ment et leur rapport sur les adverbes anglais en -ly." Meta: Journal des traducteurs 31, no. 2 (1986): 179. http://dx.doi.org/10.7202/002066ar.

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Lenepveu, VéRonique. "Morten Nøjgaard, "Les adverbes français. Essai de déscription fonctionelle"." Studia Neophilologica 71, no. 2 (January 1999): 239–52. http://dx.doi.org/10.1080/003932799750041795.

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Junker, Marie-Odile. "L’effet V1: le verbe initial en moyen français." Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 35, no. 4 (December 1990): 351–71. http://dx.doi.org/10.1017/s0008413100013931.

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Abstract:
Le moyen français (MF) est une langue à sujet nul qui permet les sujets postverbaux et dont le verbe occupe généralement la seconde position. N’importe quel constituant peut occuper la première position de la phrase, y compris le sujet. Le sujet nul et le sujet postverbal sont habituellement le fait des langues romanes. L’effet du verbe second, “l’effet V2”, est caractéristique des langues germaniques. Une question longuement débattue par la tradition philologique (Foulet 1928; Herman 1954; Hilty 1968; Kuen 1957) est celle de l’influence des langues germaniques sur l’évolution du francais. Fidèles en ce sens à cette tradition, mais dans le cadre de la grammaire générative, Benincà (1984) puis Adams (1987) et Vance (1987) ont appliqué l’analyse proposée par Thiersch (1978) pour l’allemand à l’ancien français (AF) en assumant deux règles de mouvement: antéposition du verbe tensé et topicalisation de n’importe quel adverbe ou NP en position initiale. Le caractère obligatoire de la règle de topicalisation V2 est mis en doute par l’existence de phrases déclaratives à verbe initial en ancien et en moyen français. En effet, on en trouve de la Chanson de Roland (XIIe siècle) jusqu’à Rabelais et Montaigne (XVIe siècle) tant en phrases matrices qu’en phrases subordonnées.
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Porquier, Rémy. "‘Il m'a sauté dessus’, ‘je lui ai couru après’: un cas de postposition en français." Journal of French Language Studies 11, no. 1 (March 2001): 123–34. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269501000163.

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Abstract:
Le débat sur le statut grammatical en français (adverbes ou prépositions ?) de certains éléments de la phrase a souvent porté sur le cas des ‘prépositions orphelines’. Dans ce cadre, on s'intéresse au cas particulier des structures du type: ‘il m'a sauté dessus’, ‘je lui ai couru après’, ‘elle me tourne autour’, etc., où un élément prépositionnel (ou adverbial ?) se trouve postposé au pronom qu'il régit. Un examen systématique de ce type de constructions, très fréquentes en français parlé, met en évidence, sur la base d'inventaires et d'un corpus de français parlé et écrit, leur statut particulier, du double point de vue syntaxique et sémantique. Au-delà du strict point de vue syntaxique, l'examen débouche sur plusieurs observations: inventaire et nature des verbes et éléments prépositionnels, domaines sémantiques, statut lexical des unités ‘VII’ inventoriées.
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BRAS, MYRIAM, and ANNE LE DRAOULEC. "D'abordmarqueur de structuration du discours." Journal of French Language Studies 19, no. 2 (July 2009): 229–48. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269509003767.

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Abstract:
ABSTRACTDans les études sur les adverbes du français,d'aborda la particularité d'être considéré à la fois comme un adverbe conjonctif et comme un adverbe organisateur du discours. Dans la présente analyse, nous nous focalisons sur les relations ded'abordavec son contexte gauche, dans le cadre théorique de laSegmented Discourse Representation Theory. Nous montrons que le constituant contenantd'abordest attaché, par une relation de discours subordonnante, à un constituant considéré comme topique de discours. Les relations subordonnantes peuvent être des relations d’Elaboration, d’Explication, deRésultatou dePrécondition. A l'inverse, nous montrons qued'abordinterdit les relations coordonnantes pour le rattachement à son contexte gauche.
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Izert, Małgorzata, and Ewa Pilecka. "Comment exprimer en mots l’intensité de l’amour pour un être bien-aimé ?" Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 16 (May 19, 2021): 23–38. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.16.03.

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Abstract:
L’objectif de la présente étude est de voir quels seraient les résultats de la recherche des intensifieurs se combinant avec les lexies-vedettes amour, amoureux, aimer et comment ces résultats pourraient être incorporés aux articles lexicographiques du futur Dictionnaire électronique des structures linguistiques d’intensité en français (DESLIF). Seront examinés à tour de rôle des intensifieurs appartenant à la classe des adjectifs, des adverbes et des verbes, les constructions intensifieuses comme SN / comme P et à SV et des synonymes marqués des lexies-vedettes permettant d’exprimer une intensité forte ou faible. Le cadre descriptif utilisé s’inspire de la Lexicographie Explicative et Combinatoire de Mel’čuk & Polguère. Les exemples sont issus de recherches sur corpus, permettant en particulier de rendre compte du fonctionnement des intensifieurs en français familier, populaire et argotique.
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Iordache, Roxana. "Le complément hypothétique en latin." Linguistica 42, no. 1 (December 1, 2002): 19–29. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.42.1.19-29.

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Abstract:
Le complément du verbe à sens conditionnel n'est pas présenté, il n'est mȇme pas mentionné dans la quasi-totalité des grammaires de la langue latine. Certains dictionnaires (en premier lieu Thesaurus linguae Latinae) et la Grammaire de R. Kiihner-C. Stegmann-A. Thierfelder traitent de l'emploi des adverbes ita et aliter, ainsi que de la préposition in à sens conditionnel et également de l 'usage de la formule ea condicione, tout en négligeant d'autres aspects du complément du verbe hypothétique. Nous nous proposons, dans le présent article, de donner une vue d'ensemble du complément hypothétique (nommé, parfois, aussi «circonstant» hypothétique 1 ), vue qui pourra ȇtre utile à l'approche théorique du complement hypothétique, en premier lieu des langues romanes, ensuite des autres idiomes indo-européens. Nous allons présenter le complément conditionnel en suivant son évolution historique.
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Bougy, Catherine. "Les « pseudo-adverbes » concessifs neporuec, neporquant, nequedent et l’adverbe toute(s)voie(s) en ancien français." Syntaxe et sémantique 8, no. 1 (2007): 107. http://dx.doi.org/10.3917/ss.008.0107.

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Aborobongui, Georges Martial Embanga, Jean-Marc Beltzung, Fatima Hamlaoui, and Annie Rialland. "Questions partielles en ɛmbɔ́sí (C25)." ZAS Papers in Linguistics 55 (January 1, 2011): 7–21. http://dx.doi.org/10.21248/zaspil.55.2011.406.

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Abstract:
L'article étudie les diverses façons de poser des questions partielles en Embosi (C25). D'une part, la langue possède deux ensembles de pronoms/déterminants interrogatifs: 1) nda/nde, nda renvoyant aux animés et nde aux non-animés, 2) des mots interrogatifs en accord de classe avec le nom qu'ils déterminent ou qu'ils remplacent, segmentalement homophones des démonstratifs. Ces deux catégories de marqueurs appellent des réponses de nature différente. Par ailleurs, deux ensembles de constructions sont possibles pour les questions partielles portant sur le sujet, l'objet direct ou indirect: les constructions avec relatives et les constructions in situ. Les questions partielles sur le lieu, la cause, la manière se posent avec des adverbes et n'admettent que les constructions in situ. Sur le plan prosodique, il n'y a ni intonation ni groupement prosodique spécifique pour les questions partielles en Embosi. Leur seule caractéristique prosodique est un ton H facultatif (variable selon les locuteurs) sur la finale du mot qui précède le mot interrogatif.
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Dewaele, Jean-Marc. "Une distinction mesurable: corpus oraux et écrits sur le continuum de la deixis." Journal of French Language Studies 11, no. 2 (September 2001): 179–99. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269501000229.

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Abstract:
L'opposition oral/écrit est analysée à travers la variation dans les proportions des catégories grammaticales dans vingt-et-un corpus oraux et écrits italiens, néerlandais, français et d'interlangue française. Une analyse factorielle permet d'extraire une dimension unique sur laquelle s'opposent deux groupes de catégories grammaticales. Les substantifs, les articles, les adjectifs et les prépositions se situent près du pôle négatif tandis que les pronoms, les verbes, les adverbes, les interjections et les conjonctions se situent près du pôle positif de cette dimension qui reflète le continuum de la deixis. Les corpus oraux se situent près du pôle déictique/implicite et s'opposent aux corpus écrits qui se rapprochent du pôle explicite du continuum. Les énoncés oraux sont davantage ancrés dans le contexte spatio-temporel du locuteur tandis que le discours écrit est généralement plus indépendant du contexte spatio-temporel, ce qui explique son caractère plus nominal et sa proportion plus importante de mots essentiellement non-déictiques ou explicites.
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BOUCHAREB, Sonia. "L’EMPLOI EXCLAMATIF DE A QUEL POINT." FRANCISOLA 2, no. 2 (December 31, 2017): 121. http://dx.doi.org/10.17509/francisola.v2i2.9403.

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Abstract:
RÉSUMÉ. La locution adverbiale à quel point appartient à une sous-classe particulière d’adverbes appelés adverbes de quantité, tout comme l’adverbe combien, qui sert souvent à la gloser. Cette classification établie à partir du trait sémantique fondamental de degré, permet de présenter les propriétés générales communes aux adverbes de quantité mais non d’en saisir les particularités. L’objectif de ce présent travail est donc d’élaborer une description minutieuse centrée sur à quel point (emploi exclamatif) afin de saisir les spécificités syntaxiques, distributionnelles et sémantiques de ce marqueur exclamatif. Pour ce faire, nous avons procédé par induction en rassemblant un corpus attesté, en français contemporain, représentatif des différents emplois exclamatifs de à quel point. L’observation des données rassemblées nous a permis, en autres, de montrer que, bien qu’appartenant à une même classe grammaticale et sémantique (adverbe indiquant le degré), à quel point et combien ont des fonctionnements syntaxiques différents et des sens en emploi fort singuliers. Mots-clés : adverbe, conformité, degré, évaluation, intensité, quantité, seuil.ABSTRACT. It is commonly acknowledged that the adverbial locution à quel point belongs to a particular sub-class of adverbs called quantity adverbs, as the adverb combien, which serves to replace it. This classification, established from the fundamental semantic trait of degree, allows us to display its common general properties to the quantity adverbs but not to fathom its specificities. The aim of the present study is to set up a minute description centered on à quel point (in its exclamatory use) to seize the syntactic, distributional and semantic specificities relative to this marker. In order to achieve this goal, we have proceeded by induction, i.e. by gathering a certified corpus of different exclamatory uses of à quel point in contemporary French. The analysis of the gathered data has allowed us to show that, while belonging to an identical grammatical and semantic class (an adverb indicating the degree), à quel point and combien have different syntactic functioning and very particular meanings in use.Keywords: adverb, conformity, degree, evaluation, intensity, quantity, threshold.
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De Gioia, Michele. "Sur Quelques Comparaisons D'adverbes Figés de L'italien et du Français." Lingvisticæ Investigationes. International Journal of Linguistics and Language Resources 18, no. 1 (January 1, 1994): 89–119. http://dx.doi.org/10.1075/li.18.1.05deg.

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Abstract:
In this paper the author presents his lexicon-grammar of frozen adverbs in Italian, in a general way. One of the important conclusions that emerges from the author's research concerns the existence of similar syntactical structures that are classified by Maurice Gross in his lexicon-grammar of frozen adverbs in French. The two group classifications are therefore similar: the same classes and almost the same syntactical-semantical properties and results. At this point a vast comparative work is justifiable. The author therefore wants to take particular account of the contrastive analyses effectuated on two frozen adverb classes. With the outcome of the corresponding situations, the author has been able to make a definate percentage of the semantic, lexical and syntactical equivalences and differences.
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Ouellet, Pierre. "Du haut-lieu au non-lieu : l’espace du même et de l’autre." Dossier 24, no. 1 (August 29, 2006): 69–81. http://dx.doi.org/10.7202/201407ar.

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Abstract:
Résumé Il y a dans la langue et la littérature une corrélation intime entre les formes de désignation du « lieu » et les formes de dénotation de la « personne », comme si la représentation de la subjectivité et, partant, de l'intersubjectivité, avait partie liée avec celle de la spatialité. La poésie d'Yves Préfontaine, depuis Boréal jusqu'au Désert maintenant, regorge d'expressions lexicales (substantifs, verbes, adjectifs) ou morpho-syntaxiques (prépositions, pronoms démonstratifs, adverbes) renvoyant au lieu et à l'espace, qui servent de substrat à la présentation du Soi et de l'Autre ou de l'identité (l'ici, l'ego) et de l'altérité (l'ailleurs, l'alter). En suivant l'itinéraire des premiers aux derniers textes, de la fin des années cinquante à la fin des années quatre-vingt, on repère une mutation de la sensibilité poétique de l'auteur, qui passe d'une représentation substantive ou nominale du lieu comme « terre » ou « pays » à une représentation déictique de l'espace comme tension insoluble entre un « ici » et un « ailleurs », étroitement liés aux instances de renonciation et de la perception. Il en résulte une autre image de la subjectivité, moins dépendante de son ancrage dans le « lieu nommé » qu'indéfiniment changeante selon le mouvement propre à la deixis enunciative.
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Marchello-Nizia, Christiane. "Prépositions françaises en diachronie." Grammaticalisation 25, no. 2 (August 31, 2003): 205–21. http://dx.doi.org/10.1075/li.25.2.03mar.

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Abstract:
Summary Since the 17th century, French has had both the categories of adverbs and prepositions, each represented by specific morphemes. In Old French however, this situation was different : one morpheme could then function as preposition, adverb, particle, verbal prefixe and subordinating element. In the light of recent theories concerning changes of grammatical categories and the notion of ‘emergent grammar’, a matter of concern should be whether these different categories have to be distinguished for Old and Middle French, or whether these morphemes are to be considered as making part of multi-functional or even multi-categorial paradigms. In the latter case, each paradigm would express one notion or a series of related notions. A concrete analysis of the usage of four such morphemes, aval, par, tres and en, from 1000 to 1500 shows how these ‘prepositions’ evolve from multi-categorial to mono-categorial usage. This reduction of pluri-categorial morphemes in French can be explained by a more general change at the level of the French grammatical macro-system, leading towards an increasing iconicity, where one function is expressed by one single form.
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Salles, Mathilde. "L’adverbe alias en français." Revue Romane / Langue et littérature. International Journal of Romance Languages and Literatures 45, no. 1 (June 2, 2010): 149–67. http://dx.doi.org/10.1075/rro.45.1.09sal.

Full text
Abstract:
According to dictionary definitions, the adverb alias in French seems to be a metalinguistic adverb and a kind of marker of paraphrastic reformulation. However, its semantic value is not reduced to these two characteristics: not only does it have non-metalinguistic uses, but its strictly metalinguistic and paraphrastic uses appear, in fact, rather marginal. Its principal uses are betwixt and between, since they blend information about the referent and its names.
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Piot, Mireille. "Les Connecteurs du Français." Lingvisticæ Investigationes. International Journal of Linguistics and Language Resources 17, no. 1 (January 1, 1993): 141–60. http://dx.doi.org/10.1075/li.17.1.06pio.

Full text
Abstract:
We explore in this article the syntactic criteria used to classify most French connectors. We have defined three main classes: - the first main class contains subordinating conjunctions (Conjs) subdivided into eight subclasses corresponding to various syntactic-semantic properties; - the second main class contains coordinating conjunctions (Conjco); - the third main class contains coordinating adverbs (Advconj); several syntactic criteria have been used to divide this class into two major subclasses. The use of formal criteria has allowed us to classify connectors on a more precise basis; one consequence is that some connectors are not classified in their traditional classes. Our study has brought to light interesting linguistic phenomena such as new relations between several subordinating and coordinating conjunctions.
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ALVAREZ-PRENDES, EMMA. "Le triple fonctionnement de l'adverbe honnêtement en français contemporain: propriétés et liens avec les marqueurs d'attitude énonciative." Journal of French Language Studies 29, no. 1 (September 10, 2018): 93–111. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269518000224.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉDans ce travail nous proposons un examen des emplois de l'adverbe honnêtement en français contemporain, ainsi que de leurs propriétés les plus saillantes et des liens existant entre ces emplois et la catégorie sémantique des marqueurs d'attitude énonciative. Notre hypothèse de départ est qu'honnêtement connaît aujourd'hui un triple fonctionnement: 1. comme adverbe qui caractérise la réalisation de l'action évoquée par le verbe de l’énoncé (i.e. Il essayait de faire honnêtement son travail; Michel Houellebecq, 2010, La carte et le territoire); 2. comme adverbe qui montre l'attitude du locuteur vis-à-vis de sa propre énonciation (i.e. Honnêtement, je ne pouvais pas les laisser là. N'importe qui aurait pu les voler; Daniel Pennac, 1999, Aux fruits de la passion); 3. et comme un adverbe qui indique un degré moyen, ou un peu plus élevé que la moyenne, du contenu de l'adjectif qu'il modifie (i.e. Le passage s'est fait dans l'euphorie factice d'un réveillon organisé chez Pinaud. C’était bon et honnêtement copieux; Benoîte et Flora Groult, 1994, Journal à quatre mains). Pour atteindre notre objectif nous avons eu recours à une série de tests linguistiques (de type foncièrement syntaxique et sémantique) qui ont été appliqués à un corpus personnel de deux centaines d'occurrences tirées de la base de données FRANTEXT.
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Gerdes, Kim, and Sylvain Kahane. "L’amas verbal au cœur d’une modélisation topologique du français." Ordre des mots et topologie de la phrase française 29, no. 1 (July 6, 2006): 75–89. http://dx.doi.org/10.1075/li.29.1.07ger.

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Abstract:
This article aims at two objectives : We want to show that principal word order phenomena can be described in a topological approach to linearization, i.e. a linking of an (unordered) dependency tree and a ordered structure, the topological constituent tree. Moreover, we want to put forward the importance and naturalness of a particular constituent in the modeling of French word order, the verb cluster (amas verbal) : It is composed of one or more verbs, of necessary functional words (prepositions and complementizers), and of very constraint lexical elements other than the verbs as for example clitics and certain adverbs. The work is based on a rigorous formalization of the dependency-topology link in Gerdes & Kahane 2001. The verb cluster in the topological structure remains to be shown to be closely related to a prosodic constituent.
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VAN GOETHEM, KRISTEL. "Les constructions préverbales du français et du néerlandais: typologie et grammaticalisation." Journal of French Language Studies 18, no. 2 (July 2008): 227–48. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269508003281.

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Abstract:
ABSTRACTDans notre étude, nous présenterons en premier lieu une typologie des verbes français et néerlandais introduits par un préverbe de forme prépositionnelle. Cette typologie comporte quatre grandes classes de constructions préverbales: les constructions relationnelles où le préverbe est toujours proche de son pendant prépositionnel ou postpositionnel (p.ex. survoler une île), les constructions adverbiales prédicatives où le préverbe (néerlandais) est issu d'un adverbe prédicatif (p.ex. zijn geld opdoen/son argent sur-faire/ ‘dépenser son argent’), les constructions préfixales où le préverbe se comporte comme un vrai préfixe (p.ex. surestimer les capacités de quelqu'un) et les constructions lexicalisées. Dans un deuxième temps, nous montrerons que les constructions préverbales distinguées peuvent être situées sur une échelle de grammaticalisation.
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Tolone, Elsa. "Analyse syntaxique à l’aide des tables du Lexique-Grammaire du français." Lingvisticæ Investigationes. International Journal of Linguistics and Language Resources 35, no. 1 (October 2, 2012): 147–51. http://dx.doi.org/10.1075/li.35.1.07tol.

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Abstract:
Lexicon-Grammar tables, whose development was initiated by Gross (1975), are a very rich syntactic lexicon for the French language. They cover various lexical categories such as verbs, nouns, adjectives and adverbs. This linguistic database is nevertheless not directly usable by computer programs, as it is incomplete and lacks consistency. Tables are defined on the basis of features which are not explicitly recorded in the lexicon. These features are only described in literature. To use these tables, we must make explicit the essential features appearing in each one of them. In addition, many features must be renamed for consistency sake. Our aim is to adapt the tables, so as to make them usable in various Natural Language Processing (NLP) applications, in particular parsing. We describe the problems we encountered and the approaches we followed to enable their integration into a parser. LGExtract LGLex fff Lexique des Formes Fléchies du Français fff Produire des Annotations Syntaxiques à Grande Échelle et al fff
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Martineau, France. "Perspectives sur le changement linguistique : aux sources du français canadien." Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 50, no. 1-4 (December 2005): 173–213. http://dx.doi.org/10.1017/s0008413100003704.

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Abstract:
AbstractThis article examines the origins of Canadian French, focusing on it morphosyntax. This approach compares written sources, both literary and non-literary, for the 19th century, to oral sources, for the middle and end of the 20th century. While it is still possible to use oral sources from the 20th century as a baseline for written sources from the end of the 19th century, this approach is more problematic for earlier centuries. The negative adverbs pas et point are examined on the basis of a corpus of old Canadian French, and it is shown that the progression of pas with respect to point was more rapid in the context of verbal negation than in the context of argument negation in France, in New France, and in Canada. During the 18th century, even though the progression of pas, as compared to point, is parallel in France and in New France, it is nevertheless the case that certain regions of France that served as sources of immigration to Canada as well as certain social groups in New France use point more frequently. The 19th century sees a progression and a uniformization of the variant pas across all social classes in Quebec. In Ontario, the variant point was conserved until a later date in its southern border region.
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LAUWERS, PETER. "C'est très théâtre, c'est-à-dire très faux. Les origines et le développement de la construction [Adverbedegré + Nom]." Journal of French Language Studies 28, no. 3 (October 16, 2018): 431–53. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269518000261.

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Abstract:
RÉSUMÉDans cette contribution, nous nous intéressons à l'origine et au développement de la construction [adverbe de degré + nom]: C'est très théâtre, c'est-à-dire très faux. De nos jours, cette construction se présente comme un puissant outil de recatégorisation contextuelle pour exprimer un rapport de ressemblance basé sur une analogie avec un concept nominal. Sur la base d'une recherche de corpus outillée, nous montrons que la construction-hôte [ADVdegré + ADJ] a pu s'ouvrir à la catégorie nominale à partir d'un petit noyau dur de noms humains, en partie qualitatifs, tirant profit de certaines propriétés structurelles du français de l’époque. Par la suite, la construction s'est diversifiée vers d'autres classes sémantiques (noms inanimés, noms propres, etc.) et a progressivement attiré une gamme plus diversifiée de types lexicaux dans son orbite. Elle n'a cessé de gagner en productivité, tout en réduisant son fonds lexical d'origine à la portion congrue.
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Lahousse, Karen. "La distribution de l’inversion nominale en français dans les principales non interrogatives et les subordonnées circonstan." Grammaires et Lexiques Comparés 26, no. 1 (September 30, 2003): 123–58. http://dx.doi.org/10.1075/li.26.1.10lah.

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Abstract:
Summary This article deals with the distribution of nominal inversion in non-interrogative main clauses and embedded adverbial clauses in French. As for main clauses, it is established that nominal inversion occurs when the clause contains a stage topic, i.e. a spatio-temporal location, whether overt (indicated by an adverb or PP) or covert (indicated by a spatio-temporal link with the preceding context). Then, it is shown that nominal inversion is also allowed in main clauses when the subject is a restrictive focus, because of the presence of a restrictive focus particle such as ne...que or seul, or because of the reference of the subject being exhaustively specified. It is then shown that both principles also explain the occurrence of nominal inversion in embedded adverbial clauses: in temporal clauses, nominal inversion is licensed without the presence of an additional factor, whereas, in causal and concessive clauses, nominal inversion is only allowed if the clause contains a stage topic or an indication of the focal interpretation of the subject. Finally, it is shown that the same explanation also acccounts for nominal inversion in comparative clauses and in main clauses preceded by the comparative adverb of manner ainsi.
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DE SAUSSURE, LOUIS. "Le passé composé en usage futur et la pertinence au présent." Journal of French Language Studies 22, no. 2 (July 11, 2011): 189–206. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269511000433.

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Abstract:
RÉSUMÉCet article étudie les effets de sens du passé composé (PC) sous la portée d'un adverbe situeur futur en français. Nous partons de l'hypothèse de Sthioul (1998) selon laquelle cet usage du PC impose une représentation conçue comme passée depuis une projection allocentrique du moment de la parole située dans le futur. Cet article considère que le PC en usage futur est un usage métalinguistique du passé composé et donc un usage métareprésentationnel (ou interprétatif, cf. Sperber & Wilson 1995) du langage. Nous explorons les restrictions d'emploi de cet usage par des critères sémantiques (télicité, agentivité) et concluons qu'aucun d'entre eux ne forme une contrainte forte alors qu'il y a une condition pragmatique d'emploi beaucoup plus contraignante pour l'usage futur du passé composé. En particulier, nous suggérons que i) ce qui est représenté au futur n'est pas le procès mais l'état résultant (ce qui le rapproche du PC de l'accompli), ii) que l'état résultant est typiquement désirable et a déclenche une inférence à propos de l'attitude ou du comportement à tenir dans le présent dans la perspective de l'état résultant au futur. Ainsi, le passé composé en usage futur prend sa pertinence au présent et non directement au futur.
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"PARAMÈTRES DES LOCALISATEURS D'ESPACE EN FRANÇAIS ET EN OUZBEK." Philology matters, March 25, 2020, 146–53. http://dx.doi.org/10.36078/987654425.

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Abstract:
Dans cet article il s’agit de l'expression des localisateurs spatiaux et leurs paramètres spatiaux en français et en ouzbek. La comparaison des données du français avec celles d’ouzbek est un moyen de tester l’utilité de cette article pour la description des langues. Il y a les expressions de relations locales dans tous les systèmes linguistiques. Cette relation étudie dans la langue divisée en deux groupes, selon, les expressions nominatifs et les indices. L'étude de la nature déictique des localisateurs spatiaux a une place importante dans la pragmatique. Les deixis de l'espace en français sont également exprimées en termes de pronoms démonstratifs, adverbes de lieu, prépositions, ainsi que dans la langue ouzbèke, ils sont éxprimées par les pronoms demonstratifs, par les adverbes de lieu, par les cas qui sont importants pour déterminer les paramètres d’orientation dans l'espace. Les paramètres des localisateurs ont été étudiés en français et en ouzbek par sa classification comme une simple opposition proximité/éloignement par rapport au locuteur. L’orientation spatiale, les distances spatiales, les paramètres des localisateurs spatiaux, ainsi que la classification d’espaces visible/invisible, d’espaces défini/indéfini pour le locuteur ainsi que la distance proximité/éloigné de l'espace, la détermination la limite de l’espace du locuteur dans le texte sont analysés par les pluisieurs savants sur les bases d'exemples. On souligne aussi également que certaines unités exprimants relations locales ne peuvent pas former des oppositions.
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Radusin-Bardić, Nataša. "UPITNI PRILOZI ZA MESTO U FRANCUSKOM I SRPSKOM JEZIKU." Facta Universitatis, Series: Linguistics and Literature, September 15, 2017, 023. http://dx.doi.org/10.22190/full1702023e.

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Abstract:
En français et en serbe, l’expression de l’espace dans l’interrogation partielle directe peut revêtir différentes formes, en fonction des concepts spatiaux concernés. Nous nous proposons de comparer les adverbes interrogatifs de lieu exprimant les relations spatiales de type statique (la localisation), ainsi que ceux exprimant les relations spatiales de type dynamique (la destination, le point de départ, le point d’arrivée et l’itinéraire). Notre recherche sera fondée sur une analyse contrastive de l’emploi des adverbes interrogatifs exprimant des concepts spatiaux dans plusieurs ouvrages dramatiques écrits en français et en serbe et traduits dans une de ces deux langues. À part l’aspect sémantique des relations spatiales, notre analyse portera également sur les aspects morphosyntaxique et sociolinguistique des formes interrogatives correspondantes.
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BOUCHAREB, Sonia. "FONCTIONNEMENT ADVERBIAL ET SENS EN EMPLOI DE À UN POINT (QUE P)." FRANCISOLA 1, no. 1 (June 30, 2016). http://dx.doi.org/10.17509/francisola.v1i1.2559.

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Abstract:
<p><strong>RÉSUMÉ.</strong><strong> </strong><em>A un point que</em> est présenté par les dictionnaires de langue, notamment le<em> </em><em>Trésor de la Langue Française</em> (<em>TLF</em><em>i</em>) comme une locution adverbiale « assimilable à un adverbe de degré, d’intensité » (article <em>Point</em>). Il s’agit là, en fait, non pas de sa nature mais de l’un de ses emplois. En emploi adverbial, cette séquence en <em>point</em> présente une latitude combinatoire conforme à celle des adverbes de degré. En dépit de ce comportement adverbial, <em>à un point que P</em> est identifié, dans le cadre de cet article, non pas comme une locution adverbiale mais comme une locution prépositionnelle à complément zéro. D’un point de vue sémantique, elle constitue un adverbe de degré tout comme <em>beaucoup, très, extrêmement</em> et <em>énormément</em> toutefois <em>à un point que P</em> véhicule un degré bien plus intense. Ce sens émane, selon nous, de l’association du sens de chacun de ses éléments constitutifs.</p><p><strong> </strong></p><p><strong>Mots-clés: </strong><em>adverbe, degré,</em><em> </em><em>intensifieur, locution, </em><em>modifieur, </em><em>quantifieur, structure interne.</em></p><p><em><br /></em></p><p><strong>ABSTRACT.</strong><em> </em><em>A un point que</em> is defined by language dictionaries, especially by the<em> Trésor de la Langue Française </em>(<em>TLFi</em>),<em> </em>as an adverbial locution « comparable to an adverb of degree or intensity » (<em>Point</em>). In fact this is not a definition of its nature but of one of its uses. In its adverbial usage, this sequence in <em>point</em> presents combinatorial latitude in accordance with adverbs of degree. Despite this adverbial behavior, <em>à un point que P</em> is not identified, within the frame of this article, with an adverbial locution but with a prepositional locution with a zero complement. It is an adverb of degree as <em>beaucoup, très, extrêmement</em> and <em>énormément. </em>Yet, <em>à un point que P </em>conveys<em> </em>a more intense degree. According to us, this meaning comes from the combination of the meaning of each constitutive element.</p><p><strong> </strong></p><p><strong>Keywords:</strong> <em>adverb, degree, intensifier, internal structure, locution, modifier, quantifier.</em></p><p><em><br /></em></p>
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Oberhauser, Tanja. "Marion Netzlaff, La collocation adjectif-adverbe et son traitement lexicographique. Français – allemand – espagnol." Zeitschrift für romanische Philologie (ZrP) 126, no. 1 (January 2010). http://dx.doi.org/10.1515/zrph.2010.010.

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