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Journal articles on the topic 'Français (langue) – Détachement (linguistique)'

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Vitez, Primož. "La norme démocratisée du français parlé." Linguistica 42, no. 1 (December 1, 2002): 111–19. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.42.1.111-119.

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Abstract:
Dans la variété des méthodologies en linguistique, on observe constamment deux orientations générales qui révèlent la double nature de ce domaine scientifique. D'un côté, la linguistique descriptive a pour fonction de dire ce que la (ou une) langue est; d'un autre côté, la réglementation prescriptive tend à privilégier certains usages lin­ guistiques dans la mission de dire ce que la (ou une) langue doit (ou devrait) être. C'est dans les deux acceptions de ces approches qu'il est nécessaire de concevoir la défini­ tion de la norme linguistique.
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2

Lamy-Joswiak, Anne-Cécile. "Le français est à nous! Petit manuel d’émancipation linguistique." Journal for Foreign Languages 12, no. 1 (December 28, 2020): 335–39. http://dx.doi.org/10.4312/vestnik.12.335-339.

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Abstract:
Dans cet ouvrage, Maria Candea et Laélia Véron, enseignantes et chercheuses, respectivement en linguistique et en stylistique, se sont associées afin d’initier le plus grand nombre à la (socio) linguistique et à l’histoire de la langue française en comparant, entre autres, discours sur la langue et pratiques de la langue. Partant du principe que la langue appartient à celles et ceux qui la parlent, les autrices adoptent en cela un point de vue résolument politique sans se départir d’une démarche rigoureuse, réflexive et scientifique. Comme son titre l’indique, cet ouvrage didactique invite les locuteur·ices du français à s’affranchir de l’autorité de certaines règles, expert·es et institutions qui prétendent détenir les savoirs et savoir-dire et empêchent ainsi les débats linguistiques dont pourraient se saisir les francophones pour faire vivre et façonner, ensemble, la langue française.
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3

Castonguay, Charles. "L’orientation linguistique des allophones à Montréal." Articles 21, no. 2 (March 25, 2004): 95–118. http://dx.doi.org/10.7202/010123ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Selon le recensement de 1986, l'anglais maintient sa place comme première langue d'assimilation des Montréalais d'une autre langue que l'anglais ou le français. Cette constance recouvre toutefois des mouvements divergents. Si les allophones nés à Montréal s'anglicisent nettement plus qu'en 1971, le français progresse d'autant parmi les immigrés : il y a cependant un léger regain de l'anglais chez les derniers arrivés. Le progrès de la francisation paraît lié surtout au développement de l'immigration créole, espagnole, arabe et vietnamienne. La scolarisation en français semble aussi orienter assez fermement les enfants des nouveaux immigrants vers la francisation. Depuis la conjoncture socio-politique de 1976-1980, particulièrement favorable au français, le regain de l'anglais paraît traduire le retour à un certain Québec bilingue. L'attrait de l'anglais semble également s'accroître avec la durée de séjour à Montréal.
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Rhéaume,, Stéphanie. "Le français, langue de la diversité québécoise. Une réflexion pluridisciplinaire." Canadian Journal of Political Science 40, no. 3 (September 2007): 773–75. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423907070874.

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Le français, langue de la diversité québécoise. Une réflexion pluridisciplinaire, Georgeault, Pierre, et Michel Pagé (dir.), Montréal, Québec Amérique, 2006, 347 pages.Pierre Georgeault et Michel Pagé procèdent à une réflexion multidisciplinaire pertinente et attendue sur la dynamique des langues et la prise en compte de la pluralité dans la société québécoise dans l'ouvrage collectif Le français, langue de la diversité québécoise. À l'invitation du Conseil supérieur de la langue française, 15 spécialistes de la vaste problématique de la langue française se sont attelés à la tâche d'étudier le concept d'intégration linguistique et la notion de langue d'usage public dans le contexte québécois. Ce recueil se consacre de front à la question linguistique et à l'intégration de la diversité, problématique trop souvent négligée ou traitée seulement dans le prolongement du débat sur la définition de la nation québécoise. Malgré tout, même cet ouvrage ne fait pas exception puisqu'il aborde la nécessaire question de la nation, indubitablement associée à celle de la politique linguistique. Cependant, l'ouvrage de Georgeault et Pagé explore aussi d'autres avenues fort intéressantes, comme celles qu'empruntent les approches socioculturelles et psychosociologiques.
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Cormier, Gail. "Le paysage linguistique en milieu minoritaire : une étude de l’affichage commercial à Saint-Boniface, au Manitoba." Articles, no. 5 (March 18, 2015): 84–99. http://dx.doi.org/10.7202/1029108ar.

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Abstract:
Ce texte analyse le paysage linguistique de Saint-Boniface, au Manitoba, une communauté francophone minoritaire. Il démontre que le français y est représenté comme langue ayant un statut minoritaire. Même dans le quartier français de la ville, il est facile de voir l’influence de l’anglais. La majorité des panneaux et des enseignes sont bilingues et, souvent, l’anglais y occupe une position prépondérante. Le vandalisme commis contre l’affichage public en français démontre également qu’il existe encore des relations tendues entre les anglophones et francophones de la ville de Winnipeg. Malgré cela, il s’avère primordial de revendiquer l’utilisation de la langue minoritaire dans son paysage linguistique puisque c’est une manière de légitimer la communauté de langue minoritaire.
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Bouchard, Chantal. "De la "langue du grand siècle" à la "langue humiliée": les Canadiens français et la langue populaire, 1879-1970." Recherche 29, no. 1 (April 12, 2005): 7–21. http://dx.doi.org/10.7202/056335ar.

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Abstract:
L'insécurité linguistique des Canadiens français est bien antérieure aux années 1940. Une étude des chroniques de langage parues dans la presse entre 1879 et 1970 permet de dégager trois périodes quant aux attitudes vis-à-vis la langue populaire des Canadiens français. Jusqu'au début du siècle, la perception est plutôt négative. À partir de 1910, on assiste à une entreprise systématique de revalorisation de la langue paysanne, moins contaminée par l'anglais que celle des villes. L'ouvrier remplaçant le paysan comme classe populaire, l'attitude négative refait surface à compter des années 1940. Après la querelle du jouai, on commence lentement à distinguer la langue humiliée des autres formes du français québécois.
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Castonguay, Charles. "La cassure linguistique et identitaire du Canada français." Recherche 46, no. 3 (August 14, 2006): 473–94. http://dx.doi.org/10.7202/012474ar.

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Abstract:
Depuis la dislocation du Canada français dans les années 1960, une divergence se creuse entre ses éléments. Alors que la vitalité du français, langue principale à la maison, se renforce au Québec et au Nouveau-Brunswick, elle s’affaiblit ailleurs au Canada. De même, elle progresse à Montréal, Moncton et Gatineau mais recule à Toronto, Sudbury et Ottawa. Les données inédites du recensement de 2001 touchant les langues secondaires au foyer indiquent en outre que le comportement bilingue est le plus souvent de nature additive parmi les francophones du Québec et du Nouveau-Brunswick, tandis qu’il joue le rôle d’étape transitoire vers l’anglicisation dans les autres provinces. En parallèle avec la cassure en matière de comportement linguistique, il s’est développé une divergence identitaire : au contraire des jeunes de langue maternelle française du Québec et du Nouveau-Brunswick, ceux de l’Ontario et des autres provinces s’identifient comme bilingues plutôt que francophones.
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Heller, Monica. "« Langue », « communauté » et « identité »." Anthropologie et Sociétés 31, no. 1 (June 26, 2007): 39–54. http://dx.doi.org/10.7202/015981ar.

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Abstract:
Résumé Parmi les concepts clés de l’anthropologie linguistique (et de ses disciplines soeurs, la sociolinguistique, la sociologie du langage, la psychologie sociale du langage, l’aménagement linguistique) on trouve depuis longtemps ceux de « langue », « communauté » et « identité ». Ces concepts centraux pour la discipline émergent comme partie du discours du nationalisme étatique, et y sont profondément imbriqués. Dans cet article, je trace les grandes lignes de cette imbrication, pour examiner par la suite comment le travail de recherche sur la langue, l’identité et l’appartenance a pris forme dans les débats sur le français au Canada, et surtout pour ce qui est de la construction du nationalisme franco-canadien et de son évolution postnationaliste de nos jours.
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Boissonneault, Julie. "Essai sur le français parlé en Ontario : entre représentations et légitimité." Cahiers Charlevoix 12 (July 3, 2018): 89–116. http://dx.doi.org/10.7202/1048917ar.

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Abstract:
Pour sa deuxième contribution, Julie Boissonneault, qui a précédemment analysé lescontraintes institutionnelles qui entravent l’intention et la réalisation des études universitaires en français en Ontario, se penche ici sur la perception qu’on a de la langue des Franco-Ontariens. La langue française parlée en Ontario fait souvent l’objet d’un discours dépréciatif qui établit la compétence des Franco-Ontariens à l’aune de leurs manquements au français de référence. Or, ce discours, qui ne tient pas compte de l’enjeu de la variation interne de toute langue et des processus naturels d’évolution des parlers, nourrit des représentations à l’égard du parler qui sont souvent partielles ou fausses et qui, en retour, peuvent mener à un sentiment d’incompétence chez le locuteur franco-ontarien. Cet essai propose un regard critique sur la trialectique – « discours épilinguistique / représentation linguistique / sécurité-insécurité linguistique » – et met de l’avant la primauté de la description concertée, détaillée et critique de toute variété de langue dans son aménagement « formel ».
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Henripin, Jacques. "Les Québécois dont la langue est flottante et la mobilité linguistique." Articles 14, no. 1 (October 24, 2008): 87–98. http://dx.doi.org/10.7202/600558ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les mesures de la mobilité linguistique entre l’anglais et le français, au Québec, sont sujettes à caution, à cause de la façon dont les personnes recensées ont déclaré leur langue maternelle ou leur langue au foyer, et aussi à cause du mode de traitement de ces informations par Statistique Canada. Il en résulte des aspects parfois étonnants de la mobilité linguistique. Certains de ces résultats sont analysés et une estimation minimale de la mobilité linguistique est présentée. L’auteur croit qu’on devrait mettre de coté les « flottants linguistiques » dans les analyses.
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Trujillo-González, Verónica C. "Una aportación al tratamiento de los elementos culturales: el signo lingüístico cultural." Çédille 8 (April 1, 2012): 298. http://dx.doi.org/10.21071/ced.v8i.5495.

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Abstract:
Cet article propose un parcours à travers quelques notions traductologiques par rapport au fonctionnement des éléments culturels dans la langue. La grande variété terminologique existante, aussi bien en Traductologie que dans des autres disciplines, comme la Linguistique Appliquée, produisent une certaine difficulté au moment de classer ces éléments culturels. À partir de ce parcours terminologique, nous proposerons un nouveau concept : le signe linguistique culturel. Une étude contrastive français-espagnol montrera le fonctionnement du signe linguistique culturel dans la langue. Cette étude servira également à montrer les différences entre ce que nous appelons le signe linguistique culturel et les autres éléments culturels traditionnellement identifiés dans les différentes langues.
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Bouthors-Paillart, Catherine. "Marguerite Duras: l’exil en langue maternelle." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 1, no. 2 (January 21, 2010): 120–35. http://dx.doi.org/10.29173/af7423.

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Abstract:
L’expérience de l’outre-langue a ceci d’original chez Marguerite Duras qu’a contrario de celle de bien des écrivains en exil, elle procède de l’impossible passage – et pourtant du passage – d’un bilinguisme originel (franco-vietnamien) au monolinguisme de l’écriture dans sa langue dite maternelle, à savoir le français. Cette expérience est celle d’un vide au creux de toute langue, chaque langue étant irrévocablement langue de l’autre, c’est-à-dire impropre, chaque sujet parlant imparablement absent de son dire. Ecrire en langue française est pour Duras aventure bien plus que scripturaire, tantôt douloureuse dans l’épreuve de son déchirement identitaire et linguistique, tantôt jubilatoire, dans les moments de fulgurance poétique où se donnent à entendre les accents aussi improbables que perceptibles d’un métissage linguistique.
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Šeleg, Monika. "Les particularités lexicales du français québécois." Verbum 1 (February 6, 2010): 55–62. http://dx.doi.org/10.15388/verb.2010.1.4940.

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Abstract:
Le français québécois est une variété géographique par rapport au français de référence. Cette langue a beaucoup de traits différents par rapport au français standard (ou international) mais aussi des particularités communes avec le français populaire de la France d’aujourd’hui. Le québécois a des traits qui ne sont propres qu’ à cette variété lexicale. Malgré plusieurs disputes entre partisans de la norme linguistique de France et ceux qui réclament une certaine autonomie dans la définition des usages à privilégier, la norme linguistique du français québécois n’est pas encore déterminée. Le but de cet article est de présenter la situation du français au Québec et de définir ses particularités lexicales. Le travail est destiné à l’analyse du joual c’est-à-dire de la langue parlée des Québécois en se basant sur le roman de Gabrielle Roy «Bonheur d’occasion» et le roman de Michel Tremblay «Des nouvelles d’Édouard». On y analyse les archaïsmes, les impropriétés, les québécismes – mots et expressions propres au Québec. On attache beaucoup d’importance aux anglicismes qui deviennent de plus en plus fréquents en français québécois.
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Zappa, Francesco. "Une langue islamique postmoderne ? L’émergence d’un « français d’islam »." Eurasian Studies 18, no. 1 (September 23, 2020): 176–93. http://dx.doi.org/10.1163/24685623-12340091.

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Abstract:
Résumé En élaborant sa notion de « langues islamiques », Alessandro Bausani (1921-88) soulignait qu’à l’époque contemporaine, à cause de l’impact des nationalismes et de l’influence grandissante des langues des colonisateurs, les processus d’islamisation linguistique ont subi un revirement. Plus récemment, toutefois, on assiste à un phénomène d’appropriation des anciennes langues coloniales par des écrits et discours à caractère religieux islamique. Cet article se penche sur le côté francophone de cette tendance, en le situant dans son contexte sociologique et idéologique. La réflexion théorique qui l’accompagne de la part de ses acteurs est aussi prise en compte, en la comparant à celle qui l’a précédée du côté anglophone. On propose ensuite un inventaire provisoire des particularités lexicales, syntaxiques et orthographiques de ces publications islamiques par rapport aux solutions adoptées, pour traiter des mêmes sujets, par d’autres scripteurs francophones, notamment par les arabisants et islamologues laïcs. À ce stade de la recherche, les écarts ne nous semblent pas considérables, d’autant plus qu’ils tendent à s’estomper chez les scripteurs qui maîtrisent mieux le registre savant de la langue, en dépit des préconisations des idéologues musulmans prônant une « islamisation du langage ». De même, la comparaison avec les dynamiques d’islamisation linguistique identifiées par Bausani permet de mesurer le manque de continuité – malgré les apparences – des usages islamiques du français par rapport aux changements qui ont investi d’autres langues à l’époque précoloniale.
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Ntahonkiriye, Melchior. "Alternance de langues et conflit linguistique : analyse des alternances intralexicales produites par les bilingues français-kirundi." Revue québécoise de linguistique 27, no. 1 (April 30, 2009): 89–106. http://dx.doi.org/10.7202/603168ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Dans cette étude, nous mettons en relation les aspects formels des alternances kirundi-français produites par un groupe d’étudiants burundais et les caractéristiques du conflit linguistique. Nous constatons que, à l’instar de la plupart des élites africaines, le groupe observé vit un conflit linguistique qui s’incarne dans la configuration de ces alternances. Ainsi, dans les segments nominaux alternés, le français, langue socialement prestigieuse, fournit systématiquement le pivot (le radical) du lexème alterné, et le kirundi, langue dominée, n’en fournit que des éléments secondaires instables et souvent non pertinents. Orientée vers la description du fonctionnement diglossique, notre approche se démarque des études courantes qui privilégient l’étude des aspects purement linguistiques ou sociaux de l’alternance.
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Demougin, Patrick. "Enseigner le français et la littérature : du linguistique à l’anthropologique." Partie II : La compétence langagière, une compétence culturelle 33, no. 2 (May 1, 2008): 401–14. http://dx.doi.org/10.7202/017884ar.

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Abstract:
Résumé Le présent article se propose d’évaluer l’intérêt et les risques inhérents au passage de perspectives didactiques centrées sur des modèles linguistiques à des approches didactiques fondées sur une dimension anthropologique. Ce mouvement qui fait passer d’un centrage sur le texte-objet ou la langue-objet à une prise en compte du sujet et de ses représentations, engagé depuis vingt ans dans l’enseignement de la langue et de la littérature, en France, met en évidence la question de la culture. Sont envisagés les obstacles à la mise en oeuvre de cette approche en détaillant les aspects didactiques et professionnels qui la freinent. À terme, cet article invite à reconsidérer quelques éléments de formation des enseignants.
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Simbagoye, Athanase, and Aïssatou Sow-Barry. "Bilinguisme scolaire dans l’enseignement du français en Afrique noire francophone : les cas du Burundi et de la Guinée." Articles 23, no. 3 (October 10, 2007): 665–82. http://dx.doi.org/10.7202/031956ar.

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Abstract:
Résumé Cet article traite de la situation du français et de son enseignement au Burundi et en Guinée, deux pays de l'Afrique noire francophone ayant un passé colonial et une politique linguistique différents. L'éducation en langue française s'y adresse à une petite minorité de la population, celle que peut recevoir le système scolaire de ces Etats économiquement pauvres. L'analyse des données officielles concernant l'enseignement du français, langue étrangère et langue d'enseignement, montre qu'en Afrique noire francophone l'enseignement du français est confronté aux difficultés liées au « bilinguisme scolaire », à la rareté des ressources matérielles, au manque de formation des enseignants, à des situations pédagogiques variées et aux réalités sociolinguistiques de ces pays.
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Girard, Philippe R. "Quelle langue parlait Toussaint Louverture ?" Annales. Histoire, Sciences Sociales 68, no. 1 (March 2013): 109–32. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900015547.

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Abstract:
RésuméCet article tente de recréer la langue des révolutionnaires haïtiens, plus particulièrement celle de Toussaint Louverture, à l’aide des témoignages de ses contemporains, des lettres rédigées par d’anciens esclaves et du mémoire qu’il écrivit peu avant sa mort. Une analyse détaillée de ces sources faisant appel à l’histoire et à la linguistique montre que Louverture privilégiait le français à l’écrit, qu’il cantonnait le kreyòl à un rôle oral (surtout quand il s’adressait aux classes laborieuses) et qu’il n’utilisait que très rarement la langue ewe-fon de ses ancêtres aradas. Son mémoire suggère que le kreyòl haïtien, à qui certains linguistes attribuent des origines africaines, fut davantage influencé par des prononciations anciennes, populaires, ou régionales du français. La préférence de Louverture pour le français renforce aussi les thèses qui font de lui un personnage modéré et très influencé par le modèle métropolitain.
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Ledent, Jacques, Marie Mc Andrew, and Gérard Pinsonneault. "Le choix de la langue d’enseignement au cégep chez les élèves issus de l’immigration scolarisés en français au secondaire québécois." Articles, no. 7 (May 19, 2016): 122–41. http://dx.doi.org/10.7202/1036419ar.

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Abstract:
« Les enfants de la loi 101 » réfère généralement aux jeunes issus de l’immigration (1re et 2e générations), quelle que soit leur langue maternelle. Ces jeunes semblent favoriser davantage le français comme langue d’enseignement au cégep que ne le laisse croire la donnée officielle, qui ne porte que sur les allophones. Grâce à la nature longitudinale des données utilisées, nous analysons la variation de leur choix linguistique en fonction de caractéristiques comme la génération, l’origine géographique, la langue maternelle/d’usage et la localisation résidentielle. De plus, nous examinons le maintien ou non au niveau universitaire du choix linguistique au cégep avant d’étudier l’existence de liens possibles entre la persévérance scolaire et le choix de la langue d’enseignement au cégep.
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Bélanger, Alain, and Patrick Sabourin. "De l’interprétation des indicateurs linguistiques du recensement canadien." Cahiers québécois de démographie 42, no. 1 (July 10, 2013): 167–77. http://dx.doi.org/10.7202/1017101ar.

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Abstract:
Au Canada, les comportements et les caractéristiques linguistiques des individus sont documentés au moyen d’une grande diversité de questions d’enquête et de recensement. Paradoxalement, cette abondance unique au monde soulève des questionnements méthodologiques importants. En effet, quel indicateur privilégier pour effectuer un suivi de la situation linguistique ? Est-il légitime de s’intéresser à l’évolution de la langue parlée à la maison, qui relève de sphère privée ? Comment comparer entre eux les divers indicateurs linguistiques ? Dans cette note de recherche, les auteurs tentent de montrer que chacun des indicateurs linguistiques dépeint une facette particulière de la question linguistique. La langue étant un phénomène social complexe et multifactoriel, aucun indicateur unique ne saurait décrire à lui seul l’évolution de la situation linguistique. Une méthode permettant de comparer les indicateurs de langue maternelle, de langue d’usage privé (langue parlée à la maison) et de langue d’usage public (langue de travail) est également proposée. Les résultats montrent que l’immigration a un impact négatif sur le poids du français et que, contrairement à ce qui a été affirmé de nombreuses fois par le passé, c’est la langue d’usage public, et non la langue d’usage privé, qui est la plus affectée.
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Castonguay, Charles. "Le mécanisme du transfert linguistique." Cahiers québécois de démographie 6, no. 3 (October 27, 2008): 137–55. http://dx.doi.org/10.7202/600750ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L’analyse sociolinguistique met en évidence divers cheminements possibles conduisant au transfert d’une langue usuelle à une autre. Les résultats du recensement de 1971 et de quelques autres enquêtes suggèrent en particulier l’existence au Canada français d’un bilinguisme familial et d’un va-et-vient linguistique pouvant s’étaler sur plusieurs générations. Les mêmes sources confirment néanmoins qu’au Québec, cette hésitation linguistique relative ne se solde pas moins par un émiettement du groupe culturel français. Quelques recommandations précises sont formulées quant aux données démolinquistiques à recueillir dans le but de permettre une plus juste appréciation du cheminement à long terme du bilinguisme et des transferts linguistiques, surtout si l’on veut être en mesure d’observer dans l’avenir l’émergence possible d’un bilinguisme stable chez la minorité canadienne-française.
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Guertin, Monelle. "Variation sociophonétique dialectale et stylistique : quelle est la langue cible en français langue seconde à Montréal ?1." Arborescences, no. 7 (August 22, 2018): 67–89. http://dx.doi.org/10.7202/1050969ar.

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Abstract:
La variété de français parlée dans l’Hexagone a été par le passé considérée comme un modèle de « bon français », tandis que la variété québécoise s’est trouvée dépeinte de façon moins prestigieuse. En enseignement des langues secondes, ces opinions ont un impact sur les choix et les perceptions des apprenants envers de la langue cible. Plusieurs chercheurs ont étudié ces perceptions dans une comparaison France–Québec. Cette étude propose de vérifier si la variation stylistique propre à chaque variété dialectale affecte les réactions envers le français de France et celui du Québec de la même manière que les variétés le font, pour des apprenants de français langue seconde à Montréal. Selon la technique du locuteur masqué, les participants ont écouté et réagi à des locutrices natives du français parisien et du français québécois produisant exactement le même contenu linguistique dans deux situations différentes, formelle et informelle. Les résultats montrent que la variation stylistique a eu une importance considérable dans les perceptions et les choix des participants. Parallèlement, les données révèlent un amalgame réalisé entre, d'une part, langue formelle et français européen et, d’autre part, langue informelle et français québécois.
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Galindo, Angelmiro, and Lina María Moreno. "Enseignement du français par la langue-culture franco-québécoise et l'autoscopie." Lenguaje 36, no. 2 (December 20, 2008): 385–405. http://dx.doi.org/10.25100/lenguaje.v36i2.4881.

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Abstract:
Cette recherche, de type pretest-postest, a vérifié l’enseignement du français par la langue-culture franco-québécoise et l’autoscopie pour le 22 étudiants, âgés en moyenne de 22-23 ans, suivant le cours de Français III dans le cadre de la Licenciatura en Langues Modernes à l’Université du Quindio en Colombie. Les résultats ont montré que la compétence culturelle française québécoise et la compétence linguistique et discursive des sujets étaient meilleures au postest qu’au pretest. On a conclu que l’appel à l'autoscopie dans l’enseignement d’une langue étrangère aiderait le sujet à contrôler consciemment la qualité de l’apprentissage de la langue.
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Paillé, Michel. "Faire connaitre la démographie dans les médias : l’exemple de la question linguistique." Articles 45, no. 1 (August 11, 2016): 51–69. http://dx.doi.org/10.7202/1037273ar.

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Abstract:
Cet article reprend sept textes parus dans des quotidiens du Québec traitant de trois domaines largement étudiés par Jacques Henripin : la politique linguistique, la fécondité et l’immigration. L’auteur montre d’abord que la majorité francophone du Québec se diversifie davantage, puis, en comparant avec l’anglais en Ontario, il montre les effets positifs de la politique linguistique sur la langue parlée à la maison et critique l’exploitation indue de l’« indice de vitalité linguistique ». Bien que de plus en plus d’enfants naissent dans des foyers où la mère a fait du français sa langue d’adoption, la pérennité de la majorité francophone n’est pas assurée du fait d’une fécondité toujours trop faible. L’auteur fait également état du trop grand optimisme de certains médias dans leur analyse des projections démographiques. Enfin, cet article rappelle que l’enseignement du français aux immigrants d’âge adulte laisse encore à désirer et montre l’effet domino de l’immigration internationale sur l’étalement de la population francophone en périphérie de Montréal.
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Vajta, Katharina. "Le paysage linguistique du cimetière alsacien : un reflet diachronique et synchronique de la situation sociolinguistique." SHS Web of Conferences 78 (2020): 13001. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207813001.

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Abstract:
Cette étude examine comment les choix linguistiques dans les cimetières alsaciens reflètent la situation sociolinguistique de la région et le changement de langue du germanique (allemand et alsacien) au français. Dans ce paysage linguistique (Landry & Bourhis 1997), les inscriptions des épitaphes ont un rôle fonctionnel puisqu’elles comportent des informations personnelles sur les défunts (nom, dates, etc.), et aussi un rôle symbolique, de par le choix de langue qui pouvait être transgressif. En effet, en Alsace, région ayant basculé plusieurs fois entre France et Alle-magne, le choix du français ou de l’allemand était censé suivre la langue du pouvoir. Mais ceci n’est pas toujours le cas. Ainsi, le choix du français pendant une période allemande pourra indiquer une prise de position identitaire en faveur de la France. Le choix de l’allemand, par contre, peut être considéré comme étant plutôt la conséquence de la tradition germanique de la région. De plus, noms et prénoms sont eux aussi marqués par les appartenances nationales. Aujourd’hui, le déclin des variétés germaniques est reflété par le choix général du français, l’allemand devenant exception.
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Lacoste, Norbert. "Commentaire." III. Perspectives sur l'étude de la structure sociale 3, no. 1-2 (April 12, 2005): 229–31. http://dx.doi.org/10.7202/055130ar.

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Abstract:
Notre étude se propose de démontrer la possibilité d'une description objective de la langue française canadienne en faisant appel au principe socio-culturel, c'est-à-dire en considérant la langue comme un des éléments les plus importants de la culture d'une collectivité en même temps qu'une institution sociale de nature privilégiée. Nous croyons, en d'autres mots, que la description de la langue d'une entité ethnique acquiert valeur de diagnostic de son statut socio-culturel, tandis que, à l'inverse, toute étude linguistique devra tenir compte des facteurs socio-culturels d'un groupe humain dont on se propose de décrire l'organe d'expression et de communication. Afin d'atteindre notre but, nous avons divisé le présent travail en trois sections principales : la première section, traitant des aspects généraux et théoriques de notre sujet, à savoir : la détermination — au point de vue statique — de objet et des tâches de la linguistique en tant que science sociale d'observation. Toujours dans cette première section, nous distinguerons ensuite entre linguistique interne et linguistique externe, la linguistique interne se préoccupant d'études structurelles à divers niveaux et à un titre souvent théorique ; la linguistique externe décrivant les subdivisions et les faces diverses de l'organe linguistique selon la nature de l'association et des contacts entre sujets parlants : proximité, cohésion, influences. C'est un fait admis chez la plupart des linguistes qu'à chaque groupe social correspond un moyen propre d'expression-communication, et inversement. En rapport avec la linguistique externe, nous amorcerons une solution au problème de la caractérisation de notre parler, par l'introduction d'une notion objective de dialecte à laquelle se rattachera l'esquisse d'une théorie des contacts socio-culturels — par exemple, statut minoritaire, voisinage égalitaire, coexistence de plusieurs langues usuelles, rapports de dominant à dominé, etc. — applicable aux états linguistiques du Canada qu'on appelle français. Il s'agit moins de savoir si nous parlons un patois, un dialecte, une langue autonome mais bien un idiome « pluraliste » dont les différentes couches correspondraient à une structure sociale en grande partie modelée par des contacts culturels, économiques (et linguistiques, bien sûr) avec l'anglais. La deuxième section de notre exposé, à la lumière des principes généraux déjà dégagés, présentera en place propre une définition socio-culturelle du parler canadien-français. C'est ainsi qu'on abordera le problème du « joual » à la fois comme mythe et comme symptôme de notre statut socioculturel. Un bref rappel des origines situera le problème au point de vue diachronique. La troisième section, enfin, montrera les efforts de description objective de notre langue déjà accomplis dans une perspective sociologique et ethnologique. En conclusion de cette dernière section, nous essaierons de montrer quelques-unes des tâches qui incombent au socio-linguiste dans le domaine de la description de l'idiome canadien-français. Le premier résultat à escompter d'une description socio-culturelle de notre organe de communication-expression serait de monter à l'assaut des préjugés traditionnels d'un subjectivisme béat consistant à confondre la langue avec l'idée qu'on se fait du peuple qui la parle ou, qui pis est, l'idée qu'on voudrait lui imposer de ce qu'il est ou devrait être. En somme, la linguistique sociologique, en « dépassionnant » le débat de la langue chez nous, et tout en l'éloignant des querelles grammaticales et puristes, nous semble détenir la clé de la solution au problème de ce que nous appellerons de façon provisoire « le parler canadien-français ». Les quelques considérations qui suivent poseront et délimiteront le problème qui nous préoccupe tous à des titres divers.
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Itçaina1, Xabier. "Entre incomplétude institutionnelle et mobilisation sociale : le cas de la langue basque en France." Articles 36, no. 3 (November 29, 2017): 47–72. http://dx.doi.org/10.7202/1042235ar.

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Abstract:
Le Pays basque de France est classiquement présenté comme un cas d’institutionnalisation faible de l’identité basque au regard de ses voisins du Sud. Néanmoins, le changement de gouvernance qu’a expérimenté ce territoire depuis les années 1990 a initié un processus d’institutionnalisation d’une politique publique de la langue et de la culture basques. L’apparente immuabilité du régime linguistique français n’a pas empêché les arrangements institutionnels locaux. Le mouvement social linguistique a travaillé à la complétude institutionnelle des bascophones d’abord par le biais de l’auto-organisation puis en plaçant l’enjeu linguistique sur l’agenda des politiques publiques territoriales. Le changement institutionnel de type incrémental ou graduel qui s’est produit a abouti à un régime linguistique intermédiaire sur ce territoire. La communauté bascophone continue cependant d’être dans une situation d’incomplétude institutionnelle porteuse d’incertitudes pour l’avenir de la langue.
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Maheux-Pelletier, Geneviève. "Cacophonie linguistique dans l’espace francophone montréalais, ou comment redéfinir la francophonie québécoise." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 1, no. 2 (September 9, 2009): 34–57. http://dx.doi.org/10.29173/af6616.

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Abstract:
Cet article s’interroge sur la définition de la francophonie québécoise à partir de l’analyse de données empiriques recueillies dans une entreprise d’insertion pour immigrants à Montréal. Il vise à mettre en contraste le discours sur la langue de travail tel qu’il est articulé par le personnel administratif de cette entreprise et les choix langagiers des immigrants en formation dans ce même centre. Ces choix, ainsi que les discours qui s’y rapportent, ont été documentés à l’aide de transcriptions de plus de vingt-quatre heures de conversations spontanées enregistrées sur magnétophone, de dix heures d’observation participante et de quatre heures d’entrevues avec les membres du personnel. L’analyse porte particulièrement sur les choix linguistiques de ces immigrants. La présence de deux groupes linguistiques dominants leur permet de communiquer dans leur langue maternelle et d’ériger des barrières linguistiques assez étanches laissant peu de place à la communication intergroupe. Plusieurs éléments d’explication seront proposés. D’abord, la compétence approximative dans les langues officielles oblige les allophones à recourir à leur langue maternelle, même si cette pratique n’a pas que des répercussions positives. S’il est vrai que l’usage de la langue maternelle permet de maintenir les liens qui existent dans la communauté linguistique d’appartenance, elle rend l’intégration dans le milieu de travail, de l’aveu même des immigrants, plus difficile. Des raisons systémiques rendent compte de cette pratique. D’abord, le domaine d’emploi dont il est question ici ne valorise pas l’usage du français. De plus, le centre de formation s’efforce de maintenir une image francophone qui nuit aux stagiaires, car si en surface le français est la langue véhiculaire, la réalité requiert une stratégie d’intégration globale incluant l’apprentissage adéquat du français. En conséquence, le français n’est que peu accessible pour ces allophones et ne comporte pas suffisamment d’avantages pour qu’il devienne le choix normal et habituel au travail. Bref, les prérogatives économiques, c’est-à-dire la formation d’une main-d’œuvre manufacturière, sont priorisées au détriment de l’intégration linguistique.
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Gauvin, Karine. "L'impact des mots du vocabulaire maritime sur l'environnement linguistique global du français acadien : l'exemple de haler." Revue de l'Université de Moncton 37, no. 2 (June 1, 2007): 21–37. http://dx.doi.org/10.7202/015837ar.

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Abstract:
Les études portant sur le français en Acadie et au Québec ont largement fait état de la présence, dans ces parlers, de mots du vocabulaire maritime ayant connu des extensions de sens. Ces mots se sont intégrés à la langue en formant, de façon tout à fait naturelle avec les autres mots, des réseaux lexicaux originaux par rapport à ceux du français de référence. L'étude du verbe haler en français acadien permet d'illustrer ce phénomène, puisque la présence de cette particularité lexicale a un impact sur l'environnement linguistique global du français acadien. Les extensions sémantiques des mots du vocabulaire maritime entrent en relation avec les mots du français de référence, ce qui a une incidence sur le choix des mots français et leur distribution paradigmatique. Une présentation des divers emplois du verbe d'origine maritime haler 'tirer' précédera une étude de son comportement fonctionnel dans la langue.
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Violette, Isabelle. "L’immigration francophone en Acadie : langue, nation et minorité." Articles, no. 4 (May 1, 2014): 126–53. http://dx.doi.org/10.7202/1024695ar.

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Abstract:
Cet article fait ressortir les tensions qui découlent des liens entre langue et nationalisme en regard des politiques d’immigration et des parcours migratoires francophones en Acadie du Nouveau-Brunswick. Il est montré que le milieu associatif militant légitime l’immigration en puisant dans une idéologie modernisante de la nation qui fait du français le marqueur collectif central. À partir de récits d’immigrants francophones, je relève toutefois deux contradictions sous-jacentes à ce nationalisme linguistique : d’une part, le partage d’une même langue ne suppose pas nécessairement un engagement envers la « cause » linguistique ; d’autre part, des éléments de légitimité et de solidarité autres que la langue ont aussi une influence en matière d’inclusion dans l’acadianité.
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Arvidsson, Klara, Fanny Forsberg Lundell, and Inge Bartning. "Réseaux sociaux et développement linguistique." Language, Interaction and Acquisition 10, no. 2 (November 4, 2019): 255–88. http://dx.doi.org/10.1075/lia.19004.arv.

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Abstract:
Résumé Cette étude longitudinale contribue aux recherches sur l’acquisition d’une langue seconde (L2) dans le contexte de séjour linguistique à l'étranger (Study Abroad), où l’on s’intéresse de plus en plus à comprendre comment les facteurs non-linguistiques interagissent avec le développement linguistique. Elle étudie le rôle de la nature du réseau social (au sens sociologique) de l’apprenant dans le développement de la production orale en français L2 chez deux étudiants suédois qui passent un semestre en France et dont les niveaux d’intégration dans la communauté de la langue cible (LC) s’opposent. L’analyse suggère qu’un réseau social plus riche en relations en LC confère un avantage supplémentaire en ce qui concerne le développement du répertoire des expressions polylexicales (EPL) de l’apprenant, mais non pas le développement de l’exactitude grammaticale, de la diversité lexicale et de l’usage des marqueurs discursifs. Ainsi, l’étude vient partiellement à l’appui de la supposition que le réseau social de l’apprenant explique la variation individuelle dans le développement linguistique.
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Abdulbaqi, Ibrahim Khaleel. "Comment aborder les sujets tabous en classe de langue : le cas du département de français de l’Université Salahaddin à Erbil en Irak." ACTA UNIVERSITATIS LODZIENSIS. FOLIA LITTERARIA ROMANICA, no. 12 (May 22, 2017): 303–9. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.12.26.

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Abstract:
Le tabou linguistique est considéré comme un des obstacles que l’on peut rencontrer lors de l’enseignement de la langue étrangère notamment dans un pays multiculturel comme l’Irak. Dans cet article, nous jetons la lumière sur les expressions linguistiques et les faits sociolinguistiques jugés tabous par les étudiants du département de français d’Erbil. De même, nous montrons les types de sujets tabous ainsi que les cours dans lesquels ils apparaissent. Nous expliquons également les stratégies menées par les enseignants pour ne pas gêner leurs étudiants. Nous proposons à la fin quelques solutions pratiques pour aborder le tabou linguistique en classe de langue.
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Gervais, Katie Lynn, and Chantal Mayer-Crittenden. "L’impact de l’exposition bilingue sur l’acquisition du vocabulaire dans un contexte francophone minoritaire." Diversity of Research in Health Journal 2 (August 8, 2018): 1–29. http://dx.doi.org/10.28984/drhj.v2i0.222.

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Abstract:
L’objet de cette étude était d’examiner la relation entre le montant d’exposition à deux langues et l’acquisition du vocabulaire dans ces langues chez des enfants bilingues en situation linguistique minoritaire francophone. Les données utilisées proviennent d’une étude longitudinale par Auteur (en préparation). Soixante enfants à développement typique âgés de cinq et six ans ont participé à l’étude. Ces participants ont été divisés en deux groupes : enfants franco-dominants (FD) et enfants anglo-dominants (AD). Tous les participants ont été soumis à des tests mesurant le vocabulaire réceptif et expressif, et ce, en français et en anglais. Les scores obtenus ont été comparés à des normes monolingues régionales obtenues auprès d’enfants ayant le même statut linguistique(Auteur, 2014), le cas échéant, ou aux normes monolingues publiées. D’une part, les résultats ont montré que lesenfants FD réussissent moins bien que les enfants franco-ontariens monolingues sur les tests de vocabulaire réceptif en français. Pour le test de vocabulaire expressif en français, les enfants FD ont réussi moins bien que la norme publiée. D’autre part, il n’y avait pas de différence significative entre les enfants AD et les monolingues anglophones sur les tests de vocabulaire réceptif et expressif en anglais.Alors, il semble que lorsque la langue dominante de l’enfant est une langue minoritaire, l’acquisition du vocabulaire dans cette langue est moindre. Au contraire, lorsque la langue dominante de l’enfant est une langue majoritaire, il semble que le vocabulaire dans cette langue soit plus grand parce qu’il y est plus exposé.
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Paillé, Michel. "Quelques caractéristiques démolinguistiques des Québécois de langue maternelle grecque." Colloque : Communications libres 10, no. 2 (October 27, 2008): 307–38. http://dx.doi.org/10.7202/600856ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Implantée depuis la première décennie du XXe siècle, la communauté grecque du Québec s’est accrue en deux périodes, d’abord avant la crise économique des années trente et ensuite durant les vingt-cinq années qui ont suivi la Deuxième Guerre mondiale. L’évolution des effectifs selon l’origine ethnique et la langue maternelle révèle des différences entre le Québec et l’ensemble du Canada. La pyramide des âges des Québécois de langue maternelle grecque montre - avec plus d’évidence que chez les Italo-québécois - les caractéristiques typiques d’une population fortement marquée par les migrations. L’hypothèse selon laquelle les Hellénophones sont très attachés à leur langue maternelle est vérifiée, car au recensement de 1971, une faible proportion d’Hellénophones avait effectué un transfert linguistique principalement en faveur de l’anglais. Même chez les jeunes, le français n’exerçait alors qu’une faible influence de telle sorte que l’attrait respectif des deux principales langues était inversement proportionnel au poids démographique du français et de l’anglais. La connaissance de l’anglais seulement était très forte chez les Québécois de langue maternelle grecque et augmentait à mesure que l’on descend dans la pyramide des âges. La connaissance du français n’atteignait pas les 20 % même en comptant les bilingues. Un aperçu de la situation linguistique dans les foyers est donné en faisant usage d’un échantillon de familles de religion grecque orthodoxe.
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Castonguay, Charles, and Calvin Veltman. "L'orientation linguistique des mariages mixtes dans la région de Montréal." Articles 21, no. 3 (April 12, 2005): 225–51. http://dx.doi.org/10.7202/055891ar.

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Abstract:
Le recensement de 1971 recèle de nombreux renseignements sur les phénomènes d'exogamie et de transfert linguistiques à Montréal. Par exemple, l'anglais domine comme langue d'usage dans les foyers mixtes au point de faire concurrence au français même dans les mariages entre le groupe français et le tiers groupe linguistique. Aussi, la dominance masculine dans les accommodements linguistiques déjà avancée par Carisse se trouve renversée, la rétention linguistique supérieure de la femme exogame paraissant découler de sa position prépondérante au foyer. Un indice de propension à l'exogamie ajusté selon la taille des groupes en présence montre le groupe anglais plus enclin aux mariages mixtes, suivi du groupe français et enfin du tiers groupe montréalais. Certaines ventilations permettent de préciser ces observations de base. On constate notamment que les conjoints exogames de langue maternelle anglaise qui se francisent sont souvent déjà d'origine française: leurs transferts de retour font ainsi figure de contre-courant d'importance secondaire dans le sillage du mouvement dominant vers l'anglais. De même, une inclination certaine à la rétroexogamie éclaire la propension plus forte du groupe anglais à l'exogamie, du fait de son hétérogénéité ethnique supérieure. La propension aux mariages anglais-français diminue à mesure que s'accroît le statut socio-économique du mari, alors que dans tous les types de foyers mixtes la tendance au comportement anglophone augmente sensiblement suivant le statut social.
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Duchemin, Marie. "Les représentations associées aux français nationaux, aux espaces géographiques et aux locuteurs dans les manuels de français langue étrangère et de français langue seconde : étude comparée entre la France et le Québec." Canadian Journal of Applied Linguistics 20, no. 2 (December 5, 2017): 51–70. http://dx.doi.org/10.7202/1042676ar.

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Abstract:
Avec l’importance grandissante accordée au développement de la compétence de communication et tout particulièrement à la compétence sociolinguistique en classe de langues, les manuels de français langue seconde ou étrangère s’intéressent désormais à la pluralité de la langue, notamment en présentant différents variétés et usages sociolinguistiques qui se font entendre, adaptant ainsi le contenu aux échanges dans l’espace francophone. Toutefois, le traitement des français nationaux et de leurs locuteurs entre souvent en conflit avec l’enseignement d’une langue de scolarisation se voulant uniforme. Cette étude, qui s’inspirait de la linguistique de discours comparative, proposait d’examiner, par l’intermédiaire d’un corpus de 10 manuels destinés à un public adolescent et adulte, les représentations associées aux français nationaux, aux territoires géographiques et aux locuteurs dans des manuels français et québécois. Les résultats ont démontré que les représentations associées aux français nationaux variaient grandement en fonction du lieu d’édition des manuels. Les manuels québécois présentaient une seule variété, dont les traits informels étaient mis en évidence tandis que les manuels français, présentant plusieurs français nationaux, utilisaient la variété française comme point de référence pour la comparaison.
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Castonguay, Charles. "Évolution de l'assimilation linguistique au Québec et au Canada entre 1971 et 1991." Recherche 38, no. 3 (April 12, 2005): 469–90. http://dx.doi.org/10.7202/057150ar.

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Abstract:
À la lumière du lien entre l'assimilation linguistique et la crise de l'unité canadienne, nous examinons, au moyen des données de recensements, les tendances de l'assimilation des allophones au Québec et des minorités francophones dans les autres provinces. Il en ressort une francisation relative des immigrants récents au Québec, attribuable à une immigration accrue en provenance de pays de langue latine ou de la francophonie et, dans une moindre mesure, à la scolarisation obligatoire en français prévue par les lois 22 et 101. En revanche, l'anglicisation est plus forte qu'en 1971 parmi les immigrés établis depuis plus longtemps et les allophones nés au Québec. Ailleurs au Canada, l'anglicisation des francophones est partout à la hausse sauf, peut-être, au Nouveau-Brunswick. Les tendances défavorables au français appellent une révision majeure de la politique canadienne en ce qui concerne la langue, la culture et la nationalité du Canada français.
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LeBlanc, Matthieu. "Le français, langue minoritaire, en milieu de travail : des représentations linguistiques à l’insécurité linguistique." Nouvelles perspectives en sciences sociales 6, no. 1 (February 8, 2011): 17–63. http://dx.doi.org/10.7202/1000482ar.

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Abstract:
Le présent article fait état de résultats partiels d’une étude ethnosociolinguistique menée dans un milieu de travail bilingue (anglais-français) au Nouveau-Brunswick. Nous nous penchons notamment sur les représentations qu’entretiennent les locuteurs de la langue minoritaire, les francophones, à l’égard de leur langue et de celle des autres, l’objectif étant de voir en quoi les représentations sont intimement liées aux pratiques langagières et, dans le cas à l’étude, à l’insécurité linguistique. Ces questions permettent de mieux comprendre ce que veut dire être « minoritaire » en milieu de travail et, surtout, pourquoi il importe de tenir compte de la dimension symbolique de la langue dans l’analyse des situations sociolinguistiques.
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Lemire, Gilles, and Paul Pierre. "Vers une définition des besoins de perfectionnement des enseignants de français des niveaux élémentaire et secondaire." Revue des sciences de l'éducation 3, no. 1 (October 2, 2009): 5–24. http://dx.doi.org/10.7202/900033ar.

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Abstract:
Compte rendu partiel des résultats d’une enquête auprès de professeurs de français, langue maternelle, afin de définir d’une façon objective : Nous retrouverons, dans l’article, la description du questionnaire et de l’échantillon, puis des résultats éclairant le point 1 et le point 4. Le tableau 1 indique la répartition des informateurs et le tableau 2, la représentativité de l’échantillon. Les figures 1-2-3 permettent d’évaluer globalement la compétence linguistique des enseignants (sens large : toutes les connaissances acquises dans tous les domaines où la langue joue un rôle essentiel). Les figures 4, 5 et 6 s’arrêtent sur le type de formation désirée par les enseignants. Il y a une différence d’orientation selon qu’il s’agit d’informateurs de l’élémentaire qui, en plus d’une formation générale, désirent que l’on mette l’accent sur l’enseignement de la didactique, alors que ceux du secondaire veulent une formation axée sur la linguistique ou sur la langue et la littérature. Les tableaux 3, 4, 5, 6 et 7 indiquent quelles sont les disciplines dans lesquelles ils souhaitent se perfectionner. Elles sont regroupées selon qu’elles développent la compétence linguistique ou la formation professionnelle. On retrouve la répartition des enseignants dans ces ensembles selon qu’ils sont du niveau élémentaire ou secondaire.
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Bigirimana, Jean Baptiste. "Langue et droit." Language Problems and Language Planning 32, no. 1 (April 7, 2008): 23–46. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.32.1.03big.

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Abstract:
Langue issue de la colonisation, le français s’est imposé depuis un siècle et a fini par occuper une position de domination par rapport au kirundi et aux autres langues en présence au Burundi. Après avoir supplanté le kirundi comme langue du droit, il demeure de facto langue de l’administration et bien d’autres domaines clés concernant la vie d’un Burundi pourtant monolingue lato sensu, et malgré la restriction, voire l’abandon de son statut officiel intervenu depuis les constitutions de 1993 et de 2005. Par souci de respect des lois nationales et des instruments juridiques internationaux, mais aussi dans la foulée de l’universalisation des droits de l’homme, une certaine revendication du droit à la langue maternelle semble émerger, se fondant sur le rôle prépondérant joué par cette dernière dans un réel et durable développement. Cette préoccupation ne va pas sans soulever une évidente contradiction interne aux visées d’une francophonie soucieuse de s’assurer, en principe, du respect à l’égard des langues locales d’Afrique ou d’ailleurs érigées en partenaires, mais que, en pratique, la situation réelle au quotidien, due en l’occurrence à la diglossie kirundi-français pour le cas du Burundi, minimise par le poids culturel et l’aura du français, toujours perçu comme vestige colonial. Il s’ensuit une sorte d’hybridation à la fois linguistique et sociétale, comme une dimension importante dans la reconfiguration du Burundi post-colonial, et que la gestion du multilinguisme, voire de ses implications politiques, doit dorénavant prendre en compte.
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Petitjean, Cécile. "Representations linguistiques et accents regionaux du français." Journal of Language Contact 1, no. 2 (2008): 29–51. http://dx.doi.org/10.1163/000000008792512574.

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Abstract:
AbstractL'étude des représentations linguistiques (RL) constitue aujourd'hui un regard indispensable sur la dynamique des langues. Parce qu'elles portent sur la langue de la communauté d'appartenance, mais également sur celles des groupes extérieurs à cette communauté, les RL sont simultanément actrices et révélatrices des contacts entre langues et entre communautés linguistiques. Nous nous intéresserons ici à la question des français régionaux, et plus spécifiquement aux habitudes articulatoires inhérentes à ces derniers. Ce faisant, il s'agira d'observer la manière dont les locuteurs gèrent conjointement la diversité et la confrontation des pratiques linguistiques. L'observation et l'analyse d'un corpus constitué d'entretiens réalisés avec des locuteurs marseillais nous permettront d'éclairer les stratégies définies par les locuteurs afin de co-construire les connaissances communes leur permettant d'appréhender l'hétérogénéité de leur paysage linguistique et de partager, in fine, une même réalité linguistique. L'appréhension de l'altérité sociale et linguistique, ainsi que la considération des enjeux identitaires en découlant, reposeront sur une approche des processus linguistiques impliqués dans la co-construction des RL dans le champ discursif.
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Paillé, Michel. "Succès et faiblesses de l’intégration des immigrants par la scolarisation obligatoire en français au Québec." Language Problems and Language Planning 43, no. 2 (July 22, 2019): 135–58. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.00039.pai.

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Abstract:
Résumé Centré sur la langue d’enseignement, ce bilan de la Charte de la langue française (loi 101) fait état de la connaissance, de l’apprentissage et de l’usage du français. Il montre que cette loi s’est avérée très efficace pour conduire les enfants des immigrants dans les écoles françaises plutôt que dans celles du réseau scolaire anglophone. Malgré cette réussite, illustrée par des comparaisons avec l’Ontario, l’anglais exerce encore une forte attraction. C’est le cas notamment des jeunes qui, entreprenant des études collégiales, profitent d’une pleine liberté pour poursuivre leurs études en anglais. L’auteur aborde également la politique de sélection d’immigrants francophones, ainsi que le programme de francisation des immigrants ne connaissant pas le français. Absentes de la loi 101, ces importantes mesures sont les éléments les plus faibles de la politique linguistique québécoise. Enfin, l’auteur constate que l’apprentissage de l’anglais chez les francophones s’est poursuivi comme prévu, mais note que de nombreux francophones bilingues s’expriment spontanément en anglais devant des personnes sachant pourtant parler français. Inspiré par Max Weber, l’auteur conclut que « l’honneur linguistique » n’est pas encore au rendez-vous.
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Jean-Pierre, Johanne. "Le rêve inachevé d’étudier et de socialiser en français en toute sécurité linguistique : les perspectives d’étudiants franco-ontariens." Articles 47, no. 3 (December 20, 2017): 120–35. http://dx.doi.org/10.7202/1043241ar.

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Abstract:
Suivant une démarche interprétative, cet article examine les perspectives d’étudiants franco-ontariens rapportées lors d’une étude qualitative exploratoire. Des entretiens semi-structurés séquentiels menés en profondeur ont été effectués à Ottawa et à Toronto entre janvier et juin 2014 auprès de 18 étudiants franco-ontariens. Les résultats indiquent que les participants franco-ontariens qui fréquentent des établissements postsecondaires à vocation bilingue souhaitent à la fois une amélioration de l’accès aux études en français et de la qualité de la langue d’instruction ainsi que de meilleures possibilités de socialiser en français. Les participants qui fréquentent des établissements à vocation française ont affirmé être satisfaits de leur expérience d’apprentissage, tandis que ceux inscrits dans des établissements à vocation anglaise ont déploré un sentiment d’isolement linguistique. De plus, le manque d’occasions pour socialiser en français et inclure des réalités franco-ontariennes dans les curriculums, ainsi que les incidents d’intimidation linguistique alimentent l’insécurité linguistique.
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Jean-Pierre, Johanne. "Le rêve inachevé d’étudier et de socialiser en français en toute sécurité linguistique : les perspectives d’étudiants franco-ontariens." Canadian Journal of Higher Education 47, no. 3 (December 20, 2017): 120–35. http://dx.doi.org/10.47678/cjhe.v47i3.188062.

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Abstract:
Suivant une démarche interprétative, cet article examine les perspectives d’étudiants franco-ontariens rapportées lors d’une étude qualitative exploratoire. Des entretiens semi-structurés séquentiels menés en profondeur ont été effectués à Ottawa et à Toronto entre janvier et juin 2014 auprès de 18 étudiants franco-ontariens. Les résultats indiquent que les participants franco-ontariens qui fréquentent des établissements postsecondaires à vocation bilingue souhaitent à la fois une amélioration de l’accès aux études en français et de la qualité de la langue d’instruction ainsi que de meilleures possibilités de socialiser en français. Les participants qui fréquentent des établissements à vocation française ont affirmé être satisfaits de leur expérience d’apprentissage, tandis que ceux inscrits dans des établissements à vocation anglaise ont déploré un sentiment d’isolement linguistique. De plus, le manque d’occasions pour socialiser en français et inclure des réalités franco-ontariennes dans les curriculums, ainsi que les incidents d’intimidation linguistique alimentent l’insécurité linguistique.
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Azra, Jean-Luc, and Veronique Cheneau. "Jeux de langage et théorie phonologique. Verlan et structure syllabique du français." Journal of French Language Studies 4, no. 2 (September 1994): 147–70. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269500002209.

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Abstract:
AbstractLes jeux de langage, en tant que manifestations de la langue, peuvent constructivement participer à la réflexion linguistique. Ce sont non seulement des instruments de validation d'hypothèses émises sur la langue source, mais aussi des outils permettant de mettre à jour des phénomènes phonologiques non visibles en dehors des manipulations qu'ils occasionnent.Ainsi, l'étude phonologique que nous avons menée sur le verlan nous a conduits à appuyer certaines hypothèses phonologiques sur le français, concernant en particulier la constituance syllabique, et à attirer l'attention sur d'autres aspects plus originaux.
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Beauchemin, Claire. "La formation des maîtres de français en Ontario." Revue des sciences de l'éducation 10, no. 3 (November 27, 2009): 429–45. http://dx.doi.org/10.7202/900462ar.

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Abstract:
Utilisant le concept de besoin en éducation proposé par R. Kaufman, nous avons tenté d’évaluer les besoins de formation des enseignants se destinant à l’enseignement du français, langue maternelle, au cycle secondaire intermédiaire en Ontario. Notre enquête nous porte à conclure qu’au cours de l’année de formation on doit d’abord privilégier les éléments d’ordre linguistique et culturel, notamment la conscientisation de l’étudiant-maître envers le fait francophone en Ontario.
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Xypas, Rosiane. "Le rapport à la langue française de Brina Svit Dans Moreno (2003) et Petit Éloge de la Rupture (2009)." Diálogo das Letras 7, no. 1 (June 5, 2018): 4–20. http://dx.doi.org/10.22297/dl.v7i1.2949.

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Abstract:
Dans le cadre de l’enseignement du Français Langue Étrangère à l’université, il nous a paru que l’étude de biographies langagières d’auteurs francophones ayant appris le français à l’âge adulte, constitue un puissant encouragement pour les apprenants de FLE et leur permet de se pencher sur leur propre parcours linguistico-culturel en découvrant comment s’est forgée l’identité langagière d’auteurs bilingues riches d’une double culture, l’une héritée avec leur langue maternelle, l’autre construite avec la langue de leur choix, le français. L’objectif de cet article est de susciter auprès des étudiants de FLE une métaréflexion sur leur propre parcours langagier entre le portugais et le français, ainsi qu’à prendre conscience que leur propre identité linguistique bilingue se construit jour après jour pendant leurs études et que cette construction continuera, à condition qu’ils le veuillent, au-delà de l’université. Parmi les auteurs francophones, nous avons choisi de présenter ici Brina Svit, auteur d’expression française d’origine slovène, pour la clarté de sa réflexion métalinguistique dans deux de ses récits : Moreno (2003) et Petit éloge de la rupture (2009). Elle y explique son rapport à la langue française : ce qui l’a conduite à délaisser sa langue maternelle pour écrire en français ? Par quels chemins y est-elle arrivée ? En effet, pour Brina Svit, le choix de langue relève, d’une part, d’une certaine attirance, du goût et du défi pour la langue française, et, d’autre part, d’une rupture avec sa langue maternelle. Enfin, ce choix construit la nouvelle identité de l’auteure enrichie d’une double langue-culture.
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Lundquist, Lita. "Approche procédurale de la lecture : Catégories flottantes et unités élastiques." Semiotica 2018, no. 223 (July 26, 2018): 141–52. http://dx.doi.org/10.1515/sem-2017-0022.

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Abstract:
Résumé L’article vise trois objectifs différents, mais intégrés : le français langue étrangère, la lecture et les textes spécialisés, trois objectifs qui nous situent au cœur de la linguistique textuelle contrastive, avec des excursions dans la linguistique cognitive et ses réflexions sur le rôle de différents types de savoir : savoir sur la langue, sur le texte et sur le monde. Dans la perspective procédurale de la lecture, nous considérons les catégories textuelles : discours, genre et type de texte comme des déclencheurs d’attentes « descendants », et les unités linguistiques, à déterminer par leur forme, fonction et frontières, comme des déclencheurs « ascendants » du traitement « en ligne » du matériau linguistique arrivant. Nous illustrerons comment ces deux procédures, descendante et ascendante, se combinent dans une « lecture raisonnée », de prédiction-identification-vérification-(correction), où catégories textuelles et unités linguistiques se concrétisent et se déterminent en cours de route, tout selon le savoir linguistique, textuel et du monde, du lecteur.
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Ballarín Rosell, María. "Les interférences de l’arabe dans le français parlé par les femmes maghrébines résidant en région parisienne." Anaquel de Estudios Árabes 32 (May 25, 2021): 35–52. http://dx.doi.org/10.5209/anqe.71476.

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Abstract:
Les flux migratoires entraînent un contact étroit entre la langue première de l’immigré et celle du pays d’accueil. Ce contact donne lieu à des interférences entre les deux langues, qui se manifestent souvent par l’apparition de traces de la langue première du migrant dans son discours en langue d’accueil. Le présent article propose une analyse des interférences de l’arabe repérées dans le discours de 8 femmes d’origine maghrébine qui habitent à Paris ou dans ses alentours, de même qu’une brève analyse du rapport entre ces interférences et le sentiment d’insécurité linguistique.
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Diouf, Ibrahima, Cheikh Tidiane Ndiaye, and Ndèye Binta Dieme. "Dynamique et transmission linguistique au Sénégal au cours des 25 dernières années1." Articles 46, no. 2 (November 23, 2018): 197–217. http://dx.doi.org/10.7202/1054052ar.

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Abstract:
Véhicule de connaissances traditionnelles, les langues autochtones au Sénégal subissent aujourd’hui l’effet combiné des nouvelles configurations familiales et des dynamiques migratoires. Dans l’administration publique et l’enseignement, le français s’est imposé. Partant des quatre derniers recensements généraux de population, cette étude présente l’évolution des caractéristiques démo-linguistiques de la population du Sénégal. L’accent est mis sur une analyse dynamique de la langue maternelle, les questions de transfert ou de substitution au profit d’une langue d’usage et la place du français dans l’univers linguistique national. Ces préoccupations rejoignent la question lancinante de l’introduction des langues africaines à l’école qui constitue encore le noeud gordien du système éducatif sénégalais. Comment évoluent les langues maternelles au Sénégal ? Dans quelles zones ou aires géographiques les enfants perdent-ils la pratique des langues familiales ? Répondre à toutes ces questions nous permettra de dresser l’architecture linguistique qui mettra en valeur, non seulement les langues locales, mais également les parlers nationaux qui faciliteront leur intégration dans le système éducatif.
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