Academic literature on the topic 'Français (langue) – Grammaire – Terminologie'
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Journal articles on the topic "Français (langue) – Grammaire – Terminologie"
Bechraoui, Mohamed-Fadhel. "Une traduction arabe de la grammaire de Lhomond (1857)." Historiographia Linguistica 28, no. 3 (December 31, 2001): 365–400. http://dx.doi.org/10.1075/hl.28.3.04bec.
Full textGAUCHER, DAMIEN. "Sémantique temporelle et accord du participe passé en français parlé: une analyse variationniste." Journal of French Language Studies 25, no. 1 (January 17, 2014): 65–83. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269513000458.
Full textSmuk, Maciej. "Représentations envers les difficultés de la grammaire française – cas de futurs philologues polonais." SHS Web of Conferences 46 (2018): 13004. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184613004.
Full textSchlamberger Brezar, Mojca. "La phrase emhatique et ses équivalents en Slovene." Journal for Foreign Languages 7, no. 1 (December 30, 2015): 155–65. http://dx.doi.org/10.4312/vestnik.7.155-165.
Full textHonová, Zuzana, and Jan Lazar. "La variation diatopique du français contemporain et son enseignement en milieu universitaire tchèque : le cas du français québécois." Journal for Foreign Languages 11, no. 1 (December 30, 2019): 217–28. http://dx.doi.org/10.4312/vestnik.11.217-228.
Full textVivès, Robert. "Lexique-grammaire et didactique du français langue étrangère." Langue française 68, no. 1 (1985): 48–65. http://dx.doi.org/10.3406/lfr.1985.6354.
Full textGianninoto, Mariarosaria. "LeTraitéchinois des particules et des principaux termes de grammaire : un exemple de traduction et d’adaptation de la terminologie linguistique chinoise." Histoire Epistémologie Langage 41, no. 1 (2019): 97–113. http://dx.doi.org/10.1051/hel/2019003.
Full textZRIBI-HERTZ, ANNE. "Pour un modèle diglossique de description du français: quelques implications théoriques, didactiques et méthodologiques." Journal of French Language Studies 21, no. 2 (September 29, 2010): 231–56. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269510000323.
Full textLEE, Hyunjoo. "La prise en compte de la terminologie comme langue de travail pour l’apprentissage du français langue étrangère - Autour de la terminologie médicale en français -." Societe Coreenne d'Enseignement de Langue et Litterature Francaises 67 (December 31, 2019): 135–63. http://dx.doi.org/10.36747/ellf.2019.12.67.135.
Full textFougerouse, Marie-Christine. "L'enseignement de la grammaire en classe de français langue étrangère." Éla. Études de linguistique appliquée 122, no. 2 (2001): 165. http://dx.doi.org/10.3917/ela.122.0165.
Full textDissertations / Theses on the topic "Français (langue) – Grammaire – Terminologie"
Mosca, Alessandra. "Terminologie grammaticale comparative et historique du français et de l'italien : Autour de l'adjectif." Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070007.
Full textThis work investigates the field of the grammatical terminology by comparing two terminological systems : the french one and the italian one. Our analysis is based on a double hypothesis: on one side, we think that the grammatical term is connected to the linguistic item that it designes; on the other side, the term may depend on an ideological choice which can be independent from the language system. We corroborate our hypothesis by a comparative and historical approach. The analysis of the terms determinants/articoli and aggettivi determnativi are supposed to show the connexion between terminology and language systems, while the opposition between attribut and attributo, which are false friends, should be taken as an example of the influence exerced by the ideological context on terminological choices. We consider grammars written between the beginning of the sixteenth century and 1910, when the first official terminologie grammaticale of french appeared
Dupas, Chantal. "Perception et langage : étude linguistique du fonctionnement des verbes de perception auditive et visuelle en anglais et en français." Bordeaux 3, 1995. http://www.theses.fr/1995BOR30014.
Full textThe analysis of the verbs of perception (see hear) requires establishing a relationship between the functioning of the verb and the perceptive experience. An oscillatory model lays stress upon a movement between different functionings reflecting the subject's attitude (simply receptive or on the contrary active): - localizing function: in aoristic utterances the process has an inchoative value, the subject is the site of the event (this precludes any cause and effect relationship), he is non agentive, the predicative relation is object-oriented (x is visible to y), there is no preconstruction and no prospective operation. Qnt qlt cannot be dissociated. - agentive function: in negative , interrogative or performative utterances or in utterances with modals like can (possibility or capacity), with aspectual values (be-ing), the subject acts upon the object or another subject (interagentivity). The predicative relation is then subject-oriented. The properties of the localizing verb are destabilized. Hyper-agentive function: semantic analysis. A study of perceptive illusions. This approach invalidates the classical dichotomy between the verbs of involuntary and voluntary perception
Bena, Jonas Makamina. "Contribution à l'étude de la terminologie grammaticale: la nomenclature des formes verbales." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2003. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/211229.
Full textLa terminologie grammaticale – fixée par un long usage, par la tradition – est peu satisfaisante. Elle correspond à des vues qui sont pour une grande part étrangères au véritable mécanisme de la langue, ignoré de ceux qui ont établi cette terminologie, devenue celle de l’enseignement. A quoi il faut ajouter que la terminologie traditionnelle, de caractère philosophique, toute pénétrée de logique formelle, a eu cette infortune d’être retouchée inconsidérément par des esprits moins pénétrants que ceux qui l’avaient conçue.
Ce point de vue est, aujourd’hui comme hier, partagé par la plupart des grammairiens lato sensu. Le verdict des uns et des autres est à la fois sévère et amer :la terminologie grammaticale est incertaine, incohérente, inexacte, incomplète, contraire à la vérité, trompeuse, confuse, désordonnée, défectueuse, voire désastreuse (Nicolas Beauzée, 1767 :500-501 ;Antoine Meillet, 1936 :31 ;Holger Sten, 1952 :9) ;Robert-Léon Wagner, 1947 :59 ;Gustave Guillaume, 1973 [leçon du 18 fév. 1949] :108 ;Gérard Moignet, 1981 :163 ;Louis Holtz, 1981 :11). L’on ne pouvait faire meilleur état des lieux !
Ce travail s’est efforcé de répondre aux trois questions suivantes :1° une terminologie « parlante » est-elle possible et nécessaire en grammaire ?2° quelle(s) piste(s) les linguistes devraient-ils explorer pour rationaliser la nomenclature et la description des formes verbales ?3° comment les grammairiens ont-ils forgé, au fil des siècles, la nomenclature des formes verbales ?
Que conclure ?
Nous voudrions d’abord noter que la question terminologique constitue un casse-tête consécutif, pour une grande part, à la forte pression de la tradition sur les pratiques grammaticales.
Les concessions faites à l’usage sont telles que toute tentative d’innovation est suspecte .Les exemples sont légion :Girard, Lévizac, Sicard, Domergue, Butet ,etc. subirent tous, à tort ou à raison, les feux nourris de la critique à cause de leur engagement terminologique. Les détracteurs avaient pour noms :Voltaire, Du Marsais, Condillac, Roederer et Brunot.
Voltaire (cité par Brunot, 1905-1953, tome VI, 1e fascicule, p. 902) recommanda même le boycott de la nouvelle grammaire de Girard :
Je recommande, écrivit-il, sur-tout aux jeunes de ne pas lire la nouvelle grammaire de sieur abbé Girard ;elle ne feroit qu’embarrasser l’esprit, par les nouveautez difficiles dont elle est remplie ;et sur-tout elle serviroit à corrompre le stile.
Roederer ne fut pas plus tendre à l’endroit de Domergue. En somme, les attaques à l’endroit des « néologismes grammaticaux » constituent, dans l’histoire de la grammaire, une réalité permanente.
A la fin des années 60 et au début des années 70, Georges Galichet tournait en dérision la terminologie en usage en grammaire générative et transformationnelle, tandis que, plus près de nous, Marc Wilmet (1992) s’insurgeait contre ceux qui accusent les linguistes de « jargonner ».
En ce qui nous concerne, nous avons estimé dans cette thèse que la création terminologique est à la fois nécessaire et possible. Elle devrait conduire, comme nous l’avons postulé au § 3.2.2.1, à l’émergence d’une nomenclature explicative. D’ailleurs, des modèles de terminologie « parlante » existent :nous avons cité les travaux de Guillaume, Damourette et Pichon, Yvon, Wilmet.
Un métalangage grammatical explicatif devrait même, à notre avis, s’imposer et se généraliser pour les trois raisons suivantes :1° la terminologie joue le rôle « d’avant-science »; 2° contrairement aux autres sciences dont le vocabulaire technique renvoie à des objets, en grammaire, derrière les “mots” se profilent non pas des objets, mais des idées et d’autres “mots” dont l’ensemble constitue la science grammaticale. Autrement dit, le triptyque « terme (mot) –> concept –> référent » pourrait être réduit à une reformulation simplifiée où le concept se confondrait avec le référent; 3° contrairement à l’arbitraire consacré du signe linguistique, la création des expressions métalinguistiques est en général utilitaire et plus ou moins individuelle.
A la lumière de ce qui précède, toute nouvelle création d’expression métalinguistique devrait satisfaire à une condition :l’adéquation, même partielle, de la nouvelle dénomination avec le contenu morpho-sémantique qu’elle désigne. En effet, chaque terme en linguistique contiendrait de manière condensée tout un programme sémantique. Mais, le terme ainsi crée devrait aussi répondre à un besoin réel.
Par ailleurs, la principale piste à explorer dans l’entreprise de la rationalisation et de l’harmonisation de la terminologie grammaticale consisterait à homogénéiser les critères définitoires des classes grammaticales. Pour les modes verbaux, nous avons proposé d’associer judicieusement les critères sémantiques et morphologique. Le premier concerne l’actualité, le second la personne grammaticale.
Ces deux paramètres interviennent, d’après Moignet (1981 :57) et nous l’avons suivi dans son raisonnement, à part égale dans la faculté qu’a toute forme verbale de “signifier le “temps” en plus de sa signification propre”.
Grâce à l’exploitation de ces deux variables, nous avons, en nous inspirant largement de Gustave Guillaume et de Marc Wilmet, proposé à titre de simple hypothèse de travail, que les trois « chronothèses guillaumiennes » représentent effectivement, au niveau du discours grammatical, les trois modes verbaux auxquels elles correspondent: 1° le mode nominal (ou quasi nominal) = infinif + participe => mode virtualisatif impersonnel; 2° l’in fieri = subjonctif => mode virtualisatif personnel ;3° l’in esse = indicatif => mode actualisatif personnel.
La principale objection à cette proposition serait d’opposer au double principe de « virtualisation » et d’« actualisation », sur lequel repose notre argumentation, des emplois contraires à cette tripartition modale. Ne nous leurrons pas, c’est une difficulté réelle. La parade nous est fournie, fort heureusement, par Gérard Moignet (1959b :94-95) qui renvoie à l’enseignement de Gustave Guillaume:
Il [Guillaume] insiste dans son enseignement sur la prudence qui s’impose en linguistique de la parole :on y est toujours exposé à rencontrer un sens d’emploi de mot qui soit en contradiction avec la vue fondamentale que le mot apporte de lui-même.
Pour finir, nous avons suffisamment montré tout au long de notre dissertation que la nomenclature des formes verbales, comme d’ailleurs le reste de la grammaire, est dans ses grandes lignes constituée de l’héritage gréco-latin. A certaines époques, comme au XVIIe siècle, cet héritage est malheureusement « corrompu » :par ex. la suppression de toute trace référant à l’époque dans certaines étiquettes. C’est, malheureusement, encore le cas, aujourd’hui, dans la plupart des grammaires scolaires et dans les productions scientifiques des linguistes.
Il faudrait aussi mentionner, au passif des grammairiens du XVIIe siècle et certains de leurs successeurs du début du XVIIIe siècle, l’ignorance des formes verbales surcomposées, pourtant attestées au XVIe siècle.
Comme nous l’avons dit, la terminologie grammaticale est défaillante depuis l’antiquité gréco-romaine jusqu’à ce jour. Elle s’est formée, à travers les siècles, au gré des fantaisies personnelles greffées sur l’essentiel du génie grec et latin. A part quelques rares exceptions, les apports des grammairiens français n’ont amélioré ni les critères de description du verbe, ni la nomenclature des formes verbales.
Nous avons dans le corps de ce texte signalé les acquis de chaque époque retenue dans cette étude. Il serait donc superflu d’y revenir dans le détail. Nous allons cependant rappelé, au risque d’en faire une antienne, les quelques progrès réalisés dans l’étude du verbe entre le XVIIe siècle et le début du XXe siècle :
1° la distinction des temps simples et des temps composés selon la forme chez D’Aisy (1674, 1685), Régnier-Desmarais (1706), Buffier (1709), etc.
2° l’exclusion, déjà au XVIIIe siècle, de l’impératif de la liste des modes verbaux ;3° l’intégration, depuis ce même siècle, des formes en –rais dans le mode indicatif (p. ex. chez Buffier, 1709 ;Restaut, 1730 et Ayer, 1853) avant que le XIXe siècle ne revienne en force au mode conditionnel;
4° l’institution par Nicolas Beauzée (1767) du principe des « ordres relationnels » (époque de comparaison, terme de comparaison, repère, rapport d’existence, etc.) dans la description des temps du verbe ;5° l’exploitation de la série complète des formes simples vs formes composées (Buffier, 1709) ;
6° la tripartition des tiroirs en formes simples / composées / surcomposées chez Dangeau (cf. supra, § 6.3.1.2) :p. ex. prétérit simple je chante /prétérit composé j’ai chanté /prétérit surcomposé j’ai eu chanté, etc.
7° l’usage par Dangeau (1754), à la suite de Girard (1747), des quantifiants et caractérisants numéraux comme discriminants des formes verbales :p. ex. premier temps surcomposé que j’aie eu marché /second temps surcomposé que j’eusse eu marché / troisième temps surcomposé jaurois eu marché) ;
8° la mise sur pied des néologismes très producteurs :futur passé (Restaut, 1730 ;Lhomond, 1780 ;Girault-Duvivier, 1811), futur antérieur (De Wailly, 1754 ;Sicard, 1799 ;Noël et Chapsal, l823 ;Brachet et Dusouchet, 1888, 1889), futur du passé (Maquet et al. 1921), futur antérieur du passé (Clédat, 1896 ;Maquet et al. 1921).
De toutes ces innovations, la théorie des «ordres relationnels » est celle qui a eu le plus d’impact sur les linguistes du XXe siècle. Comme nous l’avons vu, Guillaume et Wilmet, pour ne prendre que ces deux exemples, s’en sont inspirés dans la mise sur pied de leurs théories respectives :celle de la « chronogénèse » et celle du « repère ».
Ces deux approches du système verbal ont conduit à une description intéressante des modes, des aspects et des tiroirs. C’est une véritable révolution. Un seul regret :la méfiance injustifiée des auteurs de manuels et livres de grammaire à l’égard de cet important renouveau terminologique.
Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature
info:eu-repo/semantics/nonPublished
Hounhouayenou-Toffa, Adjovi Ernest. "La notion d'irréel et ses avatars terminologiques dans les grammaires françaises et anglophones de l'anglais." Thesis, Sorbonne université, 2018. http://www.theses.fr/2018SORUL072.
Full textBased on a vast corpus of grammars and dictionaries of linguistic terminology, all published between the 16th and the 21st centuries in the French and Anglophone traditions, this thesis exposes and unravels the paradoxes raised by the term irréel and its equivalent unreal(ity). If several studies have indeed analysed the linguistic expression of unreality in present-day English, only few have shed light on the discontinuity between the unspecialised use of the term and the specialised one. Notwithstanding that it is a conventional term in the French grammatical tradition, irréel and its equivalent unreal(ity) are often portrayed as referring to nebulous and abstract notions, with polymorphic terminological manifestations, which explains why their adequacy and usefulness are at stake in linguistic descriptions. Our corpus-based approach thus seeks to explain and ultimately solve the problem posed by the complex terminological web that arises out of these notions. A careful perusal of our corpus reveals that, in view of the way unreality is conceptualised in French and Anglophone grammars, non-factuality cannot be conceived as a binary category. In line with the socio-cognitive approach to terminology, we suggest a modelisation of unreality that is articulated around a prototype structure
Soulié-D'Andrea, Anne. "Recherches sur la notion de particule dans la grammaire française (1540-1780)." Montpellier 3, 1997. http://www.theses.fr/1997MON30071.
Full textThis work aims at investigating the function of the notion 'particle' in french grammar during two centuries and a half. The term, inherited from latin grammar and introduced by dolet (1540), designates some small words: articles, auxiliary verbs, pronouns, prepositions and non-inflected words. Xviith century grammarians use the term with great extend when they are facing a difficulty to classify a word which doesn't exist in latin or cannot be translated literally. By another way, vaugelas, the leading exponent of the 'usage school', refer the good usage of french language to the usage of the particles, regarded as the spirit of our vernacular. In the article 'particle' of the encyclopaedia, beauzee puts an end to this view denying the assumption that particles are one of the parts of speech and restraining to affix their function. The purpose of this work is also to bring a contribution to the history of the grammatical terminology and all the words called particles by grammarians during the period investigated are listed in the appendix
Chebouti, Karim. "Le vocabulaire médical du point de vue des trois fonctions primaires." Thesis, Paris 13, 2014. http://www.theses.fr/2014PA131006/document.
Full textThis thesis falls within the framework of the Three Primary Functions theory based on Z. Harris’s distributionalist theory (predicative function, argumental function and actualizing function), as well as in the line of work that does not distinguish between general and specialized languages considering their syntactic and semantic functioning. The medical terminology is described here in the context of the sentence. We analyzed the medical terms according to their argumental or predicative employment. This analysis led to the development of databases. A query interface has been developed subsequently, to allow potential users to conduct targeted research
Elalouf, Aurélia. "Histoire de la première nomenclature grammaticale officielle en France (janvier 1905 - avril 1911)." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCA134.
Full textThis study recounts the history of the first official grammatical nomenclature in France, since the first public debates on the necessity of a terminological simplification and unification (from January 1905) to the promulgation of the three official texts that are the decree of the 25th of July 1910 (that fixes the list of the grammatical terms that have to be known in the exams and examinations of both primary and secondary educations) as well as the circular of the 28th of September 1910 and the note of the 21st of March 1911 (that both explain how the decree has to be implemented). The study raises political, theoretical and epistemological issues: the simplification and unification of grammatical nomenclatures encounter the State’s will to improve the command of the national language and to unify education on the entire territory; the elaboration of the nomenclature reveals the problems caused by the analysis of verbal constructions and the complex sentence at the beginning of the 20th century; the reform of the nomenclatures highlights the tension between a terminological ideal and the reality of practices. These issues consistently intersect with didactic questions: on the place of an explicit teaching of grammar in the teaching of language, on the relations that school knowledge has with academic knowledge or furthermore on the limitations imposed by what can be taught
Gomez, Lucia. "Conceptualisation et expression linguistique de l'évènement émotionnel en espagnol (L1/L2) et en français : une approche cognitive : analyse linguistique et proposition didactique." Thesis, Grenoble, 2012. http://www.theses.fr/2012GRENL022/document.
Full textThe aim of this Ph.D. Thesis, which is based on the theoretical framework of Cognitive Linguistics, is to identify and characterize (in a descriptive and contrastive manner) the resources related to the expression of the change of emotion event in Spanish (L1 and L2) and French (L1). Thanks to our findings, but also to other data sources, we were also able to make some pedagogical propositions for the teaching of the notions of change and emotion in a second language
Este trabajo de investigación, que se inscribe en el marco teórico de la lingüísticacognitiva, responde al objetivo de repertoriar y caracterizar los recursos necesariospara la expresión del evento de cambio emocional en español (L1 y L2) y en francés(L1), bajo un enfoque tanto descriptivo como contrastivo. Los resultados obtenidos,junto con otras fuentes, han permitido formular algunas recomendaciones didácticaspara la enseñanza de las nociones de cambio y emoción en lengua extranjera
Safa, Parivash. "L' expression de l'inchoativité en français et en persan." Besançon, 1995. http://www.theses.fr/1995BESA1022.
Full textLablanche, Anne. "L’infinitif complément d'un verbe, d'un adjectif, d'un nom : écriture d'un fragment de grammaire." Paris 10, 2007. http://www.theses.fr/2007PA100111.
Full textThe aim of this thesis is to build a piece of French grammar explaining the use of the infinitive syntax within the framework of polychrome tree grammars. The thesis comprises two parts. The first part studies problems associated with the infinitive. The infinitive, like a verb, has complements and the component it forms with its complements can in turn be the complement to a verb, a noun or an adjective. Traditional grammars express this as the double nature of an infinitive: it has the properties of a verb and of a noun/ it has both verbal and nominative properties. It is therefore difficult to insert the infinitive syntax into a formal model allowing the use of computational linguistics. We define the infinitive component as the unit comprising an infinitive verb and its complements. We explain why this term is preferable to “infinitive subordinated proposition”. The second part examines the syntactic analysis of infinitive components within the framework of polychrome tree grammars and is organized around the contexts in which the infinitive is used (a verb, a noun, an adjective). A polychrome tree grammar representation makes it possible to test this formalism and demonstrates the benefits of separating the syntactic function of each category. One can thus explain the cases in which the component of a non-nominal category performs a role generally performed by a noun. Finally, this work on the syntax of the infinitive, which revisits certain studies from traditional grammars, enriches the formalism constructed within the framework of computational linguistics
Books on the topic "Français (langue) – Grammaire – Terminologie"
Dubois, Jean. La nouvelle grammaire du français. 2nd ed. [Paris]: Larousse, 1989.
Find full textBook chapters on the topic "Français (langue) – Grammaire – Terminologie"
"Chapitre 10 Les interventions sur les parlers, l’équipement de la langue, les facteurs sociolinguistiques." In Grande Grammaire Historique du Français (GGHF), 135–56. De Gruyter Mouton, 2020. http://dx.doi.org/10.1515/9783110348194-013.
Full textZHANG, Li. "Réflexion didactique sur le face à face distant entre le chinois et le français." In Distance entre langues, distance entre cultures, 73–78. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3691.
Full textDIKI-KIDIRI, Marcel. "Comment la traduction a fait évoluer la langue sängö." In La traduction et l’interprétation en Afrique subsaharienne : les nouveaux défis d’un espace multilingue, 53–78. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3542.
Full textWeber, Corinne. "Réflexion épistémologique en didactique du français langue étrangère sur la place de la grammaire de l’oralité?" In The History of Grammar in Foreign Language Teaching, 229–44. Amsterdam University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1b0fvzr.15.
Full textWeber, Corinne. "Réflexion épistémologique en didactique du français langue étrangère sur la place de la grammaire de l’oralité?" In The History of Grammar in Foreign Language Teaching. Nieuwe Prinsengracht 89 1018 VR Amsterdam Nederland: Amsterdam University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.5117/9789463724616_ch12.
Full textWeber, Corinne. "12. Réflexion épistémologique en didactique du français langue étrangère sur la place de la grammaire de l’oralité?" In The History of Grammar in Foreign Language Teaching, 229–44. Amsterdam University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.1515/9789048544479-014.
Full textConference papers on the topic "Français (langue) – Grammaire – Terminologie"
Barbazan, M. "Principes d'une grammaire prédictive du discours (français langue étrangère et maternelle)." In Congrès Mondial de Linguistique Française 2008. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2008. http://dx.doi.org/10.1051/cmlf08115.
Full textPaolacci, V., and C. Garcia-Debanc. "Apprendre et enseigner la grammaire aujourd'hui en français langue première. Le cas de la ponctuation en production écrite en sixième." In Congrès Mondial de Linguistique Française 2008. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2008. http://dx.doi.org/10.1051/cmlf08180.
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