Academic literature on the topic 'Français (langue) – Grammaire – Terminologie'

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Journal articles on the topic "Français (langue) – Grammaire – Terminologie"

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Bechraoui, Mohamed-Fadhel. "Une traduction arabe de la grammaire de Lhomond (1857)." Historiographia Linguistica 28, no. 3 (December 31, 2001): 365–400. http://dx.doi.org/10.1075/hl.28.3.04bec.

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Abstract:
Résumé Le succès de la grammaire scolaire dans la France du XIXe siècle avait favorisé la traduction de certains de ses manuels, comme le Lhomond ou le Noël et Chapsal, pour servir de méthodes d’apprentissage aux étrangers. Le Lhomond tout particulièrement, après la traduction anglaise de Longfellow (1830) avait connu une traduction arabe, publiée à Paris en 1857 par un Tunisien du nom de Soliman al-Haraïri (1824–1877). Il y développe en fait, une double traduction: traduction libre et traduction littérale. Cette dernière, très paradoxalement, constitue le noyau d’une méthode présentée par l’auteur comme une invention didactique à laquelle il n’a jamais été précédé. L’effort de traduction y est considérable par rapport à ce que l’on trouve dans l’ouvrage anglais. La langue arabe, ainsi que la grammatisation autochtone qui s’y rapporte sont tellement éloignées du français et de sa grammatisation que le traducteur est amené à faire œuvre de linguiste et non de simple traducteur. La traduction de la terminologie, comme celle des exemples et des paradigmes, nécessite en effet une grande connaissance de l’arabe et de sa grammaire. Le recours au dialecte marque d’ailleurs l’épuisement des ressources de l’arabe classique. La transcription s’y ajoute pour faire encore reculer l’écart, au-delà de la grammaire et du système phonologique, jusqu’à l’écriture elle-même. Les éléments d’une recherche contrastive viennent, en outre, accompagner la traduction littérale comme pour en retracer les limites et révéler les irréductibles difficultés de l’apprentissage. Mais la correspondance entre les deux langues, incarnée dans cette traduction, a été expressément exagérée pour gagner plus de terrain dans le rapprochement du Lhomond, dans sa langue originale, à l’élève arabe. L’objectif étant de le mettre immédiatement en contact avec la langue française, via ce pré-texte qu’est la traduction littérale. Quant à la traduction libre, elle est considérée comme superflue, ne pouvant profiter qu’à l’élève français censé y trouver un ‘guide de bien traduire’.
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GAUCHER, DAMIEN. "Sémantique temporelle et accord du participe passé en français parlé: une analyse variationniste." Journal of French Language Studies 25, no. 1 (January 17, 2014): 65–83. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269513000458.

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Abstract:
RÉSUMÉDans cet article, nous analysons l'influence de la valeur aspectuo-temporelle attribuée aux formes composées sur la fréquence d’accord du participe passé (APP). On sait que l'APP est variable dans les usages de la langue parlée, notamment lorsqu’il est employé avec l'auxiliaireavoir. Partant de l'observation de corpus de langue parlée, et d’une approche variationniste, nous évaluons la fréquence d’accord des participes féminins potentiellement audibles, en fonction de l'effet de sens qui est attribué à la séquence [avoir(pres) + PP], selon qu’il est évalué comme ‘résultant’ ou ‘événementiel’ selon la terminologie de Desclés et Guentcheva (2003). Les résultats de cette analyse laissent entrevoir une influence faible mais relativement constante de ce facteur sémantique sur l'APP, et soulèvent plus avant la question de la présence d’éléments spécifiques au médium oral comme facteurs d’influence sur le marquage morphologique du genre; en d’autres termes, de l'existence d’une grammaire spontanée de l'oral (Branca-Rosoff, 2005).
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Smuk, Maciej. "Représentations envers les difficultés de la grammaire française – cas de futurs philologues polonais." SHS Web of Conferences 46 (2018): 13004. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184613004.

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Abstract:
L’objectif du présent article est d’analyser les représentations se, rapportant aux difficultés de la grammaire française des étudiants en, philologie romane (études de langue et de culture françaises). Après avoir, exposé les principaux traits et les enjeux de la notion de représentation, mentale, nous présenterons et discuterons les résultats de l’étude empirique, réalisée auprès de 104 étudiants polonais, faisant leurs études à l’Institut, d’Études Romanes de l’Université de Varsovie. Durant la première étape, de la recherche, nous avons soumis à une analyse leur conscience, terminologique, celle-ci pouvant prouver une plus grande conscience du, fonctionnement de la langue. Pendant la deuxième phase, afin d’accéder, aux représentations des répondants, nous leur avons demandé de se, prononcer librement sur le degré de difficulté de divers aspects de la, grammaire française et d’expliciter les raisons de tel ou tel sentiment. Nous, avons mis l’accent, tant quant au contenu qu’à la forme, sur la perspective, qualitative et subjective. Notre recherche avait un caractère introspectif, puisant dans une approche herméneutique et phénoménologique.
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Schlamberger Brezar, Mojca. "La phrase emhatique et ses équivalents en Slovene." Journal for Foreign Languages 7, no. 1 (December 30, 2015): 155–65. http://dx.doi.org/10.4312/vestnik.7.155-165.

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Abstract:
L'importance de bonnes connaissances en grammaire française dans l’enseignement universitaire avait depuis toujours une position centrale dans le cadre du Département des langues et littératures romanes de la Faculté de Lettres de l’Université de Ljubljana1. L’enseignement de la grammaire procédait par la morphologie verbale et non-verbale et aboutissait à la syntaxe comme le point culminant. La syntaxe du français, enseignée par Mme Elza Jereb, était centrée surtout sur l’usage contemporain du français, prenant en compte aussi bien le français standard que les expressions plus familières. Sa grammaire Francoska slovnica po naše (Jereb 1995) est une grammaire du français langue étrangère qui se veut pédagogique à l'instar des grammaires pédagogiques françaises, parues dans la même époque. Nous pouvons souligner ici la différence entre une grammaires de référence ou descriptives, qui englobe le savoir sur une langue, et les grammaires d’apprentissage ou pédagogiques, qui se veulent utiles pour l’apprenant d’une langue étrangère.
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Honová, Zuzana, and Jan Lazar. "La variation diatopique du français contemporain et son enseignement en milieu universitaire tchèque : le cas du français québécois." Journal for Foreign Languages 11, no. 1 (December 30, 2019): 217–28. http://dx.doi.org/10.4312/vestnik.11.217-228.

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Abstract:
La langue française est une langue internationale qui est utilisée dans la communication quotidienne sur les cinq continents. Il s'ensuit qu'on distingue plusieurs variétés diatopiques de la langue française, réparties dans les différentes zones géographiques. Ainsi, on peut discerner le français de France, le français du Québec, le français de Suisse, le français de Belgique etc. Le présent article se concentre sur l'enseignement la langue française utilisée au Québec dans les universités en République tchèque. L'objectif principal de l'article est d'examiner la situation dans les universités tchèques qui offrent des programmes d'études de langue et de littérature françaises ou de traduction, et de constater dans quelle mesure la variation diatopique est intégrée dans descours de civilisation, de littérature, de lexicologie ou de morphosyntaxe ou d'autres disciplines. Nous visons également à proposer quelques pistes de réflexion, à savoir comment intégrer la variation diatopique dans l'enseignement de la terminologie et de la traduction spécialisée. Dans ce contexte, nous nous proposons d'évoquer des spécificités morphologiques, syntaxiques et lexicales du français québécois qui sont à souligner dans des cours universitaires. Davantage, nous tenons à relever comment la variation diatopique se manifeste dans la terminologie de certains domaines de spécialité, notamment dans la terminologie juridique.
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Vivès, Robert. "Lexique-grammaire et didactique du français langue étrangère." Langue française 68, no. 1 (1985): 48–65. http://dx.doi.org/10.3406/lfr.1985.6354.

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Gianninoto, Mariarosaria. "LeTraitéchinois des particules et des principaux termes de grammaire : un exemple de traduction et d’adaptation de la terminologie linguistique chinoise." Histoire Epistémologie Langage 41, no. 1 (2019): 97–113. http://dx.doi.org/10.1051/hel/2019003.

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Abstract:
Le « Traité chinois des particules et des principaux termes de grammaire », qui figure dans laSyntaxe nouvelle de la langue chinoise(1869) de Stanislas Julien, représente la première traduction de l’Explication des particules dans les Classiques et dans les commentaires(Jīngzhuàn shìcí經傳釋詞, 1819) de Wáng Yǐnzhī dans une langue occidentale. Si l’ouvrage de Wáng peut être considéré comme le plus important répertoire de particules grammaticales de la tradition philologique chinoise, sa traduction constitue un exemple remarquable de présentation des méthodologies et de la terminologie linguistique chinoises pour un public européen. Cet article se propose de comparer les deux ouvrages, en analysant les modalités de traduction des lemmes et de transposition des catégories et de la terminologie linguistiques.
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ZRIBI-HERTZ, ANNE. "Pour un modèle diglossique de description du français: quelques implications théoriques, didactiques et méthodologiques." Journal of French Language Studies 21, no. 2 (September 29, 2010): 231–56. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269510000323.

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Abstract:
RÉSUMÉCet article défend l'hypothèse que le français (toutes zones géographiques confondues) présente aujourd'hui les propriétés caractérisant la situation diglossique, selon la définition classique de ce concept formulée par Ferguson (1959): la variété H est incarnée par la grammaire standard, et les variétés L par les grammaires appelées icidialectales, activées par les locuteurs en situation informelle. Dans une optique générative de la grammaire, il est proposé de représenter la compétence linguistique des francophones par deux grammaires en intersection, schéma rendant compte de l'intuition que les deux algorithmes génèrent “la même langue”. L'article s'emploie à justifier pour le français l'hypothèse diglossique et la formalisation proposée, et à en explorer quelques avantages et implications pour la description et l'enseignement de cette langue.
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LEE, Hyunjoo. "La prise en compte de la terminologie comme langue de travail pour l’apprentissage du français langue étrangère - Autour de la terminologie médicale en français -." Societe Coreenne d'Enseignement de Langue et Litterature Francaises 67 (December 31, 2019): 135–63. http://dx.doi.org/10.36747/ellf.2019.12.67.135.

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Fougerouse, Marie-Christine. "L'enseignement de la grammaire en classe de français langue étrangère." Éla. Études de linguistique appliquée 122, no. 2 (2001): 165. http://dx.doi.org/10.3917/ela.122.0165.

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Dissertations / Theses on the topic "Français (langue) – Grammaire – Terminologie"

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Mosca, Alessandra. "Terminologie grammaticale comparative et historique du français et de l'italien : Autour de l'adjectif." Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070007.

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Abstract:
La présente étude se propose de questionner les enjeux de la terminologie grammaticale a travers la comparaison des systèmes terminologiques de deux langues, le français et l'italien. Nous fondons notre analyse sur une double hypothèse : nous pensons, d'un cote, que le terme grammatical dépendrait du fait linguistique qu'il désigne, de l'autre, qu'il serait le témoin d'un choix idéologique indépendant de la langue décrite. Notre thèse vise à vérifier ce statut du terme moyennant une approche comparative et historique. Afin d'étudier le rapport entre les termes et les faits linguistiques décrits, nous avons examinél'opposition inter-linguistique déterminants/articoli et aggettivi determinativi : les termes semblent au premier abord renvoyer au même fait langagier, alors qu'ils cachent probablement une opposition conceptuelle. Nous nous sommes demandés si cette différente organisation conceptuelle correspond à une opposition des systèmes langagiers. Pour repérer les facteurs externes à la langue, nous avons abordé l'opposition entre l’attribut el l’attributo qui s'opposent par une relation de faux amis. Ici, nous avons parcouru l'histoire des idées linguistiques en analysant le contexte historique et philosophique des périodes ou ces termes se sont installés. Nous avons pris en compte une période relativement longue, qui part du XVIe siècle, date des débuts de la tradition grammaticale des langues romanes et s'achève en 1910, date de la première nomenclature grammaticale française. Cela nous a permis de prendre en examen l'évolution des termes et des concepts sur la longue durée et d'essayer ainsi de motiver les différences terminologiques existantes entre les deux langues
This work investigates the field of the grammatical terminology by comparing two terminological systems : the french one and the italian one. Our analysis is based on a double hypothesis: on one side, we think that the grammatical term is connected to the linguistic item that it designes; on the other side, the term may depend on an ideological choice which can be independent from the language system. We corroborate our hypothesis by a comparative and historical approach. The analysis of the terms determinants/articoli and aggettivi determnativi are supposed to show the connexion between terminology and language systems, while the opposition between attribut and attributo, which are false friends, should be taken as an example of the influence exerced by the ideological context on terminological choices. We consider grammars written between the beginning of the sixteenth century and 1910, when the first official terminologie grammaticale of french appeared
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Dupas, Chantal. "Perception et langage : étude linguistique du fonctionnement des verbes de perception auditive et visuelle en anglais et en français." Bordeaux 3, 1995. http://www.theses.fr/1995BOR30014.

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Abstract:
La these est developpee a partir du principe selon lequel le fonctionnement des verbes est en accord avec l'experience perceptive. Meme s'il n'est pas possible d'etablir un parallelisme strict entre la construction du sens (theorie des operations enonciatives), et l'apprehension du sens (saisie globale et immediate de l'evenement perceptif selon le concept de forme ou gestalt), il convient de saisir le parallelisme (experience, langage) dans la souplesse syntactico-semantique des verbes de perception. La these se construit autour de deux axes principaux: le monde s'imposant au sujet et le mouvement du sujet vers le monde. La dichotomie classique entre les verbes de perception volontaire et les verbes de perception involontaire, se voit depassee par la construction d'un mosele oscillatoire definissant un mouvement de va-et-vient entre differents poles de fonctionnement de ces verbes qui sont les suivants: - pole localisateur propre aux proces a valeur aoristique avec inchoation, absence de preconstruction et de visee, non agentivite du sujet, caractere indissociable de qnt et qlt, et orientation objet de la relation predicative. - pole agentif marquant tantot l'action du sujet sur l'objet, une distanciation du sujet, (negation, be-ing et can); tantot marquant une action du sujet sur un autre sujet (interagentivite dans les performatifs, et l'interrogation). Ces poles destabilisent les proprietes du pole localisateur. - pole hyper-agentif qui releve d'une analyse strictement semantique: analyse des illusions perceptives et polysemie des verbes de perception
The analysis of the verbs of perception (see hear) requires establishing a relationship between the functioning of the verb and the perceptive experience. An oscillatory model lays stress upon a movement between different functionings reflecting the subject's attitude (simply receptive or on the contrary active): - localizing function: in aoristic utterances the process has an inchoative value, the subject is the site of the event (this precludes any cause and effect relationship), he is non agentive, the predicative relation is object-oriented (x is visible to y), there is no preconstruction and no prospective operation. Qnt qlt cannot be dissociated. - agentive function: in negative , interrogative or performative utterances or in utterances with modals like can (possibility or capacity), with aspectual values (be-ing), the subject acts upon the object or another subject (interagentivity). The predicative relation is then subject-oriented. The properties of the localizing verb are destabilized. Hyper-agentive function: semantic analysis. A study of perceptive illusions. This approach invalidates the classical dichotomy between the verbs of involuntary and voluntary perception
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Bena, Jonas Makamina. "Contribution à l'étude de la terminologie grammaticale: la nomenclature des formes verbales." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2003. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/211229.

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Abstract:
Le 18 février 1949, Gustave Guillaume (1973 :107-108) brossait, dans sa leçon à l’Ecole pratique des Hautes Etudes, un tableau peu flatteur de la terminologie grammaticale :

La terminologie grammaticale – fixée par un long usage, par la tradition – est peu satisfaisante. Elle correspond à des vues qui sont pour une grande part étrangères au véritable mécanisme de la langue, ignoré de ceux qui ont établi cette terminologie, devenue celle de l’enseignement. A quoi il faut ajouter que la terminologie traditionnelle, de caractère philosophique, toute pénétrée de logique formelle, a eu cette infortune d’être retouchée inconsidérément par des esprits moins pénétrants que ceux qui l’avaient conçue.

Ce point de vue est, aujourd’hui comme hier, partagé par la plupart des grammairiens lato sensu. Le verdict des uns et des autres est à la fois sévère et amer :la terminologie grammaticale est incertaine, incohérente, inexacte, incomplète, contraire à la vérité, trompeuse, confuse, désordonnée, défectueuse, voire désastreuse (Nicolas Beauzée, 1767 :500-501 ;Antoine Meillet, 1936 :31 ;Holger Sten, 1952 :9) ;Robert-Léon Wagner, 1947 :59 ;Gustave Guillaume, 1973 [leçon du 18 fév. 1949] :108 ;Gérard Moignet, 1981 :163 ;Louis Holtz, 1981 :11). L’on ne pouvait faire meilleur état des lieux !

Ce travail s’est efforcé de répondre aux trois questions suivantes :1° une terminologie « parlante » est-elle possible et nécessaire en grammaire ?2° quelle(s) piste(s) les linguistes devraient-ils explorer pour rationaliser la nomenclature et la description des formes verbales ?3° comment les grammairiens ont-ils forgé, au fil des siècles, la nomenclature des formes verbales ?

Que conclure ?

Nous voudrions d’abord noter que la question terminologique constitue un casse-tête consécutif, pour une grande part, à la forte pression de la tradition sur les pratiques grammaticales.

Les concessions faites à l’usage sont telles que toute tentative d’innovation est suspecte .Les exemples sont légion :Girard, Lévizac, Sicard, Domergue, Butet ,etc. subirent tous, à tort ou à raison, les feux nourris de la critique à cause de leur engagement terminologique. Les détracteurs avaient pour noms :Voltaire, Du Marsais, Condillac, Roederer et Brunot.

Voltaire (cité par Brunot, 1905-1953, tome VI, 1e fascicule, p. 902) recommanda même le boycott de la nouvelle grammaire de Girard :

Je recommande, écrivit-il, sur-tout aux jeunes de ne pas lire la nouvelle grammaire de sieur abbé Girard ;elle ne feroit qu’embarrasser l’esprit, par les nouveautez difficiles dont elle est remplie ;et sur-tout elle serviroit à corrompre le stile.

Roederer ne fut pas plus tendre à l’endroit de Domergue. En somme, les attaques à l’endroit des « néologismes grammaticaux » constituent, dans l’histoire de la grammaire, une réalité permanente.

A la fin des années 60 et au début des années 70, Georges Galichet tournait en dérision la terminologie en usage en grammaire générative et transformationnelle, tandis que, plus près de nous, Marc Wilmet (1992) s’insurgeait contre ceux qui accusent les linguistes de « jargonner ».

En ce qui nous concerne, nous avons estimé dans cette thèse que la création terminologique est à la fois nécessaire et possible. Elle devrait conduire, comme nous l’avons postulé au § 3.2.2.1, à l’émergence d’une nomenclature explicative. D’ailleurs, des modèles de terminologie « parlante » existent :nous avons cité les travaux de Guillaume, Damourette et Pichon, Yvon, Wilmet.

Un métalangage grammatical explicatif devrait même, à notre avis, s’imposer et se généraliser pour les trois raisons suivantes :1° la terminologie joue le rôle « d’avant-science »; 2° contrairement aux autres sciences dont le vocabulaire technique renvoie à des objets, en grammaire, derrière les “mots” se profilent non pas des objets, mais des idées et d’autres “mots” dont l’ensemble constitue la science grammaticale. Autrement dit, le triptyque « terme (mot) –> concept –> référent » pourrait être réduit à une reformulation simplifiée où le concept se confondrait avec le référent; 3° contrairement à l’arbitraire consacré du signe linguistique, la création des expressions métalinguistiques est en général utilitaire et plus ou moins individuelle.

A la lumière de ce qui précède, toute nouvelle création d’expression métalinguistique devrait satisfaire à une condition :l’adéquation, même partielle, de la nouvelle dénomination avec le contenu morpho-sémantique qu’elle désigne. En effet, chaque terme en linguistique contiendrait de manière condensée tout un programme sémantique. Mais, le terme ainsi crée devrait aussi répondre à un besoin réel.

Par ailleurs, la principale piste à explorer dans l’entreprise de la rationalisation et de l’harmonisation de la terminologie grammaticale consisterait à homogénéiser les critères définitoires des classes grammaticales. Pour les modes verbaux, nous avons proposé d’associer judicieusement les critères sémantiques et morphologique. Le premier concerne l’actualité, le second la personne grammaticale.

Ces deux paramètres interviennent, d’après Moignet (1981 :57) et nous l’avons suivi dans son raisonnement, à part égale dans la faculté qu’a toute forme verbale de “signifier le “temps” en plus de sa signification propre”.

Grâce à l’exploitation de ces deux variables, nous avons, en nous inspirant largement de Gustave Guillaume et de Marc Wilmet, proposé à titre de simple hypothèse de travail, que les trois « chronothèses guillaumiennes » représentent effectivement, au niveau du discours grammatical, les trois modes verbaux auxquels elles correspondent: 1° le mode nominal (ou quasi nominal) = infinif + participe => mode virtualisatif impersonnel; 2° l’in fieri = subjonctif => mode virtualisatif personnel ;3° l’in esse = indicatif => mode actualisatif personnel.

La principale objection à cette proposition serait d’opposer au double principe de « virtualisation » et d’« actualisation », sur lequel repose notre argumentation, des emplois contraires à cette tripartition modale. Ne nous leurrons pas, c’est une difficulté réelle. La parade nous est fournie, fort heureusement, par Gérard Moignet (1959b :94-95) qui renvoie à l’enseignement de Gustave Guillaume:

Il [Guillaume] insiste dans son enseignement sur la prudence qui s’impose en linguistique de la parole :on y est toujours exposé à rencontrer un sens d’emploi de mot qui soit en contradiction avec la vue fondamentale que le mot apporte de lui-même.

Pour finir, nous avons suffisamment montré tout au long de notre dissertation que la nomenclature des formes verbales, comme d’ailleurs le reste de la grammaire, est dans ses grandes lignes constituée de l’héritage gréco-latin. A certaines époques, comme au XVIIe siècle, cet héritage est malheureusement « corrompu » :par ex. la suppression de toute trace référant à l’époque dans certaines étiquettes. C’est, malheureusement, encore le cas, aujourd’hui, dans la plupart des grammaires scolaires et dans les productions scientifiques des linguistes.

Il faudrait aussi mentionner, au passif des grammairiens du XVIIe siècle et certains de leurs successeurs du début du XVIIIe siècle, l’ignorance des formes verbales surcomposées, pourtant attestées au XVIe siècle.

Comme nous l’avons dit, la terminologie grammaticale est défaillante depuis l’antiquité gréco-romaine jusqu’à ce jour. Elle s’est formée, à travers les siècles, au gré des fantaisies personnelles greffées sur l’essentiel du génie grec et latin. A part quelques rares exceptions, les apports des grammairiens français n’ont amélioré ni les critères de description du verbe, ni la nomenclature des formes verbales.

Nous avons dans le corps de ce texte signalé les acquis de chaque époque retenue dans cette étude. Il serait donc superflu d’y revenir dans le détail. Nous allons cependant rappelé, au risque d’en faire une antienne, les quelques progrès réalisés dans l’étude du verbe entre le XVIIe siècle et le début du XXe siècle :

1° la distinction des temps simples et des temps composés selon la forme chez D’Aisy (1674, 1685), Régnier-Desmarais (1706), Buffier (1709), etc.

2° l’exclusion, déjà au XVIIIe siècle, de l’impératif de la liste des modes verbaux ;3° l’intégration, depuis ce même siècle, des formes en –rais dans le mode indicatif (p. ex. chez Buffier, 1709 ;Restaut, 1730 et Ayer, 1853) avant que le XIXe siècle ne revienne en force au mode conditionnel;

4° l’institution par Nicolas Beauzée (1767) du principe des « ordres relationnels » (époque de comparaison, terme de comparaison, repère, rapport d’existence, etc.) dans la description des temps du verbe ;5° l’exploitation de la série complète des formes simples vs formes composées (Buffier, 1709) ;

6° la tripartition des tiroirs en formes simples / composées / surcomposées chez Dangeau (cf. supra, § 6.3.1.2) :p. ex. prétérit simple je chante /prétérit composé j’ai chanté /prétérit surcomposé j’ai eu chanté, etc.

7° l’usage par Dangeau (1754), à la suite de Girard (1747), des quantifiants et caractérisants numéraux comme discriminants des formes verbales :p. ex. premier temps surcomposé que j’aie eu marché /second temps surcomposé que j’eusse eu marché / troisième temps surcomposé jaurois eu marché) ;

8° la mise sur pied des néologismes très producteurs :futur passé (Restaut, 1730 ;Lhomond, 1780 ;Girault-Duvivier, 1811), futur antérieur (De Wailly, 1754 ;Sicard, 1799 ;Noël et Chapsal, l823 ;Brachet et Dusouchet, 1888, 1889), futur du passé (Maquet et al. 1921), futur antérieur du passé (Clédat, 1896 ;Maquet et al. 1921).

De toutes ces innovations, la théorie des «ordres relationnels » est celle qui a eu le plus d’impact sur les linguistes du XXe siècle. Comme nous l’avons vu, Guillaume et Wilmet, pour ne prendre que ces deux exemples, s’en sont inspirés dans la mise sur pied de leurs théories respectives :celle de la « chronogénèse » et celle du « repère ».

Ces deux approches du système verbal ont conduit à une description intéressante des modes, des aspects et des tiroirs. C’est une véritable révolution. Un seul regret :la méfiance injustifiée des auteurs de manuels et livres de grammaire à l’égard de cet important renouveau terminologique.


Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature
info:eu-repo/semantics/nonPublished

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Hounhouayenou-Toffa, Adjovi Ernest. "La notion d'irréel et ses avatars terminologiques dans les grammaires françaises et anglophones de l'anglais." Thesis, Sorbonne université, 2018. http://www.theses.fr/2018SORUL072.

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Abstract:
Cette thèse s’intéresse aux différents paradoxes que suscitent les unités lexicales irréel/unreal en grammaire et en linguistique. Il repose, pour ce faire, sur un large corpus français et anglophone d’ouvrages de terminologie linguistique et de grammaires de l’anglais publiées entre le 16e siècle et le 21e siècle. Si de nombreuses études se sont en effet intéressées à l’expression grammaticale de l’irréel, peu se sont penchées sur les discontinuités qui existent entre le mot de la langue générale et le terme tel qu’il est employé dans ces deux domaines de connaissances. Conventionnelle dans la tradition grammaticale française, mais nébuleuse, voire inappropriée pour certains linguistes, l’unité lexicale irréel semble pâtir d’un caractère protéiforme qui pose la question de son statut conceptuel, de la délimitation de son périmètre sémantique et de son utilité pour les grammaires de l’anglais. Notre travail sur corpus s’attache ainsi à étudier la conceptualisation de la notion d’irréalité, à expliquer et tenter de résoudre le problème posé par le foisonnement de ses avatars terminologiques dans les grammaires françaises et anglophones de l’anglais. Nous démontrons qu’eu égard à la façon dont le terme irréel est conçu dans les ouvrages de notre corpus, il apparaît fallacieux d’appréhender le non-factuel de façon binaire (procès actualisés vs procès non-actualisés). À partir d’une lecture sociocognitive du terme irréel, nous proposons donc une modélisation qui conçoit sa structure en termes de prototype
Based on a vast corpus of grammars and dictionaries of linguistic terminology, all published between the 16th and the 21st centuries in the French and Anglophone traditions, this thesis exposes and unravels the paradoxes raised by the term irréel and its equivalent unreal(ity). If several studies have indeed analysed the linguistic expression of unreality in present-day English, only few have shed light on the discontinuity between the unspecialised use of the term and the specialised one. Notwithstanding that it is a conventional term in the French grammatical tradition, irréel and its equivalent unreal(ity) are often portrayed as referring to nebulous and abstract notions, with polymorphic terminological manifestations, which explains why their adequacy and usefulness are at stake in linguistic descriptions. Our corpus-based approach thus seeks to explain and ultimately solve the problem posed by the complex terminological web that arises out of these notions. A careful perusal of our corpus reveals that, in view of the way unreality is conceptualised in French and Anglophone grammars, non-factuality cannot be conceived as a binary category. In line with the socio-cognitive approach to terminology, we suggest a modelisation of unreality that is articulated around a prototype structure
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Soulié-D'Andrea, Anne. "Recherches sur la notion de particule dans la grammaire française (1540-1780)." Montpellier 3, 1997. http://www.theses.fr/1997MON30071.

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Abstract:
Ce travail a pour but d'etudier sur une periode de deux siecles et demi la frequence et le role de la notion de particule dans la grammaire francaise. Le terme, emprunte a la grammaire latine par dolet (1540), sert a designer de petits mots : des articles, des verbes auxiliaires, des pronoms, des prepositions et des mots invariables. Au xviie siecle, les grammaires presentent de nombreuses occurrences du terme et un genre scolaire mineur se developpe dans l'enseignement du latin: le traite de particules. Par ailleurs, l'epanouissement d'une + ecole de l'usage ;, inspiree par vaugelas, renforce le statut des particules. Ces dernieres, considerees comme des mots de liaison necessaires a l'ornement et au style des discours, contribueraient a la maitrise du bon usage de la langue, corollaire d'un code de bonne conduite en societe. Jusqu'a beauzee et la restriction de la definition de la particule a celle d'affixe dans l'encyclopedie, la notion conserve une dimension rhetorique et, mise en relation avec le locuteur et la situation de communication chez girard (1747), elle prefigure l'ebauche d'une linguistique de l'enonciation. Cette recherche entend apporter aussi des elements sur l'histoire de la terminologie grammaticale. Les formes linguistiques dites particules dans les grammaires de la periode etudiee sont recensees en annexe et un index permet de les retrouver dans la these
This work aims at investigating the function of the notion 'particle' in french grammar during two centuries and a half. The term, inherited from latin grammar and introduced by dolet (1540), designates some small words: articles, auxiliary verbs, pronouns, prepositions and non-inflected words. Xviith century grammarians use the term with great extend when they are facing a difficulty to classify a word which doesn't exist in latin or cannot be translated literally. By another way, vaugelas, the leading exponent of the 'usage school', refer the good usage of french language to the usage of the particles, regarded as the spirit of our vernacular. In the article 'particle' of the encyclopaedia, beauzee puts an end to this view denying the assumption that particles are one of the parts of speech and restraining to affix their function. The purpose of this work is also to bring a contribution to the history of the grammatical terminology and all the words called particles by grammarians during the period investigated are listed in the appendix
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Chebouti, Karim. "Le vocabulaire médical du point de vue des trois fonctions primaires." Thesis, Paris 13, 2014. http://www.theses.fr/2014PA131006/document.

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Abstract:
Cette thèse s’inscrit à la fois dans le cadre de la théorie des trois fonctions primaires qui s’inspire de la théorie distributionaliste de Z. Harris (la fonction prédicative, la fonction argumentale et la fonction actualisatrice) et dans la lignée des travaux qui ne distinguent pas la langue générale des langues spécialisées, du point de vue de leur fonctionnement syntaxique et sémantique. La terminologie médicale est décrite, ici, dans le cadre de la phrase. Nous avons analysé les termes médicaux selon leurs emplois prédicatifs ou argumentaux. Cette analyse a donné lieu à l’élaboration de bases de données. Une interface d’interrogation a été élaborée, par la suite, afin de permettre aux utilisateurs potentiels d’effectuer des recherches ciblées
This thesis falls within the framework of the Three Primary Functions theory based on Z. Harris’s distributionalist theory (predicative function, argumental function and actualizing function), as well as in the line of work that does not distinguish between general and specialized languages considering their syntactic and semantic functioning. The medical terminology is described here in the context of the sentence. We analyzed the medical terms according to their argumental or predicative employment. This analysis led to the development of databases. A query interface has been developed subsequently, to allow potential users to conduct targeted research
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Elalouf, Aurélia. "Histoire de la première nomenclature grammaticale officielle en France (janvier 1905 - avril 1911)." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCA134.

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Abstract:
L’étude retrace l’histoire de la première nomenclature grammaticale officielle en France, depuis les premiers débats publics sur la nécessité d’une simplification et d’une unification terminologiques (à partir de janvier 1905) jusqu’à la promulgation des trois textes officiels que sont l’arrêté du 25 juillet 1910 (qui fixe la liste des termes grammaticaux dont la connaissance est exigible dans les examens et concours de l’enseignement primaire et de l’enseignement secondaire) ainsi que la circulaire du 28 septembre 1910 et la note du 21 mars 1911 (qui précisent la manière dont doit être mis en œuvre l’arrêté). L’étude soulève des enjeux politiques, théoriques et épistémologiques : la simplification et l’unification des nomenclatures grammaticales répond à la volonté de l’État d’améliorer la maitrise de la langue nationale et d’unifier son enseignement sur tout le territoire ; l’élaboration de la nomenclature révèle les problèmes posés par l’analyse des constructions verbales et de la phrase complexe au début du XXe siècle ; la réforme des nomenclatures met en lumière la tension entre un idéal terminologique et la réalité des pratiques. Ces enjeux croisent à tous moments des questionnements d’ordre didactique : sur la place d’un enseignement explicite de la grammaire dans l’enseignement de la langue, sur les relations que les savoirs scolaires entretiennent avec les savoirs savants ou encore sur les limitations imposées par ce qui peut être enseigné
This study recounts the history of the first official grammatical nomenclature in France, since the first public debates on the necessity of a terminological simplification and unification (from January 1905) to the promulgation of the three official texts that are the decree of the 25th of July 1910 (that fixes the list of the grammatical terms that have to be known in the exams and examinations of both primary and secondary educations) as well as the circular of the 28th of September 1910 and the note of the 21st of March 1911 (that both explain how the decree has to be implemented). The study raises political, theoretical and epistemological issues: the simplification and unification of grammatical nomenclatures encounter the State’s will to improve the command of the national language and to unify education on the entire territory; the elaboration of the nomenclature reveals the problems caused by the analysis of verbal constructions and the complex sentence at the beginning of the 20th century; the reform of the nomenclatures highlights the tension between a terminological ideal and the reality of practices. These issues consistently intersect with didactic questions: on the place of an explicit teaching of grammar in the teaching of language, on the relations that school knowledge has with academic knowledge or furthermore on the limitations imposed by what can be taught
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Gomez, Lucia. "Conceptualisation et expression linguistique de l'évènement émotionnel en espagnol (L1/L2) et en français : une approche cognitive : analyse linguistique et proposition didactique." Thesis, Grenoble, 2012. http://www.theses.fr/2012GRENL022/document.

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Abstract:
Cette étude, qui s'inscrit dans le cadre théorique de la linguistique cognitive, répond à l'objectif de répertorier et de caractériser les ressources nécessaires pour l'expression de l'évènement de changement émotionnel en espagnol (L1 et L2) et en français (L1), à l'aide d'une approche à la fois descriptive et contrastive. Les résultats obtenus, qui viennent s'additionner à des connaissances provenant d'autres sources, ont permis de formuler des recommandations didactiques pour l'enseignement des notions de changement et d'émotion en langue étrangère
The aim of this Ph.D. Thesis, which is based on the theoretical framework of Cognitive Linguistics, is to identify and characterize (in a descriptive and contrastive manner) the resources related to the expression of the change of emotion event in Spanish (L1 and L2) and French (L1). Thanks to our findings, but also to other data sources, we were also able to make some pedagogical propositions for the teaching of the notions of change and emotion in a second language
Este trabajo de investigación, que se inscribe en el marco teórico de la lingüísticacognitiva, responde al objetivo de repertoriar y caracterizar los recursos necesariospara la expresión del evento de cambio emocional en español (L1 y L2) y en francés(L1), bajo un enfoque tanto descriptivo como contrastivo. Los resultados obtenidos,junto con otras fuentes, han permitido formular algunas recomendaciones didácticaspara la enseñanza de las nociones de cambio y emoción en lengua extranjera
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Safa, Parivash. "L' expression de l'inchoativité en français et en persan." Besançon, 1995. http://www.theses.fr/1995BESA1022.

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Lablanche, Anne. "L’infinitif complément d'un verbe, d'un adjectif, d'un nom : écriture d'un fragment de grammaire." Paris 10, 2007. http://www.theses.fr/2007PA100111.

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Abstract:
Le but de cette thèse est de construire un fragment de grammaire du français rendant compte de la syntaxe de l'infinitif dans le cadre des grammaires d'arbres polychromes (GAP). La thèse se compose de deux parties. La première concerne l'étude des problèmes que pose l'infinitif. L’infinitif, comme un verbe, a des compléments et le constituant qu’il forme avec ses compléments peut être lui aussi un complément d’un verbe, d’un nom, d’un adjectif. Ce que les grammaires traditionnelles traduisent en parlant d'une double nature : il possède à la fois des propriétés nominales et verbales. D’où une difficulté spécifique pour faire entrer la syntaxe de l’infinitif dans un modèle formel qui puisse se prêter au traitement automatique. Nous appelons constituant infinitif l’unité composée d'un verbe infinitif et de ses compléments. Il est expliqué pourquoi ce terme est préféré à celui de « proposition subordonnée infinitive ». La seconde partie aborde l'analyse syntaxique des constituants infinitifs en GAP et s'organise autour des contextes dans lesquels apparaît l'infinitif (un verbe, un nom, un adjectif). Le choix d’une représentation en GAP permet de mettre à l’épreuve ce formalisme et de montrer l’intérêt qu’il y a de séparer les fonctions syntaxiques des catégories. Ainsi peut-on rendre compte des cas où un constituant d'une catégorie non nominale occupe une position en général occupée par un nom. Ce travail aura permis, en s’intéressant à la question de la syntaxe de l’infinitif, en partant d’une réinterrogation de certaines études en provenance des grammaires traditionnelles, de parvenir à l’enrichissement d’un formalisme élaboré dans la perspective du TAL
The aim of this thesis is to build a piece of French grammar explaining the use of the infinitive syntax within the framework of polychrome tree grammars. The thesis comprises two parts. The first part studies problems associated with the infinitive. The infinitive, like a verb, has complements and the component it forms with its complements can in turn be the complement to a verb, a noun or an adjective. Traditional grammars express this as the double nature of an infinitive: it has the properties of a verb and of a noun/ it has both verbal and nominative properties. It is therefore difficult to insert the infinitive syntax into a formal model allowing the use of computational linguistics. We define the infinitive component as the unit comprising an infinitive verb and its complements. We explain why this term is preferable to “infinitive subordinated proposition”. The second part examines the syntactic analysis of infinitive components within the framework of polychrome tree grammars and is organized around the contexts in which the infinitive is used (a verb, a noun, an adjective). A polychrome tree grammar representation makes it possible to test this formalism and demonstrates the benefits of separating the syntactic function of each category. One can thus explain the cases in which the component of a non-nominal category performs a role generally performed by a noun. Finally, this work on the syntax of the infinitive, which revisits certain studies from traditional grammars, enriches the formalism constructed within the framework of computational linguistics
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Books on the topic "Français (langue) – Grammaire – Terminologie"

1

Maurice, Grevisse. Le bon usage: Grammaire française. Paris: Duculot, 2001.

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2

Maurice, Grevisse. Le Bon usage: Grammaire française. [Paris]: Duculot, 1993.

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3

Maurice, Grevisse. Le bon usage: Grammaire française. Paris: Duculot, 1986.

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4

Maurice, Grevisse. Le bon usage: Grammaire française. Paris: Duculot, 1988.

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5

Wilmet, Marc. Grammaire critique du français. 2nd ed. [Paris]: Hachette, 1998.

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6

Wilmet, Marc. Grammaire critique du français. 3rd ed. Bruxelles: Duculot, 2003.

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7

La grammaire du français. Paris: Belin, 1997.

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8

Gardes-Tamine, Joëlle. La grammaire. 2nd ed. Paris: Colin, 1990.

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9

Jacques, Laurin, ed. Ma grammaire. Montréal, Qué: Éditions de l'Homme, 2006.

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10

Dubois, Jean. La nouvelle grammaire du français. 2nd ed. [Paris]: Larousse, 1989.

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Book chapters on the topic "Français (langue) – Grammaire – Terminologie"

1

"Chapitre 10 Les interventions sur les parlers, l’équipement de la langue, les facteurs sociolinguistiques." In Grande Grammaire Historique du Français (GGHF), 135–56. De Gruyter Mouton, 2020. http://dx.doi.org/10.1515/9783110348194-013.

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ZHANG, Li. "Réflexion didactique sur le face à face distant entre le chinois et le français." In Distance entre langues, distance entre cultures, 73–78. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3691.

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Abstract:
Le face à face entre le français et le chinois est d’emblée marqué par la distance : une langue fortement structurée, et une autre où règnent la concision et la juxtaposition de l’autre. Ce dernier type de langue est considérée comme la langue «sensible au contexte». Pourtant, du point de vue de l’ensemble de la grammaire, la langue «sensible au contexte» montre quand même certaine insensibilité au contexte qu’on ne trouve pas dans bien des autres langues «sensibles à la syntaxe». Comment gérer la dépendance au contexte du chinois au plan didactique et pédagogique ? Comment profiter de cette insensibilité au contexte pour remédier à la dépendance au contexte ? La réflexion sur ces problèmes plus fondamentaux peut avoir en effet en retour sur l’apprentissage.
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DIKI-KIDIRI, Marcel. "Comment la traduction a fait évoluer la langue sängö." In La traduction et l’interprétation en Afrique subsaharienne : les nouveaux défis d’un espace multilingue, 53–78. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3542.

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Abstract:
Ce texte témoigne de la contribution de la traduction à l’évolution de la langue sängö. L’histoire tourmentée de la République centrafricaine a généré de nombreux cas qui nécessitent un traitement juridique, que ce soit en déférant des personnes aux tribunaux ou en organisant l’assistance aux réfugiés. Toutes ces opérations s’accompagnent d’une intense activité de traduction qui a permis le développement rapide de la terminologie juridique et administrative en sängö. Le plus souvent, il ne s’agit pas de créer des néologismes savants, mais plutôt d’organiser et de normaliser le vocabulaire à l’intérieur d’un même microchamp sémantique spécialisé tel que la gestion des réfugiés, l’évaluation, la bureautique, l’Internet, l’environnement scolaire, l’enseignement des mathématiques, etc. Le lexique évolue à mesure que la normalisation s’étend à d’autres microchamps sémantiques. Ainsi le lexique évolue grâce à la traduction. La traduction d’interviews enregistrées permet de constater le phénomène de l’interlangue, étudié par de nombreux spécialistes de l’acquisition d’une langue étrangère, et la communication dans celle-ci par des adultes. Le projet éducatif porté par l’ONG tchèque SIRIRI, qui a décidé de relancer l’école primaire en sängö après que la guerre a tout détruit, a permis à l’auteur de contribuer à traduire des livres scolaires de cette ONG et son site Web. Outre les vocabulaires de spécialités qui bénéficient d’une croissance rapide et d’une normalisation grâce à la traduction, quelques points de grammaire aussi sont confortés ou modifiés sous son influence, notamment l’expression d’un sujet indéfini ou impersonnel et la double négation.
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4

Weber, Corinne. "Réflexion épistémologique en didactique du français langue étrangère sur la place de la grammaire de l’oralité?" In The History of Grammar in Foreign Language Teaching, 229–44. Amsterdam University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1b0fvzr.15.

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5

Weber, Corinne. "Réflexion épistémologique en didactique du français langue étrangère sur la place de la grammaire de l’oralité?" In The History of Grammar in Foreign Language Teaching. Nieuwe Prinsengracht 89 1018 VR Amsterdam Nederland: Amsterdam University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.5117/9789463724616_ch12.

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Abstract:
This chapter aims to highlight that learners of the French as a foreign language need to understand the characteristic patterns of oral grammar in order to be autonomous in their communication. I identify the main trends in the way spoken discourse (lexical and syntactic) is organized, which differs from the explanations of traditional morphological grammars. These orientations, in the service of teacher reflexivity, help to move away from representations based on the ideological paradigm of several centuries of history that must first be understood. The insights from oral linguistics studies and authentic resources underpin our discussion.
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Weber, Corinne. "12. Réflexion épistémologique en didactique du français langue étrangère sur la place de la grammaire de l’oralité?" In The History of Grammar in Foreign Language Teaching, 229–44. Amsterdam University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.1515/9789048544479-014.

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Conference papers on the topic "Français (langue) – Grammaire – Terminologie"

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Barbazan, M. "Principes d'une grammaire prédictive du discours (français langue étrangère et maternelle)." In Congrès Mondial de Linguistique Française 2008. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2008. http://dx.doi.org/10.1051/cmlf08115.

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Paolacci, V., and C. Garcia-Debanc. "Apprendre et enseigner la grammaire aujourd'hui en français langue première. Le cas de la ponctuation en production écrite en sixième." In Congrès Mondial de Linguistique Française 2008. Les Ulis, France: EDP Sciences, 2008. http://dx.doi.org/10.1051/cmlf08180.

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