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Journal articles on the topic 'Français (langue) – Phrase nominale'

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1

Goldsmith, John, and Jessie Pinkham. "Sur les phrases du type « Elle a de qui tenir »." Revue québécoise de linguistique 15, no. 2 (May 27, 2009): 273–77. http://dx.doi.org/10.7202/602570ar.

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Abstract:
Résumé L’existence des phrases telles que « elle a de qui tenir », où le mot de fait partie d’une expression idiomatique, suggère qu’une position nulle peut apparaître dans certaines positions syntaxiques (par exemple, après certains verbes d’existence) si elles sont suivies par certaines structures qui se comportent comme des relatives à temps non-fini (ici, « de qui tenir »). De telles structures se rencontrent dans d’autres langues romanes. Pourtant, d’autres phrases qui ressemblent à ce premier groupe existent en français (à la différence des autres langues romanes) où le de en question n’est pas la préposition indépendente de, mais plutôt le de qui se trouve au sein du syntagme nominal uniquement en français (par exemple, « elle a de quoi boire »).
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Schlamberger Brezar, Mojca. "La phrase emhatique et ses équivalents en Slovene." Journal for Foreign Languages 7, no. 1 (December 30, 2015): 155–65. http://dx.doi.org/10.4312/vestnik.7.155-165.

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Abstract:
L'importance de bonnes connaissances en grammaire française dans l’enseignement universitaire avait depuis toujours une position centrale dans le cadre du Département des langues et littératures romanes de la Faculté de Lettres de l’Université de Ljubljana1. L’enseignement de la grammaire procédait par la morphologie verbale et non-verbale et aboutissait à la syntaxe comme le point culminant. La syntaxe du français, enseignée par Mme Elza Jereb, était centrée surtout sur l’usage contemporain du français, prenant en compte aussi bien le français standard que les expressions plus familières. Sa grammaire Francoska slovnica po naše (Jereb 1995) est une grammaire du français langue étrangère qui se veut pédagogique à l'instar des grammaires pédagogiques françaises, parues dans la même époque. Nous pouvons souligner ici la différence entre une grammaires de référence ou descriptives, qui englobe le savoir sur une langue, et les grammaires d’apprentissage ou pédagogiques, qui se veulent utiles pour l’apprenant d’une langue étrangère.
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Maniez, François. "La traduction du nom adjectival en anglais médical." Meta 46, no. 1 (October 2, 2002): 56–67. http://dx.doi.org/10.7202/003548ar.

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Abstract:
Résumé La traduction du groupe nominal est une tâche délicate pour le traducteur scientifique, en particulier pour celui qui traduit à partir d'une langue comme l'anglais, où la prémodification nominale est d'usage fréquent, vers le français, qui n'a pas recours à cette structure syntaxique. Cet article examine le choix auquel est confronté le traducteur médical devant les structures anglaises contenant des noms adjectivaux (dans un grand nombre de cas, soit le complément de nom soit l'adjectif peuvent être utilisés en français) et étudie quelques-unes des contraintes dont dépend ce choix.
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Weinstein, Charles. "Quelques données sur la langue tchouktche." Études/Inuit/Studies 31, no. 1-2 (January 20, 2009): 223–49. http://dx.doi.org/10.7202/019724ar.

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Abstract:
Résumé La langue tchouktche appartient à la même famille linguistique que les dialectes koriaks. De nos jours le processus d’extinction de la langue parlée paraît irréversible alors que vers 1950 les Tchouktches parlaient encore tous leur langue. Le lexique révèle une grande variété, particulièrement en ce qui concerne l’espace et le temps, la toundra, la mer, les phénomènes naturels, les coutumes. Plus de 320 mots désignent le renne. Des éléments du lexique sont communs à la langue des Tchouktches et à celle des Yupiget de Sibérie, de même que certains traits de langue. La langue tchouktche est beaucoup plus variée dans le domaine de la morphologie et de la syntaxe que ne le laissent supposer les descriptions faites à ce jour. Le fonctionnement de la langue est marqué notamment par les phénomènes de l’harmonie vocalique, l’existence de parlers masculin et féminin, le rôle important de l’affixation, l’emploi fréquent de verbes auxiliaires dans la phrase, l’existence de nombreux gérondifs et leur usage dans la prédication, la large polyvalence des temps du verbe et des cas de la flexion nominale.
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5

Vaupot, Sonia. "La détermination nominale: article et quantificateur." Linguistica 42, no. 1 (December 1, 2002): 131–42. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.42.1.131-142.

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Abstract:
Le présent article se propose d'examiner certaines occurrences de syntagmes nominaux et plus par­ ticulièrement de détermination nominate. L 'accent sera mis sur quelques cas susceptibles de répon­ dre enpartie aux exigences d 'unapprenant slovène puisque la détermination en slovène se manifeste entre autres à I 'aide des déclinaisons ou des prépositions et non de l'article. fl s 'agira essentielle­ ment de mettre en évidence I 'opposition article et quantificateur.Les déterminants du nom sont définis de manière classique comme Jes unités fonc­ tionnelles qui, antéposées au nom, permettent de construire un syntagme nominal min­ imal constituant la phrase. Ainsi "un" ou "Jes" sont des déterminants puisqu' on peut avoir "un chien aboie" ou "les chiens" tandis que la construction "*méchant chien aboie" est jugée agrammaticale en français ("méchant" ne faisant pas partie de cette classe). L'énoncé "un chien aboie" est certes ambigu car il peut désigner I'animal en train d'aboyer ou un type de cri appartenant à la classe des chiens. Le contexte permet en général de lever l'ambiguïté. Parfois, le syntagme nominal peut être construit sans déterminant, mais il s'agit des cas de non-détermination qui ne feront pas l'objet de cette courte étude.
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Napoli, Donna Jo, and Jacqueline Giry-Schneider. "Les prédicats nominaux en français: Les phrases simples à verb support." Language 65, no. 2 (June 1989): 428. http://dx.doi.org/10.2307/415359.

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7

PERDICOYIANNI-PALEOLOGOU, H. "Rev. N. Lanérès, Les formes de la phrase nominale en grec ancien. Etude sur la langue de l'Iliade." Orbis 40, no. 1 (January 1, 1998): 275–79. http://dx.doi.org/10.2143/orb.40.1.505049.

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8

Smolej, Mojca. "Les spécificités du discours indirect dans l'échange oral spontané en slovène." Linguistica 52, no. 1 (December 31, 2012): 297–307. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.52.1.297-307.

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Abstract:
Contrairement à ce que l'on peut constater dans d'autres langues (notamment en français), le discours indirect en slovène est caractérisé par la possibilité laissée à l'énonciateur de faire l'ellipse du verbe d'énonciation pour lui préférer un verbe exprimant son opinion ou son état d'esprit. Or, si on aboutit dans la langue écrite standard à une ellipse partielle (par exemple, le verbe d'énonciation est remplacé par un verbe d'opinion dans la phrase introductive du discours indirect), en revanche on peut souvent remarquer dans les énoncés tirés de la langue parlée spontanée une ellipse totale (la phrase introductive ne comporte aucun verbe d'énonciation, d'opinion ou d'état d'esprit). Dans bien des cas, les phrases introductives n'indiquent que l'auteur de l'acte discursif initial et le destinataire de ce dernier (singulièrement mentionné le plus souvent à l'aide de l'accusatif). En dehors de l'ellipse complète du verbe dans les phrases introductives, on distingue également d'autres types de transmission du discours indirect absentes des autres formes écrites ou orales de la langue. Parmi les types de discours indirect les plus fréquents, mentionnons le cas où seule la citation est fournie, introduite par un signal discursif accompagné du lexème "da" ("que"), tandis que la phrase principale ou introductive reste non réalisée. En tant que structures caractéristiques du discours parlé spontané, les formes de discours indirect mentionnées précédemment présentent un intérêt non seulement pour les grammairiens étudiant la syntaxe structurale, mais aussi, plus généralement, du point de vue discursif et métatextuel.
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9

Klævik-Pettersen, Espen. "V2, phases, et périphérie gauche : Remarques sur la topicalization en français et en norvégien." Oslo Studies in Language 12, no. 1 (June 29, 2021): 87–104. http://dx.doi.org/10.5617/osla.8911.

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Abstract:
Dans les langues romanes et germaniques, le procédé de topicalisation consiste à déplacer en début de phrase un constituent pour lui conférér une interprétation précise, à savoir celle d’un topique/thème. Au-delà de cette caracteristique partagée, les deux groupes de langues se distinguent par deux aspects purement formels : les langues romanes ont recours à un élément de reprise sans autre changement dans l’ordre des mots, tandis que les langues germaniques V2, de façon inverse, emploient l’inversion sujet-verbe sans élément de reprise. Dans cet article, je compare la topicalisation en français et norvégien standards. En m’appuiant sur la théorie des phases (Chomsky, 2000), je propose que le type de topicalisation (avec vs. sans reprise) et le mouvement du verbe (T0 vs. C0) sont étroitement liés. L’hypothèse présentée est que la périphérie gauche d’une langue V2 et celle d’une langue non V2 sont différentes, et que le facteur décisif est le statut phasal ou non de la tête Fin0.
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Aziz, Yowell Y. "Explicit and Implicit Reference in Arabic-English Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 39, no. 3 (January 1, 1993): 129–50. http://dx.doi.org/10.1075/babel.39.3.02azi.

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Abstract:
La référence explicite et implicite dans la traduction de l'arabe en anglais Le terme 'référence' désigne la relation qui existe entre une expression nominale et un individu ou un objet du monde extérieur, réel ou fictif. Cette relation est créée par rénonciation de l'expression nominale au sein d'une phrase à une occasion donnée. Une expression (et donc sa référence) est dite explicite dans la mesure où elle répond à deux conditions: (1°) elle doit être détaillée, claire et fournir une information qui permettra d'identifier le référant visé; (2°) la référence d'une expression doit être directe. Toute référence indirecte constitue une référence de 'deuxième rang' et est donc implicite. Le caractère explicite des expressions de référence se présente toutefois comme une gamme allant des expressions les plus explicites que sont les noms propres, aux moins explicites, les pronoms, en passant par les propositions contenant un nom commun. Entre la première et la dernière catégorie d'expressions de référence — les noms propres et les propositions nominales — on distingue toute une série de sous-catégories dont le caractère explicite est plus ou moins marqué. Dans le présent article, l'auteur défend l'hypothèse selon laquelle la référence explicite-implicite diffère d'une langue à l'autre. Il compare des traductions de textes équivalents en arabe et en anglais et analyse les choix qui s'opèrent au niveau du caractère explicite dont il est question plus haut. Les résultats indiquent que les textes rédigés en arabe et en anglais diffèrent par l'usage qu'ils font de diverses expressions de référence. Dans l'ensemble, les textes anglais ont tendance à présenter un caractère explicite plus marqué dans le domaine des noms propres, tandis que les textes arabes préfèrent souligner le caractère explicite en utilisant des propositions nominales comprenant l'article défini et les adjectifs possessifs et démonstratifs.
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Junker, Marie-Odile. "L’effet V1: le verbe initial en moyen français." Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 35, no. 4 (December 1990): 351–71. http://dx.doi.org/10.1017/s0008413100013931.

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Abstract:
Le moyen français (MF) est une langue à sujet nul qui permet les sujets postverbaux et dont le verbe occupe généralement la seconde position. N’importe quel constituant peut occuper la première position de la phrase, y compris le sujet. Le sujet nul et le sujet postverbal sont habituellement le fait des langues romanes. L’effet du verbe second, “l’effet V2”, est caractéristique des langues germaniques. Une question longuement débattue par la tradition philologique (Foulet 1928; Herman 1954; Hilty 1968; Kuen 1957) est celle de l’influence des langues germaniques sur l’évolution du francais. Fidèles en ce sens à cette tradition, mais dans le cadre de la grammaire générative, Benincà (1984) puis Adams (1987) et Vance (1987) ont appliqué l’analyse proposée par Thiersch (1978) pour l’allemand à l’ancien français (AF) en assumant deux règles de mouvement: antéposition du verbe tensé et topicalisation de n’importe quel adverbe ou NP en position initiale. Le caractère obligatoire de la règle de topicalisation V2 est mis en doute par l’existence de phrases déclaratives à verbe initial en ancien et en moyen français. En effet, on en trouve de la Chanson de Roland (XIIe siècle) jusqu’à Rabelais et Montaigne (XVIe siècle) tant en phrases matrices qu’en phrases subordonnées.
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Zolotukhin, Denis. "Les termes, les objets, les notions et les points de vue de la linguistique : problèmes de corrélation." SHS Web of Conferences 78 (2020): 05014. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207805014.

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Abstract:
La présente contribution vise à analyser quelques problèmes structurels et épistémologiques de la terminologie linguistique dans le français. Par le biais d’une approche sémantique, nous mettons en évidence les particularités du sens terminologique, sa corrélation avec la notion scientifique et sa dépendance de l’objet de recherche linguistique, c’est-à-dire du fait langagier de départ. L’analyse des cas précis des termes phrase, sémantème, langue parmi d’autres met en relief l’importance du « jeu » des points de vue dans le domaine linguistique contribuant à la modification de l’extension et de l’intension des sens. En guise de la résolution des problèmes, nous recourrons aux approches de la terminologie générale ainsi qu’à l’application des théories épistémologiques permettant d’introduire une distinction entre des concepts de terminologie et de système terminologique, de termes et de prétermes, de termes aspectuels et de termes synthétisants, de relations intersystémiques et de relations intrasystémiques.
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Fitri, Endah Ayu, Sri Rejeki Urip, and Anastasia Pudjitriherwanti. "Les Propositions Subordonnées Dans Le Roman Madame Bovary Par Gustave Flaubert." Lingua Litteratia Journal 7, no. 1 (May 29, 2020): 31–34. http://dx.doi.org/10.15294/ll.v7i1.38823.

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Abstract:
La phrase complexe en français contient deux ou plusieurs verbes conjugués, elle est donc composée de deux ou plusieurs propositions est un mot français invariable qui sert à lier des mots, ou des propositions. Cette phrase complexe se compose de trois types, c’est-à dire: la coordination, la subordination, et la juxtaposition. Chaque type des phrases complexes a une caractéristique qui le distingue des autres. Basée sur l’explication, le but de cette recherche est de trouver et d’identifier la nature et l’emploi des Les Propositions Subordonnées dans Le Roman Madame Bovary par Gustave Flaubert. Cette recherche parle des propositions subordonnées dans le roman Madame Bovary par Gustave Flaubert, consistent en la nature et la fonction de ces propositions subordonnées. Selon Martin et Lecomte (1962), la nature des propositions subordonnées se compose de six natures, c’est-à-dire : la proposition subordonnée complétive, la proposition subordonnée circonstancielle, la proposition subordonnée interrogatif, la proposition subordonnée relative, la proposition subordonnée infinitive, et la proposition subordonnée participe dont chacun a sa propre fonction. Cette recherche utilise deux approches, ce sont l’approche de théorétique (l’approche de la syntaxe) et l’approche de méthodologique (descriptive analytique qualitative). Les sources de données utilisées dans cette recherche sont les phrases indiquées comme les propositions subordonnées dans le roman Madame Bovary par Gustave Flaubert. La méthode de recueillir des données dans cette recherche est la méthode de simak (la méthode d’épargne) avec la technique de basse sadap (la technique de taraudage de langue) et les techniques avancées : la technique SBLC (la chercheuse ne participe pas à la conversation réelle) et la technique catat (la chercheuse a obtenu les données de prise de notes dans la carte de données). La méthode utilisée dans cette recherche est la méthode distributionnelle avec l’utilisation de la technique de basse Bagi Unsur Langsung (B-U-L), et puis continuée par les techniques avancées, c’est la technique d’ellipses. Les étapes de cette recherche sont: Collecter des données, identifier et classifier des phrases indiquées comme les propositions subordonnées et ensuite les arranger dans le corpus de données, lire tous les phrases indiquées comme les proposition subordonnées, traduire tous les phrases indiquées comme les propositions subordonnées, et analyser de la nature et la fonction des propositions subordonnées. Du résultat de la recherche, on peut conclure que la nature de la proposition subordonnée la plus trouvée est proposition subordonnée circonstancielle, et la fonction de la proposition subordonnée la plus trouvée est complément du nom dans la proposition subordonnée relative. Il est prévu que cette recherche donne une idée à l'étudiant du département de langue et de littérature étrangère, particulièrement le programme d'étude de littérature française pour faire des recherches sur la proposition subordonnée dans la langue française avec une perspective et un style d’analyse différents.
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Ruvoletto, Samantha, and Nori Kondo. "La liaison variable : des manuels scolaires japonais au jugement de locuteurs natifs." SHS Web of Conferences 78 (2020): 07010. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207807010.

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Abstract:
La liaison variable est un phénomène phonologique du français sujet à plusieurs contraintes para-linguistiques ou extra-linguistiques comme, par exemple, des facteurs sociolinguistiques et stylistiques (Durand et al., 2011). Sa variation fait que cette liaison pose des difficultés quand il s’agit de l’expliquer dans les manuels de français langue étrangère comme montré par Kondo (2012) dans son étude sur les manuels de FLE publiés au Japon. Dans cette étude, nous essayons de comprendre si les réalisations de la liaison variable présentes dans ces manuels correspondent aux réalisations potentielles de 30 locuteurs natifs (divisés en deux groupes : Groupe Formel et Informel). Dans une tâche de jugement, les participants entendent 50 phrases dans deux conditions : « liaison réalisée » (ex. il est[t] originaire [ilɛ.tɔ.ʁi.ʒi.nɛʁ]) ; « non réalisation liaison » (ex. il est originaire [ilɛ.ɔ.ʁi.ʒi.nɛʁ]) et doivent décider s’ils prononceraient plutôt la première ou la deuxième phrase. En comparant nos résultats avec les réalisations des manuels, nous nous rendons compte que si nous analysons exclusivement les contextes syntaxiques, les manuels proposent une réalisation de la liaison qui est plus normative que variable. Cependant si nous nous concentrons sur une analyse « mot à mot », ces mêmes manuels proposent des pourcentages de réalisation plus proches de l’usage qu’à la norme. Ces résultats nous permettent de réfléchir sur comment présenter la liaison variable dans les manuels de FLE.
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Thibeault, Joël, and Louise Larouche. "Poser les jalons d’une didactique de la grammaire du français en milieu minoritaire." Éducation Francophone en Milieu Minoritaire 11, no. 1 (April 2, 2016). http://dx.doi.org/10.21230/f3159h.

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Abstract:
<p class="Normal1"><span lang="EN-CA">In light of the challenges related to teaching and learning French where it is a minority language, the authors of this paper suggest a way to rethink grammar teaching and learning according to the sociolinguistic reality of pupils who are schooled in French outside of Québec, in Canada. Based upon a theoretical framework that combines the didactic of plurilingualism and the current didactic transposition of grammar teaching in French schools across Canada, the article discusses the use of the analytical tools provided by the new grammar – the syntactic manipulations and the basic sentence – as well as the articulation of the different components of the <em>French</em> discipline in a didactic sequence, while constantly emphasizing the specificities that characterize students who learn French in a minority setting.</span></p><p class="Normal1"><span lang="EN-CA">À la lumière des enjeux qui sont propres à l’enseignement et à l’apprentissage du français en situation de minorité linguistique, les auteurs proposent dans cet article une réflexion théorique et repensent la didactique de la grammaire en fonction de la réalité sociolinguistique dans laquelle évoluent les populations scolaires de langue française à l’extérieur du Québec, au Canada. À partir d’un cadre théorique composé de la didactique du plurilinguisme et de la transposition didactique actuelle en ce qui a trait à l’enseignement grammatical dans les écoles de langue française au Canada, ils abordent notamment l’utilisation des outils d’analyse qui sont offerts par la grammaire nouvelle – les manipulations syntaxiques et la phrase de base – et l’articulation des composantes de la discipline <em>français</em> au sein de séquences didactiques, et ce, en mettant l’accent sur les spécificités qui marquent les élèves scolarisés en français où cette langue est minoritaire. </span></p>
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