Academic literature on the topic 'Français (Langue) – Québec (Province) – Voyelles'

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Journal articles on the topic "Français (Langue) – Québec (Province) – Voyelles"

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Thur, Otto E. "La langue et la vie économique." Relations industrielles 23, no. 3 (April 12, 2005): 389–401. http://dx.doi.org/10.7202/027919ar.

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Abstract:
Après avoir fait état des aspirations engendrées par notre système d'éducation au Québec, l'auteur, un économiste bien connu, étudie l'ordre des centres de décision, et donc du pouvoir économique dans notre province. Ces deux prémisses l’amènent finalement à faire trois propositions en vue d'assurer des possibilités de travail en français chez nous.
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Taylor, Norman W. "L'industriel canadien-français et son milieu." Articles 2, no. 2 (April 12, 2005): 123–50. http://dx.doi.org/10.7202/055075ar.

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Abstract:
Même s'ils forment une très large majorité de la population de la province de Québec, les Canadiens français ne participent que dans une faible mesure à la direction et au développement de 1' économie de leur milieu. De cette situation, souvent soulignée mais rarement analysée de façon systématique, Norman W. Taylor a cherché une explication â partir de 1'examen des différences, du point de vue de leurs attitudes et de leur comportement, entre les chefs d'entreprise canadiens-français et canadiens-anglais de notre milieu. Il a interrogé 52 hommes d'affaires, dont 32 de langue française et 20 de langue anglaise. L'échantillon comprend des chefs d'entreprise de cinq régions industrielles importantes : celles de Montréal, Québec, Sherbrooke, Trois-Rivières et Victoriaville. Les entreprises représentées appartiennent à 1' un des trois secteurs industriels suivants : industrie du cuir, du bois, du fer et de 1' acier. L’auteur a aussi tenu compte, au moment du choix de ses informateurs, de la dimension des entreprises.
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3

O'Donnell, Paul E. "Language Policies and Independence Politics in Québec." Language Problems and Language Planning 21, no. 2 (January 1, 1997): 162–69. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.21.2.05odo.

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Abstract:
SOMMAIREL 'Indépendance et la politique linguistique au Québec Le Québec s'est octroyé, en 1977, une législation linguistique que l'on considère "la plus forte du monde démocratique." Cette loi essaie de "franciser" les entreprises québecoises, en même temps qu'elle oblige beaucoup de Québecois envoyer leurs enfants à une école de langue française. Une autre loi obligeait, dès 1988, les commerçants à avoir des affiches extérieures seulement en français. Le ton s'élève encore alors que le Parti Québecois convoque deux referendums sur la "souveraineté" (1980 et 1995). Ce texte dresse le bilan des vingt ans de legislation linguistique "musclée," et de la "referendomanie" qui domine, parfois, le discours sur l'aménagement linguistique. Quel que soit le résultat du prochain referendum, le gouvernement québecois devra attaquer lés problèmes économiques, démographiques, urbanistiques, et ceux de l'immigration. Ce texte défend l'hypothèse que, paradoxalement, le Québec a besoin des Anglophones québecois pour que le français survive dans la province (et dans le Canada). RESUMO Sendependeco kaj lingva politiko en Kebekio Ekde la jaro 1961, la parlamento de Kebekio komencis akcepti daŭre pli fortajn lingvajn leĝojn favore al la franca. Ĝis 1977 ĝi aprobis lingvajn leĝojn senegalajn en la libera mondo. Akto 101 konsiderinde limigas la nombron de studentoj, kiuj povas frekventi anglalingvajn lernejojn, dum ĝi klopodas starigi la francan kiel la lingvon de la laborejoj de Kebekio. Akto 178 (1988) malpermesis utiligon de lingvoj aliaj ol la franca sur eksteraj komercaj sildoj. Ĝis 1995 la Parti Québecois, kiu favoras sendependecon, dufoje postulis (kaj perdis) referendumojn pri "suvereneca asociiĝo" kun Kanado. Tiu ĉi teksto donas superrigardon al dudek jaroj da fortika lingvoplanado en Kebekio kaj ekzamenas la efikon de la institucia nestabileco de la provinco je la ekonomio, je lingvoplanado, kaj je rilatoj inter etnolingvaj grupoj. Ĝi ankaŭ klarigas kial Kebekio tiel forte elpasis por ŝirmi siajn lingvon kaj kulturon. La nuna studo konkludas, paradokse, ke Kebekio bezonas sian anglalingvan logantaron por garantii, ke la franca pluvivu.
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4

Pelletier, Réjean. "Le militant du R.I.N. et son parti." Articles 13, no. 1 (April 12, 2005): 41–72. http://dx.doi.org/10.7202/055558ar.

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Abstract:
C'est au cours de son congrès national d'octobre 1968 que le Rassemblement pour l'Indépendance Nationale s'est sabordé. Né en septembre 1960 comme mouvement d'éducation politique et groupe de pression, le R.I.N. s'est transformé en parti politique au cours d'un congrès spécial tenu à Montréal en mars 1963. Durant plus de huit ans, quoique minoritaire sur la scène politique québécoise, le R.I.N. s'est imposé comme catalyseur de la question nationale et point de référence des partis traditionnels sur le plan constitutionnel. Ayant su profiter du déblocage provoqué par la « révolution tranquille », il fut en même temps un élément actif de cette révolution. Un certain nombre d'idées qu'il avait lancées au cours de sa brève existence ont marqué les partis politiques au pouvoir ou furent reprises, plus tard, par le Parti Québécois. Sans le R.I.N., le visage actuel du Québec serait probablement différent de ce qu'il est effectivement. Mais si le R.I.N. a pu marquer la vie politique québécoise, il s'insère aussi dans le vaste courant nationaliste qui a traversé le Québec au cours du vingtième siècle. D'un nationalisme que l'on pourrait qualifier de culturel où il s'agit avant tout de défendre la langue et la culture françaises en s'opposant aux provinces anglophones afin d'affirmer, de cette façon, la spécificité française du Québec, la province est passée peu à peu à un nationalisme politique qui s'est incarné surtout (après le nationalisme négatif de Duplessis) dans ce que l'on a appelé la « révolution tranquille ». Il s'agit désormais d'assurer la défense du fait français par la reconnaissance d'une nation canadienne-française et donc d'un statut spécial pour le Québec qui est « l'expression politique » du Canada français et le point d'appui de tous ceux qui parlent français au pays. Par la suite s'établit une distinction entre le Québec et le Canada français. De plus en plus, le Québec ne cherche pas à s'affirmer en s'opposant au Canada anglais, mais à se définir par rapport à lui-même. Il n'est plus question du sort des minorités françaises en dehors du Québec que certains qualifient de combat sans issue, mais des pouvoirs nécessaires à l'État du Québec pour assurer sa survie et favoriser l'organisation et le développement de la vie collective des Québécois. Le R.I.N. a traversé une courte phase de nationalisme culturel au cours des années 1960 et 1961. Mais il s'inscrit aussi, dès sa fondation, dans le courant du nationalisme politique en réclamant l'indépendance du Québec. Bien plus, il fut pour ainsi dire l'incarnation même de ce courant en servant de point de référence aux autres partis politiques. Cependant, sous l'influence conjuguée de Pierre Bourgault à la tête du R.I.N. à partir de mai 1964 (et plus tard, d'Andrée Ferretti) et de revues à caractère socialiste comme Révolution québécoise et Parti pris, le nationalisme politique se mue progressivement en nationalisme socio-économique. Dès lors, l'indépendance politique devient un moyen pour la réalisation du mieux-être des Québécois et pour leur libération de l'emprise « capitaliste » autochtone et de la domination « impérialiste » américaine. Il s'agit d'assurer avant tout le développement social et économique du Québec au bénéfice de la collectivité québécoise tout entière et non pas de la seule bourgeoisie, qu'elle soit de langue française ou de langue anglaise. Sous cette optique, pour certains groupes, le socialisme doit passer avant l'indépendance. En d'autres termes, on est indépendantiste parce qu'on est socialiste — l'indépendance du Québec permettant l'établissement d'un socialisme véritable — et non pas l'inverse. Au sein du R.I.N., le nationalisme politique se double rapidement du nationalisme socio-économique. Le parti, en effet, va s'employer non seulement à réclamer l'indépendance politique du Québec, mais aussi à élaborer et faire connaître un programme ambitieux de développement économique et social pour le futur Québec indépendant. On pourrait ajouter que là aussi le R.I.N. fut un élément moteur de ce nouveau nationalisme, bien que le caractère socialiste de son programme fût nettement moins accusé que celui d'autres groupements de moindre importance et plutôt marginaux. Ce mariage du national et du social s'est surtout opéré au moment où le R.I.N. est devenu parti politique et a songé, de ce fait, à se doter d'un programme qui soit différent de celui des partis traditionnels. C'est donc sur cette toile de fond que s'inscrit le développement du R.I.N. au cours des années 1960-1968. C'est dans ce climat politique général qu'il convenait de le situer afin de mieux comprendre, par la suite, l'action des militants au sein du parti et la perception globale qu'ils avaient de leur propre formation politique.
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Bergeron, Christian. "L’importance de préserver la diversité des accents pour contrer l’insécurité linguistique en Ontario français." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no. 4 (February 14, 2019): 92–107. http://dx.doi.org/10.29173/af29376.

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Abstract:
Le Canada est un pays enrichi par le multiculturalisme et l’immigration, mais la protection et la valorisation de la langue française demeurent un enjeu majeur. Spécifiquement, les membres des communautés francophones en situation linguistique minoritaire au Canada (hors Québec) vivent des réalités variées et complexes. Dans ce contexte, certains luttent pour leurs survies afin d’éviter l’assimilation, alors que d’autres s’harmonisent avec la situation linguistique majoritaire anglophone, tout en conservant une identité linguistique francophone. Dans cet article, je porterai un regard analytique sur l’importance de préserver le pluralisme des accents francophones pour contrer l’insécurité linguistique chez les communautés francophones en situation linguistique minoritaire au Canada. Pour se faire, à partir de données du dernier recensement de Statistique Canada, je dresserai un portait des Franco-Ontariens de la province de l’Ontario ainsi que de l’immigration francophone. Ensuite, j’étudierai une capsule vidéo du groupe franco-ontarien Improtéine ainsi que des situations épilinguistiques afin d’étudier la notion d’insécurité linguistique, dont le rôle des accents. La typologie du linguiste français Louis-Jean Calvet sera utilisée pour analyser les situations épilinguistiques, à savoir l’insécurisation statutaire, formelle et identitaire. En conclusion, je présenterai des pistes de réflexion, inspirées des travaux de l’écrivain franco-libanais Amin Maalouf, qui pourront être pertinentes pour contrer l’insécurité linguistique.
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Hautecoeur, Jean-Paul. "Variations et invariance de l'Acadie dans le néo-nationalisme acadien." Articles 12, no. 3 (April 12, 2005): 259–70. http://dx.doi.org/10.7202/055537ar.

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Abstract:
On se représente trop souvent l'Acadie comme une société «monolithique», «unidimensionnelle», «non pluraliste», un peu comme la survivance d'un antique modèle de société hiérarchique où la transmission des traditions est rigoureusement contrôlée par des grands-prêtres ou des dignitaires initiés par la « patente », et méthodiquement rythmée par les rites et cérémonies du calendrier occulte. Une telle image constituée par analogie ressemble trop au type-idéal pour rendre compte de cette formation historique originale qu'est la société acadienne. Elle est aussi trop conforme, par certains côtés, aux canons d'une idéologie unitariste pour ne pas être soumise à la critique. Cette première représentation à laquelle se rattachent de nombreuses variations est très optimiste dans le sens où elle constitue un objet fini, non contradictoire, non problématique : la société existe en soi, tel est son modèle. Une deuxième représentation, moins « savante » que l'autre, consiste à définir l'Acadie comme un souvenir et à ne voir en l'Acadie actuelle qu'un terrain vague parsemé des débris d'une histoire malheureuse. Il resterait quelques ilôts acadiens au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Ecosse où on parle encore un français archaïque et où l'on continue à filer et à chanter, comme dans la chanson. Ce sont eux qui justifiaient que la province du Nouveau-Brunswick se déclare bilingue alors qu'elle était renommée pour son loyalisme à la couronne britannique... Cette image, trop pessimiste, à laquelle se rattachent aussi de nombreuses variations, a des relents de l'idéologie anglo-canadienne intégratrice qui nie à l'autre toute existence autonome pour, au mieux, en faire une originalité « culturelle » à préserver. Acadie traditionnelle, Acadie folklorique : deux stéréotypes — on pourrait en trouver d'autres — dont on découvre vite l'étroite filiation avec des formations idéologiques connues et qui ont tous deux pour conséquence de surdéterminer au départ le terrain sémantique ou de brouiller momentanément le champ d'investigation au « regard prolongé » (celui du sociologue, journaliste, homme politique, etc.). La société acadienne est en soi une certaine configuration de rapports sociaux dont il ne sera pas question dans cet article. Elle existe aussi pour soi dans les diverses théories qu'en ont les acteurs et groupements d'acteurs sociaux. Contrairement à la théorie ou idéologie dominante, j'emploie théories au pluriel et c'est précisément de l'aventure de l'idéologie contestataire de l'idéologie officielle qu'il sera question. L'existence même du discours discordant d'intellectuels et leaders étudiants détruit la théorie simplificatrice selon laquelle la société serait un consensus et ses leaders nationaux les « chefs naturels » incontestés. Il existe deux discours visant à définir les finalités et objectifs de la société globale qui ont en commun une grande cohérence et la même prétention à faire l'unanimité des consciences. La différence est que l'un vise à protéger et perpétuer une certaine lecture de la tradition et une certaine pratique de la culture, et comme tel il a la légitimité, alors que l'autre vise à changer lecture et pratique de la culture pour donner à la société un nouveau destin. Celui-ci n'a pas comme dans d'autres formations sociales la légitimité que pourrait lui conférer l'affiliation à un club, un parti, un syndicat ou tout autre groupement organisé et reconnu : il est tenu pour sauvage, quand il n'est pas tout simplement nié comme tel. Mon propos est le suivant : observer et comprendre le rapport des jeunes idéologues au signe Acadie ou Acadien, en suivre l'itinéraire pour retracer la genèse du projet collectif tout neuf de l'annexion de « L'Acadie » au futur Québec indépendant. Le contenu proprement dit de ce projet m'importe peu ; m'intéresse sa genèse en rapport avec le signe d'identité collective. Mon hypothèse était la suivante : il fallait que les étudiants conservent le signe, qu'ils lui donnent un sens explicite et positif pour faire entrer leur discours dans l'histoire ou pour lui donner des chances objectives de devenir collectif. Mieux : afin que le discours gagne la cohérence nécessaire pour entrer en concurrence avec le discours traditionnel, il devait faire du signe Acadie son centre. Le symbole primordial devait assurer la liaison entre l'ancien et le nouveau : il devait continuer d'être le lieu de l'échange entre le caché et le manifeste, entre la langue et la parole, entre la culture et les traditions. J'ai distingué, dans l'évolution du rapport des nouveaux idéologues au signe Acadie, trois moments qui reproduisent à peu de choses près trois étapes successives de la praxis collective des étudiants de l'Université de Moncton : le Ralliement de 1966, les «événements» de '67-'69, la «répression» de '70-'71. Je n'ai retenu pour ce travail que les exemples les plus significatifs, sélectionnés à partir d'un fichier systématique de la production idéologique acadienne de ces dernières années. Beaucoup de documents annexes ou connexes ne seront pas reproduits ici.
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Saint, Elizabeth C. "Ce cuisinomane, il est fou, dis !? – Opinions sur un néologisme et anticipation de son implantation dans l’usage." Cuizine 7, no. 1 (September 13, 2016). http://dx.doi.org/10.7202/1037391ar.

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Abstract:
L’innovation et les nouvelles tendances que connait le milieu culinaire donnent naissance à de nouveaux concepts, comme c’est le cas de foodie, en anglais. Au Québec, où la Charte de la langue française a fait du français la seule langue officielle de la province, l’Office québécois de la langue française a récemment proposé « cuisinomane » pour remplacer ce terme étranger. La présente étude, qui contribue à une meilleure compréhension des facteurs qui favorisent ou non l’implantation des termes dans l’usage linguistique, relève sur Twitter les opinions initiales des utilisateurs du réseau social au sujet du terme « cuisinomane ». Les résultats révèlent que les discours sur les termes auraient lieu sur une courte période après leur publication et comportent des indices qui éclairent sur les raisons de leur acceptation ou de leur rejet. En outre, les sentiments négatifs envers « cuisinomane » l’emportent sur les positifs, mais les raisons de ces sentiments diffèrent selon la langue dans laquelle les locuteurs s’expriment. Finalement, les sentiments positifs sont généralement associés à un désir de voir foodie remplacé par un autre terme.
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Breton-Carbonneau, Gabrielle, and Ailie Cleghorn. "What’s Language Got to do with it? An Exploration into the Learning Environment of Quebec’s Classes d’Accueil." Comparative and International Education 39, no. 3 (December 1, 2010). http://dx.doi.org/10.5206/cie-eci.v39i3.9165.

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Abstract:
This article stems from an on-going qualitative study of the ‘environment’ of Montreal’s elementary level welcome classes for new immigrant students (classes d’accueil), including teachers’ language attitudes and actual language practices in the classroom. Since the official language of instruction in Quebec is French, the classe d’accueil provides a unique setting for exploring many issues: how teachers look upon the linguistic and cultural diversity of their learners; how teachers negotiate their way between potentially opposing tensions-- to integrate newly arrived children into Quebec, and, to reinforce Quebec’s distinct cultural and linguistic status. By drawing on socio-cultural theory of language learning, this study explores the manner in which teachers might foster an inclusive learning environment in the classe d’accueil. Cet article est le résultat d’une étude qualitative en cours à l’école primaire qui analyse l’environnement des classes d’accueil pour nouveaux immigrants à Montréal. Elle analyse également les attitudes linguistiques et les pratiques langagières des professeurs dans la salle de classe. Comme la langue officielle de l’éducation au Québec est le français, ces classes d’accueil offrent un environnement unique pour explorer beaucoup de questions : comment les professeurs perçoivent-ils la diversité culturelle et linguistique de leurs apprenants, comment négocient-ils les tensions opposées, c’est-à dire comment font-ils pour intégrer des enfants qui viennent d’arriver au Québec en même temps que renforcer la particularité linguistique et culturelle de la province. Tout en se basant sur la théorie socio culturelle de l’apprentissage des langues, cette étude explore les différentes façons offertes aux professeurs qui encouragent la mise en place d’un environnement d’apprentissage inclusif en classe d’accueil.
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Deirdre, Meintel. "Ethnicité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.095.

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Abstract:
Le concept d’ethnicité est le sujet d’une vaste littérature qui a bénéficié des contributions d’auteurs issus de différentes disciplines, dont la sociologie, l’histoire, la science politique et la démographie. Nous faisons ici une revue sélective des ouvrages anthropologiques qui ont marqué le domaine. Le concept d’ethnicité en sciences sociales est généralement attribué au sociologue Max Weber (1921, 1971). Le sociologue allemand conçoit l’ethnicité comme une construction sociale; c'est-à-dire, comme le produit de rapports sociaux. De nos jours, l’approche constructiviste de l’ethnicité prédomine à travers toutes les sciences sociales, y compris l’anthropologie. C’est l’anthropologue Frederik Barth (1969) qui a théorisé l’aspect processuel de l’ethnicité, et ce, en lien avec l’ethnographie des relations intergroupes. Son approche se distingue en ce qu’elle problématise l’émergence de groupes ethniques et leur durabilité dans le temps. Comme l’a écrit Robin Cohen (1978 : 389), « l’ethnicité n’a pas d’existence en dehors des relations interethniques » (notre traduction). Avant d’aller plus loin, précisons certains des termes utilisés ici. « Ethnicité » englobe non seulement l’identité ethnique, mais aussi les modèles culturels qui caractérisent le groupe – certains d’entre eux servant à le délimiter –, les associations, institutions sociales, activités collectives et intérêts communs (Meintel 1993). À l’instar de Fischer (1986), nous ajoutons que l’ethnicité englobe aussi la mémoire, soit la quête des individus et des collectivités de traditions qui servent à développer une vision du futur. Bref, l’ethnicité concerne non seulement le passé, mais aussi le présent et l’avenir. Dans l’optique de Fischer, l’ethnicité n’est pas qu’une forme de distinction sociale, ou un élément de hiérarchisation : elle représente également une gamme de ressources symboliques. L’intérêt pour l’ethnicité en anthropologie doit beaucoup aux recherches en Afrique, notamment celles menées par l’École de Manchester dans les villes où les travailleurs migrants demeuraient. Dans leur optique, ces villes et les villages d’origine constituaient un seul champ social. Dans un vocabulaire centré sur le « tribalisme », des chercheurs britanniques liés à cette école, dont Godfrey et Monica Wilson, Max Gluckman, J. Clyde Mitchell et Elizabeth Colson parmi d’autres, ont développé le Rhodes Livingstone Institute, institut dédié à l’étude des cultures du nord de la Rhodésie (aujourd’hui la Zambie). Ces chercheurs étudiaient les transformations sociales et culturelles des paysans devenus travailleurs urbains. Dans ce contexte de contact intergroupes, les identités ethniques sont devenues prééminentes. Leur nouvelle importance dans les relations sociales des citadins s’illustre par la danse Kalela (Mitchell 1956). Ce rituel hebdomadaire d’invention urbaine où les danseurs mettaient en scène la diversité ethnique et des figures urbaines (médecin, infirmière, etc.). Ici, l’identité tribale (les danseurs provenaient du groupe Bisa) était réinventée comme une forme d’ethnicité urbaine (retribalisation dans les termes de Mitchell). Par ailleurs, Mitchell a développé un schéma de relations urbaines tripartite : relations personnelles, structurelles et « catégoriques ». Tandis que les relations structurelles étaient largement encadrées par les rôles fixes des participants (par exemple, ainé/cadet, patron/ouvrier), les relations « catégoriques » (categorical relationships) concernaient les relations ponctuelles et superficielles; par exemple, au marché, dans les foules urbaines (Mitchell 1966) et largement gouvernées par des stéréotypes ethniques, pas forcément négatifs (1966). Plus tard, Jean-Loup Amselle (1990) a soulevé la question du rôle du colonialisme dans la création de frontières artificielles entre les sociétés africaines. S’appuyant sur ses recherches auprès de plusieurs groupes maliens, notamment les Malinkés, les Peuls et les Bambaras, l’ethnologue propose, plutôt que de considérer les sociétés africaines comme des entités étanches où coïncident cultures, langues et frontières politiques et sociales, de les définir comme une « chaîne de sociétés » caractérisée par un « syncrétisme originaire ». Dans la même veine, Lee Drummond concevait les sociétés des Caraïbes comme un « continuum culturel » caractérisé par une hybridation incessante, perspective qu’il appliqua par la suite à la société pluriethnique de Montréal (1982). Bien que la diversité ethnique (et religieuse) soit le sujet de grands débats sociaux, les études ethnographiques sur les relations interethniques n’abondent pas. Celle de Gerd Baumann (1996) fait exception, l’anthropologue ayant étudié les discours identitaires des habitants d’un district de Londres très diversifié et densément peuplé. Sa monographie illustre bien la fluidité des identités, des discours et des pratiques à l’égard de l’ethnicité. La labilité des frontières ethniques, pour ne pas mentionner la variabilité de marqueurs qui les définissent est illustrée par l’identité « québécoise » au Québec, définie largement par la langue maternelle française, tandis qu’auparavant, les habitants de la province se considéraient plutôt comme Canadiens français, catégorie définie principalement par la confession catholique. Cette mutabilité des frontières et des marqueurs soulève la question de la légitimité des identités et des revendications de droits ou de ressources articulées dans le cadre de ce que plusieurs dénomment « la politique identitaire ». Ces enjeux sont au cœur des travaux d’anthropologues comme James Clifford (2000), parmi d’autres. Clifford se penche sur plusieurs sociétés autochtones, dont les Kanaks de Nouvelle-Calédonie et les Nisga’a de la Colombie-Britannique, pour critiquer la tendance de certains anthropologues (par exemple, Kuper 2003) à considérer les discours identitaires de groupes indigènes comme « essentialistes » et leurs pratiques culturelles adaptatives comme « inventées ». L’auteur affirme par ailleurs que les luttes de groupes subalternes obligent les anthropologues à revoir la notion de « tradition » et à la concevoir non pas comme un corpus culturel figé, mais plutôt comme une gamme de ressources qui sont constamment remaniées. Les sociétés indigènes ne représentent pas, évidemment, des « minorités ethniques » comme les groupes immigrants (Eriksen 1993); au Canada, le terme « Premières Nations » connote leur statut distinct. Cependant, on constate certaines similitudes entre les enjeux identitaires et politiques des peuples autochtones et les minorités ethniques (Cipolla 2017), à plus fort raison compte tenu du fait que la majorité des autochtones au Canada et au Québec vivent en dehors des réserves. Par exemple, les diasporas, telles que Clifford (1994) les présente, concernent les Juifs et les Arméniens mais aussi des peuples amérindiens forcés à quitter leurs territoires (Clifford 2007). Les études anthropologiques de l’ethnicité ont pris une nouvelle tournure avec les travaux de Nina Glick Schiller et ses collègues (Glick Schiller, Basch et Blanc-Szanton 1992) sur la transnationalité. Dans cette optique, l’ethnicité des groupes immigrants est abordée non seulement en rapport avec un territoire particulier (quartier, ville, etc.), mais aussi en lien avec le pays d’origine des migrants et d’autres régions du monde où se trouvent des personnes du même groupe. Les nombreuses études en sciences sociales influencées par ce courant révèlent les dimensions politiques et économiques des réseaux transnationaux des migrants, tout en montrant que la transnationalité ne concerne pas tous les migrants de manière égale. Enfin, le « champ social » où se construit l’ethnicité s’étend désormais au-delà des frontières nationales. Dans les années récentes, nombreux chercheurs ont préféré parler de diversité plutôt que d’ethnicité, pour englober des critères tels que la religion, la l’orientation sexuelle, etc. Comme d’autres le reconnaissent, la diversité n’est pas un concept rigoureux (Kraus date) ; certains considèrent la diversité comme l’angle mort du racisme (CJF) puisqu’elle peut occulter les inégalités entre groupes ethniques. La sociologue Danielle Juteau (2018, p. 38) insiste sur pertinence de l’ethnicité de nos jours pour développer une perspective critique sur la diversité, puisque « son approche relationnelle et constructiviste, souvent matérialiste et transversale, en éclaire diverses facettes » de la diversité. Nous avons eu l’occasion de constater la création de nouvelles catégories ethniques, notamment celle d’ « Arabes » pour désigner les musulmans du Moyen-Orient, repris par des jeunes musulmans eux-mêmes pour s’identifier (Meintel 2018, p. 6-7). L’ethnicité nous semble toujours actuelle comme outil conceptuel pour mieux comprendre les relations intergroupes et les inégalités qui les caractérisent.
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Childhood Studies, Journal of. "Appel de soumissions - L’apprentissage professionnel innovant en éducation à la petite enfance : inspirer l’espoir et l’action." Journal of Childhood Studies 41, no. 3 (December 22, 2016). http://dx.doi.org/10.18357/jcs.v41i3.16400.

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Abstract:
<p><strong>Rédacteurs invités: Joanne Lehrer (Université du Québec en Outaouais), Christine Massing (Université de Regina), Scott Hughes (Université Mount Royal), Alaina Roach O’Keefe (Université de l’Île-du-Prince-Édouard)</strong></p><p><strong></strong>Non seulement l’apprentissage professionnel est-il considéré comme essentiel à l’amélioration de la qualité éducative et comme soutien à l’apprentissage et au développement des enfants (par exemple, Lazarri <em>et al.</em>, 2013, Vandenbroeck <em>et al</em>., 2016), mais certains éléments de la formation initiale et continue ont été identifiés comme critiques pour transformer les identités professionnelles et la pratique des éducatrices (en SGÉ) et des enseignantes (au préscolaire). Par exemple, la réflexion critique et soutenue (Thomas et Packer, 2013), les expériences d’apprentissage ciblant des équipes entières (Vangrieken <em>et al</em>, 2016), les pratiques collaboratives qui visent le pouvoir d’agir des praticiennes (Helterbran et Fennimore, 2004) et la direction (Dolmer <em>et al., </em>2008) sont toutes considérées comme des moyens efficaces afin de soutenir l’apprentissage professionnel.</p><p>Bien qu’il semble y avoir consensus dans les écrits sur <em>ce qui doit être fait</em>, et même sur <em>la façon dont cela devrait être fait</em>, de nombreuses contraintes empêchent la mise en œuvre et le maintien d’un système d’apprentissage professionnel durable et transformationnel en éducation à la petite enfance. Vandenbroeck et ses collaborateurs (2016) vont au-delà de l’accent mis sur les individus et les équipes en identifiant deux autres niveaux nécessaires pour des systèmes compétents d’apprentissage professionnel : des partenariats entre les programmes locaux de l’éducation à la petite enfance et les institutions sociales, culturelles et éducatives (collèges et universités); et la gouvernance en matière de vision, de finances et de suivi. Dans le contexte canadien, la <em>Fédération canadienne des services de garde à l’enfance</em> a également souligné l’importance d’une stratégie cohérente visant à renforcer la main-d’œuvre en services de garde éducatifs (CCCF, 2016). Toutefois, l’éducation à la petite enfance au Canada relève des gouvernements provinciaux et territoriaux. Par conséquent, les conditions, les règlements, les exigences de certification, les programmes et les systèmes d’éducation varient considérablement d’une province ou d’un territoire à l’autre. Les exigences en matière d’éducation pour la qualification, par exemple, peuvent comprendre une formation non formelle (dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut), une formation de courte durée, un certificat d’un an ou un diplôme de deux ans. Cela complique les efforts pour définir qui est le professionnel de la petite enfance et quelles sont les possibilités constitutives de l’apprentissage professionnel (Prochner <em>et al</em>., 2016). Bien que ces disparités puissent entraver l’élaboration d’une stratégie cohérente, Campbell et ses collaborateurs (2016) ont récemment affirmé que l’on pourrait approfondir les apprentissages, en partageant et en appréciant la riche diversité des approches en matière d’apprentissage professionnel, à la fois au sein des provinces et des territoires et intra provinces et territoires. De plus, des exemples provenant d’autres pays permettraient d’élargir la discussion et d’élargir notre compréhension des possibilités (Vandenboreock <em>et al</em>., 2016).</p><p>Ce numéro spécial est donc consacré aux partages d’histoires d’espoir et d’actions concertées, reliant la théorie à la pratique. Nous attendons des propositions canadiennes et internationales liées aux pratiques d’apprentissage professionnel qui s’étendent au-delà des programmes individuels, mettant en vedette des partenariats et des efforts de mobilisation communautaire à l’intérieur et à travers différents contextes éducatifs liés à la petite enfance (Centres de la Petite Enfance, maternelle, halte-garderie, etc.) et en lien avec diverses thématiques : philosophiques, pratiques, critiques, transformatrices, personnelles et d’espoir. Chaque soumission répondra à une ou à plusieurs des questions clés, y compris, mais sans s’y limiter à :</p><ul><li>Comment conceptualiser l’apprentissage professionnel en éducation à la petite enfance?</li><li>Comment établir et maintenir des partenariats efficaces pour favoriser l’apprentissage professionnel?</li><li>Quelles stratégies de mobilisation communautaire transformatrice pourraient être partagées?</li><li>Comment les stratégies novatrices peuvent-elles être appliquées à une plus grande échelle?</li><li>Comment les pratiques d’évaluation et d’apprentissage professionnelles peuvent-elles être perturbées?</li><li>Quelle histoire de l’apprentissage professionnel avez-vous besoin de (ou voulez-vous) raconter?</li><li>Comment votre communauté a-t-elle été transformée par une activité, une pratique ou un évènement ou particuliers?</li><li>Comment la vie et l’avenir des enfants peuvent-ils être façonnés positivement par l’engagement dans les partenariats et la mobilisation?</li><li>Où pourrions-nous être dans 5, 10 ou 15 ans?</li></ul><p>Nous accepterons des soumissions dans des formats multiples, y compris des articles de recherche, des articles théoriques, des pièces multimédias, des œuvres d’art, des recensions de livres, etc. Ils peuvent être présentés en anglais, en français ou dans toute langue autochtone canadienne reconnue.</p><p>La date limite pour les soumissions est fixée au 1<sup>er</sup> aout 2017.</p><p> </p><p>References</p><p>Campbell, C., Osmond-Johnson, P., Faubert, B., Zeichner, K., Hobbs-Johnson, A. with S. Brown, P. DaCosta, A. Hales, L. Kuehn, J. Sohn, &amp; K. Steffensen (2016). <em>The state of educators’ professional learning in Canada</em>. Oxford, OH: Learning Forward.</p><p>Canadian Child Care Foundation [CCCF], (2016). <em>An Early Learning and Child Care Framework for Canada’s Children</em>. Retrieved from: http://www.cccf-fcsge.ca/wp-content/uploads/CCCF_Framework-ENG.pdf</p><p>Colmer, K., Waniganayake, M. &amp; Field, L. (2014). Leading professional learning in early childhood centres: who are the educational leaders<em>?, Australasian Journal of Early Childhood</em>, 39(4), 103-113.</p><p>Helterbran, V.R. &amp; Fennimore, B.S. (2004). Early childhood professional development: Building from a base of teacher investigation. <em>Early Childhood Education Journal, 31</em>(4), 267-271.</p><p>Lazarri, A., Picchio, M., &amp; Musatti, T. (2013). Sustaining ECEC quality through continuing professional development: systemic approaches to practitioners’ professionalization in the Italian context. <em>Early Years: An International Research Journal, 33</em>(2), 133-145.</p><p>Munton, T., Mooney, A., Moss, P., Petrie, P., Calrk, A., Woolner, J. et al., (2002). <em>Research on ratios, group size, and staff qualifications and training in early years and childcare settings</em>. London: University of London.</p><p>Penn, H. (2009). <em>Early childhood education and care: Key lessons from research for policy makers</em>. Brussels: Nesse.</p><p>Prochner, L., Cleghorn, A., Kirova, A., &amp; Massing, C. (2016). <em>Teacher education in diverse settings: Making space for intersecting worldviews</em>. Rotterdam, The Netherlands: Sense Publishers.</p><p>Thomas, S., &amp; Packer, D. S. (2013). A Reflective Teaching Road Map for Pre-service and Novice Early Childhood Educators. <em>International Journal of Early Childhood Special Education</em>, <em>5</em>(1), 1-14.</p><p>Vandenbroeck, M., Peeters, J., Urban, M. &amp; Lazzari, A. (2016). Introduction. In M. Vandenbroeck, M. Urban &amp; J. Peeters (Eds.) <em>Pathways to Professionalism in Early Childhood Education and Care</em>, (pp. 1-14). London: Routledge.</p><p>Vangrieken, K., Dochy, F., &amp; Raes, E. (2016). Team learning in teacher teams: team entitativity as a bridge between teams-in-theory and teams-in-practice. <em>European Journal Of Psychology Of Education - EJPE (Springer Science &amp; Business Media B.V.)</em>, <em>31</em>(3), 275-298. doi:10.1007/s10212-015-0279-0</p>
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Dissertations / Theses on the topic "Français (Langue) – Québec (Province) – Voyelles"

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Sigouin, Caroline. "Caractéristiques acoustiques des voyelles fermées tendues, relâchées et allongées en français québécois." Thèse, Université Laval, 2013. http://constellation.uqac.ca/2638/1/030585734.pdf.

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Abstract:
L'objectif de cette contribution est de décrire acoustiquement les variantes tendues, relâchées et allongées des voyelles fermées /i y u/ en français québécois, qui, sous l'accent, se retrouvent respectivement en syllabe ouverte, en syllabe fermée et en syllabe fermée par une consonne allongeante. 1350 occurrences extraites de la parole de 30 locuteurs de Rouyn-Noranda, de Saguenay et de Québec ont été analysées. Leur durée a été relevée, puis la fréquence fondamentale et la fréquence centrale des trois premiers formants (Fi, F2, F3) ont été estimées à 25, 50 et 75 % de cette durée. Les variantes tendues présentent le Fi le plus bas et les relâchées, le Fi le plus élevé; les allongées se situant entre les deux. En cours d'émission, les tendues et les allongées se tendent, mais les relâchées se centralisent. Les allongées sont celles qui présentent les trajectoires les plus importantes dans un diagramme F1 / F2.
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Desmeules-Trudel, Félix. "Perception des voyelles nasales du français québécois : aspects acoustiques et perceptifs." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/30407/30407.pdf.

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Abstract:
Nous effectuons une description acoustique des voyelles nasales (VN) du français québécois (FQ) et du portugais brésilien (PB), langues qui possèdent des VN dans leurs systèmes phonologiques. Nous montrons que les VN du FQ et du PB ont des timbres différents : celles du FQ sont plus dispersées, possèdent un contraste moins important (VN correspondantes) et une plus grande amplitude de mouvement formantique. Nous évaluons également la perception des VN du FQ chez des locutrices du PB. Nous montrons que [œ̃] est difficilement perçue car cette voyelle ne possède pas d’équivalent en PB; le timbre variable et la grande dispersion de [ẽ] rend difficile sa discrimination, mais le mouvement formantique contribue à son identification correcte; [ã] et [ɔ̃] sont plus facilement discriminées, mais [ã] est légèrement moins bien identifiée probablement parce qu’elle chevauche plusieurs catégories, et [ɔ̃] est bien identifiée étant donné ses similarités avec [õ] du PB.
We present an acoustic description of nasal vowels (NV) in Quebec French (QF) and Brazilian Portuguese (BP), languages that possess phonological NV in their inventories. We show that QF and BP NV have different vowel qualities: QF NV are more dispersed than BP’s, smaller contrast (for corresponding NV), and greater amplitude of formantic movement. We also assess discrimination and identification abilities of BP speakers for QF NV. We show that [œ̃] is difficult to perceive because it has no equivalent in Portuguese; variability of [ẽ]’s quality and its important dispersion makes it difficult to discriminate, while its formant movement contributes to its correct identification; [ã] and [ɔ̃] are more easily discriminated, but [ã] is misidentified in a greater proportion because it overlaps several categories, while [ɔ̃] is more easily identified because of its similarities with BP’s [õ].
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Riverin-Coutlée, Josiane. "D'une ouverture de la voyelle /ɛ/ en finale absolue en français québécois : analyse acoustique et perceptive." Thèse, Université Laval, 2014. http://constellation.uqac.ca/3217/1/RiverinCoutlxE9e_uqac_0862N_10109.pdf.

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Abstract:
Cette contribution est consacrée à l’ouverture du /ɛ/ en finale absolue, un phénomène phonétique réputé être en déclin en français québécois et caractéristique de locuteurs âgés, peu scolarisés, issus de milieux populaires et s’exprimant en situation de communication informelle. Une analyse acoustique de 480 voyelles /ɛ/ issues de la parole formelle de 40 jeunes étudiants universitaires originaires des centres urbains de Saguenay et de Québec révèle toutefois que le phénomène est encore bien vivant en français québécois et qu’il est plus fréquent chez les locuteurs de Saguenay, une tendance validée auditivement par accord inter-juges. Les résultats d’un test de discrimination et d’identification mené auprès de 26 étudiants universitaires originaires de ces deux mêmes villes indiquent que les auditeurs naïfs de Saguenay semblent moins sensibles à la variation et moins enclins à juger de l’origine géographique d’un locuteur à partir de sa prononciation de la voyelle /ɛ/ en fin de mot. This contribution focuses on the lowering of the /ɛ/ vowel in absolute word-final position in Quebec French. This phonetic phenomenon is said to be on the decline and mainly produced by older, less educated speakers from lower social classes, and in informal situations. We extracted 480 /ɛ/ from a highly formal oral corpus produced by 40 young undergraduate students, all from Saguenay and Quebec City. A detailed acoustical analysis of these tokens reveals that this phenomenon is still very much alive among young speakers and more frequent in Saguenay than in Quebec City. An inter-judge agreement indicates that this phenomenon is also perceived. Moreover, discrimination and identification tasks conducted with 26 undergraduate students, also from Saguenay and Quebec City, show that Saguenay naïve listeners seem to be less sensitive to variation and less likely to evaluate a speaker’s origin based on his/her pronunciation of word-final /ɛ/ than those from Quebec City.
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Leblanc, Guillaume. "Une étude acoustique des voyelles orales susceptibles d'être diphtonguées en français québécois." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/28362/28362.pdf.

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Asselin, Josiane. "L'évolution de la production des voyelles du français chez des immigrants adultes hispanophones : une étude de cas." Master's thesis, Université Laval, 2016. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26737.

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Abstract:
Cette recherche s'inscrit dans le domaine des études visant à documenter le processus d'apprentissage du système phonologique de la langue du pays d'accueil chez des apprenants hispanophones du français en situation d'immigration. Nous avons effectué une étude de cas à l'aide d'enregistrements recueillis à quatre reprises pour documenter l'appropriation de sept nouvelles voyelles françaises à l'intérieur de paires minimales courantes comme vu et vous. Nous avons observé une réorganisation importante de l'inventaire des voyelles suscitée par le passage de l'espagnol au français : création d'une nouvelle catégorie phonétique pour les voyelles antérieures arrondies et distinction des nouveaux contrastes [e/ɛ], [o/ɔ] et [a/ɑ]. Par ailleurs, nous avons noté une amélioration marquée des contrastes vocaliques chez l'un des quatre participants, et une légère amélioration chez les trois autres.
This research falls within the domain of studies that document the acquisition process of the phonological system of a second language, in our case that of native Spanish-speaking learners of French in an immigration context. The purpose of our research was to conduct a case study documenting the acquisition of seven new French vowel sounds using contrasting common words such as vu and vous recorded at four intervals. A significant reorganization of the inventory of vowels generated by the transition from Spanish to French was observed: creation of a phonetic category for front rounded vowels, and appearance of new contrasts [e/ɛ], [o/ɔ] and [a/ɑ]. An improvement in regards to contrast production was observed for our participants, marked for one of them and slight for the other three.
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St-Gelais, Xavier. "L'antériorisation de /ɔ/ en français contemporain : une étude acoustique comparative entre Québec et France." Master's thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/34779.

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Abstract:
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi
La présente étude porte sur l’antériorisation de /ɔ/, souvent étudiée en France, mais relativement peu au Québec. Pour mieux explorer la variation diatopique liée à ce phénomène et clarifier sa relation avec le contexte consonantique, une analyse acoustique comparative des trois premiers formants de 3835 voyelles produites en position accentuée dans des mots et pseudo-mots monosyllabiques (C)VC par 78 étudiants universitaires de Saguenay et de Québec (Québec) et de Lyon (France) a été menée. Des modèles de régression linéaire à effets mixtes appliqués aux données permettent de constater une différence importante du F₂ de /ɔ/ entre les villes, cette voyelle étant plus antérieure à Québec qu’à Saguenay et à Lyon qu’à Saguenay. Les voyelles québécoises et françaises se distinguent également, dans une moindre mesure, sur le plan de F₁ et de F₃. Dans tous les cas, quelle que soit leur position (antéposée ou postposée), les consonnes antérieures (ex. /t, d/) favorisent le F₂ le plus élevé et les consonnes labiales (ex. /p, b/), le F₂ le plus bas. Ces résultats indiquent que l’antériorisation de /ɔ/ à l’échelle acoustique est bien présente chez les jeunes locuteurs québécois et qu’elle est variable tant au niveau micro-géographique que macro-géographique, tout en étant largement affectée par la coarticulation chez tous les locuteurs.
This study is concerned with /ɔ/-fronting, a phenomenon widely studied in France, but that has received little attention in Quebec French. To better understand the regional variation of /ɔ/-fronting and to further investigate its relationship with the consonantal environment, a contrastive acoustic analysis of the first three formants of 3835 stressed vowels uttered in (C)VC monosyllabic word and pseudo-words by university students from Saguenay and Québec (Quebec) and Lyon (France) was conducted. Linear mixed effects regressions fitted to the data show substantial variation in F₂ across cities, /ɔ/ being more fronted in Québec than in Saguenay and in Lyon than in Saguenay. F₁ and F₃ also vary between France and Quebec French. In all cases, no matter their position (before or after the vowel), front consonants (ex. /t, d/) favor the highest F₂, while labial consonants (ex. /p, b/) are associated with the lowest F₂. These results suggest that /ɔ/-fronting, at the acoustical level, is alive and well among young Quebec French speakers and that it is variable both at the micro- and macro-geographical levels, while also being largely affected by coarticulation across all speakers.
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Picard, Marie-Pier. "Schwa initial en français laurentien : distribution et nature." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29480.

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Abstract:
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018
En français laurentien (FL), il existe un phénomène d’apparente interversion du schwa et de la consonne qui le précède. On le retrouve dans certains clitiques et en syllabe initiale de certains mots. À titre d’exemple, on peut entendre le prononcé [œl], je [œʒ] ou regarde [œʁgard]. L’absence de schwa à l’initiale absolue du mot est une généralisation classique de la distribution du schwa en français de référence (Dell 1973 ; Martinet 1960), mais celle-ci est indéniablement contredite en FL. Si le schwa initial laurentien a été remarqué par les linguistes au moins depuis La Follette (1960), il n’a encore jamais fait l’objet d’études spécifiques, notamment quantitatives. À première vue, le schwa à l’initiale absolue semble provenir d’une métathèse, qui consiste en une interversion de phonèmes, et certains linguistes l’ont déjà expliqué comme telle. Toutefois, d’autres linguistes analysent ce phénomène comme étant l’épenthèse d’un schwa prothétique. Par l’étude des productions de 48 locuteurs québécois, ce travail vise à établir la distribution du SI laurentien au regard de facteurs internes et externes pertinents ainsi qu’à en comprendre la nature phonologique. Nous verrons que le SI apparait principalement dans le pronom je, le pronom le et le préfixe re- et qu’il est sensible à la nature des contextes segmental, lexical et prosodique. Il s’avèrera aussi que le lieu d’origine des locuteurs a une influence considérable sur sa production. Pour ce qui est de la nature phonologique, il apparaitra que certains SI sont prothétiques, alors que d’autres sont lexicalisés.
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Riverin-Coutlée, Josiane. "Variation et changement phonétiques chez les jeunes adultes québécois." Doctoral thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/35007.

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Abstract:
L’acquisition d’un second régiolecte (R2) peut être définie comme le processus par lequel un individu géographiquement mobile adapte ses usages linguistiques à ceux en cours dans son nouvel environnement, sans que l’apprentissage d’une nouvelle langue ne soit toutefois en jeu. Typiquement, cette acquisition se produit au niveau phonétique, comme le reflète cette intuition que les personnes qui déménagent «changent d’accent». L’étude scientifique de l’acquisition d’un R2 ne s’est intensifiée que récemment, les travaux antérieurs en linguistique ayant plutôt cherché à décrire les usages de locuteurs sédentaires. En parallèle, la prononciation d’un individu a longtemps été considérée stable passé l’adolescence. Si l’acquisition d’un R2 est un phénomène répandu en raison de l’essor de la mobilité géographique individuelle, ses conséquences phonétiques s’avèrent particulièrement hétérogènes. Les différents travaux consacrés à ce phénomène mettent de l’avant un éventail de facteurs potentiellement explicatifs des résultats variant d’un locuteur à l’autre et d’un contexte linguistique à l’autre. Des facteurs internes comme la régularité des règles à maîtriser, ou externes comme l’intégration du locuteur dans son nouveau milieu ou le souci de demeurer fidèle à ses origines, ont été proposés. Selon l’angle théorique adopté pour en rendre compte, l’acquisition d’un R2 peut être interprétée comme un automatisme, ou encore comme un processus régulé par les caractéristiques de la situation de communication, le rapport du locuteur à l’interlocuteur, la fréquence et la récence des propriétés phonétiques de la parole ambiante, etc. Cette contribution consiste en une étude sociophonétique de l’acquisition d’un R2 en contexte québécois. Plus précisément, 33 locuteurs natifs du français québécois âgés de 18 à 22 ans ont été recrutés alors qu’ils entreprenaient un baccalauréat à l’Université Laval. De ce nombre, 18 étaient des participants mobiles : ils venaient de s’installer dans la ville de Québec pour leurs études, mais étaient originaires d’ailleurs dans la province. Ayant toujours vécu dans la ville de Québec, les 15 autres participants étaient sédentaires. Au moment du recrutement (T1), les locuteurs ont été enregistrés en chambre anéchoïque lors de la lecture de mots cibles isolés ou insérés dans des phrases porteuses. Ces mots cibles présentaient l’ensemble des voyelles orales du français québécois en position accentuée. Ces voyelles ont été analysées acoustiquement : leur durée, ainsi que la fréquence et la dynamique de leurs trois premiers formants (F1, F2 et F3) ont été mesurées. Les participants ont également rempli des questionnaires visant à évaluer leur degré d’intégration sociale, leur appartenance à la phase socio-psychologique d’émergence de l’âge adulte et, pour les mobiles, le souci de fidélité à leurs origines. L’expérience a été répliquée un an plus tard (T2). Les résultats indiquent que de fins changements acoustiques sont survenus au cours du temps. Les différentes catégories vocaliques analysées se sont rapprochées dans l’espace F1/F2. La fréquence de F3 et l’ampleur de la dynamique formantique de certaines voyelles ont diminué. Une réduction des mouvements articulatoires semble ainsi s’être produite. Ces changements sont toutefois survenus chez tous les locuteurs, qu’ils soient mobiles ou sédentaires. Aucun des autres facteurs considérés (intégration, émergence et fidélité) ne s’est davantage révélé apte à les expliquer. En conséquence, nous avons émis l’hypothèse qu’un changement dans la manière dont les participants ont perçu la situation expérimentale était survenu. Quant à l’absence de modifications de prononciation de plus grande envergure chez les locuteurs mobiles, elle pourrait s’expliquer par l’intervalle temporel réduit entre les deux temps d’enquête, le niveau phonétique n’étant pas réputé changer le premier lors de l’acquisition d’un R2. Il est également possible qu’il n’y ait pas suffisamment de spécificités régionales à Québec pour que les locuteurs mobiles procèdent à un changement systématique, sachant en outre que la population locale pourrait ne pas constituer la principale influence linguistique des jeunes universitaires investigués. Les participants mobiles se sont néanmoins avérés conscients de certaines différences entre leurs usages et ceux de leur nouvel environnement, aussi une sensibilité linguistique accrue pourrait jouer un rôle lors d’un changement phonétique. La progression de la compréhension du lien entre la perception et la production pourrait également éclairer les mécanismes en action aux stades initiaux de l’acquisition d’un R2. Nos résultats se joignent à ceux provenant d’un nombre croissant de travaux qui suggèrent qu’une certaine flexibilité phonétique se maintient à l’âge adulte.
Second dialect acquisition (SDA) may be defined as the process by which a geographically mobile individual adapts their linguistic practices to those in use intheir new environment, without learning a new language per se. Typically, this acquisition occurs at the phonetic level, as reflected in the intuitive idea that people who move away “change their accent”. Scientific accounts of SDA have only recently increased in number, as previous linguistic work has mostly focused on the practices of sedentary speakers. At the same time, pronunciation has long been thought to be settled from adolescence on. SDA is a widespread phenomenon given the increasing geographic mobility of individuals, although its phonetic outcomes are especially heterogeneous. Studies addressing this issue highlight the extensive array of factors that might explain why results vary across individuals and linguistic contexts. Internal factors such as the regularity of the rules that need to be learned, or external like the speakers’ integration to their new environment or concern to remain faithful to their origin, have been put forward. Depending on the theoretical perspective, SDA has been interpreted as an automatism, or as a process mediated by various aspects of the communication situation, the relationship between the speaker and their interlocutor, the frequency and recency of the phonetic properties of ambient speech, etc. This contribution is a sociophonetic study of SDA in Quebec. More precisely, 33 native speakers of Quebec French aged 18 to 22 were recruited upon enrollment in an undergraduate program at Université Laval. Eighteen of them were mobile speakers : they had just moved in Quebec City in order to start university, but were from somewhere else in the province. Born and raised in Quebec City, the 15 remaining participants were sedentary. On recruitment (T1), the speakers were recorded in a sound-attenuated booth while reading target words in isolation or inserted in carrier sentences. These target words featured all of the oral vowels of Quebec French in stressed syllable. The vowels were analyzed acoustically : their duration and the frequency and dynamics of their first three formants (F1, F2 and F3) were measured. The participants also completed questionnaires assessing their social integration, belonging to the socio-psychological phase of emerging adulthood and, for the mobiles only, faithfulness to their origin. The experiment was replicated a year later (T2). Results show that fine-grained acoustic changes occurred over time. The vowels moved closer to each other in the F1/F2plane. Frequency of F3 and formant dynamics decreased in some vowels. A reduction of the articulatory movements thus seems to have occurred. However, these changes took viplace in all speakers, whether they be mobile or sedentary. Neither of the other external factors taken into account (integration, emerging adulthood, faithfulness) could explain the changes. Therefore, we hypothesized that the way the participants perceived the experiment had evolved over time. As for the lack of more substantial phonetic shifts in mobile speakers, it could be explained by the short time span between the two experiments, since the first changes taking place during SDA do not usually happen at the phonetic level. Another possibility is that there are not enough dialectal features in Quebec City for the mobile speakers to change systematically, whereas, furthermore, the local population might not even be the main linguistic influence of university students.The mobile participants nonetheless proved aware of differences between their own speech and that of their new environment, suggesting that enhanced linguistic sensitivity may play a role in phonetic change. Further progress in understanding the link between speech perception and production mayalsoshed light on the mechanisms underlying the first stages of SDA. Our results add to those from a growing body of studies evidencing that a certain phonetic flexibility is maintained throughout adulthood.
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Carpentier, Émilie. "Le e variable dans le double doublage francophone : à la recherche des normes et usages des doubleurs québécois." Master's thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/40226.

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Abstract:
Le double doublage francophone donne lieu à deux doublages différents pour un même film américain : un doublage français et un doublage québécois. Issue de la législation des deux aires géographiques, cette pratique donne l'occasion inégalable d'analyser les deux doublages produits d'un point de vue sociolinguistique. Au Québec, la langue du doublage est souvent nommée « français international », mais en vérité, il n'existe pas de source décrivant officiellement les normes prescriptives ou objectives de ce français, qui est davantage une idéologie (Sanders, 1996, p. 113) qui découle des représentations que les doubleurs ont de la langue française. Il a déjà été démontré que la langue du doublage québécois est particulière en raison du désir des doubleurs d'employer un français à la fois ancré au Québec et délocalisé, qui sont deux objectifs difficilement conciliables (Reinke et Ostiguy, 2012, Reinke et al.,2017 et 2019). En effet, il semble avoir dans le doublage québécois peu de traits de la variété québécoise, et ce, même si plusieurs de ces traits sont aujourd'hui acceptés en variété soutenue. Afin de connaître quel type de norme est suivi par les doubleurs, endogène ou exogène, l'étude du e variable est pertinente, principalement à cause de sa variation diatopique (Côté, 2012, p. 260) et diaphasique (Lucci, 1978, p. 46). Afin de nous éclairer sur les normes objectives suivies par les doubleurs, nous analyserons les usages des doubleurs quant à cette variable linguistique dans un corpus de transcriptions de 11 films et séries télévisées. La réalisation du e variable sera analysée selon la provenance géographique du doublage, la formalité de la situation de communication et le genre cinématographique.
The French language "double dubbing" phenomen on gives rise to two different dubbing tracks for the same American movie: a French dubbed version from France and one from Québec. As a result of legislation in the two geographical regions, this practice provides an unparalleled opportunity to study the two dubbings from a sociolinguistic point of view. In Québec, the language of dubbing is often called "international French", but in reality, there exists no source officially describing the prescriptive or objective norms of this particular French, which is more of an ideology (Sanders, 1996: 113) originating from the dubber's representations of the French language. It has already been shown that the language of the Quebec dubbing is peculiar, due to the dubbers' desire to use a language both rooted in Québec and delocalized, which are two objectives that are difficult to reconcile (Reinke et Ostiguy, 2012, Reinke et al., 2017 et 2019). Indeed, Québec's dubbing seems to offer few features typical of Québec's French, even if several of these traits are now accepted in formal speech. In order to elucidate what type of norm is followed by the dubbers, endogenous orexogenous, the study of variable e is relevant, mainly because of its diatopic (Côté, 2012,p.260) and diaphasic variation (Lucci, 1978, p. 46). In order to shed light on the objective norms followed by dubbers, we will study how they use the variable e in a corpus composed of the transcriptions of 11 films and television series. The usage of the variable e will be analyzed according to geographical origin of the dubbing, register and film genre.
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Fillion, Catherine. "Le développement de la production orale de personnes immigrantes peu scolarisées et peu alphabétisées : croyances et pratiques des enseignants." Master's thesis, Université Laval, 2021. http://hdl.handle.net/20.500.11794/69252.

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Abstract:
De nombreuses personnes immigrantes adultes arrivent au Québec chaque année et doivent apprendre le français, langue officielle de leur nouvelle société d’accueil, en salle de classe. Certaines d’entre elles ont peu d’expérience scolaire et sont peu alphabétisées, mais ont besoin de développer des compétences orales en français pour s’intégrer dans la communauté (Vinogradov et Bigelow, 2010). Les professionnelles et professionnels qui enseignent à ces apprenantes et apprenants le font sans programme-cadre (Vérificateur général du Québec, 2017) ni matériel adapté aux besoins spécifiques de leurs élèves (Bédard, 2021). Les choix pédagogiques que les enseignantes et enseignants font dans ce contexte sont donc variés. Le fait que les pratiques d’enseignement et les croyances des enseignantes et enseignants s’influencent mutuellement n’est plus à prouver (Borg, 2018). Notre étude a donc pour objectif de documenter les croyances d’enseignantes et d’enseignants œuvrant auprès de personnes immigrantes peu scolarisées et peu alphabétisées et d’identifier des pratiques d’enseignement de l’oral mises en place en classe de langue. Pour ce faire, nous avons réalisé des entrevues individuelles semi-dirigées auprès de dix enseignantes. Nous avons analysé leurs propos pour dégager les croyances sur l’apprentissage des langues, sur leurs élèves et sur le contenu à leur enseigner. Nous avons aussi exploré les pratiques d’enseignement qu’elles mettent en place dans leur classe pour enseigner l’oral. À l’instar d’autres études réalisées ailleurs dans le monde (Colliander et al., 2018; Ollerhead, 2012; Strube et al., 2013), nous avons vu que les participantes utilisent généralement des pratiques d’enseignement traditionnelles en initiant les interactions et en dirigeant la production orale des apprenantes et des apprenants. Ces pratiques sont possiblement reliées à des croyances sur les apprenantes et apprenants, caractérisés comme ayant des défis d’apprentissage de la langue, ainsi qu’à des croyances sur les contenus à privilégier pour l’enseignement de l’oral qui touchent davantage la forme que le sens. À la lumière de ces pratiques et de la littérature scientifique sur le sujet, nous émettons des suggestions d’activités s’harmonisant avec les modalités d’apprentissage identifiées chez les apprenantes et apprenants ayant peu d’expérience scolaire.
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Books on the topic "Français (Langue) – Québec (Province) – Voyelles"

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Dumas, Denis. Nos façons de parler [les prononciations en français québécois]. Sillery: Presses de l'Université du Québec, 1987.

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