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Journal articles on the topic 'Français (langue) – Rhétorique'

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Duchêne, Nadia. "Langue, immigration, culture : paroles de la banlieue française." Meta 47, no. 1 (2004): 30–37. http://dx.doi.org/10.7202/007989ar.

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Abstract:
Résumé L’étude du langage envisagé comme système de signes constitue le champ par excellence de la linguistique. Le parler des banlieues, en tant que variante du français utilisée dans un milieu donné, certes, n’est pas la seule nouveauté de la langue française actuelle et semble être l’objet d’un intérêt grandissant parmi les linguistes. Nous nous proposons dans notre article d’aborder ce phénomène de langue au centre de problématiques peut-être davantage sociales et culturelles que linguistiques. Lorsque nous aurons délimité les contours de cette variation langagière dans le cadre de la langue française et de sa communauté, nous étudierons un corpus et analyserons entre autres la fonction cryptique, le pouvoir symbolique et les figures de rhétorique qui caractérisent ce parler ; ceci depuis la perspective de la création et de l’affirmation d’une identité immergée dans une situation sociale bien spécifique.
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Gordon, Alex L. "Au service de l'argumentation : le classement des figures chez Guillaume Tardif." Études littéraires 24, no. 3 (2005): 37–47. http://dx.doi.org/10.7202/500984ar.

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Abstract:
Le Rhetoricae artis ac oratoriae facultatis compendium de Guillaume Tardif est la seconde rhétorique intégrale en langue latine à être publiée par un auteur français. Remaniée dans trois éditions postérieures, elle témoigne d'un intérêt profond pour la tradition oratoire et d'un désir pressant de l'adapter aux besoins contemporains. Tardif montre sa plus grande originalité dans le classement des figures : les divisant selon leur convenance aux différentes parties du discours, il essaie d'envisager le style en fonction du contenu, restaurant ainsi à la rhétorique son unité perdue. Cette ingénieuse tentative a été reprise par Pierre Fabri dans son Grand et Vray Art de pleine rhétorique (1521). L'influence de Tardif a cessé quand le travail de Fabri fut éclipsé dans la deuxième moitié du XVIe siècle par la nouvelle rhétorique ramiste.
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Glâtre, Philippe. "Oralité et colonialité au prisme de la diglossie littéraire réunionnaise." SHS Web of Conferences 78 (2020): 13005. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207813005.

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Abstract:
Si l’histoire des rapports entre écriture et oralité met en perspective des agencements permanents, la Modernité occidentale a donné une place prépondérante à la littératie. Dans la France hexagonale des XIXè et XXè siècles, la tradition orale et les langues régionales ont alors connu une dépréciation au profit de la langue nationale écrite. En même temps que des pratiques oratoires telles que la rhétorique et la poésie orale étaient exclues de l’enseignement, les écrits en langue minoritaire, particulièrement s’ils étaient à visée littéraire, étaient assignés à la littératie vernaculaire et la culture populaire. Le retour contemporain de l’oralité, particulièrement visible dans l’émergence du slam, se heurte donc au statut prépondérant donné à l’écrit et à la langue hégémonique. Dans les sociétés coloniales françaises, le système scripturaire a également été conçu comme un instrument de civilisation, mais réservé à une élite favorable au système colonial. La scolarisation a donc été basée sur la francisation, restreignant ainsi l’éducation des subalternes à une littératie rudimentaire. Ce processus de minorisation a eu des conséquences sociolinguistiques importantes dans les territoires français d’Outre-mer, qui conjuguent diglossie et colonialité. A l’Île de La Réunion, où le créole est la langue première de la majorité de la population, le rapport à l’écrit et à la langue dominante a ainsi longtemps participé d’une exclusion des textes créolophones de la littérarité. Il faudra attendre la fin du XXè siècle pour que soit remise en cause une littératie monolingue et que la tradition orale créole retrouve sa propre historicité linguistique et culturelle.
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Monballin, Michèle, Myriam van der Brempt, and Georges Legros. "Maîtriser le français écrit à l’université : un simple problème de langue ?" Articles 21, no. 1 (2008): 59–74. http://dx.doi.org/10.7202/502003ar.

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Abstract:
Résumé Le défaut de maîtrise de l'écrit chez de nouveaux étudiants n'est pas seulement affaire de compétence linguistique. Les carences sont plus largement partagées dans la structuration logique des textes, dans leur adéquation rhétorique ou pragmatique aux consignes. Il faut donc vérifier certaines représentations, héritées du programme scolaire, qui perturbent l'accès à une verbalisation efficace des savoirs: celles du langage scientifique, des rapports entre formes et contenus, des tâches et de la communication scolaires. C'est ce qu'on illustre ici par les exemples de la définition, du résumé et de l'analyse de questions ou de plans de réponses.
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Bedjaoui, Wafa, Bahia Zemni, Hayfa Almalki, and Marwa Elsaadany. "Dictionnaires contextuels." Texto Livre: Linguagem e Tecnologia 14, no. 1 (2020): e25577. http://dx.doi.org/10.35699/1983-3652.2021.25577.

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Abstract:
Le but de cet article est de mettre en évidence les fonctionnalités des corpus en ligne à l’instar des concordanciers, notamment le dictionnaire contextuel Reverso Context. À travers cette étude exploratoire, nous cherchons à connaître les limites de ce dictionnaire contextuel en ligne de l'arabe vers le français en analysant la traduction dans le contexte des adages arabes traduits en français. Il s’agit aussi de mettre en exergue la notion de collaboration virtuelle proposée dans le cadre du dictionnaire collaboratif de Reverso Context. L’étude a également permis de décrire les prestations et les fonctionnalités proposées en ligne de ce dictionnaire ainsi que ses limites. A travers l’expérimentation de la traduction des adages et des proverbes de l’arabe vers le français, nous avons pu déduire que le dictionnaire contextuel Reverso Context présente des limites de traduction en ce qui concerne les combinaisons arabe-français. Ces limites sont d’ordre lexical, sémantique, phrastique et rhétorique. Sans oublier que ses bases de données lexicales et terminologiques sont faiblement alimentées en langue arabe.
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Prażuch, Wojciech. "Le tabou et sa dénonciation – la parole publique entre la « langue de bois » et le « parler vrai »." ACTA UNIVERSITATIS LODZIENSIS. FOLIA LITTERARIA ROMANICA, no. 12 (May 22, 2017): 147–59. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.12.14.

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Abstract:
Le langage de la politique, porteur d’une représentation idéologique des relations au sein d’une communauté donnée, est par définition un domaine de la lutte discursive. Cela implique qu’en dehors des significations proposées, il comporte aussi des tentatives de couvrir le message concurrentiel ou discordant. Différentes formes du tabou constituent par conséquent son élément inséparable. Or, le discours public d’aujourd’hui (avec son côté néo-populiste) est parsemé de remarques métalinguistiques dans lesquelles le mot tabou apparaît explicitement ou est sémantiquement présent sous forme d’allusions à toutes sortes de thèmes interdits. À travers une analyse des contextes dans lesquels ce mot ou cette valeur sémantique apparaissent dans un corpus d’allocutions d’hommes politiques français couvrant la période 2008-2015, cet article – inspiré en partie des travaux du groupe de recherche DiSEM – tente de montrer que, tout comme la critique du politiquement correct et de ce qu’on appelle communément « la langue de bois », le rejet du tabou chez soi et sa dénonciation chez l’adversaire politique s’apparentent, ces dernières années, à une sorte d’artifice rhétorique obligé.
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Séro-Guillaume, Philippe. "La langue des signes française (LSF)." Meta 42, no. 3 (2002): 487–501. http://dx.doi.org/10.7202/002984ar.

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Abstract:
Résumé La langue des signes française (LSF) présente, sur le plan du lexique et de la rhétorique, des caractères inhérents aux langues non écrites parlées par de petites communautés. Par ailleurs, les sourds ont également élaboré leur idiome à partir des moyens de communication offerts par l'environnement entendant. Si la majorité des signes ont été élaborés à partir des procédés relevant de l'imitation, l'utilisation de l'espace et la séquentialité des signes ont une motivation sémantique. La motivation visuelle des signifiants manuels n'est pas plus présente à l'esprit des locuteurs de la LSF qu'elle ne l'est chez les locuteurs des langues dites naturelles. La langue des signes permet d'exprimer toutes les opérations mentales qui caractérisent !' intelligence adulte.
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Noille, Christine. "Narratio / narration ? La rhétorique et la langue française." Littératures classiques N° 96, no. 2 (2018): 85. http://dx.doi.org/10.3917/licla1.096.0085.

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황원미. "L'interrogation rhétorique et la polyphonie dans la langue française." Etudes de la Culture Francaise et de Arts en France 48, no. ll (2014): 329–54. http://dx.doi.org/10.21651/cfaf.2014.48..329.

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Konan, Koffi Paul. "Etude d’écarts de la langue française par les occurrences « ça », « là » et « ça là » dans le français populaire ivoirien." Voix Plurielles 15, no. 2 (2018): 226–39. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v15i2.2087.

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Abstract:
Parmi les usages langagiers attribués au français populaire ivoirien, ceux relatifs au pronom démonstratif « ça » et à l’adverbe de lieu « là » sont remarquables. La présence récurrente, voire abusive de ces deux morphèmes est symptomatique d’une forme langagière locale qui donne l’illusion d’emplois normatifs. Cet article se propose de marquer un arrêt sur les distributions syntaxiques et sémantiques différentielles dont font l’objet les unités grammaticales « ça » et « là » en français standard et en français populaire. Et d’en évaluer les enjeux rhétoriques.
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Valero Peña, Ana Isabel. "Le pouvoir de la parole dans les relations franco-amérindiennes en Nouvelle-France au XVIIe siècle." Globe 6, no. 1 (2011): 151–69. http://dx.doi.org/10.7202/1000697ar.

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Abstract:
Depuis les premiers voyages de découverte, les récits de voyage offrent au lecteur des informations sur les langues des autochtones. Nous avons analysé l’apparition de l’éloquence amérindienne dans les récits de voyageurs et de missionnaires français en Nouvelle-France. Le Français du XVIIe siècle dédaigne la société amérindienne, sans écriture, tout en l’admirant pour son éloquence. Cette rhétorique inattendue et le fait de parler « sans être interrompu » fascinent les voyageurs. Ceux-ci insistent sur l’incompréhension de ces discours; en revanche, les missionnaires essaient d’accommoder leur propre discours évangélisateur à la vie amérindienne. En effet, ils profitent du rôle que joue la parole chez les indigènes pour rendre l’Amérindien apte à la conversion.
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Nassichuk, John. "La rhétorique de l'exemple dans les Harangues militaires de François de Belleforest." Rhetorica 33, no. 3 (2015): 276–93. http://dx.doi.org/10.1525/rh.2015.33.3.276.

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Abstract:
L'édition du recueil de harangues militaires que François de Belleforest fit paraître en 1572 propose la version française, augmentée de plusieurs textes récents, de l'original italien de Remigio Nannini. Or, la compilation, traduction et réécriture des exemples narratifs puisés à même une belle variété de textes antiques et contemporains, ne constituent guère des procédés inhabituels dans l'activité du polygraphe commingeois. Pendant les dernières années du règne de Charles IX en effet, Belleforest multiplie les publications d'œuvres historiques, tendance qui relève vraisemblablement d'une visée à caractère pédagogique et dont l'initiative ne se limite pas à la production de textes narratifs, sources d'enseignements pratiques et moraux, mais embrasse également les procédés de la persuasion délibérative et de la diplomatie. L'importante introduction qu'il attache à son texte livre une explication lumineuse sur cette opération didactique. Au lieu de proposer au lecteur qui souhaite se former à l'éloquence officielle une collection de préceptes abstraits, le compilateur lui offre une matière digne de susciter son admiration, voire un modèle à contempler. En mettant ainsi en valeur cette matière copieuse comme un véritable objet d'étude, Belleforest se rapproche de Quintilien qui conseille à l'orateur apprenti d'examiner plusieurs discours de grands orateurs saisis dans leur contexte originel. Afin d'orienter son lecteur studieux, il évoque dans l'introduction le principe ancien de l'evidentia, hérité de l'Institution oratoire, selon lequel il s'agit de mettre devant les yeux des auditeurs une image claire et détaillée, et dont l'objet privilégié demeure justement le récit historique.
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Planelles Iváñez, Montserrat. "Lexique et locutions euphémistiques dans le domaine de l’emploi." ACTA UNIVERSITATIS LODZIENSIS. FOLIA LITTERARIA ROMANICA, no. 12 (May 22, 2017): 47–55. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.12.05.

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Abstract:
L’euphémisme est une stratégie langagière à laquelle on a recours depuis toujours et dans toutes les langues. Nous examinons dans cet article le lexique et les expressions euphémistiques dans le domaine de l’emploi en français. Les concepts étudiés dans ce champ sémantique, nés grâce à l’influence de la mondialisation, sont : le chômage, la précarité, la pauvreté et le licenciement. Assistante de caisse au lieu de caissière, dossier de règlement d’emploi au lieu de licenciement, conducteur d’autobus au lieu de chauffeur ou demandeur d’emploi au lieu de chômeur ne sont que quelques échantillons de ce type de transgressions du langage censées atténuer ou même cacher la réalité. Les conclusions montrent que l’euphémisme est une figure rhétorique autonome qui, avec la métaphore et les périphrases, sert à mitiger les effets du tabou, surtout en ce qui a trait à la condition sociale et professionnelle des individus.
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Pannier, Arnaud. "Le projet politique francophone. Nouvelle Babel?" Articles 48, no. 1 (2018): 123–48. http://dx.doi.org/10.7202/1043562ar.

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Abstract:
Cette étude s’emploie à analyser l’impact de la notion de frontière dans la mise en oeuvre politique du projet francophone. L’étude procède en deux temps. Elle observe tout d’abord comment la rhétorique propre au discours prononcé dans l’enceinte officielle de l’Organisation internationale de la Francophonie témoigne, à travers les effets d’inclusion et d’exclusion, de conceptions diverses du projet francophone. L’étude cherche ensuite à démontrer comment l’entreprise francophone se projette dans un espace complexe qui hésite entre respect de la frontière nationale et tentation d’un universalisme fortement imprégné de mythologie. Le mythe de Babel est ici mobilisé pour observer un univers de référence dans lequel se construit l’approche moderne du projet. L’étude en vient finalement à observer que le statut spécifique de la langue française est porteur de modernité, mais que pour proposer une voie viable, le projet francophone doit explorer de nouveaux territoires, en renonçant aux replis identitaires comme aux visions trop imprégnées d’idéologies.
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Belhabib, Assia. "Trois K marocains de la modernité comme nécessité." Études littéraires 43, no. 1 (2013): 73–81. http://dx.doi.org/10.7202/1014060ar.

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Abstract:
À y regarder de près, les ouvrages des écrivains marocains Mohammed Khaïr-Eddine (1941-1995), Abdelkébir Khatibi (1938-2009) et Abdelfattah Kilito (né en 1945) se déterminent sous le signe de la modernité nécessaire tant sur le plan de l’écriture que du point de vue de la singularité de chacun des auteurs dans les thématiques abordées et dans le mélange des genres littéraires. Oeuvres complexes, denses, pluridisciplinaires dans lesquelles les écrivains pratiquent une expérience limite du langage. Cette habilité, des années durant, à puiser dans la bibliothèque du monde et à découper des plans de cultures, est tendue par le souci de dire autrement la littérature. Khaïr-Eddine a consacré toute sa vie à la dissidence linguistique, chassant sur la page d’écriture la langue du colonisateur et créant son propre dialecte pour dénoncer toute forme d’aliénation et de servitude. Khatibi exalte dans ses récits la force du voyageur professionnel comme promesse de dialogue et d’aimance. Kilito revisite les poètes arabes anciens à la lumière des littératures européennes et renouvelle la lecture des Mille et une nuits, oeuvre intemporelle, universelle et inachevée. C’est à ces questions, plus philosophiques que simplement rhétoriques, que nous convient ces auteurs qui tentent d’inscrire la modernité au-delà d’une géographie, d’une époque ou d’une culture à partir d’une langue d’écriture : le français.
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Collinet, Françoise. "La critique augustinienne de l’éducation classique dans les Confessions. Lecture néo-rhétorique." Romanica Cracoviensia 20, no. 2 (2020): 73–83. http://dx.doi.org/10.4467/20843917rc.20.008.12554.

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Douay-Soublin, Françoise. "Non, la rhétorique française, au XVIIIe siècle, n'est pas « restreinte » aux tropes." Histoire Épistémologie Langage 12, no. 1 (1990): 123–32. http://dx.doi.org/10.3406/hel.1990.2310.

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Boucher, François-Emmanuël. "La revue Égards et la pensée réactionnaire dans le XXIe siècle québécois." Globe 14, no. 2 (2012): 121–41. http://dx.doi.org/10.7202/1008785ar.

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Abstract:
Lancée à l’automne 2003 et publiée dès lors chaque trimestre, la revue Égards s’avère sans conteste l’expression la plus radicale, au Québec, d’une pensée religieuse, le lieu de production d’un discours qui se veut hautement contestataire, le point de vue de ce que l’on nomme communément la droite réactionnaire. Sous l’égide de Jean Renaud, Richard Bastien, Luc Gagnon et Maurice G. Dantec, Égards, sous-titrée Revue de résistance conservatrice, publie trimestre après trimestre des textes de chroniqueurs, d’écrivains et d’universitaires québécois, fait paraître la traduction de chroniques du National Post ainsi que de plusieurs journaux américains, publie autant des homélies du cardinal Marc Ouellet que des textes des philosophes et politicologues français Alain Finkielkraut et Pierre-André Taguieff. Incendiaire, hostile à ce que la revue présente comme la doxa médiatique actuelle, cherchant à la fois la provocation et la polémique, Égards se définit par l’affirmation d’une rupture complète avec ce qu’elle présente comme la mentalité « socialisante » du Québec et surtout avec les discours qui monopoliseraient l’espace public de cette province depuis les premiers soubresauts de la Révolution tranquille. En fait, l’existence d’Égards est justifiée, dès le premier numéro, par la revendication d’un désir de combattre ce que les auteurs appellent la « dictature discursive » d’une certaine élite québécoise, dictature qui aurait presque réussi à écraser toutes les formes d’opposition, tous les discours, toutes les pensées, toutes les analyses qui ne glorifient pas l’excellence du « modèle québécois », défini ici comme le triomphe d’une étatisation par laquelle on imposerait et maintiendrait les acquis de la Révolution tranquille. C’est cette manifestation d’un désaccord radical et d’un refus catégorique de suivre ce « modèle » qui sera analysée ici comme un contre-discours original utilisant une rhétorique en rupture avec celle qui jusqu’alors était le propre de la droite catholique au Québec.
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Waldinger, Albert. "Moods Of Panurge." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 45, no. 3 (1999): 244–67. http://dx.doi.org/10.1075/babel.45.3.06wal.

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Abstract:
Abstract The foregoing article is about the modeling of translation style for the English translation of Rabelais on the work of Tom Robbins and Philip Roth, two modern American writers who approximate Rabelais in attitude and technique. Their tradition and linguistic habits, especially their syntactical and lexical preferences, are discussed. Especially important are the lessons to be learned from an examination of the leading modern English translators of Rabelais, Samuel Putnam and Burton Raffel, and the particular problems posed by the French sixteenth century, its humanism and rebelliousness. These are chiefly expressed by the character of Panurge, whose psychological and rhetorical moods form the basis of this essay. Résumé L'article traite du modelage du style de traduction pour la traduction anglaise de Rabelais à l'aide des ouvrages de Tom Robbins et Philip Roth, deux écrivains américains modernes qui se rapprochent de Rabelais par leur attitude et leur technique. Il s'agit d'une discussion de leurs traductions et habitudes linguistiques, notamment de leurs préférences syntaxiques et lexicales. Il est spécialement important de tirer des leçons de l'examen des traducteurs anglais modernes et renommés de Rabelais, à savoir, Samuel Putnam et Burton Raffel, et de souligner les problèmes spécifiques et particuliers posés par le français du 16ème siècle, son humanisme et son caractère rebelle. Ceux-ci sont principalement exprimés par le personnage de Panurge, dont les variations psychologiques et rhétoriques sont à la base de cet article.
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Fournier, Nathalie. "Ayres-Bennett, Wendy & Philippe Caron. 1996. Les Remarques de l'Académie française sur le Quinte-Curce de Vaugelas, 1719-1720: Contribution à une histoire de la norme grammaticale & rhétorique en France." Target. International Journal of Translation Studies 11, no. 1 (1999): 160–63. http://dx.doi.org/10.1075/target.11.1.14fou.

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Campangne, Hervé-Thomas. "Louis Du Gardin. Les Premieres Addresses du chemin de Parnasse. Eds. Emmanuel Buron and Guillaume Peureux. Bibliothèque du XVIIe siècle 8; Langue, rhétorique et poétique françaises 1. Paris: Classiques Garnier, 2012. 328 pp. €38. ISBN: 978–2–8124–0390–3." Renaissance Quarterly 66, no. 2 (2013): 725–26. http://dx.doi.org/10.1086/671678.

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Dichy, Joseph. "Maroun Aouad, Averroès (Ibn Rušd), Commentaire moyen à la Rhétorique d’Aristote. Edition critique du texte arabe et traduction française. Vol. I: Introduction générale. Vol. II: Edition et traduction. Vol. III: Commentaire du Commentaire." Argumentation 22, no. 2 (2008): 297–303. http://dx.doi.org/10.1007/s10503-008-9080-4.

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Yongui, Jean Paul. "Cinquantenaire de la francophonie : le jubilé avant la traversée des siècles." Revue Internationale des Francophonies, no. 7 (May 29, 2020). http://dx.doi.org/10.35562/rif.1107.

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Abstract:
La matrice originelle de la Francophonie est une idée de rassemblement dont la génialité a consolidé un mouvement associatif désormais cinquantenaire. Les institutions naissent des idées et se maintiennent par la vertu de la pensée constructive. Par conséquent, le cinquantième anniversaire de la Francophonie institutionnelle signifie d’abord que la force d’une idée a triomphé jusque-là de l’usure du temps. Ce demi-siècle convie ensuite à une cure de jouvence de la Francophonie, à une modernisation de ses institutions au premier rang desquelles l’Organisation internationale de la Francophonie, dans l’optique de pérenniser l’idéal de fraternité universelle par le partage de la langue française. Loin d’être un monde parfait, l’espace francophone souffre de dysfonctionnements qui l’exposent à des critiques fondées ou outrées. Dans l’encadrement de la théorie des régulations du sociolinguiste Paul Zang Zang, le présent article diagnostique les difficultés structurelles de la Francophonie. Aucun sujet n’est tabou : la langue française, la Charte d’Antananarivo 2005, la diffusion du livre francophone, le statut des langues autochtones, la crise des mobilités, la « francophobiphonie », l’humanitaire, le déficit de communication, les obstructions à l’inventivité. Au lendemain du cinquantenaire, la Francophonie devra faire face au défi de la traversée des siècles. Par le truchement de l’approche diachronique prospective, le présent article esquisse une palette de solutions destinées, dans l’immédiat, à préserver la symbiose absolue entre la Francophonie et la totalité du XXIème siècle. Objectivement, la gouvernance de la Francophonie du troisième millénaire ne peut rester captive de la rhétorique et des méthodes des années 1970. Par conséquent, le basculement du monde dans le XXIème siècle oblige la Francophonie institutionnelle à opérer sa propre transfiguration. Le présent article préconise ainsi une présence télévisuelle plus audacieuse de la noosphère francophone sur une planète Terre où Internet et la téléphonie mobile ont exacerbé la polyphonie des idiosyncrasies et des cultures. Dans ce monde nouveau proposé par l’actuel millénaire, le destin de la langue française s’accomplit par l’infiniment petit, avec les nanotechnologies, et via l’infiniment grand exploré par les technologies astronautiques. Forts de ce constat et faisant écho à la théorie des régulations, de nombreux chercheurs invitent à intégrer les fonctions cybernétiques dans les stratégies futures de diffusion du français.
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"Language teaching." Language Teaching 36, no. 3 (2003): 190–202. http://dx.doi.org/10.1017/s0261444803211952.

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Abstract:
03–386 Anquetil, Mathilde (U. of Macerata, Italy). Apprendre à être un médiateur culturel en situation d'échange scolaire. [Learning to be a cultural mediator on a school exchange.] Le français dans le monde (Recherches et applications), Special issue Jan 2003, 121–135.03–387 Arbiol, Serge (UFR de Langues – Université Toulouse III, France; Email: arbiol@cict.fr). Multimodalité et enseignement multimédia. [Multimodality and multimedia teaching.] Stratégies d'apprentissage (Toulouse, France), 12 (2003), 51–66.03–388 Aronin, Larissa and Toubkin, Lynne (U. of Haifa Israel; Email: larisa@research.haifa.ac.il). Code-switching and learning in the classroom. International Journal of Bilingual Educationand Bilingualism (Clevedon, UK), 5, 5 (2002), 267–78.03–389 Arteaga, Deborah, Herschensohn, Julia and Gess, Randall (U. of Nevada, USA; Email: darteaga@unlv.edu). Focusing on phonology to teach morphological form in French. 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Anglais de Spécialité (Bordeaux, France), 35–36 (2000), 167–182.03–394 Charnock, Ross (Université Paris 9, France). L'argumentation rhétorique et l'enseignement de la langue de spécialité: l'exemple du discours juridique. [Rhetorical argumentation and the teaching of language for special purposes: the example of legal discourse.] Anglais de Spécialité (Bordeaux, France), 35–36 (2002), 121–136.03–395 Coffin, C. (The Centre for Language and Communications at the Open University, UK; Email: c.coffin@open.ac.uk). Exploring different dimensions of language use. ELT Journal (Oxford, UK), 57, 1 (2003), 11–18.03–396 Crosnier, Elizabeth (Université Paul Valéry de Montpellier, France; Email: elizabeth.crosnier@univ.montp3.fr). De la contradiction dans la formation en anglais Langue Etrangère Appliquée (LEA). 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Giordano, Christian. "Nation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract:
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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"Review: Françoise Laurent, Pour Dieu et pour le roi. Rhétorique et idéologie dans l'Histoire des ducs de Normandie de Benoît de Sainte-Maure by Françoise Laurent." Rhetorica 31, no. 4 (2013): 456–60. http://dx.doi.org/10.1525/rh.2013.31.4.456.

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"Review: Le Livre de la Rhétorique du philosophe et médecin Ibn Tumlûs (Alhagiag bin Thalmus). Introduction générale, édition critique du texte arabe, traduction française et tables, by Maroun Aouad." Rhetorica 25, no. 4 (2007): 446–48. http://dx.doi.org/10.1525/rh.2007.25.4.446.

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