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Valentine Palmer, Vernon. "Dommages moraux : l’éveil français au 19e siècle." Revue internationale de droit comparé 67, no. 1 (2015): 7–21. http://dx.doi.org/10.3406/ridc.2015.20473.

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Stikić, Biljana. "Du maître de français au professeur de français en Serbie du 19e siècle." Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, no. 33/34 (June 1, 2005): 187–96. http://dx.doi.org/10.4000/dhfles.1776.

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Haidar, Riad. "Urbain Jean Joseph Le Verrier." Photoniques, no. 92 (July 2018): 18–19. http://dx.doi.org/10.1051/photon/20189218.

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Abstract:
Astronome et mathématicien français, Urbain Le Verrier est surtout connu pour ses travaux en mécanique céleste, qui lui ont permis de prédire l’existence de la planète Neptune par la seule puissance du calcul. Il a également dirigé et profondément réformé l’Observatoire de Paris à la fin du 19e siècle, et fondé les services français de météorologie.
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Poplack, Shana, and Anne St-Amand. "Les Récits du français québécois d’autrefois : reflet du parler vernaculaire du 19e siècle." Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 54, no. 3 (November 2009): 511–46. http://dx.doi.org/10.1017/s000841310000462x.

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Abstract:
RésuméLe présent article décrit la constitution d’un corpus de français oral, baptisé les Récits du français québécois d’autrefois (RFQ), qui comprend des contes, des légendes et des entrevues recueillis auprès de locuteurs nés entre 1846 et 1895. Leur parler est celui du Québec rural du 19e siècle; il montre la variabilité inhérente et les structures vernaculaires caractéristiques des dialectes d’aujourd’hui. Nous examinons les avantages et les inconvénients de ces données diachroniques et montrons que, si elles sont utilisées judicieusement, elles représentent effectivement un stade antérieur du français québécois, avant son contact intense avec l’anglais. À ce titre, elles constituent un point de repère pour situer les traits linguistiques actuels. À partir d’une étude de cas de l’élision du ne, nous montrons comment une comparaison systématique entre les RFQ et le parler vernaculaire contemporain peut servir à repérer un changement linguistique, à le dater et à suivre son acheminement.
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Soubiran-Paillet, Francine. "Dépénalisation, association professionnelle et personne morale au 19e siècle en droit français." Revue interdisciplinaire d'études juridiques 35, no. 2 (1995): 95. http://dx.doi.org/10.3917/riej.035.0095.

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6

Lüsebrink, Hans-Jürgen. "Interculturalités américaines. La trajectoire de Paul-Marc Sauvalle, cosmopolite canadien-français." Globe 7, no. 2 (February 18, 2011): 81–99. http://dx.doi.org/10.7202/1000862ar.

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Abstract:
Retraçant l’oeuvre et la biographie du journaliste Paul-Marc Sauvalle, né au Havre en France et mort en 1920 à Ottawa, ayant immigré au Canada en 1884 après une carrière mouvementée en Louisiane et au Mexique, cet article vise à mettre en relief son rôle de précurseur dans la perception interculturelle de l’espace nord-américain et mexicain au Canada francophone. Seront ainsi analysés d’abord son livre majeur Louisiane - Mexique - Canada (1891), qui témoigne de sa riche expérience transaméricaine et constitue un ouvrage pionnier dans cette perspective, et ensuite ses articles parus dans différents périodiques, de Canada-Revue jusqu’à l’Almanach du peuple, sur le Mexique, la Louisiane, les Caraïbes et la guerre hispano-américaine de 1898. Ces commentaires témoignent d’une profonde connaissance du monde hispanique, très rare dans les milieux littéraire et journalistique du Canada francophone à la fin du XIXe siècle.
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Abud, Francis. "Les races latines au service de la grande pensée du règne de Napoléon ııı. L’expédition française au Mexique 1861-1867." La Race, la racialisation et l’histoire 33, no. 2 (December 21, 2016): 45–66. http://dx.doi.org/10.7202/1038554ar.

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Abstract:
La peur du déclin français sur la scène internationale et la montée en puissance des États-Unis sont des sujets d’inquiétude dans la France du XIXe siècle. À cet effet, de nombreux auteurs français font la promotion d’un projet d’union des races latines d’Europe. Le régime impérial de Napoléon III récupère cette idée pour l’intégrer dans son projet d’expédition au Mexique. Théorisée autour de la grande pensée du règne, la France se présente comme la seule puissance latine en mesure de défendre le Mexique du péril américain. Au-delà de la rhétorique, la grande pensée du règne projette une vision des relations internationales opposant la race latine à la race anglo-saxonne.
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Foulard, Camille. "Sur les traces d’un mexicaniste français, constitution et analyse du fonds François Chevalier." Revista Trace, no. 49 (July 23, 2018): 80. http://dx.doi.org/10.22134/trace.49.2006.472.

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Abstract:
La grande thèse de François Chevalier, La formation des grand domaines au Mexique, terre et société aux XVI-XVIIIe siècle, publiée en 1952 a, en son temps, très profondement marqué l’historiographie. S’inscrivant résolument dans la mouvance des Annales, François Chevalier fait montre d’une grande originalité quant aux thèmes abordés et aux méthodes utilisées. À ce titre il est, dès les années cinquante, l’un des grands instigateurs du renouvellement des problématiques portant sur l’Amérique latine en sciences sociales. Historien, spécialiste sans conteste du Mexique puis des pays andins, François Chevalier n’a cependant pas eu le parcours classique de l’enseignant-chercheur. Il effectue, en effet, la majeure partie de sa carrière en tant que directeur successif de l’Institut français d’Amérique latine (IFAL) au Mexique, de la Casa Velázquez en Espagne et de l’Institut français d’Études andines (IFEA) au Pérou, institutions au sein desquelles il contribue largement au rayonnement intellectuel français. Lors de ses séjours prolongés en Amérique latine, François Chevalier a constitué une bibliothèque personnelle dont la valeur est inestimable pour nombre d’américanistes puisque de nombreux ouvrages, actuellement épuisés, n’existent plus qu’en unique exemplaire. Ce fonds a, pour partie, été versé au Centre de recherche sur l’Amérique latine et les mondes étrangers (CRALMI) de l’université Paris I Panthéon-Sorbonne.
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Merli, Maxime, and Antoine Parent. "La diversification des portefeuilles français à la veille de 1914 ou l'image écornée du rentier français du 19e siècle." Revue d'économie politique 121, no. 6 (2011): 915. http://dx.doi.org/10.3917/redp.216.0915.

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Rottet, Kevin J. "Évolution différente de deux traits de contact interdialectal en français louisianais : les cas de quoi et j'avons." Revue de l'Université de Moncton 37, no. 2 (June 1, 2007): 173–92. http://dx.doi.org/10.7202/015845ar.

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Abstract:
Le français louisianais contemporain est une koinè, fruit d'un contact interdialectal prolongé au cours des 18e et 19e siècles. Dans cet article, nous nous proposons d'examiner deux variables illustrant des parcours différents : les interrogatifs qui et quoi avec référence [-humain], et le type J'AVONS (p. ex. j'avons, je parlons). Les interrogatifs qui et quoi sont encore largement attestés en Louisiane, bien que dans des régions différentes. Nous reprendrons l'hypothèse de Byers (1988), qui a attribué quoi aux Acadiens et qui aux Créoles du 18e siècle. Le type J'AVONS, inconnu aujourd'hui, est attesté dans une douzaine de textes de la fin du 19e et du début du 20e siècles, habituellement avec une interprétation au singulier. Nous proposons d'interpréter ce fait comme une réanalyse de J'AVONS, précipitée par le contact dialectal. Le type J ' AVONS finira par disparaître complètement, contribuant à la situation de nivellement des paradigmes qui caractérise la plupart des parlers louisianais d'aujourd'hui.
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Demers, Maurice. "Les jésuites du Québec et la représentation de l’histoire mexicaine, 1928-1954." Revue d’histoire de l’Amérique française 71, no. 3-4 (June 13, 2018): 41–60. http://dx.doi.org/10.7202/1048512ar.

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Abstract:
Le Mexique a attiré l’attention de plusieurs Canadiens français dans la première moitié du XXe siècle. J’analyse dans cette publication l’intérêt pour ce pays des jésuites Antonio Dragon et Joseph Ledit. Ils ont écrit livres, articles et ont même réalisé des films, dans le cas de Dragon, pour faire la promotion de l’histoire mexicaine au Québec dans le but d’animer des réseaux transaméricains de résistance catholique. Cet article s’intéresse à leurs publications et analyse leur défense des positions catholiques dans la lutte opposant l’Église à l’État révolutionnaire au Mexique. Ces publications visaient aussi à sensibiliser le lectorat à la menace que le communisme athée faisait peser sur l’Occident.
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Legros, Valérie. "Représentations des femmes et des hommes dans des manuels d’arithmétique français du XIXe siècle : une approche quantitative." Revista Diálogo Educacional 16, no. 49 (July 14, 2016): 527. http://dx.doi.org/10.7213/dialogo.educ.16.049.ds01.

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Abstract:
Cet article présente la place et les représentations des femmes et des hommes dans des manuels d’arithmétique du 19e siècle en France. Ces manuels sont tous destinés à l’école primaire à um moment où celle-ci est en train de se mettre en place. Les résultats montrent une surreprésentation très importante des hommes par rapport aux femmes. Les unes et les autres sont présentés dans des activités stéréotypées : les femmes plus dans la famille, et les hommes plus au travail.
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Poplack, Shana, and Anne St-Amand. "Les Récits du français québécois d'autrefois : reflet du parler vernaculaire du 19e siècle." Canadian Journal of Linguistics / La revue canadienne de linguistique 54, no. 3 (2009): 511–46. http://dx.doi.org/10.1353/cjl.0.0060.

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Michel, Aurélia. "Pérez Siller Javier et Lassus Jean-Marie, Les Français au Mexique, XVIIIe-XXIe siècle." Revue européenne des migrations internationales 33, no. 2-3 (September 1, 2017): 340–41. http://dx.doi.org/10.4000/remi.8616.

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Burg, Gaëlle. "Lire la littérature médiévale en classe de français langue étrangère : une utopie ?" Swiss Journal of Educational Research 43, no. 1 (April 14, 2021): 129–38. http://dx.doi.org/10.24452/sjer.43.1.10.

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Abstract:
Si le corpus littéraire traditionnellement utilisé dans l’enseignement secondaire et supérieur du FLE emprunte le plus souvent à la littérature des 19e, 20e et 21e siècles, plus rarement aux œuvres du 16e, 17e et 18e siècle, que dire des textes plus anciens, ceux du Moyen Âge ? Les recensions montrent qu’ils sont totalement ignorés. Notre article voudrait défendre l’intérêt d’un enseignement de la littérature médiévale en FLE et soutenir les enseignant·e·s en leur fournissant des pistes d’activités efficaces permettant aux apprenant·e·s de dépasser les difficultés que suppose une lecture littéraire authentique. Pour ce faire, nous inscrivons notre démarche dans le sillage des méthodologies de l’approche globale des textes écrits (Moirand, 1979), et de la lecture interactive (Cicurel, 1991).
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Covo-Maurice, Jacqueline. "Un grand journaliste français au Mexique au XIXe siècle : René Masson et Le Trait d'Union." Caravelle 78, no. 1 (2002): 105–25. http://dx.doi.org/10.3406/carav.2002.1352.

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Sanfilippo, Matteo. "Les voyageurs italiens et le fait français au Canada (17e-21e siècles)." Recherche 54, no. 2 (September 6, 2013): 251–67. http://dx.doi.org/10.7202/1018280ar.

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Abstract:
Toute une tradition de voyageurs italiens en Nouvelle-France, au Canada français et enfin au Québec nous permet en effet de suivre les développements de l’opinion italienne autour du fait français au Canada. Nous partirons des relations des jésuites (le père Francesco Giuseppe Bressani) et des traductions italiennes de mémoires du 17e siècle (par exemple, ceux d’Henri Tonti, qui d’ailleurs était né en Italie, sur l’exploration du Mississippi et de la Louisiane). Nous poursuivrons par les réflexions des « touristes » qui, après la Révolution américaine, visitent la vallée du Saint-Laurent afin de comprendre la différence entre les États-Unis et les nouvelles colonies britanniques. Nous évoquerons aussi les réflexions des exilés du Risorgimento italien qui arrivent pendant la première moitié du 19e siècle. Enfin, en ce qui concerne le Québec dans la Confédération, nous comparerons les récits de voyage publiés par des journalistes et des romanciers aux rapports sur la Province rédigés par des diplomates de l’Italie et du Vatican. Même si la plupart de ces rapports diplomatiques n’ont pas été publiés, ils étaient conçus pour être lus ; de plus, ils ont influencé sinon l’opinion publique, au moins celle des experts.
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Dauzet, Dominique-Marie. "Les vocations du carmel français au 19e siècle, d’après les «circulaires». Premières réflexions sur une source documentaire." Revue d'Histoire Ecclésiastique 99, no. 3-4 (December 2004): 658–99. http://dx.doi.org/10.1484/j.rhe.3.77.

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Crunican, Paul. "CHOQUETTE, Robert, L’Église catholique dans l’Ontario français du 19e siècle. Ottawa, Éditions de l’Université d’Ottawa, 1984. 365 p." Revue d'histoire de l'Amérique française 40, no. 4 (1987): 592. http://dx.doi.org/10.7202/304497ar.

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Juan Oliva, Ester. "Écrivains français de l'âge classique et traduction dans les manuels espagnols de la seconde moitié du 19e siècle." Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, no. 24 (December 1, 1999): 223–31. http://dx.doi.org/10.4000/dhfles.3026.

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Suso López, Javier. "Littérature française et formation esthétique et morale dans les manuels de français de la fin du 19e siècle." Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, no. 24 (December 1, 1999): 205–21. http://dx.doi.org/10.4000/dhfles.3025.

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Vélez, Karin, and Hélène Paré. "Les voyages outre-mer d’un nom : de Loreto en Italie à la Jeune-Lorette au Canada." Revue d’histoire de l’Amérique française 64, no. 3-4 (August 15, 2013): 119–44. http://dx.doi.org/10.7202/1017972ar.

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Abstract:
Au XVIIe siècle, des centaines de chapelles, hors du territoire de l’Italie, reçurent le nom de Loreto en mémoire de la célèbre basilique mariale sur la côte adriatique italienne. L’attribution de noms est souvent associée à l’occupation impériale ou culturelle. Mais j’adopte ici une autre position. Je démontre plutôt que les catholiques de différents empires et de cultures différentes s’inspirèrent spontanément du nom Loreto pour établir une confrérie au-delà des mers. Leurs réseaux improvisés révèlent un monde de l’époque moderne bâti sur des frontières poreuses et sur un terrain d’entente plutôt que sur la rigidité impériale monolithique. Dans cet article, j’étudie trois groupes dissemblables de passeurs autodésignés du nom Loreto : les marchands picènes de la région des Marches, en Italie, où se trouve la basilique ; des missionnaires jésuites français et espagnols qui ont dédié des chapelles à Notre-Dame de Lorette, ou Loreto, au Canada et au Mexique, respectivement ; et des convertis hurons de la mission de Lorette, près de Québec. Le catholicisme qu’ils partageaient rendait familiers les symboles étrangers et resituait ces acteurs dans le cadre d’un empire français (catholique). Pourtant, ces échanges compliquent aussi l’idée d’un monde atlantique « français », puisqu’ils montrent des catholiques du XVIIe siècle qui vont au-delà de leurs collectivités – italienne, française ou huronne – pour bâtir une communauté mondiale de frères et de soeurs dans la religion.
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Pollet, Gilles, and Didier Renard. "Genèses et usages de l'idée paritaire dans le système de protection sociale français. Fin 19e - milieu du 20e siècle." Revue française de science politique 45, no. 4 (1995): 545–69. http://dx.doi.org/10.3406/rfsp.1995.403558.

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Christ, Herbert. "Du Maître de langue au « Neuphilologe ». La formation des enseignants de français en Allemagne au cours du 19e siècle." Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, no. 33/34 (June 1, 2005): 47–62. http://dx.doi.org/10.4000/dhfles.1674.

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Hammar, Elisabet. "Lectures de filles, lectures de garçons des auteurs français de l'époque classique dans les écoles suédoises au 19e siècle." Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, no. 24 (December 1, 1999): 187–99. http://dx.doi.org/10.4000/dhfles.3022.

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Braunstein, Philippe. "Parviz Mohebbi, Techniques et ressources en Iran du 7e au 19e siècle, Téhéran, Institut Français de Recherche en Iran, 1996, 273 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 53, no. 4-5 (October 1998): 947–48. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900045364.

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Thébaud-Mony, Annie. "SCIENCE ASSERVIE ET INVISIBILITÉ DES CANCERS PROFESSIONNELS: études de cas dans le secteur minier en France." Revista Direito das Relações Sociais e Trabalhistas 5, no. 1 (October 10, 2019): 13–36. http://dx.doi.org/10.26843/mestradodireito.v5i1.147.

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Abstract:
Depuis plus d’un siècle, l’évolution de la recherche en santé publique, en général, et les risques du travail, en particulier, est largement dominée par les besoins et stratégies des industriels. Ceux-ci interviennent, non seulement dans le financement des études menées, mais aussi dans la conception, les objectifs et les méthodologies de ces recherches, parvenant même à instaurer le doute là où la mise en danger est manifeste. Le travail minier fut, historiquement, dès le 19e siècle, l’un des premiers champs d’affrontements politiques et sociaux concernant les enjeux de la santé des travailleurs, tant en Amérique du Nord qu’en Europe ou sur les autres continents. Il le demeure, comme le démontre cet article à propos de l’invisibilité des cancers professionnels de mineurs ayant travaillé dans deux sites miniers français du sud de la France. S’appuyant sur les enquêtes pluridisciplinaires menées par son équipe de recherche en sciences sociales et celles de chercheurs en sciences de la vie, l’auteure s’attache à montrer comment les pratiques d’expertise et de santé publique sont mobilisées, non pas pour la prévention et la réparation des cancers professionnels, mais plutôt dans un processus continu de mise en doute des savoirs qui préserve les intérêts financiers des industriels et des actionnaires, tout en entravant la décision publique concernant la prévention et la justice sociale.
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Maldavsky, Aliocha. "Financiar la cristiandad hispanoamericana. Inversiones laicas en las instituciones religiosas en los Andes (s. XVI y XVII)." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 114. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.06.

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Abstract:
RESUMENEl objetivo de este artículo es reflexionar sobre los mecanismos de financiación y de control de las instituciones religiosas por los laicos en las primeras décadas de la conquista y colonización de Hispanoamérica. Investigar sobre la inversión laica en lo sagrado supone en un primer lugar aclarar la historiografía sobre laicos, religión y dinero en las sociedades de Antiguo Régimen y su trasposición en América, planteando una mirada desde el punto de vista de las motivaciones múltiples de los actores seglares. A través del ejemplo de restituciones, donaciones y legados en losAndes, se explora el papel de los laicos españoles, y también de las poblaciones indígenas, en el establecimiento de la densa red de instituciones católicas que se construye entonces. La propuesta postula el protagonismo de actores laicos en la construcción de un espacio cristiano en los Andes peruanos en el siglo XVI y principios del XVII, donde la inversión económica permite contribuir a la transición de una sociedad de guerra y conquista a una sociedad corporativa pacificada.PALABRAS CLAVE: Hispanoamérica-Andes, religión, economía, encomienda, siglos XVI y XVII.ABSTRACTThis article aims to reflect on the mechanisms of financing and control of religious institutions by the laity in the first decades of the conquest and colonization of Spanish America. Investigating lay investment in the sacred sphere means first of all to clarifying historiography on laity, religion and money within Ancien Régime societies and their transposition to America, taking into account the multiple motivations of secular actors. The example of restitutions, donations and legacies inthe Andes enables us to explore the role of the Spanish laity and indigenous populations in the establishment of the dense network of Catholic institutions that was established during this period. The proposal postulates the role of lay actors in the construction of a Christian space in the Peruvian Andes in the sixteenth and early seventeenth centuries, when economic investment contributed to the transition from a society of war and conquest to a pacified, corporate society.KEY WORDS: Hispanic America-Andes, religion, economics, encomienda, 16th and 17th centuries. BIBLIOGRAFIAAbercrombie, T., “Tributes to Bad Conscience: Charity, Restitution, and Inheritance in Cacique and Encomendero Testaments of 16th-Century Charcas”, en Kellogg, S. y Restall, M. 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Dufour, Andrée. "Diversité institutionnelle et fréquentation scolaire dans l’île de Montréal en 1825 et en 1835." Revue d'histoire de l'Amérique française 41, no. 4 (September 24, 2008): 507–35. http://dx.doi.org/10.7202/304614ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cet article examine un aspect jusqu’ici peu étudié de l’histoire de l’éducation au Québec dans le premier tiers du 19e siècle : la fréquentation scolaire. Il s’appuie sur deux manuscrits inédits de Jacques Viger dans lesquels sont recensés tous les établissements d’enseignement que comptait l’île de Montréal en 1825 et en 1835. L’île de Montréal constitue donc le terrain de cette étude qui comprend trois volets principaux. Dans un premier temps, l’étude fait état de la densité et surtout de la diversité du réseau scolaire montréalais d’alors. Puis elle considère la fréquentation scolaire des citadins et des ruraux, des filles et des garçons, des Canadiens français et des anglophones en fonction du ratio école-habitants et du nombre d’écoles mises à la disposition de ces clientèles par les différents éducateurs. En dernier lieu, elle tente de voir l’incidence du coût des études et de la gratuité scolaire sur la fréquentation des écoles. L’article veut ainsi reconsidérer l’« apathie », l’« indifférence » de la population à l’égard de l’instruction. Il veut également montrer que la fréquentation scolaire, prise ici comme un indice de l’accessibilité à l’instruction, fut, dans un contexte de vive rivalité, davantage régie par l’offre institutionnelle et par des facteurs économiques.
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Hea-ok YUH. "Approche d'un cours de culture française à l'aide de peintures du 19e siècle: exemple sur le développement de l’enseignement de la langue et de la culture en français." ASSOCIATION CULTURELLE FRANC0-COREENNE ll, no. 30 (May 2015): 247–75. http://dx.doi.org/10.18022/acfco.2015..30.009.

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Frenette, Yves. "La genèse d’une communauté canadienne-française en Nouvelle-Angleterre : Lewiston, Maine, 1800-1880." Historical Papers 24, no. 1 (April 26, 2006): 75–99. http://dx.doi.org/10.7202/030997ar.

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Abstract:
Résumé Le présent article a pour sujet la genèse d'une communauté canadienne-française en Nouvelle-Angleterre, celle de Lewiston, Maine, avant 1880. L'auteur décrit d'abord la localité à la veille de l'arrivée des premiers Canadiens français en I860, s'attardant plus particulièrement aux bouleversements causés par la Révolution industrielle, qui fit de Lewiston un des plus importants centres textiles des États-Unis. Il explique ensuite la nature des migrations canadiennes-françaises au 19e siècle, et le rôle de premier plan qu'y jouaient la famille et la parenté. De fait, la famille était la cellule de base de la communauté ethnique en formation. L'économie familiale caractérisait les ménages nucléaires et se tissèrent entre ceux-ci et les manufactures de coton des liens étroits et complexes. La parenté aussi avait des fonctions économiques, sociales et psychologiques, facilitant l'adaptation des migrants dans leur nouveau milieu, un milieu où les conditions d'existence étaient très précaires. De cette masse de paysans devenu ouvriers émergea une petite-bourgeoisie composée d'hommes d'affaires, de professionnels et de prêtres. Ces hommes utilisèrent leur pouvoir pour intensifier le sentiment religieux de leurs coreligionnaires et pour tenter d'instiller en eux l'idéologie de la survivance culturelle. Certains prirent leur distance de la masse des migrants, alors que d'autres, le curé et les professionnels notamment, travaillèrent à la création d'un réseau institutionnel centré sur la paroisse, contribuant ainsi thnique sur des fondations solides et à transformer les migrants en immigrants.
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AL AUBALI, Dr Fatima, and Sana Sana. "L’IMPORTANCE DE LA CULTURE ET DES TEXTES LITTÉRAIRES DANS LA TRADUCTION LA CULTURE DEVRAIT-ELLE ÊTRE TRADUITE ?" JOURNAL OF ADVANCES IN LINGUISTICS 5, no. 1 (November 25, 2014): 548–54. http://dx.doi.org/10.24297/jal.v5i1.2739.

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Le truisme dans les études relatives à la traduction est le dilemme entre la culture de la langue d’origine et la culture de la langue cible. Le traducteur qui s’y consacre pour mener à bien son devoir, doit en premier lieu reconnaitre le type de textes à traduire. Reconnaissant le type de textes, le traducteur sera en mesure de s’attaquer aux cultures une fois qu’il/elle décide de choisir le type du texte. Ainsi, cet article présente une étude descriptive de la traduction de textes littéraires de l’anglais en arabe et en français, en utilisant différentes scènes tirées des œuvres de Shakespeare qui ont été traduites par des traducteurs éminents dans ces deux dernières langues. Cet article décrit les études de fond, des contextes et des procédures de recherche ainsi que les différentes approches de la traduction. Il aborde ensuite certaines questions de recherche à savoir :1- La traduction sera-elle acceptée par la nouvelle communauté de lecteurs ?2- En quoi la relation entre la culture et la traduction est-elle importante ?Il est donc impératif de sonder la littérature de Goethe jusqu’à nos jours. Selon cette enquête, les paramètres des études de traduction dépassent les limites de la langue pour inclure des types de textes, les fonctions de la culture de la langue d’origine à celle de la langue cible. Les théoriciens de la traduction ont montré leur intérêt dans les aspects culturels de la traduction dès le 19e siècle. Cela implique que le but de la traduction est d’enrichir la langue cible à la fois culturellement et linguistiquement. Afin d’éviter les malentendus, les traducteurs doivent faire non seulement attention au contenu lexical, et syntaxique mais aussi aux idéologies, aux valeurs, ainsi qu’aux modes de vie relatifs impactés par la culture abordée. Par conséquent, les traducteurs doivent bien connaitre leurs publics lecteurs.Mots-clés : culture – traduction – sémiotique – familiarisation – étrangéisation - source (origine)
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Weis, Monique. "Le mariage protestant au 16e siècle: desacralisation du lien conjugal et nouvelle “sacralisation” de la famille." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 134. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.07.

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Abstract:
RÉSUMÉLe principal objectif de cet article est d’encourager une approche plus large, supraconfessionnelle, du mariage et de la famille à l’époque moderne. La conjugalité a été “désacralisée” par les réformateurs protestants du 16e siècle. Martin Luther, parmi d’autres, a refusé le statut de sacrement au mariage, tout en valorisant celui-ci comme une arme contre le péché. En réaction, le concile de Trente a réaffirmé avec force que le mariage est bien un des sept sacrements chrétiens. Mais, promouvant la supériorité du célibat, l’Église catholique n’a jamais beaucoup insisté sur les vertus de la vie et de la piété familiales avant le 19e siècle. En parallèle, les historiens décèlent des signes de “sacralisation” de la famille protestante à partir du 16e siècle. Leurs conclusions doivent être relativisées à la lumière de recherches plus récentes et plus critiques, centrées sur les rapports et les représentations de genre. Elles peuvent néanmoins inspirer une étude élargie et comparative, inexistante dans l’historiographie traditionnelle, des réalités et des perceptions de la famille chrétienne au-delà des frontières confessionnelles.MOTS-CLÉ: Époque Moderne, mariage, famille, protestantisme, Concile de TrenteABSTRACTThe main purpose of this paper is to encourage a broader supra-confessional approach to the history of marriage and the family in the Early Modern era. Wedlock was “desacralized” by the Protestant reformers of the 16th century. Martin Luther, among others, denied the sacramental status of marriage but valued it as a weapon against sin. In reaction, the Council of Trent reinforced marriage as one of the seven sacraments. But the Catholic Church, which promoted the superiority of celibacy, did little to defend the virtues of family life and piety before the 19th century. In parallel, historians have identified signs of a “sacralization” of the Protestant family since the 16th century. These findings must be relativized in the light of newer and more critical studies on gender relations and representations. But they can still inspire a broader comparative study, non-existent in traditional confessional historiography, of the realities and perceptions of the Christian family beyond denominational borders.KEY WORDS: Early Modern Christianity, marriage, family, Protestantism, Council of Trent BIBLIOGRAPHIEAdair, R., Courtship, Illegitimacy and Marriage in Early Modern England, Manchester, Manchester University Press, 1996.Beaulande-Barraud, V., “Sexualité, mariage et procréation. Discours et pratiques dans l’Église médiévale (XIIIe-XVe siècles)”, dans Vanderpelen-Diagre, C., & Sägesser, C., (coords.), La Sainte Famille. Sexualité, filiation et parentalité dans l’Église catholique, Problèmes d’Histoire des Religions, 24, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, 2017, pp. 19-29.Bels, P., Le mariage des protestants français jusqu’en 1685. 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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT, and D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Abstract:
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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Santiago Gómez, Arnulfo Uriel de. "La presse francophone au Mexique: signes de globalisation." História (São Paulo) 38 (2019). http://dx.doi.org/10.1590/1980-4369e2019026.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cet article essai de suivre un cas spécifique de l’expansion de l’édition europeènne en direction à l’Amérique : des rapports éditoriaux établis entre la France et le Mexique durant le XIXe siècle si bien, à propos de ce sujet, je traits seulement quelques chapitres d’une histoire culturelle à mi-chemin entre l’histoire du libre et l’histoire de la presse, en suivant des cas paradigmatiques, de figures de libraires et de journalistes qui ont exercé leurs activités entre deux continents. Il faut dire que l’intérvention des libraires français au Mexique au XIXe siècle continue à être mal connue, autant en France que dans ce país. De L’Universel en 1837, Laurence Coudart rapporta 24 périodiques qui ont été ouverts entre 1867 et 1883. Comme un cas paradigmatique, cet article va suivre au journaliste René Masson qui publie un journal à New York, le Francoaméricain, de 1844 à 1848. Il décide alors d’aller à Mexico et lancer Le Trait d’Union en 1849 et publié jusqu’à 1896 avec des interruptions surtout dues à la situation politique du pays.
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Giordano, Christian. "Nation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract:
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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Debaene, Vincent. "Anthropologie et littérature." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.090.

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Abstract:
Evoquer les rapports entre anthropologie et littérature, c'est un peu ouvrir la boîte de Pandore, en raison de la plasticité des deux termes en présence, particulièrement du second, en raison également de la charge affective dont ils sont investis. Le simple rapprochement des deux notions est invariablement porteur d'une réflexion sur la nature même de l'anthropologie et a souvent valeur polémique, ce qui explique en retour les réactions virulentes qu'il peut susciter. Qu'on prétende montrer la porosité de l'ethnologie et de la littérature ou qu'on veuille au contraire prémunir l'anthropologie de toute corruption littéraire, il s'agit toujours pour l'ethnologue de s'interroger sur sa propre pratique et de la définir. Il faut pourtant essayer d'y voir clair, et pour cela partir des études qui traitent effectivement de cette question en essayant d'abord d'y mettre de l'ordre. On peut distinguer trois cas ou trois façons d'articuler littérature et anthropologie: les études anthropologiques qui prennent la littérature orale ou écrite pour objet; les réflexions épistémologiques ou historiques qui envisagent la littérature et l'anthropologie comme des discours et s'interrogent sur les rapports que ces discours peuvent entretenir; les travaux, menés ou non par des anthropologues, qui cherchent un savoir anthropologique dans des œuvres considérées comme littéraires. La première de ces trois formes de mise en rapport n'est pas en tant que telle problématique; elle consiste à examiner dans une perspective anthropologique la littérature en tant qu'activité symbolique et culturelle valorisée par une société donnée. C'est à ce titre que la littérature orale est objet d'ethnologie depuis longtemps. On pourra seulement noter que les travaux qui, selon les mêmes principes, prendraient pour objet la littérature écrite des sociétés modernes sont plus rares. A cela il y a deux raisons évidentes: la production comme la consommation de littérature écrite sont très majoritairement solitaires et privées et se prêtent mal à une observation ethnographique classique. Cela n'a pas empêché certains anthropologues de refuser cette exclusion, par exemple en rétablissant la continuité entre tradition orale et poésie moderne (Casajus 2012) ou en proposant une ethnographie de la création littéraire, qui s'attache à la matérialité des pratiques des écrivains, aux formes de subjectivation par l'écriture ou à la sacralité propre à l'œuvre littéraire dans les sociétés modernes (Fabre 1999, 2014). La troisième ensemble de travaux décèle dans des corpus reconnus comme littéraires une ressource anthropologique. Là encore, il faut distinguer entre, d'une part, les études qui identifient dans les textes les jeux et les conflits entre formes culturelles hétérogènes (orale vs écrite, sacrée vs profane...) (c'est l'objet d'un courant des études littéraires, l'ethnocritique (Privat et Scarpa 2010)) et, d'autre part, les tentatives qui lisent les œuvres de la littérature comme porteuses d'un savoir anthropologique, voire de « leçons » à destination des ethnologues (Bensa et Pouillon 2012). Dans ces deux cas, la littérature est d'abord envisagée comme un corpus, dont la constitution n'est pas questionnée (en cela, ces analyses se distinguent de la sociologie de la littérature) et dont on montre la richesse et la densité telle qu'elles sont révélées par une approche ethnologiquement informée. Dans cette perspective, on a pu en particulier souligner les vertus d'une création fictionnelle qui permet, par variation imaginaire, de mettre en pleine lumière certaines déterminations anthropologiques (Jamin 2011, 2018). Mais la façon la plus fréquente d'articuler anthropologie et littérature, celle qui a donné lieu aux travaux les plus nombreux, consiste à considérer l'une et l'autre comme des discours, analogues ou rivaux, mais comparables dans leur rapport au lecteur et dans leur visée. Le gros de ces études s'est développé à partir des années 1980 et du tournant postmoderne de l'anthropologie. Il s'agissait alors d'attirer l'attention sur tout ce que l'anthropologie et la littérature ont en commun, dans un but plus général de dénonciation de l'objectivisme de la discipline. Contre l'idée que l'ethnographe est un observateur neutre d'une réalité sociale qu'il décrit et analyse, on a commencé par rappeler que son activité première n'est ni l'observation, ni la participation, ni l'interprétation, mais l'écriture (Geertz 1973). Dès lors, on a pu montrer que l'anthropologie relevait d'une poétique au même titre que la littérature des temps anciens (du temps où la poétique était prescriptive, la fabrication des œuvres reposant sur un certain nombre de règles à suivre) ou que la littérature des temps modernes (lorsque la poétique est devenu singulière et implicite, mais pouvait être reconstruite a posteriori par le critique à l'analyse des œuvres). Alors que l'anthropologie sociale s'était établie au 19e siècle par l'ambition de constituer en science le discours sur l'homme en société, tous les éléments considérés habituellement comme des marqueurs de scientificité se sont retrouvés mis en question par ces interrogations poétiques. Le dogme fondateur du refus de la fiction s'est trouvé d'abord fragilisé lorsque Clifford Geertz, réactivant l'étymologie du terme (du latin fingere, fabriquer, construire), a insisté sur la part d'imagination inhérente à l'écriture ethnographique, comparant la reconstruction des interactions sociales dans un univers donné au travail d'imagination de Gustave Flaubert dans Madame Bovary (Geertz 1973, 15-16). Puis ce dogme a été franchement remis en cause lorsque James Clifford, insistant davantage sur l'invention qu'exige un tel travail, a proposé d'envisager les travaux ethnographiques comme des constructions textuelles – true fictions et partial truths – à la fois, donc, partielles et partiales (Clifford 1986). Dans son sillage, on s'est plu à montrer que les anthropologues, comme les écrivains, avaient des « styles » (Geertz 1988) et, plus généralement, rétablir des continuités entre discours littéraire et discours anthropologique, retrouvant chez les anthropologues classiques des tropes, des modes de narration, des conceptions de soi et de l'autre, hérités de la poésie romantique, de la tradition du récit de voyage ou de celle du roman d'aventures. Ainsi a-t-on mis en évidence, par exemple, toute l'influence que l'œuvre de Joseph Conrad avait pu exercer sur celle de Bronislaw Malinowski (Clifford 1988b) ou l'articulation profonde entre projet anthropologique et ambition poétique chez Edward Sapir et Ruth Benedict (Handler 1986). Dès lors, la rupture entre anthropologie et littérature – moins affirmée par les fondateurs de la discipline que simplement postulée, puisqu'il était évident qu'en la consacrant comme science, on sortait l'anthropologie du monde des œuvres et de la belle parole – a pu apparaître non comme une coupure mais comme une dénégation. En niant qu'elle relevait d'une poétique, l'anthropologie niait surtout qu'elle relevait d'une politique (comme le souligne le sous-titre du célèbre recueil Writing Culture (Clifford et Marcus 1986)). Le questionnement poétique – qui interroge la fabrication des textes ethnographiques – s'est ainsi doublé d'un questionnement rhétorique, qui s'attache à la circulation de ces textes, aux déterminations pesant sur leur conception comme sur leur réception. On a souligné, dans les textes classiques de la discipline, le silence entourant les conditions d'obtention de l'information ou les rapports avec l'administration coloniale, l'éclipse des informateurs et des sources, le privilège accordé de facto au point de vue masculin, les déformations introduites par les exigences de l'univers académique de réception, etc. En écho avec d'autres réflexions épistémologiques soucieuses d'élucider les rapports entre projet anthropologique et projet colonial, la question de l'autorité ethnographique est devenue centrale, le discours et le texte anthropologiques apparaissant comme un des lieux majeurs où s'articulent savoir et pouvoir (Clifford 1988a). Dans cette perspective, la littérature « indigène » a pu être parfois promue non plus seulement comme une source mais bien comme la seule ethnographie véritable puisqu'elle échappe (censément) à toute appropriation autoritaire de la parole par une instance extérieure. Ces réflexions ont eu pour conséquence une certaine libération de l'écriture ethnographique, une plus grande réflexivité touchant les procédures de composition des textes, voire la promotion de modes de restitution et d'exposé inventifs et polyphoniques, prenant parfois pour modèle des formes anciennes de textualité ethnographique, antérieures à la stabilisation disciplinaire. Elles ont aussi suscité des critiques pour leur complaisance et parce qu'elles déplaçaient excessivement l'attention vers les pratiques des ethnographes au détriment de leurs objets, conduisant à une sorte de narcissisme de l'écriture (Bourdieu 1992). Dans tous les cas pourtant, malgré la prétention à reconnaître la part « littéraire » de l'ethnologie, il était en fait moins question de littérature que d'écriture de l'ethnographie. C'est en partie une conséquence du cadre anglo-américain dans lequel ces réflexions ont émergé. D'abord parce que, en anglais, les termes literature et literary ont un sens plus technique et instrumental qu'en français où le terme littérature désigne d'abord, dans l’usage courant tout au moins, sinon un canon, en tout cas une logique de consécration : seules les œuvres appartiennent de plein droit à la littérature. Que l'anthropologie exige un travail de l’écriture est une chose, que ce dispositif formel fasse une œuvre en est une autre (Debaene 2005). Ensuite, parce que ce prétendu « réveil littéraire de l'anthropologie » s'inscrit bon gré mal gré dans une conception herméneutique de la discipline et repose sur la conviction que « la philologie est, somme toute, l'ancêtre du 19e siècle commun à l'anthropologie et aux études littéraires » (Daniel et Peck 1996: 8, 11). Or si une telle construction généalogique est pertinente aux Etats-Unis, elle ne l'est pas partout, et les relations des ethnologues à la littérature (envisagée soit comme un corpus, soit comme une technique d'écriture) et aux études littéraires (envisagée soit comme un type d'approche, soit comme une discipline) varient beaucoup selon les lieux et les histoires disciplinaires nationales (Debaene 2010). S'il est vrai que l'anthropologie comme la littérature sont avant tout des réalités locales, alors il importe de comprendre que l'étude de leurs rapports ne relève pas premièrement d'un questionnement épistémologique mais d'abord d'une histoire de la culture.
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