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1

Condoure, J. "Contrôle non destructif par courants de Foucault." Matériaux & Techniques 76, no. 9-10 (1988): 13–16. http://dx.doi.org/10.1051/mattech/198876090013.

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2

Bouillault, F., and A. Razek. "Courants de Foucault dans les pièces polaires d'une machine synchrone." Revue de Physique Appliquée 21, no. 2 (1986): 181–85. http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:01986002102018100.

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3

Aknin, P., F. Monteil, and D. Placko. "Modélisation d'une structure multicapteur à courants de Foucault destinée à l'analyse de profil." Revue de Physique Appliquée 24, no. 2 (1989): 227–42. http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:01989002402022700.

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4

Pichon, L., M. Ayoub, and A. Razek. "Comparaison de techniques mixtes pour le calcul de courants de Foucault en géométrie axisymétrique." Revue de Physique Appliquée 24, no. 11 (1989): 1049–56. http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:0198900240110104900.

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5

Bouillault, F., Z. Ren, and A. Razek. "Modélisation tridimensionnelle des courants de Foucault à l'aide de méthodes mixtes avec différentes formulations." Revue de Physique Appliquée 25, no. 7 (1990): 583–92. http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:01990002507058300.

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6

Muller, J. L. "Détection des défauts de surface sur les demi-produits chauds par courants de Foucault." Revue de Métallurgie 84, no. 6 (June 1987): 483–86. http://dx.doi.org/10.1051/metal/198784060483.

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7

Long, Cung Thanh, Pierre-Yves Joubert, and Eric Vour'ch. "Approche multifréquence à courants de Foucault pour l'évaluation de l'écartement entre pièces d'un assemblage aéronautique." Instrumentation Mesure Métrologie 10, no. 1-2 (June 28, 2010): 33–52. http://dx.doi.org/10.3166/i2m.10.1-2.33-52.

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8

David, Bernard, Claude Cherpentier, Michel Pigeon, and J. C. Lemarquis. "Examen par courants de Foucault multifréquence des tubes de GV de Superphénix à 150°C." Revue Générale Nucléaire, no. 3 (May 1990): 218–20. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/19903218.

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9

Vourc'h, Éric, Thierry Bore, Caifang Cai, and Romain Soulat. "Reconstruction de fissures 2D à partir d’images courants de Foucault utilisant un modèle direct semi-analytique." Instrumentation Mesure Métrologie 15, no. 3-4 (December 30, 2016): 129–38. http://dx.doi.org/10.3166/i2m.15.3-4.129-138.

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10

GROS, X. "Contrôle non destructif de matériaux composites par la technique des courants de foucault : une nouvelle approche." Annales de Chimie Science des Matériaux 23, no. 7-8 (October 1998): 981–90. http://dx.doi.org/10.1016/s0151-9107(99)80009-9.

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11

Bour, J. C., E. Zubiri, P. Vasseur, and A. Billat. "Étude de la répartition des courants de Foucault pulsés dans une configuration de contrôle non destructif." Journal de Physique III 6, no. 1 (January 1996): 7–22. http://dx.doi.org/10.1051/jp3:1996112.

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12

Bieth, Michel, Eric Savin, and Francis Bodson. "Profilométrie par courants de Foucault de la zone de dudgeonnage des tubes de générateurs de vapeur." Revue Générale Nucléaire, no. 3 (May 1990): 222–24. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/19903222.

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13

Bossavit, A. "Le calcul des courants de Foucault, en trois dimensions, en présence de corps à haute perméabilité magnétique." Revue de Physique Appliquée 23, no. 6 (1988): 1147–59. http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:019880023060114700.

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14

Bossavit, A. "Le calcul des courants de Foucault en dimension 3, avec le champ électrique comme inconnue. I : Principes." Revue de Physique Appliquée 25, no. 2 (1990): 189–97. http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:01990002502018900.

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Bonnin, O., J. Cahouet, and P. Giordano. "Contrôle non destructif par courants de Foucault : expérience et modélisation pour la conception et l'optimisation de capteurs." Journal de Physique III 3, no. 3 (March 1993): 485–94. http://dx.doi.org/10.1051/jp3:1993110.

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16

Meurgey, Patrick, and Alain Baumaire. "Automatisation des méthodes de diagnostic pour le contrôle par courants de Foucault des tubes de générateur de vapeur." Revue Générale Nucléaire, no. 3 (May 1990): 209–13. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/19903209.

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Tivolle, A., Y. Codur, and J. L. Muller. "Première utilisation des courants de Foucault pour le sondage des brames à chaud sur une machine de coulée continue." Revue de Métallurgie 82, no. 1 (January 1985): 39–42. http://dx.doi.org/10.1051/metal/198582010039.

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Savin, E., M. Bieth, and J. C. Floze. "Mesure par courants de Foucault des jeux entre tubes et barres antivibratoires des générateurs de vapeur des centrales REP." Revue Générale Nucléaire, no. 3 (May 1990): 225–28. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/19903225.

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19

Carron de la Morinais, G., G. Meunier, and C. Kieny. "Calcul des courants de Foucault en trois dimensions par une formulation utilisant le potentiel vecteur magnétique et le potentiel scalaire électrique." Revue de Physique Appliquée 25, no. 7 (1990): 593–603. http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:01990002507059300.

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Lê, Minh-Quang, and Dominique Placko. "Nouvelle structure de capteur à courants de Foucault et algorithme associé pour la mesure des propriétés électrique et magnétique d'un métal." Journal de Physique III 5, no. 6 (June 1995): 807–24. http://dx.doi.org/10.1051/jp3:1995162.

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Ducreux, Jacques, Philippe Eyrolles, and Thierry Meylogan. "STACOUF : un nouveau système de traitement automatique des signaux Courants de Foucault pour le contrôle des générateurs de vapeur des centrales REP." Revue Générale Nucléaire, no. 3 (May 1990): 214–17. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/19903214.

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Fournier, Philippe. "La responsabilité comme mode de gouvernement néolibéral : l’exemple des programmes d’aide aux familles aux États-Unis de 1980 à nos jours1." Les ateliers de l'éthique 10, no. 1 (August 24, 2015): 129–54. http://dx.doi.org/10.7202/1032732ar.

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Abstract:
Le point de départ de ma proposition est que la responsabilité est un terme plus approprié que la vertu pour désigner les exhortations au devoir civique dans l’ère contemporaine. De même, à défaut de voir l’implication citoyenne comme l’expression de la rationalité individuelle ou de la conscience morale dans la sphère publique, je propose de comprendre la responsabilité comme une matrice discursive et gouvernementale qui perpétue des modèles comportementaux bien spécifiques. J’entends ainsi démontrer que la responsabilité est devenue une modalité indispensable du « gouvernement de la conduite » au sein d’une rationalité néolibérale. En plus de constituer une série de dispositions morales qui remédierait aux failles et aux lacunes de l’individualisme (néo)libéral, la responsabilité se matérialise dans les incitations à une citoyenneté active et participe de ce fait à la rationalisation du retranchement de l’État de la sphère sociale. Comme l’illustrent des courants aussi divers que le néoconservatisme, le communautarisme et l’économie sociale, la responsabilité se présente moins comme une solution de rechange aux créneaux du néolibéralisme qu’une série de techniques et de standards comportementaux visant à compléter et renforcer l’application élargie d’une logique micro-économique. Je montrerai que le recours à la notion de responsabilité est particulièrement visible dans les politiques d’aide sociale et au sein des nouveaux partenariats entre l’État, le milieu communautaire et les communautés locales. En effet, l’aide étatique est de plus en plus conditionnelle à la démonstration de certaines dispositions morales et psychologiques comme la volonté, la ténacité et la probité. L’article se divise en quatre parties. La première s’attarde à définir brièvement la « gouvernementalité », concept initialement développé par Michel Foucault. La deuxième se penche sur des travaux plus contemporains, notamment ceux du sociologue britannique Nikolas Rose qui se préoccupe de la responsabilité en tant que modalité gouvernementale au sein du néolibéralisme. La troisième partie met en relief les particularités du néolibéralisme américain. En vue de cerner les pratiques et discours associés à la responsabilité de façon plus précise, la dernière partie examine l’un des principaux programmes d’aide sociale aux États-Unis, l’Aid to Families with Dependent Children (AFDC), devenu le Temporary Assistance for Needy Families (TANF) en 1996, des années 1980 jusqu’à aujourd’hui.
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Jelassi, Faten. "Calcul des courants de Foucault harmoniques dans des domaines non bornés par un algorithme de point fixe de Cauchy." Revue Africaine de la Recherche en Informatique et Mathématiques Appliquées Volume 5, Special Issue TAM... (August 7, 2006). http://dx.doi.org/10.46298/arima.1862.

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Abstract:
International audience We investigate a computing procedure for the unbounded eddy current model put under a coupled finite elements/integral representation form. The exact and non-local artificial condition, enforced on the boundary of the truncated domain, is derived from the simple/double layers potential and the critical point is: how to handle it numerically? An iterating technique, based on the Cauchy fixed point technique, allows us to approximate accurately the solution. The advantage of it is that, at each step, only a bounded eddy current problem with a local condition has to be solved, which is currently carried out by most of the nowadays computing codes conceived to handle value problems on bounded domains. Nous proposons une méthode itérative pour traiter le modèle des courants induits dans un domaine non borné, réécrit au moyen de la technique des éléments finis couplée à une représentation intégrale. La difficulté majeure est la prise en compte numériquement de la condition exacte artificielle et non-locale imposée sur la frontière fictive du domaine tronqué.Un processus itératif est alors mis au point, fondé sur une technique de point fixe de Cauchy, et qui permet une approximation satisfaisante de la solution. Le gain essentiel est qu'à chaque étape nous avons à résoudre un problème posé sur un domaineborné avec une condition locale au bord, ce qui constitue une tâche relativement aisée pour de nombreux codes de calcul conçus pour traiter les problèmes aux limites sur des bornés.
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Auclair, Isabelle. "Féminismes." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.096.

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Abstract:
« Nous sommes tous féministes » affirmait Chimamanda Ngozi Adichie en 2015. L’argumentaire de cette auteure nigériane met de l’avant l’importance de réfléchir et d’agir collectivement pour enrayer les inégalités qui existent entre les hommes et les femmes, déboulonnant ainsi l’idée que l’égalité serait atteinte et réaffirmant la pertinence du féminisme. Le féminisme peut être défini comme une «prise de conscience d’abord individuelle, puis ensuite collective, suivie d’une révolte contre l’arrangement des rapports de sexe et la position subordonnée que les femmes y occupent dans une société donnée, à un moment donné de son histoire» (Toupin 1998 : 10). La reconnaissance de l’oppression des femmes et des inégalités systémiques qui en découlent est centrale aux théories, aux mouvements et aux luttes féministes. Cependant, la modulation historique et géographique de cette oppression, selon le contexte social et culturel, génère des conceptions diversifiées des causes menant à la subordination des femmes et des mesures à prendre pour atteindre l’égalité. Reconnaissant l’hétérogénéité du féminisme, il est pertinent d’utiliser le pluriel pour aborder de façon plus large «les féminismes». Cette diversité des théorisations et des mouvements féministes rend l’exercice de définition et de catégorisation complexe, voire limité. Il est toutefois possible de poser des balises et des pistes de définition en s’intéressant aux différents courants de pensée. Dans une perspective historique, la pensée féministe est souvent représentée en trois vagues, bien que celles-ci recoupent une multitude de courants. La première vague est associée à la période du début du XXe siècle, qui a vu notamment l’émergence du mouvement des suffragettes pour les droits politiques des femmes. Alors que la deuxième vague est généralement associée aux combats sociaux initiés dans les années 1960 visant notamment les revendications quant aux droits sexuels et reproductifs des femmes et le droit à une vie sans violences, la troisième est associée à la période contemporaine du début du XXIe siècle et à l’éclatement des conceptions et la diversité des points de vue, notamment par les réflexions queer, intersectionnelles et postcoloniales. Bien que cette catégorisation soit aidante parce que simple, elle cache la diversité des courants et leur chevauchement. Aborder la définition des féminismes par ses différents courants permet une meilleure prise en compte de cette diversité mais demeure tout de même réducteur puisque tous les courants ne peuvent être détaillés et chacun est complexe et comporte ses propres nuances et tensions. La conception des causes des inégalités et des façons de les aborder diffèrent entre les courants. Les tenant.e.s du féminisme libéral et égalitaire remettent en question le rôle traditionnel des femmes et les discriminations qu’elles vivent en recherchant l’égalité de droits. Les féministes s’inscrivant dans le courant radical (Mathieu 1991) souhaitent aller à la racine de l’oppression des femmes qu’elles identifient comme étant le système et les structures patriarcales. Selon Christine Delphy (2004 : 155), le patriarcat « (…) désigne une formation sociale où les hommes détiennent le pouvoir, ou encore, le pouvoir des hommes. Il est ainsi quasi synonyme de « domination masculine » ou d’oppression des femmes ». Ce système de dévalorisation du féminin, soutenu par les structures inégalitaires et nourri par les manifestations machistes, engendre la subordination des individus associés à ce groupe. Le courant marxiste féministe priorise quant à lui la prise en compte de l’exploitation économique des femmes en raison du système capitaliste. Combinant certains éléments des féminismes radical et marxiste, le féminisme matérialiste critique l’idée que le capitalisme prévaudrait sur le patriarcat. Ce courant s’attarde à l’analyse des conditions matérielles d’existence et à l’oppression des femmes au quotidien entre autres grâce au concept de division sexuelle du travail (Kergoat 2000). D’autres courants féministes émergent pour mettre de l’avant les réalités différenciées et les multiples oppressions que vivent les femmes, que ce soit en raison de leur orientation sexuelle, notamment par le féminisme lesbien qui donnera les bases de la réflexion sur l’hétérosexisme. Le féminisme afro-américain nait de l’invisibilisation des femmes afro-américaines dans les mouvements des droits civiques, en tant que femmes, et dans les revendications féministes, en tant qu’afro-descendantes (hooks, 1981). Ce courant met de l’avant l’importance d’analyser l’imbrication des différents systèmes d’oppression et leurs impacts sur la vie des femmes. Cette prise en compte donnera naissance au féminisme intersectionnel (Crenshaw 1989) lequel permet de reconnaître la co-construction des systèmes inégalitaires, incluant le sexisme, le racisme, la classe sociale, l’hétérosexime et le capacitisme ou validisme (stéréotypes, dévalorisation et discriminations des personnes en situation de handicap), ainsi que les effets imprévisibles de leur articulation. Selon Patricia Hill Collins et Sirma Bilge (2016), l’intersectionnalité s’appuie sur six idées de base : les inégalités sociales, le pouvoir, la relationnalité, le contexte social, la complexité et la justice sociale. Pour certaines féministes postmodernes, notamment celles ayant développé les théories queer, ce sont les catégories sociales binaires du sexe et du genre qui doivent être déconstruites pour éliminer les inégalités. Judith Butler (2004) parlera à cet effet de «défaire le genre». D’autres courants, plus marginaux, tels que le féminisme de la différence ou essentialiste, le féminisme anarchique ou l’écoféminisme, proposent d’autres analyses des causes des inégalités ainsi que des mesures pour les éradiquer. Les diverses perspectives féministes impliquent, entre autres, la priorisation de la prise en compte des besoins, des intérêts, des expériences des femmes et de leur propre analyse de celles-ci. S’appuyant sur leurs réalités et leurs enjeux spécifiques découlant du processus de colonisation qu’elles ont subi (et subissent encore), les femmes autochtones et des Suds ont développé les féminismes autochtones, postcoloniaux et décoloniaux (Verschuur et Destremau 2012). En somme, les féminismes proposent des analyses multiples et variées de la dissymétrie, de la binarisation et de la hiérarchisation des rapports sociaux de sexe et des inégalités qui en découlent. Les féminismes cherchent ainsi à visibiliser et à expliquer les inégalités systémiques que vivent les femmes de tous les horizons et qui se manifestent aux niveaux structurels, normatifs, organisationnels et comportementaux. Dans cette optique, les recherches et les initiatives féministes s’inscrivent dans une démarche de justice sociale visant à transformer en profondeur les rapports sociaux pour mettre en place des sociétés plus égalitaires (Dagenais 1987). Cette démarche multidisciplinaire, à laquelle plusieurs anthropologues ont contribué (notamment, Françoise Héritier (2007) et Nicole-Claude Mathieu dans le contexte européen francophone et Marie France Labrecque (2012) et Huguette Dagenais en contexte québécois), vise des changements sociaux. Pour ce faire, elle se déploie à la fois au niveau conceptuel, par le développement de théories et de méthodologies, que pratique dans les actions et les revendications sociales. Comme le suggère Diane Lamoureux (2016 : 18) « (…) le féminisme est le lieu d’une diversité idéologique qui ne constitue pas un frein, mais plutôt un moyen fécond de réfléchir et de se développer». Le slogan de 2015 de la Marche mondiale des femmes est évocateur de la pertinence des luttes et des réflexions féministes dans un contexte de diversité : «Tant que toutes les femmes ne seront pas libres, nous serons en marche! »
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25

Vibert, Stephane. "Tradition et modernité." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.081.

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Abstract:
« Tradition » et « modernité » sont longtemps apparues, pour les sciences sociales et le sens commun, non seulement comme des notions relatives, initialement définies l’une par rapport à l’autre dans un rapport d’exclusivité mutuelle, mais plus encore, comme des qualificatifs désignant de véritables régimes d’humanité – sociétés traditionnelles et modernes. Pourtant, de l’intérieur même du champ anthropologique, de nombreuses critiques se sont régulièrement élevées à l’encontre de ce découpage trop schématique, appelant à davantage de réflexivité quant à l’usage de ces catégories englobantes. En effet, durant une majeure partie de son existence, l’anthropologie a été associée à l’étude des sociétés « primitives », ou « traditionnelles », alors que la description des sociétés « civilisées », ou « modernes », était dévolue à la sociologie. Cette distinction épousait de fait l’auto-compréhension des sociétés occidentales, dont la reconstruction évolutionniste de l’histoire de l’humanité présentait celle-ci selon une succession linéaire et nécessaire de stades indiquant les progrès de l’esprit humain, manifestes tant au niveau de l’organisation sociale, de la connaissance des phénomènes, de la morale personnelle que des réalisations matérielles et techniques. Aussi, dès la rencontre effective avec des sociétés aux langues, mœurs, croyances ou activités dissemblables, l’intérêt pour l’altérité comme différence s’est trouvé en tension avec une volonté de classification abstraite, selon une philosophie de l’histoire élaborée à partir des catégories intellectuelles propres à la trajectoire occidentale. Cela passe notamment, à partir des 18éme-19èmes siècles, par une auto-identification à la Raison universelle, seule apte à circonscrire le savoir « vrai » sur la réalité physique ou sociale, à distance de tous les préjugés enfermant l’humain dans la coutume, l’ignorance et la superstition. De cette configuration culturelle particulière (dite « post-traditionnelle »), nouveau mode de représentation du monde et de l’Homme apparu à la Renaissance et aboutissant aux Lumières, découleront tant un ensemble de processus socio-politiques définissant la « modernité » (développement scientifique et technique, révolution industrielle, État de droit, capitalisme marchand, individualisation des comportements et des valeurs, etc.) qu’une opposition globale à la « tradition » (les « survivances », en termes évolutionnistes). Ce « désenchantement du monde » – pour reprendre l’expression célèbre de Max Weber –, sera perçu à travers une dichotomie généralisée et normativement orientée, déclinée sous de multiples aspects : religion / science, immobilisme / changement, hiérarchie / égalité, conformisme / liberté, archaïsme / progrès, communauté / société, etc. Si le « grand partage » entre Nous et les Autres, entre modernité et tradition, a pu constituer un soubassement fondamental à la prime ambition empirique et positiviste du savoir anthropologique, il n’en a pas moins dès l’origine de la discipline été contesté sur bien des points. En anthropologie, l’idée d’une tradition fixe et rigide s’avère critiquée dès Malinowski, l’un des premiers à souligner la rationalité contextuelle des « primitifs » en référence à leurs règles communes de coexistence, et à récuser l’assimilation indue de la tradition à une obéissance servile et spontanée, sorte d’inertie mentale ou d’instinct groupal. Chez les Trobriandais ou ailleurs, soulignait-il, « dans des conditions normales, l’obéissance aux lois est tout au plus partielle, conditionnelle et sujette à des défaillances et (…) ce qui impose cette obéissance, ce ne sont pas des motifs aussi grossiers que la perspective du châtiment ou le respect de la tradition en général, mais un ensemble fort complexe de facteurs psychologiques et sociaux » (Malinowski, 2001 : 20). L’anthropologie, par sa mise en valeur relativiste des multiples cultures du monde, insistera alors davantage sur l’importance de la tradition dans la constitution de toute société, comme ensemble de principes, de valeurs, de pratiques, de rituels transmis de génération en génération afin d’assurer la permanence d’un monde commun, fût-ce à travers d’essentielles dynamiques de réappropriation, d’altération et de transformation, trait fondamental de toute continuité historique. Selon Jean Pouillon, « la tradition se définit – traditionnellement – comme ce qui d’un passé persiste dans le présent où elle est transmise et demeure agissante et acceptée par ceux qui la reçoivent et qui, à leur tour, au fil des générations, la transmettent » (Pouillon, 1991 : 710). En ce sens, « toute culture est traditionnelle », même si elle se conçoit comme radicalement nouvelle et en rupture totale avec le passé : son inscription dans la durée vise implicitement un « devenir-tradition ». Dès les années 1950, le courant « dynamique » de l’anthropologie britannique (Gluckman, 1956 ; Leach, 1954 ; Turner, 1957), les analyses de l’acculturation aux États-Unis (Herskovits, 1955) ou les travaux pionniers de Balandier (1955) et Bastide (1960) en France avaient montré combien les « traditions », malgré les efforts conservateurs des pouvoirs religieux et politiques afin de légitimer leur position, recelaient de potentialités discordantes, voire contestataires. A partir des années 1980, certains courants postmodernes, post-coloniaux ou féministes en anthropologie (Clifford et Marcus, 1986 ; Appadurai, 1996 ; Bhabha, 1994 ; Abu-Lughod, 1993), souvent inspirés par la French Theory des Foucault, Deleuze ou Derrida (Cusset, 2003), se sont inscrits dans cette veine afin d’élaborer une critique radicale de la perspective moderne : partant du native point of view des populations subalternes, objectivées, dépréciées et opprimées, il s’agit de dénoncer le regard implicitement colonialiste et essentialiste, qui – au nom de la science objective – avait pu les rejeter unanimement du côté de l’archaïsme et de l’arriération.. Cette reconsidération féconde de la « tradition » rejaillit alors nécessairement sur son envers relatif, la « modernité ». A partir des années 1950, suite au cataclysme totalitaire et aux puissants mouvements de décolonisation, apparaît une critique anthropologique argumentée des principes de développement et de modernisation, encore approfondie dans les années 1990 avec la fin du communisme réel en Europe et l’avènement d’une crise écologique liée à l’hégémonie du capitalisme industriel. Sous l’effet d’une « mondialisation » aux dimensions hétérogènes voire contradictoires, l’Occident semble redécouvrir les vertus des approches dites « traditionnelles » en de nombreux domaines (spiritualité, médecine, artisanat, agriculture, patrimoine, etc.), à la faveur de réseaux d’information et de communication toujours plus denses. Sans trancher sur le fait de savoir si notre époque globalisée relève encore et toujours de la modernité (seconde, avancée ou tardive), ou alors de la postmodernité (Bonny, 2004) du fait des formes hybrides ainsi produites, la remise en cause de la rationalité progressiste entendue comme « métarécit » (Lyotard, 1979) semble favoriser une compréhension plus équilibrée des « traditions vivantes », notamment des mœurs des populations autochtones ou immigrées (pluralisme culturel, tolérance religieuse, éloge de la diversité et du cosmopolitisme), même si certaines contradictions n’en apparaissent pas moins toujours prégnantes entre les divers répertoires de sens disponibles. Dès lors, les deux termes du contraste classique tradition / modernité en ressortent désormais foncièrement relativisés, et surtout complexifiés. Les études historiques ont montré combien les sociétés apparemment les plus modernes contribuaient plus ou moins consciemment à une constante « invention de traditions » (Hobsbawm et Ranger, 1992), évidente dans la manifestation de certains nationalismes ou fondamentalismes religieux cherchant à légitimer leurs revendications politiques et culturelles les plus contemporaines par le recours à un passé idéalisé. D’une certaine manière, loin d’avoir strictement appliqué un programme rationaliste de séparation nature / culture, « nous n’avons jamais été modernes » (Latour, 1991), élaborant plutôt à notre insu un monde composite et hétéroclite, sous la domination d’un imaginaire social qui érige paradoxalement le progrès, la rationalité et la croissance en mythe de la maîtrise rationnelle. Et lorsqu’elle s’exporte, cette « ontologie naturaliste » (Descola, 2005) se voit réinterprétée, transformée, voire inversée, selon une « indigénisation de la modernité » (Sahlins, 2007 : 295) qui bouscule tant les univers locaux de signification que les principes globaux d’arraisonnement du monde. S’avère désormais entérinée l’existence de « modernités multiples », expression synonyme d’une évolution différenciée des trajectoires socio-culturelles à travers des cheminements à la fois interreliés, métissés, contingents et comparables. A l’inverse, nul ne semble pouvoir dorénavant se réclamer ingénument de la tradition sans être confronté à un paradoxe fondamental, déjà repéré par Hocart (1927) : puisqu’elle ne vit généralement qu’ignorée de ceux qui la suivent (selon un agir pratique incorporé dans les us et coutumes du quotidien), on fait appel à la tradition d’abord pour justifier ce qui justement ne va plus de soi, et se trouve en danger de disparaître. Ce passage de la tradition au « traditionalisme » peut prendre à la fois la forme légitime d’une sauvegarde de valeurs et coutumes ou de la résistance à la marchandisation globale, mais aussi le visage grimaçant d’une instrumentalisation idéologique, au service d’un ordre social chimérique, soi-disant pur et authentique, fût-il répandu par les moyens technologiques les plus modernes.
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