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Journal articles on the topic 'Géologie minière'

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Ndumba, Don Raymond. "Etudes pétrographique et minéralogique comparatives des roches phosphatées des gisements de Kanzi et de Mvuangu au Kongo Central, RD Congo." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 02, no. 01 (2023): 197–203. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i1.25.

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Abstract:
Le but du présent travail est de faire une étude comparative sur la géologie, la pétrographie, la minéralogie et la cartographie numérique des roches phosphatées de gisements de Kanzi et de Mvuangu. Le microscope pétrographique à lumière polarisée et le logiciel QGIS version 3.6 ont été utilisés. Les résultats obtenus sur base des données de terrain et les analyses de laboratoire indiquent que sur le plan pétrographique, la roche de Kanzi a une structure microgrenue (calcédoine) et grenue alors que celle de Mvuangu est essentiellement constituée par des grains et galets de quartz. Du point de vue minéralogique, ces roches sont constituées principalement de la collophanite mais aussi de l’hématite, de la Kaonite et de l’Illite. La mise valeur de ces roches phosphatées à travers la création d’une industrie locale pour la production des engrais phosphatés au regard de l’importance de ces gisements permettrait de booster le développement de l’agriculture en République démocratique du Congo et dans la sous-région tout en contribuant à la création d’emplois, sachant bien que l’exploitation minière est l’une des principales sources d’emplois formel en Afrique. Mots clés: Roches phosphatées, pétrographie, minéralogie, engrais, République démocratique du Congo
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Swialkowski, Mickaël, Annick Desandère, Laetitia Boutry, and Caroline Caron. "“Science and fiction” an innovative cross-disciplinary project in secondary school regarding the work of Jules Verne and Albert de Lapparent." Annales de la Société géologique du Nord - (2e Série), Tome 28, no. 28 (December 1, 2021): 121–36. http://dx.doi.org/10.54563/asgn.337.

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Abstract:
Les pages qui suivent rendent compte d’une expérience pédagogique menée durant les années scolaires 2019 à 2021, sous la forme d’un Enseignement Pratique en Interdisciplinarité (EPI). Le projet s’inscrit dans une réflexion sur l’accès au savoir de manière générale, et spécifiquement à la connaissance scientifique. Dans le cadre du sesquicentenaire de la Société Géologique du Nord, et en conformité avec les programmes scolaires, une équipe d’enseignants de disciplines à première vue éloignées mais pourtant si proches, a travaillé avec deux classes de 3e, en collaboration avec le Musée d’Histoire Naturelle de Lille et l’Université des Sciences de Lille. Deux textes ont été proposés à l’étude : Voyage au centre de la Terre de Jules Verne, publié en 1864, et La question du charbon de terre d’Albert De Lapparent en 1890. L’enseignement en interdisciplinarité (Sciences de la Vie et de la Terre SVT, Français, Technologie et Histoire-Géographie-Enseignement Moral et Civique EMC) avait notamment pour objectif de faire comprendre aux élèves que la connaissance scientifique ne se réduit pas aux spécialistes qui en font leur domaine de réflexion ou d’application mais, au contraire, que la diffusion des connaissances scientifiques ainsi que le débat scientifique nous concernent tous. À l’époque de J. Verne, la littérature destinée à la jeunesse se donne pour mission d’instruire autant que de divertir. L’auteur diffuse, expose des savoirs : en géologie et minéralogie, mais aussi en géographie et en histoire. Il permet au lecteur d'aller à la rencontre des connaissances, de les expérimenter sous la forme de l'aventure. Afin de rendre compte du parcours muséal des personnages verniens, les élèves ont réalisé la programmation d’une application pour tablette qui prend la forme d’un « Musée virtuel », à partir du logiciel APP INVENTOR©. Le visiteur peut découvrir le texte du romancier, agrémenté de lectures à voix haute, mais aussi de connaissances scientifiques acquises grâce à l’étude des deux textes et à des rencontres avec des spécialistes extérieurs à l’établissement. Les élèves sont ainsi devenus des passeurs de science et de littérature. Comme J. Verne, ils rapportent des savoirs et exposent ce qui n’est pas encore montré. Dans l’application sont intégrées des reconstitutions paléoenvironnementales des passages de l’œuvre (Carbonifère, Jurassique), des approches scientifiques de processus géologiques et biologiques (minéralogie, volcanisme, paléontologie, évolution des organismes vivants dont la phylogénie des Primates et donc de l’Homme). De plus, J. Verne prédit déjà la fin de l’exploitation minière, thèse reprise par A. De Lapparent quelques années plus tard en 1890 dans son écrit scientifique. Une des salles de ce musée virtuel est consacrée à l’époque carbonifère. Une réécriture de l’expédition dans la houillère y est présentée ainsi que la reconstitution de l’histoire géologique et une réflexion économico-historico-environnementale comparant l’exploitation de la ressource fossile du XIXe siècle à nos jours.
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Lartet, L. "Une sépulture des troglodytes du Périgord (crânes des Eyzies)." Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris 30, no. 3-4 (2018): 121–28. http://dx.doi.org/10.3166/bmsap-2018-0029.

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Abstract:
(par R. Nespoulet et D. Henry-Gambier) L’article de Louis Lartet, qu’il écrit à l’âge de 28 ans, reste un document princeps de référence, le seul qui donne un contexte à la découverte fortuite des vestiges humains au lieu-dit « Cro-Magnon », dans le village des Eyziesde- Tayac, au printemps 1868. C’est un véritable rapport d’expertise, commandité par Victor Duruy, ministre de l’Instruction publique de l’époque, dans le but de « vérifier l’authenticité de cette découverte » (p. 337). La mission de Louis Lartet comporte en effet une dimension politique. C’est le ministre qui commandite l’opération, et qui financera les nombreux moulages des fossiles distribués dès 1869 dans les musées d’archéologie. Les vestiges originaux, eux, seront ramenés à Paris, et conservés au Muséum national d’Histoire naturelle. Ils y demeurent encore aujourd’hui. Louis Lartet intervient non seulement au titre de sa filiation avec Édouard Lartet son père, fouilleur d’Aurignac et de plusieurs sites classiques de la vallée de la Vézère, mais aussi en tant que naturaliste à la double compétence en géologie et en préhistoire. À ce titre, sa mention à la « Pétra périgourdine » (p. 336) ne doit pas être comprise comme une référence romantique à une archéologie exotique, mais bien à son expérience de terrain au Proche-Orient. Le but principal de son expertise à Cro-Magnon est, au-delà de la confirmation de l’authenticité de la découverte, de prouver la grande ancienneté de la couche géologique qui a livré les vestiges humains. Par un focus progressif, de la lecture du paysage à la description détaillée et argumentée de la stratigraphie et de la position des différents objets archéologique découverts, Louis Lartet contextualise précisément les vestiges humains. Son observation géomorphologique du massif crétacé de la vallée de la Vézère, de la formation des abrissous- roche et de leur comblement par l’érosion, apporte ainsi la preuve que les dépôts de Cro-Magnon sont scellés par un long processus géologique. Louis Lartet réponds ainsi à la commande qui lui a été faite. À quelle espèce fossile appartiennent ces crânes et ces ossements ? Lartet renvoie prudemment la balle dans le camp des anthropologues de son époque. Quant à la datation du niveau ayant livré les vestiges humains, il ne s’y aventure pas. Il faudra attendre 136 ans pour qu’une réponse soit proposée. Elle modifiera radicalement notre perception des « sépultures » du Paléolithique supérieur en Périgord.
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Dupuis, Christian. "A sandpit in the Great War at Blairville (Sparnacian, Paleocene-Eocene) at the south of the Arras salient." Annales de la Société géologique du Nord - (2e Série), Tome 29, no. 29 (December 1, 2022): 29–46. http://dx.doi.org/10.54563/asgn.1893.

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Abstract:
Dès octobre 1914, les Allemands sont retranchés dans la sablière de Blairville, point stratégique sur lequel s’appuie le retour sud du saillant d’Arras. Le site, connu des géologues nordistes depuis plus d’un siècle, expose des sédiments fluviatiles sparnaciens (ex-Landénien supérieur continental) qui portent la limite Paléocène-Eocène (PETM). Les sables, coiffés de dépôts de plaine alluviale argileux, occupent un chenal profondément incisé dans la craie et amplifié par une karstification sous-jacente. Des anciennes cartes postales françaises restituent l’état du site avant le conflit. L’exploitation est camouflée dans le bois et encaissée d’une douzaine de mètres. Les occupants l’aménagent en particulier par le creusement de plusieurs souterrains. « Les Journaux des Marches et Opérations des Régiments (JMO) » du Ministère de l’Armée documentent la situation militaire de cette partie du front ainsi que le déroulement de l’offensive Artois-Champagne qui l’impliqua violemment le 25 septembre 1915. Les livres des officiers français Eggenspieler et Laurentin, éclairent la façon dont les alliés réagirent face au retranchement allemand et à l’échec de l’offensive de diversion. Des photographies du retranchement sur cartes postales expédiées de la sablière, révèlent des aspects inconnus de ces infrastructures avant qu’elles ne soient détruites au cours du repli de l’Opération Alberich en mars 1917. Sans faire abstraction d’autres éléments stratégiques ou tactiques, la géologie de la sablière mise à profit par les occupants s’avère avoir été déterminante dans la stabilité du retour sud du saillant d’Arras de 1914 à 1917.
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Rossi, Magali, and Dominique Gasquet. "Panorama géologique des exploitations minières dans les Alpes françaises." Collection EDYTEM. Cahiers de géographie 17, no. 1 (2014): 23–40. http://dx.doi.org/10.3406/edyte.2014.1271.

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Blanck, Julie. "Des dispositifs pluralistes sous contrôle : internaliser les critiques pour gouverner le stockage des déchets radioactifs." Natures Sciences Sociétés 29 (2021): S33—S42. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2021042.

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Abstract:
Le stockage géologique de déchets radioactifs constitue un cas de politisation du sous-sol, autour d’un objet hybride alliant activités minières et nucléaires. Cet article explore les transformations du gouvernement de ce stockage, avec la mise en place de trois dispositifs pluralistes de pilotage et d’internalisation de critiques, afin de désamorcer les mouvements contestataires au moment de sa réalisation. Il étudie successivement la démarche de concertation pour la sélection de la zone d’implantation ; le groupe de pilotage du plan national pour la gestion des matières et déchets radioactifs et le débat public organisé en 2013 sur les modalités du stockage. À travers ces trois dispositifs, les promoteurs du projet tentent d’en maîtriser la politisation : ils intègrent ou écartent certaines critiques pour légitimer un projet contesté, tout en verrouillant son opportunité.
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Marcoux, Éric, and Michel Jébrak. "Plombotectonique des gisements du Maroc." BSGF - Earth Sciences Bulletin 192 (2021): 31. http://dx.doi.org/10.1051/bsgf/2021019.

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Abstract:
La synthèse de 240 analyses isotopiques du plomb, mesurées sur les gisements miniers marocains d’âges édiacarien à néogène appartenant à tous les domaines géotectoniques du Maroc autorise une réflexion globale sur la métallogénie du Maroc. Les compositions isotopiques varient grandement, de 17,738 (Bou Skour) à 18,905 (Draa Sfar) pour le rapport 206Pb/204Pb, et de 15,521 à 15,706 pour le rapport 207Pb/204Pb. La source du plomb des gisements étudiés se situe dans la croûte continentale supérieure, excepté pour ceux de l’Anti-Atlas (Bou Skour, Imiter…) et certains du Haut-Atlas (Azegour) à nette contribution du manteau. Les variations isotopiques relevées à l’échelle d’un district résultent soit de la présence de plusieurs événements hydrothermaux superposés sollicitant différentes sources locales comme à Tighza, soit d’un seul événement perturbé par la segmentation d’un bassin volcanosédimentaire, comme pour les amas sulfurés des Jebilet et Guemassa. À l’échelle du gisement (Draa Sfar, Bou Skour), les variations isotopiques résultent de la superposition de plusieurs événements hydrothermaux avec chacun leur propre plomb et métaux associés. Globalement, on peut distinguer trois générations de plomb incorporées successivement dans le socle géologique marocain par le magmatisme et/ou l’hydrothermalisme, caractérisées par leurs rapports 206Pb/204Pb : 17,74–17,90 (panafricain), 18,10–18,40 (hercynien) et 18,75–18,90 (alpin). Le plomb panafricain est présent dans l’Anti-Atlas, et très localement dans la Meseta (Bouznika), et se nourrit en partie du magmatisme mafique du Gondwana. Le plomb hercynien est le plus représenté et affiche une rupture définitive dans la source des métaux dès lors exclusivement crustale. Il envahit tous les domaines marocains, y compris l’Anti-Atlas, où il remobilise et se mélange avec le plomb panafricain. Le plomb alpin, plus discret, jalonne la large écharpe allant d’Agadir à Nador qui trace en surface le panache mantellique des Canaries et accompagne un magmatisme néogène qui peut aussi avoir agi comme simple moteur remobilisant le plomb hercynien, notamment pour former les gisements MVT de Touissit. Les plombs hercynien et alpin sont en partie responsables du rajeunissement des minéralisations néoprotérozoïques, comme à Bou Azzer ou Imiter. Le Maroc illustre le modèle de Sawkins avec un apport majeur du plomb lors du magmatisme fini-orogénique. Les résultats isotopiques plaident en faveur de remobilisations successives du plomb stocké dans des réservoirs primaires et secondaires avec des phénomènes d’héritage. Enfin le bon transfert de la signature isotopique du plomb des gisements aux gossans de surface, notamment pour les gisements stratiformes de sulfures polymétalliques de type Hajar, montre que la géochimie isotopique du plomb est un outil utilisable pour l’exploration minière au Maroc.
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Genest, Bernard. "Thomas Fecteau, pilote de brousse." Portraits 15 (September 29, 2017): 137–59. http://dx.doi.org/10.7202/1041123ar.

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Abstract:
À une époque où les pilotes de brousse jouaient encore un rôle déterminant dans le développement des territoires encore inexplorés, Thomas Fecteau entre au service de la compagnie de son oncle, A. Fecteau Transport Aérien, à la base de Senneterre, Abitibi, en 1947. Son quotidien est d’effectuer des missions, souvent périlleuses, dans le Nord du Québec. Volant « à vue » ou à « l’estime » dans un appareil dépourvu d’instruments de navigation, le pilote de brousse n’en rendait pas moins d’inestimables services aux populations autochtones comme aux arpenteurs, géologues, ingénieurs miniers, prospecteurs, chasseurs, trappeurs, médecins et infirmières, appelés à intervenir dans ces contrées lointaines. Un métier risqué. Plusieurs de ses collègues étant décédés dans l’exercice de leurs fonctions, Thomas Fecteau, 91 ans, se considère chanceux d’avoir pu poursuivre sa carrière comme pilote de ligne dans de bien meilleures conditions. Son témoignage rend compte d’une vie au service de ses concitoyens, marquée au sceau de son sens du devoir et de son amour pour la profession.
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Dionne, Jean-Claude. "Gouvernement du Québec (1991) Carte géotouristique. Géologie du sud du Québec, du bas Saint-Laurent et de la Gaspésie. Ministère de l’Énergie et des Ressources, Direction de l’exploration géologique et minérale, Les Publications du Québec Assemblée de concertation et de développement de l’Estrie (ACDE) (1991) Carte géologique routière du sud-est du Québec. Groupe Géorex." Cahiers de géographie du Québec 37, no. 101 (1993): 385. http://dx.doi.org/10.7202/022353ar.

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Assomo, Philippe Samba, Sylvain Kouayep Lawou, Lucas Bouba, Daniel Florent Akono, Cynthia Azapmoh, and Véronique Kamgang Kabeyene Beyala. "Physico-chemical and bacteriological contamination of water from some supply wells in the Mandjou and Kano neighbourhoods, Djadombè subwatershed, Bertoua, East Cameroon." Journal of the Cameroon Academy of Sciences 20, no. 2 (2024): 141–51. http://dx.doi.org/10.4314/jcas.v20i2.4.

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Abstract:
The present research focused on the determination of the physical parameters and the biological contamination of water from four wells (MAP1, MAP2 KAN3, KAN4) at the Djadombè sub-watershed irrigating Mandjou and Kano neighbourhoods in the city of Bertoua. The Physical parameters were assessed at the Institute of Geological and Mining Research (IGMR) of Yaoundé, while the Centre Pasteur (CP) of Yaoundé analyzed the bacteriologic status of various water samples. The results showed that water is acidic. Low alkalinity (HCO-3) and low mineralization 35 ≤ EC ≤ 197 were recorded. The values of TDS and TSS did not exceeded WHO (2011) standards (1000 mg/L and 25-40 mg/L). Water is fresh without any salinity. The bacteriological examination revealed a strong bacterial contamination of the water. The microbialcontamination concerns both fecal bacteria (E.coli, Intestinal Enterococci) and sufficiently pathogenic germs (vibrio cholerea, Salmonella ssp). The FS/FC > 2 ratios led to the conclusion that the biological contaminations are human origin. La présente recherche a porté sur la détermination des paramètres physiques et de la contamination biologique de l’eau de quatre puits (MAP1, MAP2, KAN3, KAN4) du sous-bassin versant de Djadombè irriguant les quartiers de Mandjou et de Kano dans la ville de Bertoua. Les paramètres physiques ont été évalués à l’Institut de recherche géologique et minière (IGMR) de Yaoundé, tandis que le Centre Pasteur (CP) de Yaoundé a effectué le statut bactérien de divers échantillons d’eau. Les résultats ont montré que l’eau est acide. Une faible alcalinité (HCO-3) et une faible minéralisation 35 ≤ EC ≤ 197 ont été enregistrées. Les valeurs de TDS et TSS n’ont pas dépassé les normes de l’OMS (2011) dont 1000 mg/L et 25-40 mg/L respectivement. L’eau est douce sans aucune salinité. L’examen bactériologique a révélé une forte contamination bactérienne de l’eau. La contamination microbienne concerne à la fois des bactéries fécales (E.coli, entérocoques intestinaux) et des germes suffisamment pathogènes (vibrio cholerea, Salmonella ssp). Les rapports FS/FC > 2 ont permis de conclure que les contaminations biologiques sont d’origine humaine.
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Broca, P. "Sur les crânes et ossements des Eyzies." Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris 30, no. 3-4 (2018): 129–45. http://dx.doi.org/10.3166/bmsap-2018-0027.

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Abstract:
(par Arnaud Hurel) Dans cet article, Paul Broca fixe le type de Cro-Magnon. Le 10 avril 1868, L’Écho de la Dordogne annonce une « découverte scientifique de la plus haute importance » : la mise au jour aux Eyzies-de-Tayac de sept squelettes humains « qui appartiennent évidemment à l’époque dite de l’âge de pierre ». Trois semaines plus tôt, des ouvriers ont mis au jour de façon fortuite des restes humains fossiles. Le 25 mars, à la demande du ministre de l’Instruction publique Victor Duruy (1811-1894), le géologue Louis Lartet (1840-1899) entame une fouille de ce qui va devenir l’illustre abri Cro-Magnon. Il y distingue plusieurs niveaux archéologiques et dégage les ossements de quatre adultes et un enfant associés à des artefacts. Après une première présentation au congrès de sociétés savantes en avril 1868, Lartet expose en mai les hommes de Cro- Magnon à la Société d’Anthropologie de Paris où ils vont être l’objet d’intenses discussions lors de quatre séances (21 mai, 4 et 18 juin, 16 juillet). L’étude princeps des crânes de Cro-Magnon proposée par Paul Broca (1824-1880) va fixer pour plusieurs décennies l’image des hommes de Cro- Magnon et en arrêter le type racial ; ce terme de race étant compris, dans l’esprit de Broca, dans une perspective polygéniste (pluralité d’espèces humaines). Son analyse essentiellement anthropométrique s’insère dans les débats qui l’opposent à Franz Pruner-Bey (1808-1882) sur la classification des populations humaines entre dolichocéphales et brachycéphales. Pour Broca, la population primitive représentée par les hommes de Cro-Magnon n’était ni brachycéphale ni mongoloïde. Ces individus, qui auraient constitué le peuple autochtone français, étaient dolichocéphales, de belle stature, au cerveau volumineux et de moeurs élevées, car ayant la « culture des arts ». Les BMSAP reproduisent ici in extenso cet article à l’occasion des 150 ans de la découverte des « Hommes de Cro-Magnon ». Redécouvrir cette publication de 1868 permet de comprendre comment ces vénérables ossements se trouvèrent alors mobilisés au service d’une anthropologie mêlant hommes fossiles et hommes actuels dans une même perspective classificatoire (raciologique).
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Perrin, José, Didier Belaud, Jean-Pierre Yver, and Charles Naville. "S-wave anisotropy from two dipole sonic data processing methods, confronted with fracture permeability, logs and cores." Science and Technology for Energy Transition 77 (2022): 13. http://dx.doi.org/10.2516/stet/2022006.

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Abstract:
The present paper consists in two parts, determined by the historical emerging production of Dipole Sonic Imager (DSI) measurements and results in the early 1990’s. The DSI data were processed following two methods simultaneously developed in France and in USA by Schlumberger. In the first part the early dipole sonic S-wave velocity results obtained in late 1993 are confronted with the other borehole data obtained in the scientific borehole MM-1, entirely cored and extensively logged, as part of the comprehensive scientific project named Géologie Profonde de la France (GPF), conducted by the Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM, i.e. the French Geological Survey), in Ardèche, southern France. In 1994, José Perrin summarized and integrated all the borehole information including the preliminary results from an azimuthal “rotation scan” of S-wave sonic slowness determination method quickly developed in Schlumberger-France and aiming at detecting only the presence of S-wave velocity anisotropy in a first step. The initial results were presented to the French industrial logging community in April 1994, prior to the commercialization of any S-wave splitting computer detection routine applied to dipole sonic data. The second part focuses on the comparison of the dipole sonic S-wave anisotropy detection results from two methods produced at a later time by Schlumberger, namely: a) results from the commercial S-wave anisotropy detection routine based on cross energy minimization, obtained in October 1994, and b) principal S-wave azimuth results sorted from the “rotation scan” azimuthal method, produced in 1995 and further improved in July 1997. After discussing the discrepancies of the principal fast S-wave azimuth derived from the two methods with diverse specialists in Schlumberger, over several years, and on a spare time basis, the authors expose constructive explanations in the present paper. A limited overview of the latest dipole sonic data processing developments has also been attempted to better understand the differing S-wave birefringence results obtained in MM-1, suggesting that the rock formation in the immediate borehole vicinity, up to three times the borehole radius, may not be homogeneous along the borehole depth depending on the local geological context. Besides, the Fast Azimuth split S-wave (FAZ) fits with the strike of major regional faults and parallel to the maximal horizontal palaeo-stress, which happens to be nearly orthogonal to the local present stress direction accepted by the geologists! The present case study suggests that the S-wave anisotropy results ought to become more reliable, mainly on the accuracy and precision of the FAZ. Additionally, the efficiency of the semblance parameter for S-wave attenuation anisotropy detection is pondered, where no S-wave velocity anisotropy is detected over the dipole sonic receiver array.
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"Plusieurs types d’exploitation minière." Revue Générale Nucléaire, no. 4 (July 2021): 38–39. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20214038.

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Abstract:
Selon la géologie, la géographie du site, la qualité de la matière à extraire et à concentrer, l’exploitation minière diffère. S’agissant de l’uranium, plusieurs méthodes d’extraction sont mises en œuvre : la mine à ciel ouvert, la mine souterraine, la mine de récupération in situ (ISR) ou le jet boring pour des gisements où la teneur en uranium est importante et où les sols sont gorgés d’eau.
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Conion, Vincent, Amy Benadiba, Jessie Cuvelier, and Emmanuelle Hibernie. "La collection paléobotanique du Centre Historique Minier de Lewarde." Annales de la Société Géologique du Nord, no. 31 (June 18, 2024). http://dx.doi.org/10.54563/asgn.2392.

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Abstract:
Créé à l’initiative des Houillères du Bassin du Nord-Pas-de-Calais en 1982, le Centre Historique Minier ouvre au public en 1984 avec pour mission de conserver et valoriser la culture minière du Nord-Pas-de-Calais et témoigner de trois siècles d’activité minière. Riches de près de 15 000 items, les collections du Centre Historique Minier, se composent d’éléments d’une grande variété qui possèdent comme dénominateur commun d’être liés au monde de la mine et de provenir, pour l’essentiel, du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais. Parmi ceux-ci, des fossiles sont présents, notamment grâce à la constitution, dès 1977, d’une collection de géologie qui permet de mieux connaître la flore présente dans notre région au Carbonifère. En 2021, cette collection, dite « collection historique de géologie », a fait l’objet d’un récolement mené avec le soutien de la Direction régionale des Affaires Culturelles Hauts-de-France. En plus de permettre la redécouverte de cette collection, ce minutieux travail de récolement a permis d’offrir aux spécimens de cette collection de meilleures conditions de conservation et une meilleure valorisation, tant auprès du grand public qu’auprès de spécialistes du domaine.
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El ouad, Zoubair, Mustapha Souhassou, and Moha Ikenne. "Métallurgie Ancienne du site de Tamdûlt, Anti-Atlas Marocain : Contexte Géologique et Minier." Journal of African Archaeology, December 11, 2023, 1–12. http://dx.doi.org/10.1163/21915784-bja10031.

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Abstract:
Résumé Tamdûlt est une ville du Maroc présaharien médiéval qui était un endroit de forte activité commerciale et industrielle grâce à la richesse de son sous-sol et de sa situation sur l’une des voies commerciales reliant le Maroc avec l’Afrique sub-saharienne entre le IXe et le XIVe siècle. Ainsi, la frappe monétaire était l’un des piliers de son développement industriel durant l’époque médiévale. Cette ville comporte des vestiges archéologiques (scories, combustible nécessaire à la réduction du minerai, pièces de monnaie) qui ont un intérêt scientifique exceptionnel. Cependant, les recherches archéologiques menées depuis les années soixante-dix, ne présentent pas de données plus précises sur l’activité minière et métallurgique. Les vestiges de cette dernière reflètent qu’ils sont basés sur l’extraction de cuivre. Nos prospections et interprétations de terrain ont révélé l’existence de scories argentifères (en liaison avec des sites miniers d’extraction de minerais). Cette découverte apporte des données nouvelles et offrent une autre dimension au site, puisqu’en effet, l’argent serait lié à la frappe monétaire aux périodes médiévales. Ces données vont contribuer à préciser et à valoriser, d’avantage, l’histoire minière et métallurgique de cette ville et l’attribuer à son environnement minier régional.
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Blondieau, Michel, Stéphane Puccio, and Frédéric Hatert. "Minéralogie de l'indice plombifère de Petite-Hoursinne (Érezée, Province de Luxembourg, Belgique)." Bulletin de la Société Royale des Sciences de Liège, 2021, 136–57. http://dx.doi.org/10.25518/0037-9565.10414.

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Abstract:
L'observation d’échantillons récoltés dans les déblais d'une petite galerie de recherches minières à Petite-Hoursinne (Erezée, Province de Luxembourg, Belgique) a révélé la présence de deux arséniates : l’érythrite et la mimétite. Ces deux espèces sont peu fréquentes en Belgique et ont déjà été signalées notamment à La Roche-en-Ardenne, une ancienne mine de plomb localisée dans la même formation géologique : la formation de Villé (Praguien, Dévonien inférieur). Cette formation contient des niveaux carbonatés et est caractérisée par la présence d'un peu de plomb qui, dans les zones faillées, forme des petits filons à gangue quartzeuse (voir annexe). La présence d'arséniates dans ces roches ardennaises est surprenante et justifie à elle seule cette note.
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A. DUPIS. "Premières applications de la magnéto-tellurique à la prospection pétrolière, géologique ou minière de diverses régions métropolitaines." Annals of Geophysics 24, no. 2 (2011). http://dx.doi.org/10.4401/ag-5156.

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Fauvelle, François-Xavier, Caroline Robion-Brunner, Jean-Marc Fabre, Sandrine Baron, Romain Mensan, and Mustapha Souhassou. "Recherches archéologiques sur les mines et la métallurgie de l’argent à Imiter (Maroc)." Journal of African Archaeology, March 15, 2021, 1–24. http://dx.doi.org/10.1163/21915784-20210002.

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Abstract Imiter, mine d’argent de l’Anti-Atlas marocain encore en activité, possède des vestiges archéologiques de travaux miniers et métallurgiques. L’étude de textes anciens et d’artefacts a permis de la rapprocher de la mine d’argent de Todgha connue à l’époque médiévale (El Ajlaoui 1994). Entre 2011 et 2014, une équipe pluridisciplinaire (historien, géologue métallogéniste, géochimiste, archéologues) a entrepris des prospections en surface et en souterrain, la fouille de trois cuves de traitement du minerai ainsi que la caractérisation minéralogique et géochimique de minerais et déchets métallurgiques anciens. Les résultats des datations des cuves placent le dépôt après utilisation entre le IIe siècle cal BC et le VIe siècle cal AD, soit avant la période islamique. Cet article fait état des résultats de ces recherches, qui documentent pour la première fois une exploitation antique de l’argent dans les régions méridionales du Maroc, exploitation qui s’est poursuivie à l’époque médiévale.
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McCutcheon, Steven R., and James A. Walker. "Great Mining Camps of Canada 7. The Bathurst Mining Camp, New Brunswick, Part 1: Geology and Exploration History." Geoscience Canada, October 31, 2019, 137–54. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2019.46.150.

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Abstract:
The Bathurst Mining Camp of northern New Brunswick is approximately 3800 km2 in area, encompassed by a circle of radius 35 km. It is known worldwide for its volcanogenic massive sulphide deposits, especially for the Brunswick No. 12 Mine, which was in production from 1964 to 2013. The camp was born in October of 1952, with the discovery of the Brunswick No. 6 deposit, and this sparked a staking rush with more hectares claimed in the province than at any time since. In 1952, little was known about the geology of the Bathurst Mining Camp or the depositional settings of its mineral deposits, because access was poor and the area was largely forest covered. We have learned a lot since that time. The camp was glaciated during the last ice age and various ice-flow directions are reflected on the physiographic map of the area. Despite abundant glacial deposits, we now know that the camp comprises several groups of Ordovician predominantly volcanic rocks, belonging to the Dunnage Zone, which overlie older sedimentary rocks belonging to the Gander Zone. The volcanic rocks formed during rifting of a submarine volcanic arc on the continental margin of Ganderia, ultimately leading to the formation of a Sea of Japan-style basin that is referred to as the Tetagouche-Exploits back-arc basin. The massive sulphide deposits are mostly associated with early-stage, felsic volcanic rocks and formed during the Middle Ordovician upon or near the sea floor by precipitation from metalliferous fluids escaping from submarine hot springs. The history of mineral exploration in the Bathurst Mining Camp can be divided into six periods: a) pre-1952, b) 1952-1958, c) 1959-1973, d) 1974-1988, and e) 1989-2000, over which time 45 massive sulphide deposits were discovered. Prior to 1952, only one deposit was known, but the efforts of three men, Patrick (Paddy) W. Meahan, Dr. William J. Wright, and Dr. Graham S. MacKenzie, focused attention on the mineral potential of northern New Brunswick, which led to the discovery of the Brunswick No. 6 deposit in October 1952. In the 1950s, 29 deposits were discovered, largely resulting from the application of airborne surveys, followed by ground geophysical methods. From 1959 to 1973, six deposits were discovered, mostly satellite bodies to known deposits. From 1974 to 1988, five deposits were found, largely because of the application of new low-cost analytical and geophysical techniques. From 1989 to 2000, four more deposits were discovered; three were deep drilling targets but one was at surface.
 RÉSUMÉLe camp minier de Bathurst, dans le nord du Nouveau-Brunswick, s’étend sur environ 3 800 km2 à l’intérieur d’un cercle de 35 km de rayon. Il est connu dans le monde entier pour ses gisements de sulfures massifs volcanogènes, en particulier pour la mine Brunswick n° 12, exploitée de 1964 à 2013. Le camp est né en octobre 1952 avec la découverte du gisement Brunswick n° 6 et a suscité une ruée au jalonnement sans précédent avec le plus d’hectares revendiqués dans la province qu’à présent. En 1952, on savait peu de choses sur la géologie du camp minier de Bathurst ou sur les conditions de déposition de ses gisements minéraux, car l’accès était très limité et la zone était en grande partie recouverte de forêt. Nous avons beaucoup appris depuis cette période. Le camp était recouvert de glace au cours de la dernière période glaciaire et diverses directions d’écoulements glaciaires sont révélées sur la carte physiographique de la région. Malgré des dépôts glaciaires abondants, nous savons maintenant que le camp comprend plusieurs groupes de roches ordoviciennes à prédominance volcanique, appartenant à la zone Dunnage, qui recouvrent de plus vieilles roches sédimentaires de la zone Gander. Les roches volcaniques se sont formées lors du rifting d’un arc volcanique sous-marin sur la marge continentale de Ganderia, ce qui a finalement abouti à la formation d’un bassin de type mer du Japon, appelé bassin d’arrière-arc de Tetagouche-Exploits. Les gisements de sulfures massifs sont principalement associés aux roches volcaniques felsiques de stade précoce et se sont formés au cours de l’Ordovicien moyen sur ou proche du plancher océanique par la précipitation de fluides métallifères s’échappant de sources chaudes sous-marines. L’histoire de l’exploration minière dans le camp minier de Bathurst peut être divisée en six périodes: a) antérieure à 1952, b) 1952-1958, c) 1959-1973, d) 1974-1988 et e) 1989-2000, au cours desquelles 45 dépôts de sulfures massifs ont été découverts. Avant 1952, un seul dépôt était connu, mais les efforts de trois hommes, Patrick (Paddy) W. Meahan, William J. Wright et Graham S. MacKenzie, ont attiré l’attention sur le potentiel minier du nord du Nouveau-Brunswick, ce qui a conduit à la découverte du gisement Brunswick n° 6 au mois d’octobre 1952. Dans les années 50, 29 gisements ont été découverts, résultant en grande partie de l’utilisation de levés aéroportés, suivis de campagnes géophysiques terrestres. De 1959 à 1973, six gisements ont été découverts. Ce sont essentiellement des formations satellites de gisements connus. De 1974 à 1988, cinq gisements ont été découverts, principalement grâce à l’utilisation de nouvelles techniques analytiques et géophysiques peu coûteuses. De 1989 à 2000, quatre autres gisements ont été découverts. Trois étaient des cibles de forage profondes, mais l’un était à la surface.
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A. DUPIS. "Première.!l application.!l de la magnéto-tellurique à la prospection pétrolière~ géologique ou minière de diver.!les rét!:ion.'l métropolitaines." Annals of Geophysics 24, no. 2 (2011). http://dx.doi.org/10.4401/ag-5155.

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Lekoui, Abdelmalek, Rabah Laouar, Djamel Eddine Aissa, and Adrian Joseph Boyce. "Origin of the mineralizing fluids involved in the formation of the scheelite skarn in the Beleleita area (Edough NE, Algeria): Fluid inclusion and stable S, O and C isotope study." Bulletin Of The Mineral Research and Exploration, September 4, 2024, 1–2. http://dx.doi.org/10.19111/bulletinofmre.1543523.

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Abstract:
This study investigates the first stable S-, O- and C-isotopes data on the Beleleita scheelite skarn deposit to assess the origin of the mineralising fluids involved in the formation of the skarn and related W-As-Bi-(Au) mineralisation. Two skarn bodies are embedded within the Neoproterozoic gneisses, south of the Edough metamorphic complex, NE Algeria. They show subparallel, discontinuous slabs (F1 and F2) approximately 700 m long and 10 m wide, striking NE–SW. The slabs were cross-cut by bore-hole drilling at a depth of 130 m during ORGM (Office de Recherche Géologique et Minière) mining exploration in the 1980s. Textural observations reveal two main cycles. Cycle I displays early classical zoned skarn assemblage, including clinopyroxene, garnet, plagioclase, pyrite, pyrrhotite, and chalcopyrite. Cycle II shows late lithiniferous and fluorinated skarn assemblage that corresponds to greisenised secant skarns, with fluorite, scheelite, lollingite, allanite, zinnwaldite series, sphene, wolframite, arsenopyrite, native bismuth, and quartz. Stable O-isotope analyses were carried out on both whole-rock samples and clinopyroxene, quartz, and garnet mineral separates, whereas C- and O-isotope analyses were conducted on gangue calcite. S-isotopes were carried out on sulphides (pyrite, chalcopyrite, lollingite and pyrrhotite). All the results display relatively narrow ranges (δ18OSMOW varying from +8.4 to +9.9‰; δ13CPDB ranging between -6.9 to -4.2‰ and δ34SCDT between -0.3to +5.3‰), indicating a homogeneous source of fluids with significantmagmatic signatures that contribute to skarn formation and ore deposition.Accordingly, the involved mineralising fluids most likely originated from theI-type magmatic event that prevailed during Burdigalian times in theEdough massif, similar to many other ore deposits in the area. Moreover,previous fluid inclusion studies carried out on fluorite, scheelite, and quartz of Cycle II show that the ores were deposited from hot (Th = 500°-520°C), highly saline magmatic fluids under low pressure (0.5–0.6 kb), and this complies well with the present stable isotope data.
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