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Cocker, Femi, Jean Bosco Vodounou, and Jacob Yabi. "Cartographie du potentiel en eau souterraine de la basse vallée de l'Ouémé, sud-Bénin (Afrique de l'Ouest)." La Houille Blanche, no. 2 (April 2020): 74–85. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2020018.

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Abstract:
La présente étude est une contribution pour une meilleure connaissance des ressources en eau souterraine de la basse vallée de l'Ouémé dans le souci de favoriser leur gestion efficiente face aux besoins sans cesse grandissants de la population. Elle a pour objectif principal de cartographier les potentialités en eau souterraine de la zone d'étude pour favoriser l'implantation des forages à gros débits en vue d'améliorer l'approvisionnement en eau potable des populations. La base de données utilisée est constituée des images satellitaires, des relevés techniques de forages, des fonds topographiques et des données hydro-climatiques. La combinaison de ces différentes informations par la méthode d'agrégation des critères a permis de générer des indicateurs de disponibilité, d'accessibilité et d'exploitabilité des eaux souterraines. Ces différents indicateurs sont ensuite considérés comme critères et sont combinés suivant la technique d'agrégation par codification en vue de l'élaboration de la carte de potentialité en eau souterraine. Les résultats révèlent que plus des deux tiers (80,4 %) du territoire ont une disponibilité en eau souterraine bonne et excellente avec une exploitabilité excellente (51,87 %) et également une accessibilité de 50,51 %. L'identification des sites potentiels en eau souterraine montre que 66 % de la superficie de la basse vallée de l'Ouémé considérée sont favorables à l'implantation de forages à gros débits. Cela correspond parfaitement à la configuration hydrogéologique du Bénin car le nord de la basse vallée de l'Ouémé annonce déjà la zone de socle où la ressource commence à se faire désirer. Ainsi cette carte de potentialité en eau souterraine peut guider la prise d'une bonne décision pour une gestion efficiente des ressources en eau souterraine.
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DEFO, C., V. DANG MVONGO, A. NARE RAYIM WENDÉ, P. F. NGUEMA NGUEMA, B. EFON, A. L. KAMEGNE KAMTOH, and J. O. DOMDJANG. "Dynamiques de l’occupation des sols et leurs effets sur l’eau de surface du bassin versant de la Kienké, Sud Cameroun (Afrique centrale)." 7-8, no. 7-8 (August 22, 2022): 49–64. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202207049.

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Abstract:
Cette étude vise à analyser la dynamique de l’occupation des sols dans le bassin versant de la rivière Kienké (Cameroun) et leurs effets sur les ressources en eau de surface. Il s’agit plus précisément de détecter les changements de l’occupation des sols dans le bassin versant à partir des données satellitaires multidates, et d’identifier les conséquences de la dynamique d’occupation des sols sur la qualité de l’eau de surface ainsi que sur la gestion des ressources en eau dans le bassin versant de la Kienké. L’analyse des changements spatio-temporels de l’occupation des sols a comporté les opérations suivantes : 1) traitement des images satellitaires comparées à plusieurs dates (2001, 2009 et 2019), 2) élaboration des cartes d’occupation des sols, 3) et estimation des superficies des classes d’occupation des sols. Les données sur la qualité de l’eau ont été collectées à travers des prélèvements de cinq échantillons d’eau de la Kienké analysés au laboratoire. Les résultats montrent une régression de 13 % du couvert forestier et des plans d’eau au profit des zones anthropisées (palmeraies, tissus urbains, zone rurale, sol nu, etc.). Cette dynamique est influencée par des facteurs d’ordre anthropiques à l’instar de la croissance démographique, l’accroissement des activités économiques, l’exploitation forestière et l’expansion de l’agriculture. Ces facteurs sont interdépendants et aucun d’eux ne peut être analysé séparément. Les résultats suggèrent également que la qualité de l’eau de la Kienké se dégrade de l’amont vers l’aval, en raison de l’augmentation des quantités d’eaux usées due à la croissance démographique, à l’accroissement de l’activité économique, à l’expansion de l’agriculture et au rejet d’eaux usées sans aucun traitement.
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Bourblanc, Magalie, and David Blanchon. "Gérer ou gouverner la ressource en eau ? Modélisation en temps réel et gestion de la pénurie au sein de la rivière Crocodile (Afrique du Sud)." Natures Sciences Sociétés 25, no. 2 (April 2017): 134–47. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2017022.

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LANTONKPODE, Badel Ruffino Juste, Sabi TASSIGUI SIO, Pierre OUASSA, and Expédit Wilfrid VISSIN. "Aspects Socioéconomiques Et Culturels De La Gestion Intégrée Des Ressources En Eau (GIRE) Dans La Commune D’Abomey-Calavi Au Sud Du Benin." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 38, no. 2 (May 12, 2023): 90. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v38.2.5231.

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Abstract:
La question des ressources en eau est devenue au XXIème siècle un enjeu majeur pour toutes les nations. L’objectif global de cette étude est d'analyser les implications socio-économiques et culturelles de la Gestion Intégrée des Ressources en Eau dans la Commune d’Abomey-Calavi.L’approche méthodologique utilisée s’articule autour de la recherche documentaire et des travaux de terrain. Elle a permis de collecter les données, de les traiter afin d’aboutir aux résultats obtenus.Les résultats obtenus montrent que la Commune d’Abomey-Calavi dispose d’énormes potentialités en terme de ressources en eau, mais celles-ci sont très mal gérées par les populations de la localité. Ces ressources en eau atmosphérique, de surface et souterraine sont d'une grande importance pour ces populations. Cette étude a aussi mis l'accent sur les rites et interdits liés aux ressources en eau pour établir leur lien avec la gestion durable de celles-ci. Les constats et suggestions soulevés dans cette étude permettront sans doute aux autorités à divers niveaux de penser aux stratégies de gestion intégrée des ressources en eau pour un développement socioéconomique et culturel.
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Wane, Mamadou Abdoul. "Gestion des ressources en eau partagées en Afrique subsaharienne." Présence Africaine 161-162, no. 3 (1999): 185. http://dx.doi.org/10.3917/presa.161.0185.

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Joyal, André, and Mahamoudou Kiemtore. "Chronique du livre." Revue Organisations & territoires 22, no. 1-2 (May 1, 2013): 161–64. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v22n1-2.240.

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Abstract:
Desaulniers, É. (2013). Vache à lait : Dix mythes de l’industrie laitière, Montréal, Stanké, 192 p. Julien, J. (sous dir. 2012). La gestion intégrée des ressources en eau en Afrique subsaharienne : Paradigme occidental, pratiques africaines, PUQ, 276 p.
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Chouinard, Omer, Anne-Marie Laroche, and Gilles Martin. "Les associations de bassin versant du littoral acadien : un modèle d’acteurs valorisant les approches écosystémiques et d’économie sociale." Articles 40, no. 2 (March 24, 2011): 97–119. http://dx.doi.org/10.7202/1001390ar.

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Abstract:
L’objectif de cet article est de mettre en évidence les liens entre la gestion intégrée des ressources en eau et l’approche de l’économie sociale. Cette étude a examiné les retombées positives d’un programme provincial néobrunswickois d’amélioration des systèmes de fosses septiques dirigé par des associations de bassin versant du littoral acadien (sud du golfe Saint-Laurent) entre 2003 et 2007. Tout d’abord, le contexte théorique permet de situer les concepts de gestion par bassin versant, de gestion intégrée des ressources en eau et d’économie sociale. Par la suite, une analyse des perceptions des retombées environnementales, économiques et sociales résultant de l’administration du programme provincial est effectuée grâce à une recherche partenariale participative, des entrevues et des groupes de discussion. Les conclusions de cette étude mettent en valeur la contribution de ces associations à l’économie sociale, au développement durable et à la gestion intégrée au Nouveau-Brunswick.
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Mohammed, Habi, Morsli Boutkhil, and Hamel Mohamed. "Impact de la dynamique agricole sur la durabilité des périmètres agricoles traditionnels: cas des oasis des monts du Ksour - Algérie." digitAR - Revista Digital de Arqueologia, Arquitectura e Artes, no. 5 (February 20, 2019): 331–47. http://dx.doi.org/10.14195/2182-844x_5_18.

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Abstract:
La zone présaharienne des monts du Ksour, faisant partie de l’Atlas saharien, particulièrement fragile, est appelée à subir de profondes et importantesmutations. Dans cette zone agro-pastorale où l’agriculture est pratiquée depuis des millénaires dans les périmètres du Ksour (oasis), l’activité agropastorale,vocation économique principale, est menacée dans son existence par les pratiques inadéquates. Le périmètre traditionnel d’Ain Sefra (oasis du Sud-Ouest algérien) qui dispose d’une tradition ancestrale et d’un savoir-faire diversifié aussi bien dans la pratique de l’agriculture et la gestion du sol des milieux arides que dans la gestion de la ressource en eau qui menace sa durabilité. Cette étude qui s’est intéressée essentiellement aux aspects agro pédologiques et aux aspects socio-économiques, liés à l’exploitation des ressources en eau et en sol a permis de montrer que les ressources en eau et en sol ont tendance à se dégrader et à s’épuiser. Le problème du contrôle et de la gestion de ces ressources se pose avec acuité dans les nouveaux périmètres de mise en valeur agricole. Les impacts commencent déjà à se faire sentir sur l’ancien oasis mettant en danger sa durabilité.
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Ben Brahim, Mohammed. "GESTION INTÉGRÉE DES RESSOURCES EN EAU DANS LE TAFILALET (SUD-EST MAROCAIN) ; LEÇONS D’UNE HISTOIRE." Riparia 1 (2015): 97–131. http://dx.doi.org/10.25267/riparia.2015.v1.04.

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Blanchon, David. "La nouvelle politique de l'eau en Afrique du Sud : vers une gestion environnementale des ressources ?" Espace géographique 32, no. 1 (2003): 21. http://dx.doi.org/10.3917/eg.321.0021.

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ANTOINE, Charles, Léna ABASQ, Sarah Sarah, Jean-Daniel RINAUDO, Jean-Philippe DAVID, and Fabien POUSSIN. "Modélisation participative des solutions fondées sur la nature pour la gestion quantitative de l’eau dans le bassin versant de la Seudre." Techniques Sciences Méthodes 9 (September 20, 2023): 103–20. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202309103.

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Abstract:
Dans un contexte d’accroissement des tensions sur les ressources en eau, exacerbées par le changement climatique, les solutions fondées sur la nature (SFN) ont été mises à l’agenda des politiques de gestion quantitative pour répondre à leurs enjeux écologiques et sociaux. Seulement, la mise en œuvre des SFN à l’échelle territoriale se heurte notamment à des incertitudes sur leurs effets hydrologiques. Dans une perspective exploratoire, l’article évalue le potentiel des SFN pour améliorer la recharge des eaux souterraines et plus globalement la gestion quantitative de l’eau dans le bassin de la Seudre. L’analyse s’appuie sur un exercice de modélisation participative qui alimente l’élaboration du projet de territoire pour la gestion de l’eau (PTGE). Un ensemble de SFN pertinentes pour le territoire a d’abord été identifié sur la base d’une revue de la littérature et de discussions avec les acteurs locaux. Des scénarios de déploiement de ces mesures, traduits sous forme de cartes, ont ensuite été construits au cours d’ateliers participatifs et leur impact sur la recharge sommairement estimé à partir de résultats d’études existantes. Le modèle hydrogéologique du Crétacé du Sud-Charentes développé par le Bureau des ressources géologiques et minières (BRGM) est ensuite utilisé pour simuler l’impact de ces scénarios sur le fonctionnement des ressources en eau souterraines et des milieux dépendants. L’ensemble de la démarche a mobilisé les acteurs locaux impliqués dans l’élaboration du PTGE au cours d’une série d’ateliers qui ont permis de valider les SFN et les secteurs où les déployer ainsi que les hypothèses de modélisation. Le modèle hydrogéologique a été paramétré pour simuler les chroniques de débit de la Seudre et la piézométrie des aquifères en fonction des gains d’infiltration correspondant aux scénarios de déploiement des SFN sur le territoire. Les résultats de la modélisation ont fait l’objet d’un atelier final pour établir un programme d’actions associé au déploiement des SFN sur le bassin versant au sein du PTGE.
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Nguyen, Hong Trang, Sophie Duchesne, Jean-Pierre Villeneuve, Babacar Toumbou, and Nomessi Kokutse. "Modélisation du régime hydrologique à l’échelle du bassin versant dans le cas de données restreintes : cas de la rivière Cau au Vietnam." Revue des sciences de l’eau 31, no. 3 (December 10, 2018): 201–15. http://dx.doi.org/10.7202/1054303ar.

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Abstract:
Les aménagements opérés sur le territoire d’un bassin versant, notamment les processus rapides d’urbanisation et d’industrialisation, ont souvent un impact important sur les ressources en eau, tant en quantité qu’en qualité. La gestion intégrée des ressources en eau par bassin versant (GIEBV) est une méthode reconnue pour évaluer et contrôler l’impact de ces aménagements sur le régime hydrologique. Cette approche de GIEBV est d’autant plus bénéfique dans un contexte de données restreintes et/ou de mauvaise qualité. Dans un tel contexte, un modèle hydrologique peut permettre d’estimer les débits en rivière en tout point du bassin versant. Cet article étudie la capacité du modèle hydrologique distribué Hydrotel à reconstruire le régime hydrologique dans un contexte de données restreintes. Une application sur le bassin versant de la rivière Cau, au Vietnam, est présentée. Une méthodologie originale est également proposée pour identifier la discrétisation spatiale la plus appropriée pour la simulation hydrologique à l’échelle d’un bassin versant en fonction de l’objectif recherché. Les résultats obtenus démontrent que, même sur un bassin versant où les données disponibles sont limitées en quantité et en qualité, Hydrotel peut apporter des informations utiles pour la mise en place de la GIEBV. Cette application réussie d’Hydrotel dans une région tropicale soumise à la mousson et où les données hydrologiques sont restreintes permettra de promouvoir la démarche de GIEBV basée sur la modélisation des processus en Asie du Sud-Est, en général, et au Vietnam, plus particulièrement.
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Dumoulin, Pascal, Catherine Le Normant, and René Samie. "La Durance du future (France) : le projet R2D2-250, la démarche C3PO ou la modélisation prospective pour aider la décision." E3S Web of Conferences 346 (2022): 02004. http://dx.doi.org/10.1051/e3sconf/202234602004.

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Abstract:
Le bassin hydrographique de la Durance constitue l’essentiel des ressources en eau de la région Sud-Provence-Alpes-Côte d’Azur. Une gestion durable des eaux et des nombreux aménagements multifonction est indispensable à l’économie régionale. En 2015, le projet R2D2-2050 a mené un exercice de prospective participative afin d’identifier les enjeux futurs liés à la disponibilité et à l’utilisation de la ressource en eau pour plusieurs scénarios d’évolution du climat et des territoires. Les résultats font présager des épisodes de tensions sur la ressource dans le futur et ont montré la nécessité de poursuivre et de renforcer les mesures d’adaptation. Pour répondre aux enjeux futurs liés à l’eau de la Durance, le SMAVD porte la démarche d’élaboration d’un des plus grands SAGE de France. Pour accompagner ce projet politique ambitieux sur le plan technique, le SMAVD développe un outil d’aide à la décision C3PO (modélisation ressourceusages-infrastructures sous WEAP). Cette démarche innovante associe les acteurs du bassin versant et du monde scientifique et permettra d’identifier les leviers d’adaptation durables aux changements globaux. Les intérêts réciproques autour de cet outil ont donné lieu à un partenariat exemplaire entre le SMAVD et EDF gestionnaire des aménagements hydroélectriques, bien au-delà de l’échange de données.
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Sandé, Zannou, and Dossou Guedegbe Odile. "Cartographie de L’accessibilité et Gouvernance Locale des Infrastructures Hydrauliques dans la Commune D’avrankou Au Sud-Est du Benin." European Scientific Journal, ESJ 17, no. 37 (October 30, 2021): 269. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n37p269.

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Abstract:
In the Municipality of Avrankou, the populations experience enormous difficulties in obtaining water supplies despite the availability of a large number of water points. This work aims to analyze the distribution of hydraulic infrastructures and their mode of management in the said Municipality. To map the availability of water points and study their management method, 115 households and 17 resource people were interviewed. Arc GIS 10.5 software was used for the spatialization of the data. The results reveal that the Municipality of Avrankou has 301 hydraulic infrastructures, of which 83 are functional and 218 are non-functional. The functional water points are made up of 42 Boreholes equipped with Human Motricity Pumps and 41 Fountains supplied by 2 Village Water Adductions. Out of the 84 villages of the Commune, only 39 villages have access to functional water points, either 46.42% and among them, 12 villages have double access to it. Thus, 45 villages would have access if the authorities repaired non-functional water points and 15 villages if other structures were built. The management methods of the hydraulic infrastructures adopted are leasing and delegated management. These management methods have enabled the town hall to mobilize resources to finance development actions. The unequal distribution of hydraulic infrastructure is proof of the lack of a regular maintenance system and the absence of spatial planning tools in this sector. To remedy this, it is therefore necessary to involve the populations more and make them responsible for the management of water points and also to repair non-functional hydraulic structures. Dans la Commune d’Avrankou, les populations éprouvent d’énormes difficultés pour s'approvisionner en eau malgré la disponibilité d’une importante quantité de points d’eau. Ce travail vise à analyser la répartition des infrastructures hydrauliques et leur mode de gestion dans ladite Commune. Pour cartographier la disponibilité des points d’eau et étudier leur mode de gestion, 115 ménages et 17 personnes ressources ont été interrogés. Le logiciel Arc GIS 10.5 a été utilisé pour la spatialisation des données. Les résultats révèlent que la Commune d’Avrankou dispose de 301 infrastructures hydrauliques dont 83 fonctionnelles et 218 non fonctionnelles. Les points d’eau fonctionnels sont constitués de 42 Forages équipés de Pompe à Motricité Humaine et 41 Bornes Fontaines alimentées par 2 Adductions d’Eau Villageoise. Sur les 84 villages de la Commune, seulement 39 villages ont accès aux points d’eau fonctionnels soit 46,42 % et parmi eux, 12 villages y ont doublement accès. Ainsi, 45 villages auraient accès si les autorités réparaient les points d’eau non fonctionnels et 15 villages si on construisait d’autres ouvrages. Les modes de gestion des infrastructures hydrauliques adoptées sont l’affermage et la gestion délégataire. Ces modes de gestion ont permis à la mairie de mobiliser des ressources pour financer les actions de développement. L’inégale répartition des infrastructures hydrauliques est la preuve de l’inexistence d’un système de maintenance régulier et de l’absence des outils de planification spatiale dans ce secteur. Pour y remédier, il faut donc impliquer davantage et responsabiliser les populations pour la gestion des points d’eau et réparer également les ouvrages hydrauliques non fonctionnels.
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Kiemtore, Mahamoudou. "Julien, J. (sous dir. 2012). La gestion intégrée des ressources en eau en Afrique subsaharienne : Paradigme occidental, pratiques africaines, PUQ, 276 p." Revue Organisations & territoires 22, no. 1-2 (May 1, 2013): 162–63. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v22n1-2.903.

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Adomou, Cossi Aristide, Hospice Gbèwonmèdéa Dassou, Gbèdomèdji Hurgues Aristide Houenon, Amour Alladayè, and Hounnankpon Yedomonhan. "Comprendre les besoins en ressources végétales des populations riveraines pour une gestion durable de la forêt Bahazoun au Sud-Bénin (Afrique de l’Ouest)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 11, no. 5 (January 11, 2018): 2040. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v11i5.9.

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Yao, Théodore Koffi, Olivier Fouché, Emmanuel Konan Kouadio, Marie-Solange Oga, and Théophile Lasm. "Modélisation de la surface piézométrique des aquifères fissurés en zone de socle précambrien métamorphisé : cas du bassin versant du Sassandra (sud-ouest de la Côte d’Ivoire)." Revue des sciences de l’eau 28, no. 2 (July 7, 2015): 105–17. http://dx.doi.org/10.7202/1032293ar.

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Abstract:
Les niveaux piézométriques dans les aquifères de socle en Côte d’Ivoire sont mal connus du fait de la complexité du substratum géologique. Ce travail a pour objectif de modéliser l’altitude du niveau piézométrique des aquifères situés en milieu cristallin et cristallophyllien, notamment dans le bassin versant du Sassandra, au sud-ouest de la Côte d’Ivoire. En exploitant la méthode de la corrélation linéaire entre la dénivellation de la surface du sol et la surface de base des thalwegs d’une part et la dénivellation entre la surface piézométrique et la surface de base des thalwegs d’autre part, nous avons établi des équations qui permettent de déterminer les niveaux piézométriques et de compenser ainsi les lacunes dans leur connaissance. Ces travaux s’appuient sur des données de terrain, des fiches techniques de forage, des cartes (topographique et géologique) et un extrait du Modèle numérique d’Altitude (MNA) du sud-ouest ivoirien. L’interprétation mathématique des résultats a permis, au travers des équations établies, de calculer directement le niveau piézométrique en tout point de la zone d’étude. La carte piézométrique ainsi obtenue montre que le niveau piézométrique est en moyenne 7 m en dessous du sol lorsque l’on prend comme référence la surface de base des thalwegs. La surface piézométrique est corrélée à la surface topographique. La superposition de la carte piézométrique à celle du réseau hydrographique montre qu’à l’échelle de l’analyse réalisée, la circulation de l’eau souterraine est calquée sur celle des eaux de surface ; bassins versants hydrogéologique et topographique se superposent, montrant ainsi le lien entre les eaux de surface et les eaux souterraines. Ce résultat pourra aider à la gestion intégrée des ressources en eau souterraine et de surface surtout face à la vulnérabilité aux pesticides qui sont fréquemment utilisés dans la zone étudiée.
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Servat, É., J. E. Paturel, H. Lubès-Niel, B. Kouamé, J. M. Masson, M. Travaglio, and B. Marieu. "De différents aspects de la variabilité de la pluviométrie en Afrique de l'Ouest et Centrale non sahélienne." Revue des sciences de l'eau 12, no. 2 (April 12, 2005): 363–87. http://dx.doi.org/10.7202/705356ar.

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Abstract:
La sécheresse observée depuis plus d'une vingtaine d'années dans les pays sahéliens se fait également ressentir plus au sud dans des régions d'Afrique aux climats plus humides. Cette baisse de la pluviométrie et la diminution des apports en eau de surface qu'elle entraîne y sont de nature à pénaliser les différents projets de développements liés à l'eau. Le programme ICCARE mené par l'ORSTOM a pour objet l'identification et les conséquences de cette variabilité climatique dans l'ensemble de la zone non sahélienne d'Afrique de l'Ouest et Centrale, en s'appuyant sur les données de deux cents postes pluviométriques et sur un ensemble de méthodes alliant représentations cartographiques et procédures statistiques de détection de ruptures dans les séries chronologiques, univariées et multivariées. La simple étude des séries chronologiques de hauteurs précipitées annuelles fait apparaître une nette et brutale fluctuation du régime pluviométrique dans toute la région considérée, à la fin des années 1960 et au début des années 1970. D'une manière générale, il apparaît que ce sont les zones à régime pluviométrique extrême qui ont subi les modifications les plus importantes : les plus arrosées (de la Guinée à la Côte d'Ivoire) et les plus arides (la bordure sahélienne au nord de la zone étudiée). Entre les deux, le phénomène est d'intensité plus nuancée. Les différentes procédures statistiques appliquées aux séries de hauteurs annuelles précipitées soulignent l'existence d'une rupture survenue à la fin des années 1960 ou au début des années 1970, et donc en phase avec ce qui a été observé et étudié au Sahel. D'autres variables permettant une caractérisation plus "qualitative" du phénomène ont également été étudiées. Elles apportent un complément d'information quant aux manifestations de cette variabilité pluviométrique et montrent que la variabilité climatique se traduit à différents niveaux (durée des saisons des pluies, quantités précipitées hors saisons des pluies, etc.). L'examen des séries chronologiques depuis l'origine des stations a permis de resituer l'événement observé dans une perspective historique faite d'alternances de périodes sèches et de périodes humides. Le phénomène observé à la fin des années 1960 et au début des années 1970 apparaît, cependant comme le plus significatif du point de vue statistique. Si les causes premières d'apparition du phénomène sont, à l'heure actuelle, encore insuffisamment expliquées, et ce même si certaines activités humaines y ont, sans aucun doute, contribué, cette baisse de la pluviométrie a, bien entendu, des conséquences importantes sur la disponibilité des ressources en eau dans ces régions. Si la carence pure et simple n'est pas à craindre dans ces régions où les quantités précipitées restent importantes dans l'absolu, les effets de cette variabilité climatique peuvent, malgré tout, se révéler désastreux, en ce sens qu'ils modifient les données d'un équilibre déjà souvent mis à mal par ailleurs (pression anthropique et déforestation par exemple).
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El Bardai, Rabie, Kamal Targuisti, and Khadija Aluni. "Caractérisation hydrodynamique des sources karstiques : cas de la source de Ras El Maa (Rif Septentrional, Maroc)." Revue des sciences de l’eau 27, no. 2 (June 13, 2014): 139–53. http://dx.doi.org/10.7202/1025564ar.

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Abstract:
Au Maroc, la question des ressources en eaux se pose avec acuité. L’état marocain a adopté, dès les années soixante, une stratégie de maîtrise et de valorisation de cette précieuse ressource. Cependant, des difficultés dans la gestion de l’eau ont augmenté suite à la pression démographique sur cette ressource, raison pour laquelle les problèmes de pénurie d’eau apparaissent dans plusieurs secteurs de Royaume, surtout ceux qui connaissent des apports pluviométriques très bas. L’objectif prioritaire de cette étude était d’obtenir une meilleure connaissance du fonctionnement hydraulique des aquifères karstiques qui se trouvent au sud-est de la ville de Chefchaouen au nord du Maroc. Dans cette région, les eaux souterraines d’origine karstique jouent un rôle capital dans l’approvisionnement en eau potable et pour l’irrigation. Du point de vue hydrogéologique, la région étudiée renferme des sources karstiques de grande importance, avec des débits qui dépassent 100 L•s-1 dans les périodes de crue. La recharge de la nappe se fait essentiellement par les eaux de pluie et par la fonte des neiges des sommets des montagnes (par exemple, la crête du Jbel Lakraâ à 2 159 m et celle de Jbel Tissouka à 2 122 m). Les sources à gros débit émergent en basse altitude, surtout au niveau des contacts dorsale-flysch. Le fonctionnement hydrodynamique des sources de Ras El Maa et Chrafate montre la présence d'un système très inertiel, mal drainé et peu karstifié. Pourtant, les sources de Maggo présentent un coefficient de tarissement très élevé traduisant un système peu inertiel lié particulièrement à la présence de plusieurs gouffres dans le massif de Jbel Lakraâ. Le volume total des réserves obtenu à partir des courbes de récession des quatre sources est d’environ 10 millions m3, pourtant les volumes dynamiques issus de la source de Ras El Maa constituent à eux seuls 5 millions de m3.
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Deffo, Victor, Sylvie Hounzangbe-Adote, Raphiou Maliki, and H. H. M. Ould Ferroukh. "Evaluation participative ex ante de propositions de la recherche. Cas d’application dans le sud du Togo." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 89. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10119.

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Abstract:
L’objectif de cette étude a été d’expérimenter une méthode d’évaluation participative d’options techniques au sud du Togo. Pour répondre aux besoins face aux problèmes de fertilité des sols dans un contexte de systèmes mixtes agriculture élevage, des chercheurs ont évalué avec les diverses catégories d’acteurs le potentiel d’adoption de l’association du maïs, plante à fonction mixte alimentaire (grain) et fourragère (paille), et du Mucuna pruriens, légumineuse à cycle long employée comme fourrage et pour améliorer la fertilité des sols. L’association fertilisée avec des engrais chimiques a été dénommée MME ci-après. La méthode utilisée a mobilisé des outils d’analyse de la méthode active de recherche participative (MARP) et a compris quatre phases. La première correspondait à la description générale de l’ensemble de la région d’étude pour identifier des sites représentatifs à partir de la littérature et d’entretiens exploratoires. La seconde phase a permis la caractérisation de la diversité des producteurs à partir d’entretiens auprès des personnes ressources des sites retenus. La troisième phase a concerné la sélection participative d’un éventail d’options techniques comprenant l’association MME mais aussi des pratiques locales présentant des similitudes avec l’association MME, ainsi que d’autres propositions alternatives de la recherche pour améliorer la fertilité des sols et assurer l’alimentation fourragère des animaux. Cette sélection a été réalisée par un échantillon de producteurs représentatifs de leur diversité. Il leur a été demandé de hiérarchiser les différentes options techniques présentées lors de visites de parcelles expérimentales ou à l’aide de supports visuels. Ils ont utilisé des notes ou des cailloux compte tenu de la forte proportion d’illettrisme. La quatrième phase a été celle de l’évaluation aux dires de producteurs des effets perçus des différentes options sur la gestion des ressources agropastorales (eau, sol, biodiversité), leur acceptabilité ou leur rentabilité en fonction du coût de la main d’oeuvre. Cette méthode a été appliquée dans trois villages du sud du Togo. Dans ces villages, six principales catégories de producteurs ont été identifiées : les propriétaires terriens, les locataires de terres, les membres d’organisations paysannes, les producteurs lettrés, les producteurs illettrés, et les femmes. En plus du MME, six options ont été retenues dont l’association MME avec des variantes issues de pratiques locales, soit l’association maïs et Mucuna à cycle long mais sans l’usage d’engrais (MM), l’association maïs et Mucuna à cycle court et à base d’engrais (MMCE), l’association maïs et Mucuna à cycle court sans l’usage d’engrais (MMC), et maïs en culture seul avec apport massif d’engrais (ME). Les deux autres options ont été proposées par la recherche : maïs entouré de haies vives de légumineuses fourragères destinées à du bétail en stabulation contrôlée et dont le fumier était ensuite épandu au champ (MHF), et culture en couloirs de maïs et de Cajanus cajan. L’association MME a été l’option préférée des propriétaires terriens, des lettrés et des membres d’organisations paysannes. Chez les femmes, l’option privilégiée a été l’association MM compte tenu de leurs faibles ressources financières mais aussi de leur insécurité foncière. Chez les locataires des terres et les producteurs illettrés, l’option favorite a été l’association MMCE qui permettait le maintien de la seconde saison de culture. L’évaluation des différentes options a montré que l’association MME et l’option MHF ont été jugées par la majorité des catégories de producteurs comme ayant les effets les plus positifs sur les ressources agropastorales. Les associations MME et MMCE ont été considérées comme étant les plus acceptables socialement, notamment chez les propriétaires terriens mais aussi chez les vulgarisateurs, les consommateurs et les commerçants également interrogés ; venait ensuite l’option MHF. La rentabilité a été la meilleure pour les associations MM et MME et la plus faible pour les deux autres alternatives proposées par la recherche. Cette méthode d’évaluation permet de valoriser l’expertise des producteurs. Elle repose sur la perception que les producteurs ont des effets des technologies. Une perception positive constitue un des premiers facteurs d’adoption d’une proposition de la recherche. Mais pour cela du temps et des outils appropriés doivent être consacrés à l’étape de formation des producteurs sur les différentes options pour que cette perception ne soit pas biaisée par la qualité de l’information donnée par le chercheur. Cette évaluation permet en outre d’identifier ou d’adapter des variantes locales aux options pré-identifiées par les chercheurs. Les efforts de recherche-développement doivent se concentrer sur les processus de ces adaptations participatives.
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Lisimo Alingi, Augustin, and Christelle Bolinga Mitimiti. "Impact de l’autorité Intergouvernementale pour le Développement sur la Paix dans la Corne de l’Afrique : Etude menée de 1986 à 2014." Revue Congolaise des Sciences et Technologies 01, no. 01 (June 10, 2022): 14–23. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.022.v1.i1.02.

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Abstract:
L’Autorité Intergouvernementale pour le Développement est une organisation internationale sous régionale, œuvrant dans la corne de l’Afrique. Comme toute autre organisation internationale, elle doit s’assumer à rechercher, renforcer et consolider la paix et la sécurité collectives. A cet effet, elle tente de créer les mécanismes de prévention, gestion et de résolution des conflits intra-étatiques et interétatiques par le dialogue, la médiation, la négociation et même par l’interposition militaire. Opérant dans la corne de l’Afrique, elle est un révélateur du principe d’égalité entre les Etats membres. Les aspirations de droits humains ne peuvent pas être dissociées à ce principe. Etant une organisation internationale à caractère sous régional, de quelle manière l’Autorité Intergouvernementale pour le Développement contribue-t-elle à la restauration de la paix dans la corne de l’Afrique ? Au regard de notre objectif, nous voudrions savoir à partir de l’apport de chaque Etat membre, s’il y avait efficacité des activités, actions, moyens et stratégies de l’Autorité Intergouvernementale pour le Développement sur le terrain d’étude. Pour y parvenir, nous avons fait recours à la méthode structuraliste qui, pour analyser et expliquer les faits, on a pour ambition de rendre intelligible les faits observés en élucidant la structure dont ils fonts partie. L’observation documentaire pourrait être la mieux indiquée, car c’est une technique qui consiste à étudier et analyser les documents qui portent les traces. Tenant compte de notre exercice scientifique, il y a lieu de corroborer que, l’Autorité Intergouvernementale pour le Développement, avec l’appui de ses alliés l’Organisation des Nations-Unies et l’Union Africaine, s’est impliquée d’une façon considérable pour restaurer la paix par la négociation, médiation, les accords et résolutions temporaires ou durables dans la corne de l’Afrique. En toute somme, malgré la crise Sud-Soudanaise, l’Autorité Intergouvernementale pour le Développement a ramené et restauré, avec le concours de ses alliés, à fur et à mesure, l’harmonisation des politiques au profit de commerce, agriculture, ressources naturelles et services, ainsi que la douane, le transport dans la corne de l’Afrique. Tout ceci pour éviter les vagues des déplacés des guerres sans abri, quant à nous, qui pourraient même pénétrer l’Est de la République Démocratique du Congo, car nous partageons les frontières avec le Sud-Soudan et l’Ouganda. Mots clés: Géopolitique, Afrique de l’Est, développement et paix
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Huber, Claire, Fengshan Li, Xijun Lai, Sadri Haouet, Arnaud Durand, Suzanne Butler, James Burnham, et al. "Using Pléiades HR data to understand and monitor a dynamic socio-ecological system: China's Poyang lake." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 209 (January 29, 2015): 125–31. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.206.

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Abstract:
Le lac Poyang, première réserve d'eau douce de Chine, est un lac de moussons présentant de fortes variations de surfaces en eau entre la saison sèche, novembre-mars, et la saison humide juin-septembre. Les surfaces en eau passent ainsi de plus de 3000 km2 en été, à moins de 1000 km2 en hiver, cela correspondant à une variation inter annuelle de la hauteur de l'eau de 8 à 12 mètres. En saison sèche, la dépression du Poyang comprend une cuvette centrale en eau de taille réduite, et des lacs déconnectés entourés de vastes zones enherbées plus ou moins hautes. Lorsque le niveau d'eau augmente, la grande dépression centrale se remplit, puis au fur et à mesure du remplissage, comme une marée montante, l'eau arrive au niveau des lacs, les submerge et l'ensemble forme alors une petite mer intérieure d'eau douce. Cette dynamique et cette amplitude de variations ont de nombreuses implications en termes de ressources en eau, de santé publique (bilharziose), et mais aussi de richesse de la biodiversité.Le lac Poyang est un des milieux les plus riches et les plus importants en termes de biodiversité en Asie du Sud Est. Il s'agit d'une zone d'hivernage essentielle pour toute l'avifaune de l'Asie et de Sibérie. Plus de trois cents espèces d'oiseaux dépendent de cet habitat unique dont plus d'une douzaine d'espèces considérées en danger. Les plus emblématiques sont les grues de Sibérie et les cigognes blanches orientales dont la quasi-totalité, 98% de la population mondiale (moins de 3000 individus) viennent hiverner au Poyang. Cette de grande diversité d'oiseaux d'eau migrateurs est une conséquence directe de l'hydrologie complexe du lac Poyang.La forte variabilité intra et interannuelle du remplissage du Poyang, est un phénomène difficile à qualifier, c'est pourquoi un suivi temporel à relative haute fréquence est nécessaire. Dans le cadre de la RTU Pléiades HR, des acquisitions sur une base mensuelle ont été programmées au cours de l'année 2013 couvrant la partie la plus riche et sensible de la Reserve Naturelle du lac Poyang (PLNR). L'exploitation des données a porté sur plusieurs axes. Tout d'abord la caractérisation, à une échelle fine, des trajets de l'eau et de la dynamique de remplissage et de vidange des lacs, mettant en évidence un remplissage plutôt tardif et peu important au regard des observations réalisées les 12 dernières années, et surtout une vidange très précoce (fin juillet, entrainant par exemple la vidange totale du Bang Hu, principal site d'accueil des grues sibériennes). Les travaux ont également portés sur l'autre principale composant du milieu naturel, la végétation et sa dynamique inverse de l'eau. A partir des relevés terrain, le long de quatorze de transects, des indices de végétation ont été exploités afin de réaliser la cartographie de la végétation de ce secteur clé du lac Poyang. Les travaux ont également portes portés sur l'impact des activités anthropiques sur le milieu avec deux atteintes fortes, la mise en place de zones de cultures au sein du Parc national, et l'exploitation du lac Poyang comme carrière de sable se traduisant par un fort retrait des berges et un creusement des lits mineurs. Enfin, l'exploitation des données Pléiades HR, associées à des données CSK a permis de lever la première carte des filets de pêche au sein de la Reserve naturelle. De plus, deux triplets stéréo ont été acquis lors de périodes de basses hautes en en mars et septembre 2013, permettant la génération de modèles numériques de surfaces très précis et très détaillés.Les résultats obtenus suite à l'exploitation des images Pléiades HR, transmis à l'administration en charge de la gestion du Parc et à une ONG, l'International Crane Fondation, montrent l'apport des données Pléiades HR pour le suivi environnemental et aussi tout l'intérêt de séries temporelles très haute résolution pour la connaissance, et par la même, la protection des milieux.
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Mwangomb, K. D. "Caracteristiques Phenotypiques des Populations de Cobaye Domestique (<i>Cavia porcellus</i>) du Sud-Est du Katanga en RD Congo." Journal of the Cameroon Academy of Sciences 19, no. 2 (August 3, 2023): 109–24. http://dx.doi.org/10.4314/jcas.v19i2.1.

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Abstract:
Parmi les espèces animales domestiques dites « non conventionnelles » prometteuses, le cobaye connait un regain d’intérêt en Afrique subsaharienne et particulièrement en RDC. Pour contribuer à son amélioration génétique, une caractérisation phénotypique des types génétiques de cobayes élevés dans la partie Sud Est du Katanga a été réalisée. Pour ce faire, une enquête par la méthode non probabiliste boule de neige a été utilisée ; les éleveurs identifiés renseignaient sur la provenance des animaux et la localisation des autres éleveurs de manière à éviter des sujets issus des mêmes parents directs. Des données qualitatives et des mensurations ont été collectées sur 551 cobayes matures dans six sites abritant des sous populations; 2 animaux étaient considérés en cas de présence d’un polymorphisme très visible dans le troupeau. Les analyses descriptives univariées et multivariées (ACP et CAH) ainsi que les analyses inférentielles (ANOVA) ont été utilisées. Les résultats montrent que les sites de collecte ont eu des effets significatifs sur les paramètres observés (p<0,05) exceptés la longueur de la tête et le périmètre thoracique. D’une manière générale, les cobayes du Sud-Est du Katanga ont en majorité des yeux noirs (93,28%) avec des oreilles des oreilles dressées (50,82%) ou tombantes (49,18%) ; il y avait absence de panachure (51,91%) et présence de frosting (68,06%) ; et ils avaient en majorité la tête allongée (55,35%). Les principaux résultats obtenus montrent que les cobayes de la zone ont un poids moyen de 566,44±158,22g. L’analyse multivariée a permis de ressortir trois morphotypes de cobayes ; dont le morphotype 1 (PV léger), morphotype 2 (PV moyen) et le morphotype 3 (PV lourd). Les résultats obtenus montrent une grande diversité des morphotypes de cobayes avec des performances de croissance qui pourraient ouvrir à une amélioration par diverses approches classiques. Tout ceci en vue du développement de la filière et d’une gestion durable des ressources endogènes de cobayes pour la production de la viande. Domestic cavy is among emerging non-conventional livestock species the one with evident interest in Sub-Saharan Africa and DRC specifically. Phenotypic characterization of genetic types reared in Southeast Katanga region was performed to contribute to cavy breeding programme development. A survey based on non-probabilistic snowball approach was used; thus, cavy keepers gave information on animal origins and location of other cavy keepers to avoid sampling of cavies from same direct parents. Qualitativeand metric data were collected on 551 mature cavies in six locations having sub-populations; in a given farm, 2 individuals were sampled in case of strong visible polymorphism. Descriptive univariate and multivariate analyses (PCA and HCA) and also inferential analyses (ANOVA) were performed. Findings showed that data collecting sites had significant effects on recorded parameters (p<0.05), except head length and chest girth. Globally, cavies from South East Katanga had black eyes (93.28%) with erected ears (50.82%) or dropping ears (49.18%); there is absence of belt (51.91%) and presence of frosting (68.06%); majority had elongated head (55.35%). Results show that the average weight of cavies in the region is 566.44±158.22g. Multivariate analysis gave 3 domestic cavies’ morphotypes, which were, morphotype 1 (light live weight), morphotype 2 (mean live weight) and morphotype 3 (heavy live weight). These current results show a wide diversity of cavy morphotypes with interesting growth performance which could be useful for improvement through classical methods. All these will be necessary for the development of the value chain and the sustainable management of native cavies’ resources for meat production.
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Dorvil, Weldenson, Cathy Clermont-Dauphin, Jean-Luc C. Hotte, Jean-Marie Théodat, Hérauld Museau, and Michel Brossard. "Légumineuses, Agroforesterie, Labour et Pâturage : les déterminants de la diversité des systèmes de culture à Saint-Raphaël, Haïti." International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no. 4 (September 19, 2023): 1643–61. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i4.28.

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Abstract:
En vue d’évaluer l’impact des pratiques agricoles sur les sols, les approches d’expérimentation de longue durée et de simulation à partir de modèles numériques sont de plus en plus fréquentes. Cependant, dans le contexte des pays du Sud, elles sont souvent difficiles à mettre en œuvre, faute de moyens. Cette étude avait pour objectif de décrire la diversité des systèmes (SC) de culture rencontrés dans une petite région d’altitude d’Haïti, afin d’utiliser ces connaissances, pour raisonner dans une deuxième étape, un dispositif d’évaluation « on-farm » de leurs effets sur les sols. Le concept de système de culture met en avant les interactions fortes existant entre les décisions techniques que prennent les agriculteurs sur leurs parcelles, aussi bien en termes de successions et associations culturales, de gestion de leur disponibilité en nutriments et en eau, et de contrôle des bioagresseurs des cultures. Notre étude s’était appuyée sur 78 parcelles d’agriculteurs sélectionnées avec l’aide de personnes ressources de la région, pour représenter la diversité des unités pédo- bioclimatiques. Chaque parcelle a fait l’objet d’une enquête auprès de son exploitant en vue de décrire ses choix techniques de ces 10 dernières années. On a mis en évidence la coexistence de quatre systèmes de culture (SC) : un système intensif (SI), un système semiintensif (SSI), un système agroforestier (SA) et un système de pâturage permanent (SSU). Ils étaient répartis suivant le pédoclimat avec le SI dominant dans le périmètre irrigué, le SSI dans le plateau non irrigué, le SA dans les vallées et le SSU dans les versants. Le labour n’était absent qu’en SSU. Les indicateurs de ces systèmes étaient facilement accessibles et peuvent être mobilisés en vue de raisonner un dispositif d’évaluation des performances agro-environnementales des pratiques des agriculteurs et concevoir des améliorations de gestion. English title: Legumes, Agroforestry, ploughing and pasture: determinants of the cropping systems diversity in Saint-Raphael, Haiti In order to assess the impact of agricultural practices on soils, long-term experimental and simulation approaches based on numerical models are becoming increasingly common. However, in the context of Southern countries, they are often difficult to implement due to lack of financial resources. The objective of this study was to describe the diversity of cropping systems (SC) encountered in a small highland region of Haiti, in order to use this knowledge to reason, in a second step, an "on-farm" evaluation system of their effects on soils. The concept of cropping systems highlights the strong interactions between the technical decisions that farmers make on their plots, both in terms of crop succession and associations, management of nutrient and water availability, and control of crop pests. Our study was based on 78 farmers' plots selected with the help of resource persons in the region, to represent the diversity of soil- bioclimatic units. Each plot was surveyed to describe the technical choices made by the farmer over the last 10 years. Four cropping systems (SC) were found to coexist: an intensive system (SI), a semi-intensive system (SSI), an agroforestry system (SA) and a permanent pasture system (SSU). They were distributed according to the pedoclimate, with the SI system dominating in the irrigated perimeter, the SSI system in the non-irrigated plateau, the SA system in the valleys and the SSU system on the slopes. Plowing was absent only in SSU. The indicators of these systems were easily accessible and can be used to reason out an evaluation system of the agro-environmental performance of farmers' practices and to design management improvements.
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Djahadi, Samaila Djoumaye, Issoufou Sandao, Yacouba Ahmed, Moussa Harouna, and Boureima Ousmane. "Caractéristiques physico-chimiques des eaux souterraines du socle du bassin versant de Goroubi dans la commune de Torodi /Liptako nigérien." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 6 (February 23, 2022): 2715–29. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i6.35.

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Abstract:
La région d’étude est située en zone de socle dans la commune rurale de Torodi, partie sud-ouest du Niger, où l’alimentation en eau des populations est faite à partir des eaux de surfaces et des nappes superficielles. Suite à la vulnérabilité de ces dernières, liée à la sècheresse et à la pollution, une attention plus particulière a été accordée aux eaux des nappes plus profondes à travers le fonçage des puits modernes et des forages. Cependant, des études récentes réalisées sur différents points d’eau situés en d’autres zones de socle, ont révélé d’importantes valeurs en éléments chimiques indésirables parfois même supérieures aux normes OMS. Evaluer la qualité des eaux de cette région par les analyses physico-chimiques s’avère aussi importante surtout dans ce contexte de pollution grandissante et pour une gestion rationnelle des ressources. L’approche méthodologique a consisté aux prélèvements de dix échantillons d’eau des puits et des forages pendant le mois de Mai pour les analyses physicochimiques (HCO3-, Mg2+, Na+, K+, Ca2+, NO3-, Fet), à leur étude statistique à travers l’Analyse en Composante Principale et au calcul de l’indice de saturation. Les résultats ont montré que certains points d’eau ne sont pas conseillés à la boisson pour causes des teneurs en Nitrates et en Fet dépassant les normes. Ces eaux étaient faiblement minéralisées, sous saturées à la calcite, à la dolomite et présentaient deux faciès chimiques : le faciès de type bicarbonaté calcique et magnésien et bicarbonaté sodique et potassique. La méthode statistique de l’Analyse en Composante Principale ACP a mis en évidence l’hydrolyse des silicates en présence du CO2 du sol. English title:Physico-chemicals characteristics of the watershed Goroubi’s groundwater in Commune of Torodi/Liptako of Niger The study area is located to the basement of rural commune of Torodi, southwest of Niger, where population water supplied is made from surface water and superficial aquifers. With the vulnerability of these latter, due to drought and pollution, more attention has been paid to deep aquifers by modern wells and boreholes drilling. However, recent studies made on different water points located on other basement areas, revealed important values of undesirable chemical elements that exceed the World Organization Health(WHO) drinking water guidelines. In context of increasing pollution and management of resources, evaluate the quality of these waters is important. Ten samples of water are collected from wells and boreholes during month of May 2018 and analyze from major and trace elements (HCO3-, Mg2+, Na+, K+, Ca2+, NO3-and Fet). A principal Component Analyses PCA and the saturation index are also used. Results of analyses shown that some water points are not recommended for drinking causes of high levels of Nitrates and iron total exceeding guidelines of the WHO. Waters are weakly mineralized, undersaturated from calcite and dolomite and shown two types facies: bicarbonate calcic and magnesic and bicarbonate sodic and potassic. The statistical method of ACP highlights the hydrolysis of silicates in the presence of soil CO2.
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Oliveira, Hebe Souza de, and Flávio Wacholz. "L’art et l’environnement : les ressources en eau du Brésil du point de vue NAIF." Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, July 9, 2020, 37–60. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/art-fr/lart-et-lenvironnement.

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Abstract:
Le Brésil est un pays privilégié en termes de quantité d’eau disponible sur son territoire. La façon dont l’eau est représentée dans les peintures met en lumière la perception que l’artiste a de cette ressource naturelle. L’objectif de ce travail était de souligner l’importance des ressources en eau du Brésil et de promouvoir l’art naïf. En ce qui concerne les démarches méthodologiques, une recherche documentaire a été réalisée, basée sur les catalogues des expositions : Bienal Naifs do Brasil au SESC de Piracicaba/SP (1996 à 2018) ; Biennale Internationale d’Art Naif Totem Cor-Ação – BINAIF de Socorro/SP (2017 et 2019); et l’Exposition nationale d’art naïf de l’État de São Paulo (2019). L’étude était descriptive, avec une analyse qualitative des peintures et de leurs relations avec les ressources en eau, à leur tour, les ressources en eau peintes dans les œuvres étaient présentées de manière technique. Quinze œuvres ont été sélectionnées pour leur pertinence par rapport au thème. L’ensemble des peintures analysées comprend les multiples usages de l’eau, en plus des aspects géographiques, historiques, culturels et des différents biomes des bassins hydrographiques. Des problèmes tels que les inondations, la rareté et la pollution des ressources en eau ont également été observés. La recherche a fait un voyage à travers le Brésil, du nord au sud, traitant à la fois des eaux continentales et des eaux océaniques qui baignent la côte du pays. Au vu de cela, il est conclu que l’eau est une ressource naturelle indispensable, sa valorisation à travers l’art naïf favorise également sa préservation et contribue ainsi à la gestion des ressources en eau.
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Mpakam, Hernanie G., Samuel Ayonghe Ndonwy, Serges L. Djomoudou Bopda, and Georges E. Ekodeck. "Gestion integree des ressources en eau et objectifs du millenaire pour le developpement en Afrique : Cas du Cameroun." VertigO, Volume 7 Numéro 2 (September 8, 2006). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.2319.

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Peltier, Régis. "Quelles évolutions pour la consommation d’énergie domestique et la gestion des ressources naturelles dans les bassins d’approvisionnement des grandes villes du Sud ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 340 (May 15, 2019). http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.340.a31708.

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Abstract:
À l’occasion de la parution de ce numéro de Bois et Forêts des Tropiques, son coordonnateur tire un bilan des recherches-actions que lui-même et les équipes partenaires ont consacrées au bois-énergie en Afrique, pendant une quarantaine d’années. Il propose un schéma prospectif, pour expliquer en quoi ont été complémentaires ces actions, certaines portant sur la foresterie, l’agroforesterie, la bioénergie, et d’autres sur le social, l’économie, le droit, la fiscalité ou les politiques forestières. Il montre que, du fait de la démographie, les besoins en bois-énergie ont rejoint, puis dépassé, la productivité des bassins d’approvisionnement des grandes villes sahéliennes, au cours des années 1990. Par la suite, les services gouvernementaux et les ONG ont mené diverses tentatives et projets pour diminuer la consommation de bois-énergie, mieux gérer les formations naturelles et restaurer les systèmes agroforestiers. Ceci a permis de freiner la dégradation des ressources naturelles, de satisfaire les besoins des populations urbaines en énergie domestique et de fournir des revenus aux populations rurales. Cependant, cette dégradation est presque partout toujours en cours et la consommation est satisfaite au prix de la dégradation du capital productif des forêts. Pour l’avenir, l’hypothèse a été émise que, pour éviter des troubles sociaux urbains liés à la pénurie d’énergie domestique, tout en continuant à garantir des revenus aux ruraux, il est indispensable de combiner des politiques d’économie d’énergie, de restauration et de gestion des écosystèmes et des systèmes agroforestiers. Il faut substituer la partie de l’énergie domestique qui dépasse les capacités de production des bassins d’approvisionnement en bois-énergie. Ceci nécessitera de faire évoluer les politiques nationales sur le foncier, les taxes et les subventions, et d’établir des schémas régionaux d’aménagement.
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Hervé, Caroline. "Communs." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.086.

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Les communs (commons en anglais) peuvent être définis comme un ensemble de ressources physiques, matérielles ou immatérielles que les êtres humains cherchent à exploiter, à gérer ou à protéger pour assurer leur survie biologique, économique, sociale ou encore culturelle. Très à la mode depuis une quarantaine d’années en anthropologie, sociologie, histoire, économie ou encore en philosophie, ce concept a vu son champ d’application s’élargir, ses propositions théoriques s’étoffer et ses analyses se complexifier, tout en perdant progressivement son sens historique. Sortis du champ académique et instrumentalisés par les mouvements de résistance au néolibéralisme, les communs sont désormais au cœur de débats de société. La façon dont cette notion interroge les interactions entre les êtres humains et leur environnement, son intérêt pour éclairer la fabrication du social et sa réutilisation dans le débat public en fait un objet de recherche riche pour l’anthropologie. La définition du concept de communs est une entreprise difficile tant il renvoie à des usages divers. Si certains chercheurs tendent à privilégier, en français, l’usage du pluriel afin de marquer la grande variété des ressources regroupées sous la terminologie de communs, que l’on parle de ressources naturelles, mais également sociales ou intellectuelles, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’utiliser le terme au singulier afin de souligner son potentiel théorique et pratique (Hardt et Negri 2012 ; Dardot et Laval 2014). L’origine étymologique du terme commun, construit sur les locutions latines cum et munus, renvoie à une idée centrale, celle de la mise commun ou de la gestion commune de biens, mettant l’accent sur le fait que le commun « implique donc toujours une certaine obligation de réciprocité liée à l’exercice de responsabilités publiques » (Dardot et Laval 2014 : 23). Ces deux aspects, celui de réciprocité et de responsabilité publique, sont au cœur de la définition historique des communs. Les origines du concept renvoient à une pratique de gestion des terres qui était courante dans différentes régions d’Europe avant la fin du Moyen-Âge et qui consistait en la gestion commune de certaines terres par un groupe de personnes ou d’unités familiales pendant une période de temps limitée. Dans certaines circonstances, tout le monde pouvait avoir accès à ces terres, selon des règles d’usage particulières ; dans d’autres cas, leur usage était restreint et contrôlé. Ce fonctionnement communal a progressivement été mis en cause par les autorités publiques et les cercles politiques à partir du milieu du XVIIIe siècle. En l’espace d’un siècle, la plupart des communs en Europe de l’ouest devinrent ainsi des propriétés privées ou publiques (De Moor 2011 : 425). Ceci correspond au phénomène connu des enclosures qui s’est particulièrement développé en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à travers lequel de larges étendues de champs ouverts, connus sous le nom de terrains communaux ou commons, ont progressivement été parcellisés et enclos (Hemmungs Wirtén 2013 : 2), dans un contexte marqué par l’augmentation démographique et l’industrialisation. Ce retour dans l’histoire est important pour comprendre les confusions qui sont apparues lorsque les chercheurs des différentes disciplines ont commencé à s’intéresser plus largement à la question des communs à partir du milieu du XXe siècle. L’une des confusions les plus importantes a été introduite par le biais du travail de Garrett Hardin dans son célèbre article « The Tragedy of the Commons », publié en 1968, dans lequel il explique que les communs sont susceptibles de surexploitation et donc de disparition. Sa thèse principale repose sur l’idée biaisée que les communs historiques étaient accessibles à tous et en tout temps. À la suite de la parution de cet article, les chercheurs ont ainsi commencé à utiliser le terme de communs pour faire référence à toutes formes de ressources utilisées par tous et sans contrôle, ce qui ne correspond pourtant pas à sa définition historique (De Moor 2011 : 425). L’article de Hardin a ouvert de nombreuses recherches portant sur les solutions à mettre en œuvre pour contrer la dégradation des communs. Mais ces travaux sont souvent restés coincés entre deux options : la prise en charge des communs par l’État ou par le marché. C’est dans ce contexte que le travail de la politologue Elinor Ostrom (1990), en proposant une troisième voie, a eu un retentissement important dans le monde académique, et même au-delà. La publication de son livre Governing the Commons constitue une étape essentielle dans les recherches sur la gestion des communs. Non seulement, elle montre que l’exploitation des communs ne mène pas inéluctablement vers leur fin, mais elle explore la diversité des arrangements institutionnels permettant la gestion de ceux-ci, sans pour autant avoir recours à l’État ou à la privatisation. Sa contribution est consacrée en 2009 lorsqu’elle reçoit, en même temps qu’Oliver Williamson, le prix Nobel d’économie pour son analyse de la gouvernance économique et celle des communs. La création de l’International Association for the Study of the Commons en 1989 ou encore la création de l’International Journal of the Commons en 2007, révélateurs d’un engouement scientifique pour la question des communs, permettent la diffusion des théories et des méthodes dans les différentes disciplines et dans la société civile, à tel point que l’étude même des communs comporte aujourd’hui des enjeux politiques, sociaux et même éthiques (Peugeot et Piron 2015). Les travaux d’Elinor Ostrom s’inscrivent dans une démarche résolument interdisciplinaire puisqu’elle utilise des études de cas, des concepts, des modèles et des méthodes issus de différentes sciences sociales, et tout particulièrement de l’anthropologie. Loin de développer une perspective purement institutionnelle, Ostrom s’intéresse en effet avant tout aux stratégies développées par les acteurs sociaux pour gérer des ressources en commun. Elle s’appuie pour cela sur de nombreuses études de cas développées par des anthropologues pour comprendre par exemple les systèmes d’irrigation au Népal, dans les Philippines ou à Los Angeles, la gestion des forêts en Inde, en Asie, en Afrique et en Amérique latine ou encore la pêche côtière en Inde ou au Canada (Acheson 2011 : 320). Même si son usage de l’anthropologie est qualifié de fragmentaire, puisque sortant ces études de cas de leurs contextes politiques ou culturels, ses travaux sont néanmoins reconnus comme une contribution majeure à la discipline anthropologique (Rabinowitz 2010). Outre celle des interactions entre les hommes et leur environnement, les travaux d’Ostrom rejoignent bien d’autres questions intéressant les anthropologues. Ils interrogent directement la gestion des ressources collectives, la nature des liens de coopération et la fabrique des communautés (Rabinowitz 2010 : 104), la production des normes et des règles sociales, ainsi que de la propriété, privée ou publique (Acheson 2011 : 320). Enfin, en montrant le rôle important de la réciprocité dans la plupart des cas de gestion alternative des ressources, les anthropologues ont mis en évidence, à partir de leurs différents terrains, le fait que l’homme n’était pas uniquement animé par une logique économique, mais que le symbolisme était central dans les pratiques d’échange, renvoyant ainsi aux théories sur le don, concept dont les anthropologues ont étudié les multiples formes dans les sociétés humaines. Dans la foulée des propositions théoriques de Hardin et de Ostrom, un véritable engouement s’est manifesté autour de la question de ces communs naturels, en anthropologie et dans les autres disciplines des sciences sociales. Ces travaux ont fourni des modèles inspirant pour d’autres types d’objets de recherche et plus récemment les chercheurs ont commencé à identifier de nouveaux communs (new commons), comme des biens communs sociaux (social commons) qui constituent des ressources sociales ou des services destinés à des groupes sociaux spécifiques, des communs de nature intellectuelle ou encore culturelle incluant des ressources aussi variées que la musique, l’artisanat, les technologies numériques, etc. (Nonini 2006 : 166-167). Certains anthropologues ont même avancé l’idée que les communs peuvent englober des dimensions plus invisibles de la vie sociale relevant du domaine cognitif, corporel ou affectif, comme par exemple chez les Urarina, peuple indigène du Pérou, pour lesquels la notion même de tranquillité doit être l’objet d’un partage ou d’une réciprocité (Walker 2015). L’extension du concept de communs à des domaines aussi divers de la vie sociale explique aujourd’hui la difficulté à en donner une définition uniforme et certaines ambivalences quant à ses usages et ses analyses. De façon plus générale, la naturalisation du discours sur les biens communs a nécessité de s’engager dans une réflexion critique sur cet objet, ce que l’anthropologie a pu prendre en charge à travers sa capacité à mettre en perspective la production du social. Le succès du terme ne s’est en effet pas limité au milieu académique. Dans le contexte des dernières décennies, alors que des corporations, des gouvernements et d’autres types d’institutions politiques, privées ou non-gouvernementales, ont dépossédé certains groupes humains de leurs ressources dans la mouvance de la globalisation néolibérale, des stratégies de résistance et de lutte pour conserver ou retrouver le contrôle sur ces biens se sont développées (Nonini 2006 : 165). Dans le même temps, les propositions théoriques sur les communs ont mis en valeur des alternatives séduisantes face à la mainmise du marché ou de l’État sur ces ressources. Les anthropologues ont ainsi montré que ces luttes ne concernent pas seulement le contrôle des ressources matérielles mais également le contrôle des significations culturelles associées aux communs et aux processus qui les préservent ou les détruisent (Nonini 2006 : 165). Les stratégies et les perspectives antagonistes des différents groupes se disputant les communs sont ainsi devenues des objets de recherche riches pour l’anthropologie. Dans le contexte sud-américain où la surexploitation des ressources naturelles s’impose comme un nouveau paradigme économique, le constat que chacune des deux parties réutilise le concept de biens communs et de communs pour légitimer, d’un côté l’exploitation des ressources naturelles, et de l’autre la lutte contre cette exploitation, rappelle la nécessité de repenser les fondements ontologiques de chacune de ces deux façons de concevoir la relation entre les humains et le monde naturel. Dans ce cadre, les peuples autochtones nous invitent plutôt à penser ces confrontations ontologiques à travers le concept d’« incommuns » ; celui-ci révèlerait plutôt l’existence et la persistance d’une certaine incompatibilité entre différentes façons d’être au monde. En effet, alors que les entreprises extractrices font reposer leurs justifications sur la distinction entre nature et culture, et plus précisément sur le contrôle de la nature par les êtres humains, les peuples autochtones de leur côté se perçoivent en continuité avec le monde naturel, engagé dans une relation réciproque avec lui et dans l’obligation de le protéger (Blaser et De La Cadena 2017 : 186-187).
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