Academic literature on the topic 'Gestion des ressources en eau – Amérique du Sud'

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Journal articles on the topic "Gestion des ressources en eau – Amérique du Sud"

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Chouinard, Omer, Anne-Marie Laroche, and Gilles Martin. "Les associations de bassin versant du littoral acadien : un modèle d’acteurs valorisant les approches écosystémiques et d’économie sociale." Articles 40, no. 2 (March 24, 2011): 97–119. http://dx.doi.org/10.7202/1001390ar.

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Abstract:
L’objectif de cet article est de mettre en évidence les liens entre la gestion intégrée des ressources en eau et l’approche de l’économie sociale. Cette étude a examiné les retombées positives d’un programme provincial néobrunswickois d’amélioration des systèmes de fosses septiques dirigé par des associations de bassin versant du littoral acadien (sud du golfe Saint-Laurent) entre 2003 et 2007. Tout d’abord, le contexte théorique permet de situer les concepts de gestion par bassin versant, de gestion intégrée des ressources en eau et d’économie sociale. Par la suite, une analyse des perceptions des retombées environnementales, économiques et sociales résultant de l’administration du programme provincial est effectuée grâce à une recherche partenariale participative, des entrevues et des groupes de discussion. Les conclusions de cette étude mettent en valeur la contribution de ces associations à l’économie sociale, au développement durable et à la gestion intégrée au Nouveau-Brunswick.
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Mohammed, Habi, Morsli Boutkhil, and Hamel Mohamed. "Impact de la dynamique agricole sur la durabilité des périmètres agricoles traditionnels: cas des oasis des monts du Ksour - Algérie." digitAR - Revista Digital de Arqueologia, Arquitectura e Artes, no. 5 (February 20, 2019): 331–47. http://dx.doi.org/10.14195/2182-844x_5_18.

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Abstract:
La zone présaharienne des monts du Ksour, faisant partie de l’Atlas saharien, particulièrement fragile, est appelée à subir de profondes et importantesmutations. Dans cette zone agro-pastorale où l’agriculture est pratiquée depuis des millénaires dans les périmètres du Ksour (oasis), l’activité agropastorale,vocation économique principale, est menacée dans son existence par les pratiques inadéquates. Le périmètre traditionnel d’Ain Sefra (oasis du Sud-Ouest algérien) qui dispose d’une tradition ancestrale et d’un savoir-faire diversifié aussi bien dans la pratique de l’agriculture et la gestion du sol des milieux arides que dans la gestion de la ressource en eau qui menace sa durabilité. Cette étude qui s’est intéressée essentiellement aux aspects agro pédologiques et aux aspects socio-économiques, liés à l’exploitation des ressources en eau et en sol a permis de montrer que les ressources en eau et en sol ont tendance à se dégrader et à s’épuiser. Le problème du contrôle et de la gestion de ces ressources se pose avec acuité dans les nouveaux périmètres de mise en valeur agricole. Les impacts commencent déjà à se faire sentir sur l’ancien oasis mettant en danger sa durabilité.
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Cocker, Femi, Jean Bosco Vodounou, and Jacob Yabi. "Cartographie du potentiel en eau souterraine de la basse vallée de l'Ouémé, sud-Bénin (Afrique de l'Ouest)." La Houille Blanche, no. 2 (April 2020): 74–85. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2020018.

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Abstract:
La présente étude est une contribution pour une meilleure connaissance des ressources en eau souterraine de la basse vallée de l'Ouémé dans le souci de favoriser leur gestion efficiente face aux besoins sans cesse grandissants de la population. Elle a pour objectif principal de cartographier les potentialités en eau souterraine de la zone d'étude pour favoriser l'implantation des forages à gros débits en vue d'améliorer l'approvisionnement en eau potable des populations. La base de données utilisée est constituée des images satellitaires, des relevés techniques de forages, des fonds topographiques et des données hydro-climatiques. La combinaison de ces différentes informations par la méthode d'agrégation des critères a permis de générer des indicateurs de disponibilité, d'accessibilité et d'exploitabilité des eaux souterraines. Ces différents indicateurs sont ensuite considérés comme critères et sont combinés suivant la technique d'agrégation par codification en vue de l'élaboration de la carte de potentialité en eau souterraine. Les résultats révèlent que plus des deux tiers (80,4 %) du territoire ont une disponibilité en eau souterraine bonne et excellente avec une exploitabilité excellente (51,87 %) et également une accessibilité de 50,51 %. L'identification des sites potentiels en eau souterraine montre que 66 % de la superficie de la basse vallée de l'Ouémé considérée sont favorables à l'implantation de forages à gros débits. Cela correspond parfaitement à la configuration hydrogéologique du Bénin car le nord de la basse vallée de l'Ouémé annonce déjà la zone de socle où la ressource commence à se faire désirer. Ainsi cette carte de potentialité en eau souterraine peut guider la prise d'une bonne décision pour une gestion efficiente des ressources en eau souterraine.
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Ben Brahim, Mohammed. "GESTION INTÉGRÉE DES RESSOURCES EN EAU DANS LE TAFILALET (SUD-EST MAROCAIN) ; LEÇONS D’UNE HISTOIRE." Riparia 1 (2015): 97–131. http://dx.doi.org/10.25267/riparia.2015.v1.04.

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Nguyen, Hong Trang, Sophie Duchesne, Jean-Pierre Villeneuve, Babacar Toumbou, and Nomessi Kokutse. "Modélisation du régime hydrologique à l’échelle du bassin versant dans le cas de données restreintes : cas de la rivière Cau au Vietnam." Revue des sciences de l’eau 31, no. 3 (December 10, 2018): 201–15. http://dx.doi.org/10.7202/1054303ar.

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Abstract:
Les aménagements opérés sur le territoire d’un bassin versant, notamment les processus rapides d’urbanisation et d’industrialisation, ont souvent un impact important sur les ressources en eau, tant en quantité qu’en qualité. La gestion intégrée des ressources en eau par bassin versant (GIEBV) est une méthode reconnue pour évaluer et contrôler l’impact de ces aménagements sur le régime hydrologique. Cette approche de GIEBV est d’autant plus bénéfique dans un contexte de données restreintes et/ou de mauvaise qualité. Dans un tel contexte, un modèle hydrologique peut permettre d’estimer les débits en rivière en tout point du bassin versant. Cet article étudie la capacité du modèle hydrologique distribué Hydrotel à reconstruire le régime hydrologique dans un contexte de données restreintes. Une application sur le bassin versant de la rivière Cau, au Vietnam, est présentée. Une méthodologie originale est également proposée pour identifier la discrétisation spatiale la plus appropriée pour la simulation hydrologique à l’échelle d’un bassin versant en fonction de l’objectif recherché. Les résultats obtenus démontrent que, même sur un bassin versant où les données disponibles sont limitées en quantité et en qualité, Hydrotel peut apporter des informations utiles pour la mise en place de la GIEBV. Cette application réussie d’Hydrotel dans une région tropicale soumise à la mousson et où les données hydrologiques sont restreintes permettra de promouvoir la démarche de GIEBV basée sur la modélisation des processus en Asie du Sud-Est, en général, et au Vietnam, plus particulièrement.
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Yao, Théodore Koffi, Olivier Fouché, Emmanuel Konan Kouadio, Marie-Solange Oga, and Théophile Lasm. "Modélisation de la surface piézométrique des aquifères fissurés en zone de socle précambrien métamorphisé : cas du bassin versant du Sassandra (sud-ouest de la Côte d’Ivoire)." Revue des sciences de l’eau 28, no. 2 (July 7, 2015): 105–17. http://dx.doi.org/10.7202/1032293ar.

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Abstract:
Les niveaux piézométriques dans les aquifères de socle en Côte d’Ivoire sont mal connus du fait de la complexité du substratum géologique. Ce travail a pour objectif de modéliser l’altitude du niveau piézométrique des aquifères situés en milieu cristallin et cristallophyllien, notamment dans le bassin versant du Sassandra, au sud-ouest de la Côte d’Ivoire. En exploitant la méthode de la corrélation linéaire entre la dénivellation de la surface du sol et la surface de base des thalwegs d’une part et la dénivellation entre la surface piézométrique et la surface de base des thalwegs d’autre part, nous avons établi des équations qui permettent de déterminer les niveaux piézométriques et de compenser ainsi les lacunes dans leur connaissance. Ces travaux s’appuient sur des données de terrain, des fiches techniques de forage, des cartes (topographique et géologique) et un extrait du Modèle numérique d’Altitude (MNA) du sud-ouest ivoirien. L’interprétation mathématique des résultats a permis, au travers des équations établies, de calculer directement le niveau piézométrique en tout point de la zone d’étude. La carte piézométrique ainsi obtenue montre que le niveau piézométrique est en moyenne 7 m en dessous du sol lorsque l’on prend comme référence la surface de base des thalwegs. La surface piézométrique est corrélée à la surface topographique. La superposition de la carte piézométrique à celle du réseau hydrographique montre qu’à l’échelle de l’analyse réalisée, la circulation de l’eau souterraine est calquée sur celle des eaux de surface ; bassins versants hydrogéologique et topographique se superposent, montrant ainsi le lien entre les eaux de surface et les eaux souterraines. Ce résultat pourra aider à la gestion intégrée des ressources en eau souterraine et de surface surtout face à la vulnérabilité aux pesticides qui sont fréquemment utilisés dans la zone étudiée.
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Deffo, Victor, Sylvie Hounzangbe-Adote, Raphiou Maliki, and H. H. M. Ould Ferroukh. "Evaluation participative ex ante de propositions de la recherche. Cas d’application dans le sud du Togo." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 89. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10119.

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Abstract:
L’objectif de cette étude a été d’expérimenter une méthode d’évaluation participative d’options techniques au sud du Togo. Pour répondre aux besoins face aux problèmes de fertilité des sols dans un contexte de systèmes mixtes agriculture élevage, des chercheurs ont évalué avec les diverses catégories d’acteurs le potentiel d’adoption de l’association du maïs, plante à fonction mixte alimentaire (grain) et fourragère (paille), et du Mucuna pruriens, légumineuse à cycle long employée comme fourrage et pour améliorer la fertilité des sols. L’association fertilisée avec des engrais chimiques a été dénommée MME ci-après. La méthode utilisée a mobilisé des outils d’analyse de la méthode active de recherche participative (MARP) et a compris quatre phases. La première correspondait à la description générale de l’ensemble de la région d’étude pour identifier des sites représentatifs à partir de la littérature et d’entretiens exploratoires. La seconde phase a permis la caractérisation de la diversité des producteurs à partir d’entretiens auprès des personnes ressources des sites retenus. La troisième phase a concerné la sélection participative d’un éventail d’options techniques comprenant l’association MME mais aussi des pratiques locales présentant des similitudes avec l’association MME, ainsi que d’autres propositions alternatives de la recherche pour améliorer la fertilité des sols et assurer l’alimentation fourragère des animaux. Cette sélection a été réalisée par un échantillon de producteurs représentatifs de leur diversité. Il leur a été demandé de hiérarchiser les différentes options techniques présentées lors de visites de parcelles expérimentales ou à l’aide de supports visuels. Ils ont utilisé des notes ou des cailloux compte tenu de la forte proportion d’illettrisme. La quatrième phase a été celle de l’évaluation aux dires de producteurs des effets perçus des différentes options sur la gestion des ressources agropastorales (eau, sol, biodiversité), leur acceptabilité ou leur rentabilité en fonction du coût de la main d’oeuvre. Cette méthode a été appliquée dans trois villages du sud du Togo. Dans ces villages, six principales catégories de producteurs ont été identifiées : les propriétaires terriens, les locataires de terres, les membres d’organisations paysannes, les producteurs lettrés, les producteurs illettrés, et les femmes. En plus du MME, six options ont été retenues dont l’association MME avec des variantes issues de pratiques locales, soit l’association maïs et Mucuna à cycle long mais sans l’usage d’engrais (MM), l’association maïs et Mucuna à cycle court et à base d’engrais (MMCE), l’association maïs et Mucuna à cycle court sans l’usage d’engrais (MMC), et maïs en culture seul avec apport massif d’engrais (ME). Les deux autres options ont été proposées par la recherche : maïs entouré de haies vives de légumineuses fourragères destinées à du bétail en stabulation contrôlée et dont le fumier était ensuite épandu au champ (MHF), et culture en couloirs de maïs et de Cajanus cajan. L’association MME a été l’option préférée des propriétaires terriens, des lettrés et des membres d’organisations paysannes. Chez les femmes, l’option privilégiée a été l’association MM compte tenu de leurs faibles ressources financières mais aussi de leur insécurité foncière. Chez les locataires des terres et les producteurs illettrés, l’option favorite a été l’association MMCE qui permettait le maintien de la seconde saison de culture. L’évaluation des différentes options a montré que l’association MME et l’option MHF ont été jugées par la majorité des catégories de producteurs comme ayant les effets les plus positifs sur les ressources agropastorales. Les associations MME et MMCE ont été considérées comme étant les plus acceptables socialement, notamment chez les propriétaires terriens mais aussi chez les vulgarisateurs, les consommateurs et les commerçants également interrogés ; venait ensuite l’option MHF. La rentabilité a été la meilleure pour les associations MM et MME et la plus faible pour les deux autres alternatives proposées par la recherche. Cette méthode d’évaluation permet de valoriser l’expertise des producteurs. Elle repose sur la perception que les producteurs ont des effets des technologies. Une perception positive constitue un des premiers facteurs d’adoption d’une proposition de la recherche. Mais pour cela du temps et des outils appropriés doivent être consacrés à l’étape de formation des producteurs sur les différentes options pour que cette perception ne soit pas biaisée par la qualité de l’information donnée par le chercheur. Cette évaluation permet en outre d’identifier ou d’adapter des variantes locales aux options pré-identifiées par les chercheurs. Les efforts de recherche-développement doivent se concentrer sur les processus de ces adaptations participatives.
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El Bardai, Rabie, Kamal Targuisti, and Khadija Aluni. "Caractérisation hydrodynamique des sources karstiques : cas de la source de Ras El Maa (Rif Septentrional, Maroc)." Revue des sciences de l’eau 27, no. 2 (June 13, 2014): 139–53. http://dx.doi.org/10.7202/1025564ar.

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Abstract:
Au Maroc, la question des ressources en eaux se pose avec acuité. L’état marocain a adopté, dès les années soixante, une stratégie de maîtrise et de valorisation de cette précieuse ressource. Cependant, des difficultés dans la gestion de l’eau ont augmenté suite à la pression démographique sur cette ressource, raison pour laquelle les problèmes de pénurie d’eau apparaissent dans plusieurs secteurs de Royaume, surtout ceux qui connaissent des apports pluviométriques très bas. L’objectif prioritaire de cette étude était d’obtenir une meilleure connaissance du fonctionnement hydraulique des aquifères karstiques qui se trouvent au sud-est de la ville de Chefchaouen au nord du Maroc. Dans cette région, les eaux souterraines d’origine karstique jouent un rôle capital dans l’approvisionnement en eau potable et pour l’irrigation. Du point de vue hydrogéologique, la région étudiée renferme des sources karstiques de grande importance, avec des débits qui dépassent 100 L•s-1 dans les périodes de crue. La recharge de la nappe se fait essentiellement par les eaux de pluie et par la fonte des neiges des sommets des montagnes (par exemple, la crête du Jbel Lakraâ à 2 159 m et celle de Jbel Tissouka à 2 122 m). Les sources à gros débit émergent en basse altitude, surtout au niveau des contacts dorsale-flysch. Le fonctionnement hydrodynamique des sources de Ras El Maa et Chrafate montre la présence d'un système très inertiel, mal drainé et peu karstifié. Pourtant, les sources de Maggo présentent un coefficient de tarissement très élevé traduisant un système peu inertiel lié particulièrement à la présence de plusieurs gouffres dans le massif de Jbel Lakraâ. Le volume total des réserves obtenu à partir des courbes de récession des quatre sources est d’environ 10 millions m3, pourtant les volumes dynamiques issus de la source de Ras El Maa constituent à eux seuls 5 millions de m3.
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Huber, Claire, Fengshan Li, Xijun Lai, Sadri Haouet, Arnaud Durand, Suzanne Butler, James Burnham, et al. "Using Pléiades HR data to understand and monitor a dynamic socio-ecological system: China's Poyang lake." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 209 (January 29, 2015): 125–31. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.206.

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Abstract:
Le lac Poyang, première réserve d'eau douce de Chine, est un lac de moussons présentant de fortes variations de surfaces en eau entre la saison sèche, novembre-mars, et la saison humide juin-septembre. Les surfaces en eau passent ainsi de plus de 3000 km2 en été, à moins de 1000 km2 en hiver, cela correspondant à une variation inter annuelle de la hauteur de l'eau de 8 à 12 mètres. En saison sèche, la dépression du Poyang comprend une cuvette centrale en eau de taille réduite, et des lacs déconnectés entourés de vastes zones enherbées plus ou moins hautes. Lorsque le niveau d'eau augmente, la grande dépression centrale se remplit, puis au fur et à mesure du remplissage, comme une marée montante, l'eau arrive au niveau des lacs, les submerge et l'ensemble forme alors une petite mer intérieure d'eau douce. Cette dynamique et cette amplitude de variations ont de nombreuses implications en termes de ressources en eau, de santé publique (bilharziose), et mais aussi de richesse de la biodiversité.Le lac Poyang est un des milieux les plus riches et les plus importants en termes de biodiversité en Asie du Sud Est. Il s'agit d'une zone d'hivernage essentielle pour toute l'avifaune de l'Asie et de Sibérie. Plus de trois cents espèces d'oiseaux dépendent de cet habitat unique dont plus d'une douzaine d'espèces considérées en danger. Les plus emblématiques sont les grues de Sibérie et les cigognes blanches orientales dont la quasi-totalité, 98% de la population mondiale (moins de 3000 individus) viennent hiverner au Poyang. Cette de grande diversité d'oiseaux d'eau migrateurs est une conséquence directe de l'hydrologie complexe du lac Poyang.La forte variabilité intra et interannuelle du remplissage du Poyang, est un phénomène difficile à qualifier, c'est pourquoi un suivi temporel à relative haute fréquence est nécessaire. Dans le cadre de la RTU Pléiades HR, des acquisitions sur une base mensuelle ont été programmées au cours de l'année 2013 couvrant la partie la plus riche et sensible de la Reserve Naturelle du lac Poyang (PLNR). L'exploitation des données a porté sur plusieurs axes. Tout d'abord la caractérisation, à une échelle fine, des trajets de l'eau et de la dynamique de remplissage et de vidange des lacs, mettant en évidence un remplissage plutôt tardif et peu important au regard des observations réalisées les 12 dernières années, et surtout une vidange très précoce (fin juillet, entrainant par exemple la vidange totale du Bang Hu, principal site d'accueil des grues sibériennes). Les travaux ont également portés sur l'autre principale composant du milieu naturel, la végétation et sa dynamique inverse de l'eau. A partir des relevés terrain, le long de quatorze de transects, des indices de végétation ont été exploités afin de réaliser la cartographie de la végétation de ce secteur clé du lac Poyang. Les travaux ont également portes portés sur l'impact des activités anthropiques sur le milieu avec deux atteintes fortes, la mise en place de zones de cultures au sein du Parc national, et l'exploitation du lac Poyang comme carrière de sable se traduisant par un fort retrait des berges et un creusement des lits mineurs. Enfin, l'exploitation des données Pléiades HR, associées à des données CSK a permis de lever la première carte des filets de pêche au sein de la Reserve naturelle. De plus, deux triplets stéréo ont été acquis lors de périodes de basses hautes en en mars et septembre 2013, permettant la génération de modèles numériques de surfaces très précis et très détaillés.Les résultats obtenus suite à l'exploitation des images Pléiades HR, transmis à l'administration en charge de la gestion du Parc et à une ONG, l'International Crane Fondation, montrent l'apport des données Pléiades HR pour le suivi environnemental et aussi tout l'intérêt de séries temporelles très haute résolution pour la connaissance, et par la même, la protection des milieux.
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Hervé, Caroline. "Communs." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.086.

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Abstract:
Les communs (commons en anglais) peuvent être définis comme un ensemble de ressources physiques, matérielles ou immatérielles que les êtres humains cherchent à exploiter, à gérer ou à protéger pour assurer leur survie biologique, économique, sociale ou encore culturelle. Très à la mode depuis une quarantaine d’années en anthropologie, sociologie, histoire, économie ou encore en philosophie, ce concept a vu son champ d’application s’élargir, ses propositions théoriques s’étoffer et ses analyses se complexifier, tout en perdant progressivement son sens historique. Sortis du champ académique et instrumentalisés par les mouvements de résistance au néolibéralisme, les communs sont désormais au cœur de débats de société. La façon dont cette notion interroge les interactions entre les êtres humains et leur environnement, son intérêt pour éclairer la fabrication du social et sa réutilisation dans le débat public en fait un objet de recherche riche pour l’anthropologie. La définition du concept de communs est une entreprise difficile tant il renvoie à des usages divers. Si certains chercheurs tendent à privilégier, en français, l’usage du pluriel afin de marquer la grande variété des ressources regroupées sous la terminologie de communs, que l’on parle de ressources naturelles, mais également sociales ou intellectuelles, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’utiliser le terme au singulier afin de souligner son potentiel théorique et pratique (Hardt et Negri 2012 ; Dardot et Laval 2014). L’origine étymologique du terme commun, construit sur les locutions latines cum et munus, renvoie à une idée centrale, celle de la mise commun ou de la gestion commune de biens, mettant l’accent sur le fait que le commun « implique donc toujours une certaine obligation de réciprocité liée à l’exercice de responsabilités publiques » (Dardot et Laval 2014 : 23). Ces deux aspects, celui de réciprocité et de responsabilité publique, sont au cœur de la définition historique des communs. Les origines du concept renvoient à une pratique de gestion des terres qui était courante dans différentes régions d’Europe avant la fin du Moyen-Âge et qui consistait en la gestion commune de certaines terres par un groupe de personnes ou d’unités familiales pendant une période de temps limitée. Dans certaines circonstances, tout le monde pouvait avoir accès à ces terres, selon des règles d’usage particulières ; dans d’autres cas, leur usage était restreint et contrôlé. Ce fonctionnement communal a progressivement été mis en cause par les autorités publiques et les cercles politiques à partir du milieu du XVIIIe siècle. En l’espace d’un siècle, la plupart des communs en Europe de l’ouest devinrent ainsi des propriétés privées ou publiques (De Moor 2011 : 425). Ceci correspond au phénomène connu des enclosures qui s’est particulièrement développé en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à travers lequel de larges étendues de champs ouverts, connus sous le nom de terrains communaux ou commons, ont progressivement été parcellisés et enclos (Hemmungs Wirtén 2013 : 2), dans un contexte marqué par l’augmentation démographique et l’industrialisation. Ce retour dans l’histoire est important pour comprendre les confusions qui sont apparues lorsque les chercheurs des différentes disciplines ont commencé à s’intéresser plus largement à la question des communs à partir du milieu du XXe siècle. L’une des confusions les plus importantes a été introduite par le biais du travail de Garrett Hardin dans son célèbre article « The Tragedy of the Commons », publié en 1968, dans lequel il explique que les communs sont susceptibles de surexploitation et donc de disparition. Sa thèse principale repose sur l’idée biaisée que les communs historiques étaient accessibles à tous et en tout temps. À la suite de la parution de cet article, les chercheurs ont ainsi commencé à utiliser le terme de communs pour faire référence à toutes formes de ressources utilisées par tous et sans contrôle, ce qui ne correspond pourtant pas à sa définition historique (De Moor 2011 : 425). L’article de Hardin a ouvert de nombreuses recherches portant sur les solutions à mettre en œuvre pour contrer la dégradation des communs. Mais ces travaux sont souvent restés coincés entre deux options : la prise en charge des communs par l’État ou par le marché. C’est dans ce contexte que le travail de la politologue Elinor Ostrom (1990), en proposant une troisième voie, a eu un retentissement important dans le monde académique, et même au-delà. La publication de son livre Governing the Commons constitue une étape essentielle dans les recherches sur la gestion des communs. Non seulement, elle montre que l’exploitation des communs ne mène pas inéluctablement vers leur fin, mais elle explore la diversité des arrangements institutionnels permettant la gestion de ceux-ci, sans pour autant avoir recours à l’État ou à la privatisation. Sa contribution est consacrée en 2009 lorsqu’elle reçoit, en même temps qu’Oliver Williamson, le prix Nobel d’économie pour son analyse de la gouvernance économique et celle des communs. La création de l’International Association for the Study of the Commons en 1989 ou encore la création de l’International Journal of the Commons en 2007, révélateurs d’un engouement scientifique pour la question des communs, permettent la diffusion des théories et des méthodes dans les différentes disciplines et dans la société civile, à tel point que l’étude même des communs comporte aujourd’hui des enjeux politiques, sociaux et même éthiques (Peugeot et Piron 2015). Les travaux d’Elinor Ostrom s’inscrivent dans une démarche résolument interdisciplinaire puisqu’elle utilise des études de cas, des concepts, des modèles et des méthodes issus de différentes sciences sociales, et tout particulièrement de l’anthropologie. Loin de développer une perspective purement institutionnelle, Ostrom s’intéresse en effet avant tout aux stratégies développées par les acteurs sociaux pour gérer des ressources en commun. Elle s’appuie pour cela sur de nombreuses études de cas développées par des anthropologues pour comprendre par exemple les systèmes d’irrigation au Népal, dans les Philippines ou à Los Angeles, la gestion des forêts en Inde, en Asie, en Afrique et en Amérique latine ou encore la pêche côtière en Inde ou au Canada (Acheson 2011 : 320). Même si son usage de l’anthropologie est qualifié de fragmentaire, puisque sortant ces études de cas de leurs contextes politiques ou culturels, ses travaux sont néanmoins reconnus comme une contribution majeure à la discipline anthropologique (Rabinowitz 2010). Outre celle des interactions entre les hommes et leur environnement, les travaux d’Ostrom rejoignent bien d’autres questions intéressant les anthropologues. Ils interrogent directement la gestion des ressources collectives, la nature des liens de coopération et la fabrique des communautés (Rabinowitz 2010 : 104), la production des normes et des règles sociales, ainsi que de la propriété, privée ou publique (Acheson 2011 : 320). Enfin, en montrant le rôle important de la réciprocité dans la plupart des cas de gestion alternative des ressources, les anthropologues ont mis en évidence, à partir de leurs différents terrains, le fait que l’homme n’était pas uniquement animé par une logique économique, mais que le symbolisme était central dans les pratiques d’échange, renvoyant ainsi aux théories sur le don, concept dont les anthropologues ont étudié les multiples formes dans les sociétés humaines. Dans la foulée des propositions théoriques de Hardin et de Ostrom, un véritable engouement s’est manifesté autour de la question de ces communs naturels, en anthropologie et dans les autres disciplines des sciences sociales. Ces travaux ont fourni des modèles inspirant pour d’autres types d’objets de recherche et plus récemment les chercheurs ont commencé à identifier de nouveaux communs (new commons), comme des biens communs sociaux (social commons) qui constituent des ressources sociales ou des services destinés à des groupes sociaux spécifiques, des communs de nature intellectuelle ou encore culturelle incluant des ressources aussi variées que la musique, l’artisanat, les technologies numériques, etc. (Nonini 2006 : 166-167). Certains anthropologues ont même avancé l’idée que les communs peuvent englober des dimensions plus invisibles de la vie sociale relevant du domaine cognitif, corporel ou affectif, comme par exemple chez les Urarina, peuple indigène du Pérou, pour lesquels la notion même de tranquillité doit être l’objet d’un partage ou d’une réciprocité (Walker 2015). L’extension du concept de communs à des domaines aussi divers de la vie sociale explique aujourd’hui la difficulté à en donner une définition uniforme et certaines ambivalences quant à ses usages et ses analyses. De façon plus générale, la naturalisation du discours sur les biens communs a nécessité de s’engager dans une réflexion critique sur cet objet, ce que l’anthropologie a pu prendre en charge à travers sa capacité à mettre en perspective la production du social. Le succès du terme ne s’est en effet pas limité au milieu académique. Dans le contexte des dernières décennies, alors que des corporations, des gouvernements et d’autres types d’institutions politiques, privées ou non-gouvernementales, ont dépossédé certains groupes humains de leurs ressources dans la mouvance de la globalisation néolibérale, des stratégies de résistance et de lutte pour conserver ou retrouver le contrôle sur ces biens se sont développées (Nonini 2006 : 165). Dans le même temps, les propositions théoriques sur les communs ont mis en valeur des alternatives séduisantes face à la mainmise du marché ou de l’État sur ces ressources. Les anthropologues ont ainsi montré que ces luttes ne concernent pas seulement le contrôle des ressources matérielles mais également le contrôle des significations culturelles associées aux communs et aux processus qui les préservent ou les détruisent (Nonini 2006 : 165). Les stratégies et les perspectives antagonistes des différents groupes se disputant les communs sont ainsi devenues des objets de recherche riches pour l’anthropologie. Dans le contexte sud-américain où la surexploitation des ressources naturelles s’impose comme un nouveau paradigme économique, le constat que chacune des deux parties réutilise le concept de biens communs et de communs pour légitimer, d’un côté l’exploitation des ressources naturelles, et de l’autre la lutte contre cette exploitation, rappelle la nécessité de repenser les fondements ontologiques de chacune de ces deux façons de concevoir la relation entre les humains et le monde naturel. Dans ce cadre, les peuples autochtones nous invitent plutôt à penser ces confrontations ontologiques à travers le concept d’« incommuns » ; celui-ci révèlerait plutôt l’existence et la persistance d’une certaine incompatibilité entre différentes façons d’être au monde. En effet, alors que les entreprises extractrices font reposer leurs justifications sur la distinction entre nature et culture, et plus précisément sur le contrôle de la nature par les êtres humains, les peuples autochtones de leur côté se perçoivent en continuité avec le monde naturel, engagé dans une relation réciproque avec lui et dans l’obligation de le protéger (Blaser et De La Cadena 2017 : 186-187).
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Dissertations / Theses on the topic "Gestion des ressources en eau – Amérique du Sud"

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Calasans, Jorge Thierry. "Le concept de ressource naturelle partagée : application au ressources de l'eau : l'exemple de l'Amérique du Sud." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010292.

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Abstract:
Ce travail porte à la fois sur le droit international public et le droit de l'environnement. Il est consacré au concept de "ressource naturelle partagée" et son application à la gestion internationale de ressources en eau, notamment entre les pays d'Amérique du sud. Il s'agit d'une analyse de ce concept aussi bien dans des conventions bilatérales et multilatérales que dans le cadre du projet relatif au droit sur l'utilisation harmonieuse des "ressources naturelles partagées" (élabore par le programme des nations unies pour l'environnement) et de celui de la commission du droit international sur le droit relatif à l'utilisation des fleuves internationaux à des fins autres que la navigation. Une première partie, plutôt conceptuelle, est consacrée à l'eau "ressource partagée", c'est à dire, à l'évolution de l'approche juridique des fleuves internationaux et aux problèmes découlant de la prise en compte fragmentée de la ressource. La deuxième partie concerne, dans une approche plus pragmatique, la mise en œuvre du concept dans la gestion des bassins du plat et de l'amazone ; mais aussi de son application de plus en plus étendue a des régions autres (par exemple, dans les bassins du rio grande et du Mékong) et a d'autres ressources que l'eau (celles chevauchant les frontières ou celles situées au-delà des juridiction nationales)
This study, in the field of both public international law and environmental law, deals with the concept of "shared natural resources" and its application in the joint management of water resources, especially among south American countries. "shared natural resources" is a concept established in the seventies, and was used in various bilateral and multilateral treaties, particularly those concerning the production of hydroelectric power. Some treaties are analyzed, as well as the united nations environmental program draft principles concerning the harmonious utilization of shared natural resources, and the international law commission draft project on the law concerning the utilization of international rivers. The study is divided in two parts. The first one deals with water as a "shared resource", that is, the evolution of the juridical approach of international rives and the problems arising from a fragmented perception of water resources. The second part studies, in a more pragmatic way, the application of the concept in the joint management of the plata and amazon basins. It also presents the use of the concept in other parts of the world (especially in the Rio Grande and Mekong basins) and in the field of resources other than water (straddling resources and resources above national jurisdictions)
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Leroy, David. "Les vulnérabilités liées à l'eau dans les páramos colombiens et vénézuéliens." Thesis, Toulouse 2, 2017. http://www.theses.fr/2017TOU20128/document.

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Abstract:
Dans de nombreuses montagnes tropicales, les populations sont aujourd’hui fortement exposées aux risques liés à l’eau (pollution et pénurie), notamment depuis le développement récent de l’agriculture intensive. À travers l’étude de quatre communautés rurales des páramos colombiens et vénézuéliens – écosystèmes d’altitude spécifiques des Andes septentrionales –ce travail questionne le lien entre l’efficacité de l’action collective et la réduction des vulnérabilités liées à l’eau. L’approche repose sur une analyse de la construction sociale des risques et de la capacité d’adaptation des communautés rurales. La méthodologie s’appuie sur 191 entretiens semi-directifs ainsi qu’une observation directe et participante auprès des agriculteurs et des différents acteurs du monde agricole et de la gestion de l’environnement. Enfin, le traitement des données est fondé sur une analyse de contenu, ainsi qu’une analyse plus fine du discours à travers l’outil IRaMuTeQ. Ce travail montre, d’une part, que la pollution de l’eau est souvent négligée par les agriculteurs, car elle se dérobe constamment aux représentations profanes ; elle est aussi déniée, du fait des enjeux économiques impliqués. A contrario, la pénurie est, elle, une construction sociale fortement ancrée, fruit de normes liées à une représentation commune de l’eau comme ressource économique. C’est pourquoi les agriculteurs sont plus tentés de réduire leur vulnérabilité à la pénurie d’eau d’irrigation que celle liée à la pollution de la ressource. Ce travail démontre, d’autre part, que l’adaptation au risque de pénurie est un puissant moteur de l’action collective, notamment lorsqu’elle est régie par un ensemble de règles, complexes, négociées et modifiables. Toutefois, les difficultés de gestion des risques sanitaires et environnementaux prouvent que la réduction des risques de pollution est loin d’être un objectif commun. Et bien que les communautés rurales s’organisent pour protéger les points de captage de l’eau en altitude, la vulnérabilité est systématiquement déplacée vers l’aval des bassins versants. La reconquête de la qualité de l'eau du páramo est donc un défi pour une grande diversité d’acteurs (institutions étatiques, associations environnementales, gestionnaires de l’eau, agriculteurs…). Néanmoins, les pouvoirs publics colombiens et vénézuéliens ont encore trop peu d’impacts sur la gestion des pollutions d’origine agricole
The population in many tropical mountains is currently highly exposed to water-related risks (pollution and scarcity), which are increasing notably with the development of intensive agriculture. Through the study of four rural communities in the Colombian and Venezuelan páramos - specific altitude ecosystems of the northern Andes - this work questions the relationship between the effectiveness of collective action and the decrease of vulnerabilities related to water. The approach is based on an analysis of the social construction of the risks and adaptability of rural communities. The methodology rests on 191 semi-structured interviews as well as direct and participant observation with farmers and the different participants in the agricultural world and environmental management. Finally, the data processing is based on a content analysis, along with a more detailed study of the discourse through the IRaMuTeQ tool. This work shows, on the one hand, that water pollution is often neglected by farmers, since it constantly evades profane representations; it is also denied due to the economic stakes involved. A contrario, scarcity is a deeply established social construct, the result of standards related to a common representation of water as an economic resource. This is why farmers are prone to reduce their vulnerability to irrigation water scarcity rather than to the one related to pollution of the resource. This work shows, on the other hand, that the adaptation to the risk of scarcity is a powerful driving force of collective action, especially when it is regulated by a set of complex, negotiated and modifiable rules. However, the difficulties of managing health and environmental risks prove that reducing pollution risks is far from being a common goal. And whereas rural communities line up to protect water catchment points at high altitude, the vulnerability is systematically shifted downstream of the watersheds. Regaining the water quality of the páramo is therefore a challenge for a wide variety of participants (state institutions, environmental associations, water managers, farmers ...). Nonetheless, the Colombian and Venezuelan public authorities still have too little impact on the management of pollution of agricultural origin. It is in this context that some interesting initiatives and experiences come out locally or via other non-institutional actors
En muchas montañas tropicales la población se encuentra actualmente expuesta a los riesgos relacionados con el agua (contaminación y escasez). Unos riesgos que se han acentuado con el reciente desarrollo de la agricultura intensiva. A través del estudio de cuatro comunidades rurales de los páramos colombianos y venezolanos – ecosistemas de altitud específicos de los Andes septentrionales – este trabajo se pregunta por la relación existente entre la eficacia de la acción colectiva y la reducción de las vulnerabilidades ligadas al agua. Este planteamiento se basa en un análisis de la construcción social de los riesgos y de la capacidad de adaptación de las comunidades rurales. La metodología se apoya en 191 entrevistas semi-estructuradas así como en la observación directa y participante junto a los agricultores y de los diferentes actores del mundo agrícola y de la gestión del medio ambiente. Finalmente, el tratamiento de los datos tiene como base un análisis de contenido, y un estudio más detallado del discurso a través de la herramienta IRaMuTeQ. Este trabajo muestra, por un lado, que la contaminación del agua es a menudo pasada por alto por los agricultores, puesto que ésta escapa a las representaciones profanas. Además, esta contaminación es igualmente negada debido a las cuestiones económicas en juego. A contrario, la escasez es una construcción social profundamente enraizada, que es el fruto de normas ligadas a una representación común del agua como recurso económico. Por lo tanto, los agricultores se muestran más inclinados a reducir su vulnerabilidad a la escasez de agua de riego que al problema de la contaminación de los recursos hidráulicos. Por otro lado, este trabajo pone de manifiesto que la adaptación al peligro de escasez es un potente móvil de la acción colectiva, especialmente cuando está regulada por un conjunto de normas complejas, negociadas y modificables. Sin embargo, las dificultades de gestión de los riesgos sanitarios y medioambientales prueban que la reducción de los peligros de contaminación está todavía lejos de ser un objetivo común. Incluso si las comunidades rurales se organizan para proteger los puntos de captación de agua en altitud, la vulnerabilidad es desplazada de forma sistemática hacia las zonas más bajas de las cuencas fluviales
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MAMOU, AHMED. "Caracteristiques, evaluation et gestion des ressources en eau du sud-tunisien." Paris 11, 1990. http://www.theses.fr/1990PA112380.

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Abstract:
La monographie proposee envisage les caracteristiques physiques, climatiques et hydrologiques du sud-tunisien. Le contexte geologique, etudie en detail, montre une serie complexe essentiellement reconnue en sondage, allant du cambrien au quaternaire. L'analyse structurale permet de prevoir le role hydrologique des failles et des accidents. L'etude des caracteristiques physiques, hydrogeologiques, hydrodynamiques et geochimiques des nappes du sud-tunisien permettant de mettre en evidence le role primordial de la nappe continental intercalaire dont la charge hydraulique lui permet de soutenir les autres nappes (nappe du complexe terminal; nappe de la djeffara ainsi que les aquiferes secondaires). L'ensemble des techniques utilisees pour cette caracterisation fait appel a l'hydrodynamique souterraine, la geophysique, l'hydrochimie et les isotopes du milieu. La derniere partie du memoire traite de la gestion des ressources en eau du sud-tunisien sur la base d'une modelisation numerique assortie a une revue des besoins agricoles et industriels en eau, et en eau potable, a l'horizon 2000
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Blanchon, David. "L'espace hydraulique sud-africain : le partage des eaux /." Paris : Karthala, 2009. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb420019741.

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Abstract:
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Géographie--Paris 10, 2003. Titre de soutenance : Impacts environnementaux et enjeux territoriaux des transferts d'eau inter bassins en Afrique du Sud.
Bibliogr. p. 265-290.
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Richard, Vanessa. "Le régime juridique de la gestion des cours d'eau internationaux en Asie (Asie centrale, du Sud et du Sud-Est)." Aix-Marseille 3, 2004. http://www.theses.fr/2004AIX32008.

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Abstract:
En Asie centrale, du Sud et du Sud-Est, après la décolonisation, le partage des fleuves qui n'étaient pas, auparavant, perçus comme internationaux a généré des tensions et différends interétatiques. Dans certains cas, les Etats ont tenté de les résoudre en concluant des conventions mettant en place des régimes de gestion conjointe, qui n'ont pas fonctionné de manière satsfaisante. Dans d'autres, aucune solution concertée pérenne n'a pu être trouvée, ce qui a généré des impacts négatifs environnementaux, sociaux, économiques et sanitaires parfois significatifs. Or, à partir du milieu des années 1990, les Etats des bassins Gange-Brahmapoutre, du Mékong et de la mer d'Aral ont conclu une série de nouveaux accords instituant des régimes de gestion conjointe plus ou moins intégrés. Il s'agit alors d'identifier les facteurs qui ont favorisé ou freiné l'instauration de la coopération sur les ressources en eau partagées et d'étudier les régimes juridiques élaborés pour internationaliser leur gestion. Cette étude - qui se fait au regard non seulement, du droit relatif aux utilisations autres que la navigation des cours d'eau internationaux, mais également des "principes de bonne gestion" qui apparaissent en droit international - permet de mettre en lumière des dynamiques qui permettent aux Etats de s'engager sur la voie d'un développement hydraulique durable et concerté, voire intégré, les faiblesses qui demeurent dans les régimes mis en place, et de questionner le rôle que le droit international peut jouer dans la promotion d'une gestion plus durable des ressources en eau partagées
After the decolonization of Central, South and Southeast Asia, the sharing of rivers that weren't formerly seen as international watercourses generated international tensions and disputes. In certain cases, States tried to resolve this problem by the signing of treaties which organised joint management regimes and which did not function properly. In other cases, no permanent solution could be negotiated. Such a situation generated negative environmental, social, economic and sanitary impacts that sometimes proved to be significant. And yet, from the mid-90's, the States of the Ganges-Brahmaputra, Mekong and Aral Sea basins concluded a series of new treaties whinch institute more or less integrated joint management regimes. Therefore, one can wonder about the factors that promoted or impeded cooperation on international freshwater resources and it seems necessary to study the legal regimes that were drawn up so as to inetrantionalise their management. This study - which is carried out not only with regard to the law of non navigational uses of international watercourses but also with regard to "good management principles" arising in international law - enables to highlight the dynamics which made it possible for the states to embark on the path of a sustainable and concerted hydraulic development, the weaknesses that remain in the legal regimes states drew up, and to question international law's role in promoting sustainable management of shared water resources
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Da, Mata Siqueira Antenora Maria. "Ressources en eauProblèmes collectifs, intérêts contradictoires et gestion politique dans la vallée de l’Itabapoana (Sud-est brésilien)." Rennes, Agrocampus Ouest, 2010. http://www.theses.fr/2009NSARE028.

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Abstract:
Analisar processos políticos de construção e reconhecimento de espaços sociopolíticos, voltados para a construção de reivindicações, projetos e definição de regras para gerir bens de uso comum é o objetivo desta pesquisa. A sua base empírica refere-se a agentes sociais (políticos, governantes, pesquisadores, pescadores, técnicos, agricultores, professores e representantes de instituições civis) que por meio de processos de concertação e negociação, tornaram possível a institucionalização de espaços públicos e a reprodução social ampliada do Vale do Itabapoana, no sudeste brasileiro. A opção foi por uma abordagem qualitativa, no intuito de se reconstituir as trajetórias sociais dos agentes e espaços construídos. O recorte temporal da pesquisa refere-se ao período em que uma universidade esteve à frente do referido processo - de 1995 a 2007. Por um período de aproximadamente doze anos, problemas socioeconômicos e ambientais têm sido tratados em diversas escalas territoriais, com a idéia-valor de gestão descentralizada, integrada e participativa. Foram formadas redes sociais a partir das quais os agentes sociais conseguiram estruturar, dar visibilidade e fazerem reconhecidas suas reivindicações por meio de conselhos municipais, fóruns de bacia, consórcio de bacia e comitê de bacia (em formação). Também possibilitou a emergência de conflitos de interesses, muitos deles latentes até então. Mesmo que oficiais tais espaços não se constituem nos únicos em que são tratados os problemas relativos a a��gua. Pode-se verificar que convergência de políticas e programas para esse(s) território(s) contribuiu para o aumento do aporte financeiro, técnico, da visibilidade política de alguns segmentos e do fortalecimento de algumas instâncias de gestão formalizadas. Entretanto, sendo oriundas de organismos governamentais de natureza e esferas diferenciadas, muitas dessas respostas (programas e/ou políticas) permaneceram condicionadas a modelos de arranjos institucionais e metodologias previamente definidas e de utilização obrigatória, o que, no (des)encontro com aquelas existentes no espaço social, promoveram outras configurações. Dessa forma, ao invés de contribuírem para o fortalecimento da preconizada gestão integrada e participativa concorreram na fragmentação e a re-setorialização das experiências em curso nos espaços de gestão, bem como para promoção de outras configurações do espaço social.
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OULD, EL JOUD MOHAMED YESLEM. "Gestion durable des ressources en eau du bassin sud-ouest mauritanien geologie, hydrogeologie et modelisation." Nice, 1998. http://www.theses.fr/1998NICE5133.

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Abstract:
La nappe du trarza (s. L. ) situe dans le sud ouest mauritanien, forme un aquifere de grande extension. Les terrains detritiques du continental terminal et de l'eocene contiennent une nappe d'eau douce generalisee. Les debits obtenus sont generalement eleves (quelques dizaines a plus de 100 m#3. H#-#1 pour les meilleurs ouvrages). L'origine fossile de cette nappe meme si elle n'est pas demontre fait l'unanimite. Elle se situe en effet dans une zone ou la faible pluviometrie actuelle (100 - 400 mm. An#-#1) rend toute recharge directe par les precipitations peu vraisemblable. Les mesures historiques de niveau statique et de mineralisation sont malheureusement peu nombreuses. Certaines mesures effectuees dans la region d'idini tendent pourtant a montrer l'existence d'une recharge episodique apres des evenements pluvieux importants. La surface piezometrique de cette nappe est presque partout en dessous du niveau de la mer. De plus, elle presente une grande depression piezometrique naturelle : la depression d'aguilal faye. Le niveau de l'eau passe d'une altitude voisine du niveau de la mer sur les bordures de la nappe a plus de -30 metres au centre de la depression. Plusieurs hypotheses ont ete avancees pour expliquer cette depression. Les principales sont : - sequelles des variations du niveau de la mer au cours du quaternaire ; - causes d'ordre geologique : subsidence ou effondrement ; - reprise evaporatoire de l'eau meme a plusieurs dizaines de metres de profondeur. Aucune de ces hypothese n'a ete demontree de facon formelle. Ce travail se propose d'integrer toutes les donnees disponibles afin d'etablir un modele conceptuel coherent de la geologie et de l'hydrogeologie de cette nappe. Ce modele conceptuel permet de realiser un modele numerique interpretatif regional. Le modele mathematique permet de montrer qu'une reprise evaporatoire faible permet d'expliquer l'apparition et le maintient de la depression piezometrique d'aguilal faye. Il montre egalement que le fleuve senegal, l'ocean atlantique et les ruissellements sur les terrains anciens impermeables de la chaine des mauritanides contribuent a la recharge de la nappe a partir de ses bordures. La reprise evaporatoire et la recharge a partir des bordures ont pu etre quantifiees. Il apparait ainsi qu'une reprise evaporatoire tres faible (1,15 a 1,65 mm. An#-#1 suivant la profondeur de l'eau) est suffisante pour expliquer l'apparition et le maintient d'une depression piezometrique naturelle comme celle d'aguilal faye. Les plans d'eau superficiels fournissent a la nappe annuellement 50 millions de metres cubes dont environ 30 millions pour le fleuve senegal.
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Harebamungu, Mathias. "La gestion de l'eau dans le sud-est du Rwanda : dynamiques spatiales, mutations, acteurs, enjeux." Bordeaux 3, 2007. http://www.theses.fr/2007BOR30021.

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Abstract:
Le Sud-Est du Rwanda est une région en proie à de profondes mutations depuis une quarantaine d’années. Les grandes turbulences socio-démographiques qu’a connues ce terroir ont imposé la réorganisation de l’espace rural et une profonde remise en cause des modes de gestion des ressources environnementales, notamment celle de l’eau. Avec son fort taux de croissance démographique, la population vit au quotidien des problèmes de disponibilité et d’accessibilité de la ressource, de l’amont à l’aval. L’abondance et la pénurie d’eau coexistent, les potentialités de desserte par zone sont limitées, l’intéraction homme-milieu pose la question de l’eau, de ses enjeux. L’absence d’une législation adéquate, le contrôle, les niveaux de perception par la population diversifiés, les usages de la ressource,… sont les grands défis. Ils concernent tous les acteurs de cette gestion à tous les niveaux ; en ville comme à la campagne. En même temps, les risques liés à l’eau se multiplient partout
The South-East region of Rwanda has been a victim of acute transformations for about forty years. The major socio-demographic unrest that characterised this land imposed the reorganisation of the rural space and calling into question modes of managing environmental resources, notably the management of water. With its high demographic growth rate, the population faces day after day problems of water availability and accessibility from upstream to downstream. Water abundance and shortage coexist, dessert possibilities are limited, and the man-environment interaction raises the issue of water and its stakes. The major challenges are the lack of appropriate legislation, control, different perception levels of the population, water uses, etc. . . The latter concern all actors of this management at all levels, in the city as well as in the countryside. At the same time, risks related to water more and more increase everywhere
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Blanchon, David. "Impacts environnementaux et enjeux territoriaux des transferts d'eau inter bassins en Afrique du Sud." Paris 10, 2003. http://www.theses.fr/2003PA100134.

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Abstract:
Le fleuve Orange est à la fois peu connu et très aménagé. Pas moins de neuf transferts d'eau majeurs détournent 3,5 km d'eau par an constituant un véritable réseau national maillé de transferts d'eau. Cette thèse montre que la construction de ce système a toujours été très discuté et ne correspond pas à une logique « hydraulique », mais bien à des objectifs politiques ou géopolitiques. Ces ouvrages ne sont pas les seuls aménagements à avoir un impact sur les principaux paramètres de l'hydrosystème : de très nombreux ouvrages plus modestes ont été construits depuis plus d'un siècle. La critique des grands transferts doit donc toujours prendre en compte les synergies d'impacts pour prévoir des mesures de mitigation efficaces. De même, seule une compréhension des évolutions locales fait apparaître les modifications induites par le transfert sur les régions concernées. Les transferts étudiés ont un point commun : la modification irréversible des échelles de gestion de l'hydrosystème, induite par la rupture du cadre du bassin versant. Cela explique pourquoi il est si difficile pour l'Afrique du Sud postapartheid de «sortir » de ce mode de développement
8 major inter bassin tranfers (IBT) have transformed the Orange River into a "Plumbing system". This thesis shows that theses IBTs have been built mainly for political and geopolitical reasons during the Apartheid era. But there was no general planning and each project was discussed at the highest political level. These IBT have been highly criticised for the damages they cause on the river ecology. But the river was far to be in a pristine state when they were built in the 1970s : significant modifications in the river channel have been taking place at a local level, especially in the irrigated areas of the middle reaches. The central hypothesis of this thesis is that of IBT cannot be properly understood without considering their interaction with the environmental impacts of small weirs, levees and canals. It is also absolutely necessary to understand the regional settings in order to judge the spatial effects of IBTs. With the dismissal of apartheid in 1994, IBTs seem to be doomed. But il could be very difficult for the ANC government to buillt a new Orange river, combining environmental protection and economic development, without framing a inventive mangement strategy for IBTs
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Bédoucha, Geneviève. ""L'eau, amie du puissant " une communauté oasienne du Sud tunisien /." Paris ; Montreux : Archives contemporaines, 1987. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb369541977.

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