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Journal articles on the topic 'Gestion énergétique du bâtiment'

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1

Paris, Benjamin, Julien Eynard, Frédérik Thiery, Adama Traoré, Monique Polit, and Thierry Talbert. "Travaux pratiques sur la gestion énergétique optimale d'un bâtiment EnR." J3eA 8 (2009): 1006. http://dx.doi.org/10.1051/j3ea:2008047.

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Cantin, Richard, and Cédric Bereaud. "Differentes sources d’erreurs dans le diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments." Acta Europeana Systemica 8 (July 10, 2020): 231–40. http://dx.doi.org/10.14428/aes.v8i1.56393.

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Abstract:
Parmi les différents diagnostics mis en oeuvre dans le bâtiment, le diagnostic de performance énergétique (DPE) renseigne sur la performance énergétique en évaluant sa consommation d'énergie et son impact en termes d'émission de gaz à effet de serre. Le contenu et les modalités d'établissement du DPE sont réglementés en France depuis plus de 10 ans. Les DPE ont ainsi produit des données, des rapports, des guides, des logiciels... utilisés pour élaborer les stratégies de réhabilitation énergétique du parc immobilier. Mais aujourd’hui les retours d’expériences interrogent la qualité de ces DPE. En effet, alors que ces diagnostics influencent le marché de l’immobilier, différentes enquêtes ont montré qu’ils manquaient de fiabilité... Dans ces conditions, il semble difficile d’assurer la qualité des prises de décision pour une transition énergétique efficace dans le secteur du bâtiment. Il apparaît que l’évaluation de la performance énergétique des bâtiments relève d’une problématique complexe qui fait appel à un ensemble de connaissances dans des domaines variés. Définir la performance énergétique d’un bâtiment renvoie à toutes les difficultés de compréhension posées par l'appréhension d'une réalité complexe. Cet article présente comment la vision systémique permet d’appréhender la problématique complexe de l’évaluation de la performance énergétique des bâtiments. Avec plusieurs exemples, il montre comment la modélisation des systèmes, l’identification des facteurs complexes et leurs influences vont permettre de caractériser les différentes sources d'erreurs. Enfin, l’article propose des actions visant à réduire ces sources d’erreurs et à améliorer l’intégration des exigences du développement durable dans le secteur du bâtiment.
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3

Campana, Mireille, and Richard Lavergne. "Le bâtiment dans la transition énergétique." Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 90, no. 2 (2018): 3. http://dx.doi.org/10.3917/re1.090.0003.

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4

Poumarède, Matthieu. "Performance énergétique du bâtiment : l’introuvable responsabilité ?" Droit et Ville N° 73, no. 1 (September 1, 2012): 103–18. http://dx.doi.org/10.3917/dv.073.0103.

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5

Charlier, Dorothée. "Efficacité énergétique dans le bâtiment et paradoxe énergétique : quelles conséquences pour la transition énergétique ?" Revue d'économie industrielle, no. 148 (December 30, 2014): 229–62. http://dx.doi.org/10.4000/rei.5985.

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6

Thibault, Henri-Luc, and El Habib El Andaloussi. "L’efficacité énergétique dans le bâtiment en Méditerranée." Futuribles, no. 376 (June 27, 2011): 47–59. http://dx.doi.org/10.1051/futur/37647.

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7

Sawadogo, Daouda, Ousmane Coulibaly, and Tizane Daho. "Modélisation et simulation d’un bâtiment classique vers un bâtiment à énergie positive (BEPOS)." Journal de Physique de la SOAPHYS 2, no. 2 (May 12, 2021): C20A26–1—C20A26–7. http://dx.doi.org/10.46411/jpsoaphys.2020.02.26.

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Abstract:
Cette étude porte principalement sur la modélisation et la simulation d’un bâtiment à usage d’habitation et orienté vers le Bâtiment à Energie POSitive (BEPOS). C’est un bâtiment de niveau R+1 et notre étude a portée au niveau de Rez-De-Chaussée. Le Logiciel KoZiBu nous a permis d’entreprendre une simulation du bâtiment en situation de référence et optimisé. Les conclusions de ces travaux, ont montré pour les charges de climatisation que le bâtiment en situation optimisé présente une économie d’énergie de 20,16% par rapport au bâtiment en situation de référence. De plus la production d’énergie à l’aide des panneaux photovoltaïques sous PV SYST est comparée avec les consommations d’énergie électrique du bâtiment pour analyser son autonomie énergétique. Une étude comparée au niveau de la variation de température à l’intérieur du bâtiment étudié en situation de référence et optimisé a été réalisée. Enfin, une étude économique et écologique du projet d’isolation du bâtiment nous a permis de savoir que son temps de retour est de 7 ans 5 mois et permet d’éviter l’émission de 256,5 tonnes eq de CO2 en 50 ans.
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8

Cantin, Richard. "Confinement et déconfinement énergétique des secteurs du bâtiment et des transports." Acta Europeana Systemica 10 (February 4, 2021): 181–90. http://dx.doi.org/10.14428/aes.v10i0.60473.

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Abstract:
En imposant le confinement des populations, la pandémie du Covid-19 a brutalement freiné de nombreuses activités économiques. Rapidement, les impacts sociaux, environnementaux et climatiques se sont fait sentir sur tous les continents. La prise de conscience des conséquences de cette pandémie et du confinement interroge les façons de consommer, de travailler, de se déplacer et d'habiter, les modes de vie présents et futurs. Ainsi, dans l'incertitude, se posent une énième fois les questions relatives aux stratégies de croissance ou de décroissance pour le xxie siècle et notamment celles relatives à la mise en œuvre d'une transition énergétique. En effet, dans de nombreux pays, le secteur du bâtiment, très consommateur d'énergie, peine toujours à engager effectivement sa transition énergétique et avance à petits pas. Quant au secteur des transports, important émetteur de gaz à effet de serre, durement éprouvé par le confinement, il semble finalement contraint de s'y engager mais à marche forcée. Dans ce contexte, penser le monde après la pandémie invite à s'interroger sur les difficultés qu'ont ces deux secteurs économiques majeurs à faire leur transition énergétique. L'article a pour objectif de mettre en évidence des réflexions prospectives permettant de repenser les problématiques énergétiques des secteurs du bâtiment et des transports. Pour cela, l'approche systémique est mise en œuvre afin d'appréhender la complexité du confinement des consciences dans des modèles à penser les questions énergétiques. Des exemples montrent les limites de ces modèles. Ils illustrent le confinement dans le modèle thermo-industriel, dans des biais cognitifs et la prégnance des macro-systèmes techniques du passé. Enfin, des pistes d'un déconfinement énergétique sont proposées afin d'évaluer les conditions épistémologiques d'une transition énergétique complexe.
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9

Sarafinof, Dimitri, Arnaud Mistre, Guillaume Picinbono, Bruno Vallet, and Laurent Heydel. "La démarche GéoBIM : de la gestion du territoire à celle d’un bâtiment." Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 94, no. 2 (2019): 42. http://dx.doi.org/10.3917/re1.094.0042.

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10

Wörsdörfer, Mechthild. "L’efficacité énergétique dans le secteur du bâtiment : la vision et l’ambition de la Commission européenne." Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 90, no. 2 (2018): 41. http://dx.doi.org/10.3917/re1.090.0041.

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11

Crépon, Étienne, and Hervé Charrue. "Le bâtiment, entre idéal et réalité : les facteurs clés du succès de la transition énergétique." Annales des Mines - Responsabilité et environnement N° 90, no. 2 (2018): 95. http://dx.doi.org/10.3917/re1.090.0095.

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Bilavarn, Sébastien, Cécile Belleudy, Michel Auguin, Thibault Dupont, and Anne-Marie Fouilliart. "Implantation d'un décodeur H.264 sur plateforme multiprocesseur avec gestion énergétique." Techniques et sciences informatiques 29, no. 2 (February 28, 2010): 201–24. http://dx.doi.org/10.3166/tsi.29.201-224.

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Rouayroux, Nadine. "Bâtiment neuf et gestion de sinistre : l’expérience des Archives départementales de la Réunion." La Gazette des archives 209, no. 1 (2008): 33. http://dx.doi.org/10.3406/gazar.2008.4456.

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BERDAL, Valentin TRILLAT. "Intégration énergétique dans le bâtiment par utilisation combinée de l'énergie solaire et de la géothermie basse température." Revue Européenne de Génie Civil 10, no. 8 (September 2006): 1020. http://dx.doi.org/10.1080/17747120.2006.9692900.

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Roult, Didier. "Hydro Energy & Sustainability – Synthèse de la conférence internationale organisée par la SHF, les 29 et 30 janvier 2019 à Grenoble." La Houille Blanche, no. 2 (April 2019): 117–21. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2019021.

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Abstract:
L'hydroélectricité reste la plus importante des énergies renouvelables. Ses apports au système énergétique sont indéniables. Offrant à la fois la possibilité de stockage à différentes échelles de temps (de l'heure à l'année), une grande flexibilité et permettant de répondre aux besoins de services systèmes, l'hydroélectricité joue un rôle essentiel dans la transition énergétique. L'hydroélectricité participe largement au développement économique des territoires. L'usage multiple de l'eau (eau potable, irrigation, soutien d'étiage, navigation) est devenu la règle. Au-delà de la production énergétique, elle est au centre des enjeux liés à la gestion des ressources en eau et au développement des territoires. Mais, dans un contexte énergétique en pleine mutation, l'hydroélectricité doit s'adapter. La question environnementale reste une priorité, avec notamment de nombreuses solutions à apporter sur la continuité piscicole, reposant sur des actions de recherche et d'innovation importantes. De nouvelles technologies sont testées, telles que le couplage énergie photovoltaïque/ STEP, l'installation d'hydroliennes fluviales, et un nouveau regard est porté sur l'énergie des marées. Ce document présente une synthèse de la conférence internationale HydroES 2019 ≪ Quel avenir voulons-nous pour l'hydroélectricité en France et en Europe ? », organisée par la SHF et accueillie par INP ENSE3 à Grenoble, les 29 et 30 janvier 2019.
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Bernard, Odile. "L’appropriation du système de contrôle de gestion par le propriétaire-dirigeant de petite entreprise : trois étapes en lien avec le concepteur." Revue internationale P.M.E. 32, no. 1 (April 26, 2019): 101–25. http://dx.doi.org/10.7202/1059182ar.

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Abstract:
La création d’un système de contrôle de gestion par un concepteur nécessite ultérieurement une appropriation de la part de l’utilisateur. La grille d’analyse, construite à l’issue de la revue de la littérature, permet de repérer l’étape atteinte dans le processus d’appropriation composé de trois phases séquentielles. Une approche qualitative, par entretiens sur site, est réalisée dans quinze petites entreprises du second oeuvre du bâtiment. Le propriétaire-dirigeant est face à l’option de concevoir son système de contrôle de gestion, d’en externaliser la conception auprès de l’expert-comptable, ou de déléguer, en l’occurrence auprès du métreur. L’étude sur le terrain met en avant l’échec récurrent de cette appropriation lorsque le propriétaire-dirigeant n’est pas lui-même le concepteur, échec suivi de l’abandon du contrôle de gestion. Sont en cause, d’une part, la faiblesse de la communication avec l’expert-comptable en termes de formalisation de la vision pour l’avenir de l’entreprise, d’autre part, l’absence de prise en considération par le métreur de la polyvalence de la gestion. Les préconisations portent sur la faculté du propriétaire-dirigeant à transformer ses schèmes de réflexion ; en effet, la divergence entre le travail du concepteur et l’attente de l’utilisateur crée un déséquilibre potentiellement bénéfique à une évolution.
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Richomme, Katia. "De la cotraitance au management relationnel: le cas d’une coopérative artisanale du secteur du bâtiment." Notes de recherche 14, no. 2 (February 16, 2012): 109–31. http://dx.doi.org/10.7202/1008694ar.

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Abstract:
Les recherches dans le domaine des coopérations interfirmes se sont essentiellement intéressées aux grandes entreprises, parfois aux PME, mais beaucoup plus rarement aux très petites entreprises artisanales. Nous visons à apporter une contribution au management relationnel à travers une étude qualitative portant sur une coopération formalisée et réussie. L’intérêt de cette coopérative artisanale est de démontrer qu’une stratégie de cotraitance imposée par le marché peut conduire à une véritable alliance, basée sur la gestion de leurs relations spécifiques, coordonnée par la confiance et l’acceptation d’une constante évolution.
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Siess, Damien. "L’électricité, l’énergie de demain." Revue Générale Nucléaire, no. 2 (March 2018): 10–12. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20182010.

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Abstract:
L’électricité est un vecteur énergétique particulièrement versatile. Il existe de multiples technologies pour la produire et de nombreux usages auxquels elle peut répondre. Il y a ce que l’on appelle les usages spécifiques de l’électricité, c’est-à-dire pour lesquels l’électricité est la seule énergie possible, comme par exemple l’éclairage, l’électroménager, l’électronique et plus généralement toutes les technologies du numérique. Les usages thermiques, où l’électricité produit de la chaleur ou du froid, comme la cuisson, le chauffage des bâtiments ou leur climatisation. Et enfin d’autres usages, comme par exemple pour générer de la force mécanique à l’aide de moteurs, qu’ils soient à vocation industrielle ou intégrés dans des moyens de transport de tous types. En théorie, à peu près tous les usages sont « électrifiables », aussi bien dans le bâtiment que dans les transports ou l’industrie. Mais quelles sont les perspectives pour demain et les facteurs d’adoption ?
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PETRUCCI, G., J. JUDEAUX, M. KOURIAT, D. AMATE, P. PEIGNEN, C. PICQUENOT, A. LEBLANC, F. CHAUMEAU, and B. BREUIL. "Cartographier le potentiel de récupération de chaleur des eaux usées : l’exemple de la Seine-Saint-Denis." Techniques Sciences Méthodes, no. 1-2 (February 20, 2020): 63–70. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/201901063.

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Abstract:
Collectées puis transportées jusqu'aux stations d’épuration en vue de leur traitement, les eaux usées transitant dans les collecteurs d’assainissement constituent un gisement intéressant pour produire une énergie bas carbone par le biais de la récupération de chaleur. Avant même de pouvoir associer les points du réseau les plus pertinents de délivrance de cette chaleur récupérable et les utilisateurs potentiels telles piscines et bâtiments, encore faut-il être en mesure d’identifier les tronçons les plus favorables quant à ce gisement. Pour le département de Seine-Saint-Denis, impliqué sur les questions énergétiques et environnementales, il a fallu établir une méthode pour cartographier le potentiel de ses 550 km de réseaux d’eau usée et unitaires. Plusieurs critères permettant la sélection des tronçons potentiellement prometteurs ont ainsi été étudiés, et notamment les débits de temps sec, minimum et moyen. Ces données sont dispersées, soit dans de nombreux documents issus de campagnes de mesures temporaires effectuées lors de schémas directeurs d’assainissement ou d’études de caractérisation des écoulements de temps sec, soit calculées à partir des bases de données des mesures produites en continu dans le cadre de la gestion des réseaux. Dans les deux cas les informations disponibles sont très localisées et ne rendent compte de l’écoulement que sur un périmètre relativement restreint, sans fournir directement des renseignements à une échelle plus vaste. L’étude a donc consisté à exploiter toutes ces données (environ 300 points de mesure) pour fournir une estimation du potentiel de récupération de chaleur la plus étendue possible. Le résultat de ce travail est restitué sous la forme d’un outil cartographique permettant au département de répondre rapidement aux demandes des aménageurs avec des informations diverses, tant sur les débits et le potentiel estimé de chaleur récupérable que sur la fiabilité des données disponibles.
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Zhang, He, Christophe Saudemont, and Benoît Robyns. "Gestion énergétique d'un réseau local DC à récupération d'énergie au sein d'un avion plus électrique." Revue internationale de génie électrique 12, no. 5-6 (October 27, 2009): 763–84. http://dx.doi.org/10.3166/ejee.12.763-784.

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Brochier, Christophe. "La gestion sociale de la main-d'oeuvre dans une grande entreprise du bâtiment à Rio de Janeiro." Journal des anthropologues 66, no. 1 (1996): 191–202. http://dx.doi.org/10.3406/jda.1996.1998.

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Lizarralde, Gonzalo, and Manel Djemel. "La gouvernance des projets d’architecture : une typologie de la multi-organisation temporaire." Les ateliers de l'éthique 5, no. 2 (April 5, 2018): 76–89. http://dx.doi.org/10.7202/1044318ar.

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Abstract:
Les débats éthiques sur l’architecture ont traditionnellement abordé trois thématiques récurrentes : la beauté, la solidité et l’utilité de l’oeuvre architecturale. Plus récemment, les nouvelles connaissances provenant du domaine de la gestion des projets et du développement durable ont apporté d’importantes contributions à la compréhension de la gouvernance de projets. Cependant, la démarche de réalisation des projets d’architecture est tributaire des caractéristiques propres à l’industrie du bâtiment; une industrie qui fonctionne grâce à la mise en place d’équipes temporaires formées par des organisations hautement spécialisées. L’analyse systémique d’études de cas permet d’identifier la complexité des équipes qui interviennent dans les projets d’architecture. Nous examinons dans cet article trois caractéristiques de l’industrie du bâtiment : (i) la complexité organisationnelle du donneur d’ouvrage, (ii) l’influence des parties prenantes, et (iii) les divers niveaux de proximité entre l’architecte et les usagers. L’identification des diverses configurations organisationnelles met en évidence les effets de ces caractéristiques sur les relations formelles et informelles entre l’architecte et les donneurs d’ouvrage ainsi que celles entre toutes les parties prenantes. L’architecte est contraint de travailler sur un projet qui devient, de plus en plus, l’objet de négociation entre les diverses parties prenantes. Face à ce défi, il doit tenir compte de la complexité des relations entre tous les acteurs au sein du système social du projet et créer les scénarios adéquats à la participation, à la négociation et aux échanges entre eux.
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Rocher, Laurence. "Les contradictions de la gestion intégrée des déchets urbains : l'incinération entre valorisation énergétique et refus social." Flux 74, no. 4 (2008): 22. http://dx.doi.org/10.3917/flux.074.0022.

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Locment, Fabrice, Manuela Szchilariu, Christohe Forgez, and Guy Friedrich. "Représentation énergétique macroscopique et structure maximale de commande d'un réseau semi-isolé. Application à une installation photovoltaïque alimentant un bâtiment basse consommation." Revue internationale de génie électrique 12, no. 5-6 (October 27, 2009): 609–37. http://dx.doi.org/10.3166/ejee.12.609-637.

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Boton, Conrad, and Daniel Forgues. "Comprendre l’impact du numérique sur la gestion de projet en construction." Lien social et Politiques, no. 81 (February 19, 2019): 41–60. http://dx.doi.org/10.7202/1056303ar.

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Abstract:
L’industrie de la construction à travers le monde fait actuellement face à des changements considérables sous l’effet des technologies numériques. Au nombre des approches technologiques, l’approche BIM (Building Information Modeling) de modélisation des données du bâtiment a reçu une attention considérable ces dernières années, aussi bien de la part des chercheurs que des professionnels de l’industrie, et son succès grandissant semble avoir ouvert la voie à de grands changements de paradigme dans l’industrie. Face à ces changements, les compétences traditionnelles des professionnels ou des gestionnaires de projet ne semblent plus suffisantes pour gérer la nouvelle perspective informationnelle de gestion des projets de construction. De nouvelles compétences deviennent nécessaires, incarnées par de nouveaux rôles (gestionnaires BIM, coordonnateurs BIM, modeleurs BIM, gestionnaires de l’information, etc.) qui prennent de plus en plus d’importance dans les projets. Certains travaux ont étudié ces nouveaux rôles sur un plan théorique sans toutefois aborder la question de leur positionnement par rapport aux rôles traditionnels en gestion de projet ni comment les gestionnaires de projet et les spécialistes BIM se positionnent par rapport aux processus génériques proposés dans les guides d’implémentation BIM. Cette étude de cas montre que les rôles des spécialistes BIM ne sont pas les mêmes d’une discipline à l’autre et que ces rôles ne sont pas seulement des rôles techniques. En outre, le sous-processus d’information semble se cristalliser autour des gestionnaires BIM, ce qui tend à créer deux sources de leadership dans un projet : les gestionnaires BIM et les gestionnaires de projet. L’étude révèle également que les praticiens trouvent que les processus de collaboration BIM proposés dans le plan de mise en oeuvre BIM et dans les documents de projet sont trop génériques et qu’il existe généralement un écart entre ces processus et ceux réellement utilisés dans le projet.
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AGABRIEL, J. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 20, no. 2 (June 7, 2007): 107–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.2.3442.

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Abstract:
L’alimentation des ruminants : un problème d’actualitéDans la conduite et la réussite d’un système de production de Ruminants, l’alimentation du troupeau reste un domaine très important qui continue de poser de nombreuses questions à la fois pratiques et théoriques. Pour l’éleveur, les postes récolte des fourrages et des céréales, achats d’aliments et entretien des surfaces fourragères représentent plus de 50 % des charges opérationnelles de son exploitation. Nourrir quotidiennement son troupeau lui impose de faire des choix de types de rations et en amont des choix stratégiques de long terme, sur la conduite de son système fourrager en considérant ses contraintes de milieu naturel, de bâtiments ou de stockage. La gestion de l’alimentation est directement liée à tous les autres choix stratégiques de l’activité d’élevage, le niveau de croissance des jeunes animaux, la reproduction, l’allotement la quantité et la qualité de la production. Pour le chercheur en nutrition animale, les enjeux sont devenus multiples et son positionnement a évolué : la recherche de la production maximale soutenue par l’alimentation a fait place à la volonté d’atteindre un optimum à la fois biologique, technique et économique selon les milieux dans lequel l’élevage est conduit. Il doit faire en sorte que la ration calculée par ses modèles satisfasse les besoins de l’animal selon les objectifs de production de l’éleveur, mais qu’elle participe également au bon état sanitaire et de bien-être du troupeau, qu’elle garantisse la qualité des produits et minimise l’impact défavorable des rejets sur l’environnement. La recherche en nutrition et alimentation des ruminants porte à la fois sur les fourrages, la physiologie digestive et métabolique de l’animal et son comportement alimentaire. En tenant compte de la complexité des mécanismes biologiques, les modèles nutritionnels doivent pouvoir simuler avec le maximum de précisions les flux de matières à travers le tube digestif et les organes sur des pas de temps variables, à la fois de court et de long terme. Cela reste un sujet perpétuellement en évolution qui exige aussi de synthétiser les connaissances sous forme d’outils d’aide à la décision et qui soit capable de présenter la qualité de ces outils et leurs limites d’usage. Une recherche qui se développe avec l’INRALes recherches pour aider à déterminer les choix d’alimentation des animaux en condition de production se sont concrétisées au cours du 20ème siècle. Les systèmes d’alimentation en énergie, azote et minéraux ont été développés en France après 1945. A l’INRA, le département Elevage des Ruminants sous l’impulsion de R. Jarrige avait initié une révision majeure des principes et des unités pratiques de terrain en 1978 en proposant un système énergétique construit sur la base de deux unités fourragères, lait et viande (UFL, UFV), un système des Protéines Digestibles dans l’Intestin (PDI) et des Tables complètes à la fois des besoins des animaux et de la valeur alimentaire des aliments. C’est notamment dans le domaine de la valeur nutritionnelle des fourrages que ces travaux étaient particulièrement riches. Ces «systèmes INRA» avaient alors été complétés par la première ébauche d’un modèle complètement nouveau de prévision de l’ingestion (système des Unités d’Encombrements UE) qui sera fortement remanié et amélioré dix ans plus tard lors de la révision de 1988. Ce nouvel ensemble, prévision de l’ingestion, estimation des besoins nutritionnels, a également permis d’accroître l’offre d’outils pratiques de terrain. En complèment des Tables imprimées, un outil informatique d’accompagnement et de rationnement «INRAtion» a été proposé dès 1992. Celui-ci s’est ensuite enrichi de l’outil de calcul de la prévision de la valeur des aliments «Prevalim;» et tous deux sont devenus des réceptacles appliqués des nouveautés scientifiques concernant les systèmes INRA. Mais, près de vingt ans après le dernier «Livre Rouge de l’Alimentation des bovins, ovins et caprins», une mise à niveau des ouvrages écrits s’imposait également et il est apparu nécessaire de proposer une actualisation des connaissances des principes du rationnement des ruminants. Les travaux des équipes de recherches ont permis de progresser aussi bien sur la caractérisation de la valeur des fourrages et des matières premières, que sur l’estimation des besoins des animaux et des apports nutritionnels recommandés dans des situations très diverses. Au delà des recommandations statiques, focalisées sur l’objectif de satisfaire les besoins, les lois de réponses dynamiques des pratiques alimentaires sont mieux connues et quantifiées. Elles permettent de mieux simuler les conséquences de la diversité des situations. L’objectif de l’ouvrage «Alimentation des bovins, ovins et caprins - Tables INRA 2007», sorti en février aux éditions Quæ, est ainsi de remettre sous la forme connue et largement adoptée par tous les acteurs des filières de l’élevage ruminant ces nouveaux résultats. Des documents complémentairesCependant le niveau scientifique choisi de l’ouvrage récemment paru et sa taille volontairement réduite pour en faire un ouvrage facilement accessible ont contraint les auteurs à aller à l’essentiel, les frustrant sans aucun doute d’une description et d’une discussion de fond de leurs résultats.En reprenant l’exemple de 1987 où le «livre rouge» publié par INRA Editions était complété par un numéro détaillé du Bulletin CRZVde Theix, nous avons donc décidé de publier un dossier dans la Revue INRA Productions Animales qui complète l’ouvrage de février. Ce dossier regroupe majoritairement des présentations et les explications des choix qui ont prévalu au développement des nouveaux modèles sous-tendus dans les recommandations. Il comporte 5 articles qui éclairent des points clés des innovations introduites en 2007, et qui correspondent soit à des nouveaux modèles mécanistes des fonctions de l’animal, soit à des méthodes de prévision de la valeur des fourrages, soit à des remises en cause plus profondes de l’ensemble apports, besoins comme c’est le cas pour la nutrition minérale.Toutefois, ce dossier n’est pas exhaustif des «nouveautés» du livre 2007. Certaines avaient été déjà publiées, soit dans des revues scientifiques, soit dans des sessions des «Rencontres Recherches Ruminants». Sans aucun doute d’autres viendront encore les compléter par la suite.Ainsi sont étudiés successivement des apports scientifiques sur la valeur des aliments et sur les besoins des animaux :1 - La dégradabilité des protéines dans le rumen (DT) et la digestibilité réelle des protéines alimentaires dans l’intestin grêle (dr). La valeur azotée des fourrages repose sur la bonne estimation de ces deux paramètres, qui sont la clé du calcul du système des protéines digestibles dans l’intestin PDI (article de M.-O. Nozières et al).2 - Les nouvelles valeurs minérales et vitaminiques des aliments. La possibilité de raisonner en éléments phosphore et calcium absorbables apporte de nouvelles précisions et modifie considérablement les quantités recommandées. L’article précise et actualise les Apports Journaliers Recommandés (AJR) d’éléments minéraux majeurs. Les autres minéraux, oligo-éléments et vitamines sont également revus de façon systématique et approfondie (article de F. Meschy et al).3 - De nouvelles équations statistiques de prévision de la digestibilité de la Matière Organique (dMO) des fourrages par la méthode pepsine-cellulase établies sur une banque de données couvrant une gamme plus importante de fourrages et de modes de conservation. La valeur énergétique des fourrages dépend en effet étroitement de la digestibilité de leur matière organique. Son estimation sur le terrain peut se faire à partir de méthodes de laboratoire comme la digestibilité pepsine-cellulase, utilisée en France depuis plus de vingt ans. Cette méthode est proposée pour sa bonne précision (article de J. Aufrère et al).4 - La composition du gain de poids chez des femelles adultes en période de finition qui permet de calculer ensuite directement le besoin en énergie et en protéines de l’animal. Ce modèle est suffisamment souple pour proposer un besoin face à un objectif de croissance donné, mais il propose aussi un niveau de croissance pour une ration d’un niveau énergétique donné. Ce nouveau modèle a été spécifiquement développé pour tenir compte de la très grande variabilité des situations pratiques rencontrées : la race, l’âge, le format, l’état d’engraissement initial et la vitesse du gain attendu (article de F. Garcia et J. Agabriel).5 - La capacité d’ingestion d’aliments par les vaches laitières au cours de leur lactation complète. Ce tout nouveau modèle s’adapte à tous types de vaches primipares, multipares et propose le nouveau concept de «lait potentiel» pour mieux décrire cette capacité d’ingestion. Ce concept est nécessaire pour répondre aux diverses stratégies des éleveurs dans la conduite de leurs animaux et qui ne souhaitent pas nécessairement les mener à leur maximum de production. Le modèle tient en effet compte de l’état initial de la vache au vêlage et des modifications d’état corporel qui accompagnent obligatoirement la conduite de la lactation (article de P. Faverdin et al).La Rédaction de la Revue a estimé judicieux de publier dans ce même numéro d’INRA Productions Animales, un travail très récent sur la teneur en matière grasse du lait de vache et sa prévision, qui pourra dans les années à venir se traduire concrètement dans les outils d’accompagnement de nos recommandations (article de Rulquin et al).A l’occasion de la publication de ce dossier, nous voulons plus particulièrement remercier tous les participants des Unités et Installations Expérimentales de l’INRA sans qui ces résultats ne seraient pas, ainsi que tout le personnel des Unités de Recherches qui ont participé dans les laboratoires ou derrière leurs écrans : l’Unité de Recherches sur les Herbivores (URH) de Clermont-Ferrand-Theix, l’Unité Mixte de Recherches sur la Production Laitière (UMR PL) de Rennes, l’Unité Mixte de Recherches Physiologie et Nutrition Animale (UMR PNA) de Paris, l’Unité Mixte de Recherches sur les Ruminants en Région Chaude (UMR ERRC) de Montpellier.
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Wernert, Carole. "Origines et histoire de la gestion énergétique locale à Metz : les stratégies économiques de l’Usine d’Electricité de Metz (UEM)." Flux 109-110, no. 3 (2017): 36. http://dx.doi.org/10.3917/flux1.109.0036.

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MARTEL, G., C. DEPOUDENT, C. ROGUET, S. GALLOT, and C. PINEAU. "Le travail des éleveurs avicoles et porcins : une grande diversité de stratégies, d’attentes, de durée et de productivité." INRAE Productions Animales 25, no. 2 (June 1, 2012): 113–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.2.3202.

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Abstract:
Les élevages de porcs et de volailles sont souvent perçus comme «industriels» de fait du mode d’élevage en bâtiment et des rythmes réguliers de production. Cette perception entraîne l’image d’une organisation et d’une durée du travail très réglées et homogènes entre les élevages. Or, les études menées dans ces filières montrent une grande diversité d’attentes, de stratégies, de durée et d’efficacité du travail, en lien avec les évolutions structurelles du secteur. Ces évolutions sont différentes entre les deux filières : en production porcine, on observe une augmentation de la taille des ateliers, un arrêt du naissage pour les petites structures, la création de naissages collectifs et plus de salariat ; en production avicole, la concentration est modérée, liée au fort développement des productions alternatives et à l’absence de spécialisation des exploitations avicoles. En production porcine ces évolutions sont nuancées par l’analyse des structures européennes. D’un point de vue économique, toutes les stratégies peuvent être efficaces, les unes en réduisant les charges, les autres en maximisant la production par travailleur. A l’échelle des exploitations, il existe dans les deux filières une forte variabilité des temps de travaux entre exploitations, résultant principalement du type de bâtiment et d’équipement choisi, de la mécanisation, du type d’élevage, du nombre de bandes choisies, mais aussi de la place que donne l’éleveur à son atelier. Pour l’organisation du travail intra- et inter-hebdomadaire en production porcine, les différences résultent des choix de conduite en bandes et des pratiques de reproduction. Enfin le contenu du travail est en évolution : développement de compétences managériales, réduction des tâches exigeantes (via l'automatisation) remplacées par des travaux de surveillance, de gestion de l’information et de suivi de traçabilité.Pour conclure nous illustrons l’effet du changement d’un élément du système d’élevage sur le contenu, la durée, l’organisation ou la pénibilité du travail.
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Pepin, Alexandra, and Pascal Imbeault. "Les édulcorants de la controverse." médecine/sciences 36, no. 5 (May 2020): 472–78. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020079.

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Abstract:
La littérature révèle un lien important entre la consommation de boissons sucrées et des effets néfastes sur la santé humaine, comme la prévalence de l’obésité et des maladies métaboliques. Différentes stratégies ont été adoptées par de nombreux pays afin d’inciter la population à réduire leur consommation de boissons sucrées. Les industries alimentaires ont, quant à elles, promu les substituts de sucre (ou édulcorants), les présentant comme une saine alternative qui permettrait de réduire l’apport calorique sans avoir à compromettre l’agréable goût sucré des aliments et des boissons. Toutefois, l’utilisation des substituts de sucre comme moyen de limiter ou de réduire l’apport énergétique est-elle sans conséquence pour la santé ? Cette revue vise à discuter des différents effets associés à la consommation d’édulcorants sur la santé et à élucider si leur utilisation devrait être recommandée par les professionnels de la santé à leurs patients dans le cadre de la gestion de leur poids.
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VEYSSET, P., P. WALLET, and E. PRUGNARD. "Le robot de traite : pour qui ? pourquoi ? Caractérisation des exploitations équipées, simulations économiques et éléments de réflexion avant investissement." INRAE Productions Animales 14, no. 1 (February 16, 2001): 51–61. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.1.3725.

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Abstract:
En France, une centaine d’élevages laitiers est équipée du robot de traite et, au dire des constructeurs, ce marché est amené à se développer. Cependant, nous ne disposons pas de références sur ces éleveurs et sur leurs motivations d’achat. Dans le but de les caractériser, près de la moitié de la population totale (44) a été enquêtée. Les exploitations enquêtées sont de taille (surface et troupeau) largement supérieure à la moyenne nationale. L’atelier lait y est souvent en concurrence avec d’autres productions, ce qui induit des contraintes de main-d’œuvre. La vétusté du matériel de traite rendait son remplacement quasi obligatoire ; le choix du robot par rapport à une salle de traite a été fait dans le but d’alléger le travail. Le robot offre essentiellement une plus grande souplesse horaire, mais il a également un impact sur la gestion du troupeau : hausse de la production par vache, abandon du pâturage. Des simulations économiques montrent que le surcoût annuel du robot par rapport à une salle de traite est principalement influencé par quatre paramètres : le coût de la main d’œuvre, la hausse de production par vache, la durée des amortissements et les options de la salle de traite. D’après ces simulations, le robot semble plus adapté économiquement aux exploitations de 50 à 60 vaches pour un quota de 400 000 à 500 000 litres de lait. Ces observations et analyses permettent de recenser exhaustivement les points actuellement les plus importants pour la réflexion des éleveurs souhaitant investir : travail, économie, filière, bâtiment, gestion du troupeau et de la surface fourragère et caractéristiques du robot. Ces réflexions doivent, bien sûr, s’enrichir dans l’avenir avec de nouvelles références.
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CHEVAUX, F. "Étude prospective pour une gestion territorialisée et optimisée des boues de l’assainissement collectif." Techniques Sciences Méthodes, no. 11 (November 20, 2020): 89–108. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202011089.

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Abstract:
La Métropole Rouen Normandie (MRN) dispose d’un parc de 23 stations de traitement des eaux usées (STEU) générant un total de 9075 tonnes de matières sèches (MS) par an. Les boues des quatre principales stations, à savoir « Émeraude » à Petit-Quevilly (72% du flux total produit), Saint-Aubin-lès-Elbeuf (15%), Grand-Quevilly (4,8%) et Grand-Couronne (1,5%), sont incinérées sur deux sites, le reste étant épandu. L’incinérateur de la STEU de Saint-Aubin-lès-Elbeuf fonctionne actuellement en souscharge alors que celui d’Émeraude est amené à recevoir davantage de boues depuis l’extension de la STEU fin 2018, ce qui engendre des problématiques de consommation énergétique. La mise en place de la digestion anaérobie permet de réviser la gestion des boues à l’échelle d’un territoire. À cet effet, l’approche multicritère menée par le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) a permis à la collectivité de disposer d’une aide à la décision pour ses futures orientations. L’étude a tout d’abord défini un état des lieux de la production de l’ensemble des boues des STEU du territoire de la MRN, puis présenté une analyse de la faisabilité de différentes filières de traitement des boues en lien avec les équipements en place sur le site d’Émeraude et, sur la base d’un retour d’expérience, proposé des recommandations et des points de vigilance pour les filières d’incinération et de méthanisation par rapport aux techniques existantes pour l’adaptation au contexte rouennais. Quatre scénarios avec suppression ou maintien des fours d’incinération et mise en place d’une digestion anaérobie sur Émeraude ont été élaborés, puis analysés suivant des critères techniques (flux à traiter, équipements nécessaires, emprise foncière), environnementaux (émission de gaz à effet de serre), économiques (investissement, fonctionnement, recettes envisageables) et réglementaires (procédures nécessaires). L’article présente la démarche et la méthodologie mises en oeuvre, le choix de la collectivité sur le scénario proposé n’étant à ce jour pas entériné officiellement.
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Hamani, Dalil Omar, and Jean-Michel Olive. "Un système d'information pour la gestion des données techniques du bâtiment. Un outil d'aide à la décision dans un contexte coopératif de production architecturale." Journal Européen des Systèmes Automatisés 41, no. 3-4 (June 10, 2007): 437–70. http://dx.doi.org/10.3166/jesa.41.437-470.

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Meurisse, Quentin, Isabelle De Smet, Hadrien Mélot, David Laplume, Thomas Brihaye, Cédric Rivière, Emeline Coszach, Jérémy Cenci, Sesil Koutra, and Vincent Becue. "Recherche locale et théorie des jeux appliqués à la création de typo-morphologies compactes." SHS Web of Conferences 82 (2020): 03004. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20208203004.

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Abstract:
En vue d'une densification urbaine durable, un outil ayant pour but d'évaluer et d'assister la conception d'îlots urbains compacts pourvus d'une densité de population cible a été créé et testé dans le cadre du projet CoMod. Le concept de compacité spatiale est appliqué ici, à l'échelle architecturale, sur le bâti, le non-bâti et les deux combinés. Cette approche encourage les typo-morphologies économes en terrain et en ressources matérielles tout en étant efficaces d'un point de vue énergétique. Afin d'éviter une potentielle exagération de ce concept divers critères notamment relatifs aux espaces verts, aux ombres ainsi que des distances et surfaces minimales sont considérés. Cependant, viser la compacité urbaine rencontre une conciliation difficile entre les divers critères quantitatifs et qualitatifs. De nombreux outils mathématiques ont déjà été appliqués à des problems urbanistiques (méthodes d'optimisation, aide à la décision, automates cellulaires, ensembles fractals, etc.). L'étude de typo-morphologies compactes avec l'aide de la théorie des jeux ou de la recherche locale peut aider à la gestion des problèmes provenant de critères conflictuels. Dans cet article nous présentons un prototype de programme qui génère des îlots urbains en utilisant la recherche locale et la théorie des jeux.
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Halain, Gilles, and Sylvain Kubicki. "Une approche par les modèles pour le suivi de l'activité coopérative de construction d'un bâtiment. Une interface multivue et des services métiers orientés gestion de chantier." Ingénierie des systèmes d'information 13, no. 4 (August 31, 2008): 35–58. http://dx.doi.org/10.3166/isi.13.4.35-58.

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Vantomme, Paul, and Sophia Gazza. "Le défi de la sylviculture en faveur des produits forestiers non ligneux sous les tropiques : de la cueillette à l'agriculture ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 304, no. 304 (June 1, 2010): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.304.a20447.

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Abstract:
Pour passer en revue la sylviculture destinée à favoriser les produits forestiers non ligneux (Pfnl), il faut avant tout bien comprendre et utiliser des définitions et des termes clairs afin d'éviter toute confusion pour les lecteurs et les utilisateurs quant aux " techniques sylvicoles " décrites, à savoir si elles font actuellement partie de la " foresterie " ou du " secteur agricole ". La production sylvicole des Pfnl entre à la fois dans le domaine de la " foresterie " et de l'" agriculture " du fait que la majorité des espèces de Pfnl sont actuellement prises dans un processus dynamique de domestication qui remplace progressivement les pratiques traditionnelles de récolte et de chasse en forêt, pour aller vers des cultures plus intensives d'exploitation agricole. Les interventions sylvicoles qui favorisent le développement des Pfnl au sein des forêts tropicales sont assujetties aux nouvelles perspectives des utilisateurs, qui peuvent aller de la satisfaction des besoins de subsistance jusqu'à la production de produits de base en vue d'une transformation industrielle et d'une commercialisation internationale. Cet article propose une approche descriptive de la complexité des différentes interventions sylvicoles, qui ont pour objectif de gérer les forêts pour produire non seulement des biens et services ligneux mais aussi des Pfnl. La planification des interventions sylvicoles en faveur des Pfnl, en vue de la gestion des forêts, est encore rarement pratiquée. Elle exige une approche intersectorielle pour intégrer les nombreuses demandes, souvent conflictuelles, des utilisateurs sur le plan tant alimentaire que des besoins en bois d'oeuvre, bois énergétique et Pfnl. En outre, s'agissant des activités récréatives et de loisirs, elle implique de multiples acteurs qui ne sont pas uniquement concernés par l'exploitation du bois. Les organisations internationales et non gouvernementales jouent un rôle essentiel pour sensibiliser et renforcer les capacités techniques et institutionnelles des pays et faire en sorte qu'ils intègrent la sylviculture des Pfnl dans la gestion durable des forêts. (Résumé d'auteur)
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HADIDI, M., B. BAHLAOUAN, S. ASSABA, F. Z. OZI, A. FATHI, S. EL ANTRI, and N. BOUTALEB. "Optimisation de la production du biogaz par les plans de mélanges de déchets agro-industriels et biofertilisation par les résidus de codigestion." Techniques Sciences Méthodes, no. 10 (October 20, 2020): 53–66. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202010053.

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Abstract:
L’objectif de cette étude est de proposer, par approche intégrée, une voie de gestion des déchets agro-industriels : halieutique, avicole, agrumicole. La valorisation énergétique du point de vue de la production de biogaz et aussi la valorisation du digestat qui en découle sont étudiées. Dix mixtures sont établies dans le cadre d’un plan simplexe-centroïde, leur digestion anaérobie dure environ 5000 min, suffisante pour atteindre la stabilité. L’évolution de plusieurs paramètres physico-chimiques tels que le pH, la conductivité, la matière sèche est déterminée. La conversion du carbone organique total (COT), le phosphore (P) et l’azote (NT) sont étudiés et modélisés par les surfaces d’isoréponses. Les contrôles microbiologiques pour vérifier l’hygiénisation des digestats sont menés. Le volume de biogaz produit pour les différents mélanges est mesuré en fonction du temps en utilisant la méthode du liquide déplacé. Finalement, le digestat est valorisé dans la fertilisation des sols agricoles, pour cela des tests de fertilisation sont ainsi conduits sur des cultures de poivrons (Capsicum annum). Les résultats montrent qu’il est possible de générer, après processus de digestion anaérobie optimale, un digestat, intéressant pour une application dans la fertilisation des sols agricoles, hygiénique par l’absence des micro-organismes d’altération, riche en azote, phosphore, potassium, caractérisé par un pH idéal pour la culture de poivrons.
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Kerr, Yann, Philippe Waldteufel, Jean-Pierre Wigneron, Jacqueline Boutin, Nicolas Reul, Ahmad Al Bitar, Delphine Leroux, Arnaud Mialon, Philippe Richaume, and Susanne Mecklenburg. "The Soil Moisture and Ocean Salinity (SMOS) Mission: first results and achievements." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 200 (April 19, 2014): 12–19. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2012.57.

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Abstract:
La mission SMOS (Soil moisture and Ocean Salinity) a été lancée avec succès le 2 novembre 2009. Cette mission menée par l'ESA (Agence Spatiale Europénne) est dédiée à la mesure de l'humidité superficielle des sols sur les continents (avec une précision recherchée de 0,04m3/m3) et la salinité des océans (objectif 0.1psu). Ces deux quantités géophysiques sont très importantes car elle contrôle le budget énergétique à l'interface sol-atmosphère. Leur connaissance à l'échelle globale est utile pour les recherches sur le climat et la météorologie, en particulier pour les modèles de prévision numérique. Elles ont aussi un très grand potentiel un très grand nombre d'application, comme par exemple pour le suivi des ouragans ou la gestion des ressources en eau. Les six premiers mois ont été dédiés à la recette en vol qui a permis de vérifier le satellite le segment sol et l'étalonnage. Cette phase s'est achevée avec succès en mai 2010 et SMOS fonctionne de façon opérationnelle depuis, fournissant de données à la communauté internationale. Les performances de l'instrument sont globalement conformes aux spécifications. Cependant, les interférences radio sont présentes au-dessus de l'Europe, du Moyen-Orient et de l'Asie. Cesémissions parasites dans la bande protégée perturbent la mesure de façon significative. La génération des produits de niveau 2 et 3 est une activité en cours avec des améliorations régulières de sorties.
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Cournil, Christel. "La gestion étatique des permis exclusifs de recherches du « gaz et huile de schiste » : sécurité énergétique et impacts environnementaux, à la recherche d’un subtil ou impossible équilibre ?" Revue Juridique de l'Environnement 37, no. 3 (2012): 425–39. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.2012.5678.

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ARCHIMÈDE, H., D. BASTIANELLI, M. BOVAL, G. TRAN, and D. SAUVANT. "Ressources tropicales : disponibilité et valeur alimentaire." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 23–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3235.

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Abstract:
La disponibilité et les facteurs de variation de la valeur alimentaire des ressources végétales tropicales et des sous-produits de l’agro-industrie sont présentés dans cette synthèse. Les ressources alimentaires utilisées sont très variées (herbes, arbres fourragers, céréales, tubercules, coproduits de culture, sous-produits de l’agro-industrie) à l’image de la grande diversité des systèmes de production plus ou moins intensifiés, avec un niveau d’intégration variable des cultures et de l’élevage. Les matières premières peuvent être identiques à celles utilisées dans les zones tempérées (soja, maïs), notamment dans les ateliers modernes. Elles peuvent aussi se singulariser par leur origine botanique (sorgho, tubercules, fourrages, arbres fourragers), leur composition (présence fréquente de métabolites secondaires) et les traitements technologiques (coproduits d’industries agroalimentaires artisanales) qu’elles ont pu subir. Il y a une grande variabilité de la valeur alimentaire intra et inter-ressources. Quelle que soit l’espèce animale considérée, des ressources aux valeurs énergétiques élevées similaires ou proches d’homologues tempérés sont disponibles. Les nombreuses ressources «protéiques» ont en revanche des valeurs qui ne « rivalisent » qu’exceptionnellement avec le soja. Des stratégies particulières d’utilisation de certaines ressources sont nécessaires du fait de la présence de métabolites secondaires aux activités antinutritionnelles. En intra-ressource, les variabilités induites par la gestion (âge du fourrage, mode d’alimentation…) et la technologie utilisée (élimination de facteurs antinutritionnels, mode d’extraction, usinage des grains de céréales) qui affectent aussi bien la valeur énergétique que protéique, sont souvent supérieures à celles résultant de la génétique. Des ressources de bonne valeur alimentaire sont donc disponibles en zone tropicale à condition d’y appliquer la bonne gestion et de choisir l’espèce animale adéquate pour leur valorisation. L’information accumulée sur la valeur alimentaire des ressources tropicales est abondante. L’accès aux données n’est pas toujours aisé du fait des stratégies de publication souvent ciblée sur l’échelle régionale. L’information peut être partielle (certains critères de la composition chimique). Les résultats peuvent être fortement liés au contexte dans lequel ces données ont été produites ce qui limite leur généralisation. Une étape importante pour l’avenir serait le regroupement de ces données avec la perspective de dégager des lois générales tel que permet de l’envisager le projet en cours de tables de valeur alimentaire (AFZ-INRA-CIRAD).
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Gourdine, Jean-Luc, Alain Lof, Jonathan Louis-Sidney, Willy Delyon, Ivan Semjen, Katia Benony, Mélain Bructer, Mélissa Cyril, Valérie Gauthier, and Gisèle Alexandre. "Characterizing practices and the sanitary status of farms of Creole and Creole-like pigs in Martinique." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (February 8, 2019): 33. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31346.

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Abstract:
L’étude a eu pour objectif de caractériser la gestion de 27 élevages de porcs dans le cadre d’un programme de conservation du porc Créole de la Martinique. Des échantillons sanguins ont été prélevés sur 67 porcs pour des analyses sérologiques. Une analyse multivariée a distingué six groupes d’élevage : le groupe 1 (n = 9) correspondait aux élevages familiaux comptant moins de trois verrats et présentant un âge de réforme des reproducteurs plus élevé que les autres élevages (6,2 vs 5,0 ans, p < 0,01) ; le groupe 2 (n = 5) était constitué de petits élevages avec deux saillies par truie par an et avec plus de deux espèces de bétail élevées ; le groupe 3 (n = 5) était composé d’élevages de plus de quatre verrats et de plus de quatre truies, avec une conduite en bande et une alimentation basée principalement sur du concentré industriel ; le groupe 4 (n = 4) correspondait à des élevages familiaux avec des porcs élevés en plein air et alimentés principalement avec des ressources locales (50 à 100 % de la ration) ; le groupe 5 (n = 3) était constitué d’agriculteurs en système polyculture-polyélevage avec plus de trois verrats et plus de dix truies ; et le groupe 6 se distinguait par un nombre important de femelles (n = 25) sans conduite en bande. L’analyse des données sérologiques a montré que la situation sanitaire de ces élevages porcins en Martinique était excellente, sans maladie contagieuse identifiée, en bâtiment comme en plein air ou semi-plein air. La typologie obtenue et les résultats sur le statut sanitaire des fermes sont des signes encourageants pour poursuivre le projet de conservation des porcs Créoles par des échanges de reproducteurs sains entre les éleveurs et par le développement d’un marché de niche autour des valeurs patrimoniales.
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DOLLÉ, J. B., L. DELABY, S. PLANTUREUX, S. MOREAU, B. AMIAUD, A. CHARPIOT, V. MANNEVILLE, A. CHANSEAUME, H. CHAMBAUT, and A. LE GALL. "Impact environnemental des systèmes bovins laitiers français." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 17, 2013): 207–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3149.

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Abstract:
La préservation de l’environnement est actuellement au coeur des débats dans l’évolution des systèmes de production laitière. Le défi des années futures réside dans la fourniture de produits laitiers tout en assurant les performances sociales, économiques et environnementales, c'est-à-dire la durabilité des systèmes de production. En matière d’environnement, une attention toute particulière doit être portée à la limitation des risques de pollution vers l'eau, vers l'air et à la préservation de la biodiversité. Les systèmes d'élevage herbivore français, largement basés sur la prairie, présentent pour cela un réel atout du fait du lien au sol et de la part importante de fourrages dans l’alimentation du troupeau. Peu liée aux caractéristiques structurelles, l’efficience environnementale passe notamment par l’optimisation du recyclage du carbone et de l’azote au sein des systèmes de production. Alors que la variabilité des impacts environnementaux entre exploitations de systèmes différents (plaine vs montagne) est faible, une forte variabilité est observée entre exploitations d’un même système. Ceci démontre que les pratiques efficientes sur le plan technique, relatives à la gestion optimale des effectifs animaux, à une sobriété énergétique, etc. ont des incidences environnementales et économiques favorables. C’est pourquoi, une partie significative des exploitations d'élevage d'herbivores françaises devrait pouvoir être considérée à hautes performances environnementales et économiques sans remise en cause lourde du système de production. Par ailleurs l’élevage laitier, qui intervient pour réduire les pertes vers l’air et vers l’eau, est garant du stockage de carbone et de la biodiversité. Au-delà de la production de lait et de viande, l’élevage laitier joue dès lors un rôle majeur dans la préservation de l’environnement.
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Behling, Maurel, Marie-Gabrielle Piketty, Thiago Fonseca Morello, Jean-Pierre Bouillet, Francisco Mesquita Neto, and Jean-Paul Laclau. "Plantations d'eucalyptus et sidérurgie en Amazonie : apports du modèle 3-PG." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20464.

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Abstract:
Le secteur sidérurgique de Carajás, en Amazonie Brésilienne, fait l'objet de contestations environnementales du fait de sa forte consommation en charbon de bois. Ce charbon est essentiellement produit à partir de biomasse de forêts naturelles, avec des impacts directs et indirects sur la déforestation et la dégradation de ces écosystèmes. Les plantations d'eucalyptus à vocation énergétique installées sur des pâturages dégradés constituent une alternative intéressante. Peu de ces plantations ont été mises en place jusqu'à présent et faute d'évaluations valables de leur potentiel de production, une étude a été menée pour présenter une estimation consolidée de la croissance et de la productivité des plantations d'eucalyptus du pôle de Carajás. Celles-ci ont été obtenues à partir du modèle 3-PG (Physiological Principles in Predicting Growth). Son paramétrage a été réalisé à partir de données de croissance du massif d'eucalyptus d'une entreprise de la municipalité de Breu Branco dans l'État du Pará au Brésil. La calibration locale du modèle s'est avérée beaucoup plus performante que l'utilisation de paramètres établis pour des plantations d'eucalyptus dans d'autres régions du Brésil, d'Afrique du sud ou d'Australie. Les simulations réalisées indiquent que l'accroissement moyen annuel actuel de l'ordre de 20 m³ à l'hectare, obtenu pour une période de six ans, pourrait augmenter jusqu'à 30 m³ avec des fertilisations adaptées et un contrôle efficace du sous bois. Elles suggèrent aussi que des productions supérieures seraient obtenues sans déficit hydrique. Cela montre la nécessité de sélectionner les zones de plantation où la saison sèche est la moins marquée autour du pôle de Carajás. La calibration du modèle 3-PG a permis d'améliorer cet outil de gestion des plantations industrielles dans les conditions amazoniennes. (Résumé d'auteur)
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LEGRAND, M., A. JOVENIAUX, A. ARBAROTTI, B. DE GOUVELLO, F. ESCULIER, and J. P. TABUCHI. "Séparation à la source et valorisation des excrétas humains du Grand Paris : des filières émergentes." Techniques Sciences Méthodes 9, no. 9 (September 20, 2021): 103–18. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202109103.

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Abstract:
Une approche holistique des questions environnementales met en lumière les limites atteintes par l’utilisation des égouts pour éloigner les excrétats humains des espaces habités. Les mégapoles, en particulier, sont aujourd’hui exposées à des enjeux aigus et encore méconnus. Dans un contexte de changements globaux majeurs auxquels l’assainissement doit faire face, une si grande concentration de population met le modèle classique de l’assainissement sous tension. À la saturation récurrente des systèmes d’assainissement centralisés, s’ajoute une empreinte élevée en matière de dépense énergétique, d’émissions de gaz à effet de serre et souvent de pollution des milieux aquatiques. Pourtant, ces excrétats, gérés séparément, pourraient être utilisés comme matières fertilisantes : leur utilisation agricole permet de sortir d’une logique de dépollution des excrétats et de créer un mutualisme entre territoires urbains et agricoles, ces derniers bénéficiant alors de matières fertilisantes pérennes, locales et non fossiles. À partir du cas de l’agglomération parisienne, nous proposons une analyse transversale des opportunités actuelles de mise en oeuvre de filières de séparation à la source en contexte de grande concentration urbaine. Plus spécifiquement, nous nous intéressons aux freins et leviers techniques, organisationnels, économiques, en vue de la production de fertilisants à partir des excrétats humains et en particulier des urines, dans de bonnes conditions sanitaires et agronomiques. Nous montrons l’accumulation d’éléments de démonstration quant aux limites du système d’assainissement actuel et la nécessité d’un changement de paradigme. Persiste, nonobstant, une difficulté à mettre en place des projets pilotes (freins politiques, socioculturels, économiques, réglementaires et techniques, exacerbés dans le contexte d’une mégapole). Toutefois, une dynamique récente s’observe, avec des projets qui émergent en marge de la fabrique urbaine. Un facteur clé de leur réussite tient à leur adaptation aux différentes configurations territoriales. Portés par des individus et collectifs aux trajectoires spécifiques, ceux-ci laissent entrevoir une capacité à inventer de nouveaux dispositifs sociotechniques de gestion des excrétats humains.
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GUY, G., and L. FORTUN-LAMOTHE. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 5 (December 19, 2013): 387–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3167.

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Abstract:
Ce numéro de la revue INRA Productions Animales contient un dossier consacré aux dernières avancées de la recherche sur le foie gras. En effet, la démocratisation de la consommation de ce produit haut de gamme a été permise notamment par les efforts de recherche et développement sur l’élevage des palmipèdes à foie gras et la maîtrise de la qualité du produit. Ce dossier est l’occasion de faire en préalable quelques rappels sur cette belle histoire ! Un peu d’histoire La pratique du gavage est une tradition très ancienne, originaire d’Egypte, dont les traces remontent à 2 500 avant JC. Elle avait pour objectif d’exploiter la capacité de certains oiseaux à constituer des réserves énergétiques importantes en un temps court pour disposer d’un aliment très riche. Si les basreliefs datant de l’ancien empire égyptien attestent de la pratique du gavage, il n’existe pas de preuves que les égyptiens consommaient le foie gras ou s’ils recherchaient la viande et la graisse. Ces preuves sont apparues pour la première fois dans l’empire romain. Les romains gavaient les animaux avec des figues et pour eux le foie constituait le morceau de choix. Le nom de jecur ficatum, signifiant « foie d’un animal gavé aux figues », est ainsi à l’origine du mot foie en français. La production de foie gras s’est développée dans le Sud-ouest et l’Est de la France aux XVIIe et XVIIIe siècles avec le développement de la culture du maïs. Le foie gras est aujourd’hui un met inscrit au patrimoine culturel et gastronomique français (article L. 654-27-1 du code rural défini par la Loi d’Orientation Agricole de 2006). Le contexte de la production de foie gras Avec près de 72% de la production mondiale en 2012, la France détient le quasi monopole de la production de foie gras. Les autres pays ayant des productions significatives sont la Hongrie et la Bulgarie en Europe Centrale, avec environ 10% pour chacun de ces pays, mais aussi l’Espagne avec 3% de la production. L’Amérique du nord et la Chine représentent les deux autres pôles de production les plus significatifs, mais avec moins de 2% du marché. La production française a connu un essor considérable, sans doute le plus important de toutes les productions agricoles, passant de 5 880 tonnes en 1990 à plus de 19 000 tonnes en 2012. A l’origine, le foie gras était principalement obtenu par gavage des oies, longtemps considérées comme l’animal emblématique de cette production. Aujourd’hui, le canard mulard, hybride d’un mâle de Barbarie (Cairina Moschata) et d’une cane commune (Anas Platyrhynchos), est plus prisé (97% des palmipèdes gavés en France). En France, l’oie a vu de ce fait sa part relative pour la production de foie gras diminuer, et c’est la Hongrie qui contrôle 65% de la production mondiale de foie gras d’oie. Toutefois, cette espèce ne représente que 10% de la production mondiale. La France est également le principal pays consommateur de foie gras avec 71% du total, l’Espagne se classant au second rang avec environ 10%. Compte tenu de son image de produit de luxe et d’exception, le foie gras est consommé un peu partout dans le monde lors des repas de haute gastronomie. Les grandes avancées de connaissance et l’évolution des pratiques d’élevage L’amélioration des connaissances sur la biologie et l’élevage des palmipèdes à foie gras a permis de rationnaliser les pratiques d’élevage et d’améliorer la qualité du produit. Plusieurs laboratoires de recherche et structures expérimentales, ayant leurs installations propres et/ou intervenant sur le terrain, ont contribué à l’acquisition de ces connaissances : l’INRA avec l’Unité Expérimentale des Palmipèdes à Foie Gras, l’UMR Tandem, le Laboratoire de Génétique Cellulaire, la Station d’Amélioration Génétique des Animaux et l’UR Avicoles, l’Institut Technique de l’AVIculture, la Ferme de l’Oie, le Centre d’Etudes des Palmipèdes du Sud Ouest, le LEGTA de Périgueux, l’ENSA Toulouse, l’ENITA Bordeaux et l’AGPM/ADAESO qui a mis fin en 2004 à ses activités sur les palmipèdes à foie gras. Aujourd’hui ces structures fédèrent leurs activités dans un but de rationalité et d’efficacité. Les avancées des connaissances et leur transfert dans la pratique, associés à une forte demande du marché, sont à l’origine de l’explosion des volumes de foie gras produits. Ainsi, la maîtrise de la reproduction couplée au développement de l’insémination artificielle de la cane commune et à la sélection génétique (Rouvier 1992, Sellier et al 1995) ont permis la production à grande échelle du canard mulard adapté à la production de foie gras. En effet, ses géniteurs, le mâle de Barbarie et la femelle Pékin, ont fait l’objet de sélections spécifiques basées sur l’aptitude au gavage et la production de foie gras de leurs descendants. La connaissance des besoins nutritionnels des animaux et le développement de stratégies d’alimentation préparant les animaux à la phase de gavage ont également été des critères déterminants pour la rationalisation d’un système d’élevage (Robin et al 2004, Bernadet 2008, Arroyo et al 2012). La filière s’est par ailleurs structurée en une interprofession (le Comité Interprofessionnel du Foie Gras - CIFOG) qui soutient financièrement des travaux de recherches et conduit des actions (organisation de salons du foie gras par exemple) visant à rendre accessibles toutes les avancées de la filière. Ainsi, l’amélioration du matériel d’élevage (gaveuse hydraulique et logement de gavage) a engendré des gains de productivité considérables (Guy et al 1994). Par exemple, en 20 ans, la taille d’une bande de gavage est passée de deux cents à mille individus. Enfin, la construction de salles de gavage, dont l’ambiance est parfaitement contrôlée autorise désormais la pratique du gavage en toute saison. Des études ont aussi permis de déterminer l’influence des conditions d’abattage et de réfrigération sur la qualité des foies gras (Rousselot-Pailley et al 1994). L’ensemble de ces facteurs a contribué à ce que les possibilités de production soient en cohérence avec la demande liée à un engouement grandissant pour le foie gras. Les pratiques d’élevage actuelles Aujourd’hui, le cycle de production d’un palmipède destiné à la production de foie gras comporte deux phases successives : la phase d’élevage, la plus longue dans la vie de l’animal (11 à 12 semaines chez le canard ou 14 semaines chez l’oie) et la phase de gavage, d’une durée très courte (10 à 12 jours chez le canard ou 14 à 18 jours chez l’oie). La phase d’élevage se décompose elle même en trois étapes (Arroyo et al 2012). Pendant la phase de démarrage (de 1 à 4 semaines d’âge) les animaux sont généralement élevés en bâtiment clos chauffé et reçoivent à volonté une alimentation granulée. Pendant la phase de croissance (de 4 à 9 semaines d’âge), les animaux ont accès à un parcours extérieur. Ils sont nourris à volonté avec un aliment composé de céréales à 75% sous forme de granulés. La dernière phase d’élevage est consacrée à la préparation au gavage (d’une durée de 2 à 5 semaines) grâce à la mise en place d’une alimentation par repas (220 à 400 g/j). Son objectif est d’augmenter le volume du jabot et de démarrer le processus de stéatose hépatique. Pendant la phase de gavage les animaux reçoivent deux (pour le canard) à quatre (pour l’oie) repas par jour d’une pâtée composée à 98% de maïs et d’eau. Le maïs est présenté soit sous forme de farine (productions de type standard), soit sous forme d’un mélange de graines entières et de farine, soit encore sous forme de grains modérément cuits (productions traditionnelles ou labellisées). En France, on distingue deux types d’exploitations. Dans les exploitations dites en filière longue et de grande taille (au nombre de 3 000 en France), les éleveurs sont spécialisés dans une des phases de la production : éleveurs de palmipèdes dits « prêt-à-gaver », gaveurs ou éleveurs-gaveurs. Ce type de production standard est sous contrôle d’un groupe ou d’une coopérative qui se charge des opérations ultérieures (abattage, transformation, commercialisation ou diffusion dans des espaces de vente à grande échelle). Il existe également des exploitations en filière courte qui produisent les animaux, transforment les produits et les commercialisent directement à la ferme et qui sont généralement de plus petite taille. Ces exploitations « fermières » ne concernent qu’une petite part de la production (10 à 15%), mais jouent un rôle important pour l’image de production traditionnelle de luxe qu’elles véhiculent auprès des consommateurs. Pourquoi un dossier sur les palmipèdes à foie gras ? Au-delà des synthèses publiées précédemment dans INRA Productions Animales, il nous a semblé intéressant de rassembler et de présenter dans un même dossier les avancées récentes concernant la connaissance de l’animal (articles de Vignal et al sur le séquençage du génome du canard et de Baéza et al sur les mécanismes de la stéatose hépatique), du produit (articles de Théron et al sur le déterminisme de la fonte lipidique du foie gras à la cuisson et de Baéza et al sur la qualité de la viande et des carcasses), ainsi que les pistes de travail pour concevoir des systèmes d’élevage innovants plus durables (article de Arroyo et al). L’actualité et les enjeux pour demain La filière est soumise à de nombreux enjeux sociétaux qui demandent de poursuivre les efforts de recherche. En effet, pour conserver son leadership mondial elle doit rester compétitive et donc maîtriser ses coûts de production tout en répondant à des attentes sociétales et environnementales spécifiques telles que la préservation de la qualité des produits, le respect du bien-être animal ou la gestion économe des ressources. Ainsi, la production de foie gras est parfois décriée eu égard à une possible atteinte au bien-être des palmipèdes pendant l’acte de gavage. De nombreux travaux ont permis de relativiser l’impact du gavage sur des oiseaux qui présentent des prédispositions à ce type de production : la totale réversibilité de l’hypertrophie des cellules hépatiques (Babilé et al 1998) ; l’anatomie et la physiologie des animaux de même que l’absence de mise en évidence d’une élévation du taux de corticostérone (considéré comme marqueur d’un stress aigu) après l’acte de gavage (Guéméné et al 2007) et plus récemment la mise en évidence de l’aptitude à un engraissement spontané du foie (Guy et al 2013). Le conseil de l’Europe a toutefois émis des recommandations concernant le logement des animaux qui préconisent, la disparition des cages individuelles de contention des canards pendant le gavage au profit des cages collectives. Par ailleurs, il recommande la poursuite de nouvelles recherches pour développer des méthodes alternatives au gavage. Parallèlement, à l’instar des autres filières de productions animales, la filière foie gras doit aussi maîtriser ses impacts environnementaux (voir aussi l’article d’Arroyo et al). Les pistes de recherches concernent prioritairement la maîtrise de l’alimentation, la gestion des effluents et des parcours d’élevage. Il reste donc de grands défis à relever pour la filière foie gras afin de continuer à proposer un produitqui conjugue plaisir et durabilité.Bonne lecture à tous !
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BLANC, F., F. BOCQUIER, N. DEBUS, J. AGABRIEL, P. D’HOUR, and Y. CHILLIARD. "La pérennité et la durabilité des élevages de ruminants dépendent des capacités adaptatives des femelles." INRAE Productions Animales 17, no. 4 (October 5, 2004): 287–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.4.3604.

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Abstract:
Dans une représentation systémique du système d’élevage, l’éleveur incarne la composante décisionnelle du système, tandis que l’animal constitue, avec la ressource, sa composante biotechnique. L’animal lui-même peut être considéré comme un système biologique soumis à un environnement contraignant, dont les aptitudes à survivre, croître, se reproduire et s’adapter jouent un rôle fondamental dans la pérennité du système d’élevage. Les femelles reproductrices tiennent une place particulière dans cette représentation car non seulement elles déterminent une large part de la productivité du système par leur propre niveau de production (production laitière, productivité numérique), mais elles en assurent également sa reproductibilité au cours du temps (investissement reproductif). A l’échelle de l’individu et de sa durée de vie, les modalités d’adaptation reposent sur des processus de régulations comportementales et physiologiques. De tels processus ont été particulièrement mis en avant par les études portant sur l’aptitude des femelles de ruminants à s’adapter à la contrainte nutritionnelle (comportement alimentaire au pâturage et aptitude à constituer et mobiliser les réserves adipeuses). L’adaptation à la sous-nutrition revêt un intérêt particulier pour la pérennité des systèmes d’élevage en milieux difficiles dans la mesure où les processus de régulation du métabolisme énergétique interviennent sur la fonction de reproduction et sont par ailleurs susceptibles d’informer la femelle, à des moments-clés de son cycle de production, du risque associé à l’enclenchement d’une nouvelle gestation. Si les mécanismes digestifs, métaboliques et hormonaux impliqués dans l’adaptation à la sous-nutrition sont identiques chez les ruminants, les seuils de réponse varient selon le génotype (espèce, race), révélant ainsi des différences de potentiel adaptatif. Par ailleurs, si certains échecs biotechniques peuvent être imputés à une moindre efficacité de la réponse adaptative, d’autres peuvent en revanche se révéler cohérents du point de vue du fonctionnement biologique de l’organisme et de la gestion de priorités telles que la survie de l’individu ou l’investissement maternel. Ainsi, lorsqu’il s’agit d’évaluer l’aptitude des systèmes d’élevage des zones difficiles à être pérennes, par leur capacité à assurer un certain niveau de production, et/ou durables, par leur aptitude à répondre à des enjeux d’entretien du milieu et de conservation de la ressource, il convient en particulier d’avoir une bonne connaissance des potentiels adaptatifs des animaux.
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HENRY, Y. "Alimentation du porc pour la production de viande maigre : évolutions récentes et perspectives." INRAE Productions Animales 6, no. 1 (February 27, 1993): 31–45. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4185.

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Abstract:
La production porcine a bénéficié, au cours des dernières décennies, de progrès importants et continus réalisés par la sélection pour une croissance sans cesse plus forte de tissus maigres et un dépôt décroissant de gras, en réponse à la demande des consommateurs. Cet article examine les changements intervenus dans l’alimentation en considérant les évolutions récentes et les perspectives, compte tenu de l’évolution prévisible des performances de production et de l’apport des nouvelles technologies. L’importance du progrès génétique en faveur de la croissance des tissus maigres a conduit en premier lieu à envisager une modélisation de la prévision des besoins nutritionnels (énergie, protéines et acides aminés, minéraux), dont les variations se traduisent notamment par des exigences moins marquées en énergie que par le passé et par un accroissement important des besoins en acides aminés relativement à l’apport énergétique. Grâce à cette démarche de modélisation, il est désormais possible de définir de nouvelles stratégies d’alimentation adaptées pour la production de viande maigre (plan de rationnement alimentaire, choix du type d’aliment pour une phase de production déterminée), en fonction des conditions particulières de production et à l’aide de systèmes d’évaluation des aliments suffisamment discriminants (énergie nette, digestibilité iléale des acides aminés). En outre, l’augmentation de certains intrants alimentaires (azote, phosphore) pour une production accrue de viande maigre implique une gestion raisonnée de leurs apports, afin de prévenir des rejets excessifs dans l’environnement (eau, atmosphère). La tendance à une certaine dégradation de la qualité de la viande, notamment sous l’angle technologique et organoleptique, au fur et à mesure des progrès de la sélection sur la croissance musculaire, oblige à une prise en compte, par l’alimentation, des exigences de qualité des produits, qu’il s’agisse des dépôts gras ou des tissus maigres (importance du gras intramusculaire). Il en est de même avec le recours à de nouvelles technologies permettant, soit de préserver le potentiel de croissance musculaire (utilisation du porc mâle entier), soit de le stimuler (facteurs de croissance). En dernier lieu, après avoir considéré les effets de l’alimentation sur la conformation des carcasses, en relation avec l’amélioration du développement musculaire, les conséquences d’un amaigrissement excessif des truies sur les performances de reproduction sont évoquées en liaison avec la mobilisation et la reconstitution des réserves lipidiques corporelles. Ce problème d’équilibre entre les tissus musculaire et gras constitue un enjeu important pour l’évolution future de l’alimentation du porc maigre. Au plan de l’application, les nouvelles approches nutritionnelles, basées sur l’établissement de lois de réponse qui prennent en compte la diversité à la fois des types génétiques (depuis les plus gras jusqu’aux plus maigres) et des conditions d’élevage et de milieu devraient permettre, dans chaque cas, de définir les conditions optimales de production d’un type de porc particulier.
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Ballay, D., and J. F. Blais. "Le traitement des eaux usées." Revue des sciences de l'eau 11 (April 12, 2005): 77–86. http://dx.doi.org/10.7202/705331ar.

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Abstract:
L'article présente brièvement l'état de l'épuration des effluents des collectivités en France et au Québec. Il souligne ensuite quelques changements importants intervenus depuis dix ans dans le monde grâce aux progrès de la recherche et qui pourraient marquer l'avenir. En France, 95 % des agglomérations de plus de 10 000 équivalents-habitants disposent d'une station d'épuration. Le rythme de construction a atteint 730 installations nouvelles dans l'année 1976 mais il est redescendu à moins de 300/an. Sur les 11 310 stations de plus de 200 équivalents-habitants recensées, 5 % réalisent seulement un traitement primaire et la moitié en nombre, représentant plus de 60 % de la capacité de traitement utilisent le procédé des boues activées. Les investissements à réaliser entre 1994 et 2005 pour satisfaire aux exigences de la directive européenne du 21 mai 1991 sont évalués à environ 36 milliards de francs français, correspondant à la création de capacités de traitement supplémentaires de 17 millions d'équivalents-habitants et à des améliorations plus ou moins importantes d'un grand nombre de stations existantes. Au Québec, la construction des stations d'épuration s'est faite essentiellement dans les années 80 et 90. Aujourd'hui, près de 80 % de la population est desservie par des installations d'épuration, soit environ 4,9 millions d'habitants pour un débit hydraulique de 5,3 millions de m3/j. Parmi les 450 ouvrages municipaux ceux des Communautés Urbaines de Montréal et de Québec représentent, à eux seuls, près de 60 % de la capacité installée. Les stations physico-chimiques, bien que peu nombreuses, sont les plus importantes (6 stations pour 2,28 millions d'habitants) suivies par les boues activées (40 stations pour 0,69 million d'habitants) et la biofiltration (9 stations pour 0,75 million d'habitants). Environ 320 stations, de dimension plus modeste utilisent des étangs aérés, desservant en moyenne une population de 3 500 habitants. Sur le plan de l'évolution des techniques, la décennie écoulée a vu apparaître ou se confirmer des évolutions qui marqueront sans doute profondément la conception et l'exploitation des stations d'épuration dans les années à venir : - l'objectif maintenant presque généralisé d'éliminer les nutriments azote et phosphore et le développement rapide des techniques correspondantes; - la prise de conscience de l'importance des flux polluants véhiculés par les eaux pluviales et un début d'adaptation des stations d'épuration; - le développement limité mais réel des traitements anaérobies qui ont survécu à la démobilisation des surlendemains de la crise énergétique; - le fort développement des systèmes d'épuration biologique à culture fixée et notamment des biofiltres; - l'apparition prometteuse des membranes dans les systèmes d'épuration biologique permettant d'envisager de nouveaux objectifs de traitement; - la prise en compte de la fiabilité des systèmes d'épuration avec un poids de plus en plus important par rapport aux performances de pointe - une vision plus intégrée de la prévention des pollutions tant dans l'industrie (technologies propres) que dans les agglomérations (gestion intégrée de l'ensemble réseau-station d'épuration).
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DONNARS, C., P. CELLIER, and J. L. PEYRAUD. "Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages." INRAE Productions Animales 25, no. 4 (October 2, 2012): 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

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Abstract:
Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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Forest, Joëlle, and Ludovic Vievard. "Rationalités et gestion de contraintes dans l’innovation : l’exemple de la Plateforme du bâtiment." Technologie et innovation 4, no. 4 (2019). http://dx.doi.org/10.21494/iste.op.2019.0411.

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Gournet, Romain, and Christophe Beslay. "Les professionnels du bâtiment face aux enjeux de la performance énergétique : nouveaux savoirs et nouveaux métiers." SociologieS, May 26, 2015. http://dx.doi.org/10.4000/sociologies.5063.

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