Academic literature on the topic 'Grèce – Politique et gouvernement – 146 av. J.-C.-323'

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Dissertations / Theses on the topic "Grèce – Politique et gouvernement – 146 av. J.-C.-323"

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Broder, Philippe Alexandre. "La cité en marche : histoire des processions civiques en Grèce ancienne du VIe au Ier s. av. J.-C." Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010718.

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Bolduc, Marie. "Le Koinon des Étoliens et la cité de Chios au IIIe siècle a.C. : politique et relations internationales à l'époque hellénistique." Master's thesis, Université Laval, 2002. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28595.

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Finocchio, Erika. "Xénophon et Athènes." Thesis, Paris 10, 2009. http://www.theses.fr/2009PA100182.

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Abstract:
Cette étude a pour but d’analyser l’attitude de Xénophon vis-à-vis d’Athènes et de la démocratie. En retraçant les événements de l’histoire athénienne comme ils sont relatés dans les Helléniques et comme l’auteur les a vécus, le travail vise à démontrer : - que Xénophon ne condamne pas la démocratie comme une forme politique injuste, bien qu’il n’approuve pas ses choix politiques au cours du Ve siècle ; - que, grâce à la leçon tirée de l’expérience de l’échec subi au Ve siècle, Athènes est la seule cité capable, aux yeux de l’auteur, de résoudre le conflit entre Grecs et d’apporter la paix en Grèce au IVe siècle ; - que Xénophon essaie d’améliorer la démocratie sans apporter de réformes structurelles, mais à travers une réforme des mentalités politiques selon le modèle socratique
The following study aims to analyse Xenophon’s attitude to Athens and democracy. By recounting the events of Athenian history as they are related in Hellenica and as the author experienced them, the work aims to demonstrate: - that Xenophon does not condemn democracy as an unfair form of politics, even though he does not agree with the political decisions made by Athens during the 5th century B.C. - that, due to the lessons it learnt from its defeat in the 5th century B.C., Athens is the only city capable, in the eyes of the author, of resolving the conflict between Greeks and bringing peace to Greece in the 4th century B.C. - that Xenophon would like to improve democracy, not through structural reforms but through a reform of political thinking based on the Socratic model
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Oliveira, Gomes Claudia de. "La tyrannie grecque archaïque : histoire politique et intellectuelle." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040220.

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Abstract:
Ce travail analyse la place spécifique de la tyrannie dans l'histoire politique et intellectuelle de la Grèce archaïque. L'auteur cherche à mettre en place une histoire des idées politiques qui prenne en compte l'histoire évènementielle, économique, sociale, citoyenne, religieuse, architecturale. A cette lumière apparaît l'importance du moment tyrannique dans l'histoire idéologique grecque. Pour se donner des modèles d'intelligibilité, cette thèse fait appel à l'anthropologie politique. L'auteur comprend ainsi la tyrannie comme une première forme d'Etat, archaïque, qui se constitue au cours d'une véritable révolution politique. Le régime tyrannique introduit les premières formes de coercition, une nouvelle citoyenneté, étatique et abstraitement définie, une religion civique, un domaine public laïcisé et centralisé. L'évolution de la polis spartiate au VIe siècle et de l'Athènes classique est décrite comme le résultat de contradictions dynamiques entre les structures politiques étatiques introduites par la tyrannie et les représentations d'un pouvoir socialisé propre à la société grecque pré-étatique. L'analyse de la poésie archaïque montre que la rupture politique introduite par la tyrannie se répercute dans le domaine intellectuel. A travers les textes se lit l'apparition des concepts politiques et l'introduction d'une lecture causale des événements ; l'auteur examine avec précision les notions de régime politique, de groupes sociaux. Le rapport tissé entre le tyran et le dèmos introduit les conditions nécessaires à la naissance d'un domaine politique autonome. Enfin, cette thèse propose de voir la naissance de la philosophie ionienne comme une réponse à cette autonomisation. Les physiologoi philosophoi tentent ainsi de reconstruire la compréhension holiste du monde, brisée dans la crise intellectuelle, non sans entériner les profondes transformations conceptuelles acquises dans le bouleversement de la polis tyrannique
This work analyses the specific place of tyranny in ancient Greece's political and intellectual history. The author seeks to situate the history of political ideas while taking into account historical events alongside considerations of the economy, society - including notions of citizenship – as well as religion and architectural history. This is the background against which the importance of the moment in which tyranny in the history of Greek ideology can be seen. In order to attain its models of intelligibility, this thesis builds on notions taken from political anthropology. The author thus understands tyranny as an archaic form of the State that comes into existence as a veritable political revolution. The tyrannical regime institutes the first means of coercion: a new citizenry that depends on the state and is defined abstractly, a civic religion, a secular and centralized public domain. The evolution of the sixth century Spartan or classic Athenian polis is described as the result of dynamic contradictions between the political structures of the State instituted by tyrrany and the representations of a socially mediated power characteristic of pre-political societies that have not yet created a State. The analysis of archaic poetry shows that the political rupture introduced by tyranny sends ripples into intellectual culture. The texts reveal the appearance of political concepts and the beginning of a causal interpretation of events; the author examines very precisely notions related to the political regime and social groupings. The relationship interwoven between the tyrant and the demos highlights the conditions necessary for the birth of politics as an autonomous field. Finally, this thesis proposes looking at the birth of Ionian philosophy in a new light, as a response to the advent of the autonomy of the political. The physiologoi philosophoi thus attempt to rebuild a holistic understanding of the world that has been shattered by an intellectual crisis, but not without approving of the notional transformations acquired in the wake of the challenge to the tyrannical polis
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Fournier, Julien. "Entre tutelle romaine et autonomie civique : recherches sur l’administration judiciaire dans les provinces hellénisées de l’Empire romain (146 av. J.-C. – 212 apr. J.-C.)." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040165.

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Abstract:
Cette étude s’intéresse conjointement à l’essence de la domination romaine sur une région jouissant d’une longue tradition d’autonomie et au devenir de la cité grecque et de ses institutions dans le prolongement des siècles antérieurs. La première partie dresse une typologie des structures de l’administration judiciaire dans les provinces d’Asie et d’Achaïe. La deuxième est consacrée aux modalités du partage des compétences entre les autorités romaines et les juridictions des cités. La troisième, sous un angle moins institutionnel, s’intéresse au point de vue des justiciables provinciaux sur un système de nature pyramidale et aux motivations qui sous-tendent les recours intentés devant les tribunaux romains. Au travers du prisme judiciaire, l’Empire apparaît comme un pouvoir pragmatique, qui réserve à ses tribunaux la haute juridiction pénale mais laisse aux cités une part d’autonomie importante. Celles-ci conservent des institutions judiciaires héritées pour la plupart de l’époque hellénistique, même si la participation populaire tend à décliner au profit d’organes élitaires
At the centre of the investigation is the nature of Roman rule upon cities which possessed a long tradition of self-government and administration. Part I is a survey of judiciary structures in the provinces of Asia and Achaia. Part II deals with the division of judicial task between roman authorities and civic governments. Part III is concerned with the provincial litigants’ attitude towards a pyramidal system and the grounds of voluntary applications to Roman courts. Roman rule appears as a pragmatic one, which claims as a part of its sovereignty criminal jurisdiction and all cases related to Roman citizens, but otherwise concedes a large autonomy to local courts. Cities’ judiciary organization is largely inherited from the hellenistic period, although oligarchical institutions tend to supplant popular justice
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6

Hamon, Patrice. "Recherches sur le Conseil dans les cités grecques de l'époque hellénistique." Paris, EPHE, 2000. http://www.theses.fr/2000EPHE4041.

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Abstract:
L'institution du conseil est bien connue a athenes. On l'etudie ici dans les cites de grece continentale, de la mer egee et d'asie mineure, a l'epoque hellenistique, essentiellement a partir des documents epigraphiques. On constate, sous des termes identiques, une assez grande variete, par exemple dans le recrutement des membres du conseil. La rotation des citoyens a cette fonction est bien attestee hors d'athenes, mais elle n'est pas une pratique universelle. La direction du conseil est assuree par deux types de responsables, tres differents l'un de l'autre : soit il s'agit de commissions ephemeres, choisies parmi les bouleutes et alternant les uns apres les autres au cours de l'annee, ce qui permet a un grand nombre de citoyens de participer ; soit ce sont des magistrats semestriels ou annuels, qui exercent un pouvoir permanent de direction. Le conseil n'est pas, cependant, un organe ferme et qui gouverne : il accueille regulierement les propositions venues de l'exterieur, en particulier les projets de decrets dus a de simples citoyens, et les transmet a l'assemblee. Contrairement a une idee recue, le conseil ne constitue pas, des le ive s. Av. J. -c. , une assemblee de notables ;ce n'est que dans les documents de la seconde partie du iie s. Et du ier s. Av. J. -c. Que l'on constate une evolution, particulierement en asie mineure les bouleutes ont alors tendance a former un groupe distinct dans les banquets publics et dans la vie sociale et religieuse de la cite. De nouveaux cultes s'etablissent dans les bouleuteria, qui eux-memes sont reconstruits selon un style architectural de prestige, en asie mineure. On formule l'hypothese d'une modification progressive du recrutement des bouleutes, qui tendraient a se confondre avec le groupe social des citoyens aises, et ce phenomene annoncerait, des la fin du iie s. Av. J. -c. , c'est-a-dire des la basse epoque hellenistique, la mutation du conseil en un ordre de notables, tel qu'on le connait a l'epoque imperiale.
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Fröhlich, Pierre. "Le contrôle des magistrats dans les cités grecques (IVe-Ier s. Av. J. -C. )." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040270.

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Abstract:
Les cités grecques avaient dès l'époque classique établi un contrôle sur leurs magistrats. Ce contrôle consistait en la surveillance constante de leurs activités pendant leur charge, puis en une reddition de comptes qui leur était imposée à leur sortie de charge. A l'époque classique, ce contrôle n'est bien connu que dans la seule Athènes. Du IVe au Ier s. A. C. , la documentation épigraphique permet de prouver l'existence de ce contrôle dans la plupart des cités grecques. Il était le plus souvent exerce par une commission de magistrats contrôleurs. Par ailleurs, il était loisible à tout citoyen d'engager des poursuites contre les magistrats, ce qui assurait la participation des citoyens à ce contrôle. A la basse époque hellénistique, on constate une situation contrastée : le maintien de ce contrôle s'accompagne, dans certaines cités, de son allègement ou d'un changement dans les procédures, au détriment de la participation des citoyens ordinaires. Mais la documentation n'est pas suffisamment importante pour que l'on puisse en être absolument certain
As far back as the classical period, the Greek cities had already established a control over their magistrates. It consisted in a permanent surveying of their activities while in office and then in an audit of their accounts to which they were submitted when leaving. At the classical period, this control was known but only in Athens. From the fourth to the first century B. C. , the epigraphical documentation enables to prove the existence of this control in most of the Greek cities. The more often it was under the responsibility of a commission of magistrate surveyors. Furthermore, any citizen could pursue a magistrate thus taking part in this control. At the late Hellenistic period, the situation is more contrasted: the control remains yet in some of the cities its impact either decreases or evolves due to changes in the procedures, the more often to the expense of the ordinary citizen. However, we do not have enough documentation to be perfectly sure of it
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Dabdab, Trabulsi José Antonio. "Dionysisme, pouvoir et société en Grèce jusqu'à la fin de l'époque classique." Besançon, 1988. http://www.theses.fr/1988BESA1001.

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Abstract:
Étude historique de la religion dionysiaque en Grèce ancienne, notamment dans ses rapports avec le pouvoir. L'analyse commence (première partie) par la discussion sur les origines du dyonysisme grec et sa présence dans le monde mycénien. Une grande section (deuxième partie) est consacrée à l'étude de la diffusion du culte de Dionysos à l'époque archaïque et son rôle dans la politique religieuse des tyrans, avec l'examen de plusieurs cas. Ensuite, dans la troisième partie, les images dionysiaques sont étudiées dans ses changements, de l'archaïsme au IVe siècle. Dans une autre partie (quatrième), les rapports entre le culte dionysiaque et la polis sont analysés dans ses représentations et dans ses réalités, avec une longue étude sur l'image de Dionysos dans la littérature et notamment chez Euripide. La dernière partie (cinquième) est un essai d'une approche historique du "vécu" dionysiaque, d'après les mythes, les fêtes et le ménadisme extatique.
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Villacèque, Noémie. "Théatai logôn, histoire de la démocratie comme spectacle : politique et théâtre à Athènes à l'époque classique." Toulouse 2, 2008. http://www.theses.fr/2008TOU20090.

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Abstract:
Cette enquête tente d'appréhender l'interaction effective entre le théâtre et la politique athénienne, d'une part, et l'évolution du topos de la démocratie comme spectacle, d'autre part, de la fin du VIe siècle av. J. -C. , jusqu'en 322 av. J. -C. À Athènes, le dèmos est souverain ; les origines du topos du dèmos-spectateur ne sont donc pas le reflet d'une réalité historique correspondant à la notion moderne d'apathie politique. D'ailleurs, au théâtre, même lorsqu'il assiste à une tragédie, le public n'est ni ignoré ni silencieux : les citoyens-spectateurs participent activement à l'assemblée théâtrale. Transformant ainsi le spectacle en délibération, les poètes montrent que la similitude des espaces – théâtre de Dionysos et Pnyx, mais aussi tribunaux – rendait plus évidente, aux yeux des Athéniens, l'analogie entre les assemblées politiques et judiciaires et les assemblées dramatiques. On ne peut établir avec précision quand émerge cette analogie. Il apparaît clairement, en revanche, que c'est dans les trois dernières décennies du Ve siècle av. J. -C. Que le topos du spectacle de la démocratie s'épanouit. À cette époque, les textes en témoignent, les Athéniens étaient conscients de la théâtralité des tribunaux. Au théâtre, le topos est mis en scène par Aristophane. Il devient surtout un argument majeur de la rhétorique anti-démocratique. Théorisé par Platon au début du IVe siècle av. J. -C. , le topos tend ensuite à perdre sa valeur idéologique pour devenir une simple insulte, alors que la théâtralisation du politique est assumée : l'orateur doit faire montre de ses qualités d'acteur à la tribune. C'est d'ailleurs ce que l'on enseigne désormais dans les écoles de rhétorique
The object of this study is twofold, to apprehend the actual interaction between Athenian theatre and politics, and to follow the evolution of the topos of democracy as performance, from the end of the 6th c. BC to 322 BC. The demos in Athens was sovereign, thus the origins of the topos for the demos-spectator in no way reflects any historical reality akin to present day notions of political apathy. Indeed, in the theatre, even for a tragedy, the audience is neither ignored nor silent; the citizen-spectators actively participate in the theatrical performance. Thus the poets, by transforming the performance into an assembly, demonstrate that the similarity between the actual places – in particular the theatre of Dionysos and the Pnyx, but also the lawcourts – accentuated in the eyes of the Athenians the analogy between political and judicial assemblies and theatrical ones. Lack of evidence precludes determining exactly when people establish this analogy, nonetheless, it is clear that it was during the last thirty years of the 5th century BC that the topos of democracy as performance really flourished. At this era, Athenians were clearly conscious of the theatrical nature of the lawcourts. In the theatre, the topos is staged by Aristophanes. Above all, it became an important argument in anti-democratic rhetoric. Theorized by Plato at the beginning of the 4th c. BC, the topos tended afterwards to lose its ideological value, becoming a simple insult, whereas at the same time, the theatralization of politics is generally admitted: for the orator, this means exploiting his qualities as an actor at the tribune. Skills taught henceforth in the schools of rhetoric
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Piolot, Laurent. "Messène indépendante : une communauté politique nouvelle de la fin de l'époque classique : (politique, société et institutions) : IVe-Ier siècle avant J.C." Rennes 2, 2001. http://www.theses.fr/2001REN20027.

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Abstract:
Depuis la parution, en 1941, de la dissertation de l'historien américain C. A. Roebuck intitulée "Une histoire de la Messénie de 369 à 146", notre documentation s'est notablement enrichie. Ce renouvellement ne justifie cependant pas à lui seul que l'on s'intéresse de nouveau à cette question. L'étude du matériel épigraphique impose au contraire d'opérer un renversement des approches traditionnelles en plaçant au centre des débats la question de l'émergence d'une communauté politique nouvelle en 369. Avec l'indépendance messénienne, se posent en effet tous les problèmes liés à la constitution d'une communauté nouvelle. Or, la question de la nature de la structure mise en place (ethnos, polis ou poleis, koinon?) n'a à ce jour pas reçu de réponse. Les contingences documentaires étaient telles qu'en dehors de la synthèse de Roebuck seuls la topographie et les cultes messéniens, toujours à l'échelle régionale, avaient jusqu'ici fait l'objet d'études. Les fouilles menées sur le site de Messène, au pied du mont Ithôme, à l'emplacement du village actuel de Mavromati, ont considérablement modifié nos connaissances de la cité des Messéniens, autorisant de nouvelles perspectives de recherches. L'étude des vestiges ne permet pas d'étudier l'histoire de la ville à partir de 369 avant J. C. , c'est-à-dire à compter de sa fondation par Epaminondas. En revanche, l'étude du matériel épigraphique permet de s'intéresser à l'histoire de la polis des Messéniens, en se défaisant de l'empire du cadre régional imposé par Strabon et Pausanias notamment. Cette approche permet d'apporter un éclairage original sur l'histoire de Messène, dans ses relations avec les autres cités du monde grec, mais également avec les autres communautés de Messénie, et sur ses institutions, en particulier l'organisation de son corps politique
Since the american historian Carl Angus Roebuck published his dissertation entitled " a history of Messenia from 369 to 146 B. C. ", our documentation had grown considerably. However, this renewal does not on its own justify a regain of interest to this question. On the contrary, the epigraphical material imposes a reversal of the traditional approach in putting the question of the emergence of a new political community in the year 369 in the center of the debates. In fact, with the messenian independance, problems arise related to the set up of a new community. Still the question of the nature of the structure thus put into place (ethnos, polis or poleis, koinon ?) remains unanswered. The documentary limits were such that apart from Roebuck's synthesis, only messenian topography or cults were studied, but always on a regional scale. The excavations at Messene, near Mount Ithôme, on the site of present Mavromati, have profoundly modified our knowledge of the messenian city, and authorise a new perspective on current research. The study of the remains does not allow us to enter upon the history of the urban centre from 369 B. C. , that is from the date of its foundation by Epaminondas. On the other hand, the study of the epigraphics allows to approach the history of the polis of the Messenians, and breaking with the regional framework set by Strabon and Pausanias especially. This approach enables to bring new light on the history of Messene, on its relationships with other greek cities and with other communities of Messenia, on its institutions, and in particular on its political subdivisions. Furthermore, in this perspective, the study of the famous inscription of the Andania's Mysteries allow an important expansion on the organisation of the city of the Messenians. At last, the wealth of documentation from the imperial age testify of the vitality of the city and of the significant modification of institutional practice as shown by the existence and the functioning of the Oupesia
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