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Dissertations / Theses on the topic 'Grèce – Politique et gouvernement – 146 av. J.-C.-323'

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Broder, Philippe Alexandre. "La cité en marche : histoire des processions civiques en Grèce ancienne du VIe au Ier s. av. J.-C." Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010718.

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Bolduc, Marie. "Le Koinon des Étoliens et la cité de Chios au IIIe siècle a.C. : politique et relations internationales à l'époque hellénistique." Master's thesis, Université Laval, 2002. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28595.

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Finocchio, Erika. "Xénophon et Athènes." Thesis, Paris 10, 2009. http://www.theses.fr/2009PA100182.

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Abstract:
Cette étude a pour but d’analyser l’attitude de Xénophon vis-à-vis d’Athènes et de la démocratie. En retraçant les événements de l’histoire athénienne comme ils sont relatés dans les Helléniques et comme l’auteur les a vécus, le travail vise à démontrer : - que Xénophon ne condamne pas la démocratie comme une forme politique injuste, bien qu’il n’approuve pas ses choix politiques au cours du Ve siècle ; - que, grâce à la leçon tirée de l’expérience de l’échec subi au Ve siècle, Athènes est la seule cité capable, aux yeux de l’auteur, de résoudre le conflit entre Grecs et d’apporter la paix en Grèce au IVe siècle ; - que Xénophon essaie d’améliorer la démocratie sans apporter de réformes structurelles, mais à travers une réforme des mentalités politiques selon le modèle socratique
The following study aims to analyse Xenophon’s attitude to Athens and democracy. By recounting the events of Athenian history as they are related in Hellenica and as the author experienced them, the work aims to demonstrate: - that Xenophon does not condemn democracy as an unfair form of politics, even though he does not agree with the political decisions made by Athens during the 5th century B.C. - that, due to the lessons it learnt from its defeat in the 5th century B.C., Athens is the only city capable, in the eyes of the author, of resolving the conflict between Greeks and bringing peace to Greece in the 4th century B.C. - that Xenophon would like to improve democracy, not through structural reforms but through a reform of political thinking based on the Socratic model
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Oliveira, Gomes Claudia de. "La tyrannie grecque archaïque : histoire politique et intellectuelle." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040220.

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Abstract:
Ce travail analyse la place spécifique de la tyrannie dans l'histoire politique et intellectuelle de la Grèce archaïque. L'auteur cherche à mettre en place une histoire des idées politiques qui prenne en compte l'histoire évènementielle, économique, sociale, citoyenne, religieuse, architecturale. A cette lumière apparaît l'importance du moment tyrannique dans l'histoire idéologique grecque. Pour se donner des modèles d'intelligibilité, cette thèse fait appel à l'anthropologie politique. L'auteur comprend ainsi la tyrannie comme une première forme d'Etat, archaïque, qui se constitue au cours d'une véritable révolution politique. Le régime tyrannique introduit les premières formes de coercition, une nouvelle citoyenneté, étatique et abstraitement définie, une religion civique, un domaine public laïcisé et centralisé. L'évolution de la polis spartiate au VIe siècle et de l'Athènes classique est décrite comme le résultat de contradictions dynamiques entre les structures politiques étatiques introduites par la tyrannie et les représentations d'un pouvoir socialisé propre à la société grecque pré-étatique. L'analyse de la poésie archaïque montre que la rupture politique introduite par la tyrannie se répercute dans le domaine intellectuel. A travers les textes se lit l'apparition des concepts politiques et l'introduction d'une lecture causale des événements ; l'auteur examine avec précision les notions de régime politique, de groupes sociaux. Le rapport tissé entre le tyran et le dèmos introduit les conditions nécessaires à la naissance d'un domaine politique autonome. Enfin, cette thèse propose de voir la naissance de la philosophie ionienne comme une réponse à cette autonomisation. Les physiologoi philosophoi tentent ainsi de reconstruire la compréhension holiste du monde, brisée dans la crise intellectuelle, non sans entériner les profondes transformations conceptuelles acquises dans le bouleversement de la polis tyrannique
This work analyses the specific place of tyranny in ancient Greece's political and intellectual history. The author seeks to situate the history of political ideas while taking into account historical events alongside considerations of the economy, society - including notions of citizenship – as well as religion and architectural history. This is the background against which the importance of the moment in which tyranny in the history of Greek ideology can be seen. In order to attain its models of intelligibility, this thesis builds on notions taken from political anthropology. The author thus understands tyranny as an archaic form of the State that comes into existence as a veritable political revolution. The tyrannical regime institutes the first means of coercion: a new citizenry that depends on the state and is defined abstractly, a civic religion, a secular and centralized public domain. The evolution of the sixth century Spartan or classic Athenian polis is described as the result of dynamic contradictions between the political structures of the State instituted by tyrrany and the representations of a socially mediated power characteristic of pre-political societies that have not yet created a State. The analysis of archaic poetry shows that the political rupture introduced by tyranny sends ripples into intellectual culture. The texts reveal the appearance of political concepts and the beginning of a causal interpretation of events; the author examines very precisely notions related to the political regime and social groupings. The relationship interwoven between the tyrant and the demos highlights the conditions necessary for the birth of politics as an autonomous field. Finally, this thesis proposes looking at the birth of Ionian philosophy in a new light, as a response to the advent of the autonomy of the political. The physiologoi philosophoi thus attempt to rebuild a holistic understanding of the world that has been shattered by an intellectual crisis, but not without approving of the notional transformations acquired in the wake of the challenge to the tyrannical polis
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Fournier, Julien. "Entre tutelle romaine et autonomie civique : recherches sur l’administration judiciaire dans les provinces hellénisées de l’Empire romain (146 av. J.-C. – 212 apr. J.-C.)." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040165.

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Abstract:
Cette étude s’intéresse conjointement à l’essence de la domination romaine sur une région jouissant d’une longue tradition d’autonomie et au devenir de la cité grecque et de ses institutions dans le prolongement des siècles antérieurs. La première partie dresse une typologie des structures de l’administration judiciaire dans les provinces d’Asie et d’Achaïe. La deuxième est consacrée aux modalités du partage des compétences entre les autorités romaines et les juridictions des cités. La troisième, sous un angle moins institutionnel, s’intéresse au point de vue des justiciables provinciaux sur un système de nature pyramidale et aux motivations qui sous-tendent les recours intentés devant les tribunaux romains. Au travers du prisme judiciaire, l’Empire apparaît comme un pouvoir pragmatique, qui réserve à ses tribunaux la haute juridiction pénale mais laisse aux cités une part d’autonomie importante. Celles-ci conservent des institutions judiciaires héritées pour la plupart de l’époque hellénistique, même si la participation populaire tend à décliner au profit d’organes élitaires
At the centre of the investigation is the nature of Roman rule upon cities which possessed a long tradition of self-government and administration. Part I is a survey of judiciary structures in the provinces of Asia and Achaia. Part II deals with the division of judicial task between roman authorities and civic governments. Part III is concerned with the provincial litigants’ attitude towards a pyramidal system and the grounds of voluntary applications to Roman courts. Roman rule appears as a pragmatic one, which claims as a part of its sovereignty criminal jurisdiction and all cases related to Roman citizens, but otherwise concedes a large autonomy to local courts. Cities’ judiciary organization is largely inherited from the hellenistic period, although oligarchical institutions tend to supplant popular justice
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Hamon, Patrice. "Recherches sur le Conseil dans les cités grecques de l'époque hellénistique." Paris, EPHE, 2000. http://www.theses.fr/2000EPHE4041.

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Abstract:
L'institution du conseil est bien connue a athenes. On l'etudie ici dans les cites de grece continentale, de la mer egee et d'asie mineure, a l'epoque hellenistique, essentiellement a partir des documents epigraphiques. On constate, sous des termes identiques, une assez grande variete, par exemple dans le recrutement des membres du conseil. La rotation des citoyens a cette fonction est bien attestee hors d'athenes, mais elle n'est pas une pratique universelle. La direction du conseil est assuree par deux types de responsables, tres differents l'un de l'autre : soit il s'agit de commissions ephemeres, choisies parmi les bouleutes et alternant les uns apres les autres au cours de l'annee, ce qui permet a un grand nombre de citoyens de participer ; soit ce sont des magistrats semestriels ou annuels, qui exercent un pouvoir permanent de direction. Le conseil n'est pas, cependant, un organe ferme et qui gouverne : il accueille regulierement les propositions venues de l'exterieur, en particulier les projets de decrets dus a de simples citoyens, et les transmet a l'assemblee. Contrairement a une idee recue, le conseil ne constitue pas, des le ive s. Av. J. -c. , une assemblee de notables ;ce n'est que dans les documents de la seconde partie du iie s. Et du ier s. Av. J. -c. Que l'on constate une evolution, particulierement en asie mineure les bouleutes ont alors tendance a former un groupe distinct dans les banquets publics et dans la vie sociale et religieuse de la cite. De nouveaux cultes s'etablissent dans les bouleuteria, qui eux-memes sont reconstruits selon un style architectural de prestige, en asie mineure. On formule l'hypothese d'une modification progressive du recrutement des bouleutes, qui tendraient a se confondre avec le groupe social des citoyens aises, et ce phenomene annoncerait, des la fin du iie s. Av. J. -c. , c'est-a-dire des la basse epoque hellenistique, la mutation du conseil en un ordre de notables, tel qu'on le connait a l'epoque imperiale.
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Fröhlich, Pierre. "Le contrôle des magistrats dans les cités grecques (IVe-Ier s. Av. J. -C. )." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040270.

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Abstract:
Les cités grecques avaient dès l'époque classique établi un contrôle sur leurs magistrats. Ce contrôle consistait en la surveillance constante de leurs activités pendant leur charge, puis en une reddition de comptes qui leur était imposée à leur sortie de charge. A l'époque classique, ce contrôle n'est bien connu que dans la seule Athènes. Du IVe au Ier s. A. C. , la documentation épigraphique permet de prouver l'existence de ce contrôle dans la plupart des cités grecques. Il était le plus souvent exerce par une commission de magistrats contrôleurs. Par ailleurs, il était loisible à tout citoyen d'engager des poursuites contre les magistrats, ce qui assurait la participation des citoyens à ce contrôle. A la basse époque hellénistique, on constate une situation contrastée : le maintien de ce contrôle s'accompagne, dans certaines cités, de son allègement ou d'un changement dans les procédures, au détriment de la participation des citoyens ordinaires. Mais la documentation n'est pas suffisamment importante pour que l'on puisse en être absolument certain
As far back as the classical period, the Greek cities had already established a control over their magistrates. It consisted in a permanent surveying of their activities while in office and then in an audit of their accounts to which they were submitted when leaving. At the classical period, this control was known but only in Athens. From the fourth to the first century B. C. , the epigraphical documentation enables to prove the existence of this control in most of the Greek cities. The more often it was under the responsibility of a commission of magistrate surveyors. Furthermore, any citizen could pursue a magistrate thus taking part in this control. At the late Hellenistic period, the situation is more contrasted: the control remains yet in some of the cities its impact either decreases or evolves due to changes in the procedures, the more often to the expense of the ordinary citizen. However, we do not have enough documentation to be perfectly sure of it
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8

Dabdab, Trabulsi José Antonio. "Dionysisme, pouvoir et société en Grèce jusqu'à la fin de l'époque classique." Besançon, 1988. http://www.theses.fr/1988BESA1001.

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Abstract:
Étude historique de la religion dionysiaque en Grèce ancienne, notamment dans ses rapports avec le pouvoir. L'analyse commence (première partie) par la discussion sur les origines du dyonysisme grec et sa présence dans le monde mycénien. Une grande section (deuxième partie) est consacrée à l'étude de la diffusion du culte de Dionysos à l'époque archaïque et son rôle dans la politique religieuse des tyrans, avec l'examen de plusieurs cas. Ensuite, dans la troisième partie, les images dionysiaques sont étudiées dans ses changements, de l'archaïsme au IVe siècle. Dans une autre partie (quatrième), les rapports entre le culte dionysiaque et la polis sont analysés dans ses représentations et dans ses réalités, avec une longue étude sur l'image de Dionysos dans la littérature et notamment chez Euripide. La dernière partie (cinquième) est un essai d'une approche historique du "vécu" dionysiaque, d'après les mythes, les fêtes et le ménadisme extatique.
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Villacèque, Noémie. "Théatai logôn, histoire de la démocratie comme spectacle : politique et théâtre à Athènes à l'époque classique." Toulouse 2, 2008. http://www.theses.fr/2008TOU20090.

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Abstract:
Cette enquête tente d'appréhender l'interaction effective entre le théâtre et la politique athénienne, d'une part, et l'évolution du topos de la démocratie comme spectacle, d'autre part, de la fin du VIe siècle av. J. -C. , jusqu'en 322 av. J. -C. À Athènes, le dèmos est souverain ; les origines du topos du dèmos-spectateur ne sont donc pas le reflet d'une réalité historique correspondant à la notion moderne d'apathie politique. D'ailleurs, au théâtre, même lorsqu'il assiste à une tragédie, le public n'est ni ignoré ni silencieux : les citoyens-spectateurs participent activement à l'assemblée théâtrale. Transformant ainsi le spectacle en délibération, les poètes montrent que la similitude des espaces – théâtre de Dionysos et Pnyx, mais aussi tribunaux – rendait plus évidente, aux yeux des Athéniens, l'analogie entre les assemblées politiques et judiciaires et les assemblées dramatiques. On ne peut établir avec précision quand émerge cette analogie. Il apparaît clairement, en revanche, que c'est dans les trois dernières décennies du Ve siècle av. J. -C. Que le topos du spectacle de la démocratie s'épanouit. À cette époque, les textes en témoignent, les Athéniens étaient conscients de la théâtralité des tribunaux. Au théâtre, le topos est mis en scène par Aristophane. Il devient surtout un argument majeur de la rhétorique anti-démocratique. Théorisé par Platon au début du IVe siècle av. J. -C. , le topos tend ensuite à perdre sa valeur idéologique pour devenir une simple insulte, alors que la théâtralisation du politique est assumée : l'orateur doit faire montre de ses qualités d'acteur à la tribune. C'est d'ailleurs ce que l'on enseigne désormais dans les écoles de rhétorique
The object of this study is twofold, to apprehend the actual interaction between Athenian theatre and politics, and to follow the evolution of the topos of democracy as performance, from the end of the 6th c. BC to 322 BC. The demos in Athens was sovereign, thus the origins of the topos for the demos-spectator in no way reflects any historical reality akin to present day notions of political apathy. Indeed, in the theatre, even for a tragedy, the audience is neither ignored nor silent; the citizen-spectators actively participate in the theatrical performance. Thus the poets, by transforming the performance into an assembly, demonstrate that the similarity between the actual places – in particular the theatre of Dionysos and the Pnyx, but also the lawcourts – accentuated in the eyes of the Athenians the analogy between political and judicial assemblies and theatrical ones. Lack of evidence precludes determining exactly when people establish this analogy, nonetheless, it is clear that it was during the last thirty years of the 5th century BC that the topos of democracy as performance really flourished. At this era, Athenians were clearly conscious of the theatrical nature of the lawcourts. In the theatre, the topos is staged by Aristophanes. Above all, it became an important argument in anti-democratic rhetoric. Theorized by Plato at the beginning of the 4th c. BC, the topos tended afterwards to lose its ideological value, becoming a simple insult, whereas at the same time, the theatralization of politics is generally admitted: for the orator, this means exploiting his qualities as an actor at the tribune. Skills taught henceforth in the schools of rhetoric
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Piolot, Laurent. "Messène indépendante : une communauté politique nouvelle de la fin de l'époque classique : (politique, société et institutions) : IVe-Ier siècle avant J.C." Rennes 2, 2001. http://www.theses.fr/2001REN20027.

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Abstract:
Depuis la parution, en 1941, de la dissertation de l'historien américain C. A. Roebuck intitulée "Une histoire de la Messénie de 369 à 146", notre documentation s'est notablement enrichie. Ce renouvellement ne justifie cependant pas à lui seul que l'on s'intéresse de nouveau à cette question. L'étude du matériel épigraphique impose au contraire d'opérer un renversement des approches traditionnelles en plaçant au centre des débats la question de l'émergence d'une communauté politique nouvelle en 369. Avec l'indépendance messénienne, se posent en effet tous les problèmes liés à la constitution d'une communauté nouvelle. Or, la question de la nature de la structure mise en place (ethnos, polis ou poleis, koinon?) n'a à ce jour pas reçu de réponse. Les contingences documentaires étaient telles qu'en dehors de la synthèse de Roebuck seuls la topographie et les cultes messéniens, toujours à l'échelle régionale, avaient jusqu'ici fait l'objet d'études. Les fouilles menées sur le site de Messène, au pied du mont Ithôme, à l'emplacement du village actuel de Mavromati, ont considérablement modifié nos connaissances de la cité des Messéniens, autorisant de nouvelles perspectives de recherches. L'étude des vestiges ne permet pas d'étudier l'histoire de la ville à partir de 369 avant J. C. , c'est-à-dire à compter de sa fondation par Epaminondas. En revanche, l'étude du matériel épigraphique permet de s'intéresser à l'histoire de la polis des Messéniens, en se défaisant de l'empire du cadre régional imposé par Strabon et Pausanias notamment. Cette approche permet d'apporter un éclairage original sur l'histoire de Messène, dans ses relations avec les autres cités du monde grec, mais également avec les autres communautés de Messénie, et sur ses institutions, en particulier l'organisation de son corps politique
Since the american historian Carl Angus Roebuck published his dissertation entitled " a history of Messenia from 369 to 146 B. C. ", our documentation had grown considerably. However, this renewal does not on its own justify a regain of interest to this question. On the contrary, the epigraphical material imposes a reversal of the traditional approach in putting the question of the emergence of a new political community in the year 369 in the center of the debates. In fact, with the messenian independance, problems arise related to the set up of a new community. Still the question of the nature of the structure thus put into place (ethnos, polis or poleis, koinon ?) remains unanswered. The documentary limits were such that apart from Roebuck's synthesis, only messenian topography or cults were studied, but always on a regional scale. The excavations at Messene, near Mount Ithôme, on the site of present Mavromati, have profoundly modified our knowledge of the messenian city, and authorise a new perspective on current research. The study of the remains does not allow us to enter upon the history of the urban centre from 369 B. C. , that is from the date of its foundation by Epaminondas. On the other hand, the study of the epigraphics allows to approach the history of the polis of the Messenians, and breaking with the regional framework set by Strabon and Pausanias especially. This approach enables to bring new light on the history of Messene, on its relationships with other greek cities and with other communities of Messenia, on its institutions, and in particular on its political subdivisions. Furthermore, in this perspective, the study of the famous inscription of the Andania's Mysteries allow an important expansion on the organisation of the city of the Messenians. At last, the wealth of documentation from the imperial age testify of the vitality of the city and of the significant modification of institutional practice as shown by the existence and the functioning of the Oupesia
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Christodoulou, Panos. "La construction de l'image du roi idéal au IVè siècle av. J. C. Et l'avènement de la royauté hellénistique." Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010656.

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Abstract:
La construction de l'image du roi idéal au IVe siècle av, J. C. Fut le fruit d'une réflexion longue, radicale et novatrice de la part des intellectuels athéniens, Platon Isocrate et Xénophon, réflexion apparue durant les troubles et les malheurs que le monde grec connut pendant les dernières décennies du Ve siècle et qui se poursuivit et se cristallisa au moment de l'avènement de la royauté hellénistique, Toutefois, leur réflexion sur la figure de l'homme politique idéal n'aboutit ni à un changement ni à un abandon des structures mises en place, constitutives de la cité grecque. Or, en suivant leur manière de penser la politique nous constatons qu'elle constitue une forme de mise en scène du pouvoir qui trouve sa place à l'époque hellénistique. L'étude présente se focalise alors sur le vocabulaire et les idées politiques des intellectuels du IVe siècle qui peuvent être considérées comme pertinentes et prospectives, préfigurant tant en théorie mais aussi en pratique les manières de gouverner mises en place par le roi hellénistique.
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Audet, Stéphanie. "Agathocle de Sicile : titres et pouvoir d’un acteur politique méditerranéen de la haute époque hellénistique (330-289 a.C.)." Master's thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/66606.

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Bartzoka, Alexandra. "Le tribunal de l’Héliée : justice et Politique dans l’Athènes du VIe au IVe siècles avant J.-C." Thesis, Paris 10, 2014. http://www.theses.fr/2014PA100064.

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Abstract:
Le tribunal populaire de l’Héliée ne constitue pas seulement une des institutions les plus importantes de la démocratie athénienne ; il reflète la structure même du régime démocratique d’Athènes aux Ve et IVe siècles. Cependant, l’attribution, par certaines sources, de l’origine de l’Héliée aux réformes de Solon et à l’établissement d’un régime censitaire remet en question son caractère d’emblée démocratique et populaire. Le sujet est d’un intérêt particulier, étant donné que chaque année six mille Athéniens, non professionnels, étaient tirés au sort et formaient l’Héliée. Ce fait lui donne une importance politique prépondérante, qui est visible en particulier à partir de la fin du Ve siècle. L’activité judiciaire constitue un élément si important de la vie politique de l’Athénien et connaît une telle augmentation au cours du IVe siècle qu’on a souvent l’impression que le conflit politique se déplace de l’espace de l’Assemblée à l’Héliée. Ces problématiques nous conduisent à saisir la période de la création de l’institution de l’Héliée et le régime auquel elle est liée, puis à éclairer son caractère politique, tant du point de vue de son fonctionnement et des procès qui sont jugés devant ses tribunaux que du rôle de ses tribunaux dans la vie politique d’Athènes. L’étude conjointe des sources littéraires et épigraphiques permet de conclure qu’au-delà du rôle primordial de l’Assemblée du peuple dans la prise des décisions politiques, on trouve une autre institution fondée sur une base populaire qui participe à l’organisation politique de la cité et qui est étroitement liée au développement de la démocratie athénienne
The court of Heliaia is not only one of the most important institutions of Athenian democracy, but also reflects the structure of the democratic constitution of Athens in the fifth and fourth centuries. However, the fact that several sources attribute its origins to the reforms of Solon and the establishment of a timocratic constitution questions its explicit democratic and popular character. The issue is particularly interesting, given that each year six thousand non-professional Athenians are allotted and form the People’s Court. This fact implies that Heliaia is of prominent political significance, especially since the late fifth century. The importance of the judicial activity in the political life of Athenians, as well as its notable increase during the fourth century, were such that we often have the impression that the political conflicts occur not only in the Assembly but also in the People’s Court. Motivated from these issues, we first search for the period of the establishment of the institution of Heliaia and its historical context. Additionally, we aim to clarify its political character from the perspective of its function and trials, as well as from the perspective of its role in the political life of Athens. Indeed, the study of the literary and epigraphic sources allows us to conclude that, beyond the primary role of the Assembly of the People in the political decisions, there is another institution of popular composition involved in the political organization of the city, which is directly linked to the development of Athenian democracy
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Blais, Valérie. "UNE VILLE ET SON SANCTUAIRE À L'ÉPOQUE HELLÉNISTIQUE. L'instrumentalisation du Didymeion de Milet entre le IVe et le IIe siècle a. C." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/29306/29306.pdf.

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Le, Bohec Sylvie. "Antigone Dôsôn." Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040184.

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Abstract:
Ce livre est une biographie. Il étudie le règne d’Antigone Dôsôn (229-221 av. J. C. ), qui n'exerça le pouvoir sur la Macédoine que brièvement ; mais ce souverain a marqué ses contemporains. Roi-sauveur inattendu, il a rendu à l'état indépendance et grandeur. Général de talent, il a mené une expédition en Asie et a permis aux Antigonides de rétablir leur influence dans cette zone. Créateur de la ligue hellénique, il a mis la plus grande partie de la Grèce sous sa domination. Son successeur et pupille, Philippe V, hérite d'un royaume fort
This book intends to be a biography. It studies the reign of Antigonus Doson (229- 221 b. C. ), who ruled over Macedonia just for a short period; but it was a moment of great importance. Unwaited as a king, he saved the state, gave to it independence and greatness. He was also a good general; in command of the army, during an expedition to Asia, he permitted that the Antigonids could renew their influence over the region. He created also the Hellenic league, so as he controlled most part of Greece. His successor and ward, Philip V, inherited a powerful kingdom
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Bolduc, Marie. "Analyse et définition d'une institution des cités grecques hellénistiques : la sympolitie par incorporation ou l'union de deux communautés civiques autonomes (IVe au Ier siècle a.C.)." Thesis, Bordeaux 3, 2008. http://www.theses.fr/2008BOR30033.

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Abstract:
Les recherches sur la sympolitie par incorporation présentent des problèmes qui ont, jusqu’à présent, restreint son étude. D'abord, les épigraphistes ont proposé plusieurs études spécifiques du phénomène sans offrir un examen complet de l’institution et de son implication pour les poleis hellénistiques, faute de considérer globalement les sources signalant les fusions de deux cités. En outre, la polysémie de sumpoliteu/w et de sumpolitei/a introduit un biais dans la dénomination des réalités antiques connues par les sources puisque les termes caractérisent autant les États fédéraux (koina) que les unions de cités. Enfin, les similitudes entre la sympolitie par incorporation, le synoecisme et l’isopolitie ont ajouté à la confusion et à l’identification des moyens adoptés par les cités pour établir des relations interétatiques. Institution distincte du synoecisme et de l’isopolitie, semblable dans ses fondements aux concepts qui édifiaient les koina, la sympolitie par incorporation était une fusion politique de deux communautés civiques autonomes. Elle s’actualisait par l’obtention de la citoyenneté pour les ressortissants de la cité incorporée et par la participation active de ces derniers dans les institutions de la cité d’accueil. Elle engendrait une cité ayant deux pôles implantés dans une chôra composée par les territoires des poleis impliquées. L’entité souveraine comprenait un centre urbain principal, celui de la cité qui imposait sa citoyenneté et son modèle civique, et un établissement secondaire, qui intégrait politiquement sa voisine, mais dont la vie locale se maintenait à travers certaines institutions de l’ancienne cité. La sympolitie consolidait la situation des cités dans le contexte difficile de la période hellénistique, secoué par des rivalités incessantes entre cités, États fédéraux et royaumes. La possession de territoires, la défense d’acquis matériels ou territoriaux, le maintien de l’indépendance, l’accès aux ressources étaient autant de motivations menant au partenariat. Les poleis restructuraient leur défense et coordonnaient leurs activités économiques, ce qui était au cœur des unions. La sympolitie apportait des solutions aux difficultés des cités par des initiatives concrètes et pacifiques, en créant des communautés fortes comptant un nombre accru de soldats citoyens, des structures défensives renforcées, des zones exploitables augmentés et des ressources supplémentaires pour les partenaires
Until now, problems specific to the sympoliteia have restrained its study. First, epigraphists proposed many specialized studies of the phenomenon, without ever offering a complete assessment of this institution and its implications for the Hellenistic poleis, failing to globally consider sources suggesting the fusion of two cities. Moreover, the polysemy of sumpoliteu/w and sumpolitei/a introduced a confusion related to the political reality described in the sources, mainly because those terms characterize federal states (koina) as well as a union between two cities. Finally, similarities between the sympoliteia, the synoikismos and the isopoliteia added to this confusion and the identification of the means adopted by the cities to establish interstate relationships. As a distinct institution of the synoikismos and the isopoliteia, similar in its fundamentals to those on which the koina were edified, the sympoliteia was a political fusion of two autonomous civic communities. It took form trough the granting of citizenship to the incorporated community and trough the active participation of those citizens to the institutions of the other partner. It generated a city with two poles set in a chôra combining the territories of the implicated poleis. The sovereign entity included a main urban center, the one of the city which imposed its citizenship and civic model, and a secondary establishment politically integrating its neighbour, but whose local life survived through some institutions of the former city. The sympoliteia consolidated the situation of the cities in the difficult context of the hellenistic period, shaken by the perpetual rivalries between cities, federal states and kingdoms. The control of territories, the defence of material or territorial possessions, the assertion of independence and the access to resources were all motivations for creating partnerships. As the centerpiece of the union, the merging poleis are restructuring their defence and coordinating their economic activities. The sympoliteia brought solutions to the cities’ difficulties with pacific and realistic initiatives, creating stronger communities defended by a greater number of citizens-soldiers, more efficient defensive structures, as well as extended exploitable areas and resources for both partners
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Colrat, Paul. "Le mythe du philosophe-roi : savoir, pouvoir et salut dans la philosophie politique de Platonε." Thesis, Normandie, 2019. http://www.theses.fr/2019NORMC005.

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Abstract:
La question du règne des philosophes ne se comprend qu’au prix d’un détour par les marges de la politique classique. D’abord nous avons montré que ces marges sont définies historiquement par un discours qui articule le règne, le savoir et le salut (chapitre I). Puis nous avons montré que la notion de règne, dès lors qu’elle est attribuée à des philosophes, s’établit dans les marges de la notion classique de basilein, en en subvertissant le sens classique (chapitre II). Ensuite nous avons montré que le discours sur le règne des philosophes est une tentative venant des marges de la politique pour subvertir en en faisant usage, c’est-à-dire pour destituer, la liaison classique entre le muthos et l’unification politique (chapitre III), ce qui a impliqué de comprendre comment le philosophe peut être aux marges de la politique tout en en étant le fondement (chapitre IV). Cela nous a conduit à voir que le philosophe est en marge par rapport à l’exigence d’être utile à la cité (chapitre V) et par rapport à l’exigence d’un savoir fondé sur l’expérience (chapitre VI). Enfin, nous avons essayé de montrer que le règne des philosophes s’inscrit dans la recherche du salut de la cité, thème marginal dans les études sur Platon (chapitre VII)
The question of the philosophers’ reign can only be understood at the cost of a detour through the margins of classical politics. First of all, I have shown that these margins have historically been defined by a discourse focusing on the relationship between kingdom, knowledge and salvation (chapter 1). I have then shown that the notion of kingdom itself, when it is attributed to philosophers, positions itself in the margins of the notion of basilein, while actively subverting its classical meaning (chapter 2). The discourse about the philosophers’ reign must therefore be understood as an attempt coming from the margins of politics to use the traditional relation between the muthos and political unification, in order to subvert it, namely, to depose it. This required me to explore the way in which the philosopher can simultaneously be in the margins of politics and at the very foundation of politics (chapter 4). The philosopher’s position in the city is doubly marginal: first, he is not subject to the imperative to be useful to the city (chapter 5), and secondly, he is not subject to the imperative to ground knowledge in experience (chapter 6). Finally, I have set out to show that the philosophers’ reign inscribes itself within a quest for the city’s salvation, a theme that is itself marginal in Plato studies, and deserves more attention than it has hitherto received (chapter 7)
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Brisart, Thomas. "Un art citoyen: recherches sur l'orientalisation des artisanats en Grèce proto-archaïque." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2009. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210339.

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Abstract:
Cette thèse cherche à mettre en évidence les raisons qui ont amené une large part des ateliers grecs à orientaliser leurs productions durant la "période orientalisante" (VIIe siècle avant J.-C.). La méthode déployée pour répondre à cet objectif consiste en une contextualisation sociale des artisanats orientalisants, laquelle s'effectue par le biais de l'analyse d'un certain nombre de contextes archéologiques et de textes. Une fois le rôle des objets orientalisants dans la société proto-archaïque mis en évidence, leurs raisons d'être apparaissent plus clairement.

Le développement de la citoyenneté en Grèce à partir de la seconde moitié du VIIIe siècle avant J.-C. a donné lieu à une extension du pouvoir politique et militaire à une part plus importante de la population des cités. La propagation de ce qui constituait autrefois les principaux modes de reconnaissance a amené les élites à développer de nouvelles façons de se distinguer dans le paysage social. Dans un même temps, les citoyens de chaque cité ont développé des institutions communales, telles que les cultes civiques et les repas en commun, afin d'unifier le groupe qu'ils formaient et de renforcer le fossé qui séparait celui-ci du reste de la société. Le travail de contextualisation entrepris dans cette thèse a montré que l'art orientalisant constituait un outil facilitant la mise en place de ces deux évolutions.

D'une part, parce qu'ils faisaient explicitement allusion aux cultures du Proche-Orient, dont les richesses exerçaient une réelle fascination sur les Grecs de cette époque, les objets orientalisants permettaient de rehausser le prestige de leurs propriétaires. Autrement dit, ils constituaient des modes de reconnaissance sociale particulièrement efficaces. De nombreuses données archéologiques et textuelles ont permis de confirmer ce point de vue, mettant en évidence que les objets orientalisants étaient utilisés lors de banquets prestigieux, comme offrandes ostentatoires aux dieux et aux morts, ou encore pour contenir de précieux parfums.

D'autre part, en tant qu'esthétique nouvelle, complètement libérée des formes géométriques utilisées durant les siècles précédents, l'art orientalisant figurait également au rang des pratiques censées unifier la citoyenneté. Cette seconde conclusion a été mise en évidence au travers de l'étude du cas de la Crète, où, au VIIe siècle, l'art orientalisant a en grande partie été utilisé dans le cadre d'institutions civiques :les banquets publics, les cultes civiques, et les guerres.

This dissertation aims at the understanding of the reasons lying behind the orientalization of artefacts in Greece during the so-called "Orientalizing period" (i.e. the 7th cent. BC). In order to achieve this goal, the author focused on archaeological contexts and textual information. They allowed him to replace the orientalizing objects back in their original social context and to understand their initial purposes.

The birth of the citizenship in Greece at the end of the 8th cent. BC gave rise to the extension of the political and military power to a wider part of the population. This created a need for the former elite to develop other means of social distinction. Conversely, the communities of citizens developed communal institutions, like civic cults, communal dinners, etc. meant to cement and to level the group, and to reinforce the gulf that separated it from the rest of the society. This thesis showed that orientalizing art contributed to the setting up of these changes.

On one hand, because Greek orientalizing artefacts explicitly alluded to Near Eastern cultures, that were indeed perceived as being particularly rich at that time by the Greeks, they could enhance the individual prestige of the people using them. Archaeological research confirmed this hypothesis, showing that Greek orientalizing objects were used during conspicuous banquets, as lavish offerings for the dead and the gods, and for containing precious perfumes.

On the other hand, as artefacts decorated in a new style, completely freed from the geometric aesthetics displayed in the previous centuries, orientalizing objects also figured among the practices developed for strengthening the citizens’ corps. This second conclusion was reached through the study-case of Crete, where orientalizing art of the 7th cent. seems nearly exclusively used in a context of civic institutions :public banquets, civic cults and festivals, and wars.


Doctorat en Histoire, art et archéologie
info:eu-repo/semantics/nonPublished

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Glasson, Pauline. "Les représentations de la victoire navale de la haute époque hellénistique à Auguste." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040109.

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Abstract:
L’expression plastique des victoires navales opère tel un prisme à travers lequel s’observent les rites de célébration, les modes de commémoration et les desseins politiques de ses commanditaires. Il s’agit de s’intéresser à la naissance de cette image en remontant aux traditions grecques et romaines relatives au retour de guerre des soldats et à la célébration du succès. Ces coutumes à caractère cathartique ont inspiré les imagiers pour créer l’iconographie de la victoire navale. L’apparition des images et monuments pérennes exprimant la victoire, pourtant interdits dans la Grèce classique et réglementés à Rome par les valeurs républicaines, repose sur la prise de conscience du pouvoir politique de la revendication d’exploits militaires et sur des influences de pratiques orientales et macédoniennes qui accordaient la royauté à ses généraux pour des succès décisifs. L’expression de la victoire navale engendre une production artistique riche prenant des formes diverses, de la sculpture monumentale à la monnaie, en passant par la décoration privée, dans un but de diffusion massive. La confrontation des témoignages de la célébration et de la commémoration de la victoire sur mer, issus des deux mondes, sur tous les supports, permet de réunir l’ensemble des thèmes iconographiques qui appartient aussi bien aux domaines militaire, mythologique et religieux. L’examen des fonctions politiques de cet art démontre que ces manifestations ont été utilisées comme les supports de diffusion des idéologies. C’est ce détournement des succès militaires navals en propagande, devenu central dans la politique qui explique l’originalité et la subtilité des thèmes de la victoire navale
The plastic expression of naval victories operates as a window through which can be observed the celebration rituals, commemoration modes and the political intentions of its bakers. The main purpose is to focus on the birth of this images dating back from the Greek and Roman traditions based on the returning soldiers and the celebration of success. These cathartic traditions were the artistic inspiration to create the iconography of the naval victories. Initially forbidden in the classic Greek era and regulated by Rome’s republican values and the influence based on the Eastern and Macedonian practices that gave kingship to his generals for decisive success, the appearance of images and monuments displaying victory started to show up as they realize the political power it implies to claim military achievements. Naval victory representations generated a rich artistic production in various and multiple forms, from sculptures to coins and even private home decoration; the goal was to be massively present. The Analogy between Roman’s and Hellenic’s celebration and commemoration of naval victories in all types of support allows a compilation of iconographic themes that belongs to the mythology, military and religious domains. The study of the political purpose of this art demonstrates that the representations were use as a broadcast support for ideologies. It’s the diversion of the naval military success into propaganda that became mainstream in politics and explains the originality and subtlety of naval victory themes
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