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Journal articles on the topic 'Groupes de symétrie d'espace'

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Sivardière, J. "Groupes d'espace à quatre et six couleurs." Acta Crystallographica Section A Foundations of Crystallography 44, no. 5 (September 1, 1988): 735–40. http://dx.doi.org/10.1107/s0108767388005549.

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Rassat, A., D. Seroussi, and C. Coulombeau. "Représentation des groupes de symétrie par des sphéroalcanes." Journal de Chimie Physique 91 (1994): 1683–710. http://dx.doi.org/10.1051/jcp/1994911683.

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Buekenhout, Francis. "La symétrie, les groupes de transformation et la géométrie." Bulletin de la Classe des sciences 12, no. 7 (2001): 301–10. http://dx.doi.org/10.3406/barb.2001.28233.

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Poizat, Bruno. "Milieu et symétrie, une étude de la convexité dans les groupes sans involutions." Journal of Algebra 497 (March 2018): 143–63. http://dx.doi.org/10.1016/j.jalgebra.2017.10.007.

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Biarez, Sylvie. "Sphère locale et espace public." Lien social et Politiques, no. 39 (October 2, 2002): 127–38. http://dx.doi.org/10.7202/005059ar.

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Abstract:
RÉSUMÉLa complexité du système local en France se manifeste par la pluralité des acteurs institutionnels ou proches de leurs attentes, par la fragmentation des politiques et des territoires. Ces évolutions liées à l'économisme triomphant des années 1980, à l'utilitarisme gestionnaire des élus et au renforcement de la représentation politique contribuent à affaiblir la symbolique politique. La problématique des politiques publiques orientée vers l'action des élites, des groupes de pression ou des groupes corporatistes tend à banaliser les institutions et à écarter la réflexion sur une recomposition du champ politique. Face à la crise de l'État républicain, à la montée de l'individualisme et à des appartenances diverses, la notion d'espace public répond au besoin de révéler de nouvelles formes de médiation, de renouveler les approches élitistes en intégrant les conflits et l'action collective. Elle suppose une réflexion sur la gouvernabilité dans un système politique éclaté.
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Poizat, Bruno. "Groups of small Cantor rank." Journal of Symbolic Logic 75, no. 1 (March 2010): 346–54. http://dx.doi.org/10.2178/jsl/1264433925.

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Abstract:
Les groupes de rang de Morley fini satisfont des conditions extraordinairement favorables d'additivité et de définissabilité du rang, ainsi que des propriétés de généricité optimales, et pourtant leur étude pose des problèmes sérieux dès le rang trois, comme il a été montré dans un célèbre article de Gregory Cherlin [Cherlin, 1979]. Nous allons ici étendre les résultats de Cherlin au contexte plus acrobatique du rang de Cantor; il nous faudra remplacer les arguments reposant sur des propriétés générales du rang de Morley par des considérations ad hoc, qui ne fonctionnent que parce que les petits rangs ne laissent pas beaucoup de place, et les arguments de généricité, qui reposent en dernière analyse sur la symétrie de la déviation, par des propriétés de symétrie spécifiques aux ensembles auxquels ils sont appliqués. Nous invitons notre lecteur à considérer cet article, qui ne fait que démontrer péniblement des résultats d'intérêt anecdotique, comme une méditation sur la force cachée des axiomes introduits dans la préface de [Poizat, 1987].
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Morgan, Debra G., and Norma J. Stewart. "High versus Low Density Special Care Units: Impact on the Behaviour of Elderly Residents with Dementia." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 17, no. 2 (1998): 143–65. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800009235.

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Abstract:
RÉSUMÉL'ouverture d'une nouvelle unité de soins spéciaux a permis d'étudier l'effet de la densité sociale réduite (moins de résidents) et de la densité spatiale (plus d'espace par personne) sur le comportement de résidents avec démence. Deux groupes (N = 64) ont été observés pendant trois périodes espacées de six mois chacune. Tel que théorisé, il y a eu plus d'amélioration dans le comportement perturbateur et non perturbateur du groupe expérimental (passant de haute à basse densité) par rapport au groupe de comparaison (haute densité constante). Les résultats indiquent que la densité de l'unité résidentielle est un déterminant important pour le comportement des résidents âgés avec démence.
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Rosa, Marco, Patrizia Lucchi, Simona Ferrari, Bjørn U. Zachrisson, and Alberto Caprioglio. "Agénésie congénitale des incisives latérales maxillaires : évaluation parodontale et fonctionnelle à long terme après fermeture orthodontique de l'espace avec ingression de la première prémolaire et égression de la canine." L'Orthodontie Française 88, no. 4 (December 2017): 319–32. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2017022.

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Abstract:
Introduction : Les objectifs de cette étude sont d'évaluer, sur une période de 10 ans, chez des sujets présentant les agénésies d'une ou de deux incisives latérales maxillaires, l'éventuelle association entre la fermeture de l'espace orthodontique (avec, pour des raisons esthétiques, ingression de la première prémolaire et égression de la canine) et une éventuelle atteinte parodontale et/ou l'apparition d'une symptomatologie articulaire (troubles temporomandibulaires : DTM). Méthodes : Il s'agit d'une étude de cohorte rétrospective concernant des patients traités par le même orthodontiste. Le groupe expérimental avec agénésie comporte 26 sujets adolescents et jeunes adultes (9 hommes, 17 femmes), traités consécutivement par fermeture d'espace. Le groupe contrôle est composé de 32 patients orthodontiques (12 hommes, 20 femmes) présentant une denture complète et pas d'indication d'extractions. Dans le groupe expérimental, les profondeurs de poche et les saignements au sondage sont enregistrés à six endroits pour chacune des 657 dents (3942 sites parodontaux). Des données comparatives sont recueillies pour le groupe témoin au niveau des premières molaires, des prémolaires, canines et incisives latérales maxillaires, soit un total de 264 dents (1584 sites parodontaux). Mobilité et récession gingivale sont également évaluées. Nous avons demandé aux patients des deux groupes de remplir des questionnaires concernant la symptomatologie articulaire. Résultats : L'évaluation de la cavité buccale dans sa globalité dans le groupe « agénésie » montre une bonne santé parodontale, avec des profondeurs de poche au sondage inférieures à 4 mm, de rares sites de saignement et une mobilité normale des premières prémolaires substituées aux canines. On note quelques petites récessions, principalement sur les molaires et les secondes prémolaires. Les comparaisons entre les deux groupes concernant l'augmentation de profondeur de poche (supérieure ou égale à 4 mm) ou l'accroissement de mobilité ne montrent pas de différences statistiquement significatives au niveau des dents maxillaires. On note moins de saignement au sondage au niveau des sites interproximaux dans le groupe expérimental que dans le groupe contrôle, et ce de façon statistiquement significative. Les dents antérieures du groupe expérimental ne présentent pas plus de récession gingivale que dans le groupe contrôle. En outre, nous n'avons observé aucune différence de symptomatologie articulaire entre les deux groupes. Cela pourrait être dû à la petitesse de l'échantillon et/ou aux inconvénients liés à un protocole basé sur des enquêtes. Ainsi, à long terme, la santé des tissus parodontaux et l'incidence des dysfonctionnements ou des signes de DTM sont similaires dans le groupe de fermeture d'espace d'agénésie et dans le groupe témoin des patients bénéficiant de traitement orthodontique sans extraction. Conclusions : La fermeture orthodontique d'espace d'agénésie d'incisive latérale avec ingression de la première prémolaire et égression de la canine ne génère pas de risque de détérioration du tissu parodontal ou de DTM sur le long terme.
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Rekik, M., and Y. Billiet. "Le coloriage des familles de positions équivalentes générales et spéciales dans les groupes d'espace bidimensionnels quadricolorés." Acta Crystallographica Section A Foundations of Crystallography 49, no. 1 (January 1, 1993): 154–59. http://dx.doi.org/10.1107/s0108767392005890.

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Goldberg, Sylvie Anne. "De la Bible et des Notions D'espace et de Temps Essai sur l'usage des catégories dans le monde achkénaze du Moyen Age à l'époque moderne." Annales. Histoire, Sciences Sociales 52, no. 5 (October 1997): 987–1015. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1997.279615.

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Abstract:
En rédigeant, en 1960, son « Temps de l'Église et temps du marchand », Jacques Le Goff s'appuie sur le travail d'Oscar Cullmann pour affirmer : « Le Nouveau Testament apporte, ou précise, par rapport à la pensée judaïque, une nouvelle donnée : l'apparition du Christ, la réalisation de la Promesse, l'Incarnation donnent au temps une dimension historique, ou mieux, un centre. Désormais “ depuis la création jusqu'au Christ l'histoire tout entière du passé, telle qu'elle est relatée dans l'Ancien Testament, fait déjà partie de l'histoire du Salut”». Mais, en rappelant qu'Halbwachs avait nié l'existence d'un temps unificateur qui s'impose à tous les groupes et avait affirmé la coexistence d'autant de temps collectifs que de groupes séparés dans une société, J. Le Goff ouvrait la petite porte par laquelle je tente ici de m'engouffrer, appelant à une enquête qui « montrerait dans une société donnée, le jeu entre les structures objectives et les cadres mentaux ; entre les aventures collectives et les destins, de tous les temps au sein du temps ».
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Lapierre, Simon, Isabelle Côté, David Buetti, Amélie Lambert, Geneviève Lessard, and Marie Drolet. "Conflits entre conjoints ou contrôle des hommes sur les femmes ? L’expérience et le point de vue d’enfants et d’adolescents exposés à la violence conjugale." Enfances, Familles, Générations, no. 22 (June 9, 2015): 51–67. http://dx.doi.org/10.7202/1031118ar.

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Abstract:
Cet article présente les résultats d’une recherche empirique réalisée avec des enfants et des adolescents qui ont été exposés à la violence conjugale, dans le but de mieux comprendre leur expérience et leur point de vue sur la violence conjugale. Plus particulièrement, cet article s’intéresse à la façon dont ces jeunes définissent la violence conjugale. Privilégiant une méthodologie qualitative et participative, des groupes de discussions ont d’abord été réalisés avec 20 participants, suivis de 46 entrevues individuelles. Les participants étaient des enfants et des adolescents québécois et franco-ontariens qui ont été exposés à la violence conjugale. Dans l’ensemble, les résultats révèlent que, si la définition proposée par les enfants et les adolescents met l’accent sur l’exacerbation des conflits, renforçant ainsi le discours sur la symétrie de la violence conjugale, les expériences vécues mettent plutôt en évidence les inégalités liées au genre ainsi que le pouvoir et le contrôle des hommes sur les femmes.
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Cousineau, Jean-Michel. "L’effet du salaire minimum sur le chômage des jeunes et des femmes au Québec : une réestimation et un réexamen de la question." Articles 67, no. 2 (February 27, 2009): 144–65. http://dx.doi.org/10.7202/602031ar.

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RÉSUMÉ Les résultats d’estimation auxquels en arrive cette étude sont à l’effet qu’une hausse du salaire minimum relatif de 10 points de pourcentage contribue à accroître le chômage des jeunes et des femmes au Québec de l’ordre de 1,3 point de pourcentage dans chacun des cas. La méthodologie utilisée consiste à régresser le taux de chômage de chacun de ces groupes sur des variables d’offre, de demande et de salaire minimum relatif en données semi-annuelles sur la période 1968-1988 pour les femmes et 1976-1988 pour les jeunes. Par rapport à la littérature existante, on cherche à y préciser la portée des études utilisant le taux de chômage comme variable dépendante, on y re-spécifie les variables d’offre en tenant compte des possibilités de substitution ou de concurrence entre groupe pour les mêmes emplois, on y discute de la prise en compte du chômage structurel, des possibilités de relations non linéaires entre le salaire minimum et le chômage et de la symétrie de ces effets selon qu’on considère une phase de déclin ou de remontée du salaire minimum relatif. Les résultats se montrent très robustes à divers choix de la période d’observation.
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Forestier, Hubert, Heng Sophady, and Vincenzo Celiberti. "Le techno-complexe hoabinhien en Asie du Sud-est continentale : L’histoire d’un galet qui cache la forêt." Journal of Lithic Studies 4, no. 2 (September 15, 2017): 305–49. http://dx.doi.org/10.2218/jls.v4i2.2545.

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Abstract:
La préhistoire du Sud-est asiatique se caractérise par un matériel lithique dont les chaînes opératoires restent encore peu connues ou mal décrites. Cette méconnaissance s’explique par l’éloignement géographique de ces régions tropicales vis à vis des problématiques préhistoriques occidentales développées depuis maintenant deux siècles. La préhistoire de l’Extrême-Orient est complexe, originale, surprenante parfois paradoxale car en marge des grandes lignées techniques connues ailleurs pour la période concernée, celle qui a vu l’avènement de l’Homme anatomiquement moderne. Cette préhistoire régionale d’environ 2 millions de km2 que l’on nomme l’Asie du Sud-est péninsulaire ou continentale renvoie à l’élaboration d’une science en mouvement dont la construction est toujours d’actualité. En se heurtant à la thèse classique de l’évolution comme à celle du progrès technique, le Hoabinhien bouscule les règles et les repères en préhistoire. Il se situe aux antipodes du modèle classique (Eurasiatique, Africain) de développement des outils de pierre selon l’enrichissement et l’allègement progressif de l’outillage depuis la pebble culture jusqu’au Néolithique. C’est précisément sur cette singularité que porte notre réflexion à propos d’un phénomène technique unique qui reste difficile à positionner sur l’axe évolutif des industries tel qu’il existe ailleurs dans le monde ou en Asie de l’Est (Chine, Corée, Japon). La régularité et l’homogénéité des formes d’outils façonnées sur galet dans un vaste espace et sur une durée record de près de 30 000 ans sont les caractéristiques principales de ce technocomplexe peu orthodoxe qui interroge la capacité cognitive d’Homo sapiens en écosystème tropical humide. Mais aussi, la question de la nature des liens existants entre l’homme et ses productions lithiques ou la place occupée par la technique de la pierre taillée lors du développement humain dans cette région hors d’Europe.A cette monotone pérennité d’outils sur galet se greffe l’absence d’outils lithiques pointus (pointe, extrémité apicale, outil à bords saillants convergents, etc.) tels qu’ils se rencontrent partout ailleurs chez les groupes de chasseurs-cueilleurs qu’ils soient du Paléolithique supérieur ou (sub-)actuels.C’est pourquoi la stabilité de ces outillages sur galet cacherait tout un pan de complexité inconnu du domaine technique comme l’insaisissable travail des matières dures d’origine animale mais surtout végétale non conservées à ce jour dans les niveaux archéologiques. Le cheminement du minéral vers la question du végétal renvoie à la nécessité de compléter la « boîte à outils » des artisans préhistoriques hoabinhiens par des objets pointus. Connue à ce jour qu’à travers les données de l’ethnographie, la « civilisation du végétal » conduit tout naturellement à réfléchir sur l’importance de ce matériau périssable dans le bagage outillé des derniers chasseurs-cueilleurs de la forêt tropicale d’Asie du Sud-est continentale. Autrement dit, la possibilité d’une autre existence technique en équilibre avec le milieu extérieur.Après avoir mis en avant l’originalité du phénomène culturel hoabinhien au regard de l’impact de la recherche en préhistoire et en paléoanthropologie dans les régions du Sud-est asiatique, cet article présentera d’un point de vue strictement qualitatif, les chaînes opératoires du techno-complexe hoabinhien. Faciès industriel sur galet qui caractérise la principale culture technique des chasseurs-cueilleurs du Paléolithique final d’Asie du Sud-est entre environ 30 000 et 5 000 ans BP. Plus largement des précisions seront apportées d’une part sur l’inachèvement informatif du phénomène lithique en tant que donnée archéologique et d’autre part, sur son dépassement en tant que phénomène. Il s’agira donc de repenser l’envers de la dialectique lithique-lignic c’est-à-dire les objets du végétal à jamais disparus, à la lumière des objets de pierre taillée seuls conservés comme marqueurs de temps, de technique, d'espace et d’absence.
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"PARAMÈTRES DES LOCALISATEURS D'ESPACE EN FRANÇAIS ET EN OUZBEK." Philology matters, March 25, 2020, 146–53. http://dx.doi.org/10.36078/987654425.

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Dans cet article il s’agit de l'expression des localisateurs spatiaux et leurs paramètres spatiaux en français et en ouzbek. La comparaison des données du français avec celles d’ouzbek est un moyen de tester l’utilité de cette article pour la description des langues. Il y a les expressions de relations locales dans tous les systèmes linguistiques. Cette relation étudie dans la langue divisée en deux groupes, selon, les expressions nominatifs et les indices. L'étude de la nature déictique des localisateurs spatiaux a une place importante dans la pragmatique. Les deixis de l'espace en français sont également exprimées en termes de pronoms démonstratifs, adverbes de lieu, prépositions, ainsi que dans la langue ouzbèke, ils sont éxprimées par les pronoms demonstratifs, par les adverbes de lieu, par les cas qui sont importants pour déterminer les paramètres d’orientation dans l'espace. Les paramètres des localisateurs ont été étudiés en français et en ouzbek par sa classification comme une simple opposition proximité/éloignement par rapport au locuteur. L’orientation spatiale, les distances spatiales, les paramètres des localisateurs spatiaux, ainsi que la classification d’espaces visible/invisible, d’espaces défini/indéfini pour le locuteur ainsi que la distance proximité/éloigné de l'espace, la détermination la limite de l’espace du locuteur dans le texte sont analysés par les pluisieurs savants sur les bases d'exemples. On souligne aussi également que certaines unités exprimants relations locales ne peuvent pas former des oppositions.
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Diasio, Nicoletta. "Reconnaissance et pouvoir." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.036.

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Abstract:
« T'es noire, pauvre, moche, et en plus t'es une femme ». La protagoniste du roman d'Alice Walker (1999) à qui ces mots sont adressés, saura bien s'affranchir de la domination à laquelle ces marquages sociaux semblent la destiner. Une anthropologie non hégémonique questionne la manière dont des entités individuelles ou collectives, assignées à une position de subordination, et épinglées à une altérité légitimée par des inégalités sociales, économiques ou par une prétendue différence physique, identitaire ou culturelle, se saisissent de ces catégories pour les remettre en question, s'affirmer, se construire et retourner des positions de vulnérabilité en force. Ces retournements ne sont pas uniquement de l'ordre de la ruse ou des contre-pouvoirs de ceux qui campent dans la liminalité : elles impliquent des négociations, des actions, des jeux de rôles, des résistances qui font du pouvoir, un champ multiforme et mobile de relations stratégiques entre des individus et des groupes (Foucault 1984). Il s'agit alors d'analyser des rapports complexes et instables entre agentivité et gouvernementalité et les liens multiples qui se nouent entre puissance d'action individuelle, interactions sociales, institutions, savoirs et socio-histoires. Cette posture interroge la tension entre la vulnérabilité existentielle et l'organisation politique et sociale des vulnérabilités en tant qu’art du gouvernement de soi et d'autrui. Son ambition est de relever le défi lancé par Fassin, d'étudier les effets d'influence réciproque entre la « condition comme 'opération d'objectivation' par laquelle les structures et les normes sociales se traduisent dans la vie quotidienne […] dans la manière d'être vis-à-vis de soi, des autres et du monde, et l'expérience, comme 'opération de subjectivation' par laquelle les gens donnent forme et sens à ce qu'ils vivent » (Fassin 2005 : 332). La vision du pouvoir comme dispositif permettant à la fois l'émergence des subjectivités et leur contrôle, voire leur négation par réification, se trouve également au cœur du débat contemporain sur la reconnaissance et la visibilité sociale. Les luttes pour la reconnaissance semblent avoir, dans le monde contemporain, une étendue et une légitimité inédite. La reconnaissance semble devenir le langage à travers lequel s’expriment les luttes sociales aujourd’hui. Ce concept, venant de la philosophie politique et sociale, pour essaimer ensuite dans la sociologie et, plus tardivement, l’anthropologie, a été même envisagé comme une notion clé et un objet non reconnus, mais fondateurs des sciences sociales contemporaines (Caillé 2007 ; pour une analyse de la mobilisation et des usages du concept de « reconnaissance » dans les sciences sociales de 1993 à 2013, voir Bigi 2014). Une anthropologie qui se veut décentrée et engagée n’est pas étrangère aux postulats qui fondent le concept de reconnaissance : la prise en compte du statut relationnel et non plus substantiel du sujet, sa vulnérabilité constitutive, l'importance de la confirmation intersubjective de capacités et de qualités morales, la réciprocité comme manière d'arracher l'individu à une symétrie déniée, sa dimension performative (Honneth 2002, 2006; Ferrarese 2007). Cette anthropologie dialogique ambitionne à analyser autant les formes de relégation au silence, au mépris et à la disqualification, que les manières qu'ont les sujets -individuels et collectifs- de s'arracher à l'invisibilité et à l'humiliation (Battegay et Payet 2008). Cette anthropologie interroge également les contextes institutionnels et socio-juridiques, et ces espaces publics où prennent forme, s'expriment et se donnent à voir des besoins, des langages, des mediums, des collectifs nouveaux. Ces luttes questionnent enfin la co-construction de soi et de l'autre dans des processus de visibilité mutuelle : il en est ainsi, par exemple, de la minorité qui demande et de l'État qui reconnaît. Toutefois, une anthropologie non hégémonique est également appelée à débusquer les embûches d'une demande de reconnaissance qui risque de produire ou de reproduire des catégories sociales que fondent la réification, l'altérité ou l'asymétrie. « Je ne veux pas être la victime de la Ruse d'un monde noir », écrivait Frantz Fanon (1952: 186). Il en est ainsi de ces demandes de revendication et de défense identitaire qui, loin de défaire des identités, en montrant le caractère construit d'éléments tels que le genre, l'ethnie, la « race » ou l'orientation sexuelle, risquent de figer et de contraindre « les sujets mêmes [qu’elles] espèrent représenter ou libérer » (Butler 2005: 148). Ce modèle identitaire, dont le caractère illusoire et réifiant a été soulevé à plusieurs reprises (Clifford 1988; Bayart 1996; Fraser 2005), échoue dans sa demande de reconnaissance: il dissimule les asymétries et les compétitions sein du groupe, il occulte les formes de déplacement du pouvoir, il engendre des concurrences victimaires et renforce d'autres formes, moins visibles, d'assujettissement.
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Vinck, Dominique. "Science(s)." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.025.

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Abstract:
Les sciences désignent à la fois une série d'activités productrices de connaissances, plus ou moins différenciées d'autres activités sociales, et le résultat de ces activités (descriptions et énoncés de découvertes ou de lois décrivant ou prédisant des phénomènes, théories, méthodes de travail, savoir-faire incorporés, normes de comportement des scientifiques). Pour l'anthropologue, elles sont à la fois un objet de recherche et un cadrage (institutionnel, méthodologique et cognitif) de son travail, ce qui l'engage aussi dans une inévitable réflexivité. Du point de vue des sciences sociales, la science a été appréhendée (tradition mertonienne) comme une institution sociale distincte et exemplaire, dont la finalité est la production de connaissances rationnelles certifiées par les pairs. L'institution se caractérise par une structure normative qui régit le comportement des scientifiques telles que : universalisme, communalisme, désintéressement et scepticisme organisé. Les scientifiques qui agissent conformément à ces normes sont rationnels et humbles, capables de soumettre leurs productions à l’évaluation critique de leurs pairs, d’évaluer sans à priori le travail d’autrui et de s’auto-contrôler. Le respect de ces normes dépend de systèmes de communication (publication dans les revues scientifiques en particulier) et de gratification (nomination, distinction, obtention de fonds) dont l'analyse permet d'expliquer certains phénomènes de stratification au sein de la "communauté" scientifique. Cette approche a toutefois suscité de nombreux débats notamment quant à ce que représentent vraiment ces normes. Des contre-normes (p.ex. « garder le secret ») seraient aussi explicatives des comportements des scientifiques que les normes identifiées par Merton. Par ailleurs, dans leurs discussions internes, les scientifiques mobilisent autant les normes que les contre-normes pour défendre leur position ou affaiblir celle d’un collègue. Et surtout, ces normes seraient de nature idéologique et politique, utilisées par les scientifiques pour légitimer l’autonomie des sciences vis-à-vis du reste de la société, en particulier dans un contexte de montée en puissance de régimes autoritaires menaçant les scientifiques dans différentes régions du monde, comme ce fut le cas au cours du XXe siècle. Dans ce contexte, Merton (1973) a traité l'institution scientifique comme un modèle de démocratie des esprits, à l’abri des influences politiques. Toutefois, mobilisées au profit du développement technico-économique et de l’action publique (parfois militaire), les sciences constituent des sources de pouvoir, notamment en faisant autorité. Les questions de l'orientation et de la mobilisation des sciences fait dès lors l'objet de débats politiques récurrents. Elles soulèvent des questions de légitimité dans la société (sciences au service du progrès, de l'industrie, du prestige des Nations, de l'exploitation de la nature vs de projets de libération ou de résolution des problèmes auxquels le monde est confronté) tandis que leur spécificité a fait l’objet de nombreux débats chez les philosophes. Dans les relations Nords-Suds, elle est parfois traitée comme un enjeu des relations entre pays hégémoniques et non-hégémoniques ou en terme de centre-périphérie. Plus généralement, sa légitimité est questionnée vis-à-vis d'autres savoirs, locaux et indigènes notamment. De même, la fragmentation interne des sciences (prolifération de sous-spécialisations) a conduit les Nations Unies (convention de Rio de 1992) à demander qu'un effort d'intégration soit accompli car les problèmes auxquels sont confrontées les sociétés ont besoin d'une approche globale et non émiettée. Les dynamiques internes des sciences ont également été analysées de diverses autres façons : comme système d’échange de dons (Hagstrom 1965), comme système d’échange capitaliste et de lutte compétitive pour l’accumulation d’un capital symbolique (Bourdieu 1976), comme système politique où chacun tend à développer son domaine en gagnant de la crédibilité, convertible en ressources permettant de poursuivre (Latour, Woolgar 1988). Les relations entre scientifiques, voir aussi avec des non-scientifiques (industriels, médias, gouvernements, mouvements citoyens, communautés paysannes, etc.), constituent des réseaux sociaux dont les caractéristiques (taille, homogénéité / hétérogénéité, structure) expliquent les sciences en tant que phénomène social plus ou moins articulé à d'autres activités des sociétés. Depuis les années 1970, des chercheurs en sciences sociales (anthropologie, sociologie, histoire) ont investi l’étude des sciences en s’inspirant notamment des travaux de l’historien Kuhn (1957) (paradigme) et de l'anthropologie avec pour prétention de rendre compte des contenus (Sociology of Scientific Knowledge, SSK) et des pratiques scientifiques. Les sciences apparurent alors sous un nouveau jour. Les sciences sociales ne se cantonnent dès lors plus à l’examen des conditions sociales de possibilité de la science mais tentent d'expliquer aussi les productions scientifiques (données, théories, concepts) à partir de facteurs sociaux ou à partir des pratiques sociotechniques concrètes. Elles mettent en évidence la flexibilité interprétative des énoncés scientifiques (ni la nature, ni la méthode, ni la logique n’impose de vérité unique aux chercheurs) qui conduit à prendre en compte aussi d'autres facteurs explicatifs, notamment les rapports de forces, les mouvements de société, les traditions de pensée, les savoirs tacites, la nature du rapport au monde et à la nature, et les savoir-faire hérités. Du côté de la sociologie et de l'histoire, des auteurs vont rendre compte de l’action scientifique comme d'une rivalité entre scientifiques pour produire des énoncés de connaissances et les imposer aux autres. Ces scientifiques étant liés à des groupes sociaux, les intérêts de ces derniers orienteraient en partie le choix des objets de recherche, des approches et, par conséquent, les productions scientifiques. Les controverses entre chercheurs conduiraient ceux-ci à renforcer la robustesse de leurs affirmations et constitueraient ainsi un moteur des dynamiques scientifiques. Ces approches conduisent aussi à symétriser les analyses portant sur la constitution des savoirs scientifiques et celles portant sur les autres formes de savoirs, de systèmes de pensées ou de croyances. Des chercheurs britanniques (Bloor 1976 ; Collins 1985) prônent alors des principes de causalité, d'impartialité, de symétrie et de réflexivité dans l'étude des sciences. “Connaissances vraies” et “croyances fausses” devraient être expliquées par les mêmes registres de causalité (relations causales entre des variables sociologiques et contenus de connaissance, production négociée de connaissances consensuelles et clôture des controverses, analyse du discours). A la fin des années 1970, des chercheurs commencent à s’intéresser aux pratiques scientifiques concrètes. Ils observent les processus d’ajustement locaux et contingents et décodent les savoirs tacites incorporés dans les individus, instruments et formes d’organisation. Leurs études rendent compte de la production des faits, des données, des énoncés et des accords entre chercheurs, de l’articulation entre éléments hétérogènes, de la construction collective et négociée des publications. Adoptant des postures héritées de l'anthropologie, ils décrivent les processus de fabrication et de stabilisation des énoncés scientifiques en séjournant longuement au sein de laboratoires où se produisent des savoirs scientifiques. Ainsi, Latour, de retour d'une enquête en Afrique, débarque dans un laboratoire de biochimie réputé ; il cherche à y étudier “la pensée scientifique” en train de se faire et rend compte de l'importance des pratiques d'inscription. Il publie Laboratory Life. The Social Construction of Scientific Facts en 1979 (Latour, Woolgar, 1988). Knorr-Cetina (1981), en Allemagne, Lynch (1985), aux États-Unis, mobilisent l’ethnométhodologie et montrent les productions scientifiques comme des accomplissements pratiques situés. D’autres chercheurs héritiers de l’école pragmatique américaine et de l’interactionnisme symbolique de Chicago rendent aussi compte des productions scientifiques en rendant compte des perspectives des acteurs en présence. L’anthropologue Traweek (1988) étudie le monde des physiciens des particules, de même que d'autres le feront d'autres laboratoires (p.ex. Houdart 2013) ou de lieux de fabrication de connaissances technologiques (Downey 1998 ; Vinck 1999). Soucieux de rendre compte de l'intrication des sciences dans la société, notamment via les processus d'innovation, des chercheurs (Callon 1986 ; Latour 1989) conçoivent une approche (théorie de l’acteur-réseau, analyse des processus de traduction et de construction de réseaux sociotechniques) devant permettre de rendre compte des sciences et techniques en évitant les dichotomies héritées (nature/culture, sujet/objet, notamment). Ils ouvrent ainsi la réflexion sur une nouvelle anthropologie des connaissances.
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