Academic literature on the topic 'Guerre mondiale (1939-1945) – Services de renseignements'

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Dissertations / Theses on the topic "Guerre mondiale (1939-1945) – Services de renseignements"

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Kahn, Martin. "Measuring Stalin's strength during total war : U.S. and British intelligence on the economic and military potential of the Soviet Union during the Second World War, 1939-1945 /." Göteborg : Ekonomisk-historiska institutionen, Goteborgs universitet, 2004. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39917694w.

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Rossé, Christian. "Les échanges de l'ombre : passages des services de renseignements suisse et alliés à travers la frontière de l'Arc jurassien 1939-1945." Thesis, Belfort-Montbéliard, 2013. http://www.theses.fr/2013BELF0010/document.

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Abstract:
Durant la période de l’Occupation de la France, la frontière franco-suisse est bien gardée par les Allemands, secondés par les douaniers français, et les Suisses. Ses franchissements sont sévèrement réglementés. Les autorisations sont délivrées au compte-goutte. Elle se veut une barrière hermétique pour lutter par exemple, du côté allemand, contre la fuite de prisonniers de guerre ou de gens persécutés, l’espionnage, le marché noir, et, du côté suisse, contre l’afflux de réfugiés clandestins et la contrebande. Elle est doublée d’une zone interdite, sur sol français, dans laquelle il faut montrer patte blanche pour circuler. En principe donc, l’espace à proximité de la frontière est supposé être un no man’s land mort, occupé uniquement par les sentinelles.Mais, dans la réalité, cet objectif est bien loin d’être atteint. L’espace de la frontière est le lieu d’une intense activité clandestine. L’élément clé en est le passeur. Ce dernier est généralement soutenu par les « by-standers », soit les frontaliers qui, sans franchir eux-mêmes la frontière, leur offrent une assistance logistique (hébergement, nourriture, …). Grâce à ces réseaux, une masse hétéroclite de personnes et de choses, voire d’animaux, franchissent la frontière dans les deux sens : réfugiés juifs, prisonniers de guerre français ou polonais, espions suisses et alliés, résistants et maquisards français, marchandises de tous genres, courrier, etc.La mission du Service de renseignements suisse (SR) est de fournir au commandant en chef de l’armée et à l’Etat-major général les informations dont ils ont besoin pour prendre leurs décisions. L’acquisition de l’information est en théorie la tâche des postes extérieurs répartis le long de la frontière, ainsi que des centrales de collecte. Parmi les différentes méthodes employées pour rassembler les renseignements figurent l’étude des rapports des attachés militaires à l’étranger, l’exploitation des lignes de renseignement, mais aussi l’envoi de l’autre côté de la frontière suisse d’agents en mission.Les bons résultats du SR obtenus entre 1940 et 1944 sont dus en grande partie à la collaboration mise en place, à tous les niveaux, avec les services de renseignement étrangers et les réseaux de résistance. La Suisse a en effet été choisie par bon nombre d’organisations alliées comme plaque-tournante pour leurs réseaux de renseignement. Les informations convergent de toute l’Europe vers les représentations diplomatiques établies en Suisse avant d’être transmises par celles-ci, via des postes émetteurs, à destination de Londres, Moscou ou Washington.Que ce soit au niveau du commandement du SR ou des postes extérieurs, les hommes de Roger Masson tirent avantage de ce flux et établissent un rapport de donnant-donnant avec les réseaux étrangers. En échange d’informations pouvant intéresser la défense nationale, ils organisent le franchissement de la frontière aux agents étrangers et laissent les agents de la communauté internationale du renseignement vaquer à leurs occupations en toute impunité sur le territoire helvétique.Le SR est parfaitement intégré dans la communauté internationale du renseignement établie sur le territoire suisse durant la Seconde Guerre mondiale. Sur le terrain, il partage ses agents et ses passeurs avec les réseaux étrangers
The Franco-Swiss border was well guarded during the French occupation, on the one side by the Germans, seconded by the French customs and on the other, by the Swiss. Border crossings were strictly controlled and the border was supposed to be water-tight. The French side of the border was doubled by a first zone accessible only by special authorisation, and a second forbidden zone 1 to 3 km wide stretching along the frontier. In the minds of the German occupying forces, this corridor along the border was supposed to be a no man’s land in which only the border guards patrolled.This ideal was a long way from being the achieved, since the corridor was the scene of intense clandestine activity. The key player was the ‘passeur’ who smuggled across the border and who was usually assisted by by-standers, residents on both sides of the border-zone who did not cross the border themselves, but who supplied the logistical support of safe houses, food etc… Thanks to this network of smugglers and by-standers, a heterogeneous mass of people, objects and even animals crossed the border in both directions – French and Polish POWs, Jewish refugees, Allied airmen, Swiss and Allied spies, French resistance fighters, post, and all sorts of merchandise…The Swiss Intelligence Service (SR) was tasked with supplying the commander-in-chief and the AHQ with the information which would allow them to lead the army. The collection of information was in theory the task of the outposts spread along the border as well as of the central stations. Amongst the various methods used to collect the raw information – such as the questioning of travellers and deserters, the study of reports issued by Swiss military attachés abroad and the exploitation of intelligence lines– the SR sent agents on missions beyond the Swiss borders.Part of the mechanism which allowed the SR to be well informed between 1940 and 1944, was its collaboration at all levels with the foreign secret services and the resistance networks. In fact a number of Allied organisations chose Switzerland as the hub of their intelligence networks. Information converged from all over Europe towards the embassies and consulates established in Switzerland, and these in turn transmitted it via radio emitters from their delegations, or via clandestine ones, to London, Moscow or Washington.Whether it was at the level of the head of the SR, or of the listening posts, Roger Masson’s men took advantage of this flow and set up relationships on a give and take basis with the foreign networks. In exchange for information affecting the security of the nation, they organized the border crossings of foreign agents and of documents coming from abroad, and allowed the international intelligence community agents to go about their business with almost total impunity on Swiss soil.The SR was perfectly integrated into the international ‘intelligence community’ established on Swiss soil during World War II. In the field, it ‘shared’ its agents and smugglers with the foreign networks
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Jarry, Maud. "La France, les Français et les armes de représailles allemandes V1-V2, 1943-1945." Paris, Institut d'études politiques, 2008. http://www.theses.fr/2008IEPP0012.

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Abstract:
La fusée A4/V2 et la bombe volante Fi 103/V1 virent le jour à la fin de 1942, au moment où les Alliés infligèrent aux forces de l'Axe leurs premières défaites et que la RAF commençait à bombarder les villes allemandes. Ces raids amenèrent un désir de vengeance contre l'Angleterre, que l'invention de ces armes rendait possible. De 1943 à 1945, en raison du choix de la cible et de la portée des engins, la France et les Français se retrouvèrent au cœur de la lutte que se livrèrent Allemands et Alliés au sujet de l'emploi des armes V, en apportant à chacun des deux protagonistes son aide. Ainsi, contraints ou volontaires, des Français aidèrent économiquement, socialement et militairement les Allemands à construire leurs bases de lancement et à produire leurs armes. A l'inverse, d'autres luttèrent aux côtés des Alliés pour faire échec au plan allemand. La Résistance française fut, en effet, aux premières loges pour informer les services secrets implantés à Londres, dont le BCRA, sur l'implantation des sites et la nature de ces armes. Les sites furent alors bombardés par la RAF appuyée par l'USAAF et les FAFL. Si ces attaques retardèrent la mise en action des armes V, elles ravagèrent les campagnes françaises. Après le 6 juin 1944, les Allemands réussirent à utiliser leurs engins. Les bases françaises furent alors encore plus bombardées, avant que les troupes alliées en prennent possession à la fin de l'été. Leur inspection réalisée parfois avec des Français intéressés par cette nouvelle technologie, et les découvertes d'engins permirent, par la suite, de jeter les premières bases techniques de toutes les fusées modernes à l'origine de la conquête spatiale
The A4 / V2 rocket and the Fi 103 / V1 flying bomb were developed at the end of 1942, at the time when the Allies began defeating the Axis Powers and when the RAF began to bombard Germany cities. These raids fed a desire for revenge against England, which these weapons made possible. From 1943 to 1945, because of the choice of the target and the range of the rockets, France and the French found themselves caught in the middle of the battle that the Germans and the Allies fought over the implementing of the V weapons. The French helped each side. They helped the Germans, whether under constraint or as volunteers, economically, socially and militarily, to build their launch ramps and to produce their weapons. On the other hand, other French fought on the side of the Allies to make the German plan fail. The French Resistance, in the front lines, informed secret services based in London, including the BCRA, providing information concerning the sites and the description of the arms. The sites were then bombarded by the RAF, which was supported by the USAAF and the FAFL. Although these attacks slowed the use of the V weapons, they also destroyed the surrounding countryside. After the D-Day, the Germans succeeded in firing their rockets. The French bases were then even more intensively bombed until the allied troops captured them at the end of the summer. Their inspection, carried out sometimes with French interested by this new technology, as well as the discovery of the rockets themselves, provided the technical basis of modern rocket science, which in turn led to the exploration of outer space
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De, Witte Parra Mona. "La protection du renseignement britannique, américain et allemand pendant la Seconde Guerre mondiale." Thesis, Reims, 2016. http://www.theses.fr/2016REIML004.

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Abstract:
Cette thèse est consacrée à l’étude de la protection des sources de renseignement britanniques pendant la Seconde Guerre mondiale, en enrichissant cette analyse grâce à des éléments de comparaison avec les pratiques privilégiées aux États-Unis et en Allemagne. Dans ces trois pays, des approches très différentes sont adoptées afin de s’assurer de la durabilité des sources et de pouvoir continuer à exploiter ces données précieuses, témoignant d’appréhensions variées de l’impératif de préserver ces sources et de politiques diverses à l’égard du choix complexe entre utilisation d’un renseignement et préservation de son origine, entre exploitation à court terme et bienfaits sur une échéance plus longue dans un contexte de guerre. En s’appuyant sur de nombreux documents d’archives civils et militaires des trois pays, cette étude présente leurs attitudes divergentes et permet de faire la lumière sur les véritables performances des services de renseignement des trois pays. Il est nécessaire de s’interroger sur le bien-fondé de la réputation de secret qui semble caractériser les agences britanniques, par opposition à leurs homologues américains, et sur le véritable succès des services allemands dans un pays marqué par de profondes divisions.Cette recherche détaille la coopération équivoque entre le Royaume-Uni et les États-Unis, qui a posé quelques-uns des premiers jalons de la « special relationship », la « relation spéciale » entre les deux pays, toute d’ambiguïté. Cette association est le théâtre de l’inversion du rapport de forces des deux puissances dans ce domaine comme dans bien d’autres. De plus, l’analyse des échanges des agences britanniques avec leurs homologues français et soviétiques permet d’adopter une nouvelle perspective dans l’étude de leurs relations internationales et de ces alliances complexes aux contours fluctuants
This thesis investigates the protection of British intelligence sources during World War Two, and includes a comparison with American and German practices. In these three countries, intelligence officers adopted very different approaches to preserve these sources and to ensure that the latter could be used in the long term. Each country had a different perception of the balance between the immediate use of intelligence and the protection of its sources, between the short-term benefits and long-term preservation of these assets in the context of the war. Drawing on a vast amount of archival material, both civilian and military, this research presents these three countries’ various approaches and uses this analysis to reflect on their concrete achievements. This study interrogates the preconceived ideas about these countries’ intelligence practices, in particular the reputation of secrecy of the British agencies, as opposed to the lack of discretion of their American counterparts. Moreover, this thesis emphasises the particular situation of German secret services in a very divided country.The ambiguous cooperation between Britain and the United States during the Second World War helped pave the way for their « special relationship ». During the war, the balance of power between the two nations shifted dramatically, in the intelligence field as in many others. Moreover, the analysis of the exchanges between the British intelligence officers and their French and Soviet colleagues opens new research avenues in the study of their international relations and on these complex and fluctuating alliances
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Albertelli, Sébastien. "Les services secrets de la France Libre : le Bureau central de renseignement et d'action (BCRA), 1940-1944." Paris, Institut d'études politiques, 2006. http://www.theses.fr/2006IEPP0037.

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Abstract:
Entre 1940 et 1944, le Bureau Central de Renseignement et d’Action (BCRA) assura la liaison entre la France Libre – à Londres et à Alger – et les résistants qui, en France, luttaient contre l’occupant. Ce service secret d’un type nouveau fut créé et dirigé par André Dewavrin (Passy). Tout au long de la guerre, il s’attacha avec succès à mettre sur pied des réseaux de renseignement avec le soutien de l’Intelligence Service. A partir de 1941, il entreprit de mener une action de type paramilitaire en collaboration avec le Special Operations Executive (SOE). Il s’agissait de créer une Armée Secrète obéissant au général de Gaulle et d’élaborer et mettre en œuvre des plans de destruction afin d’entraver la capacité de réaction de l’occupant au moment du débarquement. A partir de juin 1942, il fut en outre chargé de mettre en œuvre les missions politiques élaborées par le Commissariat National à l’Intérieur. Ce service aux fonctions étendues suscita convoitises et critiques. Les adversaires du général de Gaulle lui reprochèrent d’être un puissant instrument au service des ambitions politiques du chef de la France Libre. De fait, de Gaulle veilla toujours à en conserver le contrôle, s’assurant ainsi le contrôle de l’action en France. Le BCRA servait sa politique d’affirmation de la souveraineté française vis-à-vis des Alliés et sa politique d’affirmation de l’autorité de l’Etat vis-à-vis des résistants métropolitains. Parmi les gaullistes, on reprocha au BCRA de s’être mué en Etat dans l’Etat. De fait, l’importance que revêtait l’action de ce service pour le succès du projet politique gaulliste permit à ses dirigeants de se ménager une place de choix au sein de l’Etat gaulliste
From 1940 to 1944, the Bureau Central de Renseignement et d’Action (BCRA) was the link between the Free French – in London and Algiers – and those who, in France, committed themselves in the resistance against the occupying forces. This service of a new type was created and managed by André Dewavrin (Passy). Throughout the war, an important and successful part of its activities has been to collaborate with the Intelligence Service to create intelligence networks. In 1941, it started to collaborate with the Special Operations Executive (SOE) in order to create a Secret Army under the orders of general de Gaulle as well as to conceive and to implement destruction plans so that the reaction of the enemy would be delayed when the allied landing happens. After June 1942, the BCRA was also in charge of implementing the political missions that the Commissariat National à l’Intérieur was working out. A service with so wide functions was subject to covetousness and criticisms. It was accused by de Gaulle’s enemies to be a powerful instrument that served the political ambitions of the Free French leader. It is a fact that de Gaulle has always been anxious to keep his control on the BCRA, consequently on action in France. This service served his will to assert French sovereignty towards the Allies and to assert the state authority towards the leaders of resistance organisations in France. Among de Gaulle’s followers, some accused the BCRA to turn into a law under itself. It is a fact that the activities of this service were so important for the success of de Gaulle’s political plans that its leaders could secure themselves an important position in the gaullist state
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Pollack, Guillaume. "A travers les frontières : la résistance des réseaux (1940-1945)." Thesis, Paris 1, 2020. http://www.theses.fr/2020PA01H045.

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Abstract:
Cette thèse a pour but de poser les premiers jalons d’une étude globale sur la résistance des réseaux déployés par les services secrets allies durant la Seconde guerre mondiale (1940-1945). Il s’agit tout d’abord d’analyser les caractéristiques organisationnelles et les dynamiques de ces organisations, au regard d’une interrogation centrale : comment les réseaux ont-ils réussi à passer outre les frontières politiques dressées par les nazis et leurs allies après leur victoire à l’été 1940 ? Comment sont-ils parvenus, en quatre années, à construire des communications transfrontalières avec leur état-major réfèrent ? L’interrogation porte également sur la manière dont la guerre clandestine menée par les agents bouscule les frontières politiques, sociales et genrées des sociétés d’où les réseaux émergent
This thesis is the first global study about French Resistance networks during the Second World War (1940-1945). We ask several questions. How did these organisations break out political borders built in Europe by the Nazis after their victory in France in May-June 1940 ? How did these networks construct communications beyond these borders (by air, earth and sea) with the Allied secret services in only four years ? Finally, through the study of fighting experience, the role distribution in these networks and the question of repression, we also wonder : how did the clandestine war disrupt gender relations between men and women fighting against the Nazis ?
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O'Keefe, David R. "Bitter harvest, a case study of Allied operational intelligence for Operation Spring Normandy, July 25, 1944." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1997. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp03/MQ26354.pdf.

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Romon, François. "Les écoutes radioélectriques et les services techniques des Transmissions dans la Résistance française, 1940-1945 : le Groupement des contrôles radioélectriques (GCR), le Service des transmissions nationales (STN) et le « Groupe Romon » du Service de renseignements (SR) Alliance." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040034.

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Abstract:
Une forme de résistance spécifique et méconnue : la continuation du combat contre l’envahisseur allemand menée au sein des services techniques des Transmissions de l’armée française, notamment du Groupement des contrôles radioélectriques (GCR), dès le lendemain de l’armistice de juin 1940, et poursuivie jusqu’à la victoire finale. Une résistance initiée par des officiers des Transmissions au coeur même des institutions de l’Etat français, consistant à communiquer secrètement du renseignement militaire aux Forces alliées. Cette résistance latente débouche, après novembre 1942, sur une résistance active par la formation d’un réseau clandestin, le Service des transmissions nationales (STN), sous l’égide de NAP-PTT, puis sur son intégration, en octobre 1943, sous le nom de « Groupe Romon », au réseau Alliance, ainsi que sur l’entrée de nombreux opérateurs radio du GCR dans divers autres réseaux de résistance.Le cas d’une résistance intérieure, qui a contribué efficacement à la victoire finale des Forces alliées, malgré une répression systématique et féroce de l’occupant
A specific and hardly known way of resistance: the continuation of the fight against the german invader led within the technical services of Transmissions of French army, especially the Groupement des contrôles radioélectriques (GCR), the Radio control Group, immediatly after the armistice of June 1940 and carried on until the final victory. A resistance at the initiative of Transmission officers, which, at the heart of the institutions of the Etat français, French State, have secretly communicated military intelligence to the allied Forces. This latent resistance leads, after november 1942, up to an active resistance by the implementation of a clandestine network, the Service des transmissions nationales (STN), the National Transmissions Service, under the aegis of NAP-PTT, then to its integration, in october 1943, under the name « Groupe Romon », to the resistance network Alliance, as well as the commitment of numerous GCR transmitters in various other resistance networks.The case of a resistance from the inside which has effectively contributed to the final victory of the Allied, despite a systematic and ferocious repression from the occupant
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Nouat, Romaric. "Soigner la Grande Guerre : Le Service de Santé aux Armées dans la 9e région militaire durant la Première Guerre mondiale." Thesis, Tours, 2016. http://www.theses.fr/2016TOUR2002/document.

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Abstract:
Lors de la Première Guerre mondiale, les soins des malades et des blessés ainsi que la surveillance médicale des soldats et des civils sont indispensables pour la poursuite du conflit. L’étude de l’organisation hospitalière dans la 9e région militaire, dirigée par le Service de Santé aux Armées, lève le voile sur cette thématique loin du front. Elle permet de montrer toutes les adaptations de ce système hospitalier face aux réalités de la Grande Guerre où l’armée française compte environ 1 400 000 morts et des millions de malades et blessés. Elle montre toutes les interactions entre les acteurs de ce système hospitalier : le Service de Santé aux Armées, la Croix-Rouge, les autorités civiles et la population. Enfin, elle dévoile comment sont soignés les soldats dans une région éloignée du front qui devient peu à peu un front médical secondaire dans la chirurgie d’urgence mais indispensable pour la préservation des effectifs et pour la prise en charge des mutilés de cette guerre
During the World War I, health care and supervision of soldiers are essential for the continuation of the war. Indeed, the French Army has millions of seek and wounded people during the battles and 1,400,000 dead people. The study of the hospital’s organization in the 9th French Military District shows an unknown history: those of soldier’s care in areas far from the battlefront. This study demonstrates the adaptation of this hospital’s organization to the evolution of the conflict and the care. It shows the function of each person who participates in these care: Red Cross “Croix Rouge”, Army Health Service, inhabitants, and civilian authorities. This study is showing which care are given to seek and wounded soldiers in this area and who are the medical practitioners who are giving the care. During the World War I, the 9th French Military District steadily becomes a secondary area in the chirurgical emergencies, but an important area for the soldier’s medical supervision
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Durand, Mathieu. "L'« observateur » officieux : John Franklin Carter et son réseau du renseignement au service du président Roosevelt de 1941 à 1945." Mémoire, 2010. http://www.archipel.uqam.ca/2738/1/M11317.pdf.

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Abstract:
Ce que nous nommons ici le réseau Carter fut un service secret de renseignements financé à l'aide des fonds d'urgence présidentiels, fonds octroyés en vertu du Military Appropriation Act, qui mena de nombreuses opérations sans aucun statut officiel pour le compte personnel du président Roosevelt de 1941 à 1945. À la tête de ce réseau figurait un dénommé John Franklin Carter, un éditorialiste libéral travaillant aussi à titre de romancier et rédacteur de discours. Jusqu'à ce jour, il n'existe aucun ouvrage de synthèse consacré au réseau Carter alors que certaines de ses assignations les plus importantes ont fait l'objet d'études spécifiques. À l'aide des monographies existantes sur le sujet et de sources, dont l'essentiel est constitué de mémorandums de Carter à l'intention du Président, notre recherche propose un bilan et une évaluation des principales assignations de l'agence Carter, ainsi qu'un examen de l'évolution organisationnelle de ladite agence. L'observation des divers champs d'activités du réseau nous amènera aussi à traiter d'assignations peu ou non étudiées. En procédant ainsi, nous montrerons que le réseau Carter fut utile à Roosevelt puisqu'il constituait un canal d'informations supplémentaires permettant à ce dernier de bénéficier d'un service capable de contourner son propre système de renseignement, d'épier et d'évaluer les services de renseignement concurrents ou toute autre personne ou organisation suspecte aux yeux du Président, de fournir des analyses politiques et du renseignement tant étranger que domestique, et finalement d'être une organisation capable de mener secrètement des projets spéciaux. Selon nous, grâce aux services du réseau Carter, Roosevelt bénéficiait d'un outil qui, sans être le plus important parmi ceux à sa disposition, était unique en son genre et comportait des fonctionnalités multiples. En somme, nous soutenons que malgré des lacunes évidentes, le réseau Carter contribua tout de même à l'effort de guerre et aida à l'instauration d'un système de renseignement plus efficace. De fait, nous soutiendrons que le réseau Carter fut utile, sans toutefois être important. Cela étant, une meilleure connaissance du réseau Carter permettra de mieux connaître la pensée du président Roosevelt et d'enrichir la connaissance au sujet de l'évolution du renseignement américain à un moment où celui-ci était en pleine métamorphose. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : John Franklin Carter, Franklin Delano Roosevelt, Agences américaines du renseignement, États-Unis, Deuxième Guerre mondiale.
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Books on the topic "Guerre mondiale (1939-1945) – Services de renseignements"

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Informatory Stalina: Neizvestnye operacii sovetskoj voennoj razvedki, 1944-1945. Moskva: Centrpoligraf, 2009.

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Gabriel, Pospisil, ed. Betty Pack: L'espionne qui changea le cours de l'histoire. Paris: A. Michel, 1995.

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Cautious beginnings: Canadian foreign intelligence, 1939-51. Vancouver: UBC Press, 2008.

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Wilford, Timothy. Canada's road to the Pacific War: Intelligence, strategy, and the Far East crisis. Vancouver: UBC Press, 2011.

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5

k, Ja nos Sebo. Az i te let napja. Budapest: Ne pszabadsa g Ko nyvek, 2006.

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Bonnet, Yves. Les services secrets français dans la Seconde guerre mondiale. Rennes: Éditions Ouest-France, 2013.

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7

Casey, William J. The secret war against Hitler. Washington, DC: Regnery Gateway, 1988.

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J, Casey William. The secret war against Hitler. Washington, DC: Regnery Gateway, 1988.

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9

The secret war against Hitler. New York: Berkley Books, 1989.

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10

J, Jensen Richard, ed. World War II on the Web: A guide to the very best sites. Wilmington, Del: Scholarly Resources, 2003.

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