Academic literature on the topic 'Handicapés – Orientation et mobilité'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Handicapés – Orientation et mobilité.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Handicapés – Orientation et mobilité"

1

Le Neindre, B., D. Vandevoir, F. Lericheux, and M. Letourneux. "Accessibilité à l’entreprise pour les handicapés et personnes à mobilité réduite : un CD-Rom de sensibilisation et d’aide à la décision." Archives des Maladies Professionnelles et de l'Environnement 65, no. 2-3 (May 2004): 223. http://dx.doi.org/10.1016/s1775-8785(04)93297-3.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Au, Anita, Martine T. E. Puts, John D. Fletcher, Nadia Sourial, and Howard Bergman. "Frailty Markers Predicting Emergency Department Visits in a Community-Dwelling Sample of Vulnerable Seniors in Montreal." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 30, no. 4 (October 3, 2011): 647–55. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980811000511.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉLa fragilité met les individus à un risque accru de mauvaise santé. Les personnes âgées consomment une quantité disproportionnée des ressources du service des urgence [SU]. Afin d’étudier la relation entre les marqueurs de fragilité et l’effet sur l’utilisation des services des urgence par les personnes âgées vivant dans les communautés, nous avons mené une analyse secondaire d’un essai prospectif randomisé contrôlé de 22 mois à Montreal, au Canada, en utilisant la base de données du Système de services intégrés pour personnes âgées en perte d’autonomie (SIPA). Nous avons evalué un échantillon de 565 individus, avec cinq marqueurs de fragilité : l’activité physique, la force, la cognition, l’énérgie et la mobilité. Une régression logistique univariée et multivariée a été réalisée afin d’évaluer la relation potentielle entre les marqueurs de fragilité et les visites aux urgences. Les résultats ont révelé que 70 pour cent des participants avaient au moins trois marqueurs de fragilité. Cependant, aucune relation n’a été trouvée entre les marqueurs de fragilité et les visites aux urgences. Ces résultats suggèrent, donc, que parmi les personnes âgées fonctionellement sévèrement handicapés au sein des communautés, la présence de marqueurs de fragilité ne semble pas prévoir les visites aux urgences.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Sarria Cabrera, Marcos Aparecido, Mara Solange Gomes Dellaroza, Celita Salmaso Trelha, Celso Henrique Cecilio, and Sara Ellias de Souza. "One-Year Follow-up of Non-institutionalized Dependent Older Adults: Mortality, Hospitalization, and Mobility." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 31, no. 3 (July 18, 2012): 357–61. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980812000244.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉLes aînés dépendants qui ne sont pas institutionnalisées présentent une forte morbidité et mortalité, exigent des soins de leurs familles et consomment de ressources primaires de soins de santé. Pour élargir les connaissances en ce qui concerne ce groupe, nous avons effectué une étude prospective d’un an, basée sur la population de cohorte de 130 personnes âgées dépendantes et non-institutionnalisées (60 ans et plus). Cette étude a été stratifiée en fonction du degré de la mobilité: la marche indépendante (groupe A), l’utilisation des aides pour la marche (groupe B), et alité ou confiné au fauteuil roulant (groupe C). Les résultats analysés étaient les suivants: la mort, l’hospitalisation, et l’incapacité de se déplacer. La mortalité totale était au pourcentage de 8.5 (p = 0,05). Le taux global d’hospitalisation était au pourcentage de 34,6, les principales causes étant l’AVC et la pneumonie. La mortalité totale était de 8,5 pour cent (p = 0,05). Le taux global d’hospitalisation était de 34,6 pour cent, les principales causes étant l’AVC et la pneumonie. À la fin d’un an, la proportion de sujets classés comme capables de marcher d’une façon indépendante a baissé (57% contre 43%, p = 0,03). Nous pourrions déduire qu’il y avait un taux élevé de mortalité et d’hospitalisation dans ce groupe de personnes âgées dépendantes, et une proportion croissante de gens handicapés après un an.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Cormier, Clément. "Commentaire." II. Perspectives écologiques 3, no. 1-2 (April 12, 2005): 168–70. http://dx.doi.org/10.7202/055124ar.

Full text
Abstract:
Le titre même de cette communication indique dès le départ deux lacunes majeures des recherches sociologiques sur le Canada français. Il est en effet bien symbolique que l'on doive traiter comme un même sujet les études sur les milieux de travail et l'analyse de la stratification sociale. Ceci indique combien nous avons encore peu développé ces deux domaines de recherche. Nous croyons pourtant qu'une connaissance plus précise de la division de notre société en classes et en strates sociales apporterait l'armature centrale à presque toutes nos recherches sociographiques. Il est frappant de constater, en parcourant notre littérature sociologique, combien nos chercheurs déplorent souvent cette lacune. L'appartenance à une strate ou à une classe sociale constitue en effet une des variables les plus communément utilisées en recherche sociologique. Le fait que l'on ne puisse s'appuyer sur un ensemble de travaux dans ce domaine impose donc toujours de sérieuses limitations à nos recherches. De même, dans une société industrielle et technologique qui vient tout juste de succéder à une société de type agricole et artisanal, les milieux de travail sont des objets d'étude privilégiés pour le sociologue. L'évolution globale des occupations, les transformations des conditions de travail dans un grand nombre d'emplois, l'adaptation à de nouveaux modes et à de nouveaux milieux de travail, la mobilité professionnelle, voilà autant de problèmes qui se présentent dans l'usine, dans l'entreprise commerciale, dans le bureau, dans l'école ou l'université, etc. C'est dans ces cadres en évolution que se façonne une partie de la culture et de la mentalité de la population. Les traditions marxistes et durkheimienne à la fois nous ont appris à ne pas minimiser — sinon à privilégier — l'impact de l'infrastructure de la division du travail sur l'ensemble socio-culturel. C'est donc sous le signe de cette double lacune que se situe le présent exposé. Ceci n'est cependant pas dit pour diminuer l'importance des travaux déjà faits. Les jalons posés prennent au contraire une plus grande valeur du fait qu'ils indiquent une première orientation pour les recherches que l'on peut espérer dans un avenir prochain. En analysant ces travaux, il m'a semblé qu'on pouvait les regrouper sous trois thèmes principaux : l'évolution historique de la structure occupationnelle, la répartition des groupes ethniques dans les différentes catégories d'emplois et les études de stratification et de mobilité sociales. Ce sont ces trois thèmes que je me propose de présenter successivement.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Morin, Géraldine, Doubangolo Coulibaly, Christian Corniaux, René Poccard Chapuis, S. I. Sidibé, and Charles-Henri Moulin. "Dynamiques des unités de production laitière dans le bassin d’approvisionnement de la ville de Ségou au Mali." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 60, no. 1-4 (January 1, 2007): 89. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9981.

Full text
Abstract:
L’augmentation de la demande en lait frais, liée à la croissance urbaine, peut être une opportunité pour le développement de l’élevage bovin autour de la ville. Pour le bassin d’approvisionnement de la ville de Ségou (Mali), dominé par des circuits commerciaux informels, l’objectif de l’étude a été de comprendre les transformations des unités de production laitière. Des entretiens ont été conduits auprès de vingt chefs de famille pour retracer l’histoire de l’élevage bovin et de la gestion du lait dans leur concession, des années 1970 à 2005. Trois types d’unités laitières ont été distinguées : a) les agroéleveurs avec un faible prélèvement et une gestion du lait par les femmes, b) les agroéleveurs avec une production laitière soutenue et une gestion du lait par le chef de famille, et c) les commerçants urbains avec un troupeau bovin à orientation laitière. Le commerce du lait en ville a été un facteur de développement de la production laitière par extension du bassin d’approvisionnement (unité de type b), mais il n’a pas permis l’émergence de nouvelles techniques de production, notamment du fait du manque de crédit (types b et c) ou de la répartition des rôles entre hommes et femmes dans la gestion du lait (type a). Les éleveurs ont cependant fait évolué leurs pratiques : allotement des laitières, augmentation de la mobilité du reste du troupeau, complémentation en saison sèche, stockage des résidus de cultures, en réponse à la raréfaction des ressources à pâturer.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Chandellier, L., M. Douniol, M. F. Jean-Bordes, and P. Turpin. "Naissance et premiers pas d’une équipe mobile de pédopsychiatrie destinée aux mineurs confiés à l’Aide sociale à l’enfance de Paris (ASE)." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 67. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.177.

Full text
Abstract:
Projet inaugural de partenariat entre la pédopsychiatrie et l’ASE, l’équipe mobile est un dispositif pilote du pôle Paris Centre-Est conçu pour répondre au défaut d’accès aux soins et aux besoins spécifiques des mineurs confiés à l’ASE de Paris. Cette équipe composée de pédopsychiatres, d’éducateurs, et d’infirmières a vu le jour en septembre 2012. Son objectif est de proposer à la demande de l’ASE des consultations d’évaluation pédopsychiatrique en vue d’une orientation des mineurs sur les réseaux de soins existants. Elle a aussi une mission de soutien et de guidance des référents ASE démunis. La spécificité de cette équipe réside dans sa capacité à se déplacer dans les foyers, familles d’accueil, hôtels sociaux pour aller au devant de jeunes placés et permettre une continuité des soins malgré leur propre mobilité. Le profil des patients pris en charge est majoritairement adolescent, leur tableau clinique bruyant associant des troubles du comportement à des conduites addictives et antisociales sévères, et en arrière-fond une importante dépressivité. L’expérience d’un an de pratique nous a conduit à adapter le cadre initialement fixé pour ces rencontres et faire preuve de souplesse et de créativité pour accompagner ces patients le temps nécessaire à l’élaboration commune de leurs problématiques et à la stabilisation de leur environnement, afin que se relance le processus adolescent et qu’émergent des projets d’avenir structurants. La complexité des situations rencontrées intriquant des problématiques sociales, éducatives et psychiatriques nécessite une articulation étroite entre les différents partenaires, sans cesse mise à mal par la différence de cultures institutionnelles et les problématiques des patients. Au fil des mois, ce partenariat est donc toujours en construction mais très prometteur pour répondre aux besoins d’une population aux vulnérabilités multiples, qui se vit comme délaissée et dont la prise en charge est un challenge imposant le développement de moyens croissants.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Van Parijs, Philippe. "Numéro 14 - septembre 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16153.

Full text
Abstract:
Les universités sont en crise, avec une baisse du financement par étudiant (hors inflation) proche de 50 % et une baisse du taux d’encadrement de plus de 50 % depuis 1972. En outre, seulement 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire. On peut donc se poser la question de savoir si la gratuité de l’université est encore possible et désirable. Si non, quel mode de financement avec contributions privées faut-il adopter pour préserver à la fois l’accessibilité et la viabilité du système ? Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons confronté le point de vue de deux économistes, Jean Hindriks (UCL, CORE) et Vincent Vandenberghe (UCL, IRES), et les objections d’un philoso­phe, Philippe Van Parijs (UCL, Chaire Hoover). Le point de vue de deux économistes Un refinancement public des universités est peu probable. Il faut rappeler que 90 % du coût d’une formation universitaire est financé par des contribuables qui pour la plupart ne sont jamais allés à l’université et qui pour certains subissent la concurrence des universitaires sur le marché du travail. Même si le besoin d’investir dans le capital humain est économiquement évident, la préférence politi­que s’oriente clairement vers d’autres demandes concurrentes et légitimes que sont les soins de santé et les pensions. Comment pouvons-nous donc assurer la poursuite de l’investissement en capital humain sans recourir à un effort supplémentaire des contribuables ? Mais plus important encore, si comme en Belgique, la dotation publique aux universités est fixe, comment échapper à l’inéluctable choix entre excellence pour un petit nombre ou médiocrité pour un grand nombre ? Notre argument est qu’il est possible de sortir de cette situation. On peut à la fois poursuivre l’expansion de la population étudiante (formation du capital humain) et assurer le développement de la qualité, sans augmenter la contribution publique. Il faut pour cela combiner une gratuité sélective et un financementsélectif basé sur une évaluation des performances. Gratuité sélective et payement différé : Il s’agirait de relever les droits d’inscription mais en offrant voire en imposant aussitôt que ces mon­tants soient commués en prêt remboursable au terme des études. Le remboursement du prêt serait contingent au revenu, tel un montant X au-delà d’un revenu de Y € par tranche de 1000 € empruntés. Le revenu Y à partir duquel interviendrait le paiement devrait logiquement correspondre au revenu moyen d’un individu n’ayant pas fait d’études supérieures. Quant au montant X, il devrait être fixé de manière à assurer l’équilibre financier du système Ce système est depuis peu en application au Royaume-Uni et diffère fondamentalement d’un impôt sur le revenu. Primo, le remboursement est concentré sur les utilisateurs bénéficiaires de l’enseignement supérieur. En Belgique, 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire supérieur. Il faut donc bien faire ici la dis­tinction avec l’enseignement obligatoire où la participation de tous justifie la gratuité et le financement intégral par l’impôt. Secundo, le remboursement est limité dans le temps. Tertio, le remboursement est nominatif et donc indépendant de la décision de s’expatrier. Ce dernier point est important étant donné la mobilité accrue des plus qualifiés, autant au sein de l’Europe que hors Europe. Plutôt que de décourager l’accès à l’université, ce système pourrait bien avoir l’effet contraire puisque des pays comme l’Australie et le Royaume-Uni qui ont adopté une telle politique ont des taux de par­ticipation nettement plus élevés que le nôtre (respectivement 19 % et 20 % de la population, compara­tivement au taux belge de 12 %). La crainte que l’endettement ne décourage les étudiants défavorisés d’accéder à l’université est aussi contre-dite par une étude américaine récente (NBER) qui montre que la substitution d’un système de prêt au système de bourse n’a pas eu d’effet significatif sur la partici­pation des étudiants pauvres dans les universités américaines. Financement sélectif et évaluation des performances : Il ne suffit pas de proposer une solution de refinancement des universités, il faut également chercher à dépenser mieux ces fonds partout où cela est possible. Cette recherche d’efficience a induit, avec des effets surprenants, la mise en place dans certains pays d’une évaluation de la performance, autant au niveau de l’enseignement que de la recherche. Au Royaume-Uni, l’enseignement est évalué par une agence indépendante. Depuis lors, on observe une amélioration continue de la performance générale telle qu’évaluée par l’agence. Par exemple, 60,5 % des départements avaient reçu une cote excellente en 1998-2000, comparativement à 33,9 % en 1996-98 et 24,8 % en 1995-96. Pour la recherche au Royaume-Uni, l’évaluation est faite par un panel d’experts et d’utilisateurs de la recherche, spécifique à chaque discipline. Cela résulte en un système de financement de la recherche qui est très sélectif. En 2002-2003, près de 75 % des fonds de recherche ont été alloués à 14 % des universités. On note une amélioration significative de la qualité de la recherche. Comparativement à l’évaluation de 1996, en 2001, le pourcentage de départements recevant les cotes les plus élevées a augmenté de 20 % à 39 %, alors que le pourcentage des départements recevant les cotes les plus basses a diminué de 24 % à 6 %. Nous pensons que l’évaluation a plus de chance d’être acceptée si elle n’est pas perçue comme un moyen déguisé de couper les ressources. Pour cela, un refinancement des universités au travers de la gratuité sélective est donc un bon moyen de faire accepter l’évaluation des performances et un finan­cement plus sélectif. Le point de vue du philosophe Est-il juste que l’Université soit gratuite ? D’un côté, bien sûr que oui. En effet, à condition de dispo­ser d’un système d’impôt sur le revenu suffisamment performant, mieux vaut offrir l’université gra­tuitement à tous les ménages, non parce que c’est mieux pour les riches (dont les impôts financent de toutes façons les prestations dont ils bénéficient), mais parce que c’est mieux pour les pauvres (facilité administrative, non-stigmatisation des pauvres et incitation au travail). De l’autre, bien sûr que non, car si ce cadeau est égal pour chacun quant à son coût, il est très inégal dans ses effets. A ceux qui sont déjà avantagés par leurs talents initiaux et ce que leur environnement familial et scolaire en a fait, la société a le culot de dire : «Nous vous donnons en outre un gros cadeau supplémentaire sous la forme d’une formation supérieure gratuite» Peut-on réconcilier ces deux intuitions en apparences contradictoires ? Pas trop difficilement. C’est en fait ce que réalise pour l’essentiel le système auquel nous sommes accoutumés : un enseignement supérieur essentiellement gratuit quant à son coût explicite, mais avec une récupération différée non ciblée, sous la forme d’une taxation progressive du revenu des personnes physiques. A cette apologie non déguisée du statu quo, on peut faire au moins quatre objections. Objection 1. Le système actuel taxe indifféremment ceux qui doivent leur revenu élevé à des études payées par la collectivité et ceux qui le doivent à d’autres raisons. Réponse. C’est inévitablement approximatif, mais nullement améliorable par un meilleur ciblage du financement. Tenter de repérer la part de revenu que chacun doit à ses études supérieures, c’est, du point de vue de la recherche de la justice, faire preuve d’un souci de précision bien mal placé. En effet, le revenu que le marché nous attribue est certes fonction des efforts consentis, mais sur la toile de fond d’un ensemble vaste et complexe de dons, d’opportunités, de chances qui nous ont été attribués de manière très inégale et éthiquement arbitraire. Objection 2. En faisant payer aux bénéficiaires le vrai coût de leur formation, on se protège contre de graves gaspillages de ressources dans des formations qui sont loin de valoir ce qu’elles coûtent mais n’en rencontrent pas moins un franc succès du fait de leur gratuité. Réponse. Un usage intelligent des ressources rares disponibles exige une régulation de l’offre des formations. Mais la meilleure régulation, dans ce cas, ne passe pas par la vérité des prix et la souverai­neté du consommateur. La gratuité est naturellement combinable avec un numerus clausus explicite ou implicite, global et/ou spécifique à chaque orientation. Objection 3. Plus les étudiants payeront pour leurs études, plus ils seront à la fois motivés à étudier avec zèle et exigeants à l’égard de leurs enseignants, eux-mêmes désormais soucieux de ne pas perdre la clientèle à la source de leurs revenus. Réponse. Dans un système de concurrence implicite comme le nôtre, où la subsidiation de chaque institution dépend fortement de la proportion des étudiants qu’elle parvient à attirer, les enseignants ont la même incitation financière à se préoccuper de la satisfaction de leurs «clients» que si le montant provenant aujourd’hui des subsides avait à être payé par les étudiants. En outre, une soumission trop directe aux exigences de l’étudiant actuel peut handicaper gravement l’efficacité de long terme du système, qui exige à la fois de laisser place à une recherche sans retombée directe sur l’enseignement actuel et d’enseigner aux étudiants ce qu’il est important qu’ils apprennent, plutôt que ce que l’air du temps leur fait souhaiter d’apprendre. Objection 4. Avec la mobilité transnationale des personnes hautement qualifiées et la décentralisation de la souveraineté fiscale à un niveau sub-national, il sera plus difficile de récupérer par l’impôt l’investissement dont jouissent les titulaires d’emplois hautement qualifiés qui choisissent de s’expatrier. Réponse. Face à cette difficulté, le plus efficace est peut-être encore de préserver et développer, parmi les personnes qui ont la chance de pouvoir bénéficier de l’enseignement supérieur de leur pays, un sentiment de gratitude et une attitude de loyauté à l’égard de cette entité collective qui leur a offert ce privilège.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Hindriks, Jean, Vincent Vandenberghe, and Philippe Van Parijs. "Numéro 14 - septembre 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2003.09.01.

Full text
Abstract:
Les universités sont en crise, avec une baisse du financement par étudiant (hors inflation) proche de 50 % et une baisse du taux d’encadrement de plus de 50 % depuis 1972. En outre, seulement 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire. On peut donc se poser la question de savoir si la gratuité de l’université est encore possible et désirable. Si non, quel mode de financement avec contributions privées faut-il adopter pour préserver à la fois l’accessibilité et la viabilité du système ? Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons confronté le point de vue de deux économistes, Jean Hindriks (UCL, CORE) et Vincent Vandenberghe (UCL, IRES), et les objections d’un philoso­phe, Philippe Van Parijs (UCL, Chaire Hoover). Le point de vue de deux économistes Un refinancement public des universités est peu probable. Il faut rappeler que 90 % du coût d’une formation universitaire est financé par des contribuables qui pour la plupart ne sont jamais allés à l’université et qui pour certains subissent la concurrence des universitaires sur le marché du travail. Même si le besoin d’investir dans le capital humain est économiquement évident, la préférence politi­que s’oriente clairement vers d’autres demandes concurrentes et légitimes que sont les soins de santé et les pensions. Comment pouvons-nous donc assurer la poursuite de l’investissement en capital humain sans recourir à un effort supplémentaire des contribuables ? Mais plus important encore, si comme en Belgique, la dotation publique aux universités est fixe, comment échapper à l’inéluctable choix entre excellence pour un petit nombre ou médiocrité pour un grand nombre ? Notre argument est qu’il est possible de sortir de cette situation. On peut à la fois poursuivre l’expansion de la population étudiante (formation du capital humain) et assurer le développement de la qualité, sans augmenter la contribution publique. Il faut pour cela combiner une gratuité sélective et un financementsélectif basé sur une évaluation des performances. Gratuité sélective et payement différé : Il s’agirait de relever les droits d’inscription mais en offrant voire en imposant aussitôt que ces mon­tants soient commués en prêt remboursable au terme des études. Le remboursement du prêt serait contingent au revenu, tel un montant X au-delà d’un revenu de Y € par tranche de 1000 € empruntés. Le revenu Y à partir duquel interviendrait le paiement devrait logiquement correspondre au revenu moyen d’un individu n’ayant pas fait d’études supérieures. Quant au montant X, il devrait être fixé de manière à assurer l’équilibre financier du système Ce système est depuis peu en application au Royaume-Uni et diffère fondamentalement d’un impôt sur le revenu. Primo, le remboursement est concentré sur les utilisateurs bénéficiaires de l’enseignement supérieur. En Belgique, 12 % de la population des 25-64 ans est universitaire et gagne en moyenne 50 % en plus qu’un diplômé de l’enseignement secondaire supérieur. Il faut donc bien faire ici la dis­tinction avec l’enseignement obligatoire où la participation de tous justifie la gratuité et le financement intégral par l’impôt. Secundo, le remboursement est limité dans le temps. Tertio, le remboursement est nominatif et donc indépendant de la décision de s’expatrier. Ce dernier point est important étant donné la mobilité accrue des plus qualifiés, autant au sein de l’Europe que hors Europe. Plutôt que de décourager l’accès à l’université, ce système pourrait bien avoir l’effet contraire puisque des pays comme l’Australie et le Royaume-Uni qui ont adopté une telle politique ont des taux de par­ticipation nettement plus élevés que le nôtre (respectivement 19 % et 20 % de la population, compara­tivement au taux belge de 12 %). La crainte que l’endettement ne décourage les étudiants défavorisés d’accéder à l’université est aussi contre-dite par une étude américaine récente (NBER) qui montre que la substitution d’un système de prêt au système de bourse n’a pas eu d’effet significatif sur la partici­pation des étudiants pauvres dans les universités américaines. Financement sélectif et évaluation des performances : Il ne suffit pas de proposer une solution de refinancement des universités, il faut également chercher à dépenser mieux ces fonds partout où cela est possible. Cette recherche d’efficience a induit, avec des effets surprenants, la mise en place dans certains pays d’une évaluation de la performance, autant au niveau de l’enseignement que de la recherche. Au Royaume-Uni, l’enseignement est évalué par une agence indépendante. Depuis lors, on observe une amélioration continue de la performance générale telle qu’évaluée par l’agence. Par exemple, 60,5 % des départements avaient reçu une cote excellente en 1998-2000, comparativement à 33,9 % en 1996-98 et 24,8 % en 1995-96. Pour la recherche au Royaume-Uni, l’évaluation est faite par un panel d’experts et d’utilisateurs de la recherche, spécifique à chaque discipline. Cela résulte en un système de financement de la recherche qui est très sélectif. En 2002-2003, près de 75 % des fonds de recherche ont été alloués à 14 % des universités. On note une amélioration significative de la qualité de la recherche. Comparativement à l’évaluation de 1996, en 2001, le pourcentage de départements recevant les cotes les plus élevées a augmenté de 20 % à 39 %, alors que le pourcentage des départements recevant les cotes les plus basses a diminué de 24 % à 6 %. Nous pensons que l’évaluation a plus de chance d’être acceptée si elle n’est pas perçue comme un moyen déguisé de couper les ressources. Pour cela, un refinancement des universités au travers de la gratuité sélective est donc un bon moyen de faire accepter l’évaluation des performances et un finan­cement plus sélectif. Le point de vue du philosophe Est-il juste que l’Université soit gratuite ? D’un côté, bien sûr que oui. En effet, à condition de dispo­ser d’un système d’impôt sur le revenu suffisamment performant, mieux vaut offrir l’université gra­tuitement à tous les ménages, non parce que c’est mieux pour les riches (dont les impôts financent de toutes façons les prestations dont ils bénéficient), mais parce que c’est mieux pour les pauvres (facilité administrative, non-stigmatisation des pauvres et incitation au travail). De l’autre, bien sûr que non, car si ce cadeau est égal pour chacun quant à son coût, il est très inégal dans ses effets. A ceux qui sont déjà avantagés par leurs talents initiaux et ce que leur environnement familial et scolaire en a fait, la société a le culot de dire : «Nous vous donnons en outre un gros cadeau supplémentaire sous la forme d’une formation supérieure gratuite» Peut-on réconcilier ces deux intuitions en apparences contradictoires ? Pas trop difficilement. C’est en fait ce que réalise pour l’essentiel le système auquel nous sommes accoutumés : un enseignement supérieur essentiellement gratuit quant à son coût explicite, mais avec une récupération différée non ciblée, sous la forme d’une taxation progressive du revenu des personnes physiques. A cette apologie non déguisée du statu quo, on peut faire au moins quatre objections. Objection 1. Le système actuel taxe indifféremment ceux qui doivent leur revenu élevé à des études payées par la collectivité et ceux qui le doivent à d’autres raisons. Réponse. C’est inévitablement approximatif, mais nullement améliorable par un meilleur ciblage du financement. Tenter de repérer la part de revenu que chacun doit à ses études supérieures, c’est, du point de vue de la recherche de la justice, faire preuve d’un souci de précision bien mal placé. En effet, le revenu que le marché nous attribue est certes fonction des efforts consentis, mais sur la toile de fond d’un ensemble vaste et complexe de dons, d’opportunités, de chances qui nous ont été attribués de manière très inégale et éthiquement arbitraire. Objection 2. En faisant payer aux bénéficiaires le vrai coût de leur formation, on se protège contre de graves gaspillages de ressources dans des formations qui sont loin de valoir ce qu’elles coûtent mais n’en rencontrent pas moins un franc succès du fait de leur gratuité. Réponse. Un usage intelligent des ressources rares disponibles exige une régulation de l’offre des formations. Mais la meilleure régulation, dans ce cas, ne passe pas par la vérité des prix et la souverai­neté du consommateur. La gratuité est naturellement combinable avec un numerus clausus explicite ou implicite, global et/ou spécifique à chaque orientation. Objection 3. Plus les étudiants payeront pour leurs études, plus ils seront à la fois motivés à étudier avec zèle et exigeants à l’égard de leurs enseignants, eux-mêmes désormais soucieux de ne pas perdre la clientèle à la source de leurs revenus. Réponse. Dans un système de concurrence implicite comme le nôtre, où la subsidiation de chaque institution dépend fortement de la proportion des étudiants qu’elle parvient à attirer, les enseignants ont la même incitation financière à se préoccuper de la satisfaction de leurs «clients» que si le montant provenant aujourd’hui des subsides avait à être payé par les étudiants. En outre, une soumission trop directe aux exigences de l’étudiant actuel peut handicaper gravement l’efficacité de long terme du système, qui exige à la fois de laisser place à une recherche sans retombée directe sur l’enseignement actuel et d’enseigner aux étudiants ce qu’il est important qu’ils apprennent, plutôt que ce que l’air du temps leur fait souhaiter d’apprendre. Objection 4. Avec la mobilité transnationale des personnes hautement qualifiées et la décentralisation de la souveraineté fiscale à un niveau sub-national, il sera plus difficile de récupérer par l’impôt l’investissement dont jouissent les titulaires d’emplois hautement qualifiés qui choisissent de s’expatrier. Réponse. Face à cette difficulté, le plus efficace est peut-être encore de préserver et développer, parmi les personnes qui ont la chance de pouvoir bénéficier de l’enseignement supérieur de leur pays, un sentiment de gratitude et une attitude de loyauté à l’égard de cette entité collective qui leur a offert ce privilège.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Moumoula, Issa Abdou. "Approche des représentations d’avenirs des lycéens handicapés visuels comparées à celles des lycéens valides du Burkina Faso." Comparative and International Education 42, no. 2 (December 13, 2013). http://dx.doi.org/10.5206/cie-eci.v42i2.9227.

Full text
Abstract:
Alors que de nombreux travaux portent sur les représentations d’avenir des adolescents, peu d’études rendent compte de l’impact du handicap dans l’élaboration de ces représentations. Nous proposons à travers la conduite d’entretiens individuels semi directifs avec 26 lycéens dont 13 en situation d’handicap visuel, de réaliser un travail exploratoire sur ce thème en vue de faire des propositions en termes de dispositifs d’accompagnement de ces jeunes dans le domaine du conseil en orientation au Burkina Faso. A l’issue de l’analyse de nos données, nous observons que les discours des jeunes adolescents handicapés visuels sont similaires à ceux des élèves valides. Des particularités concernant les intentions d’avenir des élèves en situation de handicap se dégagent tout de même : une influence des facteurs extérieurs sur la formation de ces intentions, des choix de professions peu diversifiés et de nature différente.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Noone, Rebecca. "The Everyday Information Experience of Street-Level Wayfinding: A Critical Look." Proceedings of the Annual Conference of CAIS / Actes du congrès annuel de l'ACSI, November 8, 2020. http://dx.doi.org/10.29173/cais1153.

Full text
Abstract:
In the following paper I look at the information practice of wayfinding - the means by which people orient in and navigate through spaces. In contemporary information conditions of networked mobility, wayfinding is often associated with ‘asking’ Google Maps to locate where something is and how to get there. Google Maps is the most popular application for mobile devices with over 1 billion people putting it to work every month. Despite this frequency, there is little information available on how Google Maps is used. As technology writer Andrew J. Hawkins proclaims (2017), “we just need the directions, the right subway route, or the name of that good sushi place.” What is happening in these moments when one needs directions? And more specifically, to paraphrase Sarah Sharma (2012), whose routes become reified by Google Maps? I argue that the imaginary of the Google Maps ‘user’ is more than simply an archetype but an orientation within a spatialization of information that are made evident in acts of everyday wayfinding. The paper’s focus is to reflect on the intersections and the divergences between the Google Maps rhetoric and the types of street-level observed during the research. Dans l'article suivant, j'examine la pratique informationnelle de l'orientation - les moyens par lesquels les gens s'orientent et naviguent dans les espaces. Dans le contexte informationnel contemporain caractérisé par la mobilité en réseau, l’orientation est souvent associée au fait de «demander» à Google Maps de localiser où se trouve quelque chose et comment s’y rendre. Google Maps est l'application la plus populaire pour les appareils mobiles avec plus d'un milliard de personnes qui l'utilisent chaque mois. Malgré cette fréquence, peu d'informations sont disponibles sur la manière dont Google Maps est utilisé. Comme le proclame l'écrivain technologique Andrew J. Hawkins (2017, notre trad.), « nous avons seulement besoin de directions, du bon trajet de métro, ou du nom de ce bon restaurant de sushi.» Que se passe-t-il dans ces moments où l'on a besoin de directions? Et plus précisément, pour paraphraser Sarah Sharma (2012), qui voient leurs itinéraires réifiés par Google Maps? Je soutiens que l’imaginaire de «l’utilisateur» de Google Maps est plus qu’un simple archétype, mais une orientation dans une spatialisation de l'informations qui se manifestent dans des actes quotidiens d'orientation. L’objectif de l’article est de réfléchir aux intersections et aux divergences entre la rhétorique de Google Maps et celle des passants observées au cours de la recherche.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Handicapés – Orientation et mobilité"

1

Gharebaghi, Amin. "Évaluation et la représentation spatiotemporelle de l'accessibilité des réseaux piétonniers pour le déplacement des personnes à mobilité réduite." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/33486.

Full text
Abstract:
La mobilité des personnes à mobilité réduite (PMR) joue un rôle important dans leur inclusion sociale. Les PMR ont besoin de se déplacer de manière autonome pour effectuer leurs routines quotidiennes comme aller à l'école, au travail, au centre de remise en forme ou faire du magasinage. Cependant, celles-ci ne sont pas entièrement exécutées en raison de la conception non-adaptée des villes pour ces personnes. En effet, la mobilité est une habitude de vie humaine qui est le résultat d'interactions entre les facteurs humains (par exemple, les capacités) et les facteurs environnementaux. Au cours des dernières années, la mise au point de technologies d’aide technique s'est développée progressivement pour permettre aux PMR d’améliorer leur qualité de vie. En particulier, ces technologies offrent une variété de caractéristiques qui permettent à ces personnes de surmonter divers obstacles qui réduisent leur mobilité et contribuent à leur exclusion sociale. Cependant, malgré la disponibilité des technologies d’aide à la navigation et à la mobilité, leur potentiel est mal exploité pour les PMR. En effet, ces technologies ne considèrent pas les interactions « humain-environnement » adéquatement pour ces utilisateurs. L'objectif général de cette thèse est d'utiliser les potentiels des méthodes et des technologies de science de l'information géographique (SIG) afin d’aider à surmonter les problèmes de mobilité des PMR en créant un cadre d'évaluation de l'accessibilité et en développant une approche personnalisée de routage qui prend en compte les profils de ces personnes. Pour atteindre ce but, quatre objectifs spécifiques sont considérés: 1) développer une ontologie de mobilité pour les PMR qui considère les facteurs personnels et environnementaux, 2) proposer une méthode de l’évaluation de l'accessibilité du réseau piétonnier pour la mobilité des PMR en considérant spécifiquement les interactions entre les facteurs humains (la confiance) et les facteurs environnementaux, 3) étudier le rôle des facteurs sociaux dans l'accessibilité des zones urbaines et, finalement, 4) affiner les algorithmes existants pour calculer les itinéraires accessibles personnalisés pour les PMR en considérant leurs profils. En effet, tout d'abord pour développer une ontologie pour la mobilité des PMR, la dimension sociale de l'environnement ainsi que la dimension physique sont intégrées et une nouvelle approche basée sur une perspective « nature-développement » est présentée. Ensuite, une approche fondée sur la confiance des PMR est développée pour l'évaluation de l'accessibilité du réseau piétonnier, compte tenu de l'interaction entre les facteurs personnels et les facteurs environnementaux. De plus, dans une perspective de considération des facteurs sociaux, le rôle des actions politiques sur l'accessibilité du réseau piétonnier est étudié et l'influence de trois politiques potentielles est analysée. Enfin, une nouvelle approche pour calculer des itinéraires personnalisés pour les PMR en tenant compte de leurs perceptions, de leurs préférences et de leurs confidences est proposée. Les approches proposées sont développées et évaluées dans le quartier Saint-Roch à Québec, et ce, en utilisant une application d'assistance mobile et multimodale développée dans le cadre du projet MobiliSIG.
Mobility of people with motor disabilities (PWMD) plays a significant role in their social inclusion. PWMD need to move around autonomously to perform their daily routines such as going to school, work, shopping, and going to fitness centers. However, mostly these needs are not accomplished because of either limitations concerning their capabilities or inadequate city design. Indeed, mobility is a human life habit, which is the result of interactions between people and their surrounded environments. In recent years, assistive technologies have been increasingly developed to enable PWMD to live independently and participate fully in all aspects of life. In particular, these technologies provide a variety of features that allow these individuals to overcome diverse obstacles that reduce their mobility and contribute to their social exclusion. However, despite increasing availability of assistive technologies for navigation and mobility, their potential is poorly exploited for PWMD. Indeed, these technologies do not fully consider the human-environment interactions. The overall goal of this dissertation is to benefit from the potentials of methods and technologies of the Geographic Information Sciences (GIS) in order to overcome the mobility issues of PWMD by creating an accessibility-assessing framework and ultimately by developing a personalized routing approach, which better considers the humanenvironment interaction. To achieve this goal, four specific objectives were followed: 1) develop a mobility ontology for PWMD that considers personal factors as well as environmental factors, 2) propose a method to evaluate the accessibility of the pedestrian network for the mobility of PWMD considering the interactions between human factors (confidence) and the environmental factors, 3) study of the role of social factors in the accessibility of urban areas, and finally, 4) refine the existing algorithms to calculate accessible routes for PWMD considering their profile. First, to develop an adapted ontology for mobility of the PWMD, the social dimension of the environment with the physical dimension were integrated and a new approach based on a “Nature-Development” perspective was presented. This perspective led to the development of useful ontologies, especially for defining the relationships between the social and physical parts of the environment. Next, a confidence-based approach was developed for evaluation of the accessibility of pedestrian network considering the interaction between personal factors and environmental factors for the mobility of PWMD. In addition, the role of policy actions on the accessibility of the pedestrian network was investigated and the influence of three potential policies was analyzed. Finally, a novel approach to compute personalized routes for PWMD considering their perception, preferences, and confidences was proposed. The approaches proposed were implemented in the Saint-Roch area of Quebec City and visualized within the multimodal mobile assistive technology (MobiliSIG) application
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Lemay, Valérie. "Étude des déterminants de la mobilité en fauteuil roulant manuel et leur association avec la participation sociale d'usagers expérimentés ayant une lésion de la moelle épinière." Thesis, Université Laval, 2011. http://www.theses.ulaval.ca/2011/28454/28454.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Motaouakal, Mohamed. "Vers l'automatisation de la mise à jour des bases de données spatio-temporelles d'aide à la navigation : cas d'une base de données pour la navigation des personnes à mobilité réduite." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27900.

Full text
Abstract:
De nos jours, les systèmes d'aide à la navigation occupent une place de plus en plus importante dans la vie quotidienne. Toutefois, leur potentiel est mal exploité pour le déplacement des personnes à mobilité réduite (PMR). À cet égard, le projet MobiliSIG a vu le jour. Son objectif est de développer une solution d'assistance multimodale mobile selon les principes de la conception cognitive pour la navigation des PMR. Au cœur de cette solution se trouve une base de données d'accessibilité dont l'usage permettra de proposer des itinéraires adaptés aux profils des utilisateurs. Cependant, vu que l'environnement évolue et que certains obstacles ont un caractère spatio-temporel, l'outil développé doit être doté d'un système qui lui permettra de rester continuellement à jour. L'objectif global assigné à notre projet est la conception d'un système automatique de mise à jour (MÀJ) continuelle des données d'accessibilité en temps quasi-réel à partir de données multi-sources hétérogènes. Pour ce faire, tout d'abord, nous avons passé en revue la littérature inhérente aux concepts relatifs à notre problématique. Ensuite, nous avons créé et implémenté une ontologie d'obstacles/facilitateurs sur la base des facteurs environnementaux de la classification PPH afin d'identifier et de bien cibler les données spatio-temporelles d'accessibilité. Par la suite, nous avons déterminé les besoins et fonctionnalités utiles à notre système de MÀJ à travers la présentation et l'analyse des spécifications des données d'accessibilité et de différents scénarios de cas d'utilisations. Finalement, en s'inspirant des concepts fondamentaux des processus ETL et des architectures orientées services, nous avons proposé une solution composée d'une couche d'extraction automatique de multi-sources; une couche de transformation qui répond au besoin du multi-formats; une application web pour les collaborateurs; et un service web de MÀJ chargé des tâches de traitement automatique et en temps quasi-réel de l'information reçue de multi-sources en effectuant l'analyse syntaxique et sémantique, la géolocalisation, le géocodage, la projection du système de référence le cas échéant, la validation et le contrôle d'unicité avant de procéder au chargement. Les résultats des tests et validations du prototype développé ont permis de confirmer l'atteinte de l'objectif de la recherche.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Viger, Marlène. "L'utilisation des couleurs vives ou du contraste noir/blanc : impact sur les activités de la vie quotidienne chez les adultes présentant une atteinte du champ visuel périphérique et central." Thesis, Université Laval, 2006. http://www.theses.ulaval.ca/2006/23689/23689.pdf.

Full text
Abstract:
Ce mémoire s’intéresse à l’optimisation du potentiel visuel de l’individu présentant des incapacités visuelles par la modification de son environnement. Les objectifs étaient de documenter le temps de réalisation des activités quotidiennes chez les individus présentant une atteinte du champ visuel périphérique (rétinopathie pigmentaire/RP) et une atteinte du champ visuel central (dégénérescence maculaire/DMLA) dans un environnement rehaussé de couleurs vives puis dans un environnement adapté en noir et blanc. Deux groupes (15 RP et 15 DMLA) ont effectué neuf tâches quotidiennes dans trois environnements (non-adapté, noir/blanc et coloré). Les deux groupes ont démontré un ralentissement du temps de réalisation significatif par rapport à la norme quel que soit l’environnement. Les participants RP ont amélioré leur temps de réalisation de façon significative dans l’environnement coloré. Ces résultats permettront aux cliniciens de mieux justifier leurs choix chromatiques lors de l’adaptation des activités de leurs clients.
This master's thesis examines the question of how to maximize the potential vision of individuals with a visual impairment, by modifying their environment. Objectives were to document the time taken to complete daily tasks for individuals with a loss of peripheral vision (retinitis pigmentosa/RP) and with a loss of the central field of vision (macular degeneration/MD) by colouring the environment and, by providing a black and white environment. Two groups (15 RP and 15 MD) carried out nine everyday tasks in three environments (not adapted; black and white; coloured). Both groups took significantly longer to carry out these tasks, compared to the sighted, irrespective of the environment. However, the participants with RP were faster in the coloured environment compared to the other two environments. These results may allow the clinicians to better justify their choice of presentation environment when adapting activities for their clients.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Dejoux, Virginie. "Situation de handicap lors des déplacements : caractéristiques individuelles, pratiques de mobilité, environnement physique et social." Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010627.

Full text
Abstract:
La situation de handicap lors des déplacements est considérée comme le résultat de l'interaction entre des facteurs individuels et environnementaux, auxquels s'ajoutent les besoins et pratiques des personnes en termes de mobilité. Avec les évolutions actuelles, tant sociales que démographiques, les pays développés pourraient connaître un accroissement du nombre de personnes devant faire face à ces situations. Cette recherche apporte une connaissance approfondie des populations concernées, de leur pratique de déplacements et de leur environnement, permettant d'aboutir à une compréhension globale de l'ensemble des facteurs qui, mis en interaction, peuvent créer une situation de handicap lors des déplacements. Cette thèse s'appuie d'une part sur deux enquêtes nationales, l'enquête. Handicaps-Incapacités-Dépendance (1999) et l'enquête Nationale sur les Transports et les déplacements (2007-08)et d'autre part sur la passation et l'analyse d'entretiens semi-directifs
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Mignonac, Karim. "La disposition des ingénieurs et des cadres envers la mobilité interne : contribution à l' étude des déterminants." Toulouse 1, 2001. http://www.theses.fr/2001TOU10054.

Full text
Abstract:
Cette recherche vise à contribuer à la compréhension de la disposition des ingénieurs et des cadres envers la mobilité interne, en incluant une large gamme de facteurs explicatifs et en considérant différents types de mouvements dans leurs spécificités professionnelles, géographiques et hiérarchiques
This research aims at understanding engineer' s and managers' willingness to accept intraorganisational mobility by using a wide array of explanatory variables and taking into account a variety of professional, geographical and hierarchical mobility opportunities
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Arnoux-Nicolas, Caroline. "Sens du travail et mobilité professionnelle : [« La mobilité signifiante »]." Thesis, Paris, CNAM, 2015. http://www.theses.fr/2015CNAM1005.

Full text
Abstract:
Dans le contexte d'incertitude de nos sociétés contemporaines, les questions d'orientation renvoient de plus en plus à celles du « sens » (Bernaud, 2014). La nature même des carrières se trouve modifiée, caractérisée par de nombreux changements et ruptures (Savickas et Pouyaud, in press). Si la conceptualisation et la mesure du sens du travail font l'objet d'une littérature scientifique croissante, peu d'études ont été conduites sur ses relations avec des événements de vie. L'objectif de la thèse est d'analyser les relations réciproques entre le sens du travail et la mobilité professionnelle. La première partie de nos résultats est consacrée à l'étude de validité d'une nouvelle échelle du sens du travail auprès de salariés français, l'Inventaire du Sens du Travail. La seconde partie des résultats montre globalement l'existence de liens significatifs entre le sens du travail et la mobilité professionnelle, à travers trois études distinctes. Une première étude qualitative exploratoire vise, à partir d'entretiens semi-directifs d'agents administratifs, à mieux comprendre la manière dont l'individu construit du sens suite à une mobilité. Dans le cadre d'une deuxième étude quantitative menée auprès de 501 agents d'universités françaises, les analyses de régression hiérarchique indiquent que la personnalité et les indicateurs subjectifs de la mobilité professionnelle expliquent respectivement 17% et 21% de la variance du sens du travail. Ces résultats soulignent plus particulièrement l'importance de la perception qu'a l'individu de son expérience de mobilité professionnelle dans la compréhension du sens du travail. Une troisième étude quantitative auprès d'un échantillon de 336 salariés issus d'horizons professionnels diversifiés, permet de montrer l'influence du sens du travail sur les intentions de quitter son emploi et/ou sa structure, de même que le rôle de médiateur du sens du travail entre certains facteurs d'insatisfaction professionnelle et ces mêmes intentions de quitter. A partir de nos résultats et de l'analyse de la littérature, nous proposons un modèle dynamique du sens du travail ainsi que le modèle d'une mobilité dite « signifiante », c'est-à-dire en interaction réciproque avec le sens du travail
In the context of uncertainty in our contemporary society, guidance issues relate more to those of the "meaning" (Bernaud, 2014). The nature of careers is modified, characterized by many changes and ruptures (Savickas and Pouyaud, in press). Despite the conceptualization and the measurement of the meaning of work being the subject of a growing scientific literature, little research has been conducted on its relationship with life events. This thesis aims to analyze the relationships between the meaning of work and career changes. The first part of our results is devoted to the validation of a psychometric instrument among French workers for assessing meaning of work (IST – Inventaire du Sens du Travail). The second part of overall results shows significant reciprocal links between the meaning of work and career changes, through three separate studies. An initial exploratory qualitative study based on semi-structured interviews with administrative staff, aims to better understand how the individual constructs meaning after an employment change. In the framework of a second quantitative study conducted with 501 administrative staff working in French universities, hierarchical regression analyzes indicate that personality and subjective indicators of professional mobility explain respectively 17% and 21% of the variance of the meaning of work. These results specifically highlight the importance of the individual's perception of the experienced career change in the understanding of the meaning of work. A third quantitative study with a sample of 336 employees working in diversified professional fields, shows the influence of the meaning of work on withdrawal intentions, as well as the role of mediator of the meaning of work between job dissatisfaction factors and the withdrawal intentions. Based on our literature review and results, we propose a dynamic model of the meaning of work as well as a model of a “meaningful” career change, that is to say, in reciprocal interaction with the meaning of work
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Morvan, Jean-Sébastien. "Représentations des situations de handicaps et d'inadaptations chez les éducateurs spécialisés, les assistants de service social, les instituteurs spécialisés en formation." Caen, 1987. http://www.theses.fr/1987CAEN1029.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Connier, Jean. "Conception et réalisation d'un système multi-fonctionnel d'aide à la mobilité pour personnes mavoyantes et aveugles." Thesis, Université Clermont Auvergne‎ (2017-2020), 2019. http://www.theses.fr/2019CLFAC097.

Full text
Abstract:
Malvoyance et cécité sont sources d'importantes difficultés de mobilité chez les personnes qu'elles touchent. Pour tenter d'alléger la charge que font peser ces difficultés, des dispositifs d'assistance variés ont été imaginés, conçus, testés, et parfois adoptés. La conception de tels dispositifs d'assistance à la mobilité se heurte à l'ampleur de la problématique, située à l'intersection de trois domaines déjà individuellement complexes : malvoyance, mobilité, et perception. L'analyse de plusieurs types de dispositifs d'assistance – cannes classiques, électroniques, dispositifs urbains, dispositifs non directement dédiés à la mobilité – nous a aidé à faire ressortir plusieurs angles d'approche, selon les caractéristiques techniques, les fonctionnalités, la forme, et la dépendance à une infrastructure. Pris ensemble, ils ont permis de dresser un portrait général des dispositifs existants. À côté de ces approches assez classiques, nous proposons un modèle d'analyse des dispositifs selon la manière dont ils s'insèrent dans le processus perception / mobilité des personnes. Ce modèle présente l'intérêt de pouvoir s'appliquer, a priori, à l'ensemble des dispositifs et d'être à la fois pertinent dans leur évaluation et leur classification. Nous avons conçu et développé un dispositif d'assistance électronique, le système 2SEES reposant, comme son prédécesseur le SEES, sur trois plates-formes : une canne intelligente, un smartphone, et un serveur. Les problématiques d'autonomie et d'universalité, primordiales dans tout dispositif électronique mobile, sont explicitées et approfondies. Une nouveauté est la prise en compte des problématiques de robustesse : le 2SEES est donc construit autour de l'équilibre complexe entre autonomie, universalité, et robustesse, notions relativement peu visibles dans les travaux existants. Pour augmenter à la fois la robustesse et l'autonomie, nous avons intégré un nombre important de capteurs et de processeurs dans la canne, à la fois par la duplication de composants, de façon à augmenter la tolérance aux pannes, et par l'intégration de composants hétérogènes, afin d'augmenter la robustesse face à la diversité des environnements. Deux aspects de cet équilibre ont été plus spécifiquement étudiés. D'une part, la nécessité de robustesse a été mise en évidence par une analyse des affinités entre plusieurs types de capteurs d'obstacles et différents matériaux constituants potentiels d'obstacles. D'autre part, nous avons développé un prototype de fonctionnalité de localisation peu dépendante d'infrastructures, et donc déployable rapidement, ainsi qu'économe en énergie. Cette fonctionnalité repose principalement sur des capteurs embarqués (encodeur de roue, capteurs inertiels) et sur un filtre particulaire simplifié, qui estime la position de la personne en vérifiant la cohérence de trajectoires dérivées des données capteurs avec la carte du lieu. Outre la recherche de cet équilibre entre robustesse, autonomie, et universalité, nous avons développé une fonctionnalité novatrice de communication avec les objets intelligents, nommée SO2SEES. Cette fonctionnalité permet à l'utilisateur de poser des questions en langage naturel au système 2SEES, auxquelles ce dernier répond en exploitant les informations mises à disposition par les objets intelligents environnants. Afin de simplifier le système, la personne ne pose pas ses propres questions, mais les sélectionne dans un ensemble proposé en fonction du contexte formé parles objets présents et les données qu'ils mettent à disposition. Ce choix entraîne un basculement d'un système de compréhension du langage naturel, fonctionnant classiquement grâce à l'apprentissage machine, vers un système expert travaillant sur des bases de connaissances distribuées et dynamiques. (...)
Visual impairment and blindness are sources of mobility difficulties for the affected people. In orderto lighten the burden of these difficulties, many mobility aids have been imagined, designed, tested, and more or less adopted. Designers of such assistive systems soon run into the complexity of the issue, which stands at the intersection of three domains that are, by themselves, complex: visual impairment, mobility, and perception.Having decided to design an electronic assistive system from the beginning, we tried to step back and analyzed a wide range of blind aids: white canes, mobile electronic devices serving different mobility purposes, urban systems, and systems not primarily designed for mobility. Their diversity helped us analyze assistive systems through several prisms: according to their technical characteristics, their functions, their shape, and their dependence to an infrastructure. Taken individually, each of these approaches quickly shows its limits, but, together, they draw an interesting portrait of the existing devices. Besides these rather classical approaches, we propose a new model for analyzing assistive systems, which relies on the way these systems take place in a person's perception / mobility process. This model has the advantages of being, a priori, relevant forall assistive systems – in spite of their dissimilarity – and meaningful for both evaluation and classification.We have designed and built an electronic mobility aid, called the 2SEES system. Like its predecessor, the SEES system, the 2SEES relies on three platforms: a smart cane, a smartphone, anda cloud computing back-end. The issues of energy consumption and geographical universality, essential for any mobile device, are made explicit and studied. A novelty of the 2SEES resides in its account of reliability issues ; it is thus designed around the complex equilibrium between energy consumption, universality, and reliability. Despite their importance in a system destined to be adopted by end users, these three notions are scarcely visible in the relevant literature.To concurrently enhance robustness and autonomy, we have integrated several sensors and processors in the smart cane, both by introducing redundancy, for fault tolerance, and by integratingheterogeneous sensors, for robustness against the diversity of environments.Two aspects of this equilibrium have been further studied. First, the need for robustness has been highlighted by a study of affinities between obstacle sensors and several types of potential obstacle materials. Secondly, we have tried to develop an energy-efficient indoor localization function that islittle dependent on infrastructures, and therefore easily scalable. This function works with embedded sensors (wheel encoder, inertial measurement unit) and a simplified particle filter, which estimates the position by checking the coherence of trajectories derived from sensor data against themap of the location.In addition to this work on the balance between robustness, energy consumption, and universality, we have developed a novel function, named SO2SEES, which allows communication between usersof the 2SEES and smart objects. This function enables users to ask, in natural language, questions tothe 2SEES, which are answered using information coming from surrounding smart objects. In orderto keep the system simple, users do not formulate their own questions, but are instead invited to pick them in a set of predefined questions, which are proposed by the system according to the nearby objects and the information they offer. This mode of operation shifts the system from a natural language processing artificial intelligence to an expert system working on dynamic and distributed knowledge bases. In this latter configuration, the main issue is the interoperability between the 2SEES and the smart objects and their back-ends that take part in the functionality
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Quinson, François. "Quitter la classe : la mobilité professionnelle en cours de carrière des enseignants du premier degré, épreuve cruciale individuelle et analyseur du groupe professionnel." Lyon 2, 2004. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2004/quinson_f.

Full text
Abstract:
Etudier les évolutions de carrière en général et les bifurcations en particulier, quoi de plus banal, finalement, pour qui s'intéresse à un groupe professionnel ? Cela constitue simplement un angle d'attaque permettant d'examiner les phénomènes de socialisation professionnelle selon un axe d'analyse mieux spécifié. Et pourtant, appliquer cette démarche à l'enseignement du premier degré va à l'encontre d'évidences sociales solidement ancrées. Cela permet et exige de mettre à distance la conception traditionnelle du métier d'instituteur qui le présente comme une vocation marquée par l'oblation et "l'amour des enfants". Rompant avec cette perception d'un métier à part, l'analyse des processus de mobilité professionnelle amène à considérer l'institutorat comme un métier parmi d'autres. Chercher à comprendre pourquoi on quitte un métier en cours de carrière conduit à réinterroger les raisons pour lesquelles on le choisit, et celles qui font que l'on s'y maintient. L'analyse des modalités de départ depuis un groupe professionnel permet de reconsidérer sa position relative parmi d'autres professions, ainsi que les compétences et les ressources professionnelles de ses membres. Les traits structurants des parcours de mobilité sont donc fortement liés aux caractéristiques sociohistoriques du groupe professionnel d'origine. Mais les trajectoires objectives de mobilité professionnelle doivent être confrontées au sens que les acteurs sociaux leur attribuent, et, sans céder au subjectivisme, il est loisible de considérer la mobilité professionnelle en cours de carrière des enseignants du premier degré comme l'aventure personnelle de mobilité à l'épreuve du social.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Books on the topic "Handicapés – Orientation et mobilité"

1

Boyanov, Bruno. Manuel pratique de mobilisation: Comment ne pas se faire mal au dos? Issy-les-Moulineaux: Masson, 2006.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Conférence européenne des ministres des transports. Groupe de travail ad hoc sur le transport des personnes handicapées. Transport des personnes à mobilité réduite: Comparaisons internationales des pratiques et politiques : recommandations. Paris: CEMT, 1986.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Mobility training for people with disabilities: Children and adults with physical, mental, visual, and hearing impairments can learn to travel. Springfield, Ill., U.S.A: C.C. Thomas, 1989.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Parmentier, Christophe. Encadrer et sécuriser les parcours professionnels: Des outils pour accompagner les salariés. Paris: Dunod, 2011.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography