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Dissertations / Theses on the topic 'Hégélianisme'

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Tanguay, Alain. "L'hyper-hégélianisme du jeune Marx." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1997. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp04/mq21833.pdf.

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Tanguay, Alain. "L'hyper-hégélianisme du jeune Marx." Mémoire, Université de Sherbrooke, 1996. http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/5225.

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Abstract:
Nous touchons ici à la pierre angulaire de notre thèse. Les écrits de jeunesse comportent une double importance. D’une part, nous l’avons dit, le marxisme s’est développé sans les considérer, ce qui l’autorise à rompre avec la tradition. D’autre part, ils portent implicitement sur le problème de l’autre. Là se déploie la volonté constante de réaliser l’identité parfaite dans laquelle l’autre est pulvérisé. La tâche qui nous incombe consiste à commenter les écrits de jeunesse afin de faire ressortir que partout Marx recherche l’identité immédiate. Nous nommons ce cercle parfait l’ontologie de l’activité. C’est cette volonté d’identité qui nous autorise à affirmer que Marx accomplit la tradition. Le problème de l’un et du multiple avive une bonne part des écrits philosophiques occidentaux. Mais un penseur se détache à cet égard: G.W.F. Hegel. Marx reconnaît son prédécesseur comme l’aboutissement de la tradition. Hegel constitue donc notre philosophe de référence. Nous le considérons aussi comme une autorité de la tradition. Nous analyserons alors les écrits de jeunesse de Marx dans une perspective hégélienne. Notre étude n’est pas un commentaire intégral des textes en question. Il s’agit plutôt pour nous d’interpréter le débat constant que le jeune Marx entretient avec Hegel. Cet angle d’étude précise notre question de départ. Elle devient maintenant: est-ce que le jeune Marx récuse Hegel, rejetant ainsi la tradition? Si Marx rompt avec Hegel, alors le marxisme est révolutionnaire. Mais nous arguerons que non. Marx reprend Hegel et il pousse sa logique jusqu’à anéantir les médiations. Cette radicalisation de Hegel nous amène à affirmer que le jeune Marx est hyper-hégélien. Nous démontrerons cette thèse en élucidant le paradoxe hégélien: l’autre est l’autre de lui-même. Tel que nous l’avons énoncé ci-haut, la véracité de notre propos émergera de l’analyse de l’autre chez Hegel et chez Marx. La philosophie hégélienne peut se représenter comme un cercle. Dès lors, l’autre ne peut être que l’autre de lui-même parce qu’il est une figure du procès dialectique. Le concept, nous le verrons, s’auto-intuitionne nécessairement en raison du négatif et dans ce procès émerge l’autre, la contradiction. Chez Hegel, le cercle comporte de l’altérité, ce qui explique les médiations. De l’immédiat premier à l’immédiat médiatisé, l’autre, moment opposé, joue un rôle important. C’est grâce à l’autre que la vérité se sait dans son identité concrète qui résulte du procès. Nous tâcherons de bien décrire le cercle spéculatif hégélien dans notre mémoire, car il sera le socle de notre perspective. C’est dans et par ce cercle que nous étudierons le débat de Marx et que nous répondrons à notre question. Nous verrons qu’il reprend la logique hégélienne et la modifie pour réaliser son idéal humaniste.
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Hürstel, Sylvie. "Néo-hégélianisme et philosophie du droit de la République de Weimar au Troisième Reich." Paris 12, 1998. http://www.theses.fr/1998PA120003.

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Abstract:
Le projet initial d'etudier le mouvement dit "neo-hegelien" chez les juristes allemands "de weimar au troisieme reich" s'inscrit dans un debat plus vaste, qui met en cause la philosophie hegelienne dans ses liens supposes avec les regimes autoritaires ou totalitaires, en l'occurrence avec le nazisme. Le domaine de la philosophie du droit a particulierement retenu notre attention, dans la mesure ou la transposition politique des concepts hegeliens y est la plus apparente. Mais pour saisir l'interet et la specificite du discours "neo-hegelien" sur l'etat, il faut au prealable se garder de tout schema finaliste et mettre en suspens la question de la filiation hegelienne proprement dite: nous avons ainsi voulu etudier ce ou ces discours sur le droit a partir des acteurs historiques eux-memes et a travers leur inscription strategique dans le champ philosophico-politique weimarien. Par ces mots, nous entendons la position propre et de l'"image de soi" (selbstbild) qu'ils ont tente de propager pour instaurer la presence et la specificite d'un discours "neo-hegelien" dans la lutte contre le positivisme juridique, d'abord sous weimar puis sous le troisieme reich. Le coeur du travail a donc consiste en une recherche historique et textuelle des strategies de discours mises en place par ce mouvement dans le debat juridique weimarien, et a poser la question d'une "continuite" philosophique et strategique sous le troisieme reich. A l'issue de l'etude historique et discursive, il est apparu que ces auteurs, loin de former un groupe coherent et solidaire autour d'une reference commune - hegel - et d'une ligne interpretative, se sont livres a d'apres luttes intellectuelles dans leur reappropriation de hegel et de sa philosophie pour les etudes de droit, en reveillant egalement le debat seculaire sur la primaute de l'histoire ou de la philosophie au sein de
The initial project to study the so-called "neo-hegelian" tendency among the german jurists "from weimar up to the third reich" is contained within a larger debate, which implicates the hegelian philosophy in its alleged ties with authoritarian or totalitarian regimes, in this instance nazism. Our attention has been particularly drawn to the philosophy of law, insofar as the political transposition of hegelian concepts is here the most apparent. But to capture the interest and specificity of the neo-hegelian discourse on the state and law, one must first beware of all finalist points of view and put in abeyance the question of hegelian filiation itself: in this way, we have tried to study this or these discourses on law from the point of view of the historical actors themselves, and through their strategic envolvment in the philosophical and political weimarian field. By these words, we mean the proper position of one's "selfs image" (selbstbild) which the actors attempted to spread in order to establish the presence and specificity of a "neo-hegelian" discourse in the fight against judicial positivism, first under weimar, then under the third reich. Therefore the center of the work has consisted in a historical and textual study of the strategies put in place by this trend in the weimarian juridicial debate, and in questionning the philosophical and strategic continuity under the third reich. At the end of the historical and discursive study, it appears that these jurists, far from forming a coherent group and from showing solidarity around a common reference - hegel - and a common explanatory line, joined in a battle of harsh intellectual fights in their reappropriation of hegel and his philosophy of law, and also revived a century-old debate on the primacy of history or philosophy within the german university
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Vuillerod, Jean-Baptiste. "L’anti-hégélianisme de la philosophie française des années 1960 : constitution et limites d’un renversement philosophique." Thesis, Paris 10, 2018. http://www.theses.fr/2018PA100105.

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Abstract:
L’objet de cette thèse est l’anti-hégélianisme des années 1960 en France. À travers l’étude des philosophies de Louis Althusser, de Michel Foucault et de Gilles Deleuze, nous cherchons à comprendre les raisons qui ont poussé une partie des philosophes de l’époque à critiquer Hegel de manière virulente, alors même que sa philosophie avait été fortement valorisée en France des années 1930 aux années 1950. Notre analyse de la constitution de l’anti-hégélianisme de la philosophie française des années 1960 révèle en même temps les limites de ce phénomène, dans le but de dépasser l’opposition entre hégélianisme et anti-hégélianisme et de réfléchir à l’actualité, aujourd’hui, de la pensée de Hegel. Une première partie est consacrée à l’évolution de l’œuvre d’Althusser, du mémoire sur Hegel de 1947 jusqu’à Pour Marx et Lire le Capital en 1965 ; une seconde traite de la philosophie de Foucault en cherchant à comprendre pourquoi il est passé d’un mémoire sur Hegel en 1949 à une condamnation radicale de la pensée hégélienne dans les années 1950 et 1960 ; enfin, une troisième partie montre comment Deleuze, qui n’avait rien contre Hegel au départ, a progressivement durci sa pensée jusqu’à produire l’anti-hégélianisme le plus virulent dans Nietzsche et la philosophie (1962) et Différence et répétition (1968). La conclusion cherche à ressaisir ce phénomène collectif en tant qu’il constitue une véritable constellation intellectuelle, mais elle problématise également cet anti-hégélianisme
This thesis is about anti-Hegalianism of French philosophy during the 1960s. Focusing on Louis Althusser, Michel Foucault and Gilles Deleuze, its aim is to understand why a lot of philosophers, at that time, criticized Hegel even though his philosophy had been very successful in France from 1930s to 1950s. The comprehension of this phenomenon aspires also to show its limits, in order to go beyond the false opposition between anti-Hegelianism and Hegelianism and to think about the relevancy of Hegel’s philosophy today. In a first part, the text analyzes Althusser’s work from the master’s thesis on Hegel (1947) to the very anti-Hegelian books For Marx and Reading Capital (1965) ; then it studies Foucault’s thought to understand why he defended Hegel in 1949 and after became an anti-Hegelian philosopher during the 1950s and the 1960s ; finally, it searches why Deleuze evolved until developping a violent anti-Hegelianism in Nietzsche and Philosophy (1962) and in Difference and Repetition (1968). The conclusion tries to seize this collective phenomenon as an intellectual constellation, but also to problematize it
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Sakamoto, Takashi. "Le problème de l'histoire chez Michel Foucault." Bordeaux 3, 2011. http://www.theses.fr/2011BOR30013.

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Abstract:
Comment la philosophie peut-elle penser son dehors, qu’est la non-philosophie ? Quelle est la limite entre la philosophie et ce qui lui est extérieur ? La philosophie hégélienne a tenté de répondre à ces questions par l’établissement d’une totalité philosophique au travers de la dialectique et d’une certaine manière philosophique de penser l’histoire. Notre travail a pour objectif de réfléchir sur ce rapport de la philosophie à la non-philosophie, apparu de façon éminente dans la pensée de Michel Foucault, qui cherche, tout le long de son parcours, à se déprendre de cette philosophie de la totalité et de l’histoire, tout en menant diverses enquêtes historiques. Il s’agit pour lui de mettre en doute la naturalité des objets, tels la folie, la délinquance, la sexualité. Foucault fait ainsi sans cesse surgir la multiplicité des formes empiriques d’objectivation, ainsi que celles d’assujettissement ou de subjectivation, car cette prolifération des histoires s’oppose à la totalité dialectique de l’histoire. Comme la déprise ne s’achève jamais une fois pour toutes, la pensée foucaldienne devient un ensemble d’essais pour philosopher dans le non-philosophique qu’est l’histoire. Penser contre Hegel implique toujours penser avec lui. Notre analyse vise à éclairer ces efforts foucaldiens, en suivant leur déroulement dans les trois périodes, à savoir l’archéologie, la généalogie et la problématisation, pour montrer comment ces époques se forment et se transforment autour du thème de l’histoire, par une série de déplacements parfois très minimes. La pensée foucaldienne est en ce sens une mise en question de la philosophie elle-même en face de la non-philosophie
How can philosophy think its outside? What is the limit between philosophy and non-philosophy? The Hegelian philosophy tried to answer those questions by setting up a philosophic totality through dialectics and a certain philosophic way of thinking history. Our goal is to consider this relation between philosophy and non-philosophy that clearly appears in the thought of Michel Foucault, which seeks, all along its course, to free itself from the Hegelian philosophy of totality and of history, by carrying out various historical investigations. For Foucault, the main point is to call into question the naturality of objects, such as madness, crime and sexuality. Foucault constantly brings to light the multiplicity of the empirical forms of objectivation, and of subjection or subjectivation as well, inasmuch as a proliferation of histories goes against Hegel’s dialectical totality of history. As this discharge never ends once and for all, the Foucauldian thought becomes a set of attempts in order to philosophize in the non-philosophy that is history. Being against Hegel always involves thinking with him. Our analysis aims at understanding the Foucauldian efforts, by following their unfolding in the three periods that are the archaeology, the genealogy and the problematisation, and to show how they are formed and transformed around the theme of history, by a series of sometimes very minor changes. In this sense, the thought of Michel Foucault is an examination of philosophy itself facing non-philosophy
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Jambois, Fabrice. "Hégélianisme et schizo-analyse : l'idée de mort et la formation de la psychiatrie matérialiste dans la philosophie de Gilles Deleuze." Thesis, Toulouse 2, 2013. http://www.theses.fr/2013TOU20059.

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Abstract:
Cette thèse a pour objet la « psychiatrie matérialiste » (ou « schizo-analyse ») élaborée par Gilles Deleuze et Félix Guattari dans L’anti-Œdipe en 1972. Elle vise à déterminer le contenu conceptuel de cette pratique théorique, trop facilement reléguée dans l'abstraction d'un imaginaire spéculatif. La schizo-analyse, qui s'édifie avec et contre la psychanalyse, se propose de transformer les directions de la cure psychanalytique en procédant à une refonte de la théorie métapsychologique à partir du modèle clinique de la schizophrénie. Notre projet consiste à mettre en évidence la présence d’une métapsychologie fonctionnaliste dans L’anti-Œdipe et à mesurer les effets de déviation qu’elle implique pour la psychanalyse, dont elle modifie conceptuellement les principales opérations. Dans une première partie, nous prenons pour fil conducteur le concept de « corps sans organes », différencié en plusieurs moments renvoyant chacun à une station vitale déterminée, pour montrer que des schèmes dialectiques organisent l’exposition des synthèses du processus de production de l’inconscient et examiner ensuite les conditions de l’incorporation de cette dialectique du désir dans la théorie de la production sociale. Dans une deuxième partie, nous déduisons de la métapsychologie deleuzo-guattarienne les principes des relations intersubjectives et nous efforçons de déterminer le statut de la perversion qui les affecte à divers degrés pour appréhender la relation analytique qui constitue, selon L’anti-Œdipe, une relation perverse paradigmatique. La troisième partie examine les conditions d’une psychanalyse rénovée par la schizo-analyse
The object of this thesis is the « materialist psychiatry » (also referred to as « schizoanalysis ») which Gilles Deleuze and Félix Guattari detailed in their 1972 work entitled Anti-Œdipus. Our project is to outline the conceptual contents of this practical theory which has too often been misapprehended and discarded as mere abstraction. Schizoanalysis, which was set up both along and against psychoanalysis, aims at reorienting the basis of psychoanalytical cures by remodelling the metapsychological theory, using the clinical study of schizophrenia. Our concern is to show evidence of a functionalist metapsychology within Anti-Œdipus and to measure exactly how and how much it bends the ways of psychoanalysis by modifying the concepts that lie at the core of its operations. In our first chapter we will pore over the concept of the “body without organs”, which falls into several distinct parts, each corresponding to a vital station, in order to show that the synthesis of the production of the unconscious is exposed in agreement with different dialectical schemes, and then to examine under which conditions this dialectic of desire is incorporated into the theory of social production. In our second chapter, we infer from Deleuze and Guattari’s metapsychology the principles of subjective interactions and we strive to determine the precise nature of the perversion that affects them, in order to get a thorough grasp of the analytical relationship which, according to Anti-Œdipus, amounts to the paradigm of a perverse relationship. Our third chapter examines to what extent psychoanalysis can be rejuvenated thanks to schizoanalysis
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Zuè-Nguéma, Gilbert. ""Modernité hégélienne" et mondialisation." Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010591.

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Abstract:
Nul doute que la modernité hégélienne n'est ni celle de Nietzsche ni celle de Baudelaire. Pour lui le fait moderne en politique est l'institution de la société civile et pas seulement telle forme particulière de constitution. En comparaison avec les temps anciens, seule l'irruption de la société civile au sein de l'État moderne est vraiment inédite. Méconnaître cette donnée capitale c ' est manquer quelque chose de la modernité hégélienne, en son essence critique. Dépasser la société civile comme figure non authentique de l' esprit mais en lui laissant la pratique subalterne de la production économique et du commerce tout en garantissant à chacun le libre exercice et la libre jouissance de son industrie, tel est l'idéalisme de l'État au nom duquel le libéralisme abstrait des Latins et l'individualisme radical des Anglais sont récusés. La question pertinente n'est donc pas de savoir s'il faut ou non quitter Hegel, mais comment penser avec lui les dialectiques inévitables de notre temps.
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Clochec, Pauline. "Marx jeune hégélien, 1841-1844." Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSEN007.

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Abstract:
L’appellation « jeune Marx » désigne les écrits marxiens, souvent publiés à titre posthume, allant de la Dissertation doctorale de 1841 tout au moins jusqu’aux articles des Annales franco-allemandes. Elle recouvre ainsi la période où Marx se réclame de la philosophie. Cette première période théorique a jusqu’à aujourd’hui fait l’objet d’une double et presque totale mise à l’écart théorique. D’une part, ces travaux de jeunesse ont été assimilés aux symptômes d’une formation intellectuelle encore incomplète, dont l’idéalisme aurait été dépassé par le matérialisme de la maturité. Cette approche était représentée en France d’une manière paradigmatique par Althusser. Elle a cependant aussi caractérisé, d’Engels à Cornu, presque toutes les traditions de lecture marxiste. Si des lectures symétriquement opposées, comme celle de Rubel, identifiant dans les théories du jeune Marx le fondement de son matérialisme à venir, ont inversé le diagnostic, elles n’en ont pas moins rejeté aussi l’approche immanente pour interroger les écrits du jeune Marx seulement dans leur intégration à l’évolution marxienne d’ensemble. D’autre part, c’est le contexte et l’intertexte théoriques de développement du jeune Marx, en l’occurrence sa participation au mouvement jeune hégélien, qui ont été mis de côté. Ils n’ont été mobilisés que négativement, servant à la mise en relief de l’originalité théorique et politique de Marx. Or, cette période dite de jeunesse est pour Marx une période d’exploration théorique et politique qui demande à être interrogée pour elle-même. De plus, le travail théorique, voire parfois rédactionnel, de Marx dans cette période passe par la collaboration et la discussion avec des auteurs Jeunes hégéliens. On retient généralement de ces collaborations seulement celle avec Engels – dont on oublie qu’il fut un Jeune hégélien – en masquant celles qui la précédèrent ou furent simultanées, avec Bruno Bauer notamment jusqu’en 1842, avec Arnold Ruge à Paris, puis avec Moses Hess. Dans cette succession de collaborations et de polémiques, construire une théorie, pour le Marx de cette époque, implique toujours, d’une part, de se situer par rapport à Hegel, et d’autre part, de se situer par rapport aux autres Jeunes hégéliens. Notre projet consiste par conséquent, non à opposer Marx à l’ensemble des autres Jeunes hégéliens dont l’unanimité serait postulée, pour en valoriser l’originalité isolée, mais à retracer les évolutions théoriques de Marx en les situant à l’intérieur des débats qui constituent le jeune hégélianisme. Cette approche doit être appliquée, non seulement à la dimension philosophique des textes de « jeunesse » de Marx, mais aussi à ses travaux sur l’histoire, la religion, l’économie, la société et la politique. La « découverte » même de ces trois derniers domaines, généralement identifiée à un congé donné par Marx à la philosophie et à l’idéalisme qu’il laisserait aux Jeunes hégéliens, est à expliquer, du moins partiellement, selon une médiation jeune hégélienne. Comprendre le jeune Marx passe par une lecture génétique, contextuelle et intertextuelle de ses positions à l’intérieur du contexte jeune hégélien dans lequel les propositions de Marx prennent alors leur sens
The term "young Marx" refers to Marxian writings, often published posthumously, ranging from the doctoral dissertation of 1841 to at least the articles of the Annales franco-allemandes. It thus covers the period when Marx claims to be a philosopher. This first theoretical period has suffered a double and almost total theoretical exclusion. On the one hand, these early writings have been considered as symptoms of an intellectual formation that was not yet complete, whose idealism would have been surpassed by the materialist position of the “mature” Marx. This approach was represented in France in a paradigmatic way by Althusser. However, it has also characterized, from Engels to Cornu, almost all Marxist reading traditions. If symmetrically opposed readings, such as Rubel's, identifying in the theories of the young Marx the foundation of his future materialism, reversed the diagnosis, they nonetheless rejected the immanent approach to question the writings of the young Marx only in their integration with the overall Marxian evolution. On the other hand, it is the theoretical context and intertext of the young Marx's development, in this case his participation in the young Hegelian movement, which have been put aside. They have been mobilized only negatively, in order to highlight the theoretical and political originality of Marx. Now, this so-called youth period is for Marx a period of theoretical and political exploration that requires to be interrogated for itself. In addition, Marx's theoretical and sometimes editorial work in this period involves collaboration and discussion with Young Hegelian writers. What is usually highlighted in this period are the collaborations with Engels – who had been a Young Hegelian, even if this is often forgotten – putting aside other anterior and simultaneous collaborations ; like the one with Bruno Bauer (until 1842), with Arnold Ruge (in Paris) and with Moses Hess. In this succession of collaborations and polemics, Marx’s construction of theories at that time always implies, on the one hand, to situate himself in relation to Hegel, and on the other hand, to situate himself in relation to other Young Hegelians. My project, therefore, is not to oppose Marx to all the other Young Hegelians whose unanimity would be postulated, in order to value its isolated originality, but to trace Marx's theoretical evolutions by situating them within the debates which constitute the young Hegelianism. This approach must be applied not only to the philosophical dimension of Marx's "youth" texts, but also to his work on history, religion, economics, society and politics. Marx’s so-called discovery of the last three domains - usually considered as an evidence for him leaving philosophy and idealism to Young Hegelians - must be explained, at least partially, in reference to Marx’s participation to Youn Hegelianism. Understanding the young Marx involves a genetic, contextual and intertextual reading of his positions within the young Hegelian context in which Marx's propositions make sense
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Puisais, Éric. "La naissance de l'hégélianisme français 1830-1870." Paris 1, 2002. http://www.theses.fr/2002PA010681.

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Abstract:
On a l'habitude de reconnaître pour seule origine à l'hégélianisme en France les leçons, par ailleurs très controversées de Victor Cousin. Ce travail tente de montrer que la réception française de la philosophie hégélienne passe parfois par des chemins peu emprunter. Il s' agit donc de tracer un itinéraire de l'hégélianisme depuis 1830 jusqu'à 1870 au travers des oeuvres d'Eugène Lerminier, de Joseph Willm et d'Emile Beaussire. Ces auteurs, quoique méconnus aujourd'hui, ont, en leur temps, su produire un usage de la philosophie hégélienne qui, chacun à sa façon, trouve aujourd'hui encore un échos remarquable. Ce travail tente donc à la fois de présenter dans ce que leur oeuvre présente d'important et d'original vis-à-vis de l'introduction de la pensée hégélienne en France; mais aussi, au travers de ces exemple, cette thèse montre que la théorie de la réception ne doit pas se figer dans une méthode univoque si elle veux embrasser pleinement les champs d'investigation qui s'offrent à elle
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Bories, Eric. "État, culture et liberté chez Hegel." Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010618.

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Abstract:
Pragmatisme et individualisme voudraient nous persuader aujourd'hui de l'obsolescence de toute pensée se satisfaisant de réfléchir sur ce qui est. Le hégélianisme, qui avoue que pour ce qui est d'enseigner " comme le monde doit être, la philosophie, de toute façon, vient toujours trop tard n, réduirait ainsi la philosophie à n'être que philosophie de l'histoire ou histoire de la philosophie. Pourtant Hegel ne cesse de démontrer l'identité de la pensée et de l'action susceptible d'accomplir les droits d'un sujet qui n'est pas le seul individu, et ceux d'un monde, irréductible à un musée des institutions humaines. C'est pourquoi l'esprit objectif développe sa normativité et sa vitalité; c'est pourquoi la subjectivité déploie dans sa vie absolue son action de trouver un monde, de le produire, de s'y libérer. Une telle confiance en la force de la pensée nous engage, à l'instar de certains philosophes contemporains, à chercher à tirer tout le profit du hégélianisme.
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Durand, Anne. "L'anthropologie feuerbachienne : philosophie et praxis." Thesis, Paris 1, 2014. http://www.theses.fr/2014PA010544.

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Abstract:
La critique feuerbachienne de la philosophie idéaliste de Hegel a beaucoup influencé ses contemporains et les matérialistes et humanistes du 19eme siècle. Cependant, les études françaises ne rendent pas compte de sa contribution à l'histoire de la philosophie autant qu'elles le devraient. Le but de ce travail est de présenter l'évolution de la pensée de Feuerbach de sa jeunesse hégélienne jusqu'à son matérialisme anthropologique et humaniste. Cette évolution est le résultat de la remise en cause progressive puis du renversement de la philosophie spéculative. Sa critique de la religion diffère profondément de celle des Lumières françaises dans le sens où loin de ne voir dans la religion qu'erreur, tromperie et fanatisme, il reconnaît que le religion exprime un trait anthropologique essentiel: l'essence de l'homme. La pensée de Feuerbach réside essentiellement alors dans une nouvelle interprétation du phénomène religieux en lui donnant une explication anthropologique. L'être humain est un mélange de rationalité et de sensibilité, d'affectivité et de passivité, qui doit être considéré en même temps en tant qu'individu et qu'être social. En opposition à l'interprétation de Marx, j'étudie plus particulièrement dans cette thèse, le rôle de la praxis sociale dans l'anthropologie feuerbachienne. Enfin, méthodologiquement, en plus d'une lecture attentive de l'ensemble du corpus feuerbachien, je re-contextualise sa pensée au sein du mouvement jeune-hégélien, et après la révolution de 1848
Feuerbach's anthropological critique of Hegel's idealism has strongly influenced German materialists and humanists in the nineteenth-century as well as the following generations of thinkers. Even so particularly French scholars may still not recognize his contribution as central in the history of thought. The aim of my work is to present the development of Feuerbach's thought in particular how Feuerbach's early Hegelianism evolved into professing an empirical realism and materialist humanism, resulting in what was considered by Feuerbach himself as the negation of speculative German idealism. His critique of religion is fundamentally different from that of the French Enlightenment since according to him religion is not only fraudulent and deceptive, but also an essential anthropological feature. Essentially the thought of Feuerbach consists in a new interpretation of religion's phenomena, giving an anthropological explanation. For Feuerbach, the human subject was a complex weave of rationality and sensuality, affectivity and passivity, sociality and individualism. Contrasting with Marx's interpretation of Feuerbach, in this work 1 will study the role of the social praxis in Feuerbach's anthropology. Besides including a thorough reading of Feuerbach's work, my thesis will present a re-contextualisation of it in the Left Hegelian mouvement and after the March Revolution, as an additional rnaterial for my interpretation
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Petrache, Ana. "Gaston Fessard : un chrétien de rite dialectique ?" Paris, EPHE, 2014. http://www.theses.fr/2014EPHE5027.

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Abstract:
Cette thèse a commencé comme une recherche sur les relations entre les catholiques et les marxistes en France à partir de l’appel de la main tendue de M. Thorez. J’ai découvert ainsi la pensée de Gaston Fessard (1897-1978), un jésuite qui propose une manière spécifique de lire Hegel et Marx. L’enjeu philosophique de Fessard est de proposer un système de philosophie de l’histoire qui réintègre le sens de l’histoire dans la pensée catholique à travers la dialectique hégélienne. À partir de ce projet philosophique Fessard développe trois instruments de pensée : la dialectique du Maitre et l’Esclave, celle de l’Homme et de la Femme et celle du Païen et du Juif qui servent de fondement pour critiquer l’attitude des chrétiens progressistes aussi bien que les deux systèmes totalitaires : le communisme et le nazisme considérés comme des religions politiques. Cette thèse a montré comment les prises de positions politiques de Fessard ont comme fondement son système de philosophie de l’histoire. À partir des écrits de Gaston Fessard, j’ai essayé d’offrir des réponses à deux questions : pourquoi le marxisme est-il vu comme une théologie inversée et pourquoi les chrétiens progressistes ont-ils été attirés par le marxisme malgré les mises en garde de Rome. La réponse consiste à présenter les structures théologiques du marxisme à partir de la lecture faite par Fessard. Le marxisme réussit à séduire une partie des chrétiens notamment parce qu’il a été un projet intellectuel fondé sur une structure théologique : péché, élection, incarnation, rédemption sont des concepts théologiques actifs dans la pensée de Marx que Fessard met en évidence
This doctoral investigation intended to explain the relationship between Catholics and Marxists in France. Later, I discovered the philosophical system of Gaston Fessard (1897-1978), a Jesuit who proposes a particular manner of reading Marx and Hegel. Fessard developed of a philosophy of history with three historical categories or three dialectics: Master-Slave, Man-Women, and Pagan-Jew. Gaston Fessard’s idea is that we should rediscover the sense of history through Hegel, sense that catholic thinking has lost with the neo-Thomism. He used this dialectic to analyze the political behavior of Left Catholics, the Communism, and Nazism (understood as political religions). My research points out those theological structures that Marxism borrowed from theology and how these structures transformed Marxism in a political religion. Furthermore, Fessard explained that left Catholics were tempted by Marxism, despite Vatican’s condemnations, because they recognize in Marxism some theological structures: election, redemption, sin, incarnation. Because of these structures they thought it was possible to use Marxist theory in order to reform the society and the Church in the same time. In turn, Fessard rejects this way of doing political theology. His central argument was that this is not compatible with the social doctrine of the Church. He strived to convince the Catholics that they should rather apply St. Ignace spiritual exercises in order to establish a Christian political attitude in some concrete political situations
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García, Vivien. "Le sort de la philosophie : Michel Bakounine, Friedrich Engels, Karl Marx, Max Stirner : quatre itinéraires jeunes-hégéliens (1842-1843)." Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2015. http://www.theses.fr/2015GREAP003.

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Abstract:
Ce n’est guère le mouvement jeune-hégélien qui vient immédiatement à l’espritlorsque sont évoqués les noms de Bakounine, d'Engels, de Marx ou même deStirner. Le premier et le dernier sont généralement associés à l’anarchisme,les deux autres, plus indubitablement encore, au marxisme. L'histoire de cespersonnages et le devenir de leurs œuvres n'ont pu que faire de l'ombre à leurappartenance commune et concomitante, trente ans avant que ne se cristallisentlesdits courants politiques, à ce qui a parfois été apparenté à une écolephilosophiqueLa présente thèse propose une lecture immanente, laquelle ne s'efforce pasmoins de restituer un contexte, des principaux écrits rédigés par ces auteursentre 1842 et 1843. La pensée de chacun d'entre eux est présentée dans sesinterrogations et ses enjeux propres, en s'intéressant aux emprunts et auxinnovations conceptuelles réalisées pour y répondre et tout en maintenantd’incessants aller-retours avec le champ problématique relatif au mouvementdans lequel elle prend corps et s’introduit.Il ne s'agit pas, par là, de procéder à une simple mise au point en matièred'histoire des idées. L'un des intérêts majeurs des textes abordés réside dansce qu'ils nous disent, dans une perspective post-hégélienne, de la philosophie.Les descriptions du présent que l'on trouve dans ces textes concordent, eneffet, quant à l'impossibilité d'établir l'unité du rationnel et de l'effectif.Tout reste encore à faire pour qui ne renonce pas à la réalisation de laliberté dans l'histoire. À suivre Hegel, pourtant, la philosophie doit secontenter de décrire ledit procès ou ses résultats. Doit-on se résoudre à ceque la philosophie ne puisse concourir à un destin dont elle a donné la clé ?N'est-il pas possible de la renouveler ? Et comment ? S'agit-il plutôt d'ensortir et d'imaginer d'autres formes d'intervention théoriques et pratiques ?Et qu'en est-il alors de ce qui reste de philosophique ?
The names of Bakunin, Engels, Marx, or Stirner are hardly ever associated withthe Young Hegelian movement. Bakunin and Stirner are generally associated withanarchism and Marx and Engels with marxism. Their lives and the fate of theirworks could do no more than obliterate the mutual and concomitant contributionsof these authors to what has sometimes been described as a philosophicalschool. This participation, in any case, occured thirty years before thecristallisation of the aforesaid political movements.This research proposes an immanent, and at the same time contextual, reading ofthe main texts written by these authors between 1842 and 1843. The theories ofeach of them are presented in accordance with their own questions and issues,focusing on the conceptual borrowings and innovations realised as aconsequence. They are expounded through a perpetual to and fro between theproblematic field related to the movement from which they were born and inwhich they participated.Nevertheless this study cannot be reduced to a mere contribution to the historyof ideas. One of the key interests of the analysed texts lies in what they tellus, from a post-hegelian perspective, about philosophy. When they describetheir epoch, they all conclude that there is no identity of the rational andthe real. There is still much to do for those who do not abandon the idea of therealisation of freedom in history. However, according to Hegel, philosophy canonly describe the process or the results of this realisation. Cannot philosophycontribute to the destiny it revealed? And if not, is it possible to renewphilosophy? How? Would an exit from philosophy be preferable? Other forms oftheoretical and practical intervention could be invented. But then, what aboutthe "philosophical" that remains?
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García, Vivien. "Le sort de la philosophie : Michel Bakounine, Friedrich Engels, Karl Marx, Max Stirner : quatre itinéraires jeunes-hégéliens (1842-1843)." Electronic Thesis or Diss., Université Grenoble Alpes (ComUE), 2015. http://www.theses.fr/2015GREAP003.

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Abstract:
Ce n’est guère le mouvement jeune-hégélien qui vient immédiatement à l’espritlorsque sont évoqués les noms de Bakounine, d'Engels, de Marx ou même deStirner. Le premier et le dernier sont généralement associés à l’anarchisme,les deux autres, plus indubitablement encore, au marxisme. L'histoire de cespersonnages et le devenir de leurs œuvres n'ont pu que faire de l'ombre à leurappartenance commune et concomitante, trente ans avant que ne se cristallisentlesdits courants politiques, à ce qui a parfois été apparenté à une écolephilosophiqueLa présente thèse propose une lecture immanente, laquelle ne s'efforce pasmoins de restituer un contexte, des principaux écrits rédigés par ces auteursentre 1842 et 1843. La pensée de chacun d'entre eux est présentée dans sesinterrogations et ses enjeux propres, en s'intéressant aux emprunts et auxinnovations conceptuelles réalisées pour y répondre et tout en maintenantd’incessants aller-retours avec le champ problématique relatif au mouvementdans lequel elle prend corps et s’introduit.Il ne s'agit pas, par là, de procéder à une simple mise au point en matièred'histoire des idées. L'un des intérêts majeurs des textes abordés réside dansce qu'ils nous disent, dans une perspective post-hégélienne, de la philosophie.Les descriptions du présent que l'on trouve dans ces textes concordent, eneffet, quant à l'impossibilité d'établir l'unité du rationnel et de l'effectif.Tout reste encore à faire pour qui ne renonce pas à la réalisation de laliberté dans l'histoire. À suivre Hegel, pourtant, la philosophie doit secontenter de décrire ledit procès ou ses résultats. Doit-on se résoudre à ceque la philosophie ne puisse concourir à un destin dont elle a donné la clé ?N'est-il pas possible de la renouveler ? Et comment ? S'agit-il plutôt d'ensortir et d'imaginer d'autres formes d'intervention théoriques et pratiques ?Et qu'en est-il alors de ce qui reste de philosophique ?
The names of Bakunin, Engels, Marx, or Stirner are hardly ever associated withthe Young Hegelian movement. Bakunin and Stirner are generally associated withanarchism and Marx and Engels with marxism. Their lives and the fate of theirworks could do no more than obliterate the mutual and concomitant contributionsof these authors to what has sometimes been described as a philosophicalschool. This participation, in any case, occured thirty years before thecristallisation of the aforesaid political movements.This research proposes an immanent, and at the same time contextual, reading ofthe main texts written by these authors between 1842 and 1843. The theories ofeach of them are presented in accordance with their own questions and issues,focusing on the conceptual borrowings and innovations realised as aconsequence. They are expounded through a perpetual to and fro between theproblematic field related to the movement from which they were born and inwhich they participated.Nevertheless this study cannot be reduced to a mere contribution to the historyof ideas. One of the key interests of the analysed texts lies in what they tellus, from a post-hegelian perspective, about philosophy. When they describetheir epoch, they all conclude that there is no identity of the rational andthe real. There is still much to do for those who do not abandon the idea of therealisation of freedom in history. However, according to Hegel, philosophy canonly describe the process or the results of this realisation. Cannot philosophycontribute to the destiny it revealed? And if not, is it possible to renewphilosophy? How? Would an exit from philosophy be preferable? Other forms oftheoretical and practical intervention could be invented. But then, what aboutthe "philosophical" that remains?
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Cantin-Brault, Antoine. "La possibilité de la philosophie : étude sur l'interprétation hégélienne d'Héraclite." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/27865/27865.pdf.

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Apicella, Nicola. "Georges Bataille et Alexandre Kojève : la blessure de l’Histoire." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEH153.

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Abstract:
Notre travail se propose d’interroger généalogiquement le pouvoir formateur que la philosophie de Hegel a exercé sur la pensée de Georges Bataille. À partir de la fin des années 1920, le système du Savoir Absolu n’a cessé de nourrir l’œuvre de cet intellectuel qu’on a souvent qualifié, trop hâtive-ment, d’anti-systématique, et pour qui la rencontre décisive d’Alexandre Kojève, l’un des premiers exégètes de Hegel en France, a joué un rôle exceptionnel dans la redéfinition des limites et des en-jeux de la connaissance discursive quand elle se heurte à la souveraineté du « non-savoir ». Néan-moins, cette opération n’a pas été linéaire : depuis l’époque de la revue Documents et jusqu’à sa mort, Bataille a calibré son hégélianisme (ou anti-hégélianisme) de façon très différente selon les circons-tances intellectuelles, en réagissant d’abord aux suggestions du surréalisme, puis à l’impulsion des nouvelles doctrines « bourgeoises » telles que la psychanalyse et la sociologie, et enfin à l’enseignement d’Alexandre Kojève. On a donc au moins trois trajectoires critiques qui traversent et bouleversent la doctrine hégélienne, laquelle sera progressivement rejetée, mais aussi récupérée avec des réserves et finalement réélaborée de façon originale. Trois étapes qui montrent un Bataille ca-pable d’intégrer à sa pensée des modèles discursifs qui n’en diminuent pas la puissance mais qui, au contraire, en sortent enrichis d’un nouvel élan qui leur soustrait tout schématisme à la faveur d’une structure plus fluide qui en bouscule les points cardinaux. Dans ce travail d’histoire intellectuelle, il est donc apparu nécessaire d’adopter une démarche diachronique plutôt que synchronique. La litté-rature secondaire qui s’est penchée sur l’apport de la philosophie de Hegel à la pensée bataillienne a souvent commis l’erreur de rapprocher des textes très éloignés dans le temps afin d’en tirer des ana-logies et des convergences qui, dans le but d’élucider une certaine cohérence interne à cette pensée elle-même, en banalise toutes les aspérités et les « fausses routes ». Ce qui en ressort est l’idée qu’il existe un bloc « Hegel-Bataille » ou « Kojève-Bataille » plus ou moins bien défini et difficilement questionnable. La faiblesse de cette approche ne saurait être plus flagrante : ne prenant pas en con-sidération l’articulation très riche des enjeux que ces binômes mettent en place à des époques diffé-rentes, marquées par des exigences qui ne sont pas toujours superposables, elle sclérose un rapport intellectuel qui s’est fait et défait durant vingt ans environ. Ainsi, nous tâchons de suivre l’évolution structurelle d’une posture, celle de Bataille, qui fait de la fluidité et de l’hésitation son style argu-mentatif. C’est pour cette raison que nous nous sommes appuyés davantage sur ses textes, édités et inédits, que sur les références secondaires, cherchant à limiter les lectures croisées et les anachro-nismes pour comprendre pourquoi, en 1950, Bataille avouait être de « formation hégélienne », lui qui depuis 1929 avait pris le parti de l’informe, et pourquoi Kojève lui témoignera un respect et une proximité intellectuelle toujours grandissants
This thesis proposes to genealogically question the formative power that Hegel's philosophy ex-erted on Georges Bataille's thought. From the end of the 1920s, the system of Absolute Knowledge constantly nourished the work of this intellectual who is often described, too hastily, as anti-systematic, and for whom the decisive meeting of Alexandre Kojeve, one of Hegel's first exegetes in France, played an exceptional role in redefining the limits and the stakes of discursive knowledge when confronted with the sovereignty of "non-knowing". Nevertheless, this operation was not line-ar: from the time of the review Documents and until his death, Bataille calibrated his Hegelianism (or anti-Hegelianism) very differently depending on the intellectual circumstances, by reacting first to the suggestions of surrealism, then to the impulse of new "bourgeois" doctrines such as psychoanal-ysis and sociology, and finally to the teaching of Alexandre Kojève. We therefore have at least three critical trajectories that cross and disrupt the Hegelian doctrine, which will emerge gradually as re-jected, then recovered with reservations and finally reworked in an original way. Three stages that show a Bataille capable of integrating into his thinking some discursive models that do not diminish its power but which, on the contrary, emerge enriched by a new impetus that removes any schema-tism from them towards a more fluid structure that shakes up their cardinal points. In this work of intellectual history, it has therefore been necessary to adopt a diachronic rather than a synchronic approach. The secondary literature that has focused on the contribution of Hegel's philosophy to Bataillian thought has often made the mistake of bringing together texts that are far removed in time in order to derive analogies and convergences that, with the aim of elucidating a certain inter-nal coherence to this thought itself, trivialize all its asperities and "wrong turns". What stands out is the idea that there is a block "Hegel-Bataille" or "Kojeve-Bataille" more or less well defined and dif-ficult to question. The weakness of this approach cannot be more blatant: not taking into considera-tion the very rich articulation of the issues that these pairs put in place at different times, marked by requirements that cannot always be staked, it paralyzes an intellectual relationship that was made and undone over the course of about twenty years. Thus, we try to follow the structural evolution of a posture, Bataille’s one, which makes of fluidity and hesitation its argumentative style. For this reason, we relied more on his texts, published and unpublished, than on the secondary references, seeking to limit cross readings and anachronisms to understand why, in 1950, Bataille confessed be-ing an "Hegelian by training" (de « formation hégélienne ») – a confession coming from someone who since 1929 had sided with the formless (informe) – and why Kojève will show him a growing respect and intellectual proximity
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Giacone, Alessia. "L'essenza e la forma : la presenza di Aristotele nella "Wesenslogik" di Hegel." Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H206.

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Abstract:
Le but de cette étude est de fonder la parenté entre l'essence hégélienne, le Wesen, et le ti en einai aristotélicien; parenté qu'on croit être non seulement littérale, mais plus proprement spéculative. En effet, le Wesen comme le ti en einai rappellent un sens de passé, mais de passé hors du temps, qui est même spéculatif et théorétique. En particulier, on essaiera de relire certains moments de la Science de la logique en utilisant comme pierre de touche les Leçons sur l'histoire de la philosophie que Hegel a dédiées à Aristote. Déjà la bipartition de la logique objective en « Logique de l'être» et « Logique de l'essence» est une reprise d'Aristote: la science, en allant en profondeur, recherche au-delà de l'être (to on) et, une fois découverte l'essence (ti en einai), élève cette dernière à son objet. Le chemin logique qui va de l'être à l'essence pense éminemment cette vérité. La démonstration de la parenté entre Wesen et ti en einai aurait un double mérite : tout d'abord, celui de clarifier des passages très importants de la Doctrine de l'essence en dissolvant, en parallèle, les ambiguïtés dont le corpus aristotélicien reste susceptible; d'autre part, celui de lire correctement l'imparfait en de la formule monnayée par Aristote; un imparfait, d'après moi, qui ne peut qu'être métaphysique et concerner, donc, ce qui est nécessaire, immuable, hors du temps précisément en tant qu'il légitime le temps, c'est-à-dire qu'il fonde ontologiquement le temps en lui donnant sa vérité. Le travail se compose de quatre chapitres, qui sont quatre moments d'enquête bien distincts : Le premier chapitre, après quelques remarques méthodologiques, offrira une première interprétation générale de l'essence en tant que dynamis, en axant le parallèle sur les concepts aristotéliciens d'essence, d'acte et de but, qu'on utilisera ici comme un laboratoire conceptuel pour l'intégralité de notre travail.Le deuxième chapitre porte sur le sich erinnert de l'être dans l'essence, c'est-à-dire le passage à un niveau différent d'argumentation logique, à partir de son lien d'un côté avec l'anamnesis platonicienne, de l'autre avec le tien einai aristotélicien.Le troisième chapitre problématise le rôle de la Reflexion en tant que processualité immanente de l'essence, en reconsidérant l'équilibre complexe entre être et essence, respectivement, comme proteron pros hemas et proteron te physei, qui correspondent à leur tour aux expressions aristotéliciennes ti esti et tien einai.Le quatrième chapitre aborde le problème de la Wirklichkeit qui clôt la Doctrine de l'essence, en l'interprétant, selon l'indication hégélienne, comme energeia et entelecheia
The aim of this research is to prove the relationship between the Hegelian concept of Wesen and Aristotle's ti en einai from a not merely lexical point of view. I will specially attempt the reading of some fundamental moments of the Science of logic using the Lectures on the history of philosophy that Hegel dedicates to the Stagirite. Both signifiers, Wesen and ti en einai, refer to a sense of past, but timelessly past (zeitlos), which is pregnantly speculative. Hegel structures the division of the Objective Logic in two books, "Being" and ''Essence", on the mode( of the Aristotelian episteme. True science, meaning the one that goes deeply, looks beyond Being (to on) and, once found its Essence (ti en einai), puts this fast one as its abject. The logical journey from Being to Essence thinks highly this truth. I am convinced that founding such a relationship between the above-mentioned terms has a twofold contribution: On the one hand, which one of clarifying some key-moments of the Doctrine of Essence, so disambiguating expressions, or "formulas" that the Stagirite frequently uses as synonyms (i.e. essence, act, purpose and form); On the other hand, which one of reading, and correctly understanding, the past tense en in the middle of the Aristotelian formula; a past tense definitely metaphysical, which refers to what is necessary, unchangeable, out of time just because it is what time needs most of all and what legitimates time. The dissertation articulates into four chapters, corresponding to four distinct moments of investigation: Chapter I starts with some methodological remarks, and then provides my first general interpretation of the Hegelian Essence as dynamis. I will found this kind of reading on the Aristotelian concepts of essence, act and purpose. The analysis focuses on Aristotle's Metaphysics and approaches a germinal connection between Wesen, An-sich, ousia, dynamis.Chapter Il concems the recollection (sich erinnert) of Being in Essence, that is, switching to a different Ievel of logical argumentation, its connection on one side with Platonic anamnesis, on the other one with the Aristotelian ti en einai. Both anà and en refer to a past that is not truly such: it has no-time significance but clearly a logical-metaphysical one. Logical development is not made up of continuity but rather of breaks and always-new demotions; it recalls some famous words Socrates says to Meno: "And isn't finding knowledge within oneself recollection?" (Meno, 85e-86a). Chapter III, in a direct link with the previous ones, thematizes the role of Reflexion as that immanent process of Essence, rethinking the complex balance of Being and Essence as, respectively, proteron pros hemas and proteron te physei, in turn corresponding to the Aristotelian formulas ti esti and ti en einai. Chapter IV, which takes crosswise the themes of the previous chapters, deals with the problem of Wirklichkeit at the end of the Doctrine of Essence, interpreting it in its twofold meaning of energeia and entelecheia. Despite Hegel, in his Lectures on the history of philosophy, apparently considers entelecheia as the most proper determination of energeia, he actually reveals two distinct senses, which correspond to different ranges of use. Wirklichkeit is then determined both as effectuality and as the determinacy of purpose. If, on the one band, Hegel accomplishes a great ontological building, on the other band he grounds an effectual reality that is only possible, still to submit to the scrutiny of the Subject, Concept, and Idea
Scopo del presente lavoro di ricerca è fondare la filiazione tra Wesen hegeliano e ti en einai aristotelico da un punto di vista non meramente lessicale, tentando principalmente la lettura di alcuni momenti chiave della Scienza della logica al filtro delle Lezioni sulla storia della filosofia dedicate ad Aristotele. Entrambi i significanti, tanto il Wesen quanto il ti en einai, mettono infatti in gioco un senso di passato, ma passato fuori dal tempo, che è esso stesso teoretico e speculativo. La distinzione della logica oggettiva in logica dell’essere e logica dell’essenza è un calco aristotelico. La vera scienza, la scienza cioè che va in profondità, cerca oltre l’essere (to on) e, trovatane l’essenza (ti en einai) ne fa il suo oggetto. Il cammino che conduce dall’essere all’essenza, o meglio che dall’essere svela l’essenza nella Scienza della logica pensa al massimo grado questa verità. Crediamo che la dimostrazione di una simile filiazione tra i due termini abbia un duplice merito: anzitutto, quello di chiarificare alcuni momenti estremamente importanti della Dottrina dell’essenza disambiguando, nel farlo, alcune espressioni o termini di cui lo Stagirita ha fatto largo uso cadendo spesso nella sinonimia (tra tutti essenza, atto, fine e forma); dall’altro, quello di leggere in modo corretto l’imperfetto en della formula aristotelica – un imperfetto che non può non essere metafisico e riguardare, cioè, ciò che è necessario, immutabile, fuori dal tempo proprio in quanto ciò che più di tutto occorre al tempo, e che perciò stesso lo legittima. Il lavoro si articola in quattro capitoli, che corrispondono a quattro ben distinti momenti di indagine: Il primo capitolo, dopo alcune considerazioni di carattere metodologico, offre una prima generale interpretazione dell’essenza come dynamis, imperniando il parallelo sui concetti aristotelici di essenza, atto e fine. L’analisi è condotta principalmente sul testo della Metafisica. Si approccia una germinale connessione tra Wesen, An-sich, ousia, dynamis. Il secondo capitolo ripensa il sich erinnert dell’essere nell’essenza, vale a dire il passaggio a un diverso livello di argomentazione logica, a partire dal suo legame da un lato con l’anamnesis platonica, dall’altro col ti en einai aristotelico. Sia l’anà che l’en alludono infatti ad un passato che non è veramente tale, che non ha valenza temporale ma chiaramente logico-metafisica. E il procedimento logico, fatto non di continuità ma piuttosto di rotture e di sempre nuove retrocessioni, sembrerebbe richiamare proprio una certa frase di Socrate a Menone: “[m]a ricavar da sé, in sé, la propria scienza, non è appunto ricordare?” (Menone, 85e-86a). Il terzo capitolo, in diretta connessione con il precedente, problematizza il ruolo della Reflexion come processualità immanente dell’essenza, ripensando il complesso equilibrio di essere ed essenza come, rispettivamente, proteron pros hemas e proteron te physei, a sua volta corrispondenti alle espressioni aristoteliche ti esti e ti en einai.Il quarto capitolo, che riprende in modo incrociato le tematiche dei capitoli precedenti, affronta il problema della Wirklichkeit a chiusura della Dottrina dell’essenza, interpretandola nel suo duplice senso di energeia e entelecheia. Malgrado Hegel, nelle Lezioni sulla storia della filosofia, consideri apparentemente l’entelecheia come “la specificazione più propria” dell’energeia, ne emergono due sensi distinti e non propriamente sovrapponibili. La Wirklichkeit si determina quindi tanto come effettualità, quanto come finale determinazione del fine. Se, da un lato, Hegel porta qui a compimento una grandiosa trattazione di ontologia, dall’altro apre le porte all’interpretazione di un reale solo possibile, da sottoporre ancora al vaglio del Soggetto e dell’Idea
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Acri, Soares Mariana D'. "Les premiers pas de la raison chez Hegel." Thesis, Paris 1, 2018. http://www.theses.fr/2018PA01H201.

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Abstract:
L'objectif de la présente recherche est de suivre le chemin parcours par Hegel dans l'élaboration de sa conception de la raison dans certains de ses premiers écrits. Dans le premier moment, nous analyserons les textes de l'époque de Stuttgart (1785 - 1788) jusqu'à l'année 1800. Nous montrerons que Hegel a toujours conçu la raison différemment de l'entendement et que sa conception de la raison correspond à son idéal de l'unité, l'unité de l'universel et de l'individualité, son idéal de jeunesse. Notre étude va conduire à une compréhension de cet idéal comme un idéal esthético­politique. Ensuite, nous étudierons deux textes écrits pendant le début de son séjour à Iéna - La différence des systèmes philosophiques de Fichte et Schelling et Foi et savoir. Le but est maintenant de montrer comment Hegel commence l'élaboration de sa philosophie spéculative en tant que l'autoproduction et l'auto-reconnaissance de la raison. Et nous montrerons aussi qu'en même temps que Hegel critique la philosophie kantienne il lui est très reconnaissant. Dans le dernier moment, la recherche présente la conception de la raison dans la Phénoménologie de l'esprit. Nous suivrons donc le parcours de la « raison active » dans sa quête du bonheur, du juste en tant que réalisation effective de l'unité de l'universel et de l'individualité et voyons apparaître son caractère intersubjectif. Notre but central est de montrer que, malgré l'ultérieur développement de sa pensée, la conception de la raison se maintient en tant qu'un idéal de l'unification
The purpose of this research is to follow Hegel's path in the construction of his conception of reason in some of his first writings. We start analyzing the texts from Stuttgart (1785 - 1788) to 1800. We will show that Hegel has always intended to conceive reason differently from understanding and that his conception of reason corresponds to his ideal of unity, the unity of the universal and the individuality, his ideal of youth. Our study will guide to a comprehension of this ideal as an aesthetical-political ideal. Next, we will study two texts from the beginning of his stay at Iena – “The Difference Between Fichte's and Schelling's Systems of Philosophy and Faith and Knowledge”. The aim at this point is to show how Hegel starts elaborating his speculative philosophy as the auto production and autorecognition of reason. We also show that at the same time Hegel critics Kant's philosophy, he recognizes its value. Finally, the research presents the conception of reason at the Phenomenology of the Spirit. We follow the path of the "active reason" in its quest for the happy state, of fairness as the actualization of the unity of the universal and the individuality and we see the appearance of his intersubjective character. Our main objective is to show, despite the future development of his thoughts, the conception of reason remains as an ideal of unification
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Giacone, Alessia. "L'essenza e la forma. Aristotele nella Wesenslogik di Hegel." Doctoral thesis, Paris 1, 2017. http://hdl.handle.net/11577/3260582.

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Abstract:
Scopo del presente lavoro di ricerca è fondare la filiazione tra Wesen hegeliano e ti en einai aristotelico da un punto di vista non meramente lessicale, tentando principalmente la lettura di alcuni momenti chiave della Scienza della logica al filtro delle Lezioni sulla storia della filosofia dedicate ad Aristotele. Entrambi i significanti, tanto il Wesen quanto il ti en einai, mettono infatti in gioco un senso di passato, ma passato fuori dal tempo, che è esso stesso teoretico e speculativo. La distinzione della logica oggettiva in logica dell’essere e logica dell’essenza è un calco aristotelico. La vera scienza, la scienza cioè che va in profondità, cerca oltre l’essere (to on) e, trovatane l’essenza (ti en einai) ne fa il suo oggetto. Il cammino che conduce dall’essere all’essenza, o meglio che dall’essere svela l’essenza nella Scienza della logica pensa al massimo grado questa verità. Crediamo che la dimostrazione di una simile filiazione tra i due termini abbia un duplice merito: anzitutto, quello di chiarificare alcuni momenti estremamente importanti della Dottrina dell’essenza disambiguando, nel farlo, alcune espressioni o termini di cui lo Stagirita ha fatto largo uso cadendo spesso nella sinonimia (tra tutti essenza, atto, fine e forma); dall’altro, quello di leggere in modo corretto l’imperfetto en della formula aristotelica – un imperfetto che non può non essere metafisico e riguardare, cioè, ciò che è necessario, immutabile, fuori dal tempo proprio in quanto ciò che più di tutto occorre al tempo, e che perciò stesso lo legittima. Il lavoro si articola in quattro capitoli, che corrispondono a quattro ben distinti momenti di indagine: Il primo capitolo, dopo alcune considerazioni di carattere metodologico, offre una prima generale interpretazione dell’essenza come dynamis, imperniando il parallelo sui concetti aristotelici di essenza, atto e fine. L’analisi è condotta principalmente sul testo della Metafisica. Si approccia una germinale connessione tra Wesen, An-sich, ousia, dynamis. Il secondo capitolo ripensa il sich erinnert dell’essere nell’essenza, vale a dire il passaggio a un diverso livello di argomentazione logica, a partire dal suo legame da un lato con l’anamnesis platonica, dall’altro col ti en einai aristotelico. Sia l’anà che l’en alludono infatti ad un passato che non è veramente tale, che non ha valenza temporale ma chiaramente logico-metafisica. E il procedimento logico, fatto non di continuità ma piuttosto di rotture e di sempre nuove retrocessioni, sembrerebbe richiamare proprio una certa frase di Socrate a Menone: “[m]a ricavar da sé, in sé, la propria scienza, non è appunto ricordare?” (Menone, 85e-86a). Il terzo capitolo, in diretta connessione con il precedente, problematizza il ruolo della Reflexion come processualità immanente dell’essenza, ripensando il complesso equilibrio di essere ed essenza come, rispettivamente, proteron pros hemas e proteron te physei, a sua volta corrispondenti alle espressioni aristoteliche ti esti e ti en einai. Il quarto capitolo, che riprende in modo incrociato le tematiche dei capitoli precedenti, affronta il problema della Wirklichkeit a chiusura della Dottrina dell’essenza, interpretandola nel suo duplice senso di energeia e entelecheia. Malgrado Hegel, nelle Lezioni sulla storia della filosofia, consideri apparentemente l’entelecheia come “la specificazione più propria” dell’energeia, ne emergono due sensi distinti e non propriamente sovrapponibili. La Wirklichkeit si determina quindi tanto come effettualità, quanto come finale determinazione del fine. Se, da un lato, Hegel porta qui a compimento una grandiosa trattazione di ontologia, dall’altro apre le porte all’interpretazione di un reale solo possibile, da sottoporre ancora al vaglio del Soggetto e dell’Idea.
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Giacone, Alessia. "L'essenza e la forma : la presenza di Aristotele nella "Wesenslogik" di Hegel." Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H206.

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Abstract:
Le but de cette étude est de fonder la parenté entre l'essence hégélienne, le Wesen, et le ti en einai aristotélicien; parenté qu'on croit être non seulement littérale, mais plus proprement spéculative. En effet, le Wesen comme le ti en einai rappellent un sens de passé, mais de passé hors du temps, qui est même spéculatif et théorétique. En particulier, on essaiera de relire certains moments de la Science de la logique en utilisant comme pierre de touche les Leçons sur l'histoire de la philosophie que Hegel a dédiées à Aristote. Déjà la bipartition de la logique objective en « Logique de l'être» et « Logique de l'essence» est une reprise d'Aristote: la science, en allant en profondeur, recherche au-delà de l'être (to on) et, une fois découverte l'essence (ti en einai), élève cette dernière à son objet. Le chemin logique qui va de l'être à l'essence pense éminemment cette vérité. La démonstration de la parenté entre Wesen et ti en einai aurait un double mérite : tout d'abord, celui de clarifier des passages très importants de la Doctrine de l'essence en dissolvant, en parallèle, les ambiguïtés dont le corpus aristotélicien reste susceptible; d'autre part, celui de lire correctement l'imparfait en de la formule monnayée par Aristote; un imparfait, d'après moi, qui ne peut qu'être métaphysique et concerner, donc, ce qui est nécessaire, immuable, hors du temps précisément en tant qu'il légitime le temps, c'est-à-dire qu'il fonde ontologiquement le temps en lui donnant sa vérité. Le travail se compose de quatre chapitres, qui sont quatre moments d'enquête bien distincts : Le premier chapitre, après quelques remarques méthodologiques, offrira une première interprétation générale de l'essence en tant que dynamis, en axant le parallèle sur les concepts aristotéliciens d'essence, d'acte et de but, qu'on utilisera ici comme un laboratoire conceptuel pour l'intégralité de notre travail.Le deuxième chapitre porte sur le sich erinnert de l'être dans l'essence, c'est-à-dire le passage à un niveau différent d'argumentation logique, à partir de son lien d'un côté avec l'anamnesis platonicienne, de l'autre avec le tien einai aristotélicien.Le troisième chapitre problématise le rôle de la Reflexion en tant que processualité immanente de l'essence, en reconsidérant l'équilibre complexe entre être et essence, respectivement, comme proteron pros hemas et proteron te physei, qui correspondent à leur tour aux expressions aristotéliciennes ti esti et tien einai.Le quatrième chapitre aborde le problème de la Wirklichkeit qui clôt la Doctrine de l'essence, en l'interprétant, selon l'indication hégélienne, comme energeia et entelecheia
The aim of this research is to prove the relationship between the Hegelian concept of Wesen and Aristotle's ti en einai from a not merely lexical point of view. I will specially attempt the reading of some fundamental moments of the Science of logic using the Lectures on the history of philosophy that Hegel dedicates to the Stagirite. Both signifiers, Wesen and ti en einai, refer to a sense of past, but timelessly past (zeitlos), which is pregnantly speculative. Hegel structures the division of the Objective Logic in two books, "Being" and ''Essence", on the mode( of the Aristotelian episteme. True science, meaning the one that goes deeply, looks beyond Being (to on) and, once found its Essence (ti en einai), puts this fast one as its abject. The logical journey from Being to Essence thinks highly this truth. I am convinced that founding such a relationship between the above-mentioned terms has a twofold contribution: On the one hand, which one of clarifying some key-moments of the Doctrine of Essence, so disambiguating expressions, or "formulas" that the Stagirite frequently uses as synonyms (i.e. essence, act, purpose and form); On the other hand, which one of reading, and correctly understanding, the past tense en in the middle of the Aristotelian formula; a past tense definitely metaphysical, which refers to what is necessary, unchangeable, out of time just because it is what time needs most of all and what legitimates time. The dissertation articulates into four chapters, corresponding to four distinct moments of investigation: Chapter I starts with some methodological remarks, and then provides my first general interpretation of the Hegelian Essence as dynamis. I will found this kind of reading on the Aristotelian concepts of essence, act and purpose. The analysis focuses on Aristotle's Metaphysics and approaches a germinal connection between Wesen, An-sich, ousia, dynamis.Chapter Il concems the recollection (sich erinnert) of Being in Essence, that is, switching to a different Ievel of logical argumentation, its connection on one side with Platonic anamnesis, on the other one with the Aristotelian ti en einai. Both anà and en refer to a past that is not truly such: it has no-time significance but clearly a logical-metaphysical one. Logical development is not made up of continuity but rather of breaks and always-new demotions; it recalls some famous words Socrates says to Meno: "And isn't finding knowledge within oneself recollection?" (Meno, 85e-86a). Chapter III, in a direct link with the previous ones, thematizes the role of Reflexion as that immanent process of Essence, rethinking the complex balance of Being and Essence as, respectively, proteron pros hemas and proteron te physei, in turn corresponding to the Aristotelian formulas ti esti and ti en einai. Chapter IV, which takes crosswise the themes of the previous chapters, deals with the problem of Wirklichkeit at the end of the Doctrine of Essence, interpreting it in its twofold meaning of energeia and entelecheia. Despite Hegel, in his Lectures on the history of philosophy, apparently considers entelecheia as the most proper determination of energeia, he actually reveals two distinct senses, which correspond to different ranges of use. Wirklichkeit is then determined both as effectuality and as the determinacy of purpose. If, on the one band, Hegel accomplishes a great ontological building, on the other band he grounds an effectual reality that is only possible, still to submit to the scrutiny of the Subject, Concept, and Idea
Scopo del presente lavoro di ricerca è fondare la filiazione tra Wesen hegeliano e ti en einai aristotelico da un punto di vista non meramente lessicale, tentando principalmente la lettura di alcuni momenti chiave della Scienza della logica al filtro delle Lezioni sulla storia della filosofia dedicate ad Aristotele. Entrambi i significanti, tanto il Wesen quanto il ti en einai, mettono infatti in gioco un senso di passato, ma passato fuori dal tempo, che è esso stesso teoretico e speculativo. La distinzione della logica oggettiva in logica dell’essere e logica dell’essenza è un calco aristotelico. La vera scienza, la scienza cioè che va in profondità, cerca oltre l’essere (to on) e, trovatane l’essenza (ti en einai) ne fa il suo oggetto. Il cammino che conduce dall’essere all’essenza, o meglio che dall’essere svela l’essenza nella Scienza della logica pensa al massimo grado questa verità. Crediamo che la dimostrazione di una simile filiazione tra i due termini abbia un duplice merito: anzitutto, quello di chiarificare alcuni momenti estremamente importanti della Dottrina dell’essenza disambiguando, nel farlo, alcune espressioni o termini di cui lo Stagirita ha fatto largo uso cadendo spesso nella sinonimia (tra tutti essenza, atto, fine e forma); dall’altro, quello di leggere in modo corretto l’imperfetto en della formula aristotelica – un imperfetto che non può non essere metafisico e riguardare, cioè, ciò che è necessario, immutabile, fuori dal tempo proprio in quanto ciò che più di tutto occorre al tempo, e che perciò stesso lo legittima. Il lavoro si articola in quattro capitoli, che corrispondono a quattro ben distinti momenti di indagine: Il primo capitolo, dopo alcune considerazioni di carattere metodologico, offre una prima generale interpretazione dell’essenza come dynamis, imperniando il parallelo sui concetti aristotelici di essenza, atto e fine. L’analisi è condotta principalmente sul testo della Metafisica. Si approccia una germinale connessione tra Wesen, An-sich, ousia, dynamis. Il secondo capitolo ripensa il sich erinnert dell’essere nell’essenza, vale a dire il passaggio a un diverso livello di argomentazione logica, a partire dal suo legame da un lato con l’anamnesis platonica, dall’altro col ti en einai aristotelico. Sia l’anà che l’en alludono infatti ad un passato che non è veramente tale, che non ha valenza temporale ma chiaramente logico-metafisica. E il procedimento logico, fatto non di continuità ma piuttosto di rotture e di sempre nuove retrocessioni, sembrerebbe richiamare proprio una certa frase di Socrate a Menone: “[m]a ricavar da sé, in sé, la propria scienza, non è appunto ricordare?” (Menone, 85e-86a). Il terzo capitolo, in diretta connessione con il precedente, problematizza il ruolo della Reflexion come processualità immanente dell’essenza, ripensando il complesso equilibrio di essere ed essenza come, rispettivamente, proteron pros hemas e proteron te physei, a sua volta corrispondenti alle espressioni aristoteliche ti esti e ti en einai.Il quarto capitolo, che riprende in modo incrociato le tematiche dei capitoli precedenti, affronta il problema della Wirklichkeit a chiusura della Dottrina dell’essenza, interpretandola nel suo duplice senso di energeia e entelecheia. Malgrado Hegel, nelle Lezioni sulla storia della filosofia, consideri apparentemente l’entelecheia come “la specificazione più propria” dell’energeia, ne emergono due sensi distinti e non propriamente sovrapponibili. La Wirklichkeit si determina quindi tanto come effettualità, quanto come finale determinazione del fine. Se, da un lato, Hegel porta qui a compimento una grandiosa trattazione di ontologia, dall’altro apre le porte all’interpretazione di un reale solo possibile, da sottoporre ancora al vaglio del Soggetto e dell’Idea
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Horrie, Anthony. "Analyse de la notion de Décroissance sous l'angle de la théorie d'Économie Générale de Georges Bataille." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. http://www.theses.fr/2018USPCC042/document.

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Abstract:
Une opération économique, en fin de compte, repose sur une seule chose. Une chose des plus élémentaires qui soient, à savoir, tout simplement : l'emploi d'un objet. C'est bien là le socle de toute action économique. C'est-à-dire de toute action qui, à un moment donné, se veut utile ou rentable. Mais un tel acte a pour effet d'annuler toute la valeur que l'objet peut toujours présenter dans l'instant (comme son charme, sa drôlerie ou, encore, son étrangeté). Autrement dit, l'emploi d'un objet remplace toute la valeur sensible dudit objet par une valeur d'un autre ordre qui n'est autre que la valeur d'usage. Mais, le fait est qu'employer utilement quelque-chose n'a rien d'automatique. C'est qu'un tel acte revient très concrètement à s'opposer délibérément au cours habituel des choses qui, lui, consiste en une dépense inutile de chaque chose... Mais ce n'est pas tout car, au bout du compte, d'un point de vue général, l'action délibérée contre ce cours habituel des choses ne fait en réalité jamais que de l'accroître. Tout simplement parce qu'une telle action (n'étant donc pas automatique) se doit d'abord de dissiper pour son propre compte tout un tas de forces disponibles ; cela, avant même d'avoir pu commencer son œuvre. Tout ceci doit nous forcer à reconnaître que le véritable produit d'une opération économique n'est jamais qu'une meilleure dilapidation des richesses disponibles. Et c'est bien sous cet angle que sera envisagée, dans le cadre de ce travail, la notion de Décroissance. Cela grâce à la mise en perspective de la théorie d' « économie générale » de Georges Bataille avec les travaux de l'économiste Nicholas Georgescu-Roegen
An economic operation relies, after all, upon one single thing. Upon one of the most elementary things, that is, simply: the use of an object. Such is the root of any economic act, i.e. of any act which, at some time, purports to be useful or profitable. But one effect entailed by such an act is to cancel all the value that such an object may instantaneoulsy present (such as its spell, drollery or, yet, its oddness). In other words, the use of an object implies that the sensitive value of that object be substituted by another sort of value, namely its use value. However, as a matter of fact, the useful employment of something is in no way automatic. Indeed, such a useful employment of things is actually equivalent to a deliberate opposition to the usual course of things, which consists, on the contrary, of a useless expenditure of all things... Still, from a general point of view, such a deliberate act against this usual course of things only achieves, after all, to always increase it. Just because such an act (thus, not being automatic), yet before it may have started to operate, first has to dissipate for itself a whole bunch of available forces. All of this leads us to acknowledge that the true product of an economic operation is always only a better squandering of the riches at disposal. It is according to this point of view that my research has focused on the notion of Degrowth, by combining Georges Bataille’s theory of “general economy” with economist Nicholas Georgescu-Roegen’s works
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Giacone, Alessia. "L'essenza e la forma. La presenza di Aristotele nella Wesenslogik di Hegel." Doctoral thesis, Università degli studi di Padova, 2017. http://hdl.handle.net/11577/3425356.

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Abstract:
Essence and Form. The presence of Aristotle in Hegel’s «Wesenslogik» The aim of this research is to prove the relationship between the Hegelian concept of «Wesen» and Aristotle’s «ti en einai» from a not merely lexical point of view. I will specially attempt the reading of some fundamental moments of the Science of logic using the Lectures on the history of philosophy that Hegel dedicates to the Stagirite. Both signifiers, Wesen and ti en einai, refer to a sense of past, but timelessly past (zeitlos), which is pregnantly speculative. Hegel structures the division of the Objective Logic in two books, “Being” and “Essence”, on the model of the Aristotelian episteme. True science, meaning the one that goes deeply, looks beyond Being (to on) and, once found its Essence (ti en einai), puts this last one as its object. The logical journey from Being to Essence thinks highly this truth. I am convinced that founding such a relationship between the above-mentioned terms has a twofold contribution: On the one hand, which one of clarifying some key-moments of the Doctrine of Essence, so disambiguating expressions, or “formulas” that the Stagirite frequently uses as synonyms (i.e. essence, act, purpose and form); On the other hand, which one of reading, and correctly understanding, the past tense en in the middle of the Aristotelian formula; a past tense definitely metaphysical, which refers to what is necessary, unchangeable, out of time just because it is what time needs most of all and what legitimates time. The dissertation articulates into four chapters, corresponding to four distinct moments of investigation: Chapter I starts with some methodological remarks, and then provides my first general interpretation of the Hegelian Essence as dynamis. I will found this kind of reading on the Aristotelian concepts of essence, act and purpose. The analysis focuses on Aristotle’s Metaphysics and approaches a germinal connection between Wesen, An-sich, ousia, dynamis. Chapter II concerns the recollection (sich erinnert) of Being in Essence, that is, switching to a different level of logical argumentation, its connection on one side with Platonic anamnesis, on the other one with the Aristotelian ti en einai. Both anà and en refer to a past that is not truly such: it has no-time significance but clearly a logical-metaphysical one. Logical development is not made up of continuity but rather of breaks and always-new demotions; it recalls some famous words Socrates says to Meno: “And isn’t finding knowledge within oneself recollection?” (Meno, 85e-86a). Chapter III, in a direct link with the previous ones, thematizes the role of Reflexion as that immanent process of Essence, rethinking the complex balance of Being and Essence as, respectively, proteron pros hemas and proteron te physei, in turn corresponding to the Aristotelian formulas ti esti and ti en einai. Chapter IV, which takes crosswise the themes of the previous chapters, deals with the problem of Wirklichkeit at the end of the Doctrine of Essence, interpreting it in its twofold meaning of energeia and entelecheia. Despite Hegel, in his Lectures on the history of philosophy, apparently considers entelecheia as the most proper determination of energeia, he actually reveals two distinct senses, which correspond to different ranges of use. Wirklichkeit is then determined both as effectuality and as the determinacy of purpose. If, on the one hand, Hegel accomplishes a great ontological building, on the other hand he grounds an effectual reality that is only possible, still to submit to the scrutiny of the Subject, Concept, and Idea.
L'essenza e la forma. La presenza di Aristotele nella «Wesenslogik» di Hegel Scopo del presente lavoro di ricerca è fondare la filiazione tra «Wesen» hegeliano e «ti en einai» aristotelico da un punto di vista non meramente lessicale, tentando principalmente la lettura di alcuni momenti chiave della Scienza della logica al filtro delle Lezioni sulla storia della filosofia dedicate ad Aristotele. Entrambi i significanti, tanto il Wesen quanto il ti en einai, mettono infatti in gioco un senso di passato, ma passato fuori dal tempo, che è esso stesso teoretico e speculativo. La distinzione della logica oggettiva in logica dell’essere e logica dell’essenza è un calco aristotelico. La vera scienza, la scienza cioè che va in profondità, cerca oltre l’essere (to on) e, trovatane l’essenza (ti en einai) ne fa il suo oggetto. Il cammino che conduce dall’essere all’essenza, o meglio che dall’essere svela l’essenza nella Scienza della logica pensa al massimo grado questa verità. Crediamo che la dimostrazione di una simile filiazione tra i due termini abbia un duplice merito: anzitutto, quello di chiarificare alcuni momenti estremamente importanti della Dottrina dell’essenza disambiguando, nel farlo, alcune espressioni o termini di cui lo Stagirita ha fatto largo uso cadendo spesso nella sinonimia (tra tutti essenza, atto, fine e forma); dall’altro, quello di leggere in modo corretto l’imperfetto en della formula aristotelica – un imperfetto che non può non essere metafisico e riguardare, cioè, ciò che è necessario, immutabile, fuori dal tempo proprio in quanto ciò che più di tutto occorre al tempo, e che perciò stesso lo legittima. Il lavoro si articola in quattro capitoli, che corrispondono a quattro ben distinti momenti di indagine: Il primo capitolo, dopo alcune considerazioni di carattere metodologico, offre una prima generale interpretazione dell’essenza come dynamis, imperniando il parallelo sui concetti aristotelici di essenza, atto e fine. L’analisi è condotta principalmente sul testo della Metafisica. Si approccia una germinale connessione tra Wesen, An-sich, ousia, dynamis. Il secondo capitolo ripensa il sich erinnert dell’essere nell’essenza, vale a dire il passaggio a un diverso livello di argomentazione logica, a partire dal suo legame da un lato con l’anamnesis platonica, dall’altro col ti en einai aristotelico. Sia l’anà che l’en alludono infatti ad un passato che non è veramente tale, che non ha valenza temporale ma chiaramente logico-metafisica. E il procedimento logico, fatto non di continuità ma piuttosto di rotture e di sempre nuove retrocessioni, sembrerebbe richiamare proprio una certa frase di Socrate a Menone: “[m]a ricavar da sé, in sé, la propria scienza, non è appunto ricordare?” (Menone, 85e-86a). Il terzo capitolo, in diretta connessione con il precedente, problematizza il ruolo della Reflexion come processualità immanente dell’essenza, ripensando il complesso equilibrio di essere ed essenza come, rispettivamente, proteron pros hemas e proteron te physei, a sua volta corrispondenti alle espressioni aristoteliche ti esti e ti en einai. Il quarto capitolo, che riprende in modo incrociato le tematiche dei capitoli precedenti, affronta il problema della Wirklichkeit a chiusura della Dottrina dell’essenza, interpretandola nel suo duplice senso di energeia e entelecheia. Malgrado Hegel, nelle Lezioni sulla storia della filosofia, consideri apparentemente l’entelecheia come “la specificazione più propria” dell’energeia, ne emergono due sensi distinti e non propriamente sovrapponibili. La Wirklichkeit si determina quindi tanto come effettualità, quanto come finale determinazione del fine. Se, da un lato, Hegel porta qui a compimento una grandiosa trattazione di ontologia, dall’altro apre le porte all’interpretazione di un reale solo possibile, da sottoporre ancora al vaglio del Soggetto e dell’Idea.
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