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Journal articles on the topic 'Hévéa et teck plantations'

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Atindogbé, Gilbert, Noël Houédougbé Fonton, and Philippe Lejeune. "Evaluation de la ressource en teck, Tectona grandis L.f., des plantations privées du Sud-Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, no. 316 (2013): 93. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20533.

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Abstract:
Au Sud-Bénin, les plantations privées de teck ont été installées à un rythme croissant ces trois dernières décennies. Pour combler le vide d'informations fiables sur cette ressource, une démarche méthodologique a été conçue en vue de quantifier et caractériser les plantations privées de teck et de mieux connaître les propriétaires privés impliqués dans la production de teck au Bénin. Celle-ci s'apparente à un échantillonnage boule de neige (Ebn) ou snowball sampling avec trois types d'acteurs, les agents des services forestiers, les chefs de village et les propriétaires de plantations de teck ou leur représentant. Les données collectées sont le profil socio-économique du propriétaire, le descriptif général de ses plantations et la caractérisation dendrométrique de ces dernières. En vue d'évaluer la capacité de l'Ebn, un échantillonnage par quadrats a été mis en place. L'Ebn a permis d'identifier 1 002 propriétaires et de recenser 861,10 ha de plantations de teck, Tectona grandis L.f. Près de 69 % des plantations ont moins de 6 ans, comprenant 12,4 % de jeunes plantations et 56,7 % de taillis. Les futaies âgées de plus de 20 ans ne représentent qu'une infime proportion de la ressource en teck (0,2 %). Avec un taux de boisement global très faible estimé à 3,58 %, un taux de détection de l'Ebn de 68,6 %, la surface totale en teck est estimée à 1 255,3 ha avec les limites de confiance de 1 084,5 ha et 1 574,2 ha. La géodatabase construite lors de l'application de l'Ebn sur la commune de Toffo constitue indéniablement une amorce prometteuse dans la construction d'un réseau d'acteurs impliqués dans la culture du teck. L'intérêt d'une telle approche dans le contexte d'une foresterie paysanne justifie l'application de l'Ebn aux autres communes.
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2

PARDÉ (Jean). "Le Teck, en ses forêts et plantations tropicales." Revue Forestière Française, no. 3 (2002): 253. http://dx.doi.org/10.4267/2042/4917.

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3

Aoudji, Augustin Kossi N., Anselme Adegbidi, Jean Cossi Ganglo, and Philippe Lebailly. "Plantations de teck, Tectona grandis L.f., en sylviculture paysanne au Sud Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 319, no. 319 (2014): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.319.a20554.

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Abstract:
Cette étude se place dans le cadre du système agricole pour caractériser les modes de culture du teck, Tectona grandis L.f., sur les petites exploitations au Sud Bénin, avec pour objectif de cerner des orientations politiques à même de valoriser le potentiel de la sylviculture paysanne. La question posée est la suivante : par quels moyens les petits agriculteurs intègrent-ils la sylviculture sur leurs exploitations ? Une évaluation empirique a été menée en se basant sur un échantillon de 221 petits exploitants sélectionnés par échantillonnage en grappes sur cinq communes du département de l'Atlantique. Les données ont été recueillies par le biais d'entretiens en tête-à-tête à l'aide d'un questionnaire standardisé. Une approche à variable multiples associant analyse typologique et analyse en composante principale (Acp) a permis d'établir une typologie des systèmes de plantation du teck. Cette typologie se base sur les critères suivants : objectifs de production, superficies plantées en teck, taille de l'exploitation et contribution de la main-d'oeuvre familiale à la production de bois. L'étude a permis d'identifier trois systèmes de plantation associés aux différentes stratégies d'intégration d'une activité de sylviculture paysanne. Ces trois systèmes ont été classés selon les critères suivants : " petite taille à main-d'oeuvre dominante " (33,48 % de l'échantillon), " taille moyenne à capital dominant " (37,56 %), et " grande taille à capital dominant " (28,96 %). Les exploitants se spécialisent dans la production de perches pour satisfaire la demande régionale de bois d'oeuvre à bas prix pour la construction urbaine. Les trois raisons principales motivant l'intégration des plantations de teck sont, dans l'ordre, la recherche de revenus, la satisfaction des besoins en bois de construction des ménages et la sécurisation des titres fonciers. Cependant, l'ordre des deux dernières est inversé dans le cas du système " grande taille à capital dominant ". La sécurité foncière et l'existence d'un marché domestique sont indispensables pour réussir le développement d'une sylviculture paysanne.
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Hounlonon, Montcho Crépin, Clément A. Kouchade, and Basile B. Kounouhewa. "PROPRIÉTÉS PHYSIQUES ET MÉCANIQUES DU BOIS DE TECK DE PROVENANCES TANZANIENNE ET LOCALE AU BÉNIN." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 331 (July 21, 2017): 45–53. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.331.a31325.

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Abstract:
Le teck (Tectona grandis L. f.) est une espèce ligneuse tropicale dont le bois est très demandé. Au Bénin, la provenance tanzanienne et la provenance locale sont les deux variétés de cette espèce les plus plantées. Pour contribuer à la caractérisa- tion du bois de teck du Bénin, nous avons déterminé et comparé, pour le bois de chaque provenance, les modules d’élasti- cité et de cisaillement, la longueur du fût, la circonférence et l’épaisseur d’écorce à hauteur d’abattage, le pourcentage de bois de cœur, la circonférence à une hau- teur de 1,30 m du sol et la masse volu- mique (ou la densité) à 12 % de teneur en eau. Les échantillons ont été préle- vés dans les plantations de la Lama sur des arbres de 20 à 25 ans (six billes de provenance locale et quatre billes de provenance tanzanienne). Les résultats obtenus sur la base de cet échantillon indiquent que, pour cette classe d’âge, les valeurs de ces propriétés pour le bois de teck de provenance locale sont supé- rieures à celles de la provenance tanza- nienne, sauf pour le pourcentage de bois de cœur. Sur la base de notre échantil- lonnage, le teck de provenance locale semble donc d’une certaine qualité, qu’il faut tendre à valoriser par la sélection bio- logique ou clonale des meilleurs sujets, aptes à s’adapter non seulement au chan- gement climatique mais aussi aux struc- tures des sols. Cela permettrait de favori- ser la production du bois de teck sur toute l’étendue du territoire national, voire de la sous-région. Toutefois, la mise en place d’une variété hybride conciliant les atouts des deux provenances pourrait aussi être une grande avancée dans l’amélioration des essences exploitées au Bénin.
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Atindogbé, Gilbert, Augustin Kossi N. Aoudji, Noël Houédougbé Fonton, Philippe Lejeune, and Rodrigue Ekpe. "Taille des placeaux de caractérisation des teckeraies à sylviculture paysanne au Sud-Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 310, no. 310 (2011): 69. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.310.a20460.

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Abstract:
Le succès des plantations domaniales de teck, Tectona grandis, a incité les privés à sa culture avec des méthodes inappropriées de plantation et de gestion sylvicole essentiellement orientées vers la satisfaction de leurs besoins. L'évaluation de cette ressource et sa caractérisation ne peuvent donc se faire sans une étude de la représentativité des unités d'échantillonnage. Trois types et douze tailles d'unités d'échantillonnage sont comparés : les placettes à surface définie (1 are, 2 ares, 4 ares et 6 ares) ; les placettes à nombre d'arbres fixé (7, 9, 11, 13 et 15 arbres) et les bandes d'échantillonnage (5, 10 et 15 arbres). Les unités sont implantées aléatoirement avec une à quatre répétitions dans chacune des dix-huit plantations de différents âges, traitées en régime de futaie et de taillis et soumises à un inventaire complet. Les paramètres dendrométriques calculés pour chaque unité d'observation de même que pour l'inventaire complet sont : la densité (Na/ha), la surface terrière (G), la tige de diamètre moyen arithmétique, la tige de surface terrière moyenne (dg). Le critère de comparaison est la moyenne quadratique (RRMSE) des erreurs relatives par rapport à la valeur de référence, celle de l'inventaire complet. De l'analyse des résultats, il ressort que les RRMSE peuvent atteindre 36 % et sont plus élevées avec les plantations en futaie. Les placettes à surface fixée donnent les meilleures estimations de caractérisation des plantations et une efficacité approximativement identique pour 4 ares et 6 ares avec des RRMSE de 10 % pour (Na/ha), de 13 % pour (G) et de 7 % pour (dg ). Les bandes d'échantillonnage sont meilleures que les placettes à nombre d'arbres fixé, avec une meilleure estimation de (dg ) de 10 % à 12 %. Tenant compte du coût d'inventaire, les unités d'observation de 4 ares peuvent être recommandées pour une meilleure caractérisation de la ressource en teck à sylviculture paysanne. (Résumé d'auteur)
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Goh, Dorenn Kim Soh, and Olivier Monteuuis. "Inventaire des ressources génétiques de teck de la filiale "YSG Biotech" au Sabah." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 301, no. 301 (2009): 33. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.301.a20405.

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Abstract:
Depuis le début des années 1990, le Plant Biotechnology Laboratory, projet de collaboration en recherche et développement entre la Division Forestière du Yayasan Sabah Group et le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), a oeuvré à regrouper au Sabah, en Malaisie orientale, des origines génétiques de teck (Tectona grandis) aussi diverses que possible. Outre son intérêt scientifique, le but de cette démarche était d¿établir au champ des populations de base suffisamment riches génétiquement pour l¿amélioration de l¿espèce et la sélection de clones en vue de plantations industrielles ou de leur diffusion à des fins commerciales. Durant cette même période, Plant Biotechnology Laboratory est devenu une filiale commerciale à part entière du Yayasan Sabah Group, sous l¿appellation de «YSG Biotech Sdn Bhd». Un inventaire des ressources génétiques de teck rassemblées dans ce cadre à l¿issue de deux décennies est présenté dans cet article. Les têtes de clone originelles ainsi que les parcelles de démonstrations mises en place pour examiner le comportement et la conformité au champ des plants issus de bouturage, de microbouturage et de culture de méristèmes in vitro sont décrites. Des semis d¿origines génétiques très diverses ont également servi à établir des essais de provenancesdescendances, convertis par la suite en peuplements semenciers et en vergers à graines. L¿article étaye l¿intérêt d¿utiliser, dans le cadre du projet, la culture in vitro et des biotechnologies connexes pour gérer, micropropager à l¿échelle industrielle, et expédier au niveau international, la ressource génétique. L¿ensemble de ces atouts devrait faciliter le développement, dans différentes régions du monde, de plantations de teck de qualité hautement productives et ainsi permettre de faire face aux difficultés croissantes d¿approvisionnement en germplasme à partir de pays appliquant une réglementation stricte de protection de leurs ressources génétiques. (Résumé d'auteur)
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PENOT, Eric, and Laurène FEINTRENIE. "L’agroforesterie sous climat tropical humide : une diversité de pratiques pour répondre à des objectifs spécifiques et à des contraintes locales." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 321, no. 321 (2014): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.321.a31212.

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Abstract:
L’agroforesterie consiste en l’association dans l’espace ou dans le temps d’un ligneux (arbre, palmier, liane) avec une ou plusieurs espèces annuelles ou pluriannuelles. Les systèmes agroforestiers se caractérisent ainsi par le degré de complexité des associations végétales qui les composent, et par leur structure spatiale, décrite en termes de strates verticales et de répartition horizontale (occupation des sols). Ces systèmes sont très variés, allant de l’association d’une culture pérenne plantée en lignes avec des cultures intercalaires à des systèmes complexes associant une multitude d’espèces végétales pérennes, pluriannuelles et annuelles dans une architecture multi -strates proche de celle d’une forêt naturelle, ces derniers systèmes étant communément appelés agroforêts. Ces sys-tèmes agroforestiers sont alors des plantations paysannes combinant des cultures de rente pérennes (hévéa, caféier, cacaoyer, cocotier…) avec d’autres plantes utiles comme des arbres à bois, des arbres fruitiers, des cultures vivrières, des matériaux pour l’artisanat (palmier, rotin, bambou) et des plantes médicinales...
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Penot, Eric, and Isabelle Ollivier. "L'hévéa en association avec les cultures pérennes, fruitières ou forestières : quelques exemples en Asie, Afrique et Amérique latine." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 301, no. 301 (2009): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.301.a20407.

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Abstract:
Initialement développée par le secteur des grandes plantations au début du siècle, l'hévéaculture est aujourd'hui principalement le fait de petites exploitations paysannes. Le modèle de diffusion initial fut la monoculture stricte. Cependant, les cultures vivrières intercalaires pendant la période immature de l'hévéa, Hevea brasiliensis, sont relativement bien développées, y compris dans les anciens projets de développement sectoriels. En revanche, les associations incluant des cultures pérennes ou forestières sont peu recensées et souvent peu acceptées par les institutions de développement, comme ce fut le cas en Indonésie durant années 1990. Elles existent localement, parfois sur des superficies importantes : le " jungle rubber ", par exemple. Ces pratiques assurent pourtant une meilleure valorisation de la terre et de la main-d'oeuvre et les associations permanentes avec des cultures pérennes constituent un facteur de stabilisation économique des plantations et de diversification des revenus. Les systèmes agroforestiers complexes constituent aussi un avantage écologique puisqu'ils sont garants du maintien d'une grande partie de la biodiversité rencontrée en forêt naturelle. Le peu d'intérêt officiellement reconnu pour ces associations malgré des avantages économiques et environnementaux peut être imputé au fait qu'elles ne correspondent pas au type d'hévéaculture dominant au sein des grandes sociétés de plantations et des institutions de développement. Nombre de paysans ont innové et mis au point des systèmes astucieux et pratiques leur permettant de diminuer les risques et de diversifier leur production. Le présent article tend à faire le point sur les associations existantes : hévéa associé au café, au thé, au cacao, au rotin ainsi qu'aux espèces fruitières ou forestières. Il ne prétend pas analyser les systèmes en détail mais a pour objectif d'en présenter la diversité. (Résumé d'auteur)
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Louppe, Dominique. "Plantations forestières : un sujet d'actualité ? [Editorial]." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (2011): 4. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20465.

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Abstract:
L'Afrique intertropicale sert de cadre à notre réflexion bien que les autres continents tropicaux regorgent d'exemples tout aussi édifiants. Forêt naturelle et forêt plantée ont bien souvent été considérées comme deux pôles opposés de la foresterie, pôles entre lesquels les projets de développement effectuent un mouvement de balancier. Déjà en 1953, Alba1 écrivait : " Il semble inutile d'opposer la sylviculture basée sur la régénération naturelle et celle basée sur la régénération artificielle. D'une part, cela risque d'entraîner des querelles qui, quoique faites sur un ton toujours extrêmement courtois, peuvent blesser inutilement les uns et les autres qui croient le plus souvent, et en toute bonne foi, il faut bien le dire, détenir la vérité en la matière, ce dont on ne saurait les blâmer. " Cette mise en garde n'a pas empêché les deux " clans " d'être plus souvent en opposition qu'en synergie. Dans les années 1960-1970, le balancier était du côté des plantations. C'était l'époque des grands programmes de reboisement, teck en Afrique francophone : gmélina au Mali, pins à Madagascar et okoumé au Gabon dans les années 1950- 1960, puis des grands reboisements périurbains des années 1970 pour le bois énergie. Ces projets étatiques onéreux se sont avérés peu rentables en raison des faibles prix du bois de forêt naturelle pratiqués sur les marchés locaux, ce qui a découragé les bailleurs de fonds. Les plantations sont un investissement à long terme alors que le financement des projets est à court ou moyen terme. Même lorsque les premières rentrées financières des plantations arrivent après six à sept ans (pour le bois de trituration), la faible valeur marchande de ce bois fait que plusieurs rotations sont nécessaires pour rentabiliser l'investissement. Pour les bois d'oeuvre, la révolution est de plusieurs décennies, incompatible avec les cycles des bailleurs de fonds. Ceux-ci considèrent généralement que l'investissement forestier s'arrête quelques années après la plantation et les premiers entretiens. Pourtant, il est nécessaire de financer les travaux ultérieurs pour obtenir in fine des bois de haute qualité à forte valeur marchande car les élagages de pénétration et la première éclaircie fournissent des bois de faibles dimensions qui sont abandonnés sur place en l'absence d'usine de trituration, ce qui est le cas en Afrique. Les éclaircies suivantes produisent des perches et des piquets dont la vente ne finance au mieux que le coût des travaux. Cette absence de retour financier rapide a généré, dans les années 1980, des problèmes au sein des programmes nationaux de reboisement. Par exemple, la Société de développement des forêts ivoiriennes a, faute de pouvoir vendre les premières éclaircies, cessé de planter des tecks pendant plusieurs années, jusqu'au jour où des acheteurs étrangers se sont intéressés à ces produits. À Madagascar, le bailleur de fonds voulait arrêter de financer les plantations de pins initialement destinées à la pâte à papier ; une longue négociation permit de modifier l'objectif du projet et de faire comprendre que les éclaircies et l'élagage étaient indispensables à la production d'un bois de qualité à haute valeur commerciale, et d'obtenir la poursuite du financement des travaux : ce n'est que 26 ans après les premières plantations de pins que les plantations ont commencé à s'autofinancer. Les calculs financiers montrent de très faibles taux de rentabilité interne des plantations ; mais ces calculs ne prennent pas en compte les emplois créés dans les plantations ni le développement des filières de transformation et de commercialisation en aval. (Résumé d'auteur)
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Haninec, Peter, Petr Madera, Martin Smola, et al. "ASSESSMENT OF TEAK PRODUCTION CHARACTERISTICS USING 1 M SPACING IN A PLANTATION IN NICARAGUA." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 330, no. 330 (2017): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.330.a31317.

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Abstract:
Cette étude s’est déroulée dans une plan- tation forestière en Amérique centrale, proche de la ville de Diriamba au Nica- ragua, où des plantations de teck sur 48,9 ha, dans une zone de reboisement de 76,5 ha, sont renouvelées depuis 2006 (2006 : 7,90 ha ; 2007 : 13,63 ha ;2008 : 11,93 ha ; 2009 : 12,87 ha ; 2010 :21,70 ha). Cette plantation sort de l’ordi- naire du fait de l’espacement de 1 x 1 m des arbres et des facteurs écologiques limitants de cette zone tropicale aride. L’espacement de 1 x 1 m a été choisi pour favoriser la croissance en hauteur et obtenir ainsi des tiges de haute taille, et pour limiter les ramifications afin d’éviter la formation de houppiers importants. Cela permet de démarrer une production de poteaux de teck, adaptés à certaines constructions, dès la première coupe d’éclaircissement. Les paramètres de croissance des tecks (hauteur, circonfé- rence) ont été mesurés dans les placettes expérimentales mises en place en 2011. Des données complémentaires (morta- lité, arbres cassés ou tordus) ont égale- ment été relevées. Une méthodologie de terrain a été développée et les résultats restitués sous forme de tableaux et gra- phiques. Une évaluation statistique des paramètres de croissance a été menée à partir des mesures prises sur les placettes expérimentales délimitées dans la planta- tion. Les jeunes arbres plantés la même année ont été comparés selon leur prove- nance en termes de hauteur, de circonfé- rence, de productivité et de mortalité. Au total, 10 955 arbres sur 143 placettes ont été mesurés. Sur ces peuplements de 1 à 5 ans d’âge, le bois sur pied total est estimé à 1 287,89 m3, la masse moyenne de bois à l’hectare à 17,89 m3, la hauteur moyenne des peuplements à 3,03 m et la circonférence moyenne à hauteur de poitrine à 2,74 cm. Les arbres cassés représentent 5,64 %, les arbres tordus 5,66 % et la mortalité moyenne s’établit à 21,48 %.
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Ganglo, Jean Cossi. "Phytosociologie de la végétation naturelle de sous-bois; écologie et productivité des plantations de Teck (Tectona grandis L.f.) du sud et du centre Bénin." Acta Botanica Gallica 148, no. 3 (2001): 277–81. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2001.10515913.

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Goh, Dorenn Kim Soh, and Olivier Monteuuis. "Comportement des clones de teck "Ysg Biotech TG1-8" dans des conditions de site variées : premières observations." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 311, no. 311 (2012): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.311.a20511.

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Abstract:
Au début des années 1990 au Sabah (Malaisie orientale), la division " Biotech " du groupe Yayasan Sabah a développé avec des chercheurs du Cirad Forêt une technique efficiente de clonage industriel par bouturage et microbouturage de tecks, Tectona grandis, de tous âges. Les premiers clones ont été produits à partir de huit tecks "Plus" sélectionnés au Sabah, pour leurs caractéristiques phénotypiques et de croissance supérieures, sous 2 500 mm de pluie bien répartis sur l'année. Le comportement tout à fait convaincant au champ des premiers représentants de ces clones a favorisé rapidement leur propagation à grande échelle pour répondre aux fortes demandes, locales et internationales. Depuis, plusieurs millions de tecks clonés ont été produits à partir de ces huit têtes de clone initiales et la demande ne cesse d'augmenter. Cette situation nous a incités à synthétiser les informations disponibles sur le comportement de ces clones dans les différents sites où ils ont été introduits. Les premières observations indiquent que ce matériel a fait preuve d'une grande faculté d'adaptation dans des conditions environnementales très variées, surpassant dans chaque site d'introduction toutes les autres origines de tecks, tant du point de vue de la quantité que de la qualité du bois produit. Cette remarque vaut également pour des lieux ne recevant que 1 000 mm de pluie par an avec huit mois de saison sèche, conditions pluviométriques bien inférieures à celles du Sabah. Des situations bénéficiant d'une forte pluviométrie équitablement répartie sur l'ensemble de l'année sont néanmoins préférables pour garantir le meilleur de ces clones. Un de leurs attraits majeurs demeure la formation précoce de fûts droits et hauts avec un minimum de branches, ce qui encourage leur utilisation en agroforesterie et réduit les opérations d'élagage. La disponibilité en clones de tecks présentant de tels avantages comparatifs est à l'origine de l'essor actuel des plantations clonales industrielles de tecks dans de nombreux pays.
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Yêvidé, Armand S. I., Jean C. Ganglo, Augustin K. Aoudji, et al. "Caractéristiques structurelles et écologiques des phytocénoses de sousbois des plantations privées de teck du département de l'Atlantique (Sud-Bénin, Afrique de l'Ouest)." Acta Botanica Gallica 158, no. 2 (2011): 263–83. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2011.10516272.

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Ganglo, Jean Cossi. "Etude des gradients latitudinaux de la vegetation naturelle du sous-bois des plantations de teck (Tectona grandis) du sud et du centre Benin." Systematics and Geography of Plants 71, no. 2 (2001): 807. http://dx.doi.org/10.2307/3668719.

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Ganglo, Jean Cossi, and Bruno de Foucault. "Le groupement végétal àIcacina trichanthaOliv. dans le sous-bois naturel des plantations de Teck (Tectona grandisL. f.) du sud et du centre-Bénin: composition et diversité floristique, valeurs indicatrices écologique et sylvicole." Acta Botanica Gallica 152, no. 3 (2005): 389–402. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2005.10515497.

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Kokutse, Adzo Dzifa, Afiwa Dzigbodi Akpenè, Olivier Monteuuis, et al. "SELECTION OF PLUS TREES FOR GENETICALLY IMPROVED TEAK VARIETIES PRODUCED IN BENIN AND TOGO." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (2017): 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31302.

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Abstract:
Cette étude vise la sélection d’arbres« plus » sur la base des caractères den- drométriques et des propriétés du bois dans des plantations de teck au Bénin et au Togo. La croissance de 569 arbres dans 5 forêts au Togo et 90 arbres dans 3 forêts au Bénin a été évaluée en mesu- rant le diamètre à hauteur de poitrine, la hauteur totale et la hauteur du fût. Les propriétés suivantes du bois ont été éva- luées et prises en compte pour la sélec- tion finale d’arbres « plus » : densité, pourcentage de bois de cœur et couleur. La durabilité naturelle du bois de cœur, le point de saturation des fibres, le module d’élasticité et les retraits ont été évalués sur la base de modèles spectroscopiques dans le proche infrarouge, préalablement construits. Nos résultats montrent qu’au Togo la variabilité inter-arbres en forêt est assez forte pour l’accroissement annuel en hauteur (0,81 ± 0,27 m), en circonfé- rence (2,95 ± 1,02 cm) et en hauteur des fûts (10,64 ± 3,51m). Au Bénin, si les per- formances dendrométriques des arbres ne varient pas de façon significative entre les forêts, pour la hauteur des fûts (10,99 ± 3,80 m), les valeurs du coeffi- cient de variation sont plus élevées (40 %) pour la forêt de Koto. Prenant en compte les propriétés du bois, la sélection finale multicritères montre que les peuplements d’Avétonou et de Tchorogo au Togo consti- tuent un groupe homogène affichant les plus fortes valeurs pour la densité du bois et le pourcentage de bois de cœur. Les arbres des forêts de Haho-Baloe et Eto ont des valeurs plus faibles pour la dura- bilité naturelle, le module d’élasticité, le pourcentage de bois de cœur et la densité du bois. Au Bénin, les arbres de la forêt d’Agrimey ont une densité plus élevée mais les valeurs pour le point de satu- ration des fibres, la durabilité naturelle et le retrait du bois sont similaires pour les trois forêts. La variabilité des perfor- mances dendrométriques et de la qualité du bois des arbres-candidat nous ont per- mis de sélectionner 33 arbres « plus ».
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Yevide, ASI, JC Ganglo, RL Glele-kakai, and CDE Canniere. "Effet de la densité, de l’âge et des groupements végétaux de sous-bois sur la vigueur des plantations privées de teck (Tectona grandis L.f.) gérées en régime de taillis au sud-Bénin (Afrique de l’Ouest)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 5, no. 3 (2011). http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v5i3.72265.

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