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Didier, Sébastien. "La prosopographie, une méthode historique multiscalaire entre individuel et collectif." Temps et espaces. Perspectives sur les échelles d’étude du passé 35, no. 1 (October 24, 2017): 59–84. http://dx.doi.org/10.7202/1041619ar.

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Abstract:
Inventée il y a plus d’un siècle, la prosopographie est loin d’être obsolète. Perfectionnée depuis les années 1980, cette méthode historique devrait aujourd’hui prendre sa place parmi les méthodes multiscalaires comme les récentes histoire connectée et histoire croisée. Elle conserve l’intérêt de la biographie historique dans des études de groupes socio-politiques. Comparative, la prosopographie offre surtout la possibilité de faire dialoguer les échelles du passé humain, l’individuel et le collectif.
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O'Neill, Eithne. "L’Art des Frères Quay à la Lumière du Grand Verre." Revista Estado da Arte 2, no. 1 (June 15, 2021): 1–20. http://dx.doi.org/10.14393/eda-v2-n1-2021-59859.

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Abstract:
L’art scénique raffiné des Frères Quay, en stop-motion et en live, est notoirement mystérieux. Par un évitement des codes du cinéma narratif, leur univers imaginaire, en grande partie fait main, résiste aux tentatives de le définir de manière univoque. À y regarder de plus près, leur monde révèle des éléments formels présents dans les stratégies adoptées par Duchamp pour sa sculpture en verre inachevée, nommée Le Grand Verre. Dans quelle mesure ces œuvres d’art, cinétiques ou statiques, ont-elles une histoire à raconter ? En tant que méthode d’investigation comparative, la question peut contribuer à éclaircir ce que c’est qu’un récit.
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Benatman, M. T., S. Benhabiles, K. Hammal, S. Sinaceur, and F. Asselah. "Psychiatrie et culture : à propos de deux cas." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 626. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.119.

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Abstract:
L’hétérogénéité culturelle dans laquelle la psychiatrie se développe, donne la nécessité d’articuler les savoirs académiques et les savoirs locaux afin de parvenir à des diagnostiques et des soins pertinents. L’ethnopsychiatrie ou psychiatrie comparative est une méthode d’investigation qui tente de comprendre la dimension psychiatrique de la culture. Et la psychiatrie comparative a été isolée par Emil Kraepelin en 1904 qui recherchait les concordances nosologiques.L’évolution moderne elle, se base sur la perspective se référant à ce qui est spécifique dans une culture donnée et la perspective universaliste. Une femme de 70 ans, dépressive et anxieuse, lors d’un entretien, nous demande si nous avions des contacts avec nos aïeux ? Certains étonnés pensant qu’elle délirait, les plus anciens tentèrent de savoir plus…B.A., 54 ans de retour d’une « omra » (un rituel religieux aux lieux saints) fait des attaques paniques traités par des antidépresseurs en vain. Sans cette dimension et ouverture culturelle, à la connaissance de l’histoire, de son histoire pourra t-il s’en sortir ? Il faut une autre grille d’interprétation de la pathologie mentale avec ses représentations culturelles et traditionnelles.
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Tourangeau, Rémi. "Les Pageants Historiques de Scène Comme Médium du Discours Idéologique." Theatre Research in Canada 15, no. 1 (January 1994): 21–47. http://dx.doi.org/10.3138/tric.15.1.21.

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Abstract:
Cet article s'appuie sur le récent ouvrage de l'auteur, Fêtes et spectacles du Québec, et présente les conclusions d'une analyse comparative du Pageant historique et de La Fabuleuse Histoire d'un royaume: deux spectacles créés respectivement en 1938 et en 1988, dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Pour étudier les fonctions sociales de ces spectacles et le sens dont ils sont porteurs, Rémi Tourangeau utilise une méthode sociocritique du type «sociologie du texte». Il expose et applique un modèle d'analyse basé sur l'étude des niveaux lexical, sémantique et syntaxique des textes dramatiques. Ilfait ainsi ressortir l'évolution d'un certain discours idéologique à travers un réseau de sociolectes et d'isotopies sémantiques et dans le sens du dualisme du langage qui sous-tend l'axe paradigmatique de la conquête du pays. Cette démonstration explique les formes structurelles de ces spectacles à grands effets en tant que médium de communication et, conséquemment, l'efficacité de ce médium.
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Ismard, Paulin. "Écrire l'histoire de l'esclavage: Entre approche globale et perspective comparatiste." Annales. Histoire, Sciences Sociales 72, no. 1 (March 2017): 9–43. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264917000026.

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Abstract:
RésuméPeut-on considérer, à la suite de l'un de ses meilleurs spécialistes, Patrick Manning, que «le champ des études sur l'esclavage est devenu un modèle de comparatisme en histoire sociale et économique»? Tout dépend de ce que l'on entend sous le terme de comparatisme, qui en est venu à qualifier des démarches aussi différentes dans leur méthode que variées, voire contradictoires, dans leur finalité. Depuis la fin des années 1990, l'histoire globale de l'esclavage n'a pas manqué de souligner les naïvetés épistémologiques d'une certaine tradition comparatiste, coupable d'appréhender le fait esclavagiste sous l'angle de ses institutions, et non comme un processus dynamique résultant de conditions historiques singulières. Il convient pourtant de cerner les limites d'une telle approche lorsqu'elle prétend être seule en mesure de dire ce qu'il en est de l'esclavage à travers l'histoire. Après avoir dressé un état des lieux des enjeux théoriques qui traversent l'historiographie contemporaine de l'esclavage, l'article tente de mettre en évidence ce qu'une démarche comparatiste de type «morphologique», redéfinie dans ses échelles d'observation, ses méthodes et ses objectifs, est susceptible d'apporter à l’étude d'une société en particulier, celle d'Athènes à l’époque classique. À partir de l'examen d'une forme spécifique d'organisation du travail servile commune à de nombreuses sociétés esclavagistes – celle où un esclave attaché à l'exploitation d'une terre, d'une boutique ou d'un atelier verse une rente régulière à son maître –, il est possible de réinterroger plusieurs dimensions essentielles de l'institution esclavagiste athénienne.
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Green, Nancy L. "L'Histoire Comparative et le Champ des Études Migratoires." Annales. Histoire, Sciences Sociales 45, no. 6 (December 1990): 1335–50. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900071705.

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Abstract:
De Simiand à Sewell, desAnnalesà l'American Historical Association, depuis le début du siècle, il ne se passe presque pas une décennie sans un appel à la comparaison . Or, dans la pratique, la méthode comparative n'est que rarement utilisée par les historiens. La réitération de ces suggestions en atteste. Si je propose de continuer cette tradition séculaire, c'est qu'au-delà des juxtapositions supposées comparatives (forme de l'histoire comparative la plus fréquente dans les colloques) ou des évocations heuristiques mais vagues (« seule une approche comparative peut permettre la perspective nécessaire pour une compréhension plus complète »), il faut examiner les fondements de la comparaison possible, sa structure, ses présupposés.
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Ruffo, Sébastien. "Vers une critique comparatiste de la voix au théâtre (nouvelle version avec extraits vidéos)." Études françaises 39, no. 1 (August 27, 2003): 99–110. http://dx.doi.org/10.7202/006902ar.

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Abstract:
Résumé La voix des personnages de théâtre inspire d’ordinaire à la critique théâtrale des commentaires plus fantasmatiques que descriptifs. Examinant la possibilité d’une histoire des voix dramatiques (comme thème dans les textes et comme phénomène sur les planches), puis celle d’une analyse comparatiste des performances vocales, possibles ou enregistrées sur vidéo, cet article propose d’objectiver le travail phonostylistique des comédiens en le soumettant à l’épreuve d’approches propres au champ du littéraire. En conclusion, l’article suggère, comme étant l’approche la plus adéquate à ce nouvel objet d’étude, une méthode comparant les performances d’un même rôle par différents comédiens.
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Rivoal, Isabelle. "Le poids de l’histoire Druzes du Liban, Druzes d’Israël face à l’État." Annales. Histoire, Sciences Sociales 57, no. 1 (February 2002): 49–69. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2002.280028.

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Abstract:
RésuméDans la tradition anthropologique d’inspiration maussienne dont se réclame Marcel Detienne, la comparaison suppose l’élaboration préalable d’universaux sociaux, de mécanismes de pensée transcendant les sociétés particulières, par une mise en regard de leurs différences. A partir d’une réflexion sur deux composantes de la communauté druze au Proche-Orient (en Israël et au Liban), l’article questionne cette méthode comparative autour de deux axes. Le premier est celui de la comparaison au plus proche, qui n’implique pas de transcender des différences dans l’ordre des valeurs et représentations, mais de mettre en équation l’identité pour construire sociologiquement ces différences. Le second, corollaire de cet exercice de comparaison dans la proximité, est celui de l’introduction nécessaire des dynamiques historiques comme moteurs sinon comme objets de comparaison.
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Verdier, Nicolas. "Variations sur le territoire. Analyse comparée de projets urbains: Le Havre 1789-1894." Annales. Histoire, Sciences Sociales 57, no. 4 (August 2002): 1031–65. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2002.280092.

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Abstract:
RésumésCet article analyse une série de projets urbains concernant la ville du Havre tout au long du XIXesiècle dans le dessein d’en tirer des informations sur les conceptions territoriales de cette époque. À l’étude, c’est l’évolution qui domine. De la diversité du début du siècle, on passe dans le deuxième tiers du siècle àun discours complexe partagé par la très grande majorité des acteurs. En revanche, la dernière partie du siècle est marquée par un resserrement des descriptions territoriales dans la sphère technique dominée par les ingénieurs des Ponts et Chaussées. Ailleurs, les chiffres de population se sont le plus souvent imposés pour dire les lieux. La méthode comparative employée procède par expérimentations raisonnées, en insistant sur les différences plutôt que sur les ressemblances. Elle rend possible la composition d’un espace de variations des conceptions qui permet de produire une définition du territoire en insistant sur le rôle des acteurs plus que sur la morphologie.
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Williams, Naomi, and Graham Mooney. "Infant mortality in an ‘Age of Great Cities’: London and the English provincial cities compared, c. 1840–1910." Continuity and Change 9, no. 2 (August 1994): 185–212. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000002265.

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Abstract:
Ce travail s'appuie sur les données publiées de l'enregistrement demographique pour évaluer le taux de mortalité infantile annuel pour 21 villes anglaises et 25 districts de Londres entre 1840 et 1910. Une approche géographique comparative permet de différentier les niveaux respectifs de mortalité infantile et de mettre en évidence des cycles courts de ces variations. Si les facteurs locaux ont leur importance (croissance urbaine, conditions sanitaires du moment, méthodes nutritionnelles et qualité du lait mise sur le marché) en matière de mortalité infantile, la concordance observée entre les tendances suggère par son synchronisme que l'ensemble du système urbain était sensible à des influences communes. Les auteurs insistent tout particulièrement sur le role cônjoint du climat et de conditions sanitaires lamentables.
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Benigno, Francesco. "The Southern Italian family in the early modern period: a discussion of co-residential patterns." Continuity and Change 4, no. 1 (May 1989): 165–94. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000003623.

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Abstract:
La famille en Italie méridionale à l'époque moderne est généralement considérée par les historiens comme nombreuse, complexe et caractérisée par une série de tendances et de valeur dites ‘méditerranéennes’. Les études récentes fournissent cependant la preuve qu'il y a une grande diversité dans la composition des ménages, avec une prédominance de families nucléaires dans certaines régions et une présence du principe néo-local de la formation des familles fortement implantée. Une analyse de la relation entre la composition des ménages et les variables démographiques telles que l'âge au manage démontre qu'il n'existe pas de méthode typologique adéquate pour l'étude des systèmes familiaux en Italie méridionale. Cela démontre également la nécessité d'une analyse comparative des formes de coresidence, ce qui pourrait d'ailleurs remettre en question tout le concept du système de formation des ménages. De plus, l'analyse suggère que les historiens devraient tenir compte de toute la gamme des facteurs écologiques, socioeconomiques et juridiques qui ont une influence sur la composition des ménages, plutôt que de partir du postulat des liens fonctionnels ou des modèles culturels: l'etude des formes de ménages ne peut pas se passer de celle de la famille ou de la parenté.
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Kastowo, Aryo Iguh. "LA RELATION INTERTEXTUELLE DES TROIS CONTES DANS HISTOIRES OU CONTES DU TEMPS PASSÉ PAR CHARLES PERRAULT ET DANS LE CONTEUR AMOUREUX PAR BRUNO DE LA SALLE: UNE ÉTUDE INTERTEXTUELLE SELON LA PENSÉE DE JULIA KRISTEVA. MÉMOIRE." Lingua Litteratia Journal 6, no. 1 (June 12, 2019): 15–26. http://dx.doi.org/10.15294/ll.v6i1.30873.

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Abstract:
Cette recherche a pour but de décrire les éléments intertextuels sous forme: (1) d’allusion, (2) d’adaptation, (3) d’indication, et (4) de citation dans les trois contes de Bruno de la Salle qui font appel à ceux de Charles Perrault. Cette étude a utilisé la théorie d’intertextualité de Julia Kristeva sur le plan du modèle d’analyse micro-intertextuel.Les objets matériels de cette étude sont trois contes de Bruno de la Salle, à savoir Le Prince Tout Bleui, Le Chat Qui Vient d’On Ne Sait Où, Petit Caillou et Brin de Laine qui ont été écrites en 1995 dans l’anthologie Le Conteur Amoureux, et trois autres contes de Charles Perrault intitulés La Barbe Bleue, Le Maître Chat ou Le Chat Botté, Le Petit Poucet paru en 1697 dans l’anthologie Histoires ou Contes du Temps Passé.Cette recherche se sert de la méthode comparative-qualitative. Quant à la technique d’analyse utilisée dans cette recherche est celle de la comparaison intertextuelle.Les résultats de cette recherche sont (1) la relation intertextuelle entre Le Prince Tout Bleui et La Barbe Bleue est marquée par la présence d’éléments intertextuels sous forme de 1 allusion, 2 adaptations, 6 indications, et 2 citations; (2) la relation intertextuelle entre Le Chat Qui Vient d’On Ne Sait Où et Le Maître Chat ou Le Chat Botté est marquée par la présence d’éléments intertextuels sous forme de 2 allusions, 2 adaptations, 3 indications, et 1 citation; et (3) la relation intertextuelle entre Petit Caillou et Brin de Laine et Le Petit Poucet est marquée par la présence d’éléments intertextuels sous forme de 1 allusion, 2 adaptations, 3 indications, et 2 citations.Cette étude est délimitée sur les éléments textuels, notamment sous forme d’allusion, d’adaptation, d’indication, et de citation qui se trouvent dans trois contes de Bruno de la Salle en les reliant à ceux de Charles Perrault. Basée sur cette recherche, le chercheur espère que les lecteurs pouvaient appliquer la théorie de l’intertextualité initiée par Julia Kristeva en utilisant d’autres modèles d’analyses intertextuels sur d’autres genres littérair
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Kastowo, Aryo Iguh, and Ahmad Yulianto. "La Relation Intertextuelle Des Trois Contes Dans Histoires Ou Contes Du Temps Passé Par Charles Perrault Et Dans Le Conteur Amoureux Par Bruno De La Salle: Une Étude Intertextuelle Selon La Pensée De Julia Kristeva." Lingua Litteratia Journal 7, no. 1 (May 29, 2020): 35–43. http://dx.doi.org/10.15294/ll.v7i1.38826.

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Abstract:
Cette recherche a pour but de décrire les éléments intertextuels sous forme: (1) d’allusion, (2) d’adaptation, (3) d’indication, et (4) de citation dans les trois contes de Bruno de la Salle qui font appel à ceux de Charles Perrault. Cette étude a utilisé la théorie d’intertextualité de Julia Kristeva sur le plan du modèle d’analyse micro-intertextuel. Les objets matériels de cette étude sont trois contes de Bruno de la Salle, à savoir Le Prince Tout Bleui, Le Chat Qui Vient d’On Ne Sait Où, Petit Caillou et Brin de Laine qui ont été écrites en 1995 dans l’anthologie Le Conteur Amoureux, et trois autres contes de Charles Perrault intitulés La Barbe Bleue, Le Maître Chat ou Le Chat Botté, Le Petit Poucet paru en 1697 dans l’anthologie Histoires ou Contes du Temps Passé. Cette recherche se sert de la méthode comparative-qualitative. Quant à la technique d’analyse utilisée dans cette recherche est celle de la comparaison intertextuelle. Les résultats de cette recherche sont (1) la relation intertextuelle entre Le Prince Tout Bleui et La Barbe Bleue est marquée par la présence d’éléments intertextuels sous forme de 1 allusion, 2 adaptations, 6 indications, et 2 citations; (2) la relation intertextuelle entre Le Chat Qui Vient d’On Ne Sait Où et Le Maître Chat ou Le Chat Botté est marquée par la présence d’éléments intertextuels sous forme de 2 allusions, 2 adaptations, 3 indications, et 1 citation; et (3) la relation intertextuelle entre Petit Caillou et Brin de Laine et Le Petit Poucet est marquée par la présence d’éléments intertextuels sous forme de 1 allusion, 2 adaptations, 3 indications, et 2 citations. Cette étude est délimitée sur les éléments textuels, notamment sous forme d’allusion, d’adaptation, d’indication, et de citation qui se trouvent dans trois contes de Bruno de la Salle en les reliant à ceux de Charles Perrault. Basée sur cette recherche, le chercheur espère que les lecteurs pouvaient appliquer la théorie de l’intertextualité initiée par Julia Kristeva en utilisant d’autres modèles d’analyses intertextuels sur d’autres genres littéraires tels que le roman, la poésie, et le théâtre.
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MCCALLA, A. "Michel Despland. Comparatisme et christianisme: Questions d'histoire et de méthode. Paris, L'Harmattan, 2002, 196 pp., € 17.00 (paperback) ISBN 2 7475 3309 3.." Religion 35, no. 1 (January 2005): 61–63. http://dx.doi.org/10.1016/j.religion.2005.02.004.

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Merllié, Dominique. "Les Classements Professionnels dans les Enquêtes de Mobilité." Annales. Histoire, Sciences Sociales 45, no. 6 (December 1990): 1317–33. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1990.278910.

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Abstract:
Parmi les facteurs qui ont convergé pour faire de la « mobilité sociale » un des thèmes centraux, ou en tout cas très généralement reconnu comme important, de la sociologie, figure sans doute en bonne place son identification avec l'outil statistique des tables de mobilité et des indices qu'elles permettent de construire. L'existence d'une technique statistique d'usage assez général a permis à la fois de poser les problèmes dans un langage apparemment commun et d'imprimer au développement des recherches un tour plutôt méthodologique. Ces travaux se sont concentrés sur les méthodes de présentation, d'analyse ou d'interprétation des résultats, beaucoup plus que sur celles, en amont, de leur établissement. La logique de la division technique du travail statistique reposant sur des enquêtes importantes poussait dans ce sens, mais la logique comparative aussi. Une enquête sur la mobilité n'est informative que par comparaison : comparaisons avec d'autres enquêtes réalisées ailleurs ou à un autre moment (permettant d'identifier des conditions socio-historiques de la mobilité) ; comparaisons internes, de sous-populations, permettant d'observer des « canaux » de mobilité, des catégories, générations, etc. diversement mobiles ; même l'analyse d'une seule enquête suppose qu'on en situe les résultats dans la gamme de ceux qui étaient possibles compte tenu des caractéristiques techniques des tables construites.
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Rothen, José Carlos. "O ensino superior e a Nova Gestão Pública: aproximações do caso brasileiro com o francês (Higher education and the new public management: comparisons between the Brazilian and French cases)." Revista Eletrônica de Educação 13, no. 3 (September 2, 2019): 970. http://dx.doi.org/10.14244/198271993549.

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Abstract:
With the aim of understanding the insertion of higher education into a new context of organization of society and State, which is managed according to the New Public Management, this work presents a comparative historical study of the organization of French and Brazilian higher education. It is concluded that the French adherence to the New Public Management is based on the knowledge economy, while the Brazilian one is based on State size reduction along the lines of the Washington Consensus; in addition, higher education institutions in both countries are organized to participate in competitions: in France, the international competition promoted by rankings, and in Brazil, the market competition.ResumoCom o objetivo de compreender a inserção do ensino superior dentro de um novo contexto de organização da sociedade e do Estado, gerido pela Nova Gestão Pública, o trabalho apresenta um estudo histórico comparativo da organização do ensino superior brasileiro e o francês. Conclui-se que a adesão francesa à Nova Gestão Pública tem como norte a economia do conhecimento, e a brasileira, a redução do Estado nos moldes do Consenso de Washington; e que as instituições de ensino superior nos dois países são organizadas para participarem de concorrências: na França, a internacional promovida pelos ranqueamentos, no Brasil, a mercantil.Palavras-chave: Ensino superior brasileiro, Ensino superior francês, Nova gestão pública, Universidade.Keywords: Brazilian higher education, French higher education, New public management, University.ReferencesAEBISCHER, S. Réinventer l'école, réinventer l'administration. Une loi pédagogique et managériale au prisme de ses producteurs. Politix, n. 98, n.2 p. 57-83 2012/2.AERES. Repères historiques. Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur. Disponível em: <www.aeres-evaluation.fr/Agence/Presentation/Reperes-historiques>. Acesso em: 17 nov. 2016.AMARAL, N. C. 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O’Malley, S.J., John W. "Youssef El Alaoui. Jésuites, Morisques et Indiens: Étude comparative des méthodes d’évangélisation de la Compagnie de Jésus d’après les traités de José de Acosta (1588) et d’Ignacio de las Casas (1605–1607). Études et essais sur le Renaissance 65. Paris : Honoré Champion Éditeur, 2006. 678 pp. index. append. illus. tbls. map. chron. bibl. €99. ISBN: 2-7453-1353-3." Renaissance Quarterly 60, no. 3 (2007): 950–51. http://dx.doi.org/10.1353/ren.2007.0314.

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Tremblay, Marc-Adélard. "L'anthropologie de la santé en tant que représentation." Articles - Le quotidien 23, no. 3 (April 12, 2005): 253–73. http://dx.doi.org/10.7202/055985ar.

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Abstract:
Trois traditions scientifiques particulières sont à l'origine de l'anthropologie de la santé en tant que champ distinctif de l'ethnologie: l'intérêt de l'ethnographie traditionnelle pour les médecines dites primitives (les études ethnomédicinales) ; les travaux sur la personnalité et la culture dans les années trente et quarante qui ont favorisé une étroite collaboration entre anthropologues et psychiatres et l'extraordinaire expansion des programmes internationaux de santé publique durant la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale. Ces trois traditions scientifiques ont contribué à la constitution d'un corpus de connaissances se rapportant à la santé et à la maladie dans des contextes transculturels qui élargissent les conceptions bio-médicales de la maladie ainsi que les représentations professionnelles et les modèles thérapeutiques des intervenants du monde occidental. Les anthropologues médicaux américains ainsi que les spécialistes européens de l'ethnomédecine ont mis en relief des modèles opératoires qui incarnent ces conceptions élargies de la santé : ils proposent aux praticiens de la médecine occidentale une définition plus compréhensive de la santé, des démarches thérapeutiques qui tiennent compte du contexte socio-culturel de la dispensation des soins, des principes de réinsertion sociale qui respectent l'univers phénoménologique des patients ainsi que les systèmes d'attente de l'univers social plus large. Ces conceptions scientifiques nouvelles découlent, dans une large mesure, des acquis récents des sciences de l'homme, et, pour autant, elles ne constituent pas pour les agents traditionnels un paradigme évident d'explication de la réalité pathologique ni ne justifient de transformations profondes dans les démarches thérapeutiques centrées sur le patient en tant qu'unité clinique exclusive. D'autres disciplines, telles que la sociologie, la psychiatrie sociale, la psychologie, par des cheminements parallèles ou analogues proposent elles aussi des définitions nouvelles de la maladie et des procès thérapeutiques rajeunis en vue de restaurer la santé. Pourtant la médecine, en tant que science et en tant que pratique, évolue lentement dans sa démarche de renouvellement. L'anthropologie de la santé, une des sciences humaines dont les traditions de recherche portent à la fois sur le biologique, le psychologique et le culturel dans des voies comparatives peut apporter une contribution d'importance dans le rajeunissement des perspectives conceptuelles sur la santé et la maladie et dans la conception de pratiques professionnelles. Une conception systémique de la santé, par exemple, nécessite l'examen d'expériences pathologiques en tant que phénomènes totaux. Ainsi les analyses que poursuit l'anthropologie de la santé établissent les relations qui existent entre la maladie, les systèmes de dispensation des soins et les patrons culturels sans oublier l'univers phénoménologique du patient et les conceptions prophylactiques du professionnel de la santé. Toutes les civilisations du monde ont élaboré des conceptions de la maladie, ont développé des systèmes de dispensation des soins et ont mandaté des spécialistes pour traiter les malades et les aider à restaurer les équilibres physiologiques, psychosomatiques et socioculturels rompus. Conceptions de la maladie, élaboration des méthodes prophylactiques, apprentissage des spécialistes, application des thérapeutiques, constituent autant d'éléments du système médical qui sont influencés par les visions du monde, les systèmes de pensée et les modes de vie. Une des contributions les plus substantielles de l'anthropologie culturelle dans l'étude des diverses civilisations du monde fut d'énoncer des généralisations qui possèdent un caractère d'universalité puisqu'elles se fondent sur des observations récoltées dans des contextes transculturels. Significatifs furent aussi les apports ethnologiques à la connaissance de la maladie et de la pratique médicale dans « la petite communauté » en mettant en relief les représentations sociales de la maladie tant chez les praticiens que chez les clientèles. Les connaissances récemment acquises en ethnomédecine témoignent d'un intérêt renouvelé pour la compréhension des médecines traditionnelles et primitives ainsi que pour la connaissance de leurs fondements philosophiques et théologiques. Finalement, les histoires de vie des medicine men et des guérisseurs représentent des contributions de première main qui donnent directement accès à la culture vécue des malades et des thérapeutes, révélant ainsi non seulement la dynamique d'un segment culturel mais aussi l'ensemble des éléments significatifs de l'organisation sociale et des patrons culturels d'une civilisation particulière. L'anthropologie de la santé est une discipline scientifique, nul ne saurait le contester. Le modèle d'explication de la santé qu'elle propose (basé principalement sur les notions d'adaptation, d'équilibre et de croissance) découle d'études empiriques transculturelles. Toutefois, en tant que représentation scientifique, elle ne peut être dissociée des contextes socio-historiques de sa naissance et de son évolution ni des univers idéologiques de ses premiers promoteurs. Dans cette perspective, il nous apparaît intéressant et instructif à la fois de mieux connaître comment cette sous-discipline est née ici, le processus de son implantation, le genre d'études auxquelles elle a donné lieu, les principaux résultats auxquels elle arrive et les enseignements qu'ils traduisent, les pistes de recherche qu'elle suggère. La pénétration de cette nouvelle représentation dans notre milieu a-t-elle suscité des transformations du monde de la santé ?
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Poldnikov, Dmitry. "Le renouvellement scientifique du droit civil russe au travers de la méthode comparative entre 1861 et 1917." Clio@Themis, no. 13 (April 13, 2021). http://dx.doi.org/10.35562/cliothemis.897.

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Abstract:
Cette étude présente la transformation scientifique du droit civil russe entre 1861 et 1917 autour de trois points de repère (le rationalisme, le romanisme, le comparatisme) et, tout particulièrement, au travers de la méthode comparative. La base empirique est fournie par les principaux travaux doctrinaux sur le droit civil et son histoire, y compris les cours de droit civil et les publications concernant la méthodologie des recherches juridiques préparées par Dmitri Meier, Constantin Pobiedonostsev, Sergueï Mouromtsev, Maksim Kovalevski, Yuri Gambarov, Iosif Pokrovski et les autres juristes russes de l’époque.
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Brot, Muriel. "Diderot, Raynal et l’historiographie des origines dans l’Histoire des deux Indes." Le Monde français du dix-huitième siècle 3, no. 1 (April 18, 2018). http://dx.doi.org/10.5206/mfds-ecfw.v3i1.1688.

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Abstract:
La remontée vers les temps anciens, sans laquelle on ne peut ni comprendre ni infléchir les déterminismes historiques qui régissent les changements moraux, économiques et politiques des sociétés, est un élément constant et fondamental de la méthode comparative de l’Histoire des deux Indes qui part des origines pour mesurer le chemin parcouru dans le progrès comme dans la décadence. Il va de soi qu’une histoire dotée d’un tel programme, qui voulait utiliser les leçons du passé pour organiser le présent et améliorer l’avenir des sociétés modernes, se souciait beaucoup, selon l’expression de Fontenelle, « de l’utilité de l’histoire »[1] et de la meilleure manière de l’écrire. Fontenelle voulait également présenter une histoire « qui entroit dans les motifs et dans les caractères » afin « de remonter jusqu’aux principes généraux », d’aller des « faits aux principes qui les ont produits » (Ibid., p. 176, 178). Dans la même veine critique que Fontenelle, l’Histoire des deux Indes n’hésite pas à faire l’histoire de l’histoire, à juger les productions historiographiques des siècles passés comme celles de ses contemporains. [1] Bernard de Fontenelle, Sur l’histoire, dans Œuvres complètes, Paris, Fayard, 1989, t. III, p. 169.
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Ruffo, Sébastien. "Vers une critique comparatiste de la voix au théâtre." 39, no. 1 (July 3, 2003): 99–110. http://dx.doi.org/10.7202/006744ar.

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Abstract:
Résumé La voix des personnages de théâtre inspire d’ordinaire à la critique théâtrale des commentaires plus fantasmatiques que descriptifs. Examinant la possibilité d’une histoire des voix dramatiques (comme thème dans les textes et comme phénomène sur les planches), puis celle d’une analyse comparatiste des performances vocales, possibles ou enregistrées sur vidéo, cet article propose d’objectiver le travail phonostylistique des comédiens en le soumettant à l’épreuve d’approches propres au champ du littéraire. En conclusion, l’article suggère, comme étant l’approche la plus adéquate à ce nouvel objet d’étude, une méthode comparant les performances d’un même rôle par différents comédiens.
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Gagné, Natacha. "Anthropologie et histoire." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.060.

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Abstract:
On a longtemps vu l’histoire et l’anthropologie comme deux disciplines très distinctes n’ayant pas grand-chose en partage. Jusqu’au début du XXe siècle, l’histoire fut essentiellement celle des « civilisés », des Européens et donc des colonisateurs. Si les colonisés n’étaient pas complètement absents du tableau, ils étaient, au mieux, des participants mineurs. L’anthropologie, pour sa part, s’est instituée en ayant pour objet la compréhension des populations lointaines, les « petites sociétés », autochtones et colonisées, ces populations vues comme hors du temps et de l’histoire. Cette situation était le produit d’une division traditionnelle (Harkin 2010 : 114) – et coloniale (Naepels 2010 : 878) – du travail entre histoire et anthropologie. Celle-ci se prolongeait dans le choix des méthodes : les historiens travaillaient en archives alors que les anthropologues s’intéressaient aux témoignages oraux et donc, s’adonnaient à l’enquête de terrain. Les deux disciplines divergeaient également quant à la temporalité : « Pour l’histoire, (…) le temps est une sorte de matière première. Les actes s’inscrivent dans le temps, modifient les choses tout autant qu’ils les répètent. (…) Pour l’anthropologue, s’il n’y prend garde, le temps passe en arrière-plan, au profit d’une saisie des phénomènes en synchronie » (Bensa 2010 : 42). Ces distinctions ne sont plus aujourd’hui essentielles, en particulier pour « l’anthropologie historique », champ de recherche dont se revendiquent tant les historiens que les anthropologues, mais il n’en fut pas de tout temps ainsi. Après s’être d’abord intéressés à l’histoire des civilisations dans une perspective évolutionniste et spéculative, au tournant du siècle dernier, les pères de l’anthropologie, tant en France (Émile Durkheim, Marcel Mauss), aux États-Unis (Franz Boas), qu’en Angleterre (Bronislaw Malinowski, Alfred Radcliffe-Brown), prendront fermement leur distance avec cette histoire. Les questions de méthode, comme le développement de l’observation participante, et l’essor de concepts qui devinrent centraux à la discipline tels que « culture » et « fonction » furent déterminants pour sortir de l’idéologie évolutionniste en privilégiant la synchronie plutôt que la diachronie et les généalogies. On se détourna alors des faits uniques pour se concentrer sur ceux qui se répètent (Bensa 2010 : 43). On s’intéressa moins à l’accidentel, à l’individuel pour s’attacher au régulier, au social et au culturel. Sans être nécessairement antihistoriques, ces précepteurs furent largement ahistoriques (Evans-Pritchard 1962 : 172), une exception ayant été Franz Boas – et certains de ses étudiants, tels Robert Lowie ou Melville J. Herskovits – avec son intérêt pour les contacts culturels et les particularismes historiques. Du côté de l’histoire, on priorisait la politique, l’événement et les grands hommes, ce qui donnait lieu à des récits plutôt factuels et athéoriques (Krech 1991 : 349) basés sur les événements « vrais » et uniques qui se démarquaient de la vie « ordinaire ». Les premiers essais pour réformer l’histoire eurent lieu en France, du côté des historiens qui seront associés aux « Annales », un nom qui réfère à la fois à une revue scientifique fondée en 1929 par Marc Bloch et Lucien Febvre et à une École d’historiens français qui renouvela la façon de penser et d’écrire l’histoire, en particulier après la Seconde Guerre mondiale (Krech 1991; Schöttler 2010). L’anthropologie et la sociologie naissantes suscitèrent alors l’intérêt chez ce groupe d’historiens à cause de la variété de leurs domaines d’enquête, mais également par leur capacité à enrichir une histoire qui n’est plus conçue comme un tableau ou un simple inventaire. Les fondateurs de la nouvelle École française des Annales décrivent leur approche comme une « histoire totale », expression qui renvoie à l’idée de totalité développée par les durkheimiens, mais également à l’idée de synthèse du philosophe et historien Henry Berr (Schöttler 2010: 34-37). L’histoire fut dès lors envisagée comme une science sociale à part entière, s’intéressant aux tendances sociales qui orientent les singularités. L’ouvrage fondateur de Marc Bloch, Les rois thaumaturges (1983 [1924]), pose les jalons de ce dépassement du conjoncturel. Il utilise notamment la comparaison avec d’autres formes d’expériences humaines décrites notamment dans Le Rameau d’Or (1998 [1924; 1890 pour l’édition originale en anglais]) de James G. Frazer et explore le folklore européen pour dévoiler les arcanes religieux du pouvoir royal en France et en Angleterre (Bensa 2010; Goody 1997). Il s’agit alors de faire l’histoire des « mentalités », notion qui se rapproche de celle de « représentation collective » chère à Durkheim et Mauss (sur ce rapprochement entre les deux notions et la critique qui en a été faite, voir Lloyd 1994). Les travaux de la deuxième génération des historiens des Annales, marqués par la publication de l’ouvrage de Fernand Braudel La Méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II en 1949 et de son arrivée en 1956 à la direction de la revue, peuvent encore une fois mieux se comprendre dans l’horizon du dialogue avec l’anthropologie, d’une part, et avec les area studiesqui se développèrent aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, de l’autre (Braudel 1958). Le projet est de rapporter « la spécificité des acteurs singuliers, des dates et des événements à des considérations plus vastes sur la transformation lente des mœurs et des représentations. Le travail ne consiste pas seulement à capter au projet de l’histoire des rubriques chères à l’anthropologie, mais aussi à caractériser une époque [et une région] par sa façon de percevoir et de penser le monde » (Bensa 2010 : 46). Il s’agit alors de faire l’histoire des structures, des conjonctures et des mentalités (Schöttler 2010 : 38). Les travaux de cette deuxième génération des Annales s’inscrivent dans un vif débat avec l’anthropologie structuraliste de Claude Lévi-Strauss. Si tant Braudel que Lévi-Strauss voulaient considérer les choses de façon globale, Lévi-Strauss situait la globalité dans un temps des sociétés des origines, comme si tout s’était joué au départ et comme si l’histoire n’en serait qu’un développement insignifiant. Pour sa part, Braudel, qui s’intéressait à l’histoire sérielle et à la longue durée, situait plutôt la globalité dans un passé qui sert à comprendre le présent et, jusqu’à un certain point, à prévoir ce qui peut se passer dans le futur. Ce qui constitue le fond de leur opposition est que l’un s’intéresse à l’histoire immobile alors que l’autre s’intéresse à l’histoire de longue durée, soit l’histoire quasi immobile selon laquelle, derrière les apparences de la reproduction à l’identique, se produisent toujours des changements, même très minimes. Dans les deux cas, l’ « événementiel » ou ce qui se passe à la « surface » sont à l’opposé de leur intérêt pour la structure et la profondeur, même si ces dernières ne sont pas saisies de la même façon. Pour Braudel, la structure est pleinement dans l’histoire ; elle est réalité concrète et observable qui se décèle notamment dans les réseaux de relations, de marchandises et de capitaux qui se déploient dans l’espace et qui commandent les autres faits dans la longue durée (Dosse 1986 : 89). Les travaux de Braudel et son concept d’ « économie-monde » inspireront plusieurs anthropologues dont un Marshall Sahlins et un Jonathan Friedman à partir du tournant des années 1980. Pour Lévi-Strauss, la structure profonde, celle qui correspond aux enceintes mentales humaines, « ne s’assimile pas à la structure empirique, mais aux modèles construits à partir de celle-ci » (Dosse 1986 : 85). Elle est donc hors de l’histoire. Comme le rappelait François Hartog (2014 [2004] : 287), Lévi-Strauss a souvent dit « rien ne m’intéresse plus que l’histoire. Et depuis fort longtemps! » (1988 : 168; voir d’ailleurs notamment Lévi-Strauss 1958, 1983), tout en ajoutant « l’histoire mène à tout, mais à condition d’en sortir » (Lévi-Strauss 1962 : 348) ! Parallèlement à l’entreprise déhistoricisante de Lévi-Strauss, d’autres anthropologues insistent au contraire à la même époque sur l’importance de réinsérer les institutions étudiées dans le mouvement du temps. Ainsi, Edward E. Evans-Pritchard, dans sa célèbre conférence Marett de 1950 qui sera publiée en 1962 sous le titre « Anthropology and history », dénonce le fait que les généralisations en anthropologie autour des structures sociales, de la religion, de la parenté soient devenues tellement généralisées qu’elles perdent toute valeur. Il insiste sur la nécessité de faire ressortir le caractère unique de toute formation sociale. C’est pour cette raison qu’il souligne l’importance de l’histoire pour l’anthropologie, non pas comme succession d’événements, mais comme liens entre eux dans un contexte où on s’intéresse aux mouvements de masse et aux grands changements sociaux. En invitant notamment les anthropologues à faire un usage critique des sources documentaires et à une prise en considération des traditions orales pour comprendre le passé et donc la nature des institutions étudiées, Evans-Pritchard (1962 : 189) en appelle à une combinaison des points de vue historique et fonctionnaliste. Il faut s’intéresser à l’histoire pour éclairer le présent et comment les institutions en sont venues à être ce qu’elles sont. Les deux disciplines auraient donc été pour lui indissociables (Evans-Pritchard 1962 : 191). Au milieu du XXe siècle, d’autres anthropologues s’intéressaient aux changements sociaux et à une conception dynamique des situations sociales étudiées, ce qui entraîna un intérêt pour l’histoire, tels que ceux de l’École de Manchester, Max Gluckman (1940) en tête. En France, inspiré notamment par ce dernier, Georges Balandier (1951) insista sur la nécessité de penser dans une perspective historique les situations sociales rencontrées par les anthropologues, ce qui inaugura l’étude des situations coloniales puis postcoloniales, mais aussi de l’urbanisation et du développement. Cette importance accordée à l’histoire se retrouva chez les anthropologues africanistes de la génération suivante tels que Jean Bazin, Michel Izard et Emmanuel Terray (Naepels 2010 : 876). Le dialogue entre anthropologie et histoire s’est développé vers la même époque aux États-Unis. Après le passage de l’Indian Claims Commission Act en 1946, qui établit une commission chargée d’examiner les revendications à l’encontre de l’État américain en vue de compensations financières pour des territoires perdus par les nations autochtones à la suite de la violation de traités fédéraux, on assista au développement d’un nouveau champ de recherche, l’ethnohistoire, qui se dota d’une revue en 1954, Ethnohistory. Ce nouveau champ fut surtout investi par des anthropologues qui se familiarisèrent avec les techniques de l’historiographie. La recherche, du moins à ses débuts, avait une orientation empirique et pragmatique puisque les chercheurs étaient amenés à témoigner au tribunal pour ou contre les revendications autochtones (Harkin 2010). Les ethnohistoriens apprirent d’ailleurs à ce moment à travailler pour et avec les autochtones. Les recherches visaient une compréhension plus juste et plus holiste de l’histoire des peuples autochtones et des changements dont ils firent l’expérience. Elles ne manquèrent cependant pas de provoquer un certain scepticisme parmi les anthropologues « de terrain » pour qui rien ne valait la réalité du contact et les sources orales et pour qui les archives, parce qu’étant celles du colonisateur, étaient truffées de mensonges et d’incompréhensions (Trigger 1982 : 5). Ce scepticisme s’estompa à mesure que l’on prit conscience de l’importance d’une compréhension du contexte historique et de l’histoire coloniale plus générale pour pouvoir faire sens des données ethnologiques et archéologiques. L’ethnohistoire a particulièrement fleuri en Amérique du Nord, mais très peu en Europe (Harkin 2010; Trigger 1982). On retrouve une tradition importante d’ethnohistoriens au Québec, qu’on pense aux Bruce Trigger, Toby Morantz, Rémi Savard, François Trudel, Sylvie Vincent. L’idée est de combiner des données d’archives et des données archéologiques avec l’abondante ethnographie. Il s’agit également de prendre au sérieux l’histoire ou la tradition orale et de confronter les analyses historiques à l’interprétation qu’ont les acteurs de l’histoire coloniale et de son impact sur leurs vies. La perspective se fit de plus en plus émique au fil du temps, une attention de plus en plus grande étant portée aux sujets. Le champ de recherche attira graduellement plus d’historiens. La fin des années 1960 fut le moment de la grande rencontre entre l’anthropologie et l’histoire avec la naissance, en France, de l’« anthropologie historique » ou « nouvelle histoire » et, aux États-Unis, de la « New Cutural History ». L’attention passa des structures et des processus aux cultures et aux expériences de vie des gens ordinaires. La troisième génération des Annales fut au cœur de ce rapprochement : tout en prenant ses distances avec la « religion structuraliste » (Burguière 1999), la fascination pour l’anthropologie était toujours présente, produisant un déplacement d’une histoire économique et démographique vers une histoire culturelle et ethnographique. Burguière (1999) décrivait cette histoire comme celle des comportements et des habitudes, marquant un retour au concept de « mentalité » de Bloch. Les inspirations pour élargir le champ des problèmes posés furent multiples, en particulier dans les champs de l’anthropologie de l’imaginaire et de l’idéologique, de la parenté et des mythes (pensons aux travaux de Louis Dumont et de Maurice Godelier, de Claude Lévi-Strauss et de Françoise Héritier). Quant à la méthode, la description dense mise en avant par Clifford Geertz (1973), la microhistoire dans les traces de Carlo Ginzburg (1983) et l’histoire comparée des cultures sous l’influence de Jack Goody (1979 [1977]) permirent un retour de l’événement et du sujet, une attention aux détails qui rejoignit celle qu’y accordait l’ethnographie, une conception plus dynamique des rapports sociaux et une réinterrogation des généralisations sur le long terme (Bensa 2010 : 49 ; Schmitt 2008). Aux États-Unis, la « New Culturel History » qui s’inscrit dans les mêmes tendances inclut les travaux d’historiens comme Robert Darnon, Natalie Zemon Davis, Dominick La Capra (Iggers 1997; Krech 1991; Harkin 2010). L’association de l’histoire et de l’anthropologie est souvent vue comme ayant été pratiquée de manière exemplaire par Nathan Wachtel, historien au sens plein du terme, mais également formé à l’anthropologie, ayant suivi les séminaires de Claude Lévi-Strauss et de Maurice Godelier (Poloni-Simard et Bernand 2014 : 7). Son ouvrage La Vision des vaincus : les Indiens du Pérou devant la Conquête espagnole 1530-1570 qui parut en 1971 est le résultat d’un va-et-vient entre passé et présent, la combinaison d’un travail en archives avec des matériaux peu exploités jusque-là, comme les archives des juges de l’Inquisition et les archives administratives coloniales, et de l’enquête de terrain ethnographique. Cet ouvrage met particulièrement en valeur la capacité d’agir des Autochtones dans leur rapport avec les institutions et la culture du colonisateur. Pour se faire, il appliqua la méthode régressive mise en avant par Marc Bloch, laquelle consiste à « lire l’histoire à rebours », c’est-à-dire à « aller du mieux au moins bien connu » (Bloch 1931 : XII). Du côté des anthropologues, l’anthropologie historique est un champ de recherche en effervescence depuis les années 1980 (voir Goody 1997 et Naepels 2010 pour une recension des principaux travaux). Ce renouveau prit son essor notamment en réponse aux critiques à propos de l’essentialisme, du culturalisme, du primitivisme et de l’ahistoricisme (voir Fabian 2006 [1983]; Thomas 1989; Douglas 1998) de la discipline anthropologique aux prises avec une « crise de la représentation » (Said 1989) dans un contexte plus large de décolonisation qui l’engagea dans un « tournant réflexif » (Geertz 1973; Clifford et Marcus 1986; Fisher et Marcus 1986). Certains se tournèrent vers l’histoire en quête de nouvelles avenues de recherche pour renouveler la connaissance acquise par l’ethnographie en s’intéressant, d’un point de vue historique, aux dynamiques sociales internes, aux régimes d’historicité et aux formes sociales de la mémoire propres aux groupes auprès desquels ils travaillaient (Naepels 2010 : 877). Les anthropologues océanistes participèrent grandement à ce renouveau en discutant de la nécessité et des possibilités d’une anthropologie historiquement située (Biersack 1991; Barofsky 2000; Merle et Naepels 2003) et par la publication de plusieurs monographies portant en particulier sur la période des premiers contacts entre sociétés autochtones et Européens et les débuts de la période coloniale (entre autres, Dening 1980; Sahlins 1981, 1985; Valeri 1985; Thomas 1990). L’ouvrage maintenant classique de Marshall Sahlins, Islands of History (1985), suscita des débats vigoureux qui marquèrent l’histoire de la discipline anthropologique à propos du relativisme en anthropologie, de l’anthropologie comme acteur historique, de l’autorité ethnographique, de la critique des sources archivistiques, des conflits d’interprétation et du traitement de la capacité d’agir des populations autochtones au moment des premiers contacts avec les Européens et, plus largement, dans l’histoire (pour une synthèse, voir Kuper 2000). Pour ce qui est de la situation coloniale, le 50e anniversaire de la publication du texte fondateur de Balandier de 1951, au début des années 2000, fut l’occasion de rétablir, approfondir et, dans certains cas, renouveler le dialogue non seulement entre anthropologues et historiens, mais également, entre chercheurs français et américains. Les nouvelles études coloniales qui sont en plein essor invitent à une analyse méticuleuse des situations coloniales d’un point de vue local de façon à en révéler les complexités concrètes. On y insiste aussi sur l’importance de questionner les dichotomies strictes et souvent artificielles entre colonisateur et colonisé, Occident et Orient, Nord et Sud. Une attention est aussi portée aux convergences d’un théâtre colonial à un autre, ce qui donne une nouvelle impulsion aux analyses comparatives des colonisations (Sibeud 2004: 94) ainsi qu’au besoin de varier les échelles d’analyse en établissant des distinctions entre les dimensions coloniale et impériale (Bayart et Bertrand 2006; Cooper et Stoler 1997; Singaravélou 2013; Stoler, McGranahn et Perdue 2007) et en insérant les histoires locales dans les processus de globalisation, notamment économique et financière, comme l’ont par exemple pratiqué les anthropologues Jean et John Comaroff (2010) sur leur terrain sud-africain. Ce « jeu d’échelles », représente un défi important puisqu’il force les analystes à constamment franchir les divisions persistantes entre aires culturelles (Sibeud 2004: 95). Ce renouveau a également stimulé une réflexion déjà amorcée sur l’usage des archives coloniales ainsi que sur le contexte de production et de conservation d’une archive (Naepels 2011; Stoler 2009), mais également sur les legs coloniaux dans les mondes actuels (Bayart et Bertrand 2006; De l’Estoile 2008; Stoler 2016)
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