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MIHAIU, Simona. "Conjugal Homicide." Logos Universality Mentality Education Novelty: Social Sciences III, no. 1 (2014): 109–18. http://dx.doi.org/10.18662/lumenss.2014.0301.09.

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Léveillée1, Suzanne, and Clémentine Trébuchon. "Femmes auteures d’un homicide conjugal." Criminologie 50, no. 2 (2017): 13–32. http://dx.doi.org/10.7202/1041696ar.

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Abstract:
Étant donné que les femmes sont quatre fois plus susceptibles que les hommes d’être victimes d’un homicide conjugal, la plupart des recherches se centrent sur les hommes ayant tué leur conjointe ou leur ex-conjointe. Peu d’études portent sur les enjeux psychosociaux de femmes auteures d’un homicide conjugal. L’objet de notre article est d’étudier, dans une visée exploratoire, les caractéristiques criminologiques et les motivations de femmes auteures d’un homicide conjugal. Pour ce faire, une analyse exhaustive des dossiers du coroner en chef du Québec a été effectuée sur une période allant de 1989 à 2006, pour un total de 40 cas. Nos résultats indiquent que la moitié des femmes (50 %) ont été condamnées à purger une peine provinciale ou fédérale, 22,5 % ont été acquittées des accusations qui pesaient contre elles, 5 % ont été reconnues non responsables criminellement en raison d’un trouble mental grave, tandis que 12,5 % se sont suicidées à la suite du passage à l’acte homicide. Par ailleurs, plus de la moitié des femmes (57,5 %) se sont dénoncées à la suite de l’homicide, presque la moitié du groupe de femmes (47,5 %) ont utilisé un instrument perforant et 37,5 %, une arme à feu. Enfin, 17,5 % des femmes se sont acharnées sur leur victime au moment de l’homicide. En outre, les motivations retenues sont la dispute dans 25 % des cas, l’autodéfense dans 25 % des cas, la mesure de représailles dans 20 % des cas et 12,5 % des femmes ont passé à l’acte pour un motif financier.
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Frigon, Sylvie. "Éditorial : homicide conjugal, représentations et discours : contrôle, légitime défense et amour." Criminologie 29, no. 2 (1996): 3. http://dx.doi.org/10.7202/017386ar.

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Cusson, Maurice, and Raymonde Boisvert. "L’homicide conjugal à Montréal, ses raisons, ses conditions et son déroulement." Criminologie 27, no. 2 (2005): 165–83. http://dx.doi.org/10.7202/017359ar.

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Abstract:
Conjugal homicide is a situation where one person murders another person with whom he or she is involved through a matrimonial, quasi-matrimonial or other romantic relationship, the study of this type of homicide is based on the entirety of conjugal murders known to police (77) and committed in different municipalities on the island of Montreal during two time periods, namely 1954 to 1962 and 1985 to 1989. The great majority of these crimes are committed by a man onto a woman. Analyses show that possessiveness — understood to be the desire of one person to exclusively control the other — is by far the reason which leads a man to murder the woman he supposedly loves. However, this desire to possess or control is not in itself sufficient for a man to execute his criminal activity, since a number of conditions must coexist : the woman questions her relationship with the man ; the man may physically strike the woman ; the man has the advantage of greater physical strength; the period of time involved is sufficiently lengthy allowing the crisis to develop and enter its critical phase and finally, the perpetrator succeeds in surpassing the inhibitions which initially impede one from killing another.
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Frigon, Sylvie. "L’homicide conjugal féminin, de Marie-Josephte Corriveau (1763) à Angélique Lyn Lavallée (1990) : meurtre ou légitime défense ?" Criminologie 29, no. 2 (2005): 11–27. http://dx.doi.org/10.7202/017387ar.

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Abstract:
In this article, the author examines the socio-legal relevance of the « battered woman syndrome » (BWS) in the cases of women who kill their violent partners in Canada. The legal recognition of domestic violence in these situations, in its historical context, is examined by focusing on the Supreme Court of Canada decision in the case of Angélique Lyn Lavallée in 1990. This landmark decison is used as pivotal in this discussion in order to shed light into the reasoning behind the subsequent legal decisions. The ideas proposed in this article are part of a more general exploration of the representations of femininity and their inscription in law. In discussing female conjugal homicide, the gendered nature of law and order, the pathologization of women, the « syndromisation» phenomenon and the médicalisation of violence, the author offers some insights in thinking legal strategies but more fundamentally in the social debate to continue.
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Blackburn, Manon, and Gilles Côté. "Mesure des symptômes dissociatifs chez des individus « borderlines » coupables de l’homicide de leur conjointe." Criminologie 34, no. 2 (2007): 123–43. http://dx.doi.org/10.7202/027508ar.

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Abstract:
Résumé La violence conjugale est un phénomène fréquent. Statistiques Canada (1994) a évalué que trois femmes sur dix au Canada ont été victimes au moins une fois d'un acte de violence physique ou sexuelle de la part d'un conjoint. Au Canada, les homicides conjugaux représentent près de 12 % de l'ensemble des homicides (Wilson et ai, 1995). L'homicide conjugal est généralement précédé par des incidents violents dans le couple. Les différentes formes de violence conjugale ne peuvent être graduées le long d'un con- tinuum de sévérité ; les typologies d'hommes violents le démontrent. L'objectif de cette recherche est d'identifier des facteurs associés à l'homicide dans un contexte de violence conjugale. L'hypothèse centrale porte sur la dissociation observée chez l'individu homi- cide suite à la perte de l'objet. L'étude comporte deux groupes de participants « borderlines » : 14 hommes coupables d'homicide conjugal, recrutés à l'intérieur de pénitenciers, et 14 hommes violents physiquement avec leur conjointe, recrutés dans des centres pour hommes violents. Les résultats au Hand Test (Wagner, 1983) et à l'échelle des expériences dissociatives (Bernstein et Putnam, 1986) sont comparés.
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Delbreil, A. "Quels sont les auteurs des homicides conjugaux ?" European Psychiatry 30, S2 (2015): S61. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.170.

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Abstract:
IntroductionL’homicide conjugal est commis sur un partenaire ou ex-partenaire de vie intime quel que soit son statut. Il représente environ 20 % des homicides en France. D’origine multifactorielle, son repérage est complexe. Ce type de passage à l’acte est encore trop peu pris en compte par les programmes de prévention car considéré comme exceptionnel en regard de la violence conjugale. Cependant, tout comme le profil des auteurs, le modus operandi se différencie des autres types d’homicide.ObjectifMettre en évidence les caractéristiques socio-démographiques, psychopathologiques et criminologiques des auteurs d’homicide conjugal, afin de déterminer des facteurs prédictifs de passage à l’acte.MéthodeÉtude descriptive rétrospective sur 56 dossiers d’homicide conjugal (ou tentative), jugés entre 1999 et 2013 sur la Cour d’appel de Poitiers. Un nombre important de variables concernant les auteurs, les victimes et les faits ont été recherchés. Elles ont ensuite été recoupées pour établir des profils.RésultatsLes hommes représentent 88 % des auteurs d’homicide conjugaux. Ils sont pour la plupart impulsifs (80,4 %) et présentent des antécédents judiciaires (64,8 %) et de violence conjugale physique (70,3 %). La moitié abuse de l’alcool. Le passage à l’acte est souvent motivé par la séparation du couple (64,8 %) et le désir de possession du partenaire. Il est fréquemment commis avec une violence exagérée (54 %). Auparavant, environ la moitié des auteurs avait exprimé des menaces de mort ou suicidaires.ConclusionNotre étude a montré que l’homicide conjugal est un geste non prémédité, commis par des hommes, devant la difficulté à accepter la perte de la compagne. Ce crime est souvent associé à la violence conjugale et l’éthylisme chronique. La mise en évidence de ces profils permet de proposer des actes de prévention plus ciblés.
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Azoulay, M., A. Delbreil, S. Raymond, and D. Zagury. "Petits meurtres en famille." European Psychiatry 30, S2 (2015): S60. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.167.

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Abstract:
« On ne se tue bien qu’en famille » écrivait Bénézech. En effet, si les homicides intrafamiliaux apparaissent comme une transgression suprême, contre nature, la sphère familiale est pourtant, comme l’énonçait Green, « l’espace tragique par excellence, sans doute parce que les nœuds d’amour et de haine sont en elle les tous premiers en date et en importance ». Ces passages à l’acte interpellent ou fascinent l’opinion publique, les médias et ont inspiré de nombreuses œuvre artistiques à travers les époques. Nous avons choisi d’étudier la dynamique de ces actes homicidaires et le profil de leurs auteurs à travers trois interventions. La première intervention développe la question du double parricide, abordée comme un ultime sursaut de survie, dans un mouvement d’auto-engendrement. La clinique, la sémiologie pré-critique, critique et post-critique, ainsi que la psychopathologie du double parricide seront détaillées. La seconde intervention présente les résultats d’une étude réalisée en unité pour malades difficiles (UMD) sur les femmes auteures d’infanticides, mettant en lumière les éléments cliniques et criminologiques de ces mères, ainsi que la dynamique de leur acte. La dernière intervention traite des particularités du meurtre de conjoint(e), souvent qualifié de « crime passionnel ». Au regard d’une étude effectuée au sein des juridictions de la Cour d’appel de Poitiers sur des dossiers jugés pour homicide ou tentative d’homicide conjugal, le profil des auteurs, les motivations et les différents facteurs pouvant être à l’origine de ces passages à l’actes criminels seront décrits. Cette session thématique, axée sur la clinique médicolégale, vise ainsi à amener des éléments de réflexion autour de ces différents passages à l’acte intrafamiliaux, certes rares, mais que tout psychiatre peut être amené à rencontrer au fil de sa pratique.
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Delbreil, A., M. Voyer, M. Lebeau, M. Samanet, and J. L. Senon. "Les hommes auteurs d’homicide conjugal." European Psychiatry 28, S2 (2013): 85. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.229.

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Abstract:
Introduction.L’homicide conjugal est commis sur un partenaire ou un ex-partenaire de vie intime quel que soit son statut. Il représente environ 20 % des homicides en France [1]. D’origine multifactorielle, son repérage est complexe.Objectif.– Mettre en évidence les caractéristiques socio-démographiques, psychopathologiques et criminologiques des hommes auteurs d’homicide conjugal, afin de déterminer des facteurs prédictifs de passage à l’acte.Méthode.Étude descriptive et rétrospective sur 37 dossiers d’homicide conjugal (ou tentative), jugés entre 1999 et 2010 par la Cour d’Appel de Poitiers. Un nombre important de variables concernant les auteurs, les victimes et les faits a été recherché. Elles ont ensuite été recoupées pour établir des profils.RésultatsLes hommes représentent 88 % des auteurs d’homicide conjugaux. Ils sont pour la plupart impulsifs (80,4 %) et présentent des antécédents judiciaires (64,8 %) et de violence conjugale physique (70,3 %). La moitié abuse de l’alcool. Le passage à l’acte est souvent motivé par la séparation du couple (64,8 %). Il est fréquemment commis avec une violence exagérée (54 %). Auparavant, environ la moitié des auteurs avait exprimé des menaces de mort ou suicidaires.ConclusionNotre étude a montré que l’homicide conjugal est un geste non prémédité, commis par des hommes, devant la difficulté à accepter la perte de la compagne. Ce crime est souvent associé à la violence conjugale et l’éthylisme chronique. La mise en évidence de ces profils permet de proposer des actes de prévention plus ciblés.
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Frigon, Sylvie, and Louise Viau. "Les femmes condamnées pour homicide et l’ Examen de la légitime défense (Rapport Ratushny) : portée juridique et sociale." Criminologie 33, no. 1 (2002): 97–119. http://dx.doi.org/10.7202/004721ar.

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Abstract:
Résumé Dans cet article, les auteures font une analyse de l'Examen de la légitime défense (ELD) mené par la juge Ratushny relativement aux dossiers de femmes condamnées pour homicide tant avant qu'après Lavallée. Il sera découpé en deux parties. La première sera consacrée à faire un bilan de la situation de l'homicide conjugal et un portrait des femmes coupables d'homicide au Canada de même qu'à exposer brièvement la décision charnière en matière de légitime défense, l'arrêt Lavallée, sans lequel l'ELD n'aurait jamais eu lieu. Cette première partie sera suivie d'une analyse descriptive de l'ELD. Une attention particulière sera accordée aux résultats de l'examen effectué par la juge Ratushny dans une perspective socio-juridique. L'arrêt Lavallée a remis en question l'approche juridique en matière de légitime défense, approche qui dans le passé ne reconnaissait pas la réalité des femmes homicidaires, dont certaines avaient fait l'objet d'abus et de violence antérieures. Dans cet arrêt, la Cour reconnaît la pertinence d'une preuve d'expert sur le syndrome de la femme battue. C'est ce contexte juridique nouveau qui a amené la Société Elizabeth Fry à entreprendre des démarches auprès des autorités et à faire des pressions afin d'obtenir la révision des dossiers des femmes justiciables condamnées pour homicide et qui n'auraient pas bénéficié du contexte plus favorable découlant de l'arrêt Lavallée. Tel était le contexte à l'origine du mandat confié à la juge Ratushny. En octobre 1995, suite à la décision Lavallée (1990) et aux pressions exercées par la Société Elizabeth Fry du Canada afin que l'on réexamine les dossiers de femmes ayant commis un homicide, l'examen des cas des femmes condamnées au Canada pour homicide dans un contexte de violence (L'examen de la légitime défense, ELD) est enclenché. Dans le cadre de son mandat, la juge devait examiner les dispositions législatives concernant la légitime défense, faire des recommandations sur les possibilités de réforme et sur les recours possibles des requérantes. À partir d'une liste fournie par le Service correctionnel du Canada, deux cent trente-six (236) femmes ont été contactées et quatre-vingt-dix-huit (98) femmes ont fait une demande de révision. L'analyse des cas s'est d'abord faite à partir des dossiers des tribunaux et des services correctionnels (transcriptions de procès, histoire sociale de la femme, renseignements sur son passé de victimisation dans certains cas). Des entrevues ont aussi eu lieu avec les femmes rencontrant les critères de révision tels qu'élaborés par la juge Ratushny, avec les avocats de la défense et les procureurs de la couronne. Des archives d'institutions ont aussi été consultées et les personnes suggérées par les requérantes ont été contactées. Il se dégage de l'ELD deux types de recommandations, les premières susceptibles d'avoir un impact direct sur la situation des justiciables ayant soumis leur cas à la juge Ratushny, les secondes susceptibles de modifier à l'avenir la donne en matière de légitime défense si le gouvernement devait donner suite à ses propositions de réforme. L'examen de 98 dossiers n'a amené que sept recommandations. Un nombre aussi restreint de recommandations a-t-il de quoi surprendre? Il est manifeste que l'ELD a suscité des attentes démesurées. Devant un si maigre résultat, devrait-on conclure qu'il fut inutile? L'examen des propositions de réforme contenues dans l'ELD s'impose avant de tenter de répondre à cette question. La juge Ratushny a aussi fait porter ses commentaires et recommandations de réforme non seulement sur la définition de la légi- time défense mais aussi sur les règles de droit et les pratiques de poursuite en matière de meurtre. Malgré les limites de l'ELD et les critiques dont il peut faire l'objet, nous considérons que l'exercice n'aura pas été vain puisqu'il aura permis de corriger certaines injustices dont des femmes étaient victimes. Ce qui est plus troublant cependant, c'est de constater qu'en dépit des changements juridiques amorcés par l'arrêt Lavallée, l'ELD fait ressortir des problèmes systémiques qui persistent encore aujourd'hui. Ne serait-ce que pour avoir soulevé ce problème d'ordre systémique, l'ELD devrait retenir l'attention. La richesse des informations contenues dans les 98 dossiers examinés dans le cadre de l'ELD mériterait également que l'on s'y attarde dans une perspective de recherche universitaire socio-juridique plus large sur le maricide, en le comparant aux autres formes d'homicide commis par des femmes.
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Boisvert, Raymonde, and Maurice Cusson. "L'homicide conjugal à Montréal." Recherche 35, no. 2 (2005): 237–54. http://dx.doi.org/10.7202/056863ar.

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Abstract:
Les auteurs considèrent les changements dans la fréquence et les caractéristiques des homicides conjugaux commis sur l'île de Montréal de 1954 à 1962 et les comparent avec ceux qui se sont produits entre 1985 et 1989. Pendant ces dernières années, les homicides de nature conjugale sont trois fois plus fréquents qu'auparavant, et cette augmentation se concentre chez les couples instables ou brisés. Cependant, hier comme aujourd'hui, la violence mortelle est dirigée contre les femmes et elle se déroule principalement à la résidence qu'elles habitent avec l'homme qui leur enlève la vie.
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Ahn, Elizabeth Soyeon, and Jacqueline A. Hobbs. "Othello Syndrome: Delusional Disorder - Jealous Type ≠ Violence." CNS Spectrums 26, no. 2 (2021): 160–61. http://dx.doi.org/10.1017/s1092852920002588.

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Abstract:
AbstractBackgroundOthello syndrome, also known as morbid jealousy, pathological jealousy, and conjugal paranoia, is a rare delusional disorder related to partner’s infidelity. There are no large scale or comprehensive studies on delusional jealousy, and only few case reports and cases series leave delusional disorder jealous type (DDJT) largely unknown. Herein, we report a case of DDJT, its possible etiology and describe its characteristics, comorbidities, and interventions.Case DescriptionA 65-year-old married, retired, and disabled Caucasian male with a history of closed traumatic brain injury and chronic pain presented for outpatient care accompanied by his wife with a chief complaint of paranoid delusions. The patient was a car racer when he sustained over 25% total body surface area burns after his motor vehicle crashed at the speed of almost 160 mph. The patient was in a coma for more than nine weeks, coded three times, and was resuscitated each time. Per imaging, the patient suffered subarachnoid hemorrhage to the right outer parietal and left front parietal lobes. The patient developed chronic pain from the extensive burns and has been on opioids for many years until he gradually tapered himself off about six years ago. For the last couple of years, the patient has experienced cognitive decline associated with disorientation and memory deficit. The patient has been perseverative on his wife’s trip two years ago during which the patient believed that she had an affair with one of their mutual acquaintances. The patient denied visual or auditory hallucinations and continued to express his love and affection toward his wife. Although his wife has continually provided reassurance, and multiple family members confirmed her faithfulness, the patient had minimal insight into his delusion and expressed disappointment in loss of sexual intimacy between him and his wife. The patient has been prescribed duloxetine 60mg and trazodone 150mg, and his mood, anxiety, and sleep have been stable. The patient has also started taking pimozide 1mg nightly since beginning of this year with good response.DiscussionThe DSM estimates the prevalence of DDJT to be less than 1%. At least a third of cases show neurological basis involving frontal lobe dysfunction associated with strokes, Parkinson’s disease, brain trauma and tumors, neurodegenerative disorder, encephalitis, multiple sclerosis, and even normal pressure hydrocephalus. Association with alcohol, amphetamine, cocaine, and dopamine therapy (pergolide, ropinirole, levodopa, amantadine, and pramipexole) were reported. Finally, DDJT is known to be a risk factor of violent crimes including homicide. Treatment with pimozide shows the strongest evidence, and most patients show improvement with any antipsychotic medication along with CBT. Continued research and further clinical trials are warranted for DDJT considering patients’ positive response to interventions, and because DDJT can become a dangerous condition in forensic situations.
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Boisvert, Raymonde. "Éléments d’explication sociale de l’uxoricide." Criminologie 29, no. 2 (2005): 73–87. http://dx.doi.org/10.7202/017390ar.

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Abstract:
In this article, we will focus on the frequency and characteristics of conjugal homicides which occurred in Montréal between 1954 and 1962, and compare these crimes with those taking place between 1985 and 1989. The comparison of the main aspects of the phenomenon shows that the number of such crimes has increased steadily from one period to the next. During these two periods, women formed the majority of the victims and men, the perpetrators. The individual factors (mental illness, alcohol, despair) that may trigger the expression of violence do not account for all homicides. In fact, these crimes are often the ultimate demonstration of the control some men have over their wives. We will examine the social implications lying at the root of some men's desire to control their wives to the point of killing them when they fail to meet their expectations.
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Tzeferakos, G., M. Papagaliaga, C. Papageorgiou, P. Bali, and A. Douzenis. "Demographic and criminal data among psychiatric patients in Greece." European Psychiatry 41, S1 (2017): S592—S593. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2017.01.910.

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Abstract:
IntroductionTo our knowledge, a limited number of studies address criminality among psychiatric patients as depicted in legal files.ObjectivesThe objective of the present study was to provide demographic, psychiatric, legal/criminal data about psychiatric patients in Greece.MethodsLegal case files of 100 adult subjects, 90 male/10 female, 88 Greeks/12 foreigners were reviewed.ResultsSeventy eight percent of the subjects had at least one psychiatric evaluation prior to the commitment of the crime. The main diagnoses at the time of the criminal act were: schizophrenia spectrum psychosis (18%), anti-social/borderline/mixed personality disorder (15%), substance use disorder (15%), alcohol use disorder (10%), depressive affective disorder (6%), mixed anxiety/depressive disorder (6%), bipolar disorder (5%), anti-social personality disorder/substance use disorder (5%), schizophrenia/substance use disorder (3%). In 11% the diagnosis was unknown. Eighty four percent of the crimes committed were homicides/attempted homicides, 6% assaults/(attempted) homicides, 3% property crimes/(attempted) homicides and below 3% assaults, property crimes, sexual offences, drug crimes. The weapon used was a knife/sharp object (42%) or a gun (40%). Perpetrator and victim were strangers in 25% of the cases, just acquaintances in 14%, had a professional relationship in 7%, their relationship was conjugal (15%), they were partners (13%) or relatives (7%). In persons with schizophrenia spectrum psychosis the victims were relatives/spouses in 41.2%, while in other diagnoses the respective percentage was 21.5% (P = 0.044).ConclusionsIn accordance to the international literature, there is a vast need for further research in order to improve forensic psychiatric services and prevent criminality among psychiatric patients.Disclosure of interestThe authors have not supplied their declaration of competing interest.
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Aknouche, Frederic, Laurie Gueddar, Angeline Kernalleguen, Christophe Maruejouls, and Pascal Kintz. "Violence conjugale et stéroïdes : à propos d’un homicide sous l’influence de metandienone et trenbolone." Toxicologie Analytique et Clinique 33, no. 3 (2021): S15—S16. http://dx.doi.org/10.1016/j.toxac.2021.06.007.

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Snider, Carolyn E., Howard Ovens, Alan Drummond, and Atul K. Kapur. "Énoncé de position de l’ACMU sur le contrôle des armes à feu." CJEM 11, no. 01 (2009): 73–83. http://dx.doi.org/10.1017/s1481803500010940.

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Abstract:
RÉSUMÉLes blessures et les décès par armes à feu continuent d'être un problème important au Canada. Depuis les années 90, les médecins d'urgence du Canada ont milité en faveur du contrôle des armes à feu. Cet article actualise la position de l'Association canadienne des médecins d'urgence (ACMU) à l'égard du contrôle des armes à feu.Même si la couverture des médias porte généralement sur les homicides, la majorité des décès par balle est en réalité le résultat de suicides. Moins de 40 % des blessures par armes à feu sont infligées intentionnellement par une autre personne. Depuis la mise en application du Registre des armes à feu en 1995 au Canada, on a constaté une réduction importante des suicides par balle et des homicides par un conjoint. La proposition d'assouplir la législation sur les armes à feu au Canada aura des répercussions importantes sur les décès et les blessures par balle. Il faut plutôt élargir les programmes axés sur la prévention du suicide, de la violence conjugale et de la violence liée aux gangs de rue.La majorité des blessures par armes à feu intentionnelles ou non intentionnelles impliquent une infraction aux règles d'entreposage ou de maniement sécuritaire de ces armes. Le potentiel de préjudice futur en raison de l'entreposage ou du maniement non sécuritaire des armes à feu ou d'actes de vengeance perpétrés par des gangs de rue corrobore notre position voulant que les établissements de soins de santé déclarent obligatoirement à la police les blessures par balle (BPB). Par ailleurs, il faut mettre en application un système de surveillance national pour appuyer la recherche et orienter les futures politiques publiques et la législation.En tant que médecins d'urgence, nous devons plaider en faveur du contrôle des blessures. Toutes les blessures et tous les décès par balle sont évitables, et nous devons préconiser une stratégie multidimensionnelle afin de réduire au minimum ce risque pour nos patients.
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Haro-Lara, Aída Patricia, Segundo Ramiro-Tite, Viviana Fidencia Naranjo-Ruíz, and Teresa de Jesus Paredes-Ruiz. "Género y femicidio, comparación: Código penal e integral penal, dos caras de la misma moneda." Polo del Conocimiento 4, no. 8 (2019): 37. http://dx.doi.org/10.23857/pc.v4i8.1042.

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Abstract:
<p style="text-align: justify;">El presente artículo pretendió realizar un estudio comparativo al Código Penal y Código Integral Penal para evidenciar el devenir histórico del femicidio en el Ecuador, en atención a los antecedentes de que el Código Penal dio un tratamiento como homicidio y asesinato; mientras que el Código Integral Penal (COIP) lo determina como un delito que resulta de las relaciones de poder ante cualquier expresión de violencia que da muerte a una mujer por su condición de género. A través del método cuali – cuantitativo, la investigación bibliográfica y documental amparada en datos recopilados de instituciones como la Dirección Nacional de Delitos contra la Vida, Muertes Violentas, Desapariciones, Extorción y Secuestros (DINASED) y de la Fiscalía General del Estado a través del cruce y análisis de datos se concluyó que independientemente de la figura legal vigente el femicidio supone un sentimiento de odio directo contra la mujer y se manifiesta como consecuencia del control y posesión del cuerpo femenino, y la superioridad masculina. Evidenciándose que las muertes violentas no han sido producto de un de un encuentro esporádico entre la mujer y el victimario, por lo general se trata de una necesidad de borrar la identidad de la mujer, la historia de vida conjugada en matices de afectividad y relaciones sentimentales que le caracterizan a la misma y la convierten en presa fácil de violencia de género cuyo desencadenante es el femicidio.</p>
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Nahmani, I., V. Scolan, F. Fiechter-Boulvard, F. Paysant, and P. Vittini. "Filicide-suicide non altruiste : un cas clinique évoquant un syndrome de Sardanapale ?" European Psychiatry 30, S2 (2015): S134. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.263.

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Abstract:
Les meurtres d’enfants font partie des crimes les plus intolérables. Ils suscitent l’indignation de toute la société d’autant plus lorsqu’ils sont commis par le père ou la mère de l’enfant, se dénominant dès lors sous le terme de « filicide ». Resnick et al. ont distingué en 1969, 5 types de filicides, dont celui de « Filicide-Vengeur », c’est-à-dire un filicide commis par un parent dans une dynamique de vengeance à l’égard de l’autre parent, avec majoritairement le suicide du parent–auteur dans les heures suivant les faits, se qualifiant ainsi de « filicide-suicide ». Nous vous présentons un cas de filicide-suicide vengeur, ayant des atypicités séméiologiques. Il s’agit d’un homme de 38 ans père de deux enfants de 5 et 7 ans en cours de séparation après 10 ans de vie maritale. Il est retrouvé décédé au rez-de-chaussée à son domicile, en partie carbonisé, avec une plaie thoracique autoinfligée (seppuku), les corps de ses deux enfants sont quant à eux découverts dans la chambre conjugale, entièrement calcinés. Nous soulignons une mise en scène étrange avec incendie de l’intégralité du domicile familial et mise en évidence à l’entrée de la maison d’une sacoche noire, à l’abri du feu, contenant des lettres d’adieu adressées à l’entourage proche ainsi que des photographies familiales, évoquant le syndrome de Sardanapale, inspiré d’un Roi illustre qui se suicida en mettant le feu à son palais avec sa famille et ses domestiques. Par l’étude des données médico-légales, des écrits du défunt et des auditions des proches de la famille au cours de l’enquête policière, associée à une revue de la littérature concernant ce type de crime spécifique, nous essayerons de dégager des hypothèses conceptuelles psychiatriques afin de tenter d’expliquer un tel passage à l’acte et d’envisager des actes préventifs. Les homicides infantiles représentent une part non négligeable de la mortalité infantile. Les filicides suicides vengeurs comme celui que nous présentons sont commis exclusivement au cours d’une procédure de séparation entre les parents. Étant donné l’augmentation du nombre de divorces à l’heure actuelle, on peut se demander si l’incidence de ce crime, difficilement compréhensible, n’augmenterait pas significativement au cours des années à venir ?Annexe : L’examen des lieux mettait en évidence une mise en scène du décès avec présence d’une sacoche à l’arrière de la boîte aux lettres du domicile sur laquelle étaient posées deux bougies (Fig. 1). À l’intérieur de la sacoche étaient relevées des photographies de mariage du couple et des enfants, des relevés bancaires et « des lettres d’Adieu » destinés à l’ex-épouse du défunt, aux parents et beaux-parents.
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Araújo, Maria Alix Leite, Elk de Assis Araújo Fernandes, Valéria Lima de Barros, and Rosendo Freitas Amorim. "BEHAVIORAL AND INFRACTIONAL ASPECTS OF FEMALE TEENAGERS DEPRIVED OF LIBERTY." Texto & Contexto - Enfermagem 28 (2019). http://dx.doi.org/10.1590/1980-265x-tce-2018-0308.

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Abstract:
ABSTRACT Objective: to analyze the behavior and infractional acts of 26 female adolescents. Method: a descriptive, sequential explanatory, mixed study, conducted in an educational center in Northeastern Brazil. A questionnaire was applied including sociodemographic; gynecological/obstetric; behavioral variables as well as variables referring to infractions and institutional incarceration. The Statistical Package for Social Sciences version 23.0 was used for data analysis, descriptive analysis, frequency distribution for categorical variables and calculation of measures of central tendency for numerical variables. In the qualitative stage, data were collected through in-depth interviews, which aimed to interpret quantitative analysis variables. The interviews were recorded and transcribed in full, the data were coded and grouped into themes. Pre-analysis, exploration of the collected material, treatment of the results and interpretation were performed. Thematic analysis was used to identify the core meaning that makes up the communication, whose presence or frequency have some meaning for the object studied. Results: the age ranged from 12 to 18 years and 26.9% attended school. The most frequent offenses were theft (61.5%) and homicide (19.2%). The use of alcohol and illicit drugs, was reported as 53.8% and 46.2%, respectively. All reported being sexually active and 96.2% had had more than one sexual partner in their lives. Seven had already become pregnant, and four of these decided to have abortions. Six (23.1%) declared themselves as bisexual and five (19.2%) as homosexuals. The adolescents mentioned the need for homosexual relations at the place of detention, due to the prohibition of conjugal visits. Conclusion: adolescents who are deprivation of liberty have high social vulnerability.
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