Academic literature on the topic 'Îlot forestier'

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Journal articles on the topic "Îlot forestier"

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Lubalega, T. K., C. Lubini, J. C. Ruel, D. P. Khasa, J. Ndembo, and J. Lejoly. "Structure et composition floristique de savanes arbustives en système préservé du feu à Ibi, plateau des Bateke, en République Démocratique du Congo." Revue Scientifique et Technique Forêt et Environnement du Bassin du Congo Volume 9, Octobre 2017 (2017): 20–30. https://doi.org/10.5281/zenodo.997619.

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Abstract:
<strong>Résumé</strong> La compréhension du processus de reforestation naturelle des savanes arbustives est un enjeu de taille pour la gestion de ressources naturelles savanicoles. Nous cherchons à comprendre le tempérament des formations herbeuses dites ouvertes en protection contre le feu. Deux formations végétales (l’îlot forestier qui est un boisement naturel en savane et la galerie forestière, une forêt qui longe un cours d’eau) ont été protégées de feux de brousse par un pare-feu de 25 m de large et 4000 m de long, dont la mise en place a eu lieu de juin 2010 à avril 2011. Une portion de savane non protégée à l’ouest du dispositif a servi comme contrôle d’observations réalisées sur les deux types. Cette étude s’est étalée sur 3 ans, à Ibi-village au plateau des Bateke, en République Démocratique du Congo (RDC). La comparaison de la richesse et de la diversité spécifiques de ces deux formations végétales révèle 22 familles botaniques inventoriées avec 55 espèces dans l’îlot forestier contre 27 familles et 58 espèces dans la galerie. Bien que les deux formations soient similaires en richesse et diversité spécifiques, une dizaine d’espèces présentes dans l’îlot forestier n’ont pas été listées dans la galerie forestière. Celle-ci présente une quinzaine d’espèces non listées dans l’îlot forestier. 43 espèces sont communes aux deux formations végétales. L’augmentation de la surface terrière en reforestation s’accompagne d’une augmentation de la richesse et de la diversité spécifiques dans les deux types de végétation. <strong>Abstract</strong> Understanding the process of natural reforestation of shrubland savannas is a major challenge for the management of savannah natural resources. We seek to understand the evolution of open grasslands protected against fire. Two vegetation types (Forest island, a natural forest patch within grasslands and riparian forest, a forested land adjacent to a body of water) were protected from bushfires by a firewall of 25 m wide and 4000 m long, whose implementation took place from June 2010 to April 2011. This study was conducted over a 3 year-period, at Ibi- village on the Bateke plateau, Democratic Republic of Congo (DRC). The comparison of the richness and diversity of these two specific vegetation types showed 22 botanical families with 55 species inventoried in the forest island against 27 families including 58 species in the riparian forest (gallery forest). Although both forest types were similar in richness and species diversity, a dozen species in the forest island were not listed in the gallery forest. The latter presented fifteen species unlisted in the forest island. 43 species were common to both plant formations. The increased reforestation basal area was accompanied by an increase in richness and diversity in both vegetation types.
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Pons, Jean-Marc, and Jean-François Cosson. "Use of forest fragments by animalivorous bats in French Guiana." Revue d'Écologie. Supplément 57, no. 8 (2002): 117–30. https://doi.org/10.5281/zenodo.13424938.

Full text
Abstract:
(Uploaded by Plazi for the Bat Literature Project) The effects of habitat fragmentation on animalivorous bats were studied on recent forest islands created in 1994, at the time of the filling of Petit Saut dam in French Guiana A sampling strategy, including control sites located in a nearby forested area not fragmented during the whole study period (1993-1997) was designed. Modifications affecting animalivorous bat communities in a remote 28 ha island (island 2) and in 15 islets smaller than 6 ha more or less isolated from the nearby continuous forest were analysed. Results were compared to those obtained with the same methods for frugivorous and nectarivorous bats. One hundred and forty eight gleaning animalivores, 41 aerial insectivores and 28 bats belonging to other guilds (omnivore, sanguivore) were trapped during the whole study. Capture analyses showed that species richness and abundance sharply declined in islets and in the island 2 in 1995 and 1996. However no significant difference was found between islands and continuous forest in 1997. There was no difference either in species richness or in abundance between the island 2 and several islets of comparable isolation. On the contrary, indices were significantly lower in far islets situated at more than 1 50 m from the continuous forest than in near ones. One possible explanation is the reluctance of understorey species to cross open water to reach far islands. Between 1994 and 1997, we failed to detect any difference in the relative proportion of aerial insectivores and gleaning animalivores between islands and the continuous forest. Among non-frugivorous species, gleaning animalivores represented 73 % of the total number of captures made in the two habitats. Similarly no habitat differences were found in the respective contributions of frugivores and animalivores to bat communities. Frugivores made up roughly 80 % of the total number of bats captured during the study. Within the gleaning animalivores guild, there was a positive relationship between abundance of a species in islands and its abundance in the control area. Moreover, a positive correlation was equally found between body size and abundance in all habitats. The contribution of our results to the understanding of the impact of habitat fragmentation on animalivorous bats is limited due to rarity and low detectability of a high number of species making up animalivorous bat communities in Neotropical forests. Therefore, additional methods to collect and analyse data that take into account these features should be implemented to evaluate more accurately the impact of habitat fragmentation on bat communities at Saint-Eugène. , Les effets de la fragmentation de l'habitat sur la communauté des chauves-souris animalivores ont été étudiés dans les îlots forestiers formés en 1994 lors de la mise en eau du barrage de Petit Saut (Guyane française). Un protocole d'échantillonnage standardisé, incluant une zone de référence restée intacte tout au long de l'étude entre 1993 et 1997, a permis de suivre les modifications affectant la communauté des chauves-souris animalivores dans une île de 28 ha (île 2) bien isolée et dans 15 îlots d'une superficie inférieure à 6 ha plus ou moins isolés selon les cas. Les résultats obtenus ont été comparés avec ceux obtenus dans les mêmes conditions lors d'une précédente étude pour les chauves-souris frugivores et nectarivores. 148 chauves-souris animalivores glaneuses, 41 insectivores aériennes, 28 omnivores ou hématophages ont été capturées au cours de l'étude. L'analyse de ces captures montre que la richesse spécifique et l'abondance des individus ont chuté fortement en 1995 et 1996 dans l'île 2 et dans les îlots mais pas en 1997. Aucune différence de richesse ou d'abondance entre l'île 2 et les îlots de degré d'isolement comparable n'a été détectée. En revanche, les indices de richesse et d'abondance obtenus pour les îlots éloignés de plus de 150 m du bloc forestier sont significativement plus faibles que ceux obtenus pour les îlots situés à proximité immédiate de la forêt intacte. Il est suggéré que le survol d'une étendue d'eau fibre pourrait constituer une barrière au déplacement notamment pour les espèces animalivores glaneuses de sous-bois. Entre 1994 et 1997, la proportion relative de chauves-souris aériennes insectivores et glaneuses animalivores dans les îlots forestiers et dans le bloc forestier n'était pas différente, les glaneuses animalivores représentant 73 % des captures dans les deux milieux. De même, il n'y a pas de différence dans la contribution respective des guildes animalivores et frugivores aux peuplements insulaire et du bloc forestier. Les chauves-souris frugivores représentent autour de 80 % des captures dans les deux habitats. A l'intérieur de la guilde des glaneuses animalivores, il existe une forte corrélation entre l'abondance d'une espèce en forêt non perturbée et son abondance dans l'île 2 et dans les îlots. Une corrélation positive entre la taille corporelle et l'abondance a également été trouvée tous milieux confondus. La portée des résultats obtenus ici est limitée du fait de la rareté et de la faible piégeabilité d'un nombre élevé d'espèces qui composent le peuplement des chauves-souris animalivores en forêt néotropicale. D'autres techniques de collecte et d'analyse des données, qui tiennent compte de ces particularités, devront être mises en œuvre pour pleinement évaluer l'impact de la fragmentation de l'habitat sur les communautés de chauves-souris animalivores à Saint-Eugène.
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Pons, Jean-Marc, and Jean-François Cosson. "Use of forest fragments by animalivorous bats in French Guiana." Revue d'Écologie. Supplément 57, no. 8 (2002): 117–30. https://doi.org/10.5281/zenodo.13424938.

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Abstract:
(Uploaded by Plazi for the Bat Literature Project) The effects of habitat fragmentation on animalivorous bats were studied on recent forest islands created in 1994, at the time of the filling of Petit Saut dam in French Guiana A sampling strategy, including control sites located in a nearby forested area not fragmented during the whole study period (1993-1997) was designed. Modifications affecting animalivorous bat communities in a remote 28 ha island (island 2) and in 15 islets smaller than 6 ha more or less isolated from the nearby continuous forest were analysed. Results were compared to those obtained with the same methods for frugivorous and nectarivorous bats. One hundred and forty eight gleaning animalivores, 41 aerial insectivores and 28 bats belonging to other guilds (omnivore, sanguivore) were trapped during the whole study. Capture analyses showed that species richness and abundance sharply declined in islets and in the island 2 in 1995 and 1996. However no significant difference was found between islands and continuous forest in 1997. There was no difference either in species richness or in abundance between the island 2 and several islets of comparable isolation. On the contrary, indices were significantly lower in far islets situated at more than 1 50 m from the continuous forest than in near ones. One possible explanation is the reluctance of understorey species to cross open water to reach far islands. Between 1994 and 1997, we failed to detect any difference in the relative proportion of aerial insectivores and gleaning animalivores between islands and the continuous forest. Among non-frugivorous species, gleaning animalivores represented 73 % of the total number of captures made in the two habitats. Similarly no habitat differences were found in the respective contributions of frugivores and animalivores to bat communities. Frugivores made up roughly 80 % of the total number of bats captured during the study. Within the gleaning animalivores guild, there was a positive relationship between abundance of a species in islands and its abundance in the control area. Moreover, a positive correlation was equally found between body size and abundance in all habitats. The contribution of our results to the understanding of the impact of habitat fragmentation on animalivorous bats is limited due to rarity and low detectability of a high number of species making up animalivorous bat communities in Neotropical forests. Therefore, additional methods to collect and analyse data that take into account these features should be implemented to evaluate more accurately the impact of habitat fragmentation on bat communities at Saint-Eugène. , Les effets de la fragmentation de l'habitat sur la communauté des chauves-souris animalivores ont été étudiés dans les îlots forestiers formés en 1994 lors de la mise en eau du barrage de Petit Saut (Guyane française). Un protocole d'échantillonnage standardisé, incluant une zone de référence restée intacte tout au long de l'étude entre 1993 et 1997, a permis de suivre les modifications affectant la communauté des chauves-souris animalivores dans une île de 28 ha (île 2) bien isolée et dans 15 îlots d'une superficie inférieure à 6 ha plus ou moins isolés selon les cas. Les résultats obtenus ont été comparés avec ceux obtenus dans les mêmes conditions lors d'une précédente étude pour les chauves-souris frugivores et nectarivores. 148 chauves-souris animalivores glaneuses, 41 insectivores aériennes, 28 omnivores ou hématophages ont été capturées au cours de l'étude. L'analyse de ces captures montre que la richesse spécifique et l'abondance des individus ont chuté fortement en 1995 et 1996 dans l'île 2 et dans les îlots mais pas en 1997. Aucune différence de richesse ou d'abondance entre l'île 2 et les îlots de degré d'isolement comparable n'a été détectée. En revanche, les indices de richesse et d'abondance obtenus pour les îlots éloignés de plus de 150 m du bloc forestier sont significativement plus faibles que ceux obtenus pour les îlots situés à proximité immédiate de la forêt intacte. Il est suggéré que le survol d'une étendue d'eau fibre pourrait constituer une barrière au déplacement notamment pour les espèces animalivores glaneuses de sous-bois. Entre 1994 et 1997, la proportion relative de chauves-souris aériennes insectivores et glaneuses animalivores dans les îlots forestiers et dans le bloc forestier n'était pas différente, les glaneuses animalivores représentant 73 % des captures dans les deux milieux. De même, il n'y a pas de différence dans la contribution respective des guildes animalivores et frugivores aux peuplements insulaire et du bloc forestier. Les chauves-souris frugivores représentent autour de 80 % des captures dans les deux habitats. A l'intérieur de la guilde des glaneuses animalivores, il existe une forte corrélation entre l'abondance d'une espèce en forêt non perturbée et son abondance dans l'île 2 et dans les îlots. Une corrélation positive entre la taille corporelle et l'abondance a également été trouvée tous milieux confondus. La portée des résultats obtenus ici est limitée du fait de la rareté et de la faible piégeabilité d'un nombre élevé d'espèces qui composent le peuplement des chauves-souris animalivores en forêt néotropicale. D'autres techniques de collecte et d'analyse des données, qui tiennent compte de ces particularités, devront être mises en œuvre pour pleinement évaluer l'impact de la fragmentation de l'habitat sur les communautés de chauves-souris animalivores à Saint-Eugène.
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Pons, Jean-Marc, and Jean-François Cosson. "Use of forest fragments by animalivorous bats in French Guiana." Revue d'Écologie. Supplément 57, no. 8 (2002): 117–30. https://doi.org/10.5281/zenodo.13424938.

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Abstract:
(Uploaded by Plazi for the Bat Literature Project) The effects of habitat fragmentation on animalivorous bats were studied on recent forest islands created in 1994, at the time of the filling of Petit Saut dam in French Guiana A sampling strategy, including control sites located in a nearby forested area not fragmented during the whole study period (1993-1997) was designed. Modifications affecting animalivorous bat communities in a remote 28 ha island (island 2) and in 15 islets smaller than 6 ha more or less isolated from the nearby continuous forest were analysed. Results were compared to those obtained with the same methods for frugivorous and nectarivorous bats. One hundred and forty eight gleaning animalivores, 41 aerial insectivores and 28 bats belonging to other guilds (omnivore, sanguivore) were trapped during the whole study. Capture analyses showed that species richness and abundance sharply declined in islets and in the island 2 in 1995 and 1996. However no significant difference was found between islands and continuous forest in 1997. There was no difference either in species richness or in abundance between the island 2 and several islets of comparable isolation. On the contrary, indices were significantly lower in far islets situated at more than 1 50 m from the continuous forest than in near ones. One possible explanation is the reluctance of understorey species to cross open water to reach far islands. Between 1994 and 1997, we failed to detect any difference in the relative proportion of aerial insectivores and gleaning animalivores between islands and the continuous forest. Among non-frugivorous species, gleaning animalivores represented 73 % of the total number of captures made in the two habitats. Similarly no habitat differences were found in the respective contributions of frugivores and animalivores to bat communities. Frugivores made up roughly 80 % of the total number of bats captured during the study. Within the gleaning animalivores guild, there was a positive relationship between abundance of a species in islands and its abundance in the control area. Moreover, a positive correlation was equally found between body size and abundance in all habitats. The contribution of our results to the understanding of the impact of habitat fragmentation on animalivorous bats is limited due to rarity and low detectability of a high number of species making up animalivorous bat communities in Neotropical forests. Therefore, additional methods to collect and analyse data that take into account these features should be implemented to evaluate more accurately the impact of habitat fragmentation on bat communities at Saint-Eugène. , Les effets de la fragmentation de l'habitat sur la communauté des chauves-souris animalivores ont été étudiés dans les îlots forestiers formés en 1994 lors de la mise en eau du barrage de Petit Saut (Guyane française). Un protocole d'échantillonnage standardisé, incluant une zone de référence restée intacte tout au long de l'étude entre 1993 et 1997, a permis de suivre les modifications affectant la communauté des chauves-souris animalivores dans une île de 28 ha (île 2) bien isolée et dans 15 îlots d'une superficie inférieure à 6 ha plus ou moins isolés selon les cas. Les résultats obtenus ont été comparés avec ceux obtenus dans les mêmes conditions lors d'une précédente étude pour les chauves-souris frugivores et nectarivores. 148 chauves-souris animalivores glaneuses, 41 insectivores aériennes, 28 omnivores ou hématophages ont été capturées au cours de l'étude. L'analyse de ces captures montre que la richesse spécifique et l'abondance des individus ont chuté fortement en 1995 et 1996 dans l'île 2 et dans les îlots mais pas en 1997. Aucune différence de richesse ou d'abondance entre l'île 2 et les îlots de degré d'isolement comparable n'a été détectée. En revanche, les indices de richesse et d'abondance obtenus pour les îlots éloignés de plus de 150 m du bloc forestier sont significativement plus faibles que ceux obtenus pour les îlots situés à proximité immédiate de la forêt intacte. Il est suggéré que le survol d'une étendue d'eau fibre pourrait constituer une barrière au déplacement notamment pour les espèces animalivores glaneuses de sous-bois. Entre 1994 et 1997, la proportion relative de chauves-souris aériennes insectivores et glaneuses animalivores dans les îlots forestiers et dans le bloc forestier n'était pas différente, les glaneuses animalivores représentant 73 % des captures dans les deux milieux. De même, il n'y a pas de différence dans la contribution respective des guildes animalivores et frugivores aux peuplements insulaire et du bloc forestier. Les chauves-souris frugivores représentent autour de 80 % des captures dans les deux habitats. A l'intérieur de la guilde des glaneuses animalivores, il existe une forte corrélation entre l'abondance d'une espèce en forêt non perturbée et son abondance dans l'île 2 et dans les îlots. Une corrélation positive entre la taille corporelle et l'abondance a également été trouvée tous milieux confondus. La portée des résultats obtenus ici est limitée du fait de la rareté et de la faible piégeabilité d'un nombre élevé d'espèces qui composent le peuplement des chauves-souris animalivores en forêt néotropicale. D'autres techniques de collecte et d'analyse des données, qui tiennent compte de ces particularités, devront être mises en œuvre pour pleinement évaluer l'impact de la fragmentation de l'habitat sur les communautés de chauves-souris animalivores à Saint-Eugène.
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Pons, Jean-Marc, and Jean-François Cosson. "Use of forest fragments by animalivorous bats in French Guiana." Revue d'Écologie. Supplément 57, no. 8 (2002): 117–30. https://doi.org/10.5281/zenodo.13424938.

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(Uploaded by Plazi for the Bat Literature Project) The effects of habitat fragmentation on animalivorous bats were studied on recent forest islands created in 1994, at the time of the filling of Petit Saut dam in French Guiana A sampling strategy, including control sites located in a nearby forested area not fragmented during the whole study period (1993-1997) was designed. Modifications affecting animalivorous bat communities in a remote 28 ha island (island 2) and in 15 islets smaller than 6 ha more or less isolated from the nearby continuous forest were analysed. Results were compared to those obtained with the same methods for frugivorous and nectarivorous bats. One hundred and forty eight gleaning animalivores, 41 aerial insectivores and 28 bats belonging to other guilds (omnivore, sanguivore) were trapped during the whole study. Capture analyses showed that species richness and abundance sharply declined in islets and in the island 2 in 1995 and 1996. However no significant difference was found between islands and continuous forest in 1997. There was no difference either in species richness or in abundance between the island 2 and several islets of comparable isolation. On the contrary, indices were significantly lower in far islets situated at more than 1 50 m from the continuous forest than in near ones. One possible explanation is the reluctance of understorey species to cross open water to reach far islands. Between 1994 and 1997, we failed to detect any difference in the relative proportion of aerial insectivores and gleaning animalivores between islands and the continuous forest. Among non-frugivorous species, gleaning animalivores represented 73 % of the total number of captures made in the two habitats. Similarly no habitat differences were found in the respective contributions of frugivores and animalivores to bat communities. Frugivores made up roughly 80 % of the total number of bats captured during the study. Within the gleaning animalivores guild, there was a positive relationship between abundance of a species in islands and its abundance in the control area. Moreover, a positive correlation was equally found between body size and abundance in all habitats. The contribution of our results to the understanding of the impact of habitat fragmentation on animalivorous bats is limited due to rarity and low detectability of a high number of species making up animalivorous bat communities in Neotropical forests. Therefore, additional methods to collect and analyse data that take into account these features should be implemented to evaluate more accurately the impact of habitat fragmentation on bat communities at Saint-Eugène. , Les effets de la fragmentation de l'habitat sur la communauté des chauves-souris animalivores ont été étudiés dans les îlots forestiers formés en 1994 lors de la mise en eau du barrage de Petit Saut (Guyane française). Un protocole d'échantillonnage standardisé, incluant une zone de référence restée intacte tout au long de l'étude entre 1993 et 1997, a permis de suivre les modifications affectant la communauté des chauves-souris animalivores dans une île de 28 ha (île 2) bien isolée et dans 15 îlots d'une superficie inférieure à 6 ha plus ou moins isolés selon les cas. Les résultats obtenus ont été comparés avec ceux obtenus dans les mêmes conditions lors d'une précédente étude pour les chauves-souris frugivores et nectarivores. 148 chauves-souris animalivores glaneuses, 41 insectivores aériennes, 28 omnivores ou hématophages ont été capturées au cours de l'étude. L'analyse de ces captures montre que la richesse spécifique et l'abondance des individus ont chuté fortement en 1995 et 1996 dans l'île 2 et dans les îlots mais pas en 1997. Aucune différence de richesse ou d'abondance entre l'île 2 et les îlots de degré d'isolement comparable n'a été détectée. En revanche, les indices de richesse et d'abondance obtenus pour les îlots éloignés de plus de 150 m du bloc forestier sont significativement plus faibles que ceux obtenus pour les îlots situés à proximité immédiate de la forêt intacte. Il est suggéré que le survol d'une étendue d'eau fibre pourrait constituer une barrière au déplacement notamment pour les espèces animalivores glaneuses de sous-bois. Entre 1994 et 1997, la proportion relative de chauves-souris aériennes insectivores et glaneuses animalivores dans les îlots forestiers et dans le bloc forestier n'était pas différente, les glaneuses animalivores représentant 73 % des captures dans les deux milieux. De même, il n'y a pas de différence dans la contribution respective des guildes animalivores et frugivores aux peuplements insulaire et du bloc forestier. Les chauves-souris frugivores représentent autour de 80 % des captures dans les deux habitats. A l'intérieur de la guilde des glaneuses animalivores, il existe une forte corrélation entre l'abondance d'une espèce en forêt non perturbée et son abondance dans l'île 2 et dans les îlots. Une corrélation positive entre la taille corporelle et l'abondance a également été trouvée tous milieux confondus. La portée des résultats obtenus ici est limitée du fait de la rareté et de la faible piégeabilité d'un nombre élevé d'espèces qui composent le peuplement des chauves-souris animalivores en forêt néotropicale. D'autres techniques de collecte et d'analyse des données, qui tiennent compte de ces particularités, devront être mises en œuvre pour pleinement évaluer l'impact de la fragmentation de l'habitat sur les communautés de chauves-souris animalivores à Saint-Eugène.
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Pons, Jean-Marc, and Jean-François Cosson. "Use of forest fragments by animalivorous bats in French Guiana." Revue d'Écologie. Supplément 57, no. 8 (2002): 117–30. https://doi.org/10.5281/zenodo.13424938.

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(Uploaded by Plazi for the Bat Literature Project) The effects of habitat fragmentation on animalivorous bats were studied on recent forest islands created in 1994, at the time of the filling of Petit Saut dam in French Guiana A sampling strategy, including control sites located in a nearby forested area not fragmented during the whole study period (1993-1997) was designed. Modifications affecting animalivorous bat communities in a remote 28 ha island (island 2) and in 15 islets smaller than 6 ha more or less isolated from the nearby continuous forest were analysed. Results were compared to those obtained with the same methods for frugivorous and nectarivorous bats. One hundred and forty eight gleaning animalivores, 41 aerial insectivores and 28 bats belonging to other guilds (omnivore, sanguivore) were trapped during the whole study. Capture analyses showed that species richness and abundance sharply declined in islets and in the island 2 in 1995 and 1996. However no significant difference was found between islands and continuous forest in 1997. There was no difference either in species richness or in abundance between the island 2 and several islets of comparable isolation. On the contrary, indices were significantly lower in far islets situated at more than 1 50 m from the continuous forest than in near ones. One possible explanation is the reluctance of understorey species to cross open water to reach far islands. Between 1994 and 1997, we failed to detect any difference in the relative proportion of aerial insectivores and gleaning animalivores between islands and the continuous forest. Among non-frugivorous species, gleaning animalivores represented 73 % of the total number of captures made in the two habitats. Similarly no habitat differences were found in the respective contributions of frugivores and animalivores to bat communities. Frugivores made up roughly 80 % of the total number of bats captured during the study. Within the gleaning animalivores guild, there was a positive relationship between abundance of a species in islands and its abundance in the control area. Moreover, a positive correlation was equally found between body size and abundance in all habitats. The contribution of our results to the understanding of the impact of habitat fragmentation on animalivorous bats is limited due to rarity and low detectability of a high number of species making up animalivorous bat communities in Neotropical forests. Therefore, additional methods to collect and analyse data that take into account these features should be implemented to evaluate more accurately the impact of habitat fragmentation on bat communities at Saint-Eugène. , Les effets de la fragmentation de l'habitat sur la communauté des chauves-souris animalivores ont été étudiés dans les îlots forestiers formés en 1994 lors de la mise en eau du barrage de Petit Saut (Guyane française). Un protocole d'échantillonnage standardisé, incluant une zone de référence restée intacte tout au long de l'étude entre 1993 et 1997, a permis de suivre les modifications affectant la communauté des chauves-souris animalivores dans une île de 28 ha (île 2) bien isolée et dans 15 îlots d'une superficie inférieure à 6 ha plus ou moins isolés selon les cas. Les résultats obtenus ont été comparés avec ceux obtenus dans les mêmes conditions lors d'une précédente étude pour les chauves-souris frugivores et nectarivores. 148 chauves-souris animalivores glaneuses, 41 insectivores aériennes, 28 omnivores ou hématophages ont été capturées au cours de l'étude. L'analyse de ces captures montre que la richesse spécifique et l'abondance des individus ont chuté fortement en 1995 et 1996 dans l'île 2 et dans les îlots mais pas en 1997. Aucune différence de richesse ou d'abondance entre l'île 2 et les îlots de degré d'isolement comparable n'a été détectée. En revanche, les indices de richesse et d'abondance obtenus pour les îlots éloignés de plus de 150 m du bloc forestier sont significativement plus faibles que ceux obtenus pour les îlots situés à proximité immédiate de la forêt intacte. Il est suggéré que le survol d'une étendue d'eau fibre pourrait constituer une barrière au déplacement notamment pour les espèces animalivores glaneuses de sous-bois. Entre 1994 et 1997, la proportion relative de chauves-souris aériennes insectivores et glaneuses animalivores dans les îlots forestiers et dans le bloc forestier n'était pas différente, les glaneuses animalivores représentant 73 % des captures dans les deux milieux. De même, il n'y a pas de différence dans la contribution respective des guildes animalivores et frugivores aux peuplements insulaire et du bloc forestier. Les chauves-souris frugivores représentent autour de 80 % des captures dans les deux habitats. A l'intérieur de la guilde des glaneuses animalivores, il existe une forte corrélation entre l'abondance d'une espèce en forêt non perturbée et son abondance dans l'île 2 et dans les îlots. Une corrélation positive entre la taille corporelle et l'abondance a également été trouvée tous milieux confondus. La portée des résultats obtenus ici est limitée du fait de la rareté et de la faible piégeabilité d'un nombre élevé d'espèces qui composent le peuplement des chauves-souris animalivores en forêt néotropicale. D'autres techniques de collecte et d'analyse des données, qui tiennent compte de ces particularités, devront être mises en œuvre pour pleinement évaluer l'impact de la fragmentation de l'habitat sur les communautés de chauves-souris animalivores à Saint-Eugène.
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(Uploaded by Plazi for the Bat Literature Project) The effects of habitat fragmentation on animalivorous bats were studied on recent forest islands created in 1994, at the time of the filling of Petit Saut dam in French Guiana A sampling strategy, including control sites located in a nearby forested area not fragmented during the whole study period (1993-1997) was designed. Modifications affecting animalivorous bat communities in a remote 28 ha island (island 2) and in 15 islets smaller than 6 ha more or less isolated from the nearby continuous forest were analysed. Results were compared to those obtained with the same methods for frugivorous and nectarivorous bats. One hundred and forty eight gleaning animalivores, 41 aerial insectivores and 28 bats belonging to other guilds (omnivore, sanguivore) were trapped during the whole study. Capture analyses showed that species richness and abundance sharply declined in islets and in the island 2 in 1995 and 1996. However no significant difference was found between islands and continuous forest in 1997. There was no difference either in species richness or in abundance between the island 2 and several islets of comparable isolation. On the contrary, indices were significantly lower in far islets situated at more than 1 50 m from the continuous forest than in near ones. One possible explanation is the reluctance of understorey species to cross open water to reach far islands. Between 1994 and 1997, we failed to detect any difference in the relative proportion of aerial insectivores and gleaning animalivores between islands and the continuous forest. Among non-frugivorous species, gleaning animalivores represented 73 % of the total number of captures made in the two habitats. Similarly no habitat differences were found in the respective contributions of frugivores and animalivores to bat communities. Frugivores made up roughly 80 % of the total number of bats captured during the study. Within the gleaning animalivores guild, there was a positive relationship between abundance of a species in islands and its abundance in the control area. Moreover, a positive correlation was equally found between body size and abundance in all habitats. The contribution of our results to the understanding of the impact of habitat fragmentation on animalivorous bats is limited due to rarity and low detectability of a high number of species making up animalivorous bat communities in Neotropical forests. Therefore, additional methods to collect and analyse data that take into account these features should be implemented to evaluate more accurately the impact of habitat fragmentation on bat communities at Saint-Eugène. , Les effets de la fragmentation de l'habitat sur la communauté des chauves-souris animalivores ont été étudiés dans les îlots forestiers formés en 1994 lors de la mise en eau du barrage de Petit Saut (Guyane française). Un protocole d'échantillonnage standardisé, incluant une zone de référence restée intacte tout au long de l'étude entre 1993 et 1997, a permis de suivre les modifications affectant la communauté des chauves-souris animalivores dans une île de 28 ha (île 2) bien isolée et dans 15 îlots d'une superficie inférieure à 6 ha plus ou moins isolés selon les cas. Les résultats obtenus ont été comparés avec ceux obtenus dans les mêmes conditions lors d'une précédente étude pour les chauves-souris frugivores et nectarivores. 148 chauves-souris animalivores glaneuses, 41 insectivores aériennes, 28 omnivores ou hématophages ont été capturées au cours de l'étude. L'analyse de ces captures montre que la richesse spécifique et l'abondance des individus ont chuté fortement en 1995 et 1996 dans l'île 2 et dans les îlots mais pas en 1997. Aucune différence de richesse ou d'abondance entre l'île 2 et les îlots de degré d'isolement comparable n'a été détectée. En revanche, les indices de richesse et d'abondance obtenus pour les îlots éloignés de plus de 150 m du bloc forestier sont significativement plus faibles que ceux obtenus pour les îlots situés à proximité immédiate de la forêt intacte. Il est suggéré que le survol d'une étendue d'eau fibre pourrait constituer une barrière au déplacement notamment pour les espèces animalivores glaneuses de sous-bois. Entre 1994 et 1997, la proportion relative de chauves-souris aériennes insectivores et glaneuses animalivores dans les îlots forestiers et dans le bloc forestier n'était pas différente, les glaneuses animalivores représentant 73 % des captures dans les deux milieux. De même, il n'y a pas de différence dans la contribution respective des guildes animalivores et frugivores aux peuplements insulaire et du bloc forestier. Les chauves-souris frugivores représentent autour de 80 % des captures dans les deux habitats. A l'intérieur de la guilde des glaneuses animalivores, il existe une forte corrélation entre l'abondance d'une espèce en forêt non perturbée et son abondance dans l'île 2 et dans les îlots. Une corrélation positive entre la taille corporelle et l'abondance a également été trouvée tous milieux confondus. La portée des résultats obtenus ici est limitée du fait de la rareté et de la faible piégeabilité d'un nombre élevé d'espèces qui composent le peuplement des chauves-souris animalivores en forêt néotropicale. D'autres techniques de collecte et d'analyse des données, qui tiennent compte de ces particularités, devront être mises en œuvre pour pleinement évaluer l'impact de la fragmentation de l'habitat sur les communautés de chauves-souris animalivores à Saint-Eugène.
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Tagba, Badibalaki. "Habitats forestiers mieux conservés dans la préfecture de l’Avé (Togo) : caractérisation, biodiversité et fragilité." Revue Ecosystèmes et Paysages 4, no. 2 (2024): 1–15. https://doi.org/10.59384/recopays.tg4223.

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Abstract:
L’étude des habitats forestiers mieux conservés a été réalisée dans la préfecture de l’Avé au Togo en vue de contribuer à une meilleure conservation des ressources forestières ou habitats forestiers. Plus spécifiquement, il s’agit de : caractériser les îlots forestiers les mieux conservés ; déterminer la diversité floristique, forestière et déterminer le potentiel de régénération. Les inventaires écologiques, floristiques et forestiers effectués sur la base d’un échantillonnage systématique et orienté ont permis de faire la caractérisation de la diversité floristique, de la structure démographique des formations. La florule des habitats forestiers mieux conservés de la Préfecture de l’Avé est composée de 158 espèces réparties en 137 genres et 60 familles dans 60 relevés. Les Fabaceae (16,86%) sont les familles les plus représentées. Les formes de vie les plus fréquentes sont les microphanérophytes (40.91%). Quant à la chorologie, les espèces Guinéo-congolaises caractérisent cette flore. La répartition par classe de diamètre et de hauteur suit une structure en « J renverser » et une distribution en « cloche » centrée sur la classe de hauteur [10-15[. Les espèces les plus représentées sont, dans l'ordre : Holarrhena floribunda (G. Don) Durand et Schinz, avec une fréquence relative de plus de 90 %, d’où la dominance de cette espèce dans les formations végétales de la zone. Elle est suivie de Chromolaena odorata (L.) R.M. King (81,67 %), Elaeis guineensis Jacq (80 %). D'autres espèces comme Millettia thonningii (Schumach. &amp; Thonn.) Baker (61,67 %), Zanthoxylum zanthoxyloides (Lam.) (60 %), sont également bien représentées. En revanche, Kalanchoé pinnata (Lam.) Pers., Palisota hirsuta (Thunb.) K. Schum., Passiflora foetida L, Trema orientalis (L.) Blume, Urtica dioica L., et Harrisonia abyssinica Oliv sont faiblement représentées, avec une fréquence relative de 0,05 % chacune.
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Kokou, Kouami, Guy Caballé, and Koffi Akpagana. "Analyse floristique des îlots forestiers du sud du Togo." Acta Botanica Gallica 146, no. 2 (1999): 139–44. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.1999.10515812.

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Kimpouni, Victor, Paul Mbou, Ernest Apani, and Marcel Motom. "Étude floristique des îlots forestiers naturels de la Patte d’Oie de Brazzaville, Congo." Acta Botanica Gallica 161, no. 1 (2014): 63–79. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2013.870048.

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