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Journal articles on the topic 'Infirmières – Pratique – Québec (Province)'

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Ricard, Nicole, Claire Page, and France Laflamme. "La pratique infirmière avancée : un choix qui s’impose pour la qualité des soins et services en santé mentale." Santé mentale au Québec 39, no. 1 (July 10, 2014): 137–57. http://dx.doi.org/10.7202/1025911ar.

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Abstract:
La refonte des lois professionnelles et la réorganisation des services en santé mentale ont eu une influence significative sur la pratique infirmière en santé mentale au Québec. De nombreuses infirmières ont fait preuve de leadership clinique et ont su adapter leurs services aux besoins de la population selon les nouveaux milieux de soins de proximité. Cependant, plusieurs sont d’avis que le rôle des infirmières n’est pas suffisamment connu et mis à profit pour contribuer de façon optimale à l’offre de services en santé mentale. Ainsi, cet article porte un regard critique sur la pratique infirmière en santé mentale au Québec et les conditions essentielles à son évolution. Il vise à : 1) décrire les tendances actuelles qui caractérisent l’évolution des rôles et la modernisation de la pratique infirmière en santé mentale au Québec ; 2) offrir un aperçu de l’évolution de la pratique infirmière avancée en santé mentale (PIA-SM) et de ses retombées sur la qualité des services ; 3) clarifier le concept de PIA et situer son évolution au Québec ; et 4) proposer diverses stratégies visant à optimiser le rôle des infirmières et leur complémentarité avec les autres professionnels dans l’offre de services en santé mentale. Les progrès en cours sont illustrés par des exemples de pratiques innovantes développées par des infirmières québécoises dans le contexte de la restructuration des services de santé. Les données quant à l’évolution de la PIA-SM aux États-Unis et en Australie indiquent qu’il existe encore de nombreux défis liés à l’implantation réussie de ce nouveau rôle. Toutefois, il se dégage, de la majorité des études, un consensus de plus en plus important quant à la contribution de la PIA-SM pour améliorer la qualité et l’accessibilité des soins en santé mentale. La réforme des services de santé mentale au Québec s’avère donc être un moment propice pour développer et soutenir la PIA-SM et en retirer les bénéfices attendus.
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2

Dionne, Sophie, and Ann Rhéaume. "L’ambiguïté et le conflit de rôle chez les infirmières* dans le contexte des réformes de la santé au Nouveau-Brunswick." Revue de l'Université de Moncton 39, no. 1-2 (June 2, 2010): 199–223. http://dx.doi.org/10.7202/039847ar.

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Abstract:
Résumé La province du Nouveau-Brunswick restructure actuellement son système de santé. Un des objectifs de la réorganisation des soins est l’optimisation du rôle des intervenants, et plus précisément, l’élargissement du champ de pratique des infirmières et des infirmières auxiliaires. Le but de la présente étude qualitative est d’explorer l’expérience des infirmières en ce qui concerne les concepts d’ambiguïté et de conflit de rôle dans le contexte des réformes de la santé. Le cadre conceptuel choisi est la théorie des rôles. Les données ont été recueillies auprès de dix infirmières par entrevues semi-structurées. L’analyse du contenu des entrevues montre que les infirmières vivent de l’ambiguïté dans leur rôle, particulièrement en ce qui concerne le transfert des tâches, le modèle de prestation des soins et le manque de connaissance des rôles de chacun. Le conflit de rôle, d’autre part, découle de l’excès de responsabilités engendré par les soins de base, la gestion des soins et le travail d’équipe avec les infirmières auxiliaires.
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Saillant, Francine, Louise Hagan, and Gisèle Boucher-Dancause. "Contenu, contexte et enjeux sociaux de la pratique des soins infirmiers à domicile." Service social 43, no. 1 (April 12, 2005): 105–26. http://dx.doi.org/10.7202/706645ar.

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Abstract:
Cette étude exploratoire a été faite en vue de mieux saisir le contenu, le contexte et les enjeux sociaux de la pratique des soins infirmiers à domicile qui ont pour but de promouvoir l'autonomie des clientèles. Les résultats présentés proviennent d'une analyse thématique du contenu de quinze heures d'entrevue de groupe conduites auprès de six infirmières représentant six des dix CLSC de la région du Québec métropolitain. On observe que la pratique des soins infirmiers s'adresse à une clientèle variée qui vit des situations de soins de plus en plus lourdes. La pratique des soins visant l'autonomie des clientèles doit s'adapter continuellement aux valeurs et au potentiel d'autonomie des personnes et des familles. Divers facteurs personnels et organisationnels limitent ou facilitent la pratique des soins à domicile. Les principaux enjeux sociaux qui marquent la pratique des soins infirmiers à domicile sont soulevés, notamment les nuances à apporter aux construits d'autonomie et de partenariat.
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Bélanger, Éric. "« Égalité ou indépendance ». L’émergence de la menace de l’indépendance politique comme stratégie constitutionnelle du Québec." Globe 2, no. 1 (December 16, 2010): 117–38. http://dx.doi.org/10.7202/1000094ar.

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Abstract:
On considère généralement la Révolution tranquille comme une période de rupture politique, caractérisée par une revalorisation de l’État du Québec suscitant à son tour une dynamique agressive de revendications d’autonomie nationale pour la province. Cet article se propose de voir dans cette période une seconde rupture politique, à laquelle a contribué Daniel Johnson père. L’utilisation stratégique par Johnson de l’option d’indépendance comme menace marque en effet un tournant décisif en matière de négociations constitutionnelles au Québec. Johnson inaugurait alors une pratique du « couperet sur la gorge » qui modifiera significativement le discours politique québécois et la matière d’envisager le rapport constitutionnel entre le Québec et le Canada.
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5

Provencher St-Pierre, Laurence. "Ethnologie en contexte muséal." Ethnologies 40, no. 2 (February 26, 2019): 51–73. http://dx.doi.org/10.7202/1056383ar.

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Abstract:
Dans son ouvrageLe Québec pour terrain. Itinéraire d’un missionnaire du patrimoine religieux(2004), l’ethnologue Jean Simard relevait la richesse du patrimoine immatériel des Augustines de l’Hôtel-Dieu de Québec dans un contexte d’abandon généralisé de la pratique religieuse. Quinze ans plus tard, les Augustines de la province proposent aux ethnologues un terrain de recherche renouvelé. Héritières d’un patrimoine culturel immense, elles ont choisi d’assurer la transmission de celui-ci par la création d’un complexe patrimonial novateur incluant un hôtel, un centre d’archives et un musée. En retraçant le développement de la collection du Monastère et les différents types d’objets patrimoniaux qu’on y conserve, cet article propose de s’éloigner de l’image de l’ethnologue « missionnaire du patrimoine » et d’adopter une approche ethnologique du musée en s’intéressant aux pratiques muséales contemporaines et à ses divers acteurs.
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Sarrasin, Rachel, Anna Kruzynski, Sandra Jeppesen, and Émilie Breton. "Radicaliser l’action collective : portrait de l’option libertaire au Québec." Thème 3 – Luttes sociales, no. 75 (May 11, 2016): 218–43. http://dx.doi.org/10.7202/1036306ar.

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Abstract:
La mobilisation contre la mondialisation des échanges économiques au tournant du xxie siècle et, au Québec en particulier, dans le cadre du Sommet des Amériques en 2001 a donné l’impulsion à un mode d’engagement politique qui prend forme à l’extérieur des voies institutionnalisées de l’action partisane et du milieu communautaire. S’inspirant de la pensée politique anarchiste, les initiatives en apparence fragmentées qui s’inscrivent dans cette option libertaire forment aujourd’hui dans la province une communauté de mouvement social antiautoritaire. L’article a pour objectif de tracer un portrait empirique de cette communauté en dégageant la culture politique et l’interface organisationnelle qui relient les différents acteurs qui la composent. Mobilisés sur une variété de thématiques de lutte, ces acteurs antiautoritaires portent l’embryon d’un projet politique alternatif fondé sur la promotion de l’autonomie collective. Ce faisant, la communauté antiautoritaire porte les germes d’une façon novatrice de se réapproprier le politique par la pratique de la préfiguration, contribuant à la radicalisation du répertoire des formes d’engagement disponibles dans le paysage social et politique québécois.
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Sarrasin, Rachel, Anna Kruzynski, Sandra Jeppesen, and Émilie Breton. "Radicaliser l’action collective : portrait de l’option libertaire au Québec." Partie 3 – Le diagnostic de radicalité/radicalisation, no. 68 (March 12, 2013): 141–66. http://dx.doi.org/10.7202/1014809ar.

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Abstract:
La mobilisation contre la mondialisation des échanges économiques au tournant du xxie siècle et, au Québec en particulier, dans le cadre du Sommet des Amériques en 2001 a donné l’impulsion à un mode d’engagement politique qui prend forme à l’extérieur des voies institutionnalisées de l’action partisane et du milieu communautaire. S’inspirant de la pensée politique anarchiste, les initiatives en apparence fragmentées qui s’inscrivent dans cette option libertaire forment aujourd’hui dans la province une communauté de mouvement social antiautoritaire. L’article a pour objectif de tracer un portrait empirique de cette communauté en dégageant la culture politique et l’interface organisationnelle qui relient les différents acteurs qui la composent. Mobilisés sur une variété de thématiques de lutte, ces acteurs antiautoritaires portent l’embryon d’un projet politique alternatif fondé sur la promotion de l’autonomie collective. Ce faisant, la communauté antiautoritaire porte les germes d’une façon novatrice de se réapproprier le politique par la pratique de la préfiguration, contribuant à la radicalisation du répertoire des formes d’engagement disponibles dans le paysage social et politique québécois.
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Miranda, Laure. "Une incursion dans la bibliothèque de Jean et de Charles-Joseph Simard." Documentation et bibliothèques 56, no. 3 (March 11, 2015): 105–12. http://dx.doi.org/10.7202/1029121ar.

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Abstract:
L’article présente la bibliothèque familiale de Jean Simard (1916-2005), auteur, traducteur, illustrateur et professeur de dessin aux beaux-arts de Montréal, et de son père Charles-Joseph Simard (1817-1931), sous-secrétaire au Secrétariat de la Province de Québec, curateur du Musée provincial et premier directeur de l’École des beaux-arts de Québec. Il met en relief la possibilité d’envisager cette bibliothèque sous trois aspects : espace, mobilier et collection. Cette première étude soulève la perspective de l’existence de cinq espaces, aux fonctions bien définies. En s’appuyant sur l’examen de l’objet-livre, elle met en lumière des pratiques communes au père et au fils : signature, annotations, insertion de documents et, dans une moindre mesure, reliure. Enfin, elle soulève la question de la pratique de la reliure comme moyen de distinction à la fin du XIXe siècle et comme indice d’une conception de la culture livresque.
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Morisset, Lucie K. "Un ailleurs pour l’Amérique." Globe 10, no. 1 (December 16, 2010): 73–105. http://dx.doi.org/10.7202/1000080ar.

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Abstract:
Cet article explore les fondements, posés dans les années 1920, de la conception québécoise du monument historique et, plus largement, du patrimoine. On y découvre comment et pourquoi le patrimoine, théoriquement constitué des trésors - les monuments historiques en question - voués par une société à ses légataires, a été en pratique déterminé par un Étranger survenu dans le paysage de la province au tournant du XXe siècle : le touriste, plus précisément le touriste étatsunien, dit « l’Américain ». Celui-ci, dès lors substitué au Canadien anglais dans le rôle de « l’Autre », imposa, par l’entremise de l’institution québécoise des monuments historiques (née en 1922) et à grand renfort de bienfaits économiques aussi évidents que nécessaires, son propre itinéraire à la territorialisation patrimoniale du Québec, c'est-à-dire à l’identification de ses monuments, à leur localisation et à la démarcation des frontières du « terroir » protégé et mis en valeur. En quelques années, en effet, l’étranger-touriste laissa une empreinte indélébile dans un tableau de la patrimonialisation que sa piste, pour peu qu’on la suive, révèle au Québec sous un nouveau jour.
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Lacroix, Laurier. "La collection comme temps de la Nation." Les Cahiers des dix, no. 62 (September 24, 2009): 123–51. http://dx.doi.org/10.7202/038123ar.

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Abstract:
En 1920, le secrétaire de la province de Québec, Athanase David, met sur pied un jury afin d’acquérir des œuvres d’art en vue de constituer une collection pour un futur musée de la province. Les œuvres sont choisies parmi celles présentées à l’exposition annuelle du printemps de l’Art Association of Montreal et à l’exposition d’automne de l’Académie royale des arts du Canada. Le comité de sélection est formé de représentants de la communauté intellectuelle et artistique de Montréal. Édouard Montpetit, J.-Omer Marchand, Edmond Dyonnet, William Hope et Robert Lindsay constituent un premier groupe auquel se joint le peintre Joseph-Charles Franchère en novembre 1920. Les œuvres de neuf artistes sont sélectionnées qui offrent un éventail de la communauté artistique montréalaise tant francophone qu’anglophone. Ses figures dominantes et ses jeunes membres s’y retrouvent. Les œuvres de William Brymner, Maurice Cullen, Suzor-Coté, J. M. Barnsley côtoient celles d’Albert H. Robinson, Herbert Raine, Alice des Clayes, John Y. Johnstone et Clarence Gagnon. Dix œuvres sont retenues (8 tableaux et 2 estampes) qui offrent un survol de la production contemporaine. La facture des œuvres met de l’avant une esthétique postimpressionniste qui combine une palette claire à des effets proprement picturaux. Les sujets s’inspirent du paysage québécois de plusieurs régions (Côtede-Beaupré, Portneuf, Arthabaska, Laurentides) et de vues de Québec et de Montréal. Il en résulte le portrait d’une pratique variée et moderne. Qui plus est, ces œuvres font référence à une temporalité longue (traces du passé en milieu rural), mais actualisée par la technique et l’intérêt pour des effets atmosphériques qui introduisent le temps présent dans son rythme saisonnier et quotidien. Ainsi, cette première sélection d’œuvres pour la collection nationale offrait un raccourci de la production picturale contemporaine qui tenait compte à la fois des origines du Québec mais aussi de la complexité de sa représentation actuelle.
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Arbour, J. Maurice. "Secession and International Law - Some Economic Problems in Relation to State Succession." Les Cahiers de droit 19, no. 2 (April 12, 2005): 285–338. http://dx.doi.org/10.7202/042242ar.

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Abstract:
Le 15 novembre 1976, le Parti Québécois prenait le pouvoir au Québec. Puisque l'objectif majeur du gouvernement Lévesque est de conduire la province de Québec vers les chemins de l'indépendance, il convient d'ores et déjà de s'interroger sérieusement sur l'agenda d'éventuelles négociations entre, d'une part, un gouvernement mandaté pour faire la sécession et, d'autre part, une équipe de négociateurs représentant le reste du Canada. Sans doute, l'un des points cruciaux d'un tel agenda serait la question du partage de l'actif et du passif de la Couronne aux droits du Canada. L'étude qui suit n'a pas d'autre objectif que d'analyser les données pertinentes du droit international sous ce rapport. Dans un premier chapitre, l'auteur examine le sort théorique que pourrait connaître la propriété publique fédérale sise dans les limites géographiques du Québec. L'enquête démontre deux choses. Premièrement, l'actif passe automatiquement à l'État nouveau et point n'est besoin, à cet égard, de la conclusion d'un accord spécial. Deuxièmement, l'actif passe automatiquement à l'État nouveau, sans compensation aucune, à moins, bien entendu, que les parties ne se mettent d'accord sur le principe d'une compensation quelconque. Dans un second chapitre, l'auteur s'intéresse à la question de savoir si l'État nouveau serait obligé, en vertu du droit international, à assumer une part quelconque de la dette publique canadienne. L'analyse démontre que la pratique des États, dans son ensemble, ne reconnaît pas l'existence d'une telle obligation, bien qu'elle ait sanctionné le principe d'une répartition à diverses occasions. Toutefois, des considérations de justice et d'équité ont conduit la plupart des publicistes à reconnaître l'existence d'une obligation morale à la charge de l'État nouveau. En droit strict, il semblerait donc que le Québec n'aurait rien à débourser pour l'actif qu'il recevrait automatiquement et n'aurait rien à débourser, également, au chapitre de la dette publique fédérale. Toutefois, l'examen minutieux du fondement de ces curieuses solutions traditionnelles, selon lesquelles l'État sécessionniste succéderait à l'actif et non pas au passif de l'État prédécesseur, amène l'auteur à plaider pour une solution plus logique et plus juste aussi. Le problème réel, à ce niveau, consiste cependant à élaborer des critères de répartition qui seraient justes et équitables pour les deux parties en présence; à cet égard, la pratique internationale n'offre pas de solution magique et tout laisse croire que la méthode la plus sûre est encore celle qui tiendrait compte d'indicateurs économiques.
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Thibaudeau, Marie-France. "Histoire de le profession infirmière au Québec Edouard Desjardins, Suzanne Giroux et Eileen E. FlanaganHistoire de le profession infirmière au Québec Edouard Desjardins, Suzanne Giroux et Eileen E. Flanagan Montréal, L’Association des infirmières et infirmiers de la province de Québec, 1970,270 p." Canadian Bulletin of Medical History 11, no. 1 (April 1994): 258–59. http://dx.doi.org/10.3138/cbmh.11.1.258.

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La Charité, Claude. "Bibliothèque familiale et pratiques bibliophiliques chez les Salaberry." Études littéraires 46, no. 2 (October 24, 2016): 109–22. http://dx.doi.org/10.7202/1037705ar.

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Abstract:
En matière de bibliothèques, le Québec apparaît comme une société résolument du Nouveau Monde, où le patrimoine imprimé est demeuré, jusqu’à récemment, une notion abstraite plutôt qu’une pratique bien ancrée, et cela indépendamment de la richesse et de l’intérêt des collections de livres, rarement perçues comme un héritage à transmettre aux générations suivantes. Il faudrait cependant se garder de généraliser hâtivement, car quelques rares exceptions viennent heureusement nuancer cette règle. C’est le cas de la bibliothèque familiale des Irumberry de Salaberry aujourd’hui dispersée, mais dont deux exemplaires ont été récemment retrouvés. Le premier de ces ouvrages est le tome I des Mémoires militaires sur les Grecs et les Romains (1760) de Charles Guischardt. L’exemplaire, conservé à l’Université de Sherbrooke, porte l’ex-dono manuscrit d’Ignace-Michel-Louis-Antoine d’Irumberry de Salaberry (1752-1828) à son fils Charles, héros de la bataille de la Châteauguay. L’autre ouvrage, conservé dans une collection particulière, est L’Hermite en province (1819) d’Étienne de Jouy. Cet exemplaire comporte l’ex-libris du père, ainsi que certaines annotations de sa main relatives, notamment, à la signification du patronyme Salaberry en langue basque. Cet article se propose d’étudier ces deux exemplaires pour en montrer la signification et la portée en vue d’une histoire, qui reste à écrire, des usages du livre et de la bibliophilie dans le Québec du XIXe siècle.
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Otis, Ghislain. "La protection constitutionnelle de la pluralité juridique : le cas de « l’adoption coutumière » autochtone au Québec." Dossier : La reconnaissance de l’adoption coutumière autochtone 41, no. 2 (September 22, 2014): 567–609. http://dx.doi.org/10.7202/1026934ar.

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Abstract:
Cet article examine dans quelle mesure le cadre constitutionnel canadien détermine les conditions et les modalités de la réception de la coutume autochtone dans le droit québécois. Dans la première partie, l’auteur analyse les enjeux de la reconnaissance de la coutume par le droit étatique à la lumière de la théorie du pluralisme juridique. Il s’attache aussi à démontrer que la pratique de l’adoption coutumière constitue pour plusieurs peuples autochtones du Québec un droit ancestral protégé par l’article 35 de la Loi constitutionnelle de 1982. Il explique ensuite comment l’obligation constitutionnelle de reconnaître l’adoption coutumière contraint la législature à faire une place au droit autochtone de l’adoption sans le dénaturer ni le subordonner à la culture juridique dominante. Dans la seconde partie, l’auteur montre de quelle manière la protection constitutionnelle de l’adoption coutumière peut être renforcée par les règles du partage des compétences entre le pouvoir fédéral et les provinces. La réglementation de l’exercice des droits ancestraux relevant du coeur de la compétence fédérale sur les « Indiens » aux termes de la Loi constitutionnelle de 1867, le Parlement du Québec ne peut régir directement les régimes autochtones d’adoption, ce qui ne le prive toutefois pas de tout pouvoir de protection des enfants adoptés selon la coutume. Les règles du fédéralisme donnent cependant à la province les pouvoirs nécessaires à la réception et à l’application des effets de la coutume dans le cadre des lois du Québec. En définitive, la constitution conforte la pluralité juridique en matière d’adoption et induit une obligation de dialogue des cultures juridiques autochtones et civiliste voire même, dans une certaine mesure, leur acculturation réciproque.
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Decroix, Arnaud. "La controverse sur la nature du droit applicable après la conquête." McGill Law Journal 56, no. 3 (July 7, 2011): 489–542. http://dx.doi.org/10.7202/1005131ar.

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Abstract:
Le 8 septembre 1760, la capitulation de Montréal marque la fin de la souveraineté française au Canada. Durant la période militaire, le droit d’origine française a toutefois continué de s’appliquer. La Proclamation royale du 7 octobre 1763 se contente de déclarer que les habitants de la nouvelle province de Québec pourront désormais bénéficier des « bienfaits des lois » du royaume d’Angleterre tout en précisant que les tribunaux jugeront « suivant la loi et l’équité, conformément autant que possible aux lois anglaises ». Bien que l’ordonnance du 17 septembre 1764 établisse la Cour du Banc du Roi et la Cour des plaidoyers communs, le droit applicable par ces juridictions reste confus. De nombreux auteurs ont longtemps considéré que l’ordonnance de 1764 avait introduit « en bloc, et sans même en faire la promulgation, tout le droit civil et criminel de l’Angleterre ». Dans le même temps, d’autres ont soutenu l’opinion inverse, selon laquelle les principales règles du droit civil français auraient été maintenues en pratique. Cet article cherche précisément à répondre à ces interrogations. Si le droit français continue de s’appliquer, même aux sujets d’origine britannique, cette application est définitivement généralisée après l’entrée en vigueur de l’Acte de Québec, le 1er mai 1775, et bien que certaines dispositions du droit anglais soient parfois réclamées. En définitive, il ressort clairement que la nature du droit invoqué par les parties dépend étroitement de la cause à défendre et des moyens les plus utiles à celle-ci.
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Utzschneider, Anouk, and Michel Landy. "Impacts of studying in a regional medical campus on practice location." Canadian Medical Education Journal 9, no. 1 (March 28, 2018): e44-50. http://dx.doi.org/10.36834/cmej.42015.

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Abstract:
Background: New Brunswick, a bilingual Canadian province without a medical school, negotiated an agreement in 1967 in which places were reserved for francophone medical students in the province of Quebec. In 2006, the Centre de Formation Médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB), a regional medical campus (RMC) of Université de Sherbrooke for its provincial francophone medical students, was established to increase the likelihood of graduates setting up practice in the region. Practice locations of the initial 5 cohorts of CFMNB were analysed to compare data with francophone students trained in Quebec.Methods: Practice locations were determined through Scott’s Medical Database and provincial public registries. Chi-square and relative risk probability were used to examine the relationship between training location and practice location.Results: Doctors trained at CFMNB were 1.4 times more likely to be practicing in Atlantic Canada compared to those trained at Université de Sherbrooke (main campus) before 2006. Those trained at CFMNB were 1.3 times more likely to go on to practice in the region compared to those trained at Université Laval or Université de Montréal. Conclusion: This study supports the hypothesis that individuals completing a medical program in a Francophone RMC in New Brunswick increases the likelihood of them later practicing in the province or in the wider Atlantic Canada region._______Contexte: Le Nouveau-Brunswick, une province canadienne bilingue ne possédant pas de Faculté de médecine, a négocié en 1967 une entente avec le Québec afin de réserver des places pour ses étudiants francophones souhaitant étudier la médecine. En 2006, le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB), un campus médical régional (CMR) de l’Université de Sherbrooke, a été créé afin de permettre aux Néo-Brunswickois d’étudier la médecine en français dans leur province. L’un des objectifs principaux du CFMNB était d’augmenter les probabilités que les diplômés en médecine s’établissent dans la région. Les lieux de pratique des médecins issus des 5 premières cohortes du CFMNB ont été analysés afin de les comparer avec ceux des médecins francophones d’origine néo-brunswickoise formés au Québec.Méthodes: Les lieux de pratique ont été déterminés via le répertoire des médecins Scott’s et les registres publics provinciaux. Des tests de Chi carré et des analyses de risque ont été conduits afin d’étudier la relation entre le lieu de formation et le lieu de pratique.Résultats: Les médecins formés au CFMNB étaient 1.4 fois plus enclins à travailler au Canada atlantique comparativement à ceux formés au campus principal de l’Université de Sherbrooke avant 2006. Les médecins formés au CFMNB étaient également 1.3 fois plus enclins à travailler dans la région que ceux formés à l’Université Laval ou à l’Université de Montréal.Conclusion: Cette étude supporte l’hypothèse selon laquelle le fait de compléter un programme de médecine francophone dans un CMR francophone au Nouveau-Brunswick augmente les chances de pratiquer au Nouveau-Brunswick ou dans la grande région du Canada atlantique.
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Paré, Mona. "L’accès des enfants à la justice et leur droit de participation devant les tribunaux : quelques réflexions." Revue générale de droit 44, no. 1 (September 3, 2014): 81–124. http://dx.doi.org/10.7202/1026399ar.

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Abstract:
Cet article traite de la participation des enfants devant les tribunaux en tant qu’aspect fondamental de leur accès à la justice. En effet, la minorité de l’enfant est un obstacle à sa participation à la justice et elle se manifeste de différentes manières, qu’on se trouve en protection de la jeunesse ou en droit de la famille, par exemple. De plus, on note que les lois et les pratiques sont inégales à travers le Canada. Cette différenciation selon la province ou le territoire et selon le domaine du droit contraste avec l’approche du droit international, qui prône des droits élargis de participation, quel que soit le domaine. En effet, la Convention sur les droits de l’enfant prévoit que l’enfant doit pouvoir se faire entendre dans toutes les procédures qui l’intéressent. Ainsi, nous examinons les différentes manières pour l’enfant de se faire entendre dans des procédures au Québec, en nous concentrant sur les procédures judiciaires en matière de protection de la jeunesse et en matière familiale. Alors que plusieurs dispositions sont prévues dans la loi, celles-ci ne sont pas précises et laissent la place à une pratique criblée de contradictions. En l’absence de modifications législatives, nous suggérons donc l’adoption de directives pour les professionnels, lesquelles seraient inspirées des travaux faits à l’échelle internationale, ainsi que de certaines pratiques présentes dans d’autres provinces canadiennes.
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Létourneau, Gilles. "Problématique de la violence dans les loisirs et moyens d’action corrective et préventive : l’expérience québécoise et canadienne." Informations et documents 19, no. 3 (April 8, 2019): 653–69. http://dx.doi.org/10.7202/1058601ar.

Full text
Abstract:
La violence qui jadis évoquait l’horreur s’est au fil des ans développée une facette récréative et s’est infiltrée progressivement dans le domaine du sport qui compte pour une partie importante des activités de loisir. La société canadienne n’a malheureusement pas échappé à ce phénomène. Le hockey, ce sport adulé des Canadiens, offre un exemple regrettable d’infiltration de la violence récréative, violence à la fois néfaste, pernicieuse et prompte à l’escalade. À cause de l’ampleur du phénomène et des coûts sociaux qui en découlent, une prise de conscience individuelle et collective apparaît comme un véritable prérequis à l’adoption de mesures correctives efficaces. Les moyens traditionnels de contrôle et de prévention tels le droit sportif, le droit civil et le droit pénal n’ont pas produit les résultats escomptés et, de toute façon, ne sont destinés à servir que des fins précises et limitées. La province de Québec a innové en créant une Régie de la sécurité dans les sports. Cet organisme public indépendant s’est vu conféré des fonctions conseil, d’assistance, d’éducation, de contrôle, d’information ainsi que d’analyse et recherche. À ces fins la Régie a été dotée de pouvoirs d’inspection des centres sportifs et de l’équipement utilisé, d’émission de permis aux promoteurs d’activités sportives, d’adoption et d’approbation de règlements de sécurité tant pour les spectateurs que les participants et de pouvoirs d’enquête sur toute situation qui risque de mettre en danger la sécurité des personnes lors de la pratique d’un sport. Après un début lent dû à la phase laborieuse d’implantation administrative et de pénétration du milieu, la Régie s’est impliquée auprès de la population et du réseau scolaire par des campagnes publicitaires et d’information visant à promouvoir la sécurité et l’esprit sportif dans la pratique des sports. Elle s’est associée aux diverses fédérations sportives dans l’analyse et la révision de la réglementation applicable aux sports et aux loisirs afin de prévenir les accidents. L’action concertée de la Régie et des intervenants des milieux sportifs et récréatifs ont contribué grandement à la « responsabilisation » individuelle et collective en cours et devrait, à moyen et à long terme, permettre au sport de revenir à son but principal, c’est-à-dire favoriser le développement harmonieux du corps et de l’esprit ainsi que la recherche d’un équilibre entre ces deux composantes humaines ou mieux encore, selon l’idéal rêvé de de Coubertin, apporter le calme, la philosophie, la santé et la beauté.
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Hautecoeur, Jean-Paul. "Variations et invariance de l'Acadie dans le néo-nationalisme acadien." Articles 12, no. 3 (April 12, 2005): 259–70. http://dx.doi.org/10.7202/055537ar.

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Abstract:
On se représente trop souvent l'Acadie comme une société «monolithique», «unidimensionnelle», «non pluraliste», un peu comme la survivance d'un antique modèle de société hiérarchique où la transmission des traditions est rigoureusement contrôlée par des grands-prêtres ou des dignitaires initiés par la « patente », et méthodiquement rythmée par les rites et cérémonies du calendrier occulte. Une telle image constituée par analogie ressemble trop au type-idéal pour rendre compte de cette formation historique originale qu'est la société acadienne. Elle est aussi trop conforme, par certains côtés, aux canons d'une idéologie unitariste pour ne pas être soumise à la critique. Cette première représentation à laquelle se rattachent de nombreuses variations est très optimiste dans le sens où elle constitue un objet fini, non contradictoire, non problématique : la société existe en soi, tel est son modèle. Une deuxième représentation, moins « savante » que l'autre, consiste à définir l'Acadie comme un souvenir et à ne voir en l'Acadie actuelle qu'un terrain vague parsemé des débris d'une histoire malheureuse. Il resterait quelques ilôts acadiens au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Ecosse où on parle encore un français archaïque et où l'on continue à filer et à chanter, comme dans la chanson. Ce sont eux qui justifiaient que la province du Nouveau-Brunswick se déclare bilingue alors qu'elle était renommée pour son loyalisme à la couronne britannique... Cette image, trop pessimiste, à laquelle se rattachent aussi de nombreuses variations, a des relents de l'idéologie anglo-canadienne intégratrice qui nie à l'autre toute existence autonome pour, au mieux, en faire une originalité « culturelle » à préserver. Acadie traditionnelle, Acadie folklorique : deux stéréotypes — on pourrait en trouver d'autres — dont on découvre vite l'étroite filiation avec des formations idéologiques connues et qui ont tous deux pour conséquence de surdéterminer au départ le terrain sémantique ou de brouiller momentanément le champ d'investigation au « regard prolongé » (celui du sociologue, journaliste, homme politique, etc.). La société acadienne est en soi une certaine configuration de rapports sociaux dont il ne sera pas question dans cet article. Elle existe aussi pour soi dans les diverses théories qu'en ont les acteurs et groupements d'acteurs sociaux. Contrairement à la théorie ou idéologie dominante, j'emploie théories au pluriel et c'est précisément de l'aventure de l'idéologie contestataire de l'idéologie officielle qu'il sera question. L'existence même du discours discordant d'intellectuels et leaders étudiants détruit la théorie simplificatrice selon laquelle la société serait un consensus et ses leaders nationaux les « chefs naturels » incontestés. Il existe deux discours visant à définir les finalités et objectifs de la société globale qui ont en commun une grande cohérence et la même prétention à faire l'unanimité des consciences. La différence est que l'un vise à protéger et perpétuer une certaine lecture de la tradition et une certaine pratique de la culture, et comme tel il a la légitimité, alors que l'autre vise à changer lecture et pratique de la culture pour donner à la société un nouveau destin. Celui-ci n'a pas comme dans d'autres formations sociales la légitimité que pourrait lui conférer l'affiliation à un club, un parti, un syndicat ou tout autre groupement organisé et reconnu : il est tenu pour sauvage, quand il n'est pas tout simplement nié comme tel. Mon propos est le suivant : observer et comprendre le rapport des jeunes idéologues au signe Acadie ou Acadien, en suivre l'itinéraire pour retracer la genèse du projet collectif tout neuf de l'annexion de « L'Acadie » au futur Québec indépendant. Le contenu proprement dit de ce projet m'importe peu ; m'intéresse sa genèse en rapport avec le signe d'identité collective. Mon hypothèse était la suivante : il fallait que les étudiants conservent le signe, qu'ils lui donnent un sens explicite et positif pour faire entrer leur discours dans l'histoire ou pour lui donner des chances objectives de devenir collectif. Mieux : afin que le discours gagne la cohérence nécessaire pour entrer en concurrence avec le discours traditionnel, il devait faire du signe Acadie son centre. Le symbole primordial devait assurer la liaison entre l'ancien et le nouveau : il devait continuer d'être le lieu de l'échange entre le caché et le manifeste, entre la langue et la parole, entre la culture et les traditions. J'ai distingué, dans l'évolution du rapport des nouveaux idéologues au signe Acadie, trois moments qui reproduisent à peu de choses près trois étapes successives de la praxis collective des étudiants de l'Université de Moncton : le Ralliement de 1966, les «événements» de '67-'69, la «répression» de '70-'71. Je n'ai retenu pour ce travail que les exemples les plus significatifs, sélectionnés à partir d'un fichier systématique de la production idéologique acadienne de ces dernières années. Beaucoup de documents annexes ou connexes ne seront pas reproduits ici.
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Dubuc, Marie-Maude, Roger LeBlanc, Félix Berrigan, Sylvie Beaudoin, Horia-Daniel Iancu, Penelopia Iancu, Vicky Bouffard-Levasseur, and Sylvain Turcotte. "Portrait d’interventions favorisant l’adoption d’un mode de vie physiquement actif en contexte scolaire au Canada." SEPAPS 2020, Axe 1 – Ecole en santé (2021). http://dx.doi.org/10.25518/sepaps20.251.

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Abstract:
Au Canada, il y a présentement une effervescence dans la mise en place d’interventions favorisant l’adoption d’un mode de vie physiquement actif en contexte scolaire, que ce soit à partir de mesures issues de politiques, des curricula scolaires ou de programmes développés pour répondre à ce besoin. L’objectif de cette communication est de l’illustrer à partir de deux études portant sur ces interventions. Dans la première étude, 66 intervenants et 139 élèves provenant de 16 écoles secondaires de la province de Québec ont été interrogés afin d’identifier leurs besoins relativement à l’implantation d'interventions favorisant la pratique régulière d’activités physiques. La deuxième étude porte sur un projet pilote communautaire réalisé dans la province du Nouveau-Brunswick et vise à mieux comprendre comment mobiliser une population entière face à un niveau d’activité physique bénéfique pour la santé des enfants d’âge scolaire, des adultes en milieu de travail et des personnes aînées en milieux associatifs.
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Charbonneau, François. "Les effets de la dépendance des associations porte-paroles de la francophonie canadienne sur le Gouvernement du Canada." Revue Internationale des Francophonies, no. 7 (May 29, 2020). http://dx.doi.org/10.35562/rif.1033.

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Abstract:
Ce texte porte sur la dynamique particulière de financement des associations porte-paroles de la francophonie canadienne. Les associations porte-paroles de la francophonie canadienne, c’est-à-dire les associations qui parlent au nom des communautés francophones et acadiennes là où ces communautés sont minoritaires (dans tous les provinces et territoires, sauf dans la province de Québec) opèrent dans un régime linguistique particulier qui induit un certain nombre d’effets qui seront ici analysés. Par l’adoption de la Loi sur les langues officielles en 1969, le Canada s’est doté d’un régime linguistique basé sur le principe de la personnalité ne nécessitant pas, du moins de manière théorique, de reconnaissance ni de collectivité ni de droits collectifs. Or, dans la pratique, ses programmes d’appuis aux minorités linguistiques ont une dimension collective affirmée. Depuis près d’une cinquantaine d’années en effet, le Gouvernement du Canada finance le milieu associatif porte-parole des neuf provinces et des trois territoires où les francophones vivent en situation minoritaire. Il s’est même imposé l’obligation, par la partie 7 de la Loi sur les langues officielles, d’assurer la « vitalité » de ces communautés. Le financement du réseau institutionnel porte-parole de la francophonie canadienne fait partie des mesures devant assurer cette vitalité. Il sert notamment de palliatif au faible poids politique de ces communautés, leur permettant d’avoir une voix sur la place publique, devant les tribunaux ou lors de consultations engageant l’avenir de la communauté. Mais la dépendance financière du milieu associatif sur le Gouvernement canadien a aussi des effets négatifs. L’objectif de cet article est triple. Il s’agira d’abord d’expliquer pourquoi le Gouvernement du Canada a jugé nécessaire d’appuyer financièrement les associations porte-paroles de la francophonie canadienne. Sera ensuite chiffrée la dépendance financière du milieu associatif sur le Gouvernement canadien de manière à montrer que ces associations pourraient difficilement exister sans ce financement. Enfin, il s’agira de montrer les effets potentiellement délétères de la dépendance financière des associations porte-paroles de la francophonie canadienne, en expliquant qu’étant donné le contexte particulier dans lequel opère aujourd’hui ces associations, il n’est plus aujourd’hui possible de déterminer « qui parle » quand les associations porte-paroles prennent la parole au nom des communautés francophones du Canada.
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Deirdre, Meintel. "Ethnicité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.095.

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Abstract:
Le concept d’ethnicité est le sujet d’une vaste littérature qui a bénéficié des contributions d’auteurs issus de différentes disciplines, dont la sociologie, l’histoire, la science politique et la démographie. Nous faisons ici une revue sélective des ouvrages anthropologiques qui ont marqué le domaine. Le concept d’ethnicité en sciences sociales est généralement attribué au sociologue Max Weber (1921, 1971). Le sociologue allemand conçoit l’ethnicité comme une construction sociale; c'est-à-dire, comme le produit de rapports sociaux. De nos jours, l’approche constructiviste de l’ethnicité prédomine à travers toutes les sciences sociales, y compris l’anthropologie. C’est l’anthropologue Frederik Barth (1969) qui a théorisé l’aspect processuel de l’ethnicité, et ce, en lien avec l’ethnographie des relations intergroupes. Son approche se distingue en ce qu’elle problématise l’émergence de groupes ethniques et leur durabilité dans le temps. Comme l’a écrit Robin Cohen (1978 : 389), « l’ethnicité n’a pas d’existence en dehors des relations interethniques » (notre traduction). Avant d’aller plus loin, précisons certains des termes utilisés ici. « Ethnicité » englobe non seulement l’identité ethnique, mais aussi les modèles culturels qui caractérisent le groupe – certains d’entre eux servant à le délimiter –, les associations, institutions sociales, activités collectives et intérêts communs (Meintel 1993). À l’instar de Fischer (1986), nous ajoutons que l’ethnicité englobe aussi la mémoire, soit la quête des individus et des collectivités de traditions qui servent à développer une vision du futur. Bref, l’ethnicité concerne non seulement le passé, mais aussi le présent et l’avenir. Dans l’optique de Fischer, l’ethnicité n’est pas qu’une forme de distinction sociale, ou un élément de hiérarchisation : elle représente également une gamme de ressources symboliques. L’intérêt pour l’ethnicité en anthropologie doit beaucoup aux recherches en Afrique, notamment celles menées par l’École de Manchester dans les villes où les travailleurs migrants demeuraient. Dans leur optique, ces villes et les villages d’origine constituaient un seul champ social. Dans un vocabulaire centré sur le « tribalisme », des chercheurs britanniques liés à cette école, dont Godfrey et Monica Wilson, Max Gluckman, J. Clyde Mitchell et Elizabeth Colson parmi d’autres, ont développé le Rhodes Livingstone Institute, institut dédié à l’étude des cultures du nord de la Rhodésie (aujourd’hui la Zambie). Ces chercheurs étudiaient les transformations sociales et culturelles des paysans devenus travailleurs urbains. Dans ce contexte de contact intergroupes, les identités ethniques sont devenues prééminentes. Leur nouvelle importance dans les relations sociales des citadins s’illustre par la danse Kalela (Mitchell 1956). Ce rituel hebdomadaire d’invention urbaine où les danseurs mettaient en scène la diversité ethnique et des figures urbaines (médecin, infirmière, etc.). Ici, l’identité tribale (les danseurs provenaient du groupe Bisa) était réinventée comme une forme d’ethnicité urbaine (retribalisation dans les termes de Mitchell). Par ailleurs, Mitchell a développé un schéma de relations urbaines tripartite : relations personnelles, structurelles et « catégoriques ». Tandis que les relations structurelles étaient largement encadrées par les rôles fixes des participants (par exemple, ainé/cadet, patron/ouvrier), les relations « catégoriques » (categorical relationships) concernaient les relations ponctuelles et superficielles; par exemple, au marché, dans les foules urbaines (Mitchell 1966) et largement gouvernées par des stéréotypes ethniques, pas forcément négatifs (1966). Plus tard, Jean-Loup Amselle (1990) a soulevé la question du rôle du colonialisme dans la création de frontières artificielles entre les sociétés africaines. S’appuyant sur ses recherches auprès de plusieurs groupes maliens, notamment les Malinkés, les Peuls et les Bambaras, l’ethnologue propose, plutôt que de considérer les sociétés africaines comme des entités étanches où coïncident cultures, langues et frontières politiques et sociales, de les définir comme une « chaîne de sociétés » caractérisée par un « syncrétisme originaire ». Dans la même veine, Lee Drummond concevait les sociétés des Caraïbes comme un « continuum culturel » caractérisé par une hybridation incessante, perspective qu’il appliqua par la suite à la société pluriethnique de Montréal (1982). Bien que la diversité ethnique (et religieuse) soit le sujet de grands débats sociaux, les études ethnographiques sur les relations interethniques n’abondent pas. Celle de Gerd Baumann (1996) fait exception, l’anthropologue ayant étudié les discours identitaires des habitants d’un district de Londres très diversifié et densément peuplé. Sa monographie illustre bien la fluidité des identités, des discours et des pratiques à l’égard de l’ethnicité. La labilité des frontières ethniques, pour ne pas mentionner la variabilité de marqueurs qui les définissent est illustrée par l’identité « québécoise » au Québec, définie largement par la langue maternelle française, tandis qu’auparavant, les habitants de la province se considéraient plutôt comme Canadiens français, catégorie définie principalement par la confession catholique. Cette mutabilité des frontières et des marqueurs soulève la question de la légitimité des identités et des revendications de droits ou de ressources articulées dans le cadre de ce que plusieurs dénomment « la politique identitaire ». Ces enjeux sont au cœur des travaux d’anthropologues comme James Clifford (2000), parmi d’autres. Clifford se penche sur plusieurs sociétés autochtones, dont les Kanaks de Nouvelle-Calédonie et les Nisga’a de la Colombie-Britannique, pour critiquer la tendance de certains anthropologues (par exemple, Kuper 2003) à considérer les discours identitaires de groupes indigènes comme « essentialistes » et leurs pratiques culturelles adaptatives comme « inventées ». L’auteur affirme par ailleurs que les luttes de groupes subalternes obligent les anthropologues à revoir la notion de « tradition » et à la concevoir non pas comme un corpus culturel figé, mais plutôt comme une gamme de ressources qui sont constamment remaniées. Les sociétés indigènes ne représentent pas, évidemment, des « minorités ethniques » comme les groupes immigrants (Eriksen 1993); au Canada, le terme « Premières Nations » connote leur statut distinct. Cependant, on constate certaines similitudes entre les enjeux identitaires et politiques des peuples autochtones et les minorités ethniques (Cipolla 2017), à plus fort raison compte tenu du fait que la majorité des autochtones au Canada et au Québec vivent en dehors des réserves. Par exemple, les diasporas, telles que Clifford (1994) les présente, concernent les Juifs et les Arméniens mais aussi des peuples amérindiens forcés à quitter leurs territoires (Clifford 2007). Les études anthropologiques de l’ethnicité ont pris une nouvelle tournure avec les travaux de Nina Glick Schiller et ses collègues (Glick Schiller, Basch et Blanc-Szanton 1992) sur la transnationalité. Dans cette optique, l’ethnicité des groupes immigrants est abordée non seulement en rapport avec un territoire particulier (quartier, ville, etc.), mais aussi en lien avec le pays d’origine des migrants et d’autres régions du monde où se trouvent des personnes du même groupe. Les nombreuses études en sciences sociales influencées par ce courant révèlent les dimensions politiques et économiques des réseaux transnationaux des migrants, tout en montrant que la transnationalité ne concerne pas tous les migrants de manière égale. Enfin, le « champ social » où se construit l’ethnicité s’étend désormais au-delà des frontières nationales. Dans les années récentes, nombreux chercheurs ont préféré parler de diversité plutôt que d’ethnicité, pour englober des critères tels que la religion, la l’orientation sexuelle, etc. Comme d’autres le reconnaissent, la diversité n’est pas un concept rigoureux (Kraus date) ; certains considèrent la diversité comme l’angle mort du racisme (CJF) puisqu’elle peut occulter les inégalités entre groupes ethniques. La sociologue Danielle Juteau (2018, p. 38) insiste sur pertinence de l’ethnicité de nos jours pour développer une perspective critique sur la diversité, puisque « son approche relationnelle et constructiviste, souvent matérialiste et transversale, en éclaire diverses facettes » de la diversité. Nous avons eu l’occasion de constater la création de nouvelles catégories ethniques, notamment celle d’ « Arabes » pour désigner les musulmans du Moyen-Orient, repris par des jeunes musulmans eux-mêmes pour s’identifier (Meintel 2018, p. 6-7). L’ethnicité nous semble toujours actuelle comme outil conceptuel pour mieux comprendre les relations intergroupes et les inégalités qui les caractérisent.
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Mitchell, Fiona, Odette Gould, Michael LeBlanc, and Leslie Manuel. "Opinions of Hospital Pharmacists in Canada Regarding Marijuana for Medical Purposes." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 69, no. 2 (April 28, 2016). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v69i2.1539.

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Abstract:
<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p><strong>Background: </strong>Canada’s most recent Marihuana for Medical Purposes Regulations have changed the way in which patients access marijuana. Furthermore, if authorized by the person in charge of the hospital, a pharmacist practising in a hospital may now place orders with licensed producers for dried marijuana for in-hospital use by patients. As use of this product increases, hospital pharmacists may have an increased role in the care of patients who are using marijuana for medical purposes.</p><p><strong>Objectives: </strong>The primary objective of this study was to determine the opinions of hospital pharmacists in Canada regarding marijuana for medical purposes. The secondary objective was to assess the factors influencing these opinions.</p><p><strong>Methods: </strong>An online survey was made available in early 2015 to licensed hospital pharmacists in Canada through individual provincial and territorial pharmacy regulatory bodies, pharmacist associations, hospital pharmacy directors, the Canadian Society of Hospital Pharmacists, and the Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec. Responses were based on a 5-point Likert style scale, ranging from “completely agree” to “completely disagree”.</p><p><strong>Results: </strong>A total of 769 valid survey responses were received. Among the respondents, 44.6% (333/747) agreed that marijuana is safe, whereas 55.2% (411/745) agreed that it is effective. Only 17.2% (129/748) agreed that they were knowledgeable about marijuana for medical purposes, and about 65% of respondents reported no formal training in this area. Factors that influenced respondents’ opinions were age, education, area of clinical practice, province of work, and personal experience.</p><p><strong>Conclusion: </strong>Many Canadian hospital pharmacists agreed that marijuana for medical purposes is safe and effective, yet few considered themselves knowledgeable about this substance, with more than half reporting no formal training on the topic.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte : </strong>Le Règlement sur la marihuana à des fins médicales récemment mis en vigueur au Canada a changé la façon dont les patients ont accès à ce produit. En outre, s’il est autorisé à le faire par la personne à qui est confiée la charge de l’hôpital, le pharmacien qui exerce dans un hôpital peut maintenant commander auprès de producteurs autorisés de la marihuana séchée destinée à une personne qui reçoit un traitement comme patient hospitalisé. Au fur et à mesure qu’augmente l’utilisation de cet agent, les pharmaciens d’hôpitaux pourraient avoir un rôle plus important à jouer dans les soins aux patients qui consomment de la marihuana à des fins médicales.</p><p><strong>Objectifs : </strong>L’objectif principal de la présente étude était de sonder l’opinion des pharmaciens d’hôpitaux du Canada sur la question de la marihuana à des fins médicales. Le second objectif était d’évaluer les facteurs qui influencent leur opinion.</p><p><strong>Méthodes : </strong>Un sondage en ligne a été mis à la disposition des pharmaciens d’hôpitaux du Canada avec la participation des organismes provinciaux et territoriaux de réglementation de la pharmacie, des associations de pharmaciens, des directeurs de pharmacie hospitalière, de la Société canadienne des pharmaciens d’hôpitaux et de l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec. Inspirés de l’échelle de Likert à cinq points, les choix de réponse s’étendaient de « fortement en accord » à « fortement en désaccord ».</p><p><strong>Résultats : </strong>Au total, 769 réponses valides au sondage ont été obtenues. Parmi les répondants, 44,6 % (333/747) ont affirmé que la marihuana est sécuritaire et 55,2 % (411/745) ont déclaré qu’elle est efficace. Seuls17.2 % (129/748) ont affirmé être renseignés sur l’utilisation de la marihuana à des fins médicales et environ 65 % ont indiqué n’avoir aucune formation officielle sur le sujet. L’âge du pharmacien, sa formation, son domaine de pratique clinique, sa province d’exercice et son experience personnelle étaient des facteurs influençant son opinion.</p><p><strong>Conclusion : </strong>Bon nombre de pharmaciens hospitaliers canadiens ont affirmé que l’utilisation de la marihuana à des fins médicales est sécuritaire et efficace. Or, peu considéraient être renseignés à propos de ce produit et plus de la moitié ont indiqué n’avoir aucune formation officielle sur le sujet.</p>
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Childhood Studies, Journal of. "Appel de soumissions - L’apprentissage professionnel innovant en éducation à la petite enfance : inspirer l’espoir et l’action." Journal of Childhood Studies 41, no. 3 (December 22, 2016). http://dx.doi.org/10.18357/jcs.v41i3.16400.

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Abstract:
<p><strong>Rédacteurs invités: Joanne Lehrer (Université du Québec en Outaouais), Christine Massing (Université de Regina), Scott Hughes (Université Mount Royal), Alaina Roach O’Keefe (Université de l’Île-du-Prince-Édouard)</strong></p><p><strong></strong>Non seulement l’apprentissage professionnel est-il considéré comme essentiel à l’amélioration de la qualité éducative et comme soutien à l’apprentissage et au développement des enfants (par exemple, Lazarri <em>et al.</em>, 2013, Vandenbroeck <em>et al</em>., 2016), mais certains éléments de la formation initiale et continue ont été identifiés comme critiques pour transformer les identités professionnelles et la pratique des éducatrices (en SGÉ) et des enseignantes (au préscolaire). Par exemple, la réflexion critique et soutenue (Thomas et Packer, 2013), les expériences d’apprentissage ciblant des équipes entières (Vangrieken <em>et al</em>, 2016), les pratiques collaboratives qui visent le pouvoir d’agir des praticiennes (Helterbran et Fennimore, 2004) et la direction (Dolmer <em>et al., </em>2008) sont toutes considérées comme des moyens efficaces afin de soutenir l’apprentissage professionnel.</p><p>Bien qu’il semble y avoir consensus dans les écrits sur <em>ce qui doit être fait</em>, et même sur <em>la façon dont cela devrait être fait</em>, de nombreuses contraintes empêchent la mise en œuvre et le maintien d’un système d’apprentissage professionnel durable et transformationnel en éducation à la petite enfance. Vandenbroeck et ses collaborateurs (2016) vont au-delà de l’accent mis sur les individus et les équipes en identifiant deux autres niveaux nécessaires pour des systèmes compétents d’apprentissage professionnel : des partenariats entre les programmes locaux de l’éducation à la petite enfance et les institutions sociales, culturelles et éducatives (collèges et universités); et la gouvernance en matière de vision, de finances et de suivi. Dans le contexte canadien, la <em>Fédération canadienne des services de garde à l’enfance</em> a également souligné l’importance d’une stratégie cohérente visant à renforcer la main-d’œuvre en services de garde éducatifs (CCCF, 2016). Toutefois, l’éducation à la petite enfance au Canada relève des gouvernements provinciaux et territoriaux. Par conséquent, les conditions, les règlements, les exigences de certification, les programmes et les systèmes d’éducation varient considérablement d’une province ou d’un territoire à l’autre. Les exigences en matière d’éducation pour la qualification, par exemple, peuvent comprendre une formation non formelle (dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut), une formation de courte durée, un certificat d’un an ou un diplôme de deux ans. Cela complique les efforts pour définir qui est le professionnel de la petite enfance et quelles sont les possibilités constitutives de l’apprentissage professionnel (Prochner <em>et al</em>., 2016). Bien que ces disparités puissent entraver l’élaboration d’une stratégie cohérente, Campbell et ses collaborateurs (2016) ont récemment affirmé que l’on pourrait approfondir les apprentissages, en partageant et en appréciant la riche diversité des approches en matière d’apprentissage professionnel, à la fois au sein des provinces et des territoires et intra provinces et territoires. De plus, des exemples provenant d’autres pays permettraient d’élargir la discussion et d’élargir notre compréhension des possibilités (Vandenboreock <em>et al</em>., 2016).</p><p>Ce numéro spécial est donc consacré aux partages d’histoires d’espoir et d’actions concertées, reliant la théorie à la pratique. Nous attendons des propositions canadiennes et internationales liées aux pratiques d’apprentissage professionnel qui s’étendent au-delà des programmes individuels, mettant en vedette des partenariats et des efforts de mobilisation communautaire à l’intérieur et à travers différents contextes éducatifs liés à la petite enfance (Centres de la Petite Enfance, maternelle, halte-garderie, etc.) et en lien avec diverses thématiques : philosophiques, pratiques, critiques, transformatrices, personnelles et d’espoir. Chaque soumission répondra à une ou à plusieurs des questions clés, y compris, mais sans s’y limiter à :</p><ul><li>Comment conceptualiser l’apprentissage professionnel en éducation à la petite enfance?</li><li>Comment établir et maintenir des partenariats efficaces pour favoriser l’apprentissage professionnel?</li><li>Quelles stratégies de mobilisation communautaire transformatrice pourraient être partagées?</li><li>Comment les stratégies novatrices peuvent-elles être appliquées à une plus grande échelle?</li><li>Comment les pratiques d’évaluation et d’apprentissage professionnelles peuvent-elles être perturbées?</li><li>Quelle histoire de l’apprentissage professionnel avez-vous besoin de (ou voulez-vous) raconter?</li><li>Comment votre communauté a-t-elle été transformée par une activité, une pratique ou un évènement ou particuliers?</li><li>Comment la vie et l’avenir des enfants peuvent-ils être façonnés positivement par l’engagement dans les partenariats et la mobilisation?</li><li>Où pourrions-nous être dans 5, 10 ou 15 ans?</li></ul><p>Nous accepterons des soumissions dans des formats multiples, y compris des articles de recherche, des articles théoriques, des pièces multimédias, des œuvres d’art, des recensions de livres, etc. Ils peuvent être présentés en anglais, en français ou dans toute langue autochtone canadienne reconnue.</p><p>La date limite pour les soumissions est fixée au 1<sup>er</sup> aout 2017.</p><p> </p><p>References</p><p>Campbell, C., Osmond-Johnson, P., Faubert, B., Zeichner, K., Hobbs-Johnson, A. with S. Brown, P. DaCosta, A. Hales, L. Kuehn, J. Sohn, &amp; K. Steffensen (2016). <em>The state of educators’ professional learning in Canada</em>. Oxford, OH: Learning Forward.</p><p>Canadian Child Care Foundation [CCCF], (2016). <em>An Early Learning and Child Care Framework for Canada’s Children</em>. Retrieved from: http://www.cccf-fcsge.ca/wp-content/uploads/CCCF_Framework-ENG.pdf</p><p>Colmer, K., Waniganayake, M. &amp; Field, L. (2014). Leading professional learning in early childhood centres: who are the educational leaders<em>?, Australasian Journal of Early Childhood</em>, 39(4), 103-113.</p><p>Helterbran, V.R. &amp; Fennimore, B.S. (2004). Early childhood professional development: Building from a base of teacher investigation. <em>Early Childhood Education Journal, 31</em>(4), 267-271.</p><p>Lazarri, A., Picchio, M., &amp; Musatti, T. (2013). Sustaining ECEC quality through continuing professional development: systemic approaches to practitioners’ professionalization in the Italian context. <em>Early Years: An International Research Journal, 33</em>(2), 133-145.</p><p>Munton, T., Mooney, A., Moss, P., Petrie, P., Calrk, A., Woolner, J. et al., (2002). <em>Research on ratios, group size, and staff qualifications and training in early years and childcare settings</em>. London: University of London.</p><p>Penn, H. (2009). <em>Early childhood education and care: Key lessons from research for policy makers</em>. Brussels: Nesse.</p><p>Prochner, L., Cleghorn, A., Kirova, A., &amp; Massing, C. (2016). <em>Teacher education in diverse settings: Making space for intersecting worldviews</em>. Rotterdam, The Netherlands: Sense Publishers.</p><p>Thomas, S., &amp; Packer, D. S. (2013). A Reflective Teaching Road Map for Pre-service and Novice Early Childhood Educators. <em>International Journal of Early Childhood Special Education</em>, <em>5</em>(1), 1-14.</p><p>Vandenbroeck, M., Peeters, J., Urban, M. &amp; Lazzari, A. (2016). Introduction. In M. Vandenbroeck, M. Urban &amp; J. Peeters (Eds.) <em>Pathways to Professionalism in Early Childhood Education and Care</em>, (pp. 1-14). London: Routledge.</p><p>Vangrieken, K., Dochy, F., &amp; Raes, E. (2016). Team learning in teacher teams: team entitativity as a bridge between teams-in-theory and teams-in-practice. <em>European Journal Of Psychology Of Education - EJPE (Springer Science &amp; Business Media B.V.)</em>, <em>31</em>(3), 275-298. doi:10.1007/s10212-015-0279-0</p>
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