Academic literature on the topic 'Infirmières – Régions éloignées – Travail'

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Journal articles on the topic "Infirmières – Régions éloignées – Travail"

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Daigle, Johanne, and Nicole Rousseau. "Le service médical aux colons : gestation et implantation d’un service infirmier au Québec (1932-1943)." Revue d'histoire de l'Amérique française 52, no. 1 (2002): 47–72. http://dx.doi.org/10.7202/005379ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ La crise économique qui a précédé la Deuxième Guerre mondiale a obligé le gouvernement du Québec à donner des terres aux indigents désireux de s'établir dans des régions éloignées des centres urbains. Ce mouvement a donné naissance à de petites communautés appelées « colonies », composées essentiellement de populations très pauvres. Pour plusieurs raisons, en particulier en raison de contraintes budgétaires, le gouvernement a choisi d'embaucher des infirmières pour répondre à l'ensemble des besoins de santé de ces populations, plutôt que d'y envoyer des médecins. Ce choix l'a conduit à accepter que des infirmières fassent quotidiennement des interventions considérées comme des actes médicaux. C'est ainsi que fut créé un service spécial appelé «Service médical aux colons », consistant en un réseau de plus de cent postes desservis uniquement par des infirmières travaillant en collaboration avec les médecins établis en région. Cet article décrit la longue gestation et l'implantation de ce service méconnu; il démontre que les infirmières ont été au cœur d'un vaste réseau de soins de santé, en particulier pendant une période de grandes difficultés économiques.
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Ridde, Valéry, Jérôme Baillargeon, Patrick Ouellet, and Sylvie Roy. "L’évaluation participative de type empowerment : une stratégie pour le travail de rue." Service social 50, no. 1 (2005): 263–79. http://dx.doi.org/10.7202/009972ar.

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Abstract:
Bien que les projets de travail de rue soient nés dans les grandes villes, depuis quelques années nous remarquons un déploiement de ce type d’intervention sociale dans les régions éloignées du Québec. Mais très peu d’évaluations des effets de ces projets ont été réalisées. Les devis évaluatifs traditionnels ne sont ni acceptés par les travailleurs de rue et les jeunes, ni adaptés au contexte et aux valeurs véhiculées. En effet, l’approche de ces actions est fondée sur une réponse globale aux besoins des jeunes, visant l’autonomie et l’empowerment de ces derniers. Nous appuyant sur l’exemple d’une évaluation des effets du travail de rue dans une région rurale, nous tentons de montrer qu’une évaluation participative de type empowerment est l’une des stratégies à privilégier dans une telle situation. Nous présentons les détails du processus évaluatif et nous analysons comment ce dernier a permis d’autonomiser (empower) les travailleurs de rue.
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Simard, Myriam. "Liens transnationaux et participation internationale des jeunes d’origine immigrée en région au Québec." III. Au-delà du local, le monde, no. 51 (August 23, 2004): 111–22. http://dx.doi.org/10.7202/008874ar.

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Abstract:
Résumé Le concept de participation doit être redéfini lorsqu’il est appliqué aux jeunes contemporains — immigrés ou pas —et encore plus aux jeunes vivant dans des espaces faiblement urbanisés, telles les régions du Québec éloignées de la métropole montréalaise ou de la capitale québécoise. Après quelques considérations théoriques sur le concept de participationdes jeunes immigrés et sa signification particulière en contexte régional, des éléments de réflexion sont apportés à partir de l’analyse des données d’une recherche réalisée en1998 sur la participation globale des jeunes régionaux d’origine immigrée au Québec âgés de 18 à 29 ans. Une attention particulière est accordée à la participation internationale de ces jeunes (stages de travail humanitaire à l’étranger, projets d’entraide internationale, activités au sein d’organismes mondiaux…) et aux liens transnationaux qu’ils tissent au cours des étapes de leur vie (enfance, étudessecondaires et post-secondaires, premier emploi…). Le sens de cet engagement international est discuté.
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Sliwinski, Alicia. "Globalisation." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.084.

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Abstract:
Le concept de globalisation désigne l’interconnexion et l’interdépendance accrues de toute une gamme de relations sociales à l’échelle planétaire recouvrant d’importantes dimensions politiques, économiques, culturelles, environnementales et subjectives. Depuis les années 1980, la globalisation est devenue un discours dominant pour décrire la mise en place d’une nouvelle condition planétaire. Si nul ne nie que la globalisation soit un processus, la période historique qu’elle est censée marquer a fait l’objet de maints débats, aussi bien en anthropologie que dans les autres sciences sociales. Pour certains, la globalisation prend son essor au 19ème siècle avec les bouleversements liés au colonialisme, les avancées technologiques en matière de transport et de communication et l’expansion sans précédent des échanges commerciaux. Pour d’autres, la globalisation réalise la consolidation d’un système capitalisme mondial ou d’une « économie-monde » qui s’organise au 16ème siècle avec la division internationale du travail. Que des parties éloignées de la planète soient reliées entre elles ne date certes pas d’hier : les empires hellénique, romain et mongol ou encore la route de la soie montrent bien que les relations « transnationales » existent depuis longtemps. Cette discussion largement débattue a opposé le camp des « sceptiques » à celui des « globalisants » quant à la nouveauté du phénomène. Notons qu’en français deux termes existent pour désigner l’intensification et la multiplication des connexions et des réseaux reliant différentes parties du monde jadis nettement plus isolées les unes des autres : mondialisation et globalisation. Parfois ils sont utilisés en tant que synonymes, mais il y a lieu d’apprécier la nuance que leur distinction permet (Abélès 2008). La notion de mondialisation insisterait davantage sur les continuités historiques entre le passé et notre contemporanéité – sur le devenir-monde –, alors que la globalisation signale les discontinuités et les ruptures qui permettent d’affirmer que quelque chose de déterminant est apparu à la fin du 20ème siècle dans notre expérience du monde. Il y a au moins trois facteurs décisifs à cet égard : l’essor d’une économie de marché globale, l’ascension de l’Internet et des technologies de communication dans nos vies quotidiennes et l’apparition de mouvements et de politiques identitaires, plus ou moins violents, et parfois clairement orientés contre la globalisation. La phase actuelle de la globalisation est généralement associée à la doctrine du néolibéralisme, mais il ne faut pas les confondre. Le néolibéralisme caractérise le décloisonnement et la réorganisation des champs politiques et économiques dans le but de réduire les obstacles au commerce mondial. Les mesures macroéconomiques du Consensus de Washington introduites dans les années 1980 – telles que la libéralisation du commerce, la déréglementation de l’économie, la privatisation des entreprises nationales et la réduction des dépenses publiques et des impôts –, ont été mises en place pour favoriser le libre-échange entre les États. Avec la chute du bloc communiste qui annonçait, selon certains, « la fin de l’histoire » (Fukuyama 1992) et la preuve que les démocraties libérales étaient les plus aptes à assurer la croissance d’une économie avancée, la globalisation néolibérale a pris son envol. Au cœur de l’idéologie néolibérale siège la croyance que moins il y a d’entraves à une économie de marché globale, plus les pays seront prospères. De fait, la globalisation va grossir la sphère d’influence d’entités supranationales sur les États modifiant leur rapport au territoire et le contrôle de leurs économies nationales. Le triumvirat de la Banque Mondiale, du Fonds Monétaire International et de l’Organisation mondiale du commerce y a joué un rôle clé, mais ces organisations ont également fait l’objet d’intenses critiques et de mobilisations populaires pour avoir creusé le fossé entre les riches et les pauvres. En matière d’économie politique, la globalisation néolibérale a libéré le capital de ses lieux de production : le capitalisme du nouveau millénaire n’est plus caractérisé par la valeur du travail, mais plutôt par la consommation, la délocalisation et la circulation sans précédent de flux financiers transnationaux, souvent spéculatifs, générant la concentration d’immenses fortunes, mais aussi de nouvelles formes d’exclusion et de dépossession. Parmi les gagnants, soulignons l’essor fulgurant des compagnies technologiques. De fait, le « numérique » exerce une influence considérable dans les nouvelles grammaires culturelles, symboliques et identitaires. Il est couramment entendu que c’est le rapport au temps et à l’espace que la globalisation a profondément altéré. Selon David Harvey (1989), la globalisation exprime la compression de l’espace et du temps, accélérant les processus économiques et sociaux. Elle a créé de nouvelles configurations sociales et technologiques ayant radicalement réduit le temps des échanges et des déplacements. Depuis, l’espace ne cesse de se réduire et le temps de s’accélérer. Pour Anthony Giddens (1990), il s’agit davantage d’un élargissement de l’expérience vécue de ces catégories, et de leur séparation, si bien que la globalisation implique le désenclavement (disembedding) des relations sociales de leurs contextes locaux. Ici, la globalisation prolonge et affermit le processus d’individualisation de la société entamé au 19ème siècle. Un troisième penseur de la globalisation parmi les plus cités est Manuel Castells (1998) qui a avancé l’idée de la société en réseau. Cette nouvelle société réticulaire, informationnelle et globale, est issue de la révolution technologique ayant profondément transformé les modes d’organisation économique, les modalités du travail (et leur contenu), ainsi que les pratiques sociales reliées au temps et à l’espace. À partir de ces thèses notoires, nous pouvons identifier quelques paramètres pour mieux cerner la globalisation : le mouvement accru du capital, des personnes, des marchandises, des images et des idées ; l’intensification des réseaux qui relient différentes parties du globe ; l’élargissement et la déterritorialisation de pratiques sociales, culturelles, politiques et économiques au-delà des frontières ; enfin l’imbrication du local au global, et vice versa, dans nos expériences vécues du monde. Ces dynamiques restent pertinentes, mais nous aurions tort de croire que la globalisation est un phénomène total et achevé. La société en réseau n’est pas uniformément distribuée et la géographie de la globalisation expose combien cette dernière encourage la concentration des activités économiques, politiques et culturelles dans quelques grands centres et mégapoles. Si d’un côté la globalisation tend à homogénéiser les cultures quand les contextes locaux assimilent des produits culturels importés – on a parlé de l’américanisation, de la McDonaldisation et de l’aplatissement du monde –, elle entraine tout autant des formes de fragmentation et de recomposition des identités ethniques et culturelles. De vifs débats ont cherché à déterminer si la globalisation produisait plus de standardisation ou de diversité, d’intégration ou de désintégration, et si ces processus s’avéraient avantageux ou non. Les questions d’échelle sont importantes et les anthropologues ont adopté des approches plurielles pour éviter les interprétations qui ont « tendance à se produire dans l’espace raréfié de la méta-histoire et des généralités abstraites » (Barber et Lem 2004). Jonathan Friedman (2008) envisage la globalisation sous l’angle de la modernité, entendue comme le champ culturel du capitalisme commercial. La globalisation s’articule alors au développement d’un ethos cosmopolitique dont l’essor continue d’infléchir la « forme sociale du monde » (Agier 2013). Les analyses anthropologiques ont mis l’accent sur les flux et les disjonctions que la globalisation entraine (Appadurai 1996), les nouveaux assemblages politiques, technologies et éthiques (Ong et Colier 2005), l’hybridité et la créolisation (Hannerz 1987), la circulation des marchandises et des valeurs dans les contextes non hégémoniques de la « globalisation-par-le-bas » (Ribeiro 2012; Haugerud et al. 2001), la création de « non-lieux » caractéristiques de la surmodernité (Augé 1992), ou les frictions que les nouvelles articulations entre le local et le global entrainent (Tsing 2005). Par ailleurs, la globalisation a eu des répercussions sur les méthodologies de l’anthropologie : on assiste à une plus grande réflexivité dans la pratique de terrain qui devient lui-même multisites (Marcus 1995). Il s’agit également de révéler les liens entre le micro et le macro et ce qui y circule, s’y négocie ou se conteste. Toutefois, au niveau épistémologique la globalisation n’a pas la même valence que la notion de culture. Peut-on parler d’une culture globale et faire une ethnographie du global ? Marilyn Strathern (1995) notait que le global risquait d’être un concept autoréférentiel puisqu’il n’offre pas de point de vue sur le monde : il ne donne pas à voir les relations sociales qui sont rendues manifestes dans des ancrages locaux. Ces questions ne sont pas tranchées et renvoient à la portée herméneutique accordée au global en tant que contexte dans et par lequel la pratique anthropologique opère, en tant qu’objet bon à penser, sur lequel agir, et qui libère de nouveaux imaginaires. Le 21ème siècle maintenant bien entamé, force est de constater que la globalisation a creusé les inégalités entre les nations, les régions et les classes sociales. En 2017, plus de 80 % de la richesse mondiale a été empoché par 1 % de la population (Oxfam 2018). Ces rapports d’inégalité ne s’expriment pas uniquement en termes économiques, mais aussi selon le genre et le degré d’exposition au risque. Ils alimentent également des mouvements de paniques morales face à diverses sortes d’indésirables, qu’il s’agisse de pandémies, de terroristes, de migrants ou de réfugiés. Les politiques identitaires, exacerbées dans l’exutoire des réseaux sociaux, sont un corollaire qui polarise l’espace politique autant par le « haut » (quand les gouvernements promeuvent des nationalismes xénophobes) que par le « bas » (quand les minorités revendiquent la reconnaissance de leurs droits). Ces tensions profondes forcent à repenser le paradigme de l’État-nation dont la souveraineté affaiblie expose la désuétude d’un modèle d’exercice du pouvoir. L’utopie de la globalisation s’est essoufflée et d’autres concepts sont apparus, tels ceux de capitalocène et d’anthropocène pour accuser les maux engendrés par le capitalisme et l’impact délétère des activités humaines sur la planète. Comment infléchir les pathologies de la globalisation pour y remédier est sans doute l’enjeu principal de notre avenir commun.
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Dissertations / Theses on the topic "Infirmières – Régions éloignées – Travail"

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Trépanier, Amélie. "Étude des déterminants de l'intention des finissantes et finissants au baccalauréat en sciences infirmières de s'établir en région éloignée suite à leur diplomation." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/29494/29494.pdf.

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Abstract:
La répartition inégale des effectifs infirmiers au Québec est une préoccupation constante pour les décideurs du réseau de la santé et des services sociaux, particulièrement en ce qui concerne les régions éloignées qui font face à des défis spécifiques relativement à leur situation géographique et pour qui le recrutement est un défi constant. Les finissant(e)s des programmes de soins infirmiers des universités québécoises représentent un bassin de recrutement de main-d’oeuvre de choix pour la pratique en région éloignée. Le principal objectif de ce projet de maîtrise est d’explorer les facteurs reliés à l’intention des infirmiers (ère) s nouvellement diplômé(e)s d’aller pratiquer en région éloignée. De façon secondaire, cette étude vise à explorer les liens entre l’intention d’aller pratiquer en région éloignée et la disponibilité de technologies d’information et de communication (TIC) dans les établissements situés en région éloignée. Afin d’atteindre nos objectifs, une enquête par questionnaire suivant un devis observationnel de type transversal a été réalisée. Le questionnaire construit et validé pour la collecte de données repose sur la théorie du comportement planifié, à laquelle nous avons ajouté les variables identité personnelle et télésanté, potentiellement pertinentes pour expliquer l’intention. Des analyses distinctes ont été effectuées selon le passé (rural ou urbain) des répondantes, et cette enquête nous a permis d’identifier différents facteurs liés à l’intention de s’établir en région éloignée. Pour les répondantes au passé rural, l’identité personnelle, la perception de contrôle et la norme sociale sont ressorties comme des déterminants de l’intention de s’établir en région, alors que pour les répondantes au passé urbain, l’identité personnelle, la perception de contrôle et l’attitude étaient associées significativement à leur intention de s’établir en région. Cette enquête permet une compréhension plus approfondie des facteurs pouvant avoir une influence sur le choix d’un lieu de pratique par les finissantes de sciences infirmières.
Nurse shortage in the province of Quebec is a growing concern for stakeholders and policy makers in the health care and social services domain. Remote areas are particularly affected by this workforce imbalance because of specific challenges they face relatively to their geographical isolation and recruitment problems. Newly graduates from nursing programs in Quebec universities’ represent a recruitment pool of choice for recruiting nurses that are willing to go rural. The main objective of this project is to explore factors that influence final-year nursing students’ intention to choose a rural area as first employment location. A secondary objective of this study is to explore the links between the intention to work in remote area and the availability of information and communications technology (ICT) in these areas. To meet our objectives, a transversal observational study was conducted. A survey based on the theory of planned behavior to which we add the two fallowing constructs: personal identity and telehealth was build and validated for data collection. Different analyses were performed according to the respondent’s background (rural or urban) and this survey allowed the identification of factors linked to the intention to settle in rural area after graduation. For rural background respondents, personal identity, perceived behavioral control and social norm were identified as determinants underlying the intention to settle down in a rural setting. For urban background respondents, personal identity, perceived behavioral control and affective attitude were significantly associated with their intention to settle down in a rural setting. This project contributes to a greater understanding of the elements that could influence the choice of a place of practice for newly graduated nurses.
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Books on the topic "Infirmières – Régions éloignées – Travail"

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Institut canadien d'information sur la santé., ed. Nombre et répartition des infirmières et infirmiers autorisés dans les régions rurales et petites villes du Canada, 2000. Institut canadien d'information sur la santé, 2002.

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