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Journal articles on the topic 'Insectes, lutte contre'

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Thibout, Eric, and Jacques Auger. "Composés soufrés besAlliumet lutte contre les insectes." Acta Botanica Gallica 144, no. 4 (January 1997): 419–26. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.1997.10515781.

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Kenis, Marc, Brett P. Hurley, Ann E. Hajek, and Matthew J. W. Cock. "Stratégies de lutte biologique contre les insectes invasifs (Résumé)." Revue Forestière Française, no. 6 (2018): 605. http://dx.doi.org/10.4267/2042/70309.

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3

Boisclair, Josée, and Bernard Estevez. "Lutter contre les insectes nuisibles en agriculture biologique : intervenir en harmonie face à la complexité." Phytoprotection 87, no. 2 (November 10, 2006): 83–90. http://dx.doi.org/10.7202/013977ar.

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Abstract:
Résumé Les systèmes agricoles en gestion biologique se caractérisent par une grande biodiversité et une forte complexité. La biodiversité est associée à une faune entomophage variée et abondante qui permet une meilleure lutte naturelle contre les insectes ravageurs qu’en agriculture intensive. Cette contribution ne se limite pas à la ferme. Certaines études à l’échelle du paysage démontrent que les zones non cultivées servent de réservoirs à la faune auxiliaire (prédateurs et parasitoïdes). Cependant, la biodiversité ne permet pas de réprimer certains ravageurs en dessous du seuil économique. Par conséquent, la prévention joue un rôle important en visant l’aménagement du système agricole pour qu’il soit favorable aux ennemis naturels et défavorable aux ravageurs. Ainsi, les pratiques culturales telles que la rotation et le choix de cultivars sont au premier plan dans une stratégie de lutte intégrée en production biologique. À un parcours technique qui mise sur le principe de prévention s’ajoutent, en dernier recours, des outils comme les bâches, les biopesticides et les agents de lutte biologique. Malgré ces outils, le défi reste entier. La complexité de « l’agroécosystème biologique » exige un effort de recherche pour mieux comprendre certains mécanismes qui permettraient d’accroître la lutte naturelle aux insectes ravageurs.
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4

McNeil, J. N., and J. Delisle. "Le potentiel de l’écologie chimique dans la lutte contre les insectes nuisibles." Phytoprotection 74, no. 1 (April 12, 2005): 29–39. http://dx.doi.org/10.7202/706034ar.

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Abstract:
En nature, plusieurs organismes vivants émettent des substances chimiques médiatrices (infochimiques) lorsqu'ils créent des liens complexes et variés entre les individus de la même espèce ou d'espèces différentes. Dans cet article, nous décrivons comment certains insectes utilisent les substances infochimiques pour la recherche d'un partenaire sexuel, de sources de nourriture ou d'un lieu favorable pour la ponte. De plus, nous discutons de l'intérêt de bien comprendre les fondements de l'écologie chimique afin de promouvoir le développement et l'utilisation de méthodes de lutte plus efficaces contre les insectes nuisibles et plus acceptables pour l'environnement.
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5

Lecadet, Marguerite-M. "La lutte bactériologique contre les insectes: une vieille histoire très actuelle." Annales de l'Institut Pasteur / Actualités 7, no. 4 (January 1996): 207–16. http://dx.doi.org/10.1016/s0924-4204(97)86390-1.

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Tartier, Léon-M., Valérie Gravel, Carole Martinez, and Russell J. Tweddell. "La Société de protection des plantes du Québec, 1908-2008." Phytoprotection 89, no. 2-3 (November 20, 2009): 113–14. http://dx.doi.org/10.7202/038240ar.

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Abstract:
À l’aide de documents écrits et d’archives, l’histoire de la Société de protection des plantes du Québec (SPPQ) est retracée tout au cours de son existence. Son but et ses objectifs sont décrits ainsi que les moyens employés pour protéger les plantes et lutter contre leurs ennemis. Au cours de son existence, la SPPQ a contribué, par ses congrès annuels et directement par ses membres, à faire avancer la lutte aux ennemis des cultures. Ses publications ont aussi mené au développement d’outils qui ont aidé à mieux connaître et à identifier les insectes, les maladies et les mauvaises herbes qui affectent les cultures et les forêts.
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7

Patouma, Lewa, Elias Nchiwan Nukenine, Ibrahima Adamou, and Champlain Djieto-Lordon. "Caractérisation de l’entomofaune de la tomate (Lycopersicon esculentum Mill) en champ dans la localité de Meskine, région de l’Extrême-nord, Cameroun." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 6 (October 6, 2020): 2069–76. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i6.11.

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Abstract:
La localité de Meskine à Maroua, longtemps considérée comme une zone céréalière de l’Extrême-nord du Cameroun, est devenue, de nos jours, une région de production de tomate par excellence. Les producteurs de cette culture font face à plusieurs contraintes parmi lesquelles les activités des insectes ravageurs. Dans le but de contribuer à l’amélioration de la production de cette culture, la présente étude a permis d’établir une liste des insectes ravageurs et utiles pullulant dans les champs de tomate. Les insectes, collectés par aspiration et par fauchage, ont été identifiés dans les laboratoires de Zoologie appliquée des universités de Ngaoundéré et Yaoundé I au Cameroun. L’inventaire a montré que les insectes inféodés à la culture de la tomate dans la localité de Meskine à Maroua sont représentés par huit (8) ordres, vingt-une (21) familles et vingt-deux (22) genres. Ces insectes. Bien que la majorité de ces insectes soit des ravageurs, on note la présence de quelques prédateurs et pollinisateurs. La détermination de l’entomofaune de la culture de tomate dans cette localité est un outil qui peut ainsi servir à la conception de stratégies de lutte contre les ravageurs. Mots clés: Lycopersicon esculentum, insectes ravageurs, insectes prédateurs, Maroua. English Title: Entomofauna associated to the tomato crops (Lycopersicon esculentum Mill) in the locality of Meskine, Far North region, Cameroon Meskine in the Far North region, Cameroon has long been considered as cereal zone production. This locality has become today a region of tomato production per excellence. Farmers in this locality are faced to many constrains among which activities of insect pests. In order to improve the production of this crop, the present study allows us to establish a list of potential insect pests and benefit insects of tomato crops. Insects collected using aspirator and sweep net were identified in the laboratories of applied Zoology at the Universities of Ngaoundéré and Yaoundé I, Cameroon. The results of our study showed that, insects associated to tomatoes in the locality of Meskine were from eight (8) orders, twenty-one (21) families and twenty-two (22) genera. Although the majority of these insects were represented by potential insect pests, some predators and pollinators were recorded. The establishment of the lists of harmful and benefits insects associated to the tomato crop in this locality can therefore be used to design strategies for the management of insect pests.Keywords: Lycopersicon esculentum, insect pests, predator insects, Maroua
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8

Gahukar, R. T. "Utilisation D'extraits de Neem Dans la Lutte Contre Les Insectes de L'Arachide." International Journal of Tropical Insect Science 9, no. 05 (October 1988): 639–40. http://dx.doi.org/10.1017/s1742758400005142.

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9

House, James A. "Recommandations pour l’utilisation de vaccins contre la peste équine dans des régions non endémiques." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 1-2 (January 1, 1993): 77–81. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9402.

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Abstract:
La peste équine (PE) est causée par des orbivirus et transmise par des Culicoides; elle détermine une mortalité jusqu'à 95 %. Le but d'un programme de lutte et d'éradication est d'empêcher la propagation du virus par le vecteur biologique. Les mesures de lutte comprennent l'abattage des animaux infectés, la mise en étable étanche aux insectes des animaux suspects d'infection et la vaccination. Le vaccin doit être facilement disponible, soit par une production régulière dans des installations répondant aux normes internationales, soit dans une banque de vaccin. Des banques de stocks de vaccins vivants modifiés ou de vaccins inactivés concentrés permettent de disposer d'un vaccin contre la PE lors d'épizooties futures. Un test diagnostique a été développé récemment pour distinguer les animaux vaccinés d'animaux infectés naturellement, et fournit de l'information utile aux services officiels pour le contrôle de la PE.
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Regnault-Roger, Catherine, and Abdelaziz Hamraoui. "Lutte contre les insectes phytophages par les plantes aromatiques et leurs molécules allélochimiques." Acta Botanica Gallica 144, no. 4 (January 1997): 401–12. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.1997.10515779.

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Boiteau, Gilles. "État de la lutte dirigée contre les insectes ravageurs en production biologique de pommes de terre." Cahiers Agricultures 17, no. 4 (July 2008): 382–87. http://dx.doi.org/10.1684/agr.2008.0219.

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Savadogo, Salfo, Oumarou Sambare, Abdoulaye Sereme, and Adjima Thiombiano. "Méthodes traditionnelles de lutte contre les insectes et les tiques chez les Mossé au Burkina Faso." Journal of Applied Biosciences 105, no. 1 (November 14, 2016): 10120. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v105i1.9.

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Trudel, Richard. "Protéine de l’ail, Allium sativum, au service de la lutte contre des insectes piqueurs-suceurs (Homoptera)." Phytoprotection 86, no. 2 (2005): 87. http://dx.doi.org/10.7202/012508ar.

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Semako, A. Gougbe, K. Aboudou, K. O. Chatigre, M. S. P. Noukpozounkou, and M. M. Soumanou. "Optimisation in vitro de l’efficacité des biopesticides dans la lutte contre les principaux ravageurs du niébé par la méthode des surfaces de réponse." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 1 (April 20, 2021): 41–53. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i1.5.

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Abstract:
La culture du niébé requiert de nos jours, une attention particulière à cause de sa sensibilité aux insectes ravageurs. La présente étude vise à déterminer, au laboratoire, les doses optimales de la combinaison des biopesticides (Topbio et virus MaviMNPV) à utiliser dans la lutte contre les principaux ravageurs du niébé notamment, Maruca vitrata, Aphis craccivora, et Megalurothrips sjostedti. A cet effet, les insectes ont été inoculés avec différentes doses des combinaisons de Topbio et du virus MaviMNPV variant respectivement de660 ml à 1000 ml et de 70 ml à 106 ml en utilisant la méthode des surfaces de réponses. La mortalité et la survie des insectes ont été évaluées et les doses optimales de la combinaison des biopesticides ont été déterminées. Les résultats ont montré que les effets linéaires et/ou quadratiques de la combinaison des biopesticides influencent significativement les taux de mortalité, d’émergence des larves et de mortalité des chrysalides. Ces taux ont varié de 63,33 à 85%, de 12,5 à 37,5%, et de 44,44 à 87,5% respectivement pour les taux de mortalité, d’émergence des larves et de mortalité des chrysalides de Maruca vitrata. Les taux de mortalité des formes adultes de Aphis craccivora, et Megalurothrips sjostedti, ont varié respectivement de 88,33 à 95% et de 85 à 95%. L’efficacité optimale des biopesticides est obtenue pour 1000 ml de Topbio et 106 ml du virus MaviMNPV avec un taux de désirabilité de 85%.Mots clés : Topbio, virus MaviMNPV, ravageurs, taux de mortalité, taux d’émergence
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Banville, Gilbert. "La pomme de terre au Québec de 1908 à 2008 : un siècle de protection contre les maladies." Phytoprotection 89, no. 2-3 (November 20, 2009): 73–75. http://dx.doi.org/10.7202/038234ar.

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Abstract:
Les faits saillants survenus par rapport à la pomme de terre au cours de ce siècle sont traités selon un ordre chronologique relatif et présentés sur trois tableaux, chacun couvrant environ 33 ans. Sur le premier, on voit que les grandes superficies, les rendements pitoyables et la destruction quasi annuelle du feuillage par les maladies et les insectes ont placé les arrosages au premier rang des activités de protection jusque vers 1942. La connaissance des virus est rudimentaire et la production de semences saines pointe à l’horizon. Le deuxième tableau s’étend jusque vers 1975. On assiste au déplacement de la production des semences de base sur la Côte-Nord du Québec. Avec les nouvelles variétés apparaissent de nouvelles maladies. Pendant que plane partout le spectre du flétrissement bactérien, l’importance accordée aux virus fait oublier les organismes telluriques qui s’attaquent aux tubercules fragilisés par l’immaturité et les blessures. Plusieurs esquisses constituent le troisième tableau qui conduit à 2008. Virus S, filosité et flétrissement bactérien ont secoué les systèmes. La lutte aux maladies fongiques fait de grands pas grâce à la prévention des blessures. La protection de la pomme de terre devient étroitement liée aux bases physiologiques du plant et du tubercule, nouvelle forme de lutte intégrée contre l’underground : rhizoctonie, gale commune et verticilliose. Le nématode doré apparaît au Québec en 2006. En contrepartie, la toute première variété jamais crée au Québec, ‘Aquilon ‘, est résistante à ce redoutable parasite.
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Dakouo, D., S. Nacro, and B. Bacye. "Mise au point d'un systeme de lutte rationnelle contre les insectes ravageurs sur les perimetres rizicoles irrigues au Burkina Faso." International Journal of Tropical Insect Science 12, no. 5-6 (December 1991): 565–70. http://dx.doi.org/10.1017/s1742758400013035.

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Vreysen, Marc J. B., and A. M. V. Van Der Vloedt. "Utilisation de femelles Glossina austeni irradiées par rayons gamma comme insectes sentinelles dans les programmes de lutte contre les glossines." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 45, no. 3-4 (March 1, 1992): 303–9. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8922.

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Abstract:
Un traitement aux rayons gamma administré à des femelles de Glossina austeni à la dose de 60 Gy, le 2e ou le 9e jour après éclosion, et à la dose de 50 Gy à l'état pupaire, soit le 33e jour après larviposition, a induit une stérilité complète chez les mouches femelles sans changer leur comportement sexuel. Les femelles irradiées restent réceptives à l'accouplement avec des mâles non traités jusqu'au 15e jour après éclosion (84 %). Le moment du traitement (33 jours après larviposition, 2 et 9 jours après éclosion) influence significativement la dynamique du développement des follicules. Toutes les femelles traitées montrent une vitellogenèse, maturation et ovulation normales. Les follicules en position B1 et D1 ne se développent pas quand les femelles sont traitées à l'état pupaire et, à partir du 15e jour, on observe des ovaires inactifs caractérisés par une atrophie des ovules et des cellules nourricières. L'irradiation des femelles âgées de 2 et 9 jours entraîne un degré de développement différent des follicules B1 et D1. Les résultats des expériences en laboratoire où des mâles non traités sont mis en présence de femelles, traitées ou non, sont donnés. Les discussions portent sur l'utilisation des femelles stériles de G. austeni comme insectes sentinelles dans les zones à faible densité de glossines.
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Cissokho, PS, MT Gueye, EH Sow, and K. Diarra. "Substances inertes et plantes à effet insecticide utilisées dans la lutte contre les insectes ravageurs des céréales et légumineuses au Sénégal et en Afrique de l’Ouest." International Journal of Biological and Chemical Sciences 9, no. 3 (September 9, 2015): 1644. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v9i3.43.

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Ben Jemaa, Jouda Mediouni, Olfa Bachrouch, and Mohamed Rabeh Hajlaoui. "Applications Industrielles de l’Huile Essentielle du Pistachier Lentisque dans la Lutte Contre les Insectes de la Farine = Industrial Applications of Essential Oil of Pistacia Lentiscus L. against the Insects of Wheat Flour." Annales de l'Inrat 89, Numéro Spécial (2016): 144–46. http://dx.doi.org/10.12816/0028724.

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Cloutier, Conrad, Jean-Marie Perron, and Christine Jean. "Extraits de l'évolution de l'entomologie appliquée au Québec : emphase sur la phytoprotection." Phytoprotection 89, no. 2-3 (November 20, 2009): 79–97. http://dx.doi.org/10.7202/038236ar.

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Abstract:
Le développement de l’entomologie au Québec comme science naturelle a commencé avec des naturalistes érudits comme William Couper, Léon Provancher et Henry Lyman qui ont observé abondamment et décrit l’entomofaune du Québec, fondé des sociétés professionnelles et rédigé les premiers ouvrages scientifiques sur les insectes du Québec. Au début du XXe siècle, l’importance économique des plantes agricoles et des essences de coupes forestières a atteint un niveau favorisant la naissance de l’entomologie appliquée. Son développement initial est marqué par la fondation de la SPPQ, la création du premier programme d’études supérieures en entomologie, ainsi que le recrutement d’entomologistes professionnels dans les institutions publiques de protection des plantes contre les ravageurs. Les entomologistes en chef James Fletcher au gouvernement fédéral et Victor Huard au gouvernement provincial, ainsi que les professeurs William Lochhead du Collège Macdonald et Georges Maheux de l’École forestière de l’Université Laval, sont des figures remarquables de cette époque. Les entomologistes publient abondamment sur le cycle de vie des insectes nuisibles, sur les dommages causés et sur les moyens de lutte efficaces avec des insecticides encore primitifs et dangereux. Pendant plusieurs décennies, Ernest-Melville DuPorte se trouve au Collège Macdonald au centre des études supérieures et de la recherche en entomologie au Québec. Après la Seconde Guerre mondiale, la demande en denrées alimentaires et en fibre ligneuse croît à un rythme sans précédent, de même que la lutte aux ravageurs, à l’ère nouvelle des produits chimiques de synthèse, notamment des insecticides comme le DDT. En agriculture, les entomologistes actifs en phytoprotection se regroupent au laboratoire de recherche de Saint-Jean-sur-Richelieu et au Service de la protection des cultures du MAPAQ, ainsi que dans leurs stations de recherche de terrain. La recherche en entomologie forestière se développe à Québec autour du laboratoire fédéral des Laurentides et à la Faculté d’arpentage et de génie forestier (aujourd’hui la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique) de l’Université Laval. Sous la pression de l’industrie forestière, les arrosages aériens aux insecticides deviennent systématiques et sont surtout régis par l’abondance cyclique de la tordeuse des bourgeons de l’épinette. À la fin des années 1960, l’entomologie appliquée prend lentement un virage écologique, ouvert au contrôle naturel des ravageurs et aux idées de la résistance des plantes et de la stimulation de l’impact des agents biologiques de répression. La recherche et la formation aux études supérieures en entomologie connaissent un essor marqué dans les centres universitaires établis et nouvellement créés. La fin du XXe siècle est marquée par l’arrivée des plantes transgéniques résistantes aux ravageurs et les conséquences prévisibles du réchauffement climatique sur l’abondance et la diversité des ravageurs. L’entomologie comme activité scientifique professionnelle s’est enrichie de l’arrivée de nombreuses femmes dans les centres de recherche et les universités, bien qu’affectée par le ralentissement du recrutement d’entomologistes professionnels dans les services publics et les universités et l’incertitude des conditions économiques futures.
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Bawin, T., F. Seye, S. Boukraa, J. Y. Zimmer, F. Delvigne, and F. Francis. "La lutte contre les moustiques (Diptera: Culicidae): diversité des approches et application du contrôle biologique." Canadian Entomologist 147, no. 4 (October 29, 2014): 476–500. http://dx.doi.org/10.4039/tce.2014.56.

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Abstract:
RésuméPlusieurs espèces de moustiques (Diptera: Culicidae) sont des vecteurs de zoonoses d’incidence médicale et vétérinaire considérables. Une modification de la distribution géographique de ces vecteurs majoritairement engendrée par des facteurs anthropiques est actuellement accompagnée de (ré-)émergences de maladies infectieuses en Europe et en Amérique du Nord. Depuis l’avènement des insecticides de synthèse lors de la seconde guerre mondiale, les moustiques font l’objet de recherches de plus en plus étendues et approfondies. Dans une vision de lutte intégrée, les moyens de lutte anti-vectorielle se répartissent aujourd’hui selon quatre axes principaux: (1) la gestion environnementale et le contrôle physique, (2) le contrôle chimique, (3) le contrôle génétique, et (4) le contrôle biologique par le biais d’entomophages et de micro-organismes entomopathogènes. Dans ce contexte, ces derniers ont un potentiel intéressant car ils possèdent la capacité d’infecter et de tuer l’hôte avec une sélectivité plus ou moins prononcée. Cet article se propose de resituer le contrôle biologique parmi les autres techniques dans la lutte anti-vectorielle contre les moustiques, et de faire état des potentialités et des perspectives offertes par les bactéries, virus et champignons entomopathogènes. Leur utilisation sous forme de biopesticides est enfin discutée.
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Iro, Souleymane Mahamane, Yaro Alpha Seydou, and Ali Doumma. "Mesures des indicateurs de prolifération des larves de moustiques au niveau des mares permanentes et semi permanentes de Saga, Niger." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (August 17, 2020): 1188–202. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.3.

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Abstract:
Les Culicidae, communément appelés moustiques, par leur large distribution et leur abondance, sont impliqués dans la transmission de nombreuses maladies humaines et animales. La lutte contre ces insectes nécessite la connaissance de leurs lieux de développement dans lequel évoluent les stades pré imaginaux. La présente étude vise à caractériser ces gîtes larvaires en vue d’identifier les indicateurs entomologiques et écologiques de production de larves dans ces milieux. Pour ce faire, le pH, la température, la conductivité, la teneur en oxygène dissout et la densité larvaire des culicidae ont été estimés à la suite des prospections des gîtes larvaires effectuées de juillet 2007 à mars 2018 à Saga, un quartier périurbain de la Ville de Niamey. Au total, 17 gîtes ont été identifiés dont cinq (5) gîtes permanents (29,41%). Les surfaces d’eau artificielles ont été plus abondantes (64,71%). L’étude sur la caractérisation des gîtes par la méthode ACP (Analyse par Composantes Principales) a permis de grouper les gîtes en trois (3) catégories: le groupe 1 constitué par des gîtes qui présentent un pH légèrement acide (6,075 à 7,035) et un taux d’oxygène dissout élevé (1,11 à 2,32). Le groupe 2 qui est constitué par des gites qui présentent une conductivité plus élevée (compris entre 0,97 à 1,08) ainsi qu’un pH légèrement alcalin (7,51 à 7,83). Quant aux gîtes du groupe 3, ils appartiennent en effet, à une zone de transition ou les trois (3) paramètres sont élevés à savoir le pH (8,02 à 8,36), le taux d’oxygène dissout (1,43 mg/l à 2,54 mg/l) et de la conductivité (1170 μS/cm à 1370 μS/cm). L’étude a mis en évidence des affinités entre les espèces de moustiques et les conditions physico-chimiques des gîtes larvaires. C’est ainsi que An. gambiae s.l abonde dans les gîtes caractérisés par une température moins élevée, un pH neutre un taux d’oxygène dissout élevé alors que Culex pipens présente une affinité aux gîtes à forte conductivité et à taux d’oxygène dissout faible.Mots clès : Culicidae, Paramètres physico-chimiques, gîtes larvaires, Saga, Niger. English Title: Measurements of mosquito larvae proliferation indicators in the permanent and semi-permanent ponds of Saga, Niger Culicidae, commonly known as mosquitoes, by their wide distribution and abundance, are involved in the transmission of many human and animal diseases. The fight against these insects requires knowledge of their places of development in which the pre-imaginary stages evolve. The present study aims to characterize these breeding sites in order to identify entomological and ecological indicators of larval production in these environments. To do this, the pH, temperature, conductivity, dissolved oxygen content and larval density of culicidae were estimated following surveys of the breeding sites carried out from July 2007 to March 2018 in Saga, a peri-urban area of the City of Niamey. In total, 17 lodgings have been identified, including five (5) permanent lodgings (29.41%). Artificial water surfaces were more abundant (64.71%). The study on the characterization of the deposits by the ACP method (Principal Component Analysis) made it possible to group the deposits in three (3) categories: group 1 consisting of deposits that have a slightly acidic pH (6.075 to 7.035) and a high dissolved oxygen level (1.11 to 2.32). Group 2 which consists of gites which have a higher conductivity (0.97 to 1.08) as well as a slightly alkaline pH (7.51 to 7.83). As for the group 3 deposits, they indeed belong to a transition zone where the three (3) parameters are high, namely the pH (8.02 to 8.36), the dissolved oxygen level (1.43 mg / l to 2.54 mg / l) and conductivity (1170 μS / cm to 1370 μS / cm). The study highlighted affinities between mosquito species and the physicochemical conditions of the breeding sites. This is how An. Gambiae sl abounds in deposits characterized by a lower temperature, a neutral pH a high dissolved oxygen level while Culex pipens has an affinity for deposits with high conductivity and low dissolved oxygen rate.Keywords: Culicidae, Physico-chemical parameters, breeding sites, Saga, Niger.
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Benziane, T., M. Abbassi, and et T. Bihi. "Evaluation de deux methodes de lutte integree contre les ravageurs en vergers d'agrumes." Journal of Applied Entomology 127, no. 1 (February 2003): 51–63. http://dx.doi.org/10.1046/j.1439-0418.2003.00713.x.

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Makoundou, P. B., Dominique Cuisance, Gérard Duvallet, and Pierre Guillet. "Etude au laboratoire des effets d'un insecticide naturel extrait du neem (Azadirachta indica A. Juss) sur Glossina fuscipes fuscipes Newstead, 1910 (Diptera : Glossinidae)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 48, no. 4 (April 1, 1995): 339–45. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9437.

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Abstract:
Dans la perspective d'une lutte contre les glossines avec sa prise en charge par les communautés rurales, nous avons testé l'Azatin EC*, produit à base d'extraits de graines de neem (Azadirachta indica A. Juss). Les tests sont effectués sur Glossina fuscipes fuscipes, par applications topiques et par contact tarsal. L'application topique d'Azatin EC* provoque une faible mortalité qui ne se manifeste qu'aux doses élevées chez les jeunes mâles et les femelles âgées et gravides. La productivité (pupes/femelle) est abaissée de 4,5 fois pour les doses élevées et ensuite le poids des pupes est significativement plus bas en début de pupaison mais n'évolue pas différemment de celui des témoins. Le taux d'éclosion est significativement abaissé aux doses supérieures à 0,261 µg/mouche. Des difficultés de vol et de sondage (piqûre) sont notées à partir de 0,261 µg/glossine, semblant traduire une perturbation de la physiologie musculaire. En fonction des effets observés chez cet insecte hématophage, les applications envisageables sur le terrain sont discutées, soulignant la possibilité de mettre à profit cet effet répulsif pour protéger le bétail dans les zones à risque.
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Bateman, Roy. "The Development of a Mycoinsecticide for the Control of Locusts and Grasshoppers." Outlook on Agriculture 26, no. 1 (March 1997): 13–18. http://dx.doi.org/10.1177/003072709702600104.

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Abstract:
Both national authorities and the donor community require methods of locust and grasshopper control that are less insecticide-dependent and more environmentally friendly. The LUBILOSA (LUtte Biologique contre les LOcustes et les SAuteriaux) programme has identified mycoinsecticides, based on aerial conidia of fungal entomopathogens such as Metarhizium, as the most effective biological control technique discovered to date. High (90%) insect mortalities have been demonstrated in the field following the application of oil-based formulations with ultra-low volume spraying equipment normally used for acridid control. The mechanisms of disease transmission in the field are still under investigation and the programme has helped to initiate a re-evaluation of the taxonomic status of the genus Metarhizium. Effective mycoinsecticides can be produced using relatively unsophisticated equipment although the quality of commercial products would need to be carefully controlled. Metarhizium has recently been recommended by the Food and Agriculture Organization (FAO) for use in environmentally sensitive areas, and the programme has now entered an implementation phase.
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Sotondji, F. A., O. K. Douro Kpindoui, A. C. Djihinto, E. A. Dannon, G. Zodome, R. Sagbo, J. Dossou, E. Adjou, D. C. Hougourou, and M. M. Soumanou. "Efficacité du baume de cajou et des huiles végétales pour la lutte contre les populations de Plutella xylostella L. 1758 (Lepidoptera: Plutellidae)." African Crop Science Journal 28, no. 2 (July 27, 2020): 151–68. http://dx.doi.org/10.4314/acsj.v28i2.2.

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Abstract:
Le chou, Brassica oleracea L. (Capparales: Brassicaceae), est l’une des cultures les plus attaquées par un complexe de ravageurs dont Plutella xylostella L. (Lepidoptera: Plutellidea). L’objectif de cette étude était d’évaluer l’efficacité des huiles végétales et de la noix de cajou pour le contrôle de P. xylostella dans la production de chou. Une étude a été menée dans le laboratoire de l’institut International d’Agriculture Tropicale au Bénin. Les traitements comprenaient des huiles de trois plantes, à savoir Tephrosia purpurea, Ricinus communis, Thevetia neriifolia et la noix de cajou par rapport à un insecticide synthétique (Lambda cyhalothrine) et à celui d’un pesticide botanique (Topbio). Deux expériences ont été mises en place dans cette étude. Dans la première expérience, les produits ont été testés sur le stade L3 de P. xylostella, avec les doses de 100, 75, 50, 25 et 10% ; tandis que dans le second, les mêmes produits ont été testés sur le stade L2 du même insecte avec les doses de 50, 25, 10, 5, 3, 2 et 1%, par rapport au témoin de référence, Lambda cyhalothrine aux doses de 10, 5, 3, 2, 1 et 0,5%. Les variables mesurées étaient le taux de mortalité, la formation de pupes et l’émergence d’adultes de P. xylostella. Les DL 50 ont été déterminées selon la méthode de régression de Cox. Les résultats ont montré que pour tous les pesticides botaniques utilisés, quel que soit le stade larvaire de P. xylostella, l’effet / dose-réponse était significatif, mais moins efficaces par rapport au témoin de référence Lambda cyhalothrine. La noix de cajou et les trois huiles végétales peuvent efficacement servir d’alternatives aux pesticides de synthèse (Lambda cyalothrine) contre Plutella xylostella dans la production de chou. Mots clés: Brassica oleracea, chou, Ricinus communis, Tephrosia purpurea
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Dibangou, Valentin, Mireille Belle Mbou, Nazaire Loubaki Ntolo, and Grâce Nianga-Bikouta. "Inventaire rapide des principaux entomophages de la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti (Homoptera : Pseudococcidae) en République du Congo." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 7 (December 4, 2020): 2517–27. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i7.12.

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Abstract:
Dès l’année 1970, une baisse de production en tubercules de manioc de l’espèce Manihot esculenta Crantz (Euphorbiacée) a été constatée en Afrique. L’un des principaux ravageurs de cette plante est la cochenille farineuse du manioc. Au Congo, la lutte contre celui-ci s’est organisée dès 1982 par l’introduction d’un parasitoïde hyménoptère, Epidinocarcis lopezi. Mais cet insecte auxiliaire s’est très vite retrouvé à son tour la proie d’hyperparasites qui freinent ainsi son expansion et limitent son efficacité. La présente étude fait un inventaire des entomophages de la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti. Elle s’est déroulée dans trois sites retenus dans la ville de Brazzaville : Kombé, jardin d’essai et Lycée Savorgnan de Brazza (LSB). La récolte des momies a été effectuée sur des feuilles infestées, les arthropodes ayant émergé ont été collectés et identifiés, les taux d’émergence et d’hyperparasitisme ont été déterminés. Les résultats obtenus montrent un taux d’hyperparasitisme élevé (60 et 66,66%) et une faible abondance d’E. lopezi comparé aux hyperparasites (22 hyperparasites pour 13 parasitoïdes). Un autre parasitoïde Acerophagus coccois Smith non encore décrit jusqu’ici au Congo a été découvert. Il pourrait avoir été introduit accidentellement avec les boutures importées et expérimentées dans le but d’améliorer les performances du manioc.Mots clés : Lutte biologique, Auxiliaire, Entomocénose, Momie, Brazzaville, Congo. English Title: Rapid inventory of the main entomophagous species of the cassava mealybug Phenacoccus manihoti (Homoptera: Pseudococcidae) in the Republic of Congo As early as 1970, a decrease in the production of cassava tubers of the species Manihot esculenta Crantz (Euphorbiaceae) was observed in Africa. One of the main pests of this plant is the cassava mealybug. In the Congo, the fight against it was organized in 1982 with the introduction of a hymenoptera parasitoid, Epidinocarcis lopezi. But this auxiliary insect very quickly found itself the prey of hyperparasites, which thus slowed down its expansion and limited effectiveness. The present study makes an inventory of the entomophages of the cassava mealybug Phenacoccus manihoti. It took place in three selected sites in the city of Brazzaville: Kombé, test garden and Lycée Savorgnan de Brazza (LSB). The mummies were harvested from infested leaves, emerging arthropods were collected and identified, rates of emergence and hyperparasitism were determined. The results obtained reached a high rate of hyperparasitism (60 and 66.66%) and a low abundance of E. lopezi compared to hyperparasites (22 hyperparasites for 13 parasitoids). Another parasitoid Acerophagus coccois Smith not yet described in Congo has been discovered. It could have been created accidentally with the imported cuttings and tested in corn to improve cassava performance.Keywords: Biological pest control, Auxiliary, Entomocenosis, mummy, Brazzaville, Congo.
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Djédoux Maxime, Angaman, Ehouman Ano Guy serge, and Boko Adjoua Christiane Eunice. "Propriétés physico-chimiques, fonctionnelles et microbiologiques de la farine de maïs germé enrichie de larves d'insectes comestibles Rhynchophorus phoenicis et Oryctes owariensis." Journal of Applied Biosciences 158 (February 28, 2021): 16310–20. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.158.5.

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Abstract:
Objectif : L’objectif de cette étude est d’évaluer les propriétés de quelques farines formulées à partir de maïs germé enrichi de larves de Rhynchophorus phoenicis (charançon africain du palmier) et de Oryctes owariencis (scarabée rhinocéros). Méthodologie et Résultats : Pour ce faire, différentes compositions de farines de maïs germé et de poudre de larves (PL) ont été préparées comme suit : les farines composées lot1 (maïs 80% + PL20%), lot2 (maïs 78,5% + PL22,5%), lot3 (maïs 75% + PL25%). Les caractéristiques physico-chimiques, les propriétés fonctionnelles et microbiologiques de ces farines ont été déterminées selon les méthodes standards. Les résultats ont révélé que l’incorporation de la poudre de larves comestibles à la farine de maïs a amélioré significativement les paramètres biochimiques notamment la teneur en protéines, en matière grasse et la valeur énergétique. Ainsi, les farines de maïs germé enrichies avec Oryctes owariensis ont présenté une teneur plus élevée en protéines allant jusqu’à 29,73±5,87% pour le FMaGO25. Cependant, celles enrichies au Rhynchophorus phoenicis avaient des taux de matières grasses plus élevées estimées à 21,24±0,772% avec 466,67±9,325 kcal/100MS pour la FMaGR 22,5. Toutefois, seule la farine FMaGR20 est proche du standard établi par le codex alimentarius. Aussi, Les charges microbiologiques détectées dans ces farines ont été inférieures aux normes microbiologiques applicables aux farines. Conclusion et application : L’incorporation des larves de Oryctes owariensis et de Rhynchophorus phoenicis a permis d’obtenir une farine de maïs enrichi. Ces formulations pourront donc alors être recommandées dans la lutte contre les carences nutritionnelles, Ainsi la FMaGR20 contribuera à lutter contre la malnutrition infantile. Motsclés : Farine améliorée, maïs germé, larves, Rhynchophorus phoenicis, Oryctes owariensis, d’insectes comestibles Angaman et al., J. Appl. Biosci. 2021 Propriétés physico-chimiques, fonctionnelles et microbiologiques de la farine de maïs germé enrichie de larves d'insectes comestibles Rhynchophorus phoenicis et Oryctes owariensis 16311 Physicochemical, functional and microbiological properties of sprouted corn flour enriched with larvae of Edible insects Rhynchophorus phoenicis and Oryctes owariensis ABSTRACT Objective: The objective of this study is to evaluate the properties of the flour formulated from enriched sprouted corn, Rhynchophorus phoenicis and larvae of Oryctes owariencis. Methodology and Results: To do this, different compositions of sprouted corn flours and larval powder (PL) were prepared as follows: the compound flours lot1 (corn 80% + PL20%), lot2 (corn 78.5% + PL22.5%), lot3 (corn 75% + PL25%) The physicochemical characteristics, functional and microbiological properties of these flours were determined according to standard methods. The results revealed that the incorporation of the powder of edible larvae in corn flour significantly improved the biochemical parameters including the protein content, fat content and energy value. Thus, sprouted corn flours enriched with Oryctes owariensis exhibited a higher protein content of up to 29.73 ± 5.87% for FMaGO25. However, those enriched with Rhynchophorus phoenicis had higher fat levels estimated at 21.24 ± 0.772% with 466.67 ± 9.325 kcal / 100MS for FMaGR 22.5. However, only FMaGR20 flour is close to the standard established by Codex Alimentarius. Microbiological loads detected in these flours were lower than standards applicable to flours. Conclusion and application: Incorporation of the larvae of Oryctes owariensis and Rhynchophorus phoenicis made it possible to obtain an enriched corn flour. These formulations can therefore be recommended in the fight against nutritional deficiencies. Thus, FMaGR20 will contribute to the fight against child malnutrition. Keywords: Improved flour, sprouted corn, larvae, Rhynchophorus phoenicis, Oryctes owariensis, Edible insects
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Delobel, A. "Uscana caryedoni [Hym.: Trichogrammatidae]: Possibilités d'utilisation en lutte biologique contre la bruche de l'arachide,Caryedon serratus [Col.: Bruchidae]." Entomophaga 34, no. 3 (September 1989): 351–63. http://dx.doi.org/10.1007/bf02372474.

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Thiaw, C., EV Coly, S. Djiba, M. Diop, O. Ndoye, N. Cisse, and M. Sembene. "Senna occidentalis L., une plante prometteuse dans la lutte contre Caryedon serratus Ol. (Coleoptera, Bruchidae), insecte ravageur des stocks d’arachide au Sénégal." International Journal of Biological and Chemical Sciences 9, no. 3 (September 9, 2015): 1399. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v9i3.24.

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Sékétéli, A., L. Johannes, M. Van de Laar, and F. A. S. Kuzoe. "Essais d'épandage au sol de la deltaméthrine poudre mouillable à différentes doses contre Glossina palpalis (s.l.) dans une zone préforestière de Côte d'Ivoire." Insect Science and Its Application 6, no. 2 (April 1985): 187–92. http://dx.doi.org/10.1017/s1742758400006615.

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Abstract:
RésuméDes essais d'épandage au sol de deltaméthrine poudre mouillable 2,5% (NRDC 161) ont été effectués en janvier et novembre 1981 dans le foyer à Trypanosomiase humaine de Bouaflé, Côte d'Ivoire. Ces essais visaient à évaluer l'effet de différentes doses de ce pyréthrinoïde de synthèse sur la densité apparente par piègeage de G. palpalis (s.l.), vecteur de la maladie du sommeil dans la zone concernée. Trois doses ont été testées: 60 g de matière active (g.m.a.) par hectare à la concentration de 0,08% en janvier; 20 et 12 g.m.a./ha en novembre, aux concentrations de 0,027 et 0,016% respectivement. Pour chaque dose donnée, les traitements ont été exécutés une suele fois et à l'aide d'atomiseurs portatifs, Solo Port 423 de 5 m de portée. Les effets immédiats, à court et à moyen terme de l'insecticide sont très satisfaisants qu'il s'agisse des doses de 60 et 20 g.m.a./ha ou de la plus faible dose de 12 g.m.a./ha: taux de réduction de la densité apparente (D.A.P.) du vecteur compris dans l'ensemble entre 90 et 98% durant les deux premiers mois après traitement, quelle que soit la dose. A long terme, des taux de réduction dépassant 95% ont été obtenus jusqu'à 4 mois après épandage même avec la plus faible dose de 12 g.m.a./ha. La plus forte dose de 60 g.m.a./ha ne semble apporter aucun gain appréciable ni dans les taux de mortalité du vecteur, ni dans la rémanence de l'insecticide dans la zone d'étude. Afin de diminuer le cout en insecticide d'une éventuelle campagne de lutte chimique antiglossine et de sauvegarder au mieux les ressources de l'environnement, il est donc recommandé que la deltaméthrine p.m. en épandage au sol et en traitement rémanent, soit utilisée à la dose de 12 g.m.a./ha.
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Audemard, H., C. Leblon, U. Neumann, and G. Marboutie. "Bilan de sept années d'essais de lutte contre la Tordeuse orientale du pêcher Cydia molesta Busck (Lep., Tortricidae) par confusion sexuelle des mâles." Journal of Applied Entomology 108, no. 1-5 (January 12, 1989): 191–207. http://dx.doi.org/10.1111/j.1439-0418.1989.tb00448.x.

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Charmillot, P. J. "Les régulateurs de croissance d'insectes (RCI), mimiques de l'hormone juvénile, en tant que moyen de lutte morphogénétique et ovicide contre les tordeuses des vergers." Entomologia Experimentalis et Applicata 51, no. 1 (April 1989): 59–69. http://dx.doi.org/10.1111/j.1570-7458.1989.tb01214.x.

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Savadogo, Abdoulaye, Boniface Babo Bakouan, Mathieu Wendnéyidé Sawadogo, Karim Nébié, Rémy Dabiré, Djakaria Son, Irénée Somda, et al. "Distribution et dégâts associés au thrips de l’oignon, Thrips tabaci L. (Thysanoptera : Thripidae) en fonction de la zone agro-climatique au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 6 (October 6, 2020): 2037–48. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i6.9.

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Abstract:
L’oignon est le premier légume produit au Burkina Faso. Thrips tabaci constitue son principal insecte ravageur. Ce travail avait pour objectif d’évaluer la distribution, l’incidence et la sévérité des attaques de T. tabaci sur l’oignon. L’étude a été réalisée dans trois bassins de production représentatifs de deux zones agroécologiques du Burkina Faso : la zone sahélienne caractérisée par une pluviosité moyenne annuelle inférieure à 600 mm et une température moyenne annuelle de 35 °C ; contre une pluviosité moyenne annuelle comprise entre 600 et 900 mm et une température moyenne annuelle de 33 °C pour la zone nord soudanienne Nous avons réalisé des prospections dans 45 parcelles paysannes dans les zones de production ciblées. Des plantes d’oignon ont été prélevées dans trois quadrats posés sur une des diagonales de chaque parcelle, et les thrips trouvés sur chaque plante de chaque quadrat comptés. Tous les plants à l’intérieur du quadrat ont été donc observés. La densité moyenne la plus élevée (216 ±385 thrips au m2) a été observée dans la région du Nord tandis que l’incidence moyenne la plus élevée (95,91±8,92%) a été observée dans la Boucle du Mouhoun. La plus faible sévérité (19,29±13,27%) a été enregistrée dans le Plateau central. Cette étude est un premier pas vers le développement de stratégies alternatives de lutte contre les parasites dans le cadre de systèmes de production végétale durables à l’aide de bonnes pratiques agricoles et de l’utilisation des pesticides biologiques.Mots clés : Oignon, Thrips tabaci, incidence, sévérité, répartition, Burkina Faso. English Title: Distribution and damage associated with the onion thrips, Thrips tabaci L. (Thysanoptera: Thripidae) according to the agro-climatic zone in Burkina FasoOnion is the first vegetable produced in Burkina Faso. Thrips tabaci is its main insect pest. We assessed the distribution, incidence and severity of T. tabaci attacks on onion in three-production areas representative of two agroecological zones of Burkina Faso: the the Sahelian zone characterized by an average annual rainfall of less than 600 mm and an average annual temperature of 35 °C; compared to an average annual rainfall of between 600 and 900 mm and an average annual temperature of 33 °C for the northern Sudanian zone. We carried out surveys in 45 farmer plots in the targeted production zones. Thus, onion plants were taken from three quadrats placed on one of the diagonals of each plot, and the thrips found on each plant were counted. All plants within the quadrat were therefore observed. The highest average density (216±385 thrips per m²) was observed in the North while the highest average incidence (95.91±8.92%) was observed in the Boucle du Mouhoun. The lowest severity (19.29±13.27%) was recorded in the Plateau central region. This study is a first step towards the development of alternative pest control strategies within sustainable crop production systems using good agricultural practices and the use of biopesticides.Keywords: Onion, Thrips tabaci, incidence, severity, distribution, Burkina Faso.
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Ndrianaivo, Elia N., Louisette Razanamparany, and J. P. Bergé. "Amélioration de la qualité du poisson fumé/séché, aliment accessible pour tous à Madagascar." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 3 (June 30, 2015): 107. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10171.

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Abstract:
Madagascar produit 5 900 tonnes de poissons fumés/séchés par an. Ces produits riches en protéines et à prix abordable se conservent facilement à température ambiante. Les poissons fumés/séchés sont prisés par la population malgache à faible revenu mais restent encore mal connus des consommateurs. De plus, l’infestation par les insectes entrave la conservation de ces produits. L’étude a eu pour but d’évaluer les caractéristiques de ces poissons, puis d’améliorer les méthodes ancestrales de fabrication et de conservation.Les analyses physico-chimiques et biochimiques ont été effec­tuées par des méthodes usuelles de dosage des composants ali­mentaires (tableau I). Une chromatographie en phase gazeuse a permis d’établir les profils acides aminés et acides gras des échantillons. Un jury spécialisé dans les produits halieutiques a participé aux analyses sensorielles.Le poisson fumé/séché contient moins de 10 p. 100 d’eau, per­mettant une conservation de 60 jours à température ambiante. Cet aliment riche en protéines (> 55 p. 100) (tableau I) renferme des teneurs élevées en acides aminés essentiels (entre 19 et 23 p. 100) (tableau II). Source de lipides (16 à 22 p. 100), il com­prend des acides gras insaturés, comme les acides oléique, lino­léique et arachidonique. Il s’oxyde toutefois facilement (indice totox : 181) ce qui influe sur les caractéristiques sensorielles : odeur rance, un peu aigre. L’odeur de fumée est peu intense car la teneur en phénols totaux est faible (0,2 à 1,1 mg/100 g) (4). Après cuisson, une odeur et une saveur caractéristiques de poulet se développent. Ces produits sont parfois riches en hydro­carbures aromatiques polycycliques (HAP), comme le benzopy­rène, nocifs pour l’homme (tableau III) (2). Les teneurs mesurées ici allaient jusqu’à 7 μg/kg, valeur bien supérieure à la limite recommandée de 2 μg/kg. D’autre part, ces produits pouvaient être infestés par des insectes.Des matériels pilotes, une tente solaire et un fumoir métallique, ont été construits et testés (1, 6). La tente solaire a limité l’in­festation par les insectes et le fumoir a permis de concentrer la fumée, contribuant à un fumage plus intense (9,4 mg/100 g de phénols totaux) et à une diminution de la teneur en HAP (réduite à 0,5 μg/kg) grâce à une meilleure maîtrise de la pyro­lyse (tableau III) (5). L’odeur et le goût de poulet étaient toujours présents avec une odeur de fumée plus accentuée. L’odeur rance a été atténuée. Un salage à 8 p. 100 a favorisé la conservation du produit en limitant la prolifération des insectes (3). Le poisson fumé/séché a gardé ses qualités nutritionnelles, ses caractéris­tiques organoleptiques ont été améliorées et la toxicité a été fortement réduite. L’utilisation d’autres matériels de séchage et de stockage permettant de lutter contre l’infestation des insectes est envisageable.
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Boussienguet, J., P. Neuenschwander, and H. R. Herren. "Essais de lutte biologique contre la Cochenille du manioc au Gabon: I. — Établissement, dispersion du parasite exotiqueEpidinocarsis lopezi [Hym.: Encyrtidae] et déplacement compétitif des parasites indigènes." Entomophaga 36, no. 3 (September 1991): 455–69. http://dx.doi.org/10.1007/bf02377952.

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Gnago, JA, M. Danho, TA Agneroh, IK Fofana, and AG Kohou. "Efficacité des extraits de neem (Azadirachta indica) et de papayer (Carica papaya) dans la lutte contre les insectes ravageurs du gombo (Abelmoschus esculentus) et du chou (Brassica oleracea) en Côte d’Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 4, no. 4 (January 7, 2011). http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v4i4.63035.

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"ERRATUM." Canadian Entomologist 131, no. 2 (April 1999): 282. http://dx.doi.org/10.4039/ent131282-2.

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Abstract:
RésuméIl y a maintenant plus de 85 ans, la Légionnaire bertha s’est révélée un insecte très nuisible aux entreprises agricoles dans l’ouest canadien et, depuis ce temps, des invasions se produisent à intervalles réguliers. La première invasion a été enregistrée en 1944 en Saskatchewan dans la nouvelle culture, le colza. L’exploitation de plus en plus fréquente du colza comme plante potagère a donné lieu à une augmentation considérable des dommages économiques causés par la légionnaire et a suscité l’usage de plus en plus répandu d’insecticides dans une tentative de lutte contre cet insecte ravageur. La découverte d’une phéromone spécifique à l’espèce et la mise au point d’un système de détection des adultes à la fin des années ’70 et au début des années ’80 a donné lieu à la conception d’une méthode permettant aux producteurs de prévoir très tôt les risques de dommages aux récoltes. En même temps, des méthodes d’estimation des populations de larves ont été élaborées, mais ces méthodes ont besoin d’être raffinées de manière à les rendre aptes à fournir une indication plus juste des risques de ravage dans les cultures de colza. La lutte contre la Légionnaire bertha est pour le moment fondée en grande partie sur l’utilisation d’insecticides chimiques, d’où la nécessité de mettre au point des stratégies de lutte intégrée.[Traduit au bureau de la Rédaction]
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Gnankiné, Olivier, Doulaye Traoré, Antoine Sanon, Remi Dabire, and Patoin Albert Ouedraogo. "Contribution à l'évaluation des potentialités d'Encarsia sp. (Hymenoptera: Aphelinidae) comme agent de lutte biologique contre la mouche blanche du cotonnier, Bemisia tabaci (Homoptera: Aleyrodidae) au Burkina Faso." International Journal of Tropical Insect Science 25, no. 04 (December 2005). http://dx.doi.org/10.1079/ijt200586.

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