Academic literature on the topic 'Instruments dérivés (Finances)'

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Journal articles on the topic "Instruments dérivés (Finances)"

1

St-Cyr, Louise, and Pierre Laroche. "ENJEUX EN MATIÈRE DE COMPTABILISATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS DÉRIVÉS ET CHOIX DES NORMES." Assurances 67, no. 1 (1999): 21. http://dx.doi.org/10.7202/1105248ar.

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2

De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15993.

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Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
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De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.03.01.

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Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
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Dissertations / Theses on the topic "Instruments dérivés (Finances)"

1

Gauvin, Alain. "Les dérivés de crédit : nature et régime juridiques." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010304.

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Abstract:
L'application de la technique du dérivé au crédit est, sans aucun doute, l'une des plus récentes innovations des marches financiers. On trouve trace des premières opérations sur dérives de crédit en 1992, aux États-Unis, l'objectif étant alors pour les banquiers de dégager du capital règlementaire ou même d'accéder au marché du crédit sans se positionner en qualité de préteur. On peut tenter une première approche du dérivé de crédit par une démarche comparative avec d'autres instruments voisins. Ainsi, alors qu'une valeur mobilière représente, s'agissant d'une action, une part de l'actif social et, dans le cas d'une obligation, une créance ; alors que les produits dérivés classiques, dits de la première génération tirent leur source des performances d'un actif sous-jacent, les dérivés de crédits eux, sont adossés au risque : ils en sont l'instrument de mesure et de négociation. En cela, certains auteurs ont pu, avec raison, parler de révolution financière. On pourrait comparer le dérivé de crédit à un miroir : il reflèterait purement et simplement le risque de contrepartie, non pas à un moment donné, mais tout au long de la vie du risque et en suivant fidèlement l'évolution, en retraçant symétriquement toute dégradation ou amélioration. Le concept de risque est capital pour définir et distinguer le dérivé de crédit d'autres produits dérivés car, en effet, les contours de cet instrument sont encore assez mal dessines ; le dérivé de crédit ayant autant de significations différentes que d'opérateurs l'utilisant. En dépit de ces nombreux avantages, les dérivés de crédit laissent, sur certains de leurs aspects le juriste songeur. L'avenir des dérivés de crédits dépend certes, des avantages économiques, comptables et commerciaux qu'ils offrent, mais aussi de la confiance que peuvent y investir les opérateurs. Confiance qui dépend de la sécurité juridique de ces instruments. S'assurer de la sécurité d'un instrument, quel qu'il soit, requiert de s'interroger sur sa nature et sa qualification juridiques pour, ensuite, en déduire le régime. Répondre à ces questions nous a conduit à nous prononcer sur la licéité des dérivés de crédit en droit français. C'était tout l'enjeu de cette thèse.
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2

Martin, David. "Les options fondamentales de la finance moderne : domestication sociologique d'un produit financier." Toulouse 2, 2005. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00158032.

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Abstract:
Cette thèse propose une façon sociologique de domestiquer un objet peu familier : le produit financier. Le cas retenu est celui de l'option : un des produits dérivés les plus controversés, qui s'est trouvé au coeur de la question sociale résurgente du "pouvoir de la finance". Ce travail s'inscrit dans une dynamique de recherche plus globale de reconquête des objets financiers par les sciences sociales entrepris depuis quelques années en France et au niveau international. En adoptant un centrage du regard sur le "produit" lui-même, l'auteur développe un ensemble d'opérations de recherches qui permettent de dessiner l'espace social (et technique) qui fait la teneur du produit. Un premier travail d'anthropologie historique propose alors de soumettre l'option financière à une "anamnèse" qui remonte à Babylone pour revenir à Amsterdam (17ème siècle) avec une étape par la Grèce de Thalès et Aristote. L'option s'avère alors relever d'un espace social solidaire d'un ordre politique et religieux. Néanmoins, le caractère trans-historique de ce "Phénix financier" laisse inexpliquée la spectaculaire transformation quantitative et qualitative subie par les produits dérivés contemporains sur les marchés organisés comme sur les marchés de gré à gré. La thèse s'attache alors à suivre le travail d'in-scription comptable et de pré-scription cognitive et formelle (ou juridque) qui sous-tend les transactions à base d'instruments financiers conditionnels. Cette dé-scription du produit donne alors à voir plusieurs modalités concrètes du processus de mondialisation financière. Au terme de cette analyse, l'écriture collective du produit s'avère fondamentalement prise en charge par "la théorie financière moderne". Ce paradigme financier fait alors l'objet d'une analyse plus attentive sur les relations -descriptives et prescriptives- qu'il a entretenu avec le marché réel au fil de son avénement. A partir d'une mise en évidence de la double spéculation pratique et théorique sur la "volatilité" (qu'ont eu à couvrir ces options), la thèse conclut alors sur la consécration mutuelle et auto-référencielle opérée par la théorie et le marché. Cettte double consécration exprime un visage fondamental du nouvel ordre social, politique et moral de l'option financière moderne.
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3

Gaudemet, Antoine. "Contribution à l'étude juridique des dérivés." Paris 2, 2008. http://www.theses.fr/2008PA020010.

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Abstract:
L’importance économique des dérivés n’est plus à démontrer, mais leur analyse juridique reste parcellaire. Cette étude se propose d’y remédier. Elle repose sur l’hypothèse que les dérivés ont pour objet de transférer le risque associé à la valeur d’une chose dans le futur, sans la chose elle-même. À partir de cette hypothèse, les origines juridiques des dérivés peuvent être identifiées. Ces instruments reposent alternativement sur le procédé du terme suspensif, de la promesse unilatérale de contrat ou de l’accord de reprise interne ; ce qui permet ensuite de les soumettre à une classification. Les dérives identifiées et classées, la recherche de leur identité juridique devient possible. Elle fait apparaître que ces instruments constituent, non pas seulement une communauté de contrats unis par l’objet, mais également une catégorie autonome reposant sur un procédé singulier. Les dérivés ont pour objet d’abstraire la valeur d’une chose sous-jacente pour permettre aux parties d’y exposer leurs espérances ou leurs craintes sur l’avenir. Ce procédé permet de les distinguer des autres contrats qui ont semblablement pour objet de transférer le risque associé à une chose, sans la chose elle-même, comme le contrat d’assurance ou les garanties du paiement. Dans le même temps, il fournit un principe et des règles au droit positif : les dérivés doivent demeurer essentiellement indifférents à la nature et au régime de la chose sous-jacente sur laquelle ils reposent. Instruments de transfert de risque, les dérivés sont aussi une source de risque pour les parties et, au-delà, pour les tiers qui sont en relation avec elles. La partie qui transfère un risque à son cocontractant peut n’être pas réellement exposée à ce risque, c’est-à-dire spéculer sur la survenance d’un événement aléatoire. De même, le cocontractant qui se charge du risque transféré peut n’être pas en mesure de l’assumer comme celui qui le lui transmet. Quant au résultat, la défaillance de l’une des parties dans l’exécution de ses obligations pourra entraîner celle de plusieurs autres personnes en relation directe ou indirecte avec elle. En présence de dérivés, le risque de contrepartie mute en « risque de système », c’est-à-dire en risque pour le système financier tout entier. La protection des parties peut être recherchée dans le droit commun. Au stade de la formation des dérivés, la menace de la sanction a posteriori des vices du consentement ne suffit pas à elle seule à garantir l’intégrité de l’échange des consentements des parties : des mesures préventives sont indispensables, sous la forme d’incapacités et d’une information précontractuelle étendue. Au stade de l’exécution, le risque de contrepartie né des dérivés, en plus d’être généralement indéterminé, est susceptible de passer d’une tête sur une autre pendant le cours du contrat. Cette situation inhabituelle a conduit la pratique à développer des garanties réelles originales désignées sous le nom de « collatéral », qui font une large place à la technique fiduciaire et aux mécanismes d’ajustement de l’assiette. Une autre forme de protection des parties, d’origine légale celle-là, peut enfin être recherchée dans la soumission de la conclusion des dérivés à un régime de monopole. La protection des tiers, en revanche, passe par des solutions plus originales. Elle repose sur un mécanisme conventionnel de « résiliation-compensation », qui combine droit de résiliation unilatéral et compensation. La compensation à laquelle il doit aboutir permet de réduire le risque existant entre les parties et, partant, le risque pour les tiers. Mais l’efficacité de ce procédé conventionnel se heurte aux règles du droit commun, en particulier aux règles du droit des procédures d’insolvabilité. Le législateur a généralement accepté de lever ces obstacles au nom de l’impératif de prévention du risque de système. Il est vrai que le système financier remplit une fonction d’intermédiation qui est d’intérêt général, de sorte que la lutte contre le risque de système peut être considérée comme une composante de l’ordre public économique de direction. Toutefois, les dérogations accordées ont été au-delà de ce qui était nécessaire à la prévention du risque de système.
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4

Ben, Khediri Karim. "L'utilisation des instruments financiers dérivés pour la gestion des risques de l'entreprise." Caen, 2008. http://www.theses.fr/2008CAEN0652.

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Abstract:
Cette thèse étudie les déterminants de la gestion des risques et son effet sur la valeur de l'entreprise en France. Les résultats des modèles Probit et Tobit indiquent que la couverture des risques est positivement reliée à la taille et à l'endettement et négativement reliée aux liquidités. Nous examinons aussi l'interaction entre les décisions de couverture et de financement moyennant un modèle à équations simultanées. Les résultats indiquent que les décisions de couverture et de financement sont déterminées conjointement. Nous trouvons que les entreprises les plus endettées sont plus incitées à couvrir les risques et que la couverture des risques augmente la capacité d'endettement des entreprises. Nous étudions aussi la relation entre la gouvernance d’entreprise et la couverture des risques. Nous trouvons que la couverture des risques est négativement reliée aux détenteurs de blocs d’actions externes et positivement reliée aux stocks-options. Cependant, il n'y a aucune évidence reliant la propriété managériale, les administrateurs indépendants et la taille du conseil d'administration à la couverture des risques. Enfin, nous examinons la relation entre l'utilisation des produits dérivés et la valeur de l'entreprise. Les résultats indiquent que la couverture des risques ne semble pas affecter la valeur de l'entreprise
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Tchapda, Djamen Idriss. "Évaluation de flux monétaires en présence d'un ou plusieurs risques de défaut." Lyon 1, 2002. http://www.theses.fr/2002LYO10164.

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Abstract:
. Cette thèse s'intéresse, dans un cadre d'intensité de défaut, à l'évaluation de flux monétaires de type européen soumis à un ou plusieurs risques de défaut. Elle comporte deux parties suivant la nature de la corrélation entre le risque de crédit et le risque de marché représenté par les fluctuations des taux d'intérêt. Dans la première partie, constituée de deux chapitres, nous supposons le risque de défaut indépendant du risque de taux d'intérêt. Le cadre économique du premier chapitre est identique à celui de Jarrow et Turnbull (1995). Nous prolongeons les résultats de ces auteurs à l'évaluation et la couverture de produits de taux d'intérêt plus complexes soumis au risque de défaut. Le deuxième chapitre prolonge les résultats du premier; cette fois, il existe dans l'économie deux agents soumis à des risques de défaut dépendants. Dans la seconde partie, également constituée de deux chapitres, nous supposons que le défaut est corrélé aux taux d'intérêt. De plus lorsqu'il existe plusieurs intervenants de marché soumis au risque de défaut, nous supposons leurs instants de défaut conditionnellement indépendants connaissant l'information sur les taux d'intérêt. Dans le troisième chapitre nous obtenons, en utilisant la technique de changement de numéraire, des formules fermées pour l'évaluation d'options vulnérables pour lesquelles le sous-jacent est soumis ou non au risque de défaut. Enfin, le quatrième chapitre s'intéresse à l'évaluation des produits dérivés sur crédit dans le cadre de Bielecki et Rutkowski (2001). Nous accordons une importance à la vulnérabilité des contrats en prenant en compte le risque de défaut du vendeur et, dans certains cas, celui de l'acheteur de la protection. Nous établissons des relations entre les prix des instruments financiers vulnérables et les prix de leur valeur sans défaut.
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Leonardi, Marie-Pascale. "Essais sur l'évaluation de produits dérivés sur actifs non négociés : de l'assurance à la finance." Paris 9, 2004. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=2004PA090070.

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Abstract:
Le but de cette thèse est d'étudier une méthode d'évaluation d'actifs contingents en marchés incomplets qui tienne compte de la préférence des investisseurs cherchant à maximiser l'utilité espérée de leurs richesses étant donné un niveau d'aversion au risque. Nous supposons qu'il existe une source de risque non négociée dans un marché financier et que les actifs contingents écrits dessus sont illiquides. Nous supposons également qu'il est possible de couvrir, au moins partiellement, le risque non négocié par un actif liquide et négocié. La première contribution de ce travail est de montrer que le prix d'un actif contingent écrit sur la source de risque non négociée se situe à mi-chemin entre la finance et l'assurance. En effet, ce prix, ou encore le prix d'indifférence, peut être exprimé comme un équivalent certain mais avec une aversion au risque modifiée et sous une certaine mesure de probabilité qui n'est pas la probabilité historique. La deuxième contribution de cette thèse est directement liée à la première puisqu'elle est une illustration empirique du résultat obtenu pour différents types d'actifs contingents : les dérivés climatiques et les options sur fonds. Chaque illustration empirique possède un apport supplémentaire. Pour le climat, différentes approches d'évaluation possibles sont considérées puis comparées avec le prix d'indifférence. Pour ce qui est des fonds, nous proposons également l'évaluation d'options à barrière. Enfin, la troisième contribution de ce travail porte sur l'évaluation de dérivés macros-économiques comme les options sur indice des prix à la consommation et sur Livret A
The goal of this dissertation is to study a valuation method of contingent claims in incomplete markets given that the investor tries to maximize his expected wealth with his attitude towards risk. We make the assumption that there exists at least one untraded source of risk in the financial market and that contingent claims written on this source of risk are illiquid. We also make the assumption that it is possible to hedge the investor’s position with a liquid proxy. The first contribution of this work is to show that the price of the contingent claim, namely the indifference price, lies between financial and actuarial pricing. We show the this price can be expressed as the certainty equivalent with a modified risk aversion parameter and under a given probability measure which is not the historical one. The second contribution is directly linked to the first one as it is an empirical illustration of the theoretical result for different types of contingent claims: weather derivatives and options on funds. As for weather derivatives, we consider different valuation approaches and compare them to the indifference price. As for options on funds, we give the price of both a standard option and a barrier option. Lastly, the third contribution provides comprehensive coverage of macro-economic derivatives as inflation-linked options and options written on the French Livret A
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7

Taleb, Nassim Nicholas. "Réplication d'options et structure de marché." Paris 9, 1998. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=1998PA090080.

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8

Patard, Pierre-Alain. "Ingénierie des produits structurés : essais sur les méthodes de simulation numérique et sur la modélisation des données de marché." Lyon 1, 2008. http://www.theses.fr/2008LYO10187.

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Abstract:
Cette thèse regroupe un ensemble de travaux sur les problématiques de simulation numérique et de modélisation des données de marché rencontrées lors du développement d'un système d'évaluation des produits dérivés actions. La première partie porte sur l'utilisation des méthodes de simulation Monte Carlo et Quasi-Monte Carlo pour évaluer des produits dérivés. Elle insiste plus particulièrement sur le choix et sur l'implémentation des générateurs uniformes, sur les techniques de simulation des variables gaussiennes et sur l'utilisation des méthodes de réduction de variance pour accélérer la convergence des estimateurs. La seconde partie porte sur la modélisation des paramètres de marché qui interviennent dans la dynamique des prix d'une action. Elle aborde successivement la construction des courbes zéro-coupon et des surfaces de volatilité implicite en absence d'arbitrage puis l'évaluation d'une option Européenne en présence de dividendes discrets dont les montants sont connus à l'avance
This thesis gathers a set of studies dealing with the problematic of numerical procedures and with the problematic of market data modelling met during the development of an equity derivatives valuation tool. The first part relates to the use of Monte Carlo and Quasi-Monte Carlo simulations in order to price derivatives. It insists more particularly on the choice and the implementation of uniform generators, on the techniques employed to simulate Gaussian variables and on the variance reduction procedures that can be applied to improve the convergence rate of the estimators. The second part relates to the modelling of the market parameters, which influence the stock price dynamic. The first two chapters deal successively with the zero curve construction and the implied volatility surface fitting under the no-arbitrage assumption. The third chapter resolves the European option-pricing problem in the presence of discrete cash dividends
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Souveton, Rémi. "Gestion de portefeuilles internationaux et instruments dérivés : quelques exemples de mesures du risque et de la performance." Aix-Marseille 3, 1996. http://www.theses.fr/1996AIX32048.

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Abstract:
Ce travail propose quelques outils destines a ameliorer l'evaluation du risque et la mesure de performance sur les marches financiers. Apres une description, dans les deux premiers chapitres, des marches internationaux et des produits derives, nous etudions dans une troisieme partie les consequences de l'hypothese d'absence d'opportunite d'arbitrage dans un contexte international. En particulier, nous etablissons une relation entre les primes de risque dans deux pays et la seule volatilite du taux de change, nous donnons ensuite le prix des options croisees sur devises. Ceci nous permet de calculer le coefficient de correlation implicite entre deux devises, ce coefficient est compare dans une etude empirique avec la correlation historique. Dans une quatrieme partie, nous traitons de la performance de portefeuille en utilisant la technique statistique du bootstrap. Cette technique statistique permet de resoudre les problemes de petits echantillons que l'on rencontre dans la mesure de performance en particulier lors de situations de krach, mais aussi parce que, sur toute periode, on observe une seule trajectoire realisee des rendements et des prix. Cette etude comporte deux parties empiriques portant d'une part sur des portefeuilles de devises, d'autre part sur des portefeuilles de devises et d'actions. Enfin, dans une derniere partie, nous evaluons le risque de defaut sur les contrats a terme, et les consequences des mecanismes d'appels de marges sur ce risque. Nous donnons le cout et la probalite de ce defaut pour des contrats a terme, dans le cas d'existence ou non d'appels de marges. Pour ces deux quantites et ces deux types de contrats des simulations numeriques sont effectuees. Le prix de l'option de defaut est egalement donne dans le cas ou il existe un mecanisme de coupe-circuit
This dissertation provides some tools intend to improve valuation of risk and measurement of investment performance. The first two chapters discuss international markets and derivatives. The purpose of the chapter 3 is to develop some consequences of the assumption of no arbitrage opportunities on international markets. Especially, we derive a relationship between risk premium in two countries and the sole volatility of exchange rates. Then, we price cross currency option. Such an option provides an implied correlation coefficient between two currencies. In an empirical study we compare this coefficient with the historical coefficient. The chapter 4 deal with measure of performance using the statistical technique of bootstrap. This technique is attractive in order to resolve problems due to small sample that occur when we measure the performance of a portfolio during a krach, but also because, on every period, we observe only one path of returns and prices. This study includes an empirical part about the performance of a portfolio involving currencies and indices. In the last part, we evaluate the risk of default on future and forward contract and the impact of a margin call mechanism on the risk. For the two kind of contract some numerical simulations are run. The "option of default" is also priced when the future price is ruled by some circuit-breaker regulation
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Belgrade, Nabyl. "Contribution à la finance mathématique : modélisation de l'inflation en finance de marché." Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010010.

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Abstract:
En dépit de la croissance récente du marché européen des produits dérivés d'inflation, il n'existe pas encore de modèle classique ou standard pour décrire ce marché particulier. Les divers modèles économétriques expliquant l'inflation sont inadaptés pour évaluer ces dérivés d'inflation. Cette thèse s'inscrit dans une critique du modèle de Jarrow-Yilidirim (2000) et de l'approche de coïntégration (2000) afin d'élargir le champs d'évaluation des obligations indexées sur inflation aux produits dérivés. Le but de cette thèse en mathématiques appliquées est de décrire d'une manière consistante le marché varié des swaps et des options inflation (zéro coupon et annuels) pour proposer des méthodes d'évaluation de produits (swaptions) exotiques et hybrides ; des problématiques annexes y seront également traités comme l'aspect smile ou l'effet de la saisonnalité. Les disciplines mathématiques utilisées pour les besoins d'évaluation, l'estimation et la calibration sont le calcul stochastique, l'optimisation et l'économétrie.
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Books on the topic "Instruments dérivés (Finances)"

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Hume & Associates. The TED spread. [Willowdale, Ont.]: Hume & Associates, 1986.

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Kohl-Landgraf, Peter. PDE valuation of interest rate derivatives: From theory to implementation. Norderstedt: Books on Demand GmbH, 2007.

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Vedeilhié, Robert. Tout savoir sur les produits structurés. 3rd ed. Paris: Gualino, 2007.

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John, Hull. Options, futures and other derivatives. 7th ed. Upper Saddle River, NJ: Prentice Hall, 2008.

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5

John, Hull. Options, futures, and other derivatives. 3rd ed. Upper Saddle River, NJ: Prentice Hall, 1997.

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6

John, Hull. Options, futures, and other derivatives. 3rd ed. Upper Saddle River, N.J: Prentice Hall, 1997.

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7

A, Overdahl James, ed. Financial derivatives. 3rd ed. Hoboken, N.J: John Wiley, 2003.

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8

A, Jarrow Robert, and Fuji Capital Markets Corporation, eds. Over the rainbow: Developments in exotic options and complex swaps. London: Risk Pub., 1995.

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9

Institute, CFA. CFA Program Curriculum: Level II, 2008. Boston, Mass: CFA Institute/Pearson Custom Publishing, 2008.

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10

Cesa, Mauro. Post-crisis quant finance. London: Risk Books, 2013.

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