Academic literature on the topic 'Intérêt personnel – 16e siècle'

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Journal articles on the topic "Intérêt personnel – 16e siècle"

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Esclapez, Christine. "Sémiotique, sens et démocratie. Oeuvres musicales et dispositifs participatifs." Recherches sémiotiques 37, no. 1-2 (September 24, 2018): 89–108. http://dx.doi.org/10.7202/1051477ar.

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Abstract:
Il s’agira dans cette contribution de questionner le sens du musical à partir de l’ancienne notion de « parole » issue de la linguistique saussurienne et de l’élargir à celle de « participation » qui connaît à l’heure actuelle un intérêt croissant dans notre monde contemporain. Cet arrière-fond théorique s’incarnera dans une « situation » particulière : le développement des dispositifs interactifs scène-artiste-public qui est progressivement devenu, depuis le début du XXIe siècle, le lieu d’une expérience artistique à échelle collective. Dans le champ musical, ces situations sont particulièrement effectives dans les concerts participatifs qui sont de véritables expériences, émotionnellement intenses car vécues collectivement en live. À la suite des travaux de la philosophe Joëlle Zask (2011), nous proposerons un protocole sémiotique qui permette d’analyser ces dispositifs sous l’angle de la réappropriation individuelle de la langue, de son individuation, de sa création ou re-création. Nous nous donnerons ainsi l’opportunité de retravailler notre rapport à la démocratie en considérant les concerts participatifs comme de possibles zones d’apprentissage (ou de réapprentissage) de notre engagement (ou ré-engagement) personnel.
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Sirvent Ramos, Ángeles. "Los diarios de Roland Barthes." Anales de Filología Francesa 27, no. 1 (November 15, 2019): 331–46. http://dx.doi.org/10.6018/analesff.394861.

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Abstract:
Les textes inédits d’un écrivain, d’un intellectuel, relèvent toujours d’un grand intérêt, et leur publication est toujours très bien accueillie. Avoir publié, dans ce XXIe siècle, des textes inédits de Roland Barthes, tels les notations d’un journal personnel, a plus de valeur, non seulement parce que Barthes avait décrété le besoin de la “mort de l’auteur”, non seulement parce que nous apprenons des détails et des réflexions personnelles, mais parce que ces fragments révèlent l’écriture intime de Barthes, ainsi que ses hésitations et ses projets pour une nouvelle écriture. Nous faisons remarquer la valeur en soi de ces textes, écrits en des carnets ou sur des fiches, mais aussi, et après avoir révisé les brouillons de son futur projet Vita Nova, il nous est permis d’affirmer que ces fragments auraient fourni le matériel de certains chapitres de cette œuvre, projet tronqué presque dès son début à cause de la mort prématurée de Barthes. The unpublished texts of a writer, of an intellectual, are always very revealing, and their publications pleasantly welcomed. In this sense, having unveiled, in this 21st century, unpublished texts of Roland Barthes, such as journal entries, are of great value, not only because Barthes had decreed the need for the “death of the author” and not just to know details and personal reflections, but because through them the intimate writing of Roland Barthes is revealed, as well as his hesitations and his projects of future writing. In this article, we show the intrinsic value that these texts –written on notebooks or files– possess, but also, and after observing the drafts of their future project Vita Nova, we let them intuit the use of them in such work; project truncated almost from the beginning because of his premature death. Les textes inédits d’un écrivain, d’un intellectuel, relèvent toujours d’un grand intérêt, et leur publication est toujours très bien accueillie. Avoir publié, dans ce XXIe siècle, des textes inédits de Roland Barthes, tels les notations d’un journal personnel, a plus de valeur, non seulement parce que Barthes avait décrété le besoin de la “mort de l’auteur”, non seulement parce que nous apprenons des détails et des réflexions personnelles, mais parce que ces fragments révèlent l’écriture intime de Barthes, ainsi que ses hésitations et ses projets pour une nouvelle écriture. Nous faisons remarquer la valeur en soi de ces textes, écrits en des carnets ou sur des fiches, mais aussi, et après avoir révisé les brouillons de son futur projet Vita Nova, il nous est permis d’affirmer que ces fragments auraient fourni le matériel de certains chapitres de cette œuvre, projet tronqué presque dès son début à cause de la mort prématurée de Barthes.
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Oosterbosch, Michel. "Overheidsbemoeiingen met het Antwerpse notariaat tijdens de XVIde eeuw." Tijdschrift voor Rechtsgeschiedenis / Revue d'Histoire du Droit / The Legal History Review 63, no. 1-2 (1995): 83–101. http://dx.doi.org/10.1163/157181995x00059.

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Abstract:
AbstractLa diffusion dans toute l'Europe du notariat public, d'origine italienne, se situe bien avant la fin du 13e siècle. Aux Pays-Bas, pays de droit coutumier, l'introduction de cette "nouvelle" institution est facilitée par la réception des droits savants et, avant tout, par l'organisation de la justice et de l'administration ecclésiastiques. Par la suite, le notariat public y est considéré, essentiellement et à juste titre d'ailleurs, comme une institution ecclésiastique. Vers 1500 cependant, les premiers signes d'un changement apparaissent. Le notariat y subit une laïcisation et une sécularisation graduelles, tant sur le plan personnel que sur celui de la compétence. En même temps, une professionalisation se manifeste: la fonction notariale évolue d'une profession secondaire et annexe à une profession libérale à temps plein. Toutefois, le notariat n'est nullement exempt de défauts: la prolifération du droit de nomination résulte en un nombre de notaires considéré comme trop élévé. Un manque de compétence professionnelle et de sentiment du devoir, des tricheries et avidité sont cités comme les abus les plus répandus. Les autorités centrales et locales se voient dans l'obligation d'intervenir. Pour le pouvoir central, il s'agit de prendre en main le contróle du notariat dans le cadre de l'unification du droit et des institutions; pour le pouvoir local, il s'agit de sauvegarder ses privilèges et de défendre ses compétences par la propagation de ses propres moyens d'authentification. Au 16e siècle, la politique princière n'envisage jamais une réforme globale du notariat. Des réformes partielles se dessinent dans deux édits, pourtant fondamentaux, de Charles Quint. L'ordonnance du 7 octobre 1531 introduit l'obligation pour tous les notaires d'obtenir une admission soit du Conseil Privé soit de l'un des conseils de justice provinciaux, pour l'exercice de l'office. L'édit du 4 octobre 1540 ordonne, entre autres, de tenir registre de tous les actes. La politique du magistrat anversois est à la fois défensive et offensive. Par deux stratégies convergentes, il tente d'atteindre son but: 1) la limitation des activités notariales par une interprétation restrictive de la compétence "canonique" ou médiévale des notaires (testaments, codicilles, contracts de mariage) et 2) par le renforcement de la surveillance urbaine des notaires, de l'exercice de la profession et de la conservation des protocoles. Les archives anversoises contiennent des exemples typiques de favoritisme de la part du magistrat envers les propres bureaux d'écriture. Les secrétaires et leurs clercs, les "stoelklerken", sont exhortés à plusieures reprises de propager la secrétairerie et de s'abstenir autant que possible de l'exercice du notariat. Cette politique trouve son apogée en 1565 dans le projet d'une ordonnance municipale, interdisant aux notaires de rédiger la plupart des contrats commerciaux. Malgré les protestations multiples, tant des notaires résidants auprès de la Bourse anversoise, qui font appel au Conseil de Brabant, que des nations commerciales, qui dirigent une requête fervente au magistrat, l'ordonnance est proclamée le 27 mars 1565 et réitérée le 8 mai 1576. Néanmoins, l'on peut se demander si les notaires et leurs clients se sont vraiment et complètement conformés aux règlements de l'autorité urbaine. Or, l'ordonnance de 1565 prévoit également la registration obligatoire des diplómes de création et d'admission des notaires par les secrétaires de la ville, ainsi que la déposition à la secrétairerie des protocoles des notaires défunts. Après la promulgation renouvelée de 1576, ces mesures sont reprises dans la codification des coutumes anversoises, imprimées une première fois en 1582. Le 24 janvier 1582, le magistrat (calviniste) d'Anvers, ordonne de dresser une liste compréhensive des notaires résidants dans la ville. Entre le 26 janvier et le 8 février, pas moins de 81 notaires sont enregistrés! Le 13 juin 1582, enfin. le magistrat tente d'assujettir complèment le notariat par l'introduction d'un droit municipal d'admission. La liste des notaires comporte finalement 105 noms. Pourtant, il n'est pas encore question d'une épuration ni d'une réduction du nombre. La reconquête d'Anvers par les Espagnols en août 1585 met fin aux aspirations du magistrat. L'autorité urbaine perd sa qualité d'instance de contróle. Elle ne retient ni le droit d'admission ni de présentation; même la registration des notaires semble avoir été abandonnée. C'est gráce à l'initiative du chancelier de Brabant que le nombre des notaires anversois est reduit à des proportions plus modestes: en décembre 1585, la ville ne compte que 39 notaires entre ses murs.
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Hervé, Caroline. "Communs." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.086.

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Abstract:
Les communs (commons en anglais) peuvent être définis comme un ensemble de ressources physiques, matérielles ou immatérielles que les êtres humains cherchent à exploiter, à gérer ou à protéger pour assurer leur survie biologique, économique, sociale ou encore culturelle. Très à la mode depuis une quarantaine d’années en anthropologie, sociologie, histoire, économie ou encore en philosophie, ce concept a vu son champ d’application s’élargir, ses propositions théoriques s’étoffer et ses analyses se complexifier, tout en perdant progressivement son sens historique. Sortis du champ académique et instrumentalisés par les mouvements de résistance au néolibéralisme, les communs sont désormais au cœur de débats de société. La façon dont cette notion interroge les interactions entre les êtres humains et leur environnement, son intérêt pour éclairer la fabrication du social et sa réutilisation dans le débat public en fait un objet de recherche riche pour l’anthropologie. La définition du concept de communs est une entreprise difficile tant il renvoie à des usages divers. Si certains chercheurs tendent à privilégier, en français, l’usage du pluriel afin de marquer la grande variété des ressources regroupées sous la terminologie de communs, que l’on parle de ressources naturelles, mais également sociales ou intellectuelles, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’utiliser le terme au singulier afin de souligner son potentiel théorique et pratique (Hardt et Negri 2012 ; Dardot et Laval 2014). L’origine étymologique du terme commun, construit sur les locutions latines cum et munus, renvoie à une idée centrale, celle de la mise commun ou de la gestion commune de biens, mettant l’accent sur le fait que le commun « implique donc toujours une certaine obligation de réciprocité liée à l’exercice de responsabilités publiques » (Dardot et Laval 2014 : 23). Ces deux aspects, celui de réciprocité et de responsabilité publique, sont au cœur de la définition historique des communs. Les origines du concept renvoient à une pratique de gestion des terres qui était courante dans différentes régions d’Europe avant la fin du Moyen-Âge et qui consistait en la gestion commune de certaines terres par un groupe de personnes ou d’unités familiales pendant une période de temps limitée. Dans certaines circonstances, tout le monde pouvait avoir accès à ces terres, selon des règles d’usage particulières ; dans d’autres cas, leur usage était restreint et contrôlé. Ce fonctionnement communal a progressivement été mis en cause par les autorités publiques et les cercles politiques à partir du milieu du XVIIIe siècle. En l’espace d’un siècle, la plupart des communs en Europe de l’ouest devinrent ainsi des propriétés privées ou publiques (De Moor 2011 : 425). Ceci correspond au phénomène connu des enclosures qui s’est particulièrement développé en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à travers lequel de larges étendues de champs ouverts, connus sous le nom de terrains communaux ou commons, ont progressivement été parcellisés et enclos (Hemmungs Wirtén 2013 : 2), dans un contexte marqué par l’augmentation démographique et l’industrialisation. Ce retour dans l’histoire est important pour comprendre les confusions qui sont apparues lorsque les chercheurs des différentes disciplines ont commencé à s’intéresser plus largement à la question des communs à partir du milieu du XXe siècle. L’une des confusions les plus importantes a été introduite par le biais du travail de Garrett Hardin dans son célèbre article « The Tragedy of the Commons », publié en 1968, dans lequel il explique que les communs sont susceptibles de surexploitation et donc de disparition. Sa thèse principale repose sur l’idée biaisée que les communs historiques étaient accessibles à tous et en tout temps. À la suite de la parution de cet article, les chercheurs ont ainsi commencé à utiliser le terme de communs pour faire référence à toutes formes de ressources utilisées par tous et sans contrôle, ce qui ne correspond pourtant pas à sa définition historique (De Moor 2011 : 425). L’article de Hardin a ouvert de nombreuses recherches portant sur les solutions à mettre en œuvre pour contrer la dégradation des communs. Mais ces travaux sont souvent restés coincés entre deux options : la prise en charge des communs par l’État ou par le marché. C’est dans ce contexte que le travail de la politologue Elinor Ostrom (1990), en proposant une troisième voie, a eu un retentissement important dans le monde académique, et même au-delà. La publication de son livre Governing the Commons constitue une étape essentielle dans les recherches sur la gestion des communs. Non seulement, elle montre que l’exploitation des communs ne mène pas inéluctablement vers leur fin, mais elle explore la diversité des arrangements institutionnels permettant la gestion de ceux-ci, sans pour autant avoir recours à l’État ou à la privatisation. Sa contribution est consacrée en 2009 lorsqu’elle reçoit, en même temps qu’Oliver Williamson, le prix Nobel d’économie pour son analyse de la gouvernance économique et celle des communs. La création de l’International Association for the Study of the Commons en 1989 ou encore la création de l’International Journal of the Commons en 2007, révélateurs d’un engouement scientifique pour la question des communs, permettent la diffusion des théories et des méthodes dans les différentes disciplines et dans la société civile, à tel point que l’étude même des communs comporte aujourd’hui des enjeux politiques, sociaux et même éthiques (Peugeot et Piron 2015). Les travaux d’Elinor Ostrom s’inscrivent dans une démarche résolument interdisciplinaire puisqu’elle utilise des études de cas, des concepts, des modèles et des méthodes issus de différentes sciences sociales, et tout particulièrement de l’anthropologie. Loin de développer une perspective purement institutionnelle, Ostrom s’intéresse en effet avant tout aux stratégies développées par les acteurs sociaux pour gérer des ressources en commun. Elle s’appuie pour cela sur de nombreuses études de cas développées par des anthropologues pour comprendre par exemple les systèmes d’irrigation au Népal, dans les Philippines ou à Los Angeles, la gestion des forêts en Inde, en Asie, en Afrique et en Amérique latine ou encore la pêche côtière en Inde ou au Canada (Acheson 2011 : 320). Même si son usage de l’anthropologie est qualifié de fragmentaire, puisque sortant ces études de cas de leurs contextes politiques ou culturels, ses travaux sont néanmoins reconnus comme une contribution majeure à la discipline anthropologique (Rabinowitz 2010). Outre celle des interactions entre les hommes et leur environnement, les travaux d’Ostrom rejoignent bien d’autres questions intéressant les anthropologues. Ils interrogent directement la gestion des ressources collectives, la nature des liens de coopération et la fabrique des communautés (Rabinowitz 2010 : 104), la production des normes et des règles sociales, ainsi que de la propriété, privée ou publique (Acheson 2011 : 320). Enfin, en montrant le rôle important de la réciprocité dans la plupart des cas de gestion alternative des ressources, les anthropologues ont mis en évidence, à partir de leurs différents terrains, le fait que l’homme n’était pas uniquement animé par une logique économique, mais que le symbolisme était central dans les pratiques d’échange, renvoyant ainsi aux théories sur le don, concept dont les anthropologues ont étudié les multiples formes dans les sociétés humaines. Dans la foulée des propositions théoriques de Hardin et de Ostrom, un véritable engouement s’est manifesté autour de la question de ces communs naturels, en anthropologie et dans les autres disciplines des sciences sociales. Ces travaux ont fourni des modèles inspirant pour d’autres types d’objets de recherche et plus récemment les chercheurs ont commencé à identifier de nouveaux communs (new commons), comme des biens communs sociaux (social commons) qui constituent des ressources sociales ou des services destinés à des groupes sociaux spécifiques, des communs de nature intellectuelle ou encore culturelle incluant des ressources aussi variées que la musique, l’artisanat, les technologies numériques, etc. (Nonini 2006 : 166-167). Certains anthropologues ont même avancé l’idée que les communs peuvent englober des dimensions plus invisibles de la vie sociale relevant du domaine cognitif, corporel ou affectif, comme par exemple chez les Urarina, peuple indigène du Pérou, pour lesquels la notion même de tranquillité doit être l’objet d’un partage ou d’une réciprocité (Walker 2015). L’extension du concept de communs à des domaines aussi divers de la vie sociale explique aujourd’hui la difficulté à en donner une définition uniforme et certaines ambivalences quant à ses usages et ses analyses. De façon plus générale, la naturalisation du discours sur les biens communs a nécessité de s’engager dans une réflexion critique sur cet objet, ce que l’anthropologie a pu prendre en charge à travers sa capacité à mettre en perspective la production du social. Le succès du terme ne s’est en effet pas limité au milieu académique. Dans le contexte des dernières décennies, alors que des corporations, des gouvernements et d’autres types d’institutions politiques, privées ou non-gouvernementales, ont dépossédé certains groupes humains de leurs ressources dans la mouvance de la globalisation néolibérale, des stratégies de résistance et de lutte pour conserver ou retrouver le contrôle sur ces biens se sont développées (Nonini 2006 : 165). Dans le même temps, les propositions théoriques sur les communs ont mis en valeur des alternatives séduisantes face à la mainmise du marché ou de l’État sur ces ressources. Les anthropologues ont ainsi montré que ces luttes ne concernent pas seulement le contrôle des ressources matérielles mais également le contrôle des significations culturelles associées aux communs et aux processus qui les préservent ou les détruisent (Nonini 2006 : 165). Les stratégies et les perspectives antagonistes des différents groupes se disputant les communs sont ainsi devenues des objets de recherche riches pour l’anthropologie. Dans le contexte sud-américain où la surexploitation des ressources naturelles s’impose comme un nouveau paradigme économique, le constat que chacune des deux parties réutilise le concept de biens communs et de communs pour légitimer, d’un côté l’exploitation des ressources naturelles, et de l’autre la lutte contre cette exploitation, rappelle la nécessité de repenser les fondements ontologiques de chacune de ces deux façons de concevoir la relation entre les humains et le monde naturel. Dans ce cadre, les peuples autochtones nous invitent plutôt à penser ces confrontations ontologiques à travers le concept d’« incommuns » ; celui-ci révèlerait plutôt l’existence et la persistance d’une certaine incompatibilité entre différentes façons d’être au monde. En effet, alors que les entreprises extractrices font reposer leurs justifications sur la distinction entre nature et culture, et plus précisément sur le contrôle de la nature par les êtres humains, les peuples autochtones de leur côté se perçoivent en continuité avec le monde naturel, engagé dans une relation réciproque avec lui et dans l’obligation de le protéger (Blaser et De La Cadena 2017 : 186-187).
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Dissertations / Theses on the topic "Intérêt personnel – 16e siècle"

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Duflos, de Saint Amand Donatienne. "Nature et fonction de la notion d'intérêt aux XVIe ET XVIIe siècles." Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100180.

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Abstract:
La notion d'intérêt, quasiment absente des représentations du monde et de l'action avant le XVIe siècle, connaît une extension prodigieuse durant les XVIe et XVIIe siècles jusqu'à devenir la notion incontournable et irréfutable que nous connaissons aujourd'hui. A travers l'étude des textes de ses principaux promoteurs, de Guichardin à Leibniz, et à partir de l'hypothèse que son introduction se présente à eux comme une solution leur permettant de résoudre les nouveaux problèmes auxquels ils sont confrontés, ce travail montre que la notion d'intérêt ne se laisse pas réduire à un seul mobile psychologique qui conduirait à la représentation d'un homme égoïste et à l'introduction du paradigme utilitariste. L'analyse de ses usages (économiques, moraux ou politiques), de ses objets, des sujets susceptibles de le prendre pour principe, de ses qualités (descriptif ou normatif, particulier ou général), de ses effets (utilité ou préjudice), permet de montrer que son enjeu est plus large, et touche à la modélisation du réel. Principe et variable correctrice, l'intérêt permet une maîtrise des phénomènes, une représentation phénoménale des relations de l'homme au monde. Son extension conduit à une revalorisation du sensible qui renouvelle la représentation des valeurs, évaluées désormais par la concurrence. Elle participe ainsi à la naissance de la modernité
Until the XVIth century, the notion of interest is nearly non existent in the representations of the world and of action. From the XVIth century and during all the XVIIth, it enlarges its uses as far as it becomes the notion we can't avoid nor refute nowadays. Through the study of its most important promoters, from Guichardin to Leibniz, and assuming that its introduction provides a solution that enables them to work out new problems they have to face, this work shows that the notion of interest is not a psychological motivation that would lead to the representation of a selfish man nor to the mere introduction of the utilitarian paradigm. The analysis of its uses (whether it's used to solve economic, moral or political problems), of its objects and subjects, of its qualities (either descriptive or normative, either particular or general) and of its ambivalent effects (utility, prejudice), enables to show that its stake is wider, in so far as the modelling of the reality is concerned. Interest works as a principle of action, as a corrective variable. It allows to get the phenomenons under control, to get a phenomenal representation of the relationships between the man and his world around. Its extension leads to an upgrading of tangible world, that gives the representation of value a new start, and appraises them throughout concurrence. Therefore, it takes part in the construction of modernity
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Cullière, Alain. "Les écrivains et le pouvoir en lorraine au seizième siècle : contribution a l'étude du règne personnel du duc Charles III (1559-1608)." Metz, 1994. http://www.theses.fr/1994METZ004L.

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Abstract:
L'objet de cette thèse est d'étudier, dans le contexte historique défini par le titre, le rapport qui liait l'écrivain aux différentes formes du pouvoir, ce qui revient a montrer comment l'état façonnait alors le statut littéraire et, inversement, comment les auteurs élaboraient et entretenaient les symboles de la politique. Une telle réflexion s'inscrit dans une dynamique historique qui prend en compte les rapports de force, les évènements et les circonstances; elle n'implique pas une vue panoramique de la culture, qui serait a la fois statique et quantitative. Le fait littéraire est envisagé ici comme une collaboration déterminante dans un système politique et culturel et non comme l'effet d'obscures vibrations intérieures. S'attachant surtout a l'environnement qui suscite l'écriture, le premier livre de la thèse établit la sociologie des profils et des carrières des écrivains. Le second livre est surtout consacre aux vocations et aux motivations; on y approche les oeuvres de plus près en distinguant, par commodité, ce qui relève du prince et ce qui relève de la foi. Dans le troisième livre enfin, le champ de l'observation s'élargit pour faire apparaitre les réseaux dans lesquels les écrivains ont évolué, les mouvements et les influences qui les ont marqués. En définitive, cette étude, qui s'appuie sur un corpus littéraire local aussi exhaustif que possible, restaure l'image de l'état lorrain de la renaissance, soucieux de sa souveraineté et de son identité, qui n'était ni province française, ni marche impériale
The aim of this thesis is to study the relationship which linked writers to the various forms of power, in the historical context set up in the above title. It comes tp show how the state shaped the literaruy status and, on the other hand, how the writers used to work out and laintain the political symbols. This reflexion comes within the scope of the dynamics of history and takes into account the different power struggles, the events, and the circumstances of the time. However, it does not imply a general outlook of the cultural background, which would be both a static and quantitative approach. The literary act is considered here as a determining collaboration on the political and cultural system, and not as the result of dim internal vibrations. The first volume of the thesis focuses on the background the writings spring from and establishes the sociology of the career profiles of the writers. The second one is mainly devoted to their vocations and motivations. Their works are studied more closely and, for greater convenience, a distinction is made between what falls within the province of the prince and what falls writhin that of faith. Finally, in the third volume, tha area of investigations is widened so as to put into light the different patterns in which the writers evolved, as well as the trends ans influences they were under
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Élissèche, Charles-Yvan. "La vie musicale à la Sainte-Chapelle de Paris aux XVIe et XVIIe siècles : étude du personnel musical." Thesis, Tours, 2015. http://www.theses.fr/2015TOUR2012.

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Abstract:
La thèse, fondée sur l’étude systématique des sources de première main, porte sur le personnel ecclésiastique et sur la vie musicale. Un fait propre à la Sainte-Chapelle est ainsi mis en avant : l’interdépendance du statut ecclésiastique et de la place de musicien. La vie musicale à la Sainte-Chapelle de Paris aux XVIe et XVIIe siècles n’a pas été réévaluée après Michel Brenet (1910). L’exploitation des sources, le développement des études liturgiques et les avancées de la recherche musicologique permettent de renouveler la connaissance de cette église et de sa musique. En fondant la chapelle du Palais, Louis IX établit le personnel ecclésiastique de la Sainte-Chapelle. Alors que la monarchie et la cour délaissent cette église au profit de la chapelle royale, François Ier établit une corrélation entre le personnel musical et l’ensemble des ecclésiastiques. Cette interdépendance, maintenue par le Chapitre, aboutit sous Louis XIVà une assemblée majoritairement constituée de musiciens
The musical life of the Sainte Chapelle in Paris during the 16th and 17th centuries has not been reassessed since the work of Michel Brenet (1910). The exploitation of sources, development of liturgical studies and advances in musicological research allow for a renewal of our understanding of this church and its music. By founding the Palace chapel, Louis IX established the clergy of the Sainte Chapelle. While monarchy and court abandon this church for the chapel royal, Francis I establishes a correlation between the musical and ecclesiastical staff of the Sainte Chapelle. This interdependence, maintained by the Chapter, results under Louis XIV in an assembly constituted of a majority of musicians. This thesis, based on the systematic study of primary sources, focuses on the clergy and musical activity. A particularity of the Sainte Chapelle is thus revealed: the interdependence of ecclesiastical status and appointment as a musician
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Barker, Harai Claire Taylor. "Les serviteurs de Navarre à Tours dans la seconde moitié du seizième siècle." Thesis, Tours, 2014. http://www.theses.fr/2014TOUR2022.

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Abstract:
Nombreuses sont les études portant sur les grands personnages de la maison de Navarre à l’époque moderne, mais leurs serviteurs n’ont pas encore fait l’objet d’une étude approfondie. Cette thèse a pour ambition d’examiner les 106 serviteurs de la Maison de Navarre qui sont présents dans les actes notariés tourangeaux de la seconde moitié du XVIe siècle conservés aux Archives départementales d’Indre-et-Loire. Complétées par des manuscrits (comptes royaux, mandements, quittances, etc.) conservés à Pau et à Paris, ces soucres éclairent la vie de ces individus, leurs liens de parenté et leurs rôles au sein des Maisons royales navarraises. À la lumière de cette documentation, nous découvrons les structures et le dynamique interne d’un « milieu navarrais » de Tours, dont le « coeur » était constitué d’une poignée de familles au service principalement des maisons de Jeanne d’Albret et d’Henri de Navarre, futur Henri IV
The early modern members of the royal family of Navarre have been the subjects of many academic studies, but the servants of their household have not yet been studied in depth. This dissertation aims to examine the 106 members of the household of Navarre whose presence is noted in notarial acts from 16th century Tours, stored in the Departemental Archives of Indre-et-Loire. These texts, combined with other manuscripts (royal accounts, letters, receipts, etc.) from Pau and from Paris, allow us to examine the lives of these individuals, how they were related, and what roles they played in the royal households of Navarre. Using source documents, we observe the structures and the internal dynamics of the « Navarrese milieu » that existed in the city of Tours, and its « heart » composed of a handful of families who primarily served the households of Jeanne d’Albret and of Henri de Navarre, the future king Henri IV
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Lapointe, Julien. ""Sous le ciel des Estatz" : les Etats généraux de Lorraine sous le règne personnel de Charles III (1559-1608)." Thesis, Université de Lorraine, 2015. http://www.theses.fr/2015LORR0029/document.

Full text
Abstract:
À la tête des duchés de Lorraine et de Bar, Charles III réunit des États généraux communs aux deux principautés pour obtenir le conseil et l’aide des trois ordres. L’habilité de ce duc sera par l’emploi de ce moyen traditionnel d’aboutir au renforcement de sa puissance et souveraineté. Régnant à une époque très troublée par les Guerres de Religion, le prince doit recourir de plus en plus souvent à l’aide de ses sujets pour lever des troupes et fortifier les villes. Pour lever des aides extraordinaires, le duc doit obtenir le consentement des États généraux, qui rarement le lui refusent. La multiplication des aides et leur quasi permanence entraîne un conflit avec les bourgeois de Bar. Saisi par ces derniers, le Parlement de Paris impose au duc la tenue d’États généraux distincts pour la partie du duché qui relève féodalement du royaume – le Barrois mouvant, entraînant la scission des États généraux. L’absence d’unité institutionnelle entre les deux duchés est surtout flagrante en matière d’organisation juridictionnelle. Une puissante Ancienne Chevalerie juge souverainement les procès civils dans le duché de Lorraine au sein des Assises. Mais l’institution est décadente et fait l’objet de débats constants au sein des États. Le duc cherche à imposer sa justice au détriment des juridictions féodales, et entend répondre aux vœux du Tiers État : qu’elle soit bien administrée. Dans le Barrois non mouvant, le duc érige une Cour Souveraine des Grands Jours de Saint-Mihiel. Cette érection est critiquée par la Noblesse locale, évincée au profit de juristes. Le duc ne se contente pas de lutter contre les juridictions féodales. Grâce à ses agents, il parvient à imposer progressivement sa justice au détriment des justices seigneuriales. Les seigneurs s’en offusquent par la voix des États. Enfin, c’est sous le règne de ce prince que les États procèdent à la réformation des coutumes, les modifications apportées traduisant les évolutions de la société lorraine
As sovereign Duke of Lorraine and Bar, Charles III convened the Estates General common to both principalities to obtain council and assistance from the Three Orders (clergy, nobility & commoners). The agility which with Charles III was able to use this ancient state tool reinforced both his power and sovereignty. During a reign troubled by the French Wars of Religion, the prince resorted time and time again to his subjects to raise troops and fortify city walls.To raise extraordinary taxation, the consent of the Estates General was necessary – though rarely was it refused. Nevertheless, the increase of these taxes and their semi-permanence brought the prince into conflict with the bourgeoisie of Bar. They appealed to the Parliament of Paris which compelled the Duke to hold separate Estates General, one for the portion of the fief ultimately subject to the jurisdiction of the Kingdom of France (the so-called Barrois mouvant), the other within the sovereign jurisdiction of the Duke. The lack of institutional unity between the two duchies is particularly blatant in terms of court structure. Civil matters are exclusively presided by the old and powerful Knights of the Duchy of Lorraine at the heart of the assizes. This system is, however, antiquated and highly contested in the Estates General. The Duke strived to divert litigation from the feudal courts into his own courts and, in responding to the wishes of the Third Order, to ensure the proper administration of justice. In the remaining territory subject to the Duke’s sovereign jurisdiction (the Barrois non mouvant), the Duke established a Sovereign Court of Great Days of Saint-Mihiel (Cour Souveraine des Grands Jours de Saint-Mihiel), which was criticised by the local nobility for usurping their feudal jurisdiction in favour of trained lawyers. Thanks to his supporters, reform is not limited to the above feudal jurisdictions, as the Duke’s courts gradually also supplant the manorial courts. Horrified by these developments, the nobility protested in the Estates General. It is under the reign of Charles III that the Estates General reform the custumals to keep pace with the social evolution of the Duchy of Lorraine
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Lieutaud-Tardivel, Marylène. "Fureur et constitution de soi chez Giordano Bruno : une étude archéologique." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040035.

Full text
Abstract:
Centrée sur la thématique de la « fureur héroïque » développée dans le dernier ouvrage écrit en langue italienne par Giordano Bruno, De gli eroici furori (1585), cette recherche explore une double problématique suivant deux perspectives. D’une part, du point de vue historique, quels sont les schèmes philosophiques qui peuvent être considérés comme des conditions de possibilité de l’émergence de la figure du Furioso, le philosophe-poète dont les poèmes et leur commentaire philosophique nous font suivre l’itinéraire affectif et cognitif dans sa poursuite d’une union naturelle et rationnelle avec le principe infini du réel ? Suivant une méthode archéologique, il s’agit de retrouver dans les strates de la culture philosophique des traces précises et exemplaires de la mise en place, de la transmission et de la transformation de ces schèmes fondamentaux chez des auteurs de l’Antiquité, du Moyen Âge ou de la Renaissance. D’autre part, du point de vue conceptuel, comment une expérience psychologique telle que cette rencontre noético-amoureuse, qui n’est jamais totalement aboutie en raison de la disproportion entre « le sujet » et « l’objet », et qui se présente, néanmoins, comme une dissolution de soi dans la disparition de la distinction entre sujet et objet, met-elle en oeuvre, paradoxalement, une constitution de soi ?
Focused on the theme of the “heroic frenzy” developed in Giordano Bruno’s last opus written in Italian language, De gli eroici furori (1585), this work explores a double issue from two perspectives. On the one hand, from an historical point of view, what are the philosophical schemes that may be considered as conditions of possibility for the emergence of the Furioso’s figure, the philosopher-poet whose poems and their commentary lead through a path of affects and knowledge in his own intellectual pursuit of a natural and rational bonding with the infinite principle of reality? Following an archeological method, specific and exemplary traces of these fundamental schemes are found within layers of philosophical culture, throughout works of authors of Antiquity, Middle Ages or Renaissance who set, relayed and modified them. On the other hand, from a conceptual point of view, the process of the Furioso’s psychological experience is studied. His both noetic and loving encounter with the Principle is never completely fulfilled because of the disproportion between “the subject” and “the object”. Nevertheless, it is presented as a dissolution of self by ending the distinction between the subject and the object. How does this experience paradoxically implements a constitution of self?
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