Academic literature on the topic 'Investissements français – Afrique subsaharienne'

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Journal articles on the topic "Investissements français – Afrique subsaharienne"

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Wonyra, Kwami Ossadzifo, and Françoise Okah Efogo. "Investissements directs étrangers et commerce des services en Afrique subsaharienne." Mondes en développement 189, no. 1 (2020): 125. http://dx.doi.org/10.3917/med.189.0125.

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Henley, Paul. "Avant Jean Rouch : le cinéma « ethnographique » français tourné en Afrique subsaharienne." Journal des Africanistes, no. 87-1/2 (May 1, 2017): 34–62. http://dx.doi.org/10.4000/africanistes.5209.

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Mbambi, Vincent Kangulumba. "Les droits originellement africains dans les récents mouvements de codification : le cas des pays d’Afrique francophone subsaharienne." Les Cahiers de droit 46, no. 1-2 (April 12, 2005): 315–38. http://dx.doi.org/10.7202/043841ar.

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Abstract:
L’histoire de la codification en Afrique est indissociable de celle de la colonisation. Celle-ci — du moins politique — a pris fin, il y a une quarantaine d’années, le temps pour les États africains d’adopter leurs propres lois adaptées à leur situation. Sans conteste, le Code civil des Français a influencé et influence encore les droits africains. Devant le dualisme juridique produit par l’importation de ce code, se pose néanmoins la question du choix à opérer soit pour la connaissance effective, l’acceptation et le respect des droits africains, soit pour l’écart criant entre la loi et les pratiques sociales. L’auteur a choisi de scruter la part des droits originellement africains dans les récentes réformes et de vérifier si les Africains y lisent effectivement l’état de leur droit et l’âme de leur société. Sinon, pourquoi et comment y pourvoir ?
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Bahalaokwibuye, Christian Bahati. "Perspectives sur l’indépendance de la justice arbitrale en Afrique subsaharienne. Les influences croisées entre la Cour Commune de Justice et d’Arbitrage (CCJA) et l’East African Community’s Court of Justice (EACJ)." KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques 6, no. 1 (2019): 114–30. http://dx.doi.org/10.5771/2363-6262-2019-1-114.

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Abstract:
Le présent article pose les perspectives sur les influences opportunes et mutuelles des systèmes arbitraux de la CCJA et l’EACJ dans la promotion de l’indépendance des arbitres. İl montre que, tout comme pour l’EAC, l’abitrage figure déjà dans le Traité de l’OHADA comme le mode de règlement des différends en vue d’améliorer le climat des investissements sur les territoires des Etats parties. La CCJA n’est pas un tribunal arb itral. Son intervention est placée en aval, comme juge de contrôle de la sentence bien qu’elle ne se contente pas d’un contrôle minimal. L’EACJ, qui a retenu l’option du cumul des fonctions de ses juges avec celles d’arbtres, pourra aussi, dans la moindre mesure, se contenter d’administrer les arbitrages ouverts conformément à son Règlement d’arbitrage. De ce point de vue, le système EACJ sera en parfait accord avec l’esprit du principe d’indépendance/ impartialité. En cette matière, nous pensons que la pratique de la CCJA ne manquera pas d’inspirer utilement des réformes du système d’arbitrage de l’EACJ, et qui révèle de plus en plus une prise de conscience certaine d'une croissante indépendance de ses arbitres en ayant opté pour la gratuité de l’arbitrage. Comme le Centre d’arbitrage de la CCJA est attaché à la Cour et que cette dernière est dotée d’une autonomie financière, il est temps de prendre des mesures de réduction de coût, non pas totalement analogues à celles de l’EACJ, à travers lesquelles on dispensera, par exemple les ressortissants de l’espace OHADA et les investisseurs étrangers, des frais administratifs de l’arbitrage. Il en résulterait un arbitrage sans influences, alternative crédible à la justice étatique qui affiche la lanterne rouge et facile d’accès aux justiciables impécunieux, qui rendra des sentences impartiales et légitimes.
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Aouici, Sabrina, and Rémi Gallou. "Ancrage et mobilité de familles d'origine africaine : regards croisés de deux générations." Enfances, Familles, Générations, no. 19 (March 12, 2014): 168–94. http://dx.doi.org/10.7202/1023776ar.

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Abstract:
L'article propose d’étudier l’évolution des relations au sein de familles d'origine subsaharienne vivant en France, à partir de l'interrogation de deux générations adultes (parents et enfants jeunes adultes). La double référence des pays d'attache en matière de pratiques, de valeurs, de normes ou de principes éducatifs est permanente. Enfants et parents apportent leurs regards croisés sur le parcours, l'histoire et le destin de chacun. La construction d’identités individuelles marquées par des références multiples diffère selon la génération d’appartenance. Les parents migrants restent attachés à leur identité africaine (ethnique, nationale, panafricaine, voire transnationale) tout en reconnaissant que leur identité a intégré une « part » française. Les jeunes en revanche déclarent se sentir citoyens français et souhaiteraient être reconnus comme tels. Les deux générations affirment se sentir à l’aise en France. Si les jeunes expriment un intérêt pour l’Afrique, preuve de leur attachement pour les terres d’origine, ils ne sont pas pour autant tentés d’y vivre. Quant aux parents, ils hésitent sur le lieu de leur « dernière demeure », entre reposer dans la terre des ancêtres ou être inhumés en France pour rester proches de la lignée qu’ils y ont fondée. La réflexion s’appuie sur une soixantaine d’entretiens réalisés auprès de parents migrants (socialisés en Afrique) et de leurs enfants (nés ou arrivés jeunes en France).
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Bertho, Elara. "HASSAN (Iyas) (édition critique, traduction et commentaire), Moïse l’Africain : migration de récits et brassage de mythologies en Afrique subsaharienne. Beyrouth ; Damas : Presses de l’Institut Français du Proche-Orient, coll. Ifpoche. Bilingue, n°3, 2018, 141 p. – ISBN 978-2-35159-745-3." Études littéraires africaines, no. 49 (2020): 240. http://dx.doi.org/10.7202/1073880ar.

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Peters, Manfred. "Martina DRESCHER (dir.) (2015), Médias et dynamique du français en Afrique subsaharienne." Communication, no. 34/2 (July 6, 2017). http://dx.doi.org/10.4000/communication.7081.

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Sola, Phosiso, Jolien Schure, Richard Eba’a Atyi, Davison Gumbo, and Irene Okeyo. "Politiques et pratiques en matière de bois-énergie dans certains pays d’Afrique subsaharienne – un examen critique." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 340 (May 15, 2019). http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.340.a31690.

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Abstract:
L'Afrique subsaharienne reste très dépendante des biocombustibles, qui couvrent 60 % de sa demande énergétique totale. Bien que le bois-énergie soit une source d'énergie importante pour des millions de personnes en Afrique subsaharienne, il est rarement suffisamment reconnu dans les politiques énergétiques. Depuis des décennies, les politiques gouvernementales ont supposé que la croissance économique et l'augmentation des revenus des ménages qui en résulterait entraînerait un passage à des carburants plus "modernes". Cependant, avec des niveaux de pauvreté toujours élevés et le manque d'accès à des sources d'énergie alternatives abordables, cette transition est loin de devenir une réalité. Cet article conceptualise la gouvernance du bois-énergie et analyse les politiques et les mécanismes institutionnels pertinents pour le sous-secteur du bois-énergie dans certains pays : Cameroun, République démocratique du Congo, Kenya et Zambie. Sur la base d'un examen structuré de la littérature, il évalue les politiques et les mécanismes juridiques existants et leur mise en œuvre, dans le contexte des pratiques actuelles le long des chaînes de valeur du bois-énergie dans ces mêmes pays. La principale conclusion est que, bien que le bois-énergie soit de plus en plus reconnu comme une source d'énergie majeure dans la plupart des pays, il est souvent associé à des résultats environnementaux négatifs et à des résultats socio-économiques positifs. Récemment, les gouvernements de plusieurs pays ont élaboré des politiques et des cadres législatifs pour guider, gérer, soutenir et réglementer la production et le commerce du bois-énergie. En dépit des dispositions légales, l'industrie du bois de feu fonctionne en grande partie dans le secteur informel et n'est pas réglementée et/ou réprimée dans certains endroits. La gouvernance des chaînes de valeur du bois-énergie est confrontée à des défis majeurs liés au manque de clarté des arrangements institutionnels et des mécanismes d'application, aux capacités limitées et aux comportements corrompus, ainsi qu'à l'insuffisance des investissements et du financement. Par conséquent, une gouvernance plus intégrée et mieux adaptée est nécessaire pour que les chaînes de valeur durables du bois-énergie deviennent une réalité.
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Jablonka, Frank. "Martina Drescher (ed.), Médias et dynamiques du français en Afrique subsaharienne (Langue, multilinguisme et changement social, 24), Frankfurt am Main, Lang, 2015, 304 p." Zeitschrift für romanische Philologie 132, no. 4 (January 1, 2016). http://dx.doi.org/10.1515/zrp-2016-0087.

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Dissertations / Theses on the topic "Investissements français – Afrique subsaharienne"

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Bost, François. "Les entreprises françaises en Afrique sub-saharienne : strategies et dynamiques spatiales." Paris 10, 1995. http://www.theses.fr/1995PA100146.

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Abstract:
"Les contraintes historiques, économiques et politiques (ancienneté des liens avec les pays de l'ex-empire colonial français, relations de personnes, francophonie, zone franc, etc. ) Ont prévalu jusqu'à une date très récente dans l'établissement des stratégies et des dynamiques spatiales des entreprises françaises en Afrique sub-saharienne. La conséquence directe en a été la surreprésentation de ces dernières en Afrique de l'ouest et centrale, au détriment du reste du continent africain. Gonflée artificiellement durant la période des cours élevés des matières premières, la présence française ne pouvait donc que s'étioler sous les effets de la crise économique. Cette logique du "pré carré" a eu aussi pour effet de bloquer l'évolution du capitalisme français sur ces marches très protèges et a laissé perdurer dans les mentalités des comportements néfastes au changement. Durable et structurelle, la crise africaine contemporaine constitue un tournant important et délicat à négocier pour la présence française. Loin de rester inactives et tétanisées devant ses conséquences, les entreprises françaises ont redécouvert la notion de stratégie et entrepris de s'adapter en profondeur au contexte nouveau. Leurs efforts ne restent pas isoles et s'accompagnent de ceux des bailleurs de fonds et des états pour conjurer l'afro pessimisme contemporain. Mais si les grands groupes ont maintenus globalement leurs réseaux d'implantations, en revanche les PMI-PME locales et à capitaux familiaux sont victimes d'un mouvement de désengagement conséquent. A la faveur de cette crise sans précèdent, les entreprises se sont intéressées plus que par le passe à l’Afrique de l'est et australe, espaces présentes comme plus porteurs, afin de compenser la baisse de leur activité dans les bastions d’Afrique de l'ouest et centrale. Le continent africain est désormais vu dans sa globalité et non plus simplement au travers du seul prisme francophone. "
History, economy and policy are the main factors which explain why the French forces were so important in west and central Africa. Until a short time ago, companies were in a euphoric period. That's why this part of the world has begun to be one of the most important areas for the French external business and also for the increase of companies number. With the establishment of the economic crisis in the 80', companies have turned their strategies into including this new context. At this time, big companies have maintained themselves, but number of the smaller has decreased significally. Nevertheless, during this period, French companies have discovered the rest of Africa and are begun to be more and more interested in countries as Kenya, Nigeria or south Africa. But in analyzing all French investments it appears that they are staying at a low in Africa, which is not a priority, instead of Europe, north America or Asia
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Lankoandé, Youmani Jérôme. "Économie politique des investissements directs chinois en Afrique subsaharienne." Master's thesis, Université Laval, 2009. http://hdl.handle.net/20.500.11794/21162.

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Abstract:
La République Populaire de Chine, appelée communément Chine, connaît la plus grande croissance économique soutenue des pays en développement (PED) de la dernière décennie. Alors que la plupart des PED peinent à trouver le chemin de la croissance, le modèle de développement économique de la Chine fait de plus en plus des envieux en Afrique. Fort de cette réussite, la Chine se positionne désormais comme un partenaire et un investisseur de premier plan pour les pays africains. La croissance des investissements chinois en Afrique plus que d'actualité est au centre de la politique et de l'économique internationale. L'objectif de ce mémoire est d'expliquer la croissance des investissements directs chinois en Afrique subsaharienne et d'identifier les déterminants économiques et politiques qui influencent les choix de destination de ces investissements. Il sera établi que pour soutenir la croissance économique chinoise, les investissements directs des sociétés d'État chinois sont orientés vers les pays à fortes potentialités en ressources naturelles. En outre, les résultats suggèrent que durant la période de 2003 à 2007, la taille du marché, la stabilité macroéconomique et politique, et la corruption n'ont pas d'influence sur la localisation des IDE chinois dans les pays d'Afrique subsaharienne. Les résultats révèlent enfin que, plus un pays de cette région est ouvert au commerce international, moins les sociétés chinoises s'orientent vers ce pays. Finalement, nos résultats nous laissent croire que l'approche chinoise des IDE sortants défie l'approche traditionnelle qui met de l'avant la stabilité politique et économique des pays récipiendaires, pour affirmer le besoin de changement de paradigme dans ce domaine.
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Lahimer, Noomen. "La contribution des investissements directs étrangers à la réduction de la pauvreté en Afrique subsaharienne." Paris 9, 2009. https://bu.dauphine.psl.eu/fileviewer/index.php?doc=2009PA090011.

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Abstract:
Ce travail analyse les effets des IDE sur la réduction de la pauvreté en Afrique Subsaharienne entre 1990 et 2005. Nous décomposons les effets des IDE sur la pauvreté en deux mécanismes : institutionnel et économique. Premièrement, l’étude du mécanisme institutionnel par une analyse en composante principale, montre que les IDE manufacturiers sont positivement corrélés avec les dimensions du développement, du climat d’investissement et de la réduction de la pauvreté. Deuxièmement, l’analyse des effets économiques des IDE sur la réduction de la pauvreté se scinde en deux volets. D’une part, les firmes multinationales peuvent soit évincer soit stimuler les firmes locales. L’application de la méthode d’estimation GMM d’Arenallo et Bond (1991) sur un panel de pays de la sous-région montre que les IDE exercent des effets d’éviction sur les investissements locaux. D’autre part, les IDE affectent la pauvreté absolue à travers leurs effets sur la croissance et sur les inégalités. En utilisant les techniques d’estimation en équations simultanées sur des données de panel nous trouvons que les IDE dans les industries extractives favorisent la croissance mais augmentent les inégalités. Par conséquent, l’augmentation de ces IDE serait suivie par une augmentation du taux de la pauvreté absolue. Ainsi, la réduction de la pauvreté dans ces pays doit se baser principalement sur des processus de distribution
We examine the contribution of FDI on poverty reduction in Sub-Saharan Africa from 1990 to 2005. The effects of FDI on poverty are analyzed through two mechanisms: institutional and economic. First, analyzing the institutional mechanism by a principal component analysis, we find out that manufacturing FDI are positively correlated with economic development, investment climate and reducing poverty. Second, we analyze the effects of FDI on poverty through economic mechanism within two parts. On one hand, multinational firms can crowd-in or crowd-out local firms. Using adequate econometric method “GMM Arenallo and Bond (1991)”, we detect that FDI in Sub-Saharan African countries crowd-out local investments. On the other hand, FDI affect absolute poverty through their effects on both growth and inequality. Using a simultaneous equations model, we’ve found that extractive FDI promote growth but increase inequality. This leads to an increase of absolute poverty. Thus, poverty reduction in Sub-Saharan Africa should be based, primarily, on distribution processes
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Koanda, Mady. "Contribution à la connaissance du comportement financier et des performances financières des entreprises industrielles en Afrique : une application de la théorie de l'agence." Poitiers, 2005. http://www.theses.fr/2005POIT4002.

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Abstract:
Les comportements et performances financières des entreprises africaines au sud du Sahara (Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Niger et Sénégal) ont été analysés en ayant recours à la théorie positive de l'agence. La conception de la firme africaine comme « nœud de contrats » a amené à distinguer trois types de firme : firme « contrôlée », firme « communautaire », et firme publique. La typologie ainsi retenue reflète les problèmes de séparation des fonctions de propriété et des fonctions de décision ainsi que les conflits d'intérêt et les coûts d'agence qui en découlent. Elle prend notamment en compte une spécificité de l'environnement africain : la pression communautaire, expression de l'impact de la famille, du clan sur la gestion de la firme en Afrique. La prise en considération des relations d'agence dans l'interprétation des décisions financières et des performances conduit à des résultats probants. Par collecte de données financières et enquête auprès des principaux responsables d'un échantillon de firmes industrielles nous montrons que la forme organisationnelle et donc le type de relation d'agence a un impact sur le comportement financier envisagé. Les objectifs financiers multiples assignés à la fonction financière sont différents selon les formes organisationnelles. La politique d'investissement est sous optimale et en fonction du type d'entreprise, elle se traduit par un sous investissement ou surinvestissement. Globalement, les décisions financières fondamentales prises dans les entreprises africaines s'expliquent par les nécessités de la gestion de la relation d’agence et corroborent ainsi les conjectures de la théorie financière de l'agence. Les firmes fixent à la fonction financière des objectifs qui contribuent à gérer les principaux conflits d'intérêt. Le recours à l'endettement est une voie permettant dans les firmes « contrôlées » de réduire le surinvestissement. Les conflits d’intérêt particulièrement vivaces entre les banques et les firmes « communautaires » justifient en partie le sous investissement constaté. Les performances observées des firmes en Afrique sont liées à la forme organisationnelle. Alors que les firmes « contrôlées » sont performantes du point de vue des actionnaires (rentabilité financière), les firmes « communautaires » le sont du point de vue de l'ensemble des parties prenantes de la firme (rentabilité économique) et les firmes publiques ne le sont pas du tout
The financial behavior and performances of industrial firms in sub-Saharan countries (Burkina Faso, Cote d'Ivoire, Niger and Senegal) have been analysed on the basis of the positive theory of agency. The notion of African enterprise as “nexus of contracts” leads to distinguish three types of enterprises : the “monitoring” enterprise, the “community” enterprise and the public enterprise. The model chosen bring to the core problem of separation of ownership rights from decision-making rights as well as the conflicts of interests and agency costs that are entailed. It mainly takes into account one specificity of African environment : the community pressure, family and clan influence on enterprise management in Africa. Taking the agency's relation into consideration to analyze the interpretation of financial decisions and performances leads to convincing results. On the basis of findings of a survey from principal officials of enterprises and on the collection of accounting and financial data, uni-varied and multi-varied statistics processing were carried out to test three (3) research hypotheses. In many cases, the organizational design namely type of agency relation influences the expected financial behavior. The various financial objectives connected to the financial function are different according to the organizational design. The investment policy is under optimal and it depends on the type of the firm. As a result, there is an underinvestment or an overinvestment regarding the type of the firm. Generally speaking, the basic financial decisions made within African firms are explained by the need of the management of the agency relation and they corroborate in this way the conjectures of financial agency theory. Thus, the firms have set some targets that contribute to manage the basic conflict of interests. Indebtedness is a way that enables the “monitoring” firms to reduce overinvestment. The conflict of interests, which is particularly hard between banks and “community” firms, is the main cause of underinvestment. The performances of African firms are connected to the organizational design. While “monitoring” firms are successful from the shareholders point of view (return on equity), “community” firms are successful according to the contracting parties (return of assets). Concerning public firms, they are not successful at all
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Djon, Ndoum Benoît-Pierre. "La stratégie d'implantation des banques américaines en Afrique noire." Paris 9, 1988. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=1988PA090022.

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Abstract:
L'objet de cette thèse est de contribuer à l'analyse des facteurs explicatifs des investissements directs bancaires internationaux en se référant au phénomène de création des agences de plusieurs banques américaines sur le continent noir africain pendant les années 70. En prenant comme fil directeur de recherche la théorie des groupes stratégiques de Porter et Caves, il ressort que les grandes banques commerciales des Etats-Unis pénétrant l’Afrique noire durant les années 70 ont réalisé des options fondamentales qui les caractérisent vis à vis des banques européennes installées depuis l'époque coloniale sur ce continent comme un groupe de banques. Si ces options permettant aux banques américaines d'éviter ou d'éliminer certaines barrières à l'entrée ou à la sortie elles traduisent un comportement de groupe de banques, elles n'ont pas entrainé des répercussions notables sur la structure compétitive des systèmes bancaires africains, ceux-ci étant encore largement dominés par les anciennes succursales des banques européennes ( françaises, britanniques)
This thesis is a contribution to the analysis of international banking direct investments with a reference to the implantation of many USA commercial banks in Africa during 1970's. On the light of the strategic groups theory of porter and caves, we have tried to show that American banks creating agencies in black Africa during 1970's set some fundamental options which traduce a behavior of a strategic group. If these options permit to USA commercial banks to eliminate some entry or exit barriers and to move as a group of banks, they repercussions on the competitive structure of the African banking systems were very low. The European banks (French, English) which were almost represented in Africa during the colonial period are still playing a predominant role on this market
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Gibson, Sandra. "La diffusion du droit forestier français en Afrique subsaharienne." Paris 11, 2003. http://www.theses.fr/2003PA111004.

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Mbintcha, Tatmi Reine. "Histoire,statut,enjeux et avenir du français en Afrique Subsaharienne." Bachelor's thesis, Alma Mater Studiorum - Università di Bologna, 2018.

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Abstract:
Dans cette étude, je me suis proposée d’étudier le français d’Afrique subsaharienne en me focalisant sur son histoire, son statut, ses enjeux et son avenir. En effet, un peu de partout en Afrique, aujourd’hui, le problème de langues « locales » retient de plus en plus l’attention. La situation linguistique des pays d’Afrique est certes un sujet d’actualité, mais la question reste encore posée d’une manière suspecte à maints égards. Après l’indépendance des colonies francophones dans les années « 60 », les gouvernements ont gardé leur politique linguistique et le français comme langue officielle. L’indépendance aurait pu être synonyme d’autonomie en général mais il n’en est rien, du moins linguistiquement. Ainsi, je me suis attardée dans la première partie de mon mémoire sur les modalités d’implantation et du maintien du français en Afrique subsaharienne. D'une part, il y a la perception de la langue, entre langue de noblesse et langue d'oppression. D'autre part, la difficulté d'uniformiser l'enseignement, dans une Afrique plurilinguistique. La deuxième partie est consacrée au statut et à la situation contemporaine et du français en Afrique. Ce français pose également une problématique au niveau international dans sa compréhension même hors du continent car on se réfère souvent à ce français d’Afrique noire comme une seule variété de français alors qu’il y a autant de variétés de français distinctes aussi bien au niveau phonologique, lexical, accentuel qu’au niveau syntaxique voire stylistique. Dans la troisième partie, on parlera de l’avenir de la langue française en prenant en considération divers aspects tels que son développement, la politique et la démographie. On abordera également la question de la place des langues nationales dans les sociétés africaines en tant que sources de savoirs et de culture.
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Gautrieaud, Stéphanie. "Méthodologies comparées de l'évaluation du risque pays : application à l'Afrique." Bordeaux 4, 2005. http://www.theses.fr/2005BOR40014.

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Abstract:
Ce travail s'interroge sur le risque pays, défini comme l'étude des conditions économiques, financières, politiques, sociales d'une nation à destination des flux financiers. Il permet de déterminer si une opération internationale (négoce international, investissements de portefeuille, investissements directs étrangers, prêts bancaires, multilatéraux ou bilatéraux) est risquée. Nous expliciterons les analyses développées par les agences de rating (Fitch IBCA, Moody's et Standard & Poor's), l'assureur crédit français (la Compagnie Française pour le Commerce Extérieur), un cabinet de consulting français (Nord Sud Export) et un magazine financier britannique (Euromoney). Nous soulignerons leurs particularités, les points forts et les limites des analyses. Notre propos portera sur les notations en Afrique sub-saharienne, dont les conditions particulières de l'environnement général des pays nous amèneront à construire un modèle spécifique.
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Lahimer, Noomen Bienaymé Alain Goaied Mohamed. "La contribution des investissements directs étrangers à la réduction de la pauvreté en Afrique subsaharienne." [S.l.] : [s.n.], 2009. http://basepub.dauphine.fr/xmlui/handle/123456789/1167.

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Kileou, Badayode. "Le processus de privatisation des entreprises publiques en Afrique subsaharienne : le cas du Togo." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010317.

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Abstract:
Comme tous les pays moins avancés, le Togo a mis en œuvre au lendemain de sa décolonisation en 1960, une stratégie de développement et d'indépendance économique qui reposait sur la rente agricole et minière. Au cours des années 70, l'évolution favorable des prix mondiaux de ses principaux produits d'exportation, phosphate minéral (prix quadruple entre 1974 et 1975), a fait grimper les recettes budgétaires de l'état. Grace à de fortes augmentations inattendues des ressources financières, les autorités togolaises se sont lancées dans un effort du développement avec un vaste programme d'expansion des investissements publics finances par des emprunts extérieurs. Dès 1980, le Togo éprouve de graves difficultés financières l'amenant à réduire le train de vie de l'état, le nombre de ses entreprises, et ceci a la demande du F. M. I. Et de la BIRD ; gardiens du système monétaire et financier public international. Ces derniers avec leurs commanditaires exigent les privatisations. Mais somme toute, le grand réel et sérieux problème ici, c'est de savoir si les conditions notamment politiques, économiques, administratives, juridiques et sociales de succès des privatisations préconisées par les institutions de Bretton-Woods sont-elles réunies dans les pays moins avancés d’Afrique ? Ce sont là les quelques questions fondamentales et complexes auxquelles nous avons tenté de répondre en examinant le cas togolais qui n'est pas singulier en Afrique
Like most developing countries, Togo, just after her independence in 1960, put into works an economic development strategie based on agricultural and mineral income. In the 1970s, the favorable evolution of world prices of her major export products, phosphate (price multiplied by 4 between 1974 and 1975), coffee and cocoa, greatly increased the budgetary income of the Togolese government. With this strong and unexpected increase of financial resources of the public sector, the Togolese authorities embarked on a development effort with a vaste expansion program of public investments augmenting the number of government-owned firms and para-statals, exclusively financed by foreign loans. In doing this, the state, without the participation of the private sector, played the major parts for it took not only the charge of the infrastructures but also that of the economy by establishing state and para-statal monopoly the administration of which turned out to be desastrous, selectif and sectorial policies far disconnected to macro-economic conditions. Rapidly, the period of economic well-beign came to an end in 1978 with the brutal fall in the world prices of raw materials. As from 1980, Togo has been experiencing grave economic and financial difficultues bringing her to change the life-style of the state, the number go government-owned firms, all these at the demand of (or in colaboration with) the international monetary fund (imf), guardian of international finance hence internal finance of each country, that does no tolerate financial misbehavior of state-owned firms. From then on, no one can deny this evidence : the privatization policy of state-owned firms is imposed on the Togolese authorities from outside the country. This explains the factofs and technical modalities retained for the privatization. Therefore, in general what to privatize ? How to privatize ? Here are the fondamental questions to which we have tried to respond much in strict judicial as in political terms by studying the Togolese case which is a common case in Africa
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More sources

Books on the topic "Investissements français – Afrique subsaharienne"

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Drescher, Martina, ed. Médias et dynamique du français en Afrique subsaharienne. Peter Lang D, 2015. http://dx.doi.org/10.3726/978-3-653-04513-0.

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NDONGO-KELLER, Justine, Évariste NTAKIRUTIMANA, Mame THIERNO CISSE, and Marc VAN CAMPENHOUDT, eds. La traduction et l’interprétation en Afrique subsaharienne : les nouveaux défis d’un espace multilingue. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.9782813003898.

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Abstract:
Cet ouvrage collectif rassemble quatorze contributions scientifiques consacrées à La traduction et l’interprétation en Afrique subsaharienne. Le sous-titre Les nouveaux défis d’un espace multilingue se situe au cœur des préoccupations des auteurs, qui allient souvent une expérience professionnelle indéniable à leur statut universitaire. Rédigées en français et en anglais, leurs analyses couvrent au moins sept pays différents, lorsqu’elles ne décrivent pas des réalités et des défis qui transcendent largement les frontières. Les problématiques abordées sont nombreuses et étroitement imbriquées : enseignement multilingue, formation professionnelle des interprètes et des traducteurs, interprétation communautaire, besoins des administrations et des organisations internationales, création de ressources lexicales, ingénierie linguistique… This collective work contains fourteen scientific contributions related to Translation and Interpretation in Sub-Saharan Africa. The subtitle ‘The New Challenges in a Multilingual Space’ is at the heart of the concerns of the authors, who often blend their undeniable professional experience with their university status. Their analyses, written in French and English, cover at least seven different countries, and sometimes describe realities and challenges that largely transcend borders. Numerous issues that are closely intertwined are addressed including multilingual education, professional training of interpreters and translators, community interpreting, the needs of governments and international organizations, the development of lexical resources, language engineering, etc.
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Book chapters on the topic "Investissements français – Afrique subsaharienne"

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"Identifier des investissements directs étrangers de qualité en Afrique subsaharienne." In Rapport sur les Investisseurs en Afrique 2011, 105–52. Organisation des Nations Unies pour le développement industriel, 2011. http://dx.doi.org/10.18356/8a2fadcc-fr.

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2

AFOLABI, Segun. "La formation professionnelle des traducteurs en Afrique subsaharienne." In La traduction et l’interprétation en Afrique subsaharienne : les nouveaux défis d’un espace multilingue, 5–24. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3539.

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Abstract:
L’Afrique subsaharienne est indiscutablement un espace multilingue. Bien que l’Union africaine, l’organisme international regroupant les pays du continent, selon l’article 25 de son acte constitutif, adopte comme langues de travail de l’Union et de toutes ses institutions, l’arabe, l’anglais, le français et le portugais, on compte approximativement deux mille langues parlées sur le continent (Leclerc, 2017). Cette multitude de langues implique le besoin d’une communication interlinguistique. Depuis l’ère précoloniale, les traducteurs (et interprètes) africains avaient été toujours formés de manière informelle. Dans son article de 1972 intitulé « The Names and Nature of Translation Studies », James Holmes situe la formation des traducteurs au sein de la traductologie appliquée ou « Applied Translation Studies ». Depuis lors, beaucoup de choses ont été dites et publiées sur la formation des traducteurs dans le monde, mais très peu concernent la situation en Afrique subsaharienne en particulier. Afin de mieux apprécier la situation en Afrique subsaharienne, nous partirons de l’examen d’autres contextes, notamment ceux du Canada et des pays de l’Union européenne, en guise de références et comme points de comparaison. L’objectif du présent article est double : familiariser le lecteur avec l’histoire et l’évolution de la formation des traducteurs dans les contextes étudiés, puis et plus essentiellement, attirer l’attention sur la situation qui prévaut, s’agissant de la formation des traducteurs professionnels en Afrique subsaharienne en général, et au Nigéria, géant d’Afrique, en particulier.
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NDONGO-KELLER, Justine, and Carmen DELGADO LUCHNER. "La contribution des interprètes africains à l’administration de la justice internationale." In La traduction et l’interprétation en Afrique subsaharienne : les nouveaux défis d’un espace multilingue, 161–76. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3534.

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Abstract:
Ce chapitre présente une page dans l’histoire de l’interprétation en Afrique, à savoir la professionnalisation des interprètes rwandophones par leurs collègues au sein du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR). Nous analysons le régime d’interprétation « hybride », une combinaison entre interprétation consécutive et simultanée, utilisé par le TPIR ainsi que d’autres instances internationales de justice pénale qui ont besoin d’interprétation à partir de et vers des langues africaines (Cour pénale internationale, Tribunal spécial pour la Sierra Leone). Ensuite, nous présentons la structure de la formation interne développée par des interprètes de conférence (français-anglais) du TPIR pour permettre à leurs collègues, des bilingues kinyarwanda-français/anglais recrutés sans formation préalable en interprétation, de travailler en simultanée. Cette professionnalisation progressive des interprètes rwandophones a permis de réduire la durée des audiences de 25 % et représente ainsi une contribution non négligeable à l’administration de la justice internationale.
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"Histoire externe du français en Afrique subsaharienne Externe Sprachgeschichte des Französischen in Zentral- und Westafrika (südlich der Sahara)." In Romanische Sprachgeschichte / Histoire linguistique de la Romania, Part 1, edited by Gerhard Ernst, Martin-Dietrich Gleßgen, Christian Schmitt, and Wolfgang Schweickard. Berlin • New York: Walter de Gruyter, 2003. http://dx.doi.org/10.1515/9783110146943.1.8.939.

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Noyau, Colette. "L’école comme environnement linguistique de transmission et d’acquisition du français en Afrique subsaharienne : la langue modelée par l’école." In Environnement francophone en milieu plurilingue, 81–101. Presses Universitaires de Bordeaux, 2012. http://dx.doi.org/10.4000/books.pub.35187.

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