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Frioux, Stéphane, and Vincent Lemire. "Pour une histoire politique de l'environnement au 20e siècle." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 113, no. 1 (2012): 3. http://dx.doi.org/10.3917/vin.113.0003.

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2

Grandière, Marcel. "HERY (Évelyne), Les pratiques pédagogiques dans l’enseignement secondaire au 20e siècle." Histoire de l'éducation, no. 119 (July 1, 2008): 109–12. http://dx.doi.org/10.4000/histoire-education.1861.

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Rocher, Philippe. "Un dictionnaire de pédagogie catholique pour le 20e siècle? Histoire d’un projet franco-belge." Revue d'Histoire Ecclésiastique 96, no. 3-4 (December 2001): 391–426. http://dx.doi.org/10.1484/j.rhe.3.13.

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4

Passini, Michela. "Pour une histoire transnationale des expositions d’art ancien." Intermédialités, no. 15 (October 13, 2010): 15–32. http://dx.doi.org/10.7202/044672ar.

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Abstract:
À l’exception de quelques manifestations isolées à la fin du 19e siècle, l’exposition d’art ancien s’affirme au 20e comme l’une des expressions privilégiées de l’histoire de l’art. À la fois produit final d’un travail de conceptualisation et dispositif de visualisation d’un récit historique, l’exposition permet de « matérialiser » une hypothèse historiographique. Elle promeut une certaine interprétation de phénomènes ou d’époques donnés et va parfois jusqu’à constituer de nouveaux objets d’étude qui s’imposent à la communauté scientifique : c’est notamment le cas de grandes expositions de Primitifs qui ont lieu, presque simultanément, à Bruges, Sienne, Paris et Düsseldorf entre 1902 et 1904. Ces manifestations relèvent d’une internationalisation des biens culturels qui s’est produite en étroite imbrication avec la nationalisation des sociétés européennes. On se penche ici sur les différentes figures impliquées, sur leurs réseaux intellectuels et professionnels, nationaux et internationaux.
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Saleil, Jean, Marc Mantel, and Jean Le Coze. "Production des aciers inoxydables : Histoire et développements. Partie I. Electrométallurgie, production des FeCr." Matériaux & Techniques 108, no. 1 (2020): 103. http://dx.doi.org/10.1051/mattech/2020015.

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Abstract:
La production des aciers inoxydables a été l’une des dernières conquêtes techniques de la sidérurgie au 20e siècle. Cet article (en trois parties) s’appuie principalement sur les développements conduits par des sociétés sidérurgiques françaises, pour montrer les étapes techniques successives qui ont permis en moins d’un siècle de passer de productions confidentielles à des productions de grande masse. En matière d’élaboration sont examinées successivement : (Partie I) l’électrométallurgie et la réduction des minerais de chrome ; (Partie II) la fusion électrique, l’affinage sous vide (VOD), l’affinage avec dilution à l’argon (AOD), les filières reposant sur l’affinage de la fonte de hauts fourneaux. La recherche de la haute propreté inclusionnaire est évoquée, notamment avec la refusion ESR. La Partie III traite de la coulée en lingots et en continu et des difficultés liées à la transformation à chaud et à froid de ces nuances, ainsi que des moyens développés pour y faire face.
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Dimitroulia, Titika. "Les multiples réécritures de la littérature policière française en Grèce." Historical Review/La Revue Historique 14 (April 27, 2018): 71. http://dx.doi.org/10.12681/hr.16275.

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Abstract:
Cet article se propose d’étudier, à travers une approche culturelle et sociologique, mais aussi sémiotique, les multiples formes de traduction de la littérature policière française en Grèce, depuis le 19e jusqu’au 21e siècle. Sans aucune ambition d’exhaustivité, il examine la traduction interlinguale et intersémiotique de la littérature policière française, en essayant de reconstituer l’histoire d’un transfert culturel important et de repérer les hybridations auxquelles ce transfert a conduit, comme par exemple la rencontre du genre populaire grec des bandits avec les antihéros de la modernité, tel Fantômas ou Arsène Lupin, apparus en France au début du 20e siècle. Du feuilleton au roman-cinéma et de l’écran a la bande dessinée, l’ histoire de cette rencontre met en évidence la complexité des échanges culturels mais aussi la centralité de la traduction dans la communication littéraire mondiale.
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Nordman, Daniel. "De Quelques Catégories de la Science Géographique Frontière, région et hinterland en Afrique du Nord (19e et 20e siècles)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 52, no. 5 (October 1997): 969–86. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1997.279614.

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Abstract:
Les développements qui suivent, éléments d'un chantier en cours sur les représentations de la géographie dite coloniale, au 19e et au 20e siècle, et au Maghreb*, supposent que l'on admette, à titre provisoire au moins et comme hypothèse de travail, que les frontières ne sont pas, ou n'ont pas été exclusivement, celles qu'édifient pour elles-mêmes les populations des confins lorsqu'elles choisissent des modèles de comportement économique, social ou culturel, lorsqu'elles édifient leur identité régionale, lorsqu'elles vivent, en un mot, leur sentiment d'appartenance territoriale et plus particulièrement leur situation frontalière. D'autres ont élaboré ces configurations, qu'il s'agisse des géographes ou des administrations, ou encore des milieux coloniaux. Pour avoir été imposées de l'extérieur, ces constructions n'en ont pas moins eu des effets durables. Elles sont un fait d'histoire et leurs empreintes doivent être exactement retracées. Elles constituent une variété particulière de catégories géographiques, comme la frontière, la région, l'hinterland. Certaines d'entre elles ont une histoire spécifique, souvent ancienne et même pluriséculaire : c'est le cas de la notion de frontière ; d'autres, comme la deuxième, se sont définies plus lentement sans doute, plus discrètement, avant d'envahir, au 20e siècle, toute une littérature géographique ; la dernière est propre à l'histoire et à la géographie africaines.
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Vasold, Georg, and Hélène Sicard-Cowan. "Optique ou haptique : le rythme dans les études sur l’art au début du 20e siècle." rythmer, no. 16 (April 11, 2011): 35–55. http://dx.doi.org/10.7202/1001955ar.

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Abstract:
Cet article traite du « rythme », une notion abondamment discutée lors de l’émergence d’une littérature académique en histoire de l’art. Malgré l’utilisation qu’en faisaient déjà Karl Schnaase et Franz Kugler, ce n’est qu’après 1900 que le terme deviendra un principe de base sous l’influence d’August Schmarsow, à Leipzig, et d’Alois Riegl, à Vienne. Ces derniers reconnaissaient l’importance et le potentiel d’une telle notion, malgré leurs travaux divergents. Pour August Schmarsow, le rythme était le moyen de concevoir la relation de l’esthétique et de l’expérience physique : traverser une architecture, un mouvement rythmique donc, décrivait un mode de perception élémentaire. En revanche, pour Riegl, le rythme était une question de vision : en explorant l’esthétique de l’Antiquité tardive (qui anticipait, selon lui, le modernisme), il observait davantage le rythme dans les rapports dynamiques entre le blanc et le noir, une idée qui deviendra pertinente pour la théorie cinématographique des années 1920.
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Chartier, Anne-Marie. "HOFSTETTER (Rita), SCHNEUWLY (Bernard) (dir.), Passion, fusion, tension. Éducation nouvelle et sciences de l’éducation, fin 19e, milieu du 20e siècle." Histoire de l'éducation, no. 119 (July 1, 2008): 104–9. http://dx.doi.org/10.4000/histoire-education.1857.

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Servais, Olivier. "Pirotte Jean, Zélis Guy, Dir., Pour une histoire du monde catholique au 20e siècle. Wallonie-Bruxelles. Guide du chercheur." Recherches sociologiques et anthropologiques 38, no. 2 (December 15, 2007): 207–8. http://dx.doi.org/10.4000/rsa.496.

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Fussinger, Catherine. "Eléments pour une histoire de la communauté thérapeutique dans la psychiatrie occidentale de la seconde moitié du 20e siècle." Gesnerus 67, no. 2 (November 11, 2010): 217–540. http://dx.doi.org/10.1163/22977953-06702003.

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Abstract:
Based on a critique of the traditional ruling of mental hospital, therapeutic community is an innovative model elaborated in Great Britain during World War II. According to this approach, all the relationships at work inside the institution have a big impact on the patients’ state. One of the favoured tools of the therapeutic community lies in regular meetings common to patients and staff, but also reserved to professionals. During these sessions small and big problems are intended to be discussed and resolved collectively. The constitution of this approach as a model and its diffusion in continental European psychiatry during the second half of the 20th century is described in this paper. Four stages are distinguished: the genesis, the constitution of a distinct approach and diffusion in Continental Europe, the radicalisation and criticism by the antipsychiatric movement, the institutionalisation and decline.
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Carter, Robert. "The History and Prehistory of Pearling in the Persian Gulf." Journal of the Economic and Social History of the Orient 48, no. 2 (2005): 139–209. http://dx.doi.org/10.1163/1568520054127149.

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Abstract:
AbstractThe paper presents an analysis and synthesis of historical and archaeological data on pearl fishing in the Persian Gulf. The history of pearling in the region is reviewed, from the earliest possible references to the mid 20th century. Economic data from the 18th–20th centuries CE is analysed in detail, to de fine the economic course of the pearling industry during that time, and assess the impact on human settlement in the region. The archaeological data for pearl fishing are then examined, from the 6th millennium BCE onwards, and compared to the historical evidence. The results of archaeological survey in the Abu Dhabi islands region are then taken as a case study, and changes in settlement patterns are related to the historical trajectory of the pearling industry. It is observed that the regional economy became overwhelmingly dependent on the pearl trade in recent centuries, and was increasingly subject to the demands of the global market. Cette étude présente une analyse et une synthèse des données historiques et archéologiques sur la pêche des perles dans le Golfe arabo-persique. L'histoire de la pêche des perles dans la région est passée en revue, depuis les plus anciennes références connues qui remontent au milieu du 20e siècle. Les données économiques du 18e au 20e siècle sont analysées en détail pour dé finir l'évolution de l'industrie perlière pendant cette période et évaluer son incidence sur le peuplement de la région. Les données archéologiques sur la pêche des perles, examinées depuis le 6ème millénaire avant J.-C., ont été comparées aux données historiques. Les résultats des reconnaissances archéologiques dans les îles de la région d'Abu Dhabi sont alors présentées comme étude de cas et les modi fications de con figuration de l'habitat sont reliées à l'évolution historique de l'industrie perlière. On remarque que l'économie de cette région est devenue presque entièrement dépendante du commerce des perles dans les siècles récents, et qu'elle était de plus en plus assujettie à la demande du marché mondial.
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FRANCE, JÉRÔME. "LA LOI DE HIÉRON ET LES ROMAINS DE JÉRÔME CARCOPINO: ALTERTUMSWISSENSCHAFT ET HISTOIRE ÉCONOMIQUE EN FRANCE AU DÉBUT DU 20E SIÈCLE." Bulletin of the Institute of Classical Studies 50, Supplement_97 (September 1, 2007): 135–53. http://dx.doi.org/10.1111/j.2041-5370.2007.tb02497.x.

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Taschereau, Sylvie. "L’arme favorite de l’épicier indépendant : éléments d’une histoire sociale du crédit (Montréal, 1920-1940)." Journal of the Canadian Historical Association 4, no. 1 (February 9, 2006): 265–92. http://dx.doi.org/10.7202/031066ar.

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Abstract:
Résumé À Montréal, dans la première moitié du 20e siècle, les détaillants indépendants de l'alimentation ont l'habitude de faire crédit à leur clientèle des milieux populaires, en leur permettant d'ouvrir un compte courant, réglé en principe à intervalles réguliers. À cette époque, pour une large part de la population, le revenu familial suffit à peine à couvrir les besoins de base et ne permet pas de faire face aux impondérables. Le crédit qu’accordent les détaillants de quartier donne au budget familial un peu de la souplesse qui lui manque et représente en quelque sorte un filet de sécurité à une époque où les revenus des familles ouvrières sont peu élevés et instables. Aussi, en dépit du danger d'endettement qu'il représente, il est activement recherché par les résidents des quartiers populaires. Dans le contexte économique et social des années 1920 à 1940, et à ce moment de l'évolution du commerce de l'alimentation, les détaillants indépendants qui accordent crédit se trouvent placés dans une situation paradoxale. D'abord, le progrès important des chaînes de magasins dans le secteur de l'alimentation les inquiète vivement. Or tandis que les chaînes appliquent en principe la règle du « cash & carry », le crédit qu'accordent les détaillants indépendants leur permet de se distinguer de leurs concurrents et de retenir leur clientèle des quartiers populaires. Dans ce sens, cette pratique devient leur « arme favorite », suivant l'expression d'un contemporain. Il s'agit cependant d'une arme à deux tranchants. Pour la majorité des petits commerçants, dont les entreprises sont fragiles et manquent de capital, le crédit représente une charge considérable. Les détaillants les mieux établis se trouvent eux aussi partagés entre la crainte de perdre leur clientèle au profit des chaînes et le désir d'éliminer cette forme de crédit qu'ils ne gèrent pas nécessairement à profit.
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Negro Cortés, Adrián Elías. "Los pagos de parias como generadores de poder en los Condados Catalanes (1035-1076)." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 232. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.12.

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Abstract:
RESUMENEl propósito de este artículo es analizar cómo las parias: tributos pagados por los musulmanes, en este caso de las taifas de Zaragoza, Lérida y Tortosa principalmente al conde de Barcelona, tienen un papel esencial a la hora de situar a este condado en un lugar preeminente en Cataluña durante el gobierno del conde Ramón Berenguer I (1035-1076). Después de una pequeña introducción veremos cómo mediante la inclusión de ciertas cláusulas en los juramentos de vasallaje el conde barcelonés se aseguraba el monopolio de los ingresos de parias y cómo formaba una red clientelarredistribuyendo el dinero que recibía. También utilizaba el dinero procedente de las parias para expandir su territorio: por un lado compraba condados de manera directa y por otro incentivaba el establecimiento de nobles en peligrosas zonas fronterizas.PALABRAS CLAVE: Parias, Barcelona, Siglo XI, Ramón Berenguer I, taifas.ABSTRACTThe aim of this article is to analyse how the parias, which are tributes paid by the Muslims, in this example from the taifas of Zaragoza, Lérida and Tortosa, mainly to the Count of Barcelona, played an essential role in establishing this county’s prominence during the government of Count Ramón Berenguer I (1035-1076). After an introduction, we will see how by including certain terms and conditions in the vows of vassalage the Count ensured the monopoly of the income produced by theparias and how he redistributed the money among his vassals, thereby creating patronage networks. The Count also used the money from the parias to expand his territory: on the one hand he bought counties directly, and on the other and he used the money to help nobles establish themselves in dangerous frontier zones.KEY WORDS: Parias, Barcelona, Siglo XI, Ramón Berenguer I, Taifas. BIBLIOGRAFÍA:Balañá i Abadía, P., Els musulmans à Catalunya (713-1153): assaig de síntesi orientativa, Sabadell, Ausa, 1993.Balari Jovany, J., Orígenes Históricos de Cataluña, San Cugat del Vallès, Instituto internacional de cultura románica, 1964, (1º ed. 1899).Baraut, C., “Els documents, dels anys 1051-1075, de l’Arxiu Capitular de la Seu d’Urgell” en Urgellia, 6 (1983), p. 239Bonnassie, P., La Catalogne du milieu du Xe a la fin du XIe Siècle, Croissance et mutations d’une sociètè, Tome II, Tolouse, Université de Tolouse-Le Mirail, 1975.Bonnassie, P. 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Li, Chang-Lin. "Histoire de la géopolitique entre la Chine continentale et Taiwan au 20e siècle." Sens public, 2009. http://dx.doi.org/10.7202/1064204ar.

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Fussinger, Catherine. "Eléments pour une histoire de la communauté thérapeutique dans la psychiatrie occidentale de la seconde moitié du 20e siècle." Gesnerus, 2010. http://dx.doi.org/10.24894/gesn-fr.2010.67013.

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Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

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Abstract:
Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
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