Dissertations / Theses on the topic 'Israeli Films'

Thesis (Ph. D.)--Georgia State University, 2007.
Title from file title page. M. Lane Bruner, committee chair; David Cheshier, Ted Friedman, Gayle Nelson, Leonard Teel, committee members. Electronic text (360 p.) : digital, PDF file. Description based on contents viewed Oct. 24, 2007. Includes bibliographical references (p. 300-335).

The Middle East conflicts between Palestine and Israel are long-term, ongoing and wide-ranging. Kicking All Odds is an observational documentary that explores women football players from Palestine – both Christian and Muslim girls – who play together and forge a team despite all the hardships they face.

Cette thèse examine et analyse les points de vue des réalisateurs américains et européens sur l'histoire dramatique de deux peuples au "Proche Orient", l'israélien et le palestinien, luttant pour prendre possession de la même terre, la "Terre promise", tels qu'ils sont représentés dans quelques films emblématiques. . .

This thesis engages with the relationship between national identity, security-based narratives, and foreign policy. It focuses on the 1982 Lebanon War as the most controversial in Israel's history because it violated the Israeli societal norm of only fighting wars of self-defence (when there is no alternative to war). Through an examination of Israeli films about the 1982 war – Ricochets, Time for Cherries, Cup Final, Waltz with Bashir and Lebanon – this thesis studies the identity crisis experienced by Israelis after the invasion of Lebanon and the coping mechanisms that helped Israeli society reconcile the war with the security-based narratives that inform collective identity in Israel.
Cette thèse a pour objet la relation entre l’identité nationale, les récits sécuritaires et la politique étrangère. Elle se base sur la Guerre du Liban de 1982 en tant que guerre la plus controversée des guerres israéliennes en raison de sa contradiction avec la norme israélienne de seulement mener des guerres de légitime défense (à savoir lorsqu'il n'y a aucun autre recours que la guerre). À travers un examen des films israéliens qui traitent de la guerre de 1982 – Ricochets, Time for Cherries, Cup Final, Waltz with Bashir et Lebanon – cette thèse discute de la crise identitaire vécue par les Israéliens à la suite de l'invasion du Liban et s’intéresse aux stratégies d'adaptation qui ont aidé la société israélienne à réconcilier la guerre avec les récits sécuritaires qui font partie de la construction de l'identité collective israélienne.

"A New Battleground" looks into the variety of on-campus opinions regarding the Israeli-Palestinian conflict. This film is short documentary style, with filmed interviews of students and teachers, imparting an educational message meant to inform others of the complexity of this highly topical issue.

La présente thèse se propose d’étudier les ressorts d’un tournage d’un long métrage de fiction sous l’angle des interactions de ses participants dans un contexte particulier : celui du cinéma israélien. Ma thèse s’inscrit dans la continuité des travaux des sociologues de l’école interactionniste au sens large tels que Howard S. Becker ou Erving Goffman Elle se base sur une enquête de terrain de plusieurs mois en observation participante d’un tournage d’un long métrage de fiction israélien contemporain tourné majoritairement à Jérusalem et une trentaine d’entretiens qui apportent un éclairage inédit sur la manière de faire des films dans le pays.Le tournage est une étape d’action collective intense où différents agents interagissent ensemble dans un processus de création. Il est donc le centre d’interactions sociales riches et particulières dont l’analyse permet de mettre à jour leur influence sur la fabrication du film. La thèse montre également les spécificités d’un tournage d’un long métrage de fiction dans une ville, Jérusalem, où la religion et le contexte géopolitique altèrent l’organisation codifiée du plateau
This thesis studies the nuts and bolts of the filming of a feature film through the interactions of the people working on the set in the particular context of Israeli cinema. My thesis follows the works of sociologists of the broader interactionist school of thought such as Howard Becker or Erving Goffman. The thesis is based on several months of fieldwork as a participant observer on the film set of a contemporary Israeli feature film filmed mostly in Jerusalem as well as thirty interviews which bring an unprecedented overview of the way films are made in the country. Principal photography is the stage of intense collective action during which different agents interact together in a creative process. Thus, the film set is at the center of rich and particular social interactions. By analyzing those interactions, one can uncover their influence on the making of the film. The thesis also demonstrates the peculiarities of filming a feature film in a city, Jerusalem, where religion and the geopolitical context affect the codified organization of the film set

Nous proposons dans ce travail de comparer les stratégies respectives de l'écriture et du cinéma qui apparaissent au sein d'œuvres qui portent sur les luttes révolutionnaires des années 60 aux années 80, essentiellement la révolution cubaine, la guerre du Vietnam et la résistance palestinienne. Notre corpus est constitué par ce que nous proposons d'appeler les « œuvres engagées critiques » : les textes de Genêt et les films de Godard, Varda et Marker. Nous abordons aussi des œuvres de fiction qui manifestent une pente documentaire, en particulier les films de Godard de la seconde moitié des années soixante et certaines pièces de Gatti. Nous évoquons également certains documents réalisés à des fins informatives ou militantes (articles, reportages, essais, films) qui revendiquent un regard subjectif (Henri Alleg, Pierre Guyotat, Michèle Ray), qui refusent le dogmatisme (Sartre) ou qui s'attachent à des aspects non directement politiques des pays visités (Madeleine Riffaud). Quelle est la spécificité des « œuvres engagées critiques » ? Celles-ci s'emparent d'un conflit (fonction de l'engagement) tout en incluant une dimension critique et artistique ; critique dans la mesure où elles s'interrogent sur les possibilités et les propriétés du discours idéologique, interrogation qui passe par l'examen des productions idéologiques des pays du tiers-monde, et artistique dans la mesure où elles manifestent une intention de renouvellement des représentations. Notre travail propose trois moments : les caractéristiques du témoignage critique, la rhétorique de la critique, et l'invention d'une poétique politique
We suggest in this work to compare the respective strategies of the writing and the cinema which appear within works concerning the revolutionary fights, from the 60s to the 80s, mostly the Cuban revolution, the war of Vietnam and the Palestinians resistance. Our corpus is composed by what we call the "critical commitment works": the texts of Jean Genet and the films of Jean-Luc Godard, Agnès Varda and Chris Marker. We also approach works of fiction which show a documentary slope, in particular the films of Godard of the second half of the sixties and some theatre plays by Armand Gatti. We evoke also certain documents realized for informative or militant purpose (articles, reports, essays, films), which claim a subjective glance (Henri Alleg, Pierre Guyotat, Michèle Ray), which refuse the dogmatism (Sartre) or which emphasize aspects who are not directly political (Madeleine Riffaud). What is the specificity of the "critical commitment works" ? These seize a conflict or a war in a purpose of commitment, while including a critical and artistic dimension: critical as far as they question the possibilities and the properties of the ideological speech, by examining texts and movies of the fighting countries, and artistic as far as they show an intention of renewing the representations. Our work proposes three moments: the characteristics of the critical testimony, the rhetoric of criticism, and the invention of a political poetics

I följande essä kommer jag, med ensamheten som tematisk ledstjärna, att fördjupa mig i mitt pågående projekt Ett teckens signalement som filmades i Israel och Palestina under våren och sommaren 2013. En essäfilm som mycket väl representerar mitt sätt att arbeta med ett slags slumpmässigt framväxande narrativ, där en vag förnimmelse om vad jag vill åstadkomma i lätt planlös manér leder mig runt på en främmande plats. Jag kommer också att sporadiskt beröra mitt tidigare projekt Genom ett sinnes landskap, som är en essäfilm jag slutförde strax innan jag reste iväg. Genomgående i denna essä kommer jag att använda mig av Carlos Castanedas berömda samtal med yagui-indianen don Juan. Ett möjligen något okonventionellt referensmaterial i ett uppsatssammanhang, då denna litteraturs trovärdighet blivit hårt kritiserad. I denna essäs fall ser jag dock inget direkt problem med detta, eftersom jag här inte ämnar granska eller värdera någon sanningshalt över huvud taget. Jag tänker använda mig av Castanedas fältstudier eftersom jag utan tvivel anser dem vara ett mycket matnyttigt material vad gäller att snudda vid det abstrakta begrepp som ensamhet faktiskt visat sig vara, och därtill enligt don Juan hörande fenomen som seende och kontrollerad dårskap, vidare utvecklat till ett slags förnimmelse som jag här benämner livskänslan.

L’étude thématique de l’évolution de la représentation de la Shoah fait avant tout ressortir des constances dans ce corpus filmique. Les traditions propres au cinéma, la tendance des auteurs à esquiver les aspects inconcevables mais vrais de l’événement, et la subordination aux forces politiques et sociales expliquent ce phénomène. C’est ainsi que la représentation des chambres à gaz obéit à une constance d’ordre éthique. La révolte militaire des civils souffre d’une représentation servile. La mémoire de la Shoah, déterminée par les instances officielles des pays étudiés, correspond aux traditions de ces derniers et reflète leur nature profonde. L’instrumentalisation de la Shoah, différente d’un pays à l’autre, est une donnée essentielle de ce cinéma. La spécificité de la Shoah est ignorée : les enfants comme ultimes victimes, le caractère universel du judéocide. Le défaut de représentation des Conseils Juifs, la sous représentation des femmes par rapport aux hommes participent au défaut de représentation du cinéma. L’évolution relevée est le plus souvent le résultat de la conformité des œuvres aux changements politiques et sociaux du pays concerné. La Shoah a acquis, à travers le cinéma, le statut de mythe essentiel de la démocratie libérale, au nom de valeurs morales universelles, masquant ainsi le syndrome d’une société incapable de se référer à son propre passé et de se projeter dans l’avenir en l’absence de projet spirituel et moral
The thematic study about the evolution of the Holocaust representation emphasizes the works’ domination of the constancy. The Cinema’s proper traditions, the authors’ tendencies to evade the inconceivable but true aspects of the event, and the subordination to political and social strengths explain this phenomenon. Thus, the gas chambers’ representation obeils all ethical standards. The civilians’ military revolt suffers from an uninspiring representation. The Holocaust’s remembrance, determined by the official authorities of the studied countries, corresponds to the latter’s traditions and reflects their deep nature. The Holocaust’s instrumentalization, different from one country to another is an essential element of cinema. The Holocaust’s specificity is being ignored: children as the ultimate victims, the judeocide’s universal character, the Jewish Councils’ defect of representation, women’s under-representation as compared to men contribute to cinema’s fault of representation. The noticed evolution is most of the time the result of the works’ conformity with the political and social changes of the concerned country. Through cinema, Holocaust gained the status of an essential myth of the liberal democracy in the name of universal moral values, hiding thus the syndrome of a society unable to refer to its own past and to plan ahead in absence of spiritual and moral project

Author: Asya Meytuv Institution: Charles University in Prague, Faculty of Arts, Nám. Jana Palacha 2, 116 38, Prague 1, Czech Republic Field of Studies: Hebrew Studies, M.A. Study program Title: Gender Themes in Contemporary Israeli Cinema Supervisor: PhDr. Pavel Sládek, Ph.D. Number of pages: 64 Number of attachments: 1 Key words: Israeli cinema, homosexuality, judaism, male character, zionism, Israel Abstract Present thesis analyses the representation of sexual minorities in contemporary Israeli cinematography, concentrating especially on a manner of displaying other than heterosexual character to the audience. The depiction of a male character in early Israeli cinema will be compared to the contemporary production. The phenomenon of male homosexuality and its film representation will be researched in the context of cultural, social and religious aspects of Israeli reality. Original interpretations of several key Israeli films of the last decade pertaining to homosexual issues in specifically Israeli context are included in the present paper.

This dissertation delves into a body of Palestinian literature, film, and art from the past two decades in order theorize the relationship between borders and their representations. In Israel and Palestine, a region in which negotiating borders has become a way of life, I explore the ways in which ubiquitous boundaries have pervaded cultural production through a process that I term “bordering.” I draw on theoretical contributions from the fields of architecture, geography, anthropology, as well as literature and film studies to develop a conceptual framework for examining the ways in which authors, artists, and filmmakers engage with borders as a space to articulate possibilities of encounter, contestation, and transgression. I argue that in these works, the proliferation of borders has called into question the Palestinian cultural and political consensus that created a shared set of narratives, symbols, and places in Palestinian cultural production until the last decade of the 20th century. In its place has emerged a fragmented body of works that create what Jacques Rancière terms “dissensus,” or a disruption of a cultural, aesthetic, disciplinary, and spatial order. Read together, they constitute what I term a “border aesthetic,” in which literature, film, and art produce new types of spaces, narratives, and texts through the ruptures and fractures of the border. I trace the emergence of this aesthetic and the new genres and forms that distinguish it from earlier Palestinian literary, political, and intellectual projects through analyses of the works of Elia Suleiman, Sayed Kashua, Raba’i al-Madhoun, Emily Jacir, Yazid Anani, and Inass Yassin. In their attempts to grapple artistically with the region’s borders, these authors, directors, and artists create new codes, narratives, vernaculars, and spaces that reflect the fragmentation wrought by pervasive boundaries. These works, fluent in multiple mediums, genres, and languages, reveal both the possibilities and the limits of this aesthetic, as they seek to contest borders but nevertheless remain bound by them.
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