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Dissertations / Theses on the topic 'Jean Baptiste Louis Gresset'

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Platon, Mircea Alexandru. "‘TOUCHSTONES OF TRUTH’: THE ENLIGHTENMENT OF JEAN-BAPTISTE-LOUIS GRESSET, LÉGER-MARIE DESCHAMPS, AND SIMON-NICOLAS-HENRI LINGUET." The Ohio State University, 2012. http://rave.ohiolink.edu/etdc/view?acc_num=osu1330711134.

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Hrodej, Philippe. "L'amiral Du Casse : l'élévation d'un Gascon sous Louis XIV /." Paris (20 rue Descartes, 75005) : Librairie de l'Inde, 1999. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb371790782.

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Wagner, Jean-Bernard. "Jean-Baptiste Paul Louis Chibret (1844-1911), co-fondateur de la Société française d'ophtalmologie." Strasbourg 1, 1985. http://www.theses.fr/1985STR1M042.

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Fossé, Laurence. "Contribution à la connaissance du daguerréotype d'architecture à travers la vie et l'oeuvre du baron Jean-Baptiste Louis Gros /." Paris : Université de Paris I-Panthéon Sorbonne, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37067080r.

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Lecosse, Cyril. "Jean-Baptiste Isabey (1767-1855) : l'artiste et son temps." Thesis, Lyon 2, 2012. http://www.theses.fr/2012LYO20119.

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Abstract:
Jean-Baptiste Isabey (1767-1855) connaît une carrière exceptionnellement longue qui s’étend de la Révolution au Second Empire. Après avoir exposé ses premières œuvres au Salon de 1791, cet élève de Jacques-Louis David s’impose sur la scène artistique du Directoire comme le premier dessinateur et miniaturiste de son temps. En s'inscrivant dans un contexte favorable à la diffusion de portraits de moindre coût et de moindre format, sa réussite peu commune rend compte de l'évolution des critères de la reconnaissance artistique à la fin du XVIIIe. Elle témoigne également de la promotion du statut social de l'artiste autour de 1800. Lié aux proches du clan Bonaparte sous la Consulat, Isabey est un des portraitistes de la période les mieux introduits auprès des élites. Son habileté à exploiter des sujets qui répondent aux goûts de ses contemporains permets de mesurer l'importance des relations mondaines dans la naissance et la diffusion des réputations artistiques au tournant du XIXe siècle. Entre 1800 et 1805, Isabey est l'auteur de plusieurs grands dessins de propagande qui scandent les principales étapes de la consolidation du nouveau pouvoir. Familier de la noblesse impériale, l'artiste accumule honneurs et commandes officielles au lendemain du Sacre. Sa réputation est associée aux portraits miniatures de l’Empereur destinés à la caisse des présents diplomatiques et à quelques-unes des plus célèbres représentations officielles de Marie-Louise et du roi de Rome. Ses responsabilités sont extrêmement variées et sa production considérable : il est à la fois peintre des relations extérieures, dessinateur du cabinet et des cérémonies et décorateur en chef de l'Opéra. L'étude de ce parcours pluridisciplinaire offre un champ d'étude remarquable, qui nous fournit bien des clefs pour comprendre la carrière et le statut des artistes de cour sous l'Empire. Après Waterloo, Isabey est mis à l’écart du pouvoir en raison de ses engagements bonapartistes. L'artiste exécute alors plusieurs caricatures et portraits qui le montrent prompt à critiquer la monarchie restaurée. L'analyse des effets de la résistance au régime royaliste dans le monde des arts entre 1815 et 1820 aide à saisir le sens de son engagement dans l'opposition. La période qui s’ouvre au lendemain des Cent-Jours est également fondamentale pour comprendre le parcours artistique d'Isabey et pour apprécier la place que lui assignèrent ses contemporains dans l’art de la première partie du XIXe siècle. Son abondante production, qui se décline en miniatures sur vélin, dessins, lithographies, aquarelles et peintures à l’huile le montre soucieux de l'évolution du goût. Elle met aussi en lumière la difficulté qu'il éprouve à conserver sa réputation de portraitiste après 1820. Cette thèse fournit pour la première fois un catalogue de l’œuvre d'Isabey<br>Jean-Baptiste Isabey (1767-1855) had an exceptionally long career that spanned from the French Revolution until the Second French Empire. After his early works' exhibition at the Salon of 1791, this student of Jacques-Louis David rapidly became, on the art scene of the French Directory, the finest artist and miniaturist of his time. In a context that made the dissemination of low-cost and small-sized portraits easier, his unusual success reflects the change of artistic recognition criteria in the late eighteenth century. It also reflects the improvement of the social status of artists around 1800. Linked to people that were close to Bonaparte under the French Consulate, Isabey is one of the period's best introduced portraitists. His cleverness in using themes that meet his contemporaries' tastes clearly shows how important social relationships can be in the making and spreading of artistic reputations at the turn of the nineteenth century. Between 1800 and 1805, Isabey is the author of several large propaganda drawings that punctuate the main steps of the new power's consolidation. Familiar with the imperial nobility, the artist collects honours and official commissions in the wake of the Coronation. His reputation is associated with miniature portraits of the Emperor made for the fund of diplomatic presents and with some of the most famous official representations of Marie-Louise and of the King of Rome. His responsibilities are manifold and he produces a lot: he is the official painter for external relations, designer of the Cabinet, designer of Ceremonies and chief decorator of the Opera. The study of this multidisciplinary career gives many keys to a better understanding of the career and status of court artists under the Empire. After Waterloo, Isabey is sidelined because of his bonapartist commitments. At this time the artist performs several caricatures and portraits where he clearly criticizes the freshly restored monarchy. Analysing the effects of this resistance to the royalist regime in the world of arts between 1815 and 1820 helps in understanding his commitment to the opposition. The period opening in the aftermath of the Hundred Days is also fundamental to understanding Isabey's artistic career and to appreciate the place he was assigned by his contemporaries in the art of the first part of the nineteenth century. His prolific output, which comes in miniature on vellum, drawings, lithographs, watercolours and oil paintings shows his constant concern about changing tastes. It also highlights the difficulty he has to maintain his reputation as a portraitist after 1820.This thesis provides for the first time a catalogue of Isabey's works
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Champy-Vinas, Cécilie. "Jean-Baptiste Lemoyne (1704-1778) : un sculpteur du roi au temps des Lumières." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040026.

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Abstract:
Issu d’une dynastie de sculpteurs parisiens, formé sous la Régence, en plein triomphe du style « rocaille », Jean-Baptiste Lemoyne (1704-1778) construit sa renommée sur la faveur que lui accorde Louis XV. Des années 1730 aux années 1750 Lemoyne s’illustre dans le genre colossal. À moins de dix ans d’intervalle, en 1743 et 1754, le sculpteur inaugure à Bordeaux puis à Rennes deux monuments à la gloire de Louis XV, prouesse artistique et technologique jamais égalée jusqu’alors. À partir des années 1750, le sculpteur recentre sa production sur l’art du portrait, devenant, avant Houdon, le sculpteur des grands hommes. Célébré de son vivant, Lemoyne connut une destinée posthume tragique : la plupart de ses monuments religieux et royaux furent détruits sous la Révolution et le sculpteur tomba dans l’oubli, victime du mépris de la génération néoclassique. L’artiste est demeuré longtemps méconnu, éclipsé par la renommée de Bouchardon puis de Houdon. Cette étude se propose de reconsidérer l’une des figures majeures de la sculpture française du XVIIIe siècle, en mettant l’accent sur son héritage familial et esthétique, l’influence de son atelier et le rôle que la « sociabilité » des Lumières a joué dans la réussite de sa carrière et le succès de ses portraits<br>Born in a family of Parisian sculptors, Jean-Baptiste Lemoyne was trained under the Régence period when the rocaille style triumphed. His fame then was rooted in Louis XV’s favor. From the 1730s to the 1750s, Lemoyne became renowned for his colossal sculptures. In less than ten years, between 1743 and 1754, he erected in Bordeaux and Rennes two monuments to glorify the King, thus achieving a unique artistic as well as technological performance. From the 1750s on, Lemoyne focused on sculpting portraits, thus preceding Houdon in being the sculptor of illustrious men. Although he was a celebrated and well-known artist during his lifetime, Lemoyne’s fame vanished after he died. Most of his religious and royal monuments were destroyed during the French Revolution. His work, despised by the néoclassique generation, fell into oblivion. Unlike his rivals Bouchardon and Houdon, he remained unstudied for a long time. My dissertation proposes to reconsider one of the leading figures of eighteenth-century French sculpture. I particularly focus on three points: the aesthetic heritage Lemoyne received from his family, his influential workshop, and the key role played by enlightened networks and societies in his successful career as a portraitist
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Miarelli, Mariani Ilaria. "Seroux d'Agincourt e l'histoire de l'art par les monumens : riscoperta del Medioevo, dibattito storiografico e riproduzione artistica tra fine XVIIIe inizio XIX secolo /." Roma : Bonsgnori, 2005. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb401447173.

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Pruiksma, Rose A. ""Dansé par le roi" : constructions of French identity in the court ballets of Louis XIV /." Ann Arbor : Mich. : UMI, 2000. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb392486471.

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Salvi, Claudia. "Jean-Baptiste Monnoyer (Lille 1636 – Londres 1699) : peindre des fleurs et des fruits à l’âge classique." Thesis, Aix-Marseille, 2016. http://www.theses.fr/2016AIXM3068.

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Abstract:
A partir de l'élaboration du catalogue de son oeuvre (tableaux de chevalet et peintures décoratives), cette thèse étudie et ré-évalue la place de Jean-Baptiste Monnoyer dans la France du Grand Siècle. L'étude des oeuvres de ses collaborateurs et contemporains permet de préciser l'originalité de sa personnalité artistique et de définir sa place dans le développement de la peinture de nature morte en France au XVIIe siècle. Né à Lille, Monnoyer arrive tôt à Paris, où il ajoute à son expérience de la nature morte nordique l'influence des peintres français de la vie silencieuse. Il inscrit aussi son nom dans le siècle de Louis XIV comme peintre décorateur, effectuant les premiers décors des résidences de jeunesse du monarque (Saint-Germain-en-Laye, Vincennes, les Tuileries). Il y donne ses lettres de noblesse au motif de la guirlande tressant la gloire du prince.Comme collaborateur de Le Brun, il travaille dans des chantiers privés (Hôtel Lambert, château de Vaux), ou des châteaux de ministre du roi (Sceaux). Il part encore travailler en Angleterre à la fin du siècle. L’abondance des commandes royales l'oblige à s’entourer d’assistants. Les enjeux artistiques de cette production sont enfin analysés : la position du genre de la nature morte dans la doctrine officielle de l’Académie et sa reconnaissance dans les collections privées ; le statut du peintre de nature morte dans la génération des classiques, de Félibien à Perrault. Enfin, le rôle fondamental de Monnoyer dans le développement et la diffusion de ce genre est étudié<br>Having compiled the entire work catalogue of Jean-Baptiste Monnoyer (easel paintings and decorations), this thesis aims to study and re-value his importance in France during the Grand Siècle.Through the study of works of his collaborators and contemporaries the uniqueness of his artistic personality is specified, as well as his position in the development of still life painting in France during the 17th century.Born in Lille, Monnoyer came early to Paris, where he joins his knowledge of Nordic still life painting to the influence of French « silent life » painters.His name is famous too during the century of Louis XIV as a painter decorator. As such, he made the first decorations for the youth residences of the monarch (Saint-Germain-en-Laye, Vincennes, the Tuileries). He there develops the importance of the pattern of the garland glorifying the prince.As a collaborator of Le Brun, he works in private worksites (Hôtel Lambert, château de Vaux), or in castles of ministers (Sceaux). He also works in England at the end of the century. Due to the great amount of royal orders, he was forced to gather assistants. The artistic issues of this production are analysed: the situation of the still life genre in the official doctrine of the Academy, and his recognition in private collections ; the position of the still life painter in the classical generation, from Felibien to Perrault. And then, the fondamental part of Monnoyer in the development and the rayonnment of this genre is studied
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Plouzennec, Yvon. "La carrière de Claude Jean-Baptiste Jallier de Savault (1739-1806) : architecte du règne de Louis XV à l’Empire." Thesis, Sorbonne université, 2018. http://www.theses.fr/2018SORUL141.

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Abstract:
L’architecte Claude Jean-Baptiste Jallier de Savault est une figure méconnue dont la redécouverte est relativement récente. Né en 1739 à Château-Chinon, il est élevé dans une famille bourgeoise de culture protestante. Au cours des années 1750, il s’installe à Paris et intègre l’agence de Jacques-Germain Soufflot, alors en pleine effervescence. Le cursus académique qu’il mène en parallèle de cette formation pratique, est couronné par deux seconds Prix en 1758 et en 1760. Soutenu par son maître et par Charles-Nicolas Cochin, il obtient un brevet d’élève architecte de l’Académie de France à Rome et séjourne au Palais Mancini en 1762. À son retour, il poursuit son apprentissage auprès d’Ange-Jacques Gabriel avant d’entamer une carrière au service des financiers d’Ancien Régime. Cette clientèle, à majorité protestante, lui offre l’opportunité de réaliser divers projets à Paris, mais également dans le nord-est du royaume, ainsi qu’en Suisse. Les dernières années du règne de Louis XVI, marquées par l’accession de Jacques Necker à la Direction générale des Finances, constituent le moment fort de sa carrière. Les deux succès publics qu’il remporte à cette époque (Place royale de Brest et hôtel de la Caisse d’escompte) ne voient pourtant jamais le jour, du fait des événements qui agitent le royaume. Après une parenthèse politique dans les premiers temps de la Révolution, il est employé par la Commission des travaux publics avant de devenir architecte des bâtiments civils sous le Directoire. Ce poste, qu’il occupe jusqu’à sa mort, en 1806, lui accorde un statut officiel qui constitue finalement l’aboutissement de la quête de légitimité qu’il mène tout au long de sa carrière<br>The architect Claude Jean-Baptiste Jallier de Savault is an unsung figure whose rediscovery is relatively recent. Born in 1739 in Château-Chinon, he grew up in the Protestant milieu of a tradesman family. In the 1750s, he moved to Paris and joined the office of Jacques-Germain Soufflot, then at the height of its activity. The academic course he followed in parallel with this practical training was crowned by two second prizes in 1758 and in 1760. Supported by his master and Charles-Nicolas Cochin, he was accorded the status of a student architect of the Academy of France in Rome and resided at the Palais Mancini in 1762. Upon his return, he continued his apprenticeship with Ange-Jacques Gabriel before starting a career in the service of financiers of the Ancien Régime. This mostly Protestant clientele offered him the opportunity to carry out various projects in Paris, in thenorth-east of the kingdom, as well as in Switzerland. The last years of the reign of Louis XVI, marked by the accession of Jacques Necker to the Directorate General of Finance, was a propitious time in his career. Given thekingdom’s worsening political and financial situation, however, his two public commissions from this time (the Royal square of Brest and the Paris headquarters of the Caisse d’Escompte) were never built. After a brief engagement in political life in the early days of the Revolution, he was employed by the Public Works Commissionand subsequently became an architect of civil buildings under the Directory. With this post, which he held until his death in 1806, he finally gained something of the official status and legitimacy that had long eluded him
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Maës, Antoine. "Un sculpteur romain à la cour de France : alliances, fortune et œuvre de Jean-Baptiste Tuby (1629-1700)." Thesis, Tours, 2019. http://www.theses.fr/2019TOUR2024.

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Abstract:
Né à Rome en 1629, Jean-Baptiste Tuby fit toute sa carrière dans le royaume de France. Devenu « sculpteur ordinaire du roi » en 1659, probablement peu après son installation à Paris, il connut une ascension rapide dès les premières années du règne de Louis XIV. Agréé et reçu à l’Académie royale de Peinture et de Sculpture en 1663, puis logé à la manufacture des Gobelins à partir de 1664-1665, il reçut ses lettres de naturalité en 1672. Le sculpteur fut régulièrement sollicité pour contribuer à l’embellissement des résidences royales, en particulier Versailles, où il donna la pleine mesure de son talent, et prit également part à l’exécution de prestigieux monuments funéraires. Il travailla souvent à partir de dessins fournis par Charles Le Brun, Premier Peintre du roi, qu’il sut traduire avec virtuosité dans différents matériaux, notamment le marbre et le plomb, tout en insufflant son propre style. Parmi les treize enfants connus que Tuby eut avec ses deux épouses successives, seul Jean-Baptiste II Tuby entreprit une carrière de sculpteur. Celle-ci ne fut toutefois pas aussi féconde que celle de son père, décédé en 1700<br>Born in Rome in 1629, Jean-Baptiste Tuby did the whole of his career in the kingdom of France. Become « sculpteur ordinaire du roi » (sculptor of the King) in 1659, probably shortly after his settle in Paris, he knew a fast rise from the first years of the reign of Louis XIV. Applied and received to the Académie royale de Peinture et de Sculpture in 1663, then established in the Gobelins manufactory from 1664-1665, he was made a naturalized French citizen in 1672. The sculptor was regularly solicited to contribute to the beautification of royal residences, in particular Versailles, where he gave the best of his talent, and he participated also in the execution of prestigious funeral monuments. He often worked from the drawings given by Charles Le Brun, First Painter of the King, and he was able to translate them with virtuosity in different materials, as marble and lead, and moreover, he injected his own style in. Among the thirteen known children that Tuby had with his two successive wives, only Jean-Baptiste II Tuby undertook a career as a sculptor. Nevertheless, this one was not as fecund as his father’s, who died in 1700
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Vasilakou, Antonia. "Le mime tragique dans les mises en scène de Jean-Louis Barrault : quatre exemples : la Faim, Antoine et Cléopâtre, Baptiste et Les Suites d’une course." Thesis, Paris 10, 2014. http://www.theses.fr/2014PA100119.

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Abstract:
Le sujet traite de la notion du mime tragique de J.-L. Barrault dans quatre de ses mises en scènes relatives à l'art du geste et du mime.La première partie de la thèse trace les influences qui ont forgées artistiquement Barrault, dont J. Copeau, le Cartel et plus particulièrement Ch. Dullin. Une grande partie est consacrée à Étienne Decroux sur les niveaux théorique et pratique du mime corporel de Barrault. Barrault fut aussi sous le charme « magnétique » d'A. Artaud ce qui sera également évoqué à divers moments dans cette recherche. La partie est complétée par une section dédiée à l’empreinte que Barrault, par son enseignement et son travail, a laissée sur les mimes connus tels M. Marceau et J. Lecoq. La deuxième partie, définira la notion du mime tragique. Dans l’article « Le mime tragique », Barrault étend la notion du mime à l’action dramatique tout en la liant aux pouvoirs du corps humain, afin qu’elle devienne à la fois, la médiatrice entre la vie intérieure et la vie extérieure et leur expression sur scène. Le mime tragique parle d’un théâtre en interaction avec ses ressources corporelles. Il laisse entrevoir un point de vue du mime élargi, car Barrault s’éloigne de l’aspect “purement mime” pour l’étendre à un langage corporel plus vaste, composé de la technique du mime corporel Decroux, de la pensée d’Artaud, de Dullin, de Craig et même de Stanislavski. Dans la troisième et dernière partie, grâce au matériel du Fonds Renaud-Barrault, les mises en scène de Jean-Louis Barrault sont examinées du point de vue de la présence en elles du corps et du mime Il s’agit d’un chapitre qui analyse les composants du mime tragique (tels que l'action objective, l'action subjective, vie intérieure, le Double et autres) dans les pièces La Faim, Antoine et Cléopâtre, Baptiste, Les Suites d’une course<br>The subject deals with the concept of the tragic mime Jean-Louis Barrault in four of his theatrical performances related to the art of gesture and mime. The first part of the thesis traces the influences that have forged artistically Barrault, including J. Copeau, the Cartel and especially Ch. Dullin. A large part is devoted to Etienne Decroux’s influence on a theoretical and practical level. Barrault was also under the "magnetic" charm of A. Artaud which will also be discussed various times in this research. The section is completed by the description of Barrault’s teaching and work and its influence to well-known mimes, such as M. Marceau and J. Lecoq. The second part defines the notion of the tragic mime. In to the article “Le mime tragique” Barrault extends the notion of mime as a dramatic action. Mime becomes the mediator between the inner life, the outer life and their expression on stage. The tragic mime talks about a theater in an interaction with the actors corporeal resources. It suggests a broader perspective of mime, since Barrault deviates from the "pure mime" so as to extend it to a wider body language, consisted of Decroux’s mime technique and Artaud’s, Dullin’s, Craig’s and even Stanislavski’s theories and practices.In the third and last part, thanks to the material of the Fonds Renaud-Barrault, the directing of Jean-Louis Barrault is analyzed from the view of the corporeal presence and mime elements into his theatrical performances. Tragic mime components (such as objective action, subjective action, inner life, dublicity, etc) in the staging, will be analyzed extensively
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Collins, Megan Marie. "The Portrait of Citizen Jean-Baptiste Belley, Ex-Representative of the Colonies by Anne-Louis Girodet Trioson: Hybridity, History Painting, and the Grand Tour." Diss., CLICK HERE for online access, 2006. http://contentdm.lib.byu.edu/ETD/image/etd1237.pdf.

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Hroděj, Philippe. "L'amiral Du Casse : l'élévation d'un gascon sous Louis XIV." Paris 4, 1995. http://www.theses.fr/1995PA040221.

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Abstract:
La carrière de ce grand marin, huguenot et roturier, s'inscrit dans le règne de louis XIV. Ecrivain sur un navire de la Compagnie des Indes Occidentales, il devient capitaine marchand et se livre à la traite négrière aux Antilles. Il est à l'origine du premier empire colonial français au Sénégal. Entré dans la marine du roi (1686), il s'illustre lors de la prise de Saint-Christophe (1689) et libère la Guadeloupe (1691). Gouverneur de Saint-Dominique, il entraîne ses flibustiers contre la Jamaïque (1694) puis contre Carthagène des Indes (1697). Il permet à la partie française de s'attacher au cycle sucrier, à l'origine de sa fortune, tout comme le commerce interlope mené avec les espagnols. En 1700, il regagne la France, négocie l'année suivante l'asiento auprès de Philippe V. Durant la guerre de succession, il assure par trois fois la défense des colonies américaines du roi catholique et ramène à Madrid l'argent indispensable pour soutenir l'effort de guerre. Il commande encore les forces navales franco-espagnoles au siège de Barcelone. Epuisé, il meurt à Bourbon l'Archambault le 25 juillet 1715. Cas unique sous l'ancien régime, à cette extraordinaire élévation : lieutenant général et commandeur de l'ordre de Saint-Louis, capitaine général des armées navales du roi d'Espagne qui lui remet la toison d'or, s'ajoute une remarquable alliance avec les Pontchartrain et les La Rochefoucauld, qui coiffe une magnifique réussite sociale<br>The career of this great huguenot sailor, born into the common people, is in keeping with the reign of Louis XIV. A book keeper on a ship of the west indies company, he becomes a merchant captain, getting involved in the slave trade in the Antilles. He is the founder of the first colonial French empire in Senegal. In 1686 he joins the king's navy and wins renown during the taking of St Christopher in 1689 and the liberation of Guadeloupe in 1691. As the governor of santo domingo, he leads his buccaneers against Jamaica in 1694, then against Cartagena of Indies in 1697. He allows the french side to have a hand in the sugar cycle which just like the illegal trade with the spaniards, is the origin of his fortune. He gets back to france in 1700 and negotiates the asiento with philippe v the following year. During the succession war in Spain, he defends the catholic king's american colonies three times, bringing back to Madrid the necessary amount of silver for supporting the effort of war. At the siege of Barcelona, he was still to be in command of the franco-spanish naval forces. He died, exhausted, in Bourbon l'Archambault on the 25th of july, 1715. Admiral du casse's case is unique under the old regime: besides his extraordinary elevation to the rank of lieutenant general and commander of Saint-Louis's order as well as captain general of the naval armies of the king of Spain (who awarded him the golden fleece), he gained
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Koh, Adam Byunghoon. "Black Dionysus classical iconography and its contemporary resonance in Girodet's Portrait of Citizen Belley /." Access to citation, abstract and download form provided by ProQuest Information and Learning Company; downloadable PDF file, 84 p, 2008. http://proquest.umi.com/pqdweb?did=1605135741&sid=2&Fmt=2&clientId=8331&RQT=309&VName=PQD.

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JALBAUD, SAVIGNAC ANNE-MARIE. "A propos des origines de la biochimie : mm. gay-lussac, thenard, chevreul, dumas et la chimie organique." Toulouse 3, 1992. http://www.theses.fr/1992TOU31112.

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Dingli, Laurent. "L'œuvre de Seignelay : structuration de l'État sous le règne de Louis XIV." Paris 4, 1995. http://www.theses.fr/1994PA040370.

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Deias, Dalia. "Inventer l'Observatoire : sciences & politiques sous Giovanni Domenico Cassini (1625-1712)." Thesis, Paris, EHESS, 2020. http://www.theses.fr/2020EHES0165.

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Abstract:
En 1667, commence la construction de l’Observatoire à Paris. Dès son origine, c’est un projet qui représente une rupture dans l’Europe des savoirs. On le conçoit comme un magnifique palais installé dans un vaste parc au milieu d’autres constructions plus légères. Idéalement, les savants de la nouvelle Académie des sciences, fondée dans un même geste, pourront y loger, s’y réunir et y trouver toutes facilités pour se livrer à la pratique savante. Pour le roi, il s’agit avant tout de développer les connaissances astronomiques et géographiques : l’Observatoire est le réservoir de cette expertise cruciale et le symbole de son pouvoir et de son rayonnement.Au carrefour des sciences studies, de l’histoire des pratiques d’observation astronomique et des études sur les correspondances savantes à l’âge classique, cette thèse a pour objet de revenir sur l’histoire de l’Observatoire, en interrogeant à nouveaux frais les contours précis du projet initial et les modalités de sa mise en œuvre dans le Grand Siècle, qui correspond aux premières décennies de son existence. Revisitant les travaux classiques des historiens des sciences, notre étude se structure autour d’un ensemble considérable de lettres et de notes inédites de Giovanni Domenico Cassini et de ses correspondants. Professeur d’astronomie à Bologne jusqu’en 1669, astronome royal et premier savant courtisan de Louis XIV par la suite, Cassini est appelé en France pour donner un avis sur le bâtiment en construction. Il y vivra et travaillera pendant tout le Grand Siècle : ses manuscrits constituent une source particulièrement riche pour étudier cette institution, réinterroger les choix fondamentaux la concernant et suivre l’évolution de son dessein.De cet examen, nous concluons que bien que d’autres lieux d’observation céleste aient existé auparavant, Cassini invente une nouvelle forme d’organisation de la pratique savante. Fonctionnant sans règles explicites, l’Observatoire innove cependant grandement dans l’organisation du travail collectif au sein d’un établissement dédié à la pratique astronomique et dans la constitution de réseaux d’observateurs aux quatre coins du monde travaillant de manière coordonnée à la poursuite d’un projet commun au service de la monarchie. Nous montrons que le savant organise l’Observatoire autour d’un concept qui provient de son travail sur les méridiennes italiennes, l’esattezza des mesures et de l’écart entre terre et le ciel. Les techniques de l’Observatoire se répandront ainsi grâce à lui : les réseaux de sociabilité de l’Italien conditionneront le fonctionnement quotidien de l’établissement et la circulation des savoirs dans la ville et dans le monde entier<br>In 1667, the construction of the Observatoire de Paris began. From the very beginning, it was a project that represented a breakthrough in the Europe of knowledge. It was conceived as a magnificent palace set in a vast park in the middle of other lighter constructions. Ideally, the savants of the new Académie des sciences, founded in a single act, will be able to stay, meet and find all the facilities to engage in scholarly practice. For the king, it is above all a question of developing astronomical and geographical knowledge: the Observatoire is the reservoir of this crucial expertise and the symbol of its power and influence.At the crossroads of the science science, the history of astronomical observation practices and the studies on correspondence in the classical age, the aim of this thesis is to return to the history of the Observatoire, questioning once again the precise outlines of the initial project and the methods of its implementation in the Grand Siècle, which corresponds to the first decades of its existence. Revisiting the classic works of historians of science, our study is structured around a considerable number of letters and unpublished notes by Giovanni Domenico Cassini and his correspondents. Professor of astronomy in Bologna until 1669, royal astronomer and first courtier of Louis XIV thereafter, Cassini was called to France to give an opinion on the building under construction. He lived and worked there throughout the Great Century: his manuscripts constitute a particularly rich source for studying this institution, questioning the fundamental choices concerning it and following the evolution of its purpose.From this examination, we conclude that although other celestial observation sites have existed before, Cassini invented a new kind of organisation of pratique savante. Functioning without explicit rules, the Observatoire nevertheless greatly innovates in the organisation of collective work within an establishment dedicated to astronomical practice and in the constitution of networks of observers around the world working in a coordinated manner in pursuit of a common project at the service of the monarchy. In the thesis we show that the savant organises the Observatory around a concept that comes from his work on the Italian meridians, the esattezza of measurements and the gap between Earth and Sky. The techniques of the Observatoire will spread thanks to him: the networks of sociability of the Italian will condition the daily functioning of the establishment and the circulation of knowledge in the city and throughout the world
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Lafage, Gaëlle. "Charles Le Brun décorateur de fêtes et de cérémonies." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040210.

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Abstract:
Les fêtes et les cérémonies, de Cour, publiques ou privées, firent partie des grandes heures du règne de Louis XIV. Charles Le Brun, le Premier peintre du roi, magnifia quelques-unes de ces brillantes célébrations, associant apparat, musique, danse ou feux d’artifice. Les peintures, sculptures, tapisseries ou grandes structures, telles que des arcs de triomphe, étaient conçues ou disposées afin de s’adapter aux divertissements ou aux cérémonies, métamorphosant pendant quelques heures les édifices ou les jardins. Détruites à la fin des événements qu’elles accompagnaient, ces œuvres ont reçu peu d’attention jusqu’à présent. L’analyse des sources contemporaines et des images des décors permet de restituer ces ouvrages, mais également de les replacer dans leur contexte. La genèse de ces œuvres, leur conception et leur fabrication sont étudiées, redessinant les liens que Le Brun avait tissés avec les hommes d’État (le roi, Séguier, Fouquet et Colbert), avec les hommes de lettres, ainsi qu’avec ses principaux collaborateurs, notamment à la Manufacture des Gobelins. L’une des particularités de Le Brun dans ce domaine fut d’ordonner lui-même des fêtes et des cérémonies, ce qui constitue peut-être un cas unique pour un peintre à cette période. Ces œuvres oubliées complètent donc le portrait d’un des plus grands artistes français du XVIIe siècle. Plus que tout autre ouvrage, les décorations ordonnées par Le Brun donnent l’image la plus juste de ses recherches et de ses goûts. Enfin, l’étude de ces fêtes et de leur réception offre une meilleure compréhension de ces moments éphémères, tout en leur conférant la pérennité qu’ils méritent<br>Religious ceremonies and festivals, courtly, public or private, constituted the most glorious moments of the reign of Louis XIV. Charles Le Brun, the King’s First Painter, enhanced some of these brilliant celebrations, involving pageantry, music, dance or fireworks. The paintings, sculptures, tapestries or great structures, such as triumphal arches, were designed or arranged to adapt to entertainment or ceremonies, transforming for a few hours gardens or buildings. Destroyed at the end of the events that required them, these works have received little attention until now. In this study, contemporary descriptions and reproductions of Le Bruns decorations are analyzed and brought to light to set them in the context of their day. The origin of these works, their conception and their making are studied, showing Le Bruns connections with statesmen (the King, Seguier, Fouquet and Colbert), with men of letters, and with other artists and workers, in particular those at the Gobelins Manufactory. One of the particularities of Le Brun in this domain was to commission himself festivals and ceremonies, which was perhaps a unique case for an artist at that time. These forgotten works round out the portrait of one of France’s greatest XVIIth Century artists. More than any other work, the decorations commissioned by Le Brun give the most accurate image of his research and taste. Finally, the study of these festivals and their reception offers a better understanding of these ephemeral moments, while giving them a permanence they deserve
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Huchet, de Quénétain Christophe. "Nicolas Besnier (1686-1754) : architecte, orfèvre du roi, directeur de la Manufacture royale de tapisseries de Beauvais, et échevin de la Ville de Paris." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040025.

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Abstract:
Nicolas Besnier (1686-1754) est le fils de François Besnier, chef du gobelet du roi, et d’Henriette Delaunay. Son oncle est Nicolas Delaunay et son parrain est Corneille Van Clève. Comme architecte, Nicolas Besnier fait le voyage en Italie de 1709 à 1712 ; étudiant à l’Académie de France à Rome, il obtient le premier prix d'architecture de l’Académie de Saint-Luc en 1711. Maître orfèvre en 1714, associé à Delaunay, logé aux galeries du Louvre à partir de 1718, il est nommé orfèvre du roi par un brevet en 1723. Il travaille pour la cour de France, notamment pour le remplacement de la vaisselle ordinaire du roi et pour les Affaires étrangères, ainsi que pour les comtes de Tarroca, de Pontchartrain, les duchesses de Retz, d'Harcourt, le maréchal de Castries, les ducs de Bouillon, de Levy, Horatio Walpole, Gaspard-César-Charles de Lescalopier, William Bateman, l'église Saint-Louis-en-l'ile, la cour de Wurtemberg, etc… Il devient échevin de la ville de Paris en 1729. A cette époque, il décide de collaborer avec son gendre Jacques Roëttiers de La Tour, à qui il laissera la conduite de son atelier d’orfèvre. De 1734 à 1753, il est directeur de la Manufacture royale de tapisserie de Beauvais. Il supervise la création de nouvelles tentures par Jean-Baptiste Oudry - Métamorphoses d'Ovide, Verdures fines -, par Charles Joseph Natoire - Histoire de don Quichotte - et par François Boucher - les Fêtes italiennes, Histoire de Psyché,Seconde tenture chinoise, les Amours des dieux, la Noble pastorale, les Fragments d'opéra ; cette période est vraiment « l'âge d'or » de la manufacture. Il quitte son logement aux galeries du Louvre en 1739 et il remet son poinçon d'orfèvre en 1744<br>Nicolas Besnier (1686-1754) is the son of François Besnier, head of the Gobelet du Roi and Henriette Delaunay. His uncle is Nicolas Delaunay and his godfather is Corneille Van Clève. As an architect, Nicolas Besnier traveled to Italy from 1709 to 1712. As student at the Academy of France in Rome, he obtained the first prize of architecture of the Académie de Saint-Luc in 1711. He became master goldsmith in 1714, partner with Delaunay, and was housed in the Galeries du Louvre from 1718. He was appointed goldsmith of the king by a patent in 1723. He worked for the court of France, notably for the replacement of the king's ordinary serveware and for the Foreign Affairs, as well as for the Counts of Tarroca, of Pontchartrain, the Duchess of Retz, of Harcourt, the Marshal de Castries, the Dukes of Bouillon, of Levy, Horatio Walpole, Gaspard-Caesar-Charles de Lescalopier,William Bateman... He became the alderman of the city of Paris in 1729. At that time, he decided to collaborate with his son in law Jacques Roëttiers de La Tour, who led the his workshop of goldsmith. From 1734, and until 1753, he was director of the Royal Manufacture of Tapestry of Beauvais. He supervised the creation of newhangings by Jean-Baptiste Oudry - Metamorphosis of Ovide, Fine verdures, by Charles Joseph Natoire - History of Don Quixote and by François Boucher - Italian festivals, Story of Psiché, the second Chinese hangings, the Loves of the gods, the Noble pastoral, Fragments of opera. This period is truly the « golden age » ofmanufacturing. He left his lodging at the galleries of the Louvre in 1739 and in 1744 gave back his hallmark of goldsmith
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Desbiens, Frédérick. "Le rôle des cinq jésuites Mathématiciens de Louis XIV en Chine aux XVIIe et XVIIIe siècles." Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26185.

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Abstract:
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2015-2016<br>La France du XVIIe siècle s’ouvre sur le monde et Louis XIV pose son regard sur l’Asie. Point important du développement politique et économique des puissants royaumes d’Europe, plusieurs régions asiatiques figurent au centre des ambitions politiques et économiques des royautés européennes, dont le Japon, l’Inde et la Chine. Dans l’objectif de servir les désirs d’expansion du roi français, Jean-Baptiste Colbert (1619-1683) orchestre une mission en Asie, avec comme principal but, l’établissement de missionnaires jésuites français en Chine. Ces ardents religieux et intellectuels aguerris ont pour mandat de contribuer à l’édification de l’Église de Chine par la diffusion du christianisme et le développement d’un clergé français. De plus, les jésuites français, membres de l’Académie royale des sciences de Paris, ont pour mission d’étudier la Chine en profondeur et parfaire les connaissances européennes de ce pays lointain en divers domaines, notamment pour la géographie, les sciences, la politique, la faune et la flore, l’urbanisme, la langue et biens d’autres sujets. Enfin, les missionnaires doivent représenter la France auprès de l’empereur Kangxi dans l’objectif de développer des relations diplomatiques entre les deux royaumes.
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Gourdon, Marie-Louise. "Contribution à l'histoire de la langue occitane : systèmes graphiques pour l'occitan (niçois - provençal - languedocien) 1881-1919 : itinéraires et travaux de A. L. Sardou, J. B. Calvino, L. Funel, A. Perbosc et P. Estieu." Nice, 1997. http://www.theses.fr/1997NICE2027.

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Abstract:
Nous avons tenté de comprendre selon quels processus et pour quelles motivations linguistiques, idéologiques et politiques, des chercheurs, écrivains, poètes ou grammairiens, dans une situation historique ou sociologique donnée, ont tenté de mettre au point une normalisation graphique de leur langue. La période concernée va de 1881 à 1919 et concerne le niçois, le provençal et le languedocien. Pour comprendre ces mécanismes subtils, nous avons étudié le cheminement de la réflexion et les travaux de cinq auteurs : A. L. Sardou et J. B. Calvino à Nice ; L. Funel, en Provence ; A. Perbosc et P. Estieu, pour le Languedoc. Ces démarches montrent toute l'importance que revêt, dans une dynamique de renaissance littéraire et linguistique, le choix d'un système graphique. Nous avons voulu montrer les enjeux qui accompagnent ces choix et qui expliquent l'ardeur et la combativité de ceux qui les créèrent ou les défendirent. A Nice, Sardou adapta la graphie félibréenne au niçois et Calvino y appliqua la graphie d’Honnorat ; ils soulevèrent une violente polémique avec les partisans de la graphie italienne. Funel mit au point un système graphique pour unifier les dialectes en collaboration avec Perbosc et Estieu. Ces derniers mirent au point, en 1919, un système qui servit de base à la graphie d'Alibert. Il apparait que la quête de la graphie originelle pour redonner une dignité à la langue, fut celle d'une graphie propre à l'occitan, indépendante d'autres systèmes, un choix qui relève chez certains comme Funel, d'une certaine forme de nationalisme. Le choix du code de transcription reflète les choix historiques, culturels, sociaux et politiques. Nous pensons que la graphie est l'image que l'utilisateur se fait de la langue. Son choix est révélateur des attentes et des motivations qui sont les siennes par rapport au statut qu'il veut lui conférer<br>We tried to understand depending on whether processes and for which linguistic, ideological and political motivations, the researchers, authors, poets or grammarians in a certain historical or sociological situation tempted to focus on a normalisation of their own method of writting their language. The concern period is from 1881 to 1919 and concern the "niçois", the "provencal" and the "languedocien". To understand those subtil mecanisms we hare studied the progress of thought and the work of five authors: A. L. Sardou and J. B. Calvino for Nice, L. Funel for Provence, A. Perbosc and P. Estieu for the Languedoc. These approaches show all the importance that put on the choice of a method of writting system in a dynamic of renaissance literary and linguistic. We wanted to show why they made such choices and that explain the fervour and the pugnacity of those who created them out or defend them. In "Nice" Sardou adaptated the "felibreenne" method of writting to "nicois" and Calvino fit to it the " Honnorat" method of writting. They provokated a drastic polemic with the followers of the italian method of writting. Funel set a system of method of writting to unify the dialects in collaboration with Perbosc and Estieu, who set themselves in 1919 a system that was the base for the Alibert method of writting. It occurs that the search for the primary method of writting to give a new dignity at the language, was the one a proper "occitan" method of writting, that was independant of any other systems. A choice which is, belong certain people as Funel, a kind of nationalism form. The choice of the transcription code is an indication of historical, cultural, social and political choices. We think that the method of writting is the expression that the users have about the language. This choice is the tell-tale of what they want and whatare their motivations regarding the status they want to confer to it
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Romey, John Andrew III. "Popular Song, Opera Parody, and the Construction of Parisian Spectacle, 1648–1713." Case Western Reserve University School of Graduate Studies / OhioLINK, 2018. http://rave.ohiolink.edu/etdc/view?acc_num=case1521213146521338.

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Wang, Xiaofei. "The teaching of analysis at the École Polytechnique : 1795-1809." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCC234.

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Abstract:
Ce travail se concentre sur le cours d'analyse enseigné à l'École polytechnique de 1795 à 1809. En devenant professeurs, plusieurs mathématiciens au tournant du 19ème siècle y ont contribué par des ouvrages importants d’Analyse. Parmi eux, Joseph-Louis Lagrange (1736-1813) joua un rôle central, en y devenant le premier Institutor d'analyse. Les trois premiers chapitres de cette thèse se focalisent sur les leçons que Lagrange donna de 1795 à 1799. En insistant sur le fait que Lagrange enseignait l'arithmétique à l’École Polytechnique avant son cours d'analyse, la première partie de cette thèse clarifie les raisons pour lesquelles de Lagrange incorporait ces éléments d’arithmétique et leur relation avec le cours d’analyse. Cette étude fournit une discussion détaillée des concepts fondamentaux des mathématiques dans les cours de Lagrange. Ainsi, on y montre que l'intention de Lagrange est de lier des branches différentes de l'analyse à l'algèbre à l'arithmétique. Ce travail montre de quelles façons et en quels termes Lagrange unifie ces branches. De plus, cette thèse met l'accent sur les valeurs épistémologiques que Lagrange poursuit et défend dans ses travaux mathématiques, sur la base desquelles Lagrange a choisi la méthode des développements des fonctions en séries pour présenter les principes du calcul différentiel. La but de la deuxième partie de cette thèse est de montrer à quel point le cours de Lagrange à l'Ecole Polytechnique a influencé l'enseignement de trois autres professeurs: Joseph Fourier (1768-1830), Jean-Guillaume Garnier (1766-1840) et Sylvestre-François Lacroix (1765-1843). Fourier inventa une nouvelle méthode en croisant la méthode de Lagrange et la méthode des limites. Garnier et Lacroix suivent essentiellement la méthode de Fourier, mais avec quelques modifications. En comparant les deux traités du calcul différentiel de Lacroix, cette étude montre que la pratique de l’enseignement, ainsi que la destination des élèves de l’École Polytechnique ont constitué des facteurs importants dans l’évolution des principes du calcul différentiel et de leur présentation<br>This work studies the courses of analysis taught at the Ecole Polytechnique (EP) from 1795 until 1809. Several mathematicians of the eighteenth century contributed important works as they practiced the teaching of analysis at this school. Joseph-Louis Lagrange (1736-1813) was the central figure, who had been the first professor of the course of analysis at the EP and had great impact on his successors. In order to show in which way and to what degree the lectures that Lagrange gave exerted influence on the teaching of analysis at the EP, this dissertation gives a detailed discussion on Lagrange’s publications and courses of analysis, as well as those by other teachers, i.e. Joseph Fourier(1768-1830), Jean-GuillaumeGarnier(1766-1840)andSylvestre-FrançoisLacroix (1765-1843). It achieves the following conclusions. First, Lagrange, taking into account the utility for students, chose to found analysis on the method of the developments of functions in series, so that analysis could be united with algebra, and arithmetic as well. Second, Lagrange’s approach to differential calculus, as well as the epistemic values he pursued in his mathematical works, provided influential source for the teaching of analysis by other professors. The thesis is that the three professors who taught beside or after Lagrange followed Lagrange’s ideas, although each made some modifications on his own course
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Gauthier, Marion. "Scandale et indignation dans les sermons de Bossuet, Bourdaloue et Massillon." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCC093/document.

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Abstract:
Le scandale et l’indignation constituent deux notions thématique et rhétorique centrales de la prédication religieuse classique que ce travail se propose d’étudier à partir des sermons des trois plus grands prédicateurs du règne de Louis XIV : Bossuet, Bourdaloue et Massillon. La première partie présente les fondements théologiques du scandale avant de suivre l’évolution de cette notion qui intéresse rapidement le droit canon et la morale. La seconde partie de ce travail étudie précisément la notion de scandale dans les sermons des prédicateurs classiques. Elle met en lumière la transposition morale et la généralisation de la notion de scandale à l’âge classique sous la forme du scandale de mœurs. L’analyse des sermons classiques s’attache à dévoiler le fonctionnement de l’argument du scandale et de la passion rhétorique associée, l’indignation. La troisième partie envisage l’efficacité de la parole sermonnaire comme arme pour lutter contre l’omniprésence des scandales parmi les hommes. Elle s’intéresse notamment à l’ambivalence de la parole des prédicateurs et à ses enjeux politiques<br>Scandal and indignation constitute two central thematic and rhetorical notions of classical religious preaching which this work proposes to study from the sermons of the three greatest preachers of the reign of Louis XIV: Bossuet, Bourdaloue and Massillon. The first part presents the theological foundations of the scandal before following the evolution of this notion which interests canon law and morals. The second part of this work studies precisely the notion of scandal in the sermons of the classical preachers. It highlights the moral transposition and the generalization of the notion of scandal in the classical age in the form of scandal of morals. The analysis of classical sermons seeks to unfold the functioning of the argument of scandal and the associated rhetorical passion, indignation
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Chae, Donald Baird. "Music, festival, and power in Louis XIV's France : court divertissements and the musical construction of sovereign authority and noble identity, 1661-1674 /." 2003. http://wwwlib.umi.com/dissertations/fullcit/3077045.

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Chae, Donald B. "Music, festival, and power in Louis XIV's France : court divertissements and the musical construction of sovereign authority and noble identity, 1661-1674 /." 2003. http://gateway.proquest.com/openurl?url_ver=Z39.88-2004&res_dat=xri:pqdiss&rft_val_fmt=info:ofi/fmt:kev:mtx:dissertation&rft_dat=xri:pqdiss:3077045.

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zhu, cui. "Symbolique florale dans le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV (1687)." Thèse, 2012. http://hdl.handle.net/1866/8412.

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Abstract:
Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle.<br>The painting by Jean-Baptiste Belin de Fontenay, Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV, is a reception piece of the french academician painter to the Académie royale de peinture et de sculpture in 1687. Unfortunately having been little studied, this painting reveals three very interesting issues. First of all, it contain three kind of painting in one composition: still life, portrait and history painting, illustrated respectively by the flowers, the bust of Louis XIV and the piece of armor. The combination of these three types in a still life is uncommon in the 17th century French painting. It is therefore necessary to check if there is a link between the flowers, the picture of Louis XIV and the armor. Then, the contrast between the polychrome of the flowers and the monochrome of the sculpture and furniture is striking, it is possible to associate this contrast to the phenomenon of the debates between drawing and color of the Académie royale de peinture et de sculpture during the second half of the 17th century. Moreover, the flowers, which were not the central subject in the original program of Le Brun, become the main subject of the table and occupy a more important place than the bust of Louis XIV. This change has not shocked the judges of the Academy since the painting was accepted without question. It therefore leads to think about the hierarchy of genres of painting, which was the official doctrine of the Académie royale de peinture et de sculpture at the time. The core of this research is to see if the flowers occupy a mere decorative function, or whether they may be associated with symbols. Our research will verify the employ of floral symbols in French culture of the 17th century and then developed this employ not only in the political field, which means the flowers are in praise of Louis XIV, but also in the aesthetics domain, that is to say how the painting reflects by employing floral symbols the evolution of the theories of art in France during the second half of the 17th century, the hierarchy of genres of painting and the debates between drawing and color.
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Zhu, Cui. "Symbolique florale dans le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV (1687)." Thèse, 2012. http://hdl.handle.net/1866/8412.

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Abstract:
Le tableau de Jean-Baptiste Belin de Fontenay intitulé Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV est le morceau de réception que le peintre a présenté à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1687. Malheureusement peu étudié, ce tableau n’en comporte pas moins trois problématiques très intéressantes. Tout d’abord, il rassemble trois genres de peinture dans une seule composition : la nature morte, le portrait et la peinture d’histoire, illustrés respectivement par les fleurs, le buste du roi et la pièce d’armure. L’association de ces trois genres dans un tableau de nature morte est peu commune dans la peinture française du 17e siècle. Il est donc nécessaire de vérifier s’il existe un lien entre les fleurs, l’image de Louis XIV et l’armure. Ensuite, le contraste entre la polychromie des fleurs et la monochromie de la sculpture et de l’ameublement est frappante ; il est possible de lier ce contraste au phénomène des débats entre le dessin et la couleur de l’Académie royale de peinture et de sculpture à la deuxième moitié du 17e siècle. D’ailleurs, les fleurs, qui n’étaient pas le sujet central dans le programme original de Le Brun, deviennent le sujet principal du tableau et occupent une place plus importante que le buste de Louis XIV. Cette modification n’a cependant pas choqué les juges de l’Académie puisque la toile a été acceptée sans contestation. Elle amène donc à s’interroger sur la hiérarchie des genres de peinture qui est la doctrine officielle de l’Académie royale de peinture et de sculpture de l’époque. Le noyau de la recherche consiste à vérifier si les fleurs n’occupent qu’une simple fonction décorative ou si elles peuvent être associées à des symboles. Notre recherche examine d’abord l’utilisation des symboles floraux dans la culture française du 17e siècle. Par la suite, elle étudie cette utilisation dans le domaine politique, à savoir que les fleurs pourraient être liées à la louange de Louis XIV. Enfin, elle analyse les domaines artistiques et esthétiques, c’est-à-dire la façon dont le tableau reflète, par l’utilisation des symboles floraux, l’évolution des théories de l’art, la hiérarchie des genres de peinture et les débats du dessin et de la couleur, en France, durant la deuxième moitié du 17e siècle.<br>The painting by Jean-Baptiste Belin de Fontenay, Vase d’or, fleurs et buste de Louis XIV, is a reception piece of the french academician painter to the Académie royale de peinture et de sculpture in 1687. Unfortunately having been little studied, this painting reveals three very interesting issues. First of all, it contain three kind of painting in one composition: still life, portrait and history painting, illustrated respectively by the flowers, the bust of Louis XIV and the piece of armor. The combination of these three types in a still life is uncommon in the 17th century French painting. It is therefore necessary to check if there is a link between the flowers, the picture of Louis XIV and the armor. Then, the contrast between the polychrome of the flowers and the monochrome of the sculpture and furniture is striking, it is possible to associate this contrast to the phenomenon of the debates between drawing and color of the Académie royale de peinture et de sculpture during the second half of the 17th century. Moreover, the flowers, which were not the central subject in the original program of Le Brun, become the main subject of the table and occupy a more important place than the bust of Louis XIV. This change has not shocked the judges of the Academy since the painting was accepted without question. It therefore leads to think about the hierarchy of genres of painting, which was the official doctrine of the Académie royale de peinture et de sculpture at the time. The core of this research is to see if the flowers occupy a mere decorative function, or whether they may be associated with symbols. Our research will verify the employ of floral symbols in French culture of the 17th century and then developed this employ not only in the political field, which means the flowers are in praise of Louis XIV, but also in the aesthetics domain, that is to say how the painting reflects by employing floral symbols the evolution of the theories of art in France during the second half of the 17th century, the hierarchy of genres of painting and the debates between drawing and color.
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Palomino, Jean-François. "L'État et l'espace colonial : savoirs géographiques entre la France et la Nouvelle-France aux XVIIe et XVIIIe siècles." Thèse, 2018. http://hdl.handle.net/1866/21137.

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