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Journal articles on the topic 'Jeunes animaux'

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1

Sawadogo, Gerrmain J., A. Abouna, H. Hamadama, and A. Maikano. "Principaux minéraux, protéines totales et leurs fractions dans le sérum du zébu Choa du Cameroun septentrional." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, no. 4 (April 1, 1991): 459–62. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9153.

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Abstract:
Les concentrations sériques des minéraux (Na, K, Ca, P) et celles des protéines totales et leurs fractions ont été mesurées chez 112 zébus Choa de la station zootechnique de Louguéré, à 115 km de Garoua, dans la province du Nord Cameroun. Les animaux étaient âgés d'un jour à plus de 2 ans et comprenaient des jeunes non sevrés, des jeunes sevrés et des animaux adultes. La natrémie et la kaliémie sont significativement plus basses chez les adultes. En revanche, la calcémie est significativement plus élevée chez les adultes et la valeur la plus basse est observée chez les jeunes sevrés. La phosphatémie n'est pas significativement différente dans les trois groupes. Les concentrations sériques de protéines totales et leurs fractions ne sont pas significativement différentes d'un groupe à l'autre, hormis les alpha-globulines qui sont plus élevées (P < 0,05) chez les jeunes sevrés.
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2

Dia, Mamadou Lamine, A. Diop, O. M. Ahmed, C. Diop, and O. T. El Hacen. "Diarrhées du chamelon en Mauritanie : résultats d'enquête." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 2 (February 1, 2000): 149. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9741.

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Abstract:
En Mauritanie, les éleveurs sont très préoccupés par les diarrhées des chameIons qui peuvent survenir quelques semaines après la mise bas. Selon eux, elles seraient seules responsables des causes de mortalité du chamelon. Afin de déterminer les étiologies de ces diarrhées et d'évaluer les pertes qu'elles occasionnent, deux enquêtes ont été menées : (1) dans les Wilaya du Sud Est du pays lors d'une enquête sur les mortalités des jeunes animaux ; (2) sur les dromadaires à Boghé (Centre du pays). Les animaux sondés étaient de jeunes chamelons présentant des diarrhées et âgés de quelques jours à un an. Les selles diarrhéiques prélevées sur le terrain étaient conservées au froid pour les recherches bactériologiques et formolées pour le diagnostic parasitologique. Ces diarrhées avaient différentes étiologies constituant un « complexe étiologique » incluant : - des bactéries ; les colibacilles (Escherichia coli) et les salmonelles étaient parmi les germes bactériens responsables des entérites des jeunes animaux les animaux âgés de 0 à 3 mois ont été les plus touchés ; - des parasites ; les coccidies (Eimeria cameli) et des parasites gastro-intestinaux (Haemonchus longistipes) ont été rencontrés dans tous les prélèvements en particulier pendant la saison des pluies. Sinon, elles étaient d'origine alimentaire ou inconnue. Ces résultats corroborent les observations des éleveurs selon lesquels il faut ajouter à ces étiologies l'état sanitaire de la chamelle mère, la période de mise bas et les produits phytosanitaires utilisés en agriculture.
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3

Belbis, Guillaume. "Vacciner les mères et les veaux pour gérer des BPIE : qu’en attendre ?" Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 14, no. 51 (September 2022): 33–36. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/2022054.

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Abstract:
La prévention des affections respiratoires des jeunes bovins repose en grande partie sur la vaccination des animaux à risque. Néanmoins certaines limites, liées entre autres choses à l’âge où la vaccination peut être mise en œuvre ou encore le délai d’instauration de l’immunité, sont notées dans certains cheptels où les affections surviennent chez les très jeunes animaux. Depuis quelques années se développe en élevage une vaccination plus large que la vaccination des seuls bovins à risque de maladie respiratoire, avec une vaccination des mères en complément de la vaccination des veaux. Cet article se propose de faire la synthèse sur les effets à en attendre.
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4

Rodriguez, Liliane. "Le lexique nordique des jeunes Manitobains : constantes et variations sociolinguistiques dans le vocabulaire fondamental désignant les animaux." Le dossier 29, no. 2 (November 30, 2017): 429–55. http://dx.doi.org/10.7202/1042268ar.

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Abstract:
Ce que l’on appelle le vocabulaire fondamental (ou lexique disponible) des jeunes forme le socle sémantique sur lequel se construit, au fil des ans, le lexique du locuteur adolescent puis adulte, voire l’imaginaire de l’écrivain. Ce vocabulaire est fondamental car il s’acquiert jusqu’à l’âge de treize ans, pour désigner les objets de notre expérience immédiate du monde: les vêtements, les jeux, l’école, les animaux, etc. Nos enquêtes, réalisées en douze communautés du Manitoba entre 1990 et 2006, montrent que la notion sémantique du Nord occupe une place récurrente dans le vocabulaire fon-damental des jeunes Franco-Manitobains. Extraits des corpus lexicométriques établis par des méthodes de statistique lexicale sur les données de ces enquêtes, nos exemples, ici, proviennent du champ lexico-sémantique «Les animaux» (le champ de la faune). Les indices de disponibilité de ces mots (leur usage réel, et non une simple compréhension passive) ont été calculés selon deux paramètres sociolinguistiques: urbain/rural et fille/garçon. Ces indices convergent, mettant en évidence la forte représentation lexicométrique d’une expérience nordique vécue (ours, carcajou, etc.) par rapport à la faible représentation de référents lointains (girafe, éléphant, etc.) dans le développement du lexique, de la mémoire sémantique et de l’imaginaire des jeunes Manitobains.
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RENAND, G., A. HAVY, and F. TURIN. "Caractérisation des aptitudes bouchères et qualités de la viande de trois systèmes de production de viande bovine à partir des races rustiques françaises Salers, Aubrac et Gasconne." INRAE Productions Animales 15, no. 3 (June 15, 2002): 171–83. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.3.3699.

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Abstract:
Les aptitudes bouchères à l’abattage, les caractéristiques musculaires du Longissimus thoracis et les qualités de la viande d’un échantillon représentatif de jeunes bovins des races Salers, Aubrac et Gasconne ont été mesurées afin de caractériser objectivement un système de production spécifique à chacune de ces races. Les taurillons du système Salers, abattus à 19 mois, présentent des carcasses de moindre conformation, avec de plus fortes teneurs en collagène et en lipides et des fibres musculaires de plus grosse taille. Les jeunes bovins du système Aubrac sont des ’bourrets d’herbe’, c’est-à-dire des mâles entiers engraissés rapidement de 19 à 24 mois après un phase d’élevage à l’herbe. Ces jeunes bovins ont les carcasses et les viande les plus maigres avec la plus forte teneur en pigments. Les taurillons du système Gascon, abattus les plus jeunes à 16 mois, ont le meilleur rendement, une moindre teneur en pigments et les fibres musculaires de plus petite taille. Les mesures instrumentales des qualités de la viande mettent en évidence que les animaux du système Salers ont une viande plus sombre et plus dure, mais une meilleure capacité de rétention de l’eau à la cuisson, que les animaux des deux autres systèmes. L’étude des qualités sensorielles montre que la flaveur dépend prioritairement de la teneur en lipides intramusculaires et que la tendreté peut être mise en relation avec le pH, la taille des fibres musculaires et la teneur en collagène.
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6

Abenga, J. N., F. N. C. Enwezor, F. A. G. Lawani, H. O. Osue, and E. C. D. Ikemereh. "Prévalence de trypanosomes chez des bovins dans la région de Lere dans l’Etat de Kaduna au centre nord du Nigeria." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 1-2 (January 1, 2004): 45. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9904.

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Abstract:
La prévalence de trypanosomes chez des bovins a été estimée en août 2001 dans des fermes sélectionnées dans les trois communes de la zone administrative de Lere, située dans l’Etat de Kaduna au centre nord du Nigeria. Cette étude a été consécutive à des rapports sur la présence de foyers de trypanosomose ayant causé des mortalités chez les bovins et ayant ainsi provoqué des migrations annuelles des Fulanis seminomades hors de cette zone, pendant les pluies en particulier. Des échantillons sanguins de 526 bovins ont été prélevés au hasard et examinés pour la recherche de trypanosomes en utilisant la technique du buffy coat et les frottis sanguins par coloration de Giemsa. En tout, 48 animaux se sont révélés infectés : 39 (81 p. 100) par Trypanosoma vivax, 7 (15 p. 100) par T. congolense et 2 (4 p. 100) par T. brucei. Les taux d’infection chez les bovins jeunes et adultes ont été non significatifs (P > 0,05) : respectivement 6 et 10 p. 100. Cette étude a montré que la trypanosomose continuait d’être un obstacle important à la production de bétail et son taux d’incidence était semblable chez les jeunes comme chez les animaux adultes.
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Blanchard, Tiphaine, Quentin Le Graverand, and Annabelle Meynadier. "Le rumen : un atout pour la transition agroécologique et un levier pour la gestion intégrée de la santé des élevages de ruminants." Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 15, no. 54 (2023): 30–36. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/2024011.

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Abstract:
Le rumen, premier pré-estomac des ruminants, permet de répondre aux trois premiers principes de l’agroécologie : Développer des pratiques de gestion intégrée pour améliorer la santé animale : du fait de sa production d’énergie, d’acides aminés et de vitamines B, et sa capacité de détoxification, le microbiote ruminal joue un rôle crucial dans la santé des animaux. Potentialiser l’utilisation des ressources naturelles et des coproduits pour diminuer les intrants nécessaires à la production : le rumen permet aux ruminants de valoriser des ressources naturelles et des coproduits non consommables par l’Homme, comme les prairies et les végétaux riches en fibres. Par ailleurs, des relations fortes existent entre la digestion ruminale et l’efficacité alimentaire. Optimiser le fonctionnement des systèmes d’élevage pour réduire les pollutions : le microbiote ruminal est un contributeur majeur à l’émission de méthane. Cependant, des solutions sont actuellement explorées pour réduire celle-ci. L’optimisation du microbiote ruminal par l’alimentation, la sélection génétique et la programmation nutritionnelle des jeunes animaux ouvre la voie à une meilleure gestion de la santé animale et à une production agricole plus durable.
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Yagoub, I. A., A. A. Mohamed, and M. O. Salim. "Enquête sérologique sur la prévalence des anticorps contre Brucella abortus chez le dromadaire (Camelus dromedarius) à l'est du Soudan." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no. 2 (February 1, 1990): 167–71. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8838.

Full text
Abstract:
Durant cinq ans, une enquête sur la prévalence des anticorps dirigés contre Brucella dans les sera de camélidés a été effectuée chez 1502 dromadaires des deux sexes et d'âges différents. Le taux d'incidence moyen de réactions positives était de 6,95 + ou - 1,55 p. 100. Parmi les animaux adultes, le taux était de 4,94 + ou - 2,51 p. 100 chez les mâles et de 13,76 + ou - 4,41 p. 100 chez les femelles. Les jeunes mâles ont montré un taux de 0 p. 100 et les jeunes femelles un taux de 1,82 + ou - 3,64 p. 100. La présence d'anticorps dirigés contre Brucella abortus s'est révélée prédominante dans les sera des dromadaires durant les cinq années de l'enquête avec un taux d'incidence de 6,54, 5,79, 9,32, 5,03 et 8,06 p. 100 de 1985 à 1989 respectivement.
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Dehoux, J. P., P. Dachet, L. Gueye, A. Dieng, and A. Buldgen. "Epizootie de pasteurellose dans un élevage semi-intensif de lapins de race locale au Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 2 (February 1, 1996): 98–101. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9538.

Full text
Abstract:
Une épizootie de pasteurellose s'est déclenchée dans un élevage semi-intensif de lapins (200 animaux) de race locale, à Thiès (ENSA) au Sénégal, pendant la saison des pluies 1995 (août à octobre). L'épizootie a provoqué la mort de 87 animaux. Les jeunes ont été particulièrement touchés par l'affection. Des symptômes tels que jetage, conjonctivite, perte de l'oeil, otite moyenne et interne étaient observés chez les lapereaux tandis que les adultes manifestaient de la parésie postérieure. Pasteurella multocida, Klebsiella pneumoniae et Pseudomonas aerogenes ont été identifiés. Un antibiogramme a révélé une sensibilité de ces germes au chloramphénicol, à l'association sulfaméthoxazole/triméthoprime et à la colistine. Les températures et l'humidité élevées caractérisant la saison des pluies semblent avoir favorisé l'apparition de la maladie à partir de porteurs sains issus du noyau fondateur de l'élevage. Un traitement à la colistine et au chloramphénicol a été instauré avant une vaccination de tous les animaux contre la pasteurellose.
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THERIEZ, M. "Elevage et alimentation du cerf (Cervus Elaphus). 2. Elevage des jeunes et production de viande." INRAE Productions Animales 2, no. 2 (May 10, 1989): 105–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.2.4405.

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Abstract:
La croissance des animaux, de la naissance à l’âge adulte, ainsi que les caractéristiques de la carcasse des cerfs sont présentées dans cet article. Le jeune faon qui pèse de 8 à 9 kg à la naissance, a une croissance rapide pendant la phase d’alimentation lactée. Cette croissance varie entre 250 et 450 g/j selon le niveau alimentaire de sa mère. Elle dépend également du sexe du faon (+ 20 à + 50 g/j pour les mâles par rapport aux femelles) et de son poids à la naissance (1 kg supplémentaire l’améliore de 5 à 15 g/j). Le sevrage, qui peut être réalisé en septembre ou en novembre, avant ou après le brame, entraîne une chute de croissance de 20 à 50 g/j selon la production laitière de la mère. La croissance restera voisine de 200-250 g/j jusqu’à la fin novembre pour diminuer ou s’annuler de décembre à fin février et reprendre à partir de mars, elle variera entre 150 et 250 g/j au cours de la deuxième année au pâturage. L’apport d’aliment concentré (jusqu’à 1 kg/j) en hiver permet de maintenir un gain quotidien de 100 g/j environ mais, après mise à l’herbe, les animaux ainsi traités ont une croissance réduite d’environ 50 g/j par rapport aux témoins. Le poids atteint au cours du second automne représente 70 à 75 % du poids adulte pour les biches mais 50 % seulement pour les cerfs. Les femelles atteignent leur poids adulte vers 4 ou 5 ans et les mâles poursuivent leur croissance jusqu’à 8-9 ans. Le rendement en carcasse des cerfs d’élevage est élevé (55 à 58 %). Leur carcasse se caractérise par une forte proportion de muscles et très peu de tissu adipeux sauf chez les mâles adultes avant le brame, chez lesquels ce tissu peut dépasser 20 % du poids de carcasse. Le cerf est un animal « tardif » qui ne commence à déposer une quantité importante de gras qu’à partir de 16-18 mois, lorsqu’il a atteint plus de 50 % de son poids potentiel adulte. Les besoins stricts pour la croissance sont voisins de 4 Mcal EM par kg de gain chez le faon de 60 kg, ils atteignent 5 Mcal pour des animaux de 90 kg. Les besoins d’entretien sont relativement plus élevés : 0,2 Mcal EM/kg P0,75. Les manipulations pour regrouper les animaux et les traitements avant abattage peuvent avoir un effet très défavorable sur la qualité de la viande dont les muscles restent à un pH élevé (supérieur à 6) 24 h post-mortem chez les animaux stressés lors de ces opérations.
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Khalafalla, Abdelmelik Ibrahim, and M. E. M. Mohamed. "Epizootiologie de l’ecthyma contagieux du dromadaire à l’Est du Soudan." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, no. 2 (February 1, 1997): 99–103. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9594.

Full text
Abstract:
Une enquête sur des dromadaires élevés en liberté dans les régions de Butana, Kassala et Blue Nile au Soudan a été effectuée entre 1992 et 1994 pour évaluer l'incidence de l'ecthyma contagieux du dromadaire (ECD). Trente-huit troupeaux étaient atteints de la maladie. D'un point de vue clinique, des lésions sont d'abord apparues sur les lèvres des animaux atteints sous forme de croûtes ou de croûtes fissurées. Tous les cas d'ECD concernaient les jeunes dromadaires jusqu'à 3 ans d'âge et, pour 97,8 % d'entre eux, ceux de moins d'un an. Les taux de morbidité et de mortalité moyens chez des jeunes de moins d'un an étaient respectivement de 60,2 et 8,8 % alors que la létalité moyenne était de 13 %. Cette maladie variait selon la saison, étant associée à la saison des pluies et à la consommation d'acacias épineux causant l'abrasion de la peau.
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Láu, Hugo Didonet, Jean-François Tourrand, Bernard Faye, and Jonas Bastos Da Veiga. "Typologie des systèmes d’élevage de l’agriculture familiale amazonienne : le cas du municipe d’Uruará, Brésil." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, no. 3-4 (March 1, 2001): 239. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9780.

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Abstract:
Au Brésil, l’élevage bovin est présent dans tout le pays où il est pratiqué dans les grandes fermes (fazendas) et dans les systèmes d’agriculture familiale. Sur les fronts pionniers de l’Amazonie, en particulier dans la région d’Uruará, l’élevage familial présente deux caractéristiques contrastées : un fort dynamisme et l’absence ou la faiblesse d’encadrement technique. Cette situation engendre une série de contraintes qui limitent le développement de ce type de système de production. La mortalité des veaux avant sevrage, sans qu’aucune étiologie évidente n’ait été indentifiée, est l’une de celles qui apparaissent comme les plus préoccupantes. Afin de caractériser la diversité des systèmes d’élevage familiaux de cette région en fonction des facteurs qui pèsent sur la mortalité des jeunes animaux, une typologie des éleveurs a été proposée à partir d’une enquête transversale rétrospective portant sur les caractéristiques sociales et structurales ainsi que sur les pratiques d’élevage. Elle a permis de mettre en évidence trois types de systèmes d’élevage : les systèmes où prédominaient les bâtiments bien construits et hygiéniques où les pratiques d’élevage étaient mises en oeuvre correctement ; les systèmes où les bâtiments n’étaient pas bien construits et où l’hygiène était insuffisante et les pratiques d’élevage peu compatibles avec la bonne marche de l’exploitation ; enfin, les systèmes où les bâtiments, les conditions hygiéniques et les pratiques d’élevage étaient très précaires. Cette typologie a mis aussi en évidence les principaux facteurs considérés comme un risque potentiel pour la mortalité des veaux, soit : les bâtiments d’élevage mal construits, le mauvais entretien des étables et des box pour les veaux, une complémentation minérale insatisfaisante et les vermifugations irrégulières. Des propositions d’ordre structurel, sanitaire et d’entretien des animaux sont faites afin de diminuer le taux de mortalité chez les jeunes animaux dans les systèmes d’élevage familiaux.
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Cauquil, L., P. Barrière, and T. Hüe. "Prévalence de Stephanurus dentatus chez le cochon féral (Sus scrofa) en Nouvelle-Calédonie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 66, no. 4 (January 1, 2014): 131. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10152.

Full text
Abstract:
La stéphanurose du porc est une infestation des reins et de la région périrénale par un ver parasite, Stephanurus dentatus. Une enquête sur des cochons féraux (Sus scrofa) abattus au cours d’opérations de régulation ou de chasse entre mars 2012 et décembre 2013 en Nouvelle-Calédonie a permis d’estimer la prévalence de cette parasitose. En considérant l’ensemble des animaux chez lesquels ce parasite a été observé soit dans le foie, soit dans le rein, soit dans la graisse périrénale, sur les 70 cochons sauvages abattus, 45 (soit 64,3 p. 100) étaient infestés par S. dentatus. Aucune différence significative n’a été observée entre le portage des mâles et des femelles, ni entre les animaux de moins d’un an et ceux de plus d’un an. En revanche, chez les plus jeunes, les parasites se trouvaient préférentiellement dans le foie alors que chez les animaux plus âgés, ils étaient surtout présents dans la sphère rénale. Aucune variation saisonnière de la prévalence d’infestation n’a été observée et cette parasitose a été présente sur la majeure partie du territoire étudié.
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Ahiwe, E. U., H. O. Obikaonu, O. E. Kadurumba, T. C. Iwuji, O. O. Emenalom, and E. B. Etuk. "Climate change and youth unemployment challenges in Nigeria: The poultry production option." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 4 (March 8, 2021): 107–20. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.2992.

Full text
Abstract:
This paper discusses climate change and poultry production as their interaction impacts on unemployment in Nigeria. Climate change and animal production have always had a negative impact on each other, with animal production accounting for about 15-18% global anthropogenic greenhouse gases (GHGs) emission in form of carbon dioxide (CO2), nitrous oxide (N2O) and methane (CH4) which are emitted when animals respire. On the other hand, the effect of climate change and global warming on animal production is on the increase and will continue to increase with the high rate of man's industrial activity if not checked. In Nigeria, there is an increasing demand for animal protein and the unemployment rate is increasing yearly because of high increase in population. In order to meet up with this increase in demand for food and reduce youth unemployment in an environment with less climate change challenge, more youth involvement in Agriculture is needed. But, this agricultural revolution will have great challenge on the environment because of the high rate of climate change that goes with industrialization and agriculture. Because poultry have low global warming potential, it has an edge over other animals or livestock such as cattle, sheep, and goat. This is because poultry has low GHGs emission as a result of its low enteric methane production rates compared to ruminant animal species. Apart from poultry being cheap, it is nutritious and readily marketable. In addition, it can be a nice source of investment and income generation for Nigerian youths, if harnessed properly. It is therefore, concluded and recommended that to meet up with the ever-increasing demand for jobs in an environment having less climate change challenges, various government agencies, banks, private sectors, civil society, rural co-operative societies, youth agencies in Nigeria with the assistance of various international donor agencies can collaborate and play a more facilitating role through giving of loans, grants and adequate extension services to ensure that food security and youth empowerment is achieved within an eco-friendly environment through profitable poultry production. Cet article discute du changement climatique et de la production de volaille comme leurs effets d'interaction sur le chômage au Nigéria. Le changement climatique et la production animale ont toujours eu un impact négatif l'un sur l'autre, la production animale représentant environ 15 à 18% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) anthropiques sous forme de dioxyde de carbone (CO2), d'oxyde nitreux (N2O) et de méthane (CH4) qui sont émis lorsque les animaux respirent. En revanche, l'effet du changement climatique et du réchauffement planétaire sur la production animale est en augmentation et continuera d'augmenter avec le taux élevé de l'activité industrielle de l'homme s'il n'est pas maîtrisé. Au Nigéria, il y a une demande croissante de protéines animales et le taux de chômage augmente chaque année en raison de la forte augmentation de la population. Afin de répondre à cette augmentation de la demande alimentaire et de réduire le chômage des jeunes dans un environnement où les défis du changement climatique sont moins importants, une plus grande implication des jeunes dans l'agriculture est nécessaire. Mais, cette révolution agricole aura un grand défi sur l'environnement en raison du taux élevé de changement climatique qui accompagne l'industrialisation et l'agriculture. Parce que la volaille a un faible potentiel de réchauffement planétaire, elle a un avantage sur les autres animaux ou le bétail comme les bovins, les moutons et les chèvres. En effet, la volaille a de faibles émissions de GES en raison de ses faibles taux de production de méthane entérique par rapport aux espèces animales ruminantes. En plus d'être bon marché, la volaille est nutritive et facilement commercialisable. En outre, il peut être une belle source d'investissement et de génération de revenus pour les jeunes Nigérians, s'il est correctement exploité. Il est donc conclu et recommandé que pour répondre à la demande toujours croissante d'emplois dans un environnement ayant moins de défis liés au changement climatique, diverses agences gouvernementales, banques, secteurs privés, société civile, sociétés coopératives rurales, agences de jeunesse au Nigéria avec l'aide de divers organismes donateurs internationaux peuvent collaborer et jouer un rôle plus facilitateur en accordant des prêts, des subventions et des services de vulgarisation adéquats pour garantir la sécurité alimentaire et l'autonomisation des jeunes dans un environnement respectueux de l'environnement grâce à une production avicole rentable.
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Komoin Oka, C., Jakob Zinsstag, F. Fofana, A. N'Depo, and V. S. Pandey. "Epidémiologie des nématodes gastro-intestinaux des bovins dans la région centre de la Côte d'Ivoire." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 3 (March 1, 2000): 257. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9721.

Full text
Abstract:
De février à décembre 1997, six bovins de race N'Dama, provenant de la zone centre de savane humide de la Côte d'Ivoire, ont été autopsiés chaque mois. Quatorze espèces ou genres de parasites ont été mis en évidence: 8 nématodes, 2 trématodes, 1 cestode et 3 protozoaires. Tous les animaux étaient infestés par au moins l'une des espèces suivantes de nématodes gastrointestinaux: Haemonchus sp. (95 p. 100), Cooperia punctata (50 p. 100), Oesophagostornum radiatum (35,5 p. 100), Trichostrongylus axei (30 p. 100), Cooperia pectinata (8,1 p. 100) et Trichuris sp. (1 6 p. 100). Setaria labiatopapillosa a été rencontrée chez 30,6 p. 100 des animaux, des microfilaires chez 24,1 p. 100, des paramphistomes chez 80,6 p. 100, et Moniezia sp. chez 15 p. 100. Des trypanosomes et Babesia spp. ont été trouvés chez respectivement 11,2 et 3,6 p. 100 des animaux. Les excrétions d'oeufs et les intensités parasitaires des nématodes gastro-intestinaux ont montré des fluctuations avec des pics en mai et en septembre-octobre, périodes correspondant aux saisons des pluies. Les animaux âgés de 1-3 ans avaient des intensités parasitaires plus élevées que ceux âgés de plus de 3 ans (P < 0,05). Aucune hypobiose larvaire n'a été détectée. En dépit de conditions climatiques humides favorables, les intensités parasitaires de ces bovins de race N'Dama, provenant de systèmes d'élevage de type extensif, étaient relativement faibles. Des traitements anthelminthiques ne seraient alors justifiés que chez les jeunes animaux.
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Fadlelmula, A., H. Agab, J. M. Le Horgne, B. Abbas, and A. E. Abdalla. "Premier isolement de Trichophyton verrucosum dans l'étiologie de la teigne chez le dromadaire (Camelus dromedarius) au Soudan." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 2 (February 1, 1994): 184–87. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9107.

Full text
Abstract:
Une enquête a été menée au Soudan oriental pour étudier la teigne du chameau. La maladie a été diagnostiquée dans 217 cas sur 498 examens de jeunes chamelons de moins de 2 ans suivis pendant une année entière. L'incidence maximale de la maladie a été observée en automne et en hiver. Celle-ci est plus fréquente chez les animaux de 1 à 2 ans en cours de croissance que chez les animaux plus âgés, mais la prévalence est semblable entre les mâles et les femelles. Les lésions ont été principalement observées sur la tête, le cou et les épaules avec une extension fréquente sur les flancs et les membres. Trichophyton verrucosum a été isolé en culture pure pour la première fois comme agent causal de la teigne du chameau au Soudan. Les auteurs décrivent les aspects histopathologiques de la maladie naturelle et discutent de son épidémiologie au Soudan oriental.
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Raut, Noémie, Tony Le Rest, Rémi Guenault, Jérôme Despres, Elie Dagher, Florian Chocteau, Sébastien Assié, Raphael Guattéo, and Christophe Carrier. "Encéphalomyélite due au virus de l’arthrite encéphalite caprine (AEC) chez la chevrette." Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé 12, no. 47 (2020): 55–61. http://dx.doi.org/10.1051/npvelsa/47055.

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Abstract:
Les affections neurologiques des caprins sont mal documentées et leur abord clinique est difficile. Un épisode d’atteinte neurologique a été décrit dans un élevage caprin laitier sur des chevrettes âgées de 30 à 40 jours. Deux d’entre elles ont été référées aux hôpitaux de médecine des animaux d’élevage à Oniris. Une des chevrettes manifestait une tétraparésie sans atteinte de l’état général. A l’autopsie, aucune lésion significative n’a été mise en évidence macroscopiquement mais l’examen histopathologique a mis en évidence des lésions imputables au virus de l’arthrite encéphalite caprine (AECV). Les formes cliniques classiques et attendues de l’AEC virale sont principalement les arthrites et les mammites chroniques chez les animaux à partir d’un an. La forme nerveuse est plus rare et d’apparition plus précoce sur des animaux de 2 à 4 mois principalement. Le virus de l’AEC est présent dans la grande majorité des troupeaux caprins laitiers en France et son impact que ce soit au travers des différentes formes cliniques ou de l’infection subclinique est probablement considérable bien que très mal estimé. Différentes mesures de lutte existent (séparation précoce et durable des jeunes, distribution de colostrum thermisé, réforme) mais son contrôle reste très complexe et son éradication difficilement envisageable.
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Moore, Danièle. "Plurilinguisme au musée : les langues au coeur du développement plurilittératié et des apprentissages en sciences." Éducation et francophonie 45, no. 2 (February 27, 2018): 67–84. http://dx.doi.org/10.7202/1043529ar.

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Abstract:
Une étude menée en collaboration avec des institutions muséales comme sites éducatifs dans un milieu hautement plurilingue et multiculturel sert de toile de réflexion pour mieux comprendre comment de jeunes locuteurs plurilingues font sens de leurs langues et des pratiques d’écrit et mobilisent, en situation, des ressources plurilingues pour comprendre et apprendre. Nous présentons quelques réflexions à partir d’exemples tirés d’une étude pilote menée avec de jeunes enfants de 5 ans ayant participé à des ateliers de science organisés au musée. Au cours de ces ateliers, il leur a été demandé de documenter et d’illustrer leurs apprentissages au sujet des animaux et de leurs traces, au moyen du dessin et de la photo (Molinié, 2009 et 2014) et de la création collaborative d’un livre digital à l’aide d’une tablette tactile (Sandvik, Smørdal et Østerud, 2009). La contribution est l’occasion de poser quelques questions sur le rôle du français dans le développement littératié au sein d’un environnement essentiellement anglophone où les langues chinoises sont largement dominantes par rapport à l’autre langue officielle du Canada.
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Orajaka, L. J. E., B. M. Anene, and M. C. Dike. "Prévalence des parasites de la plasmodiose chez la dinde dans la région de Nsukka, État d’Anambra, Nigeriaa." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, no. 3 (March 1, 1991): 283–86. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9168.

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Abstract:
Des étalements de sang provenant de 202 dindes (94 mâles et 108 femelles) de la région de Nsukka au Nigeria ont été examinés pour y rechercher des agents du paludisme. 44,1 % des animaux examinés (avec un intervalle de confiance de 95 %) étaient infectés par des Plasmodium spp. dont 46,8 % de mâles et 41,7 % de femelles. Sur 175 adultes et 27 jeunes âgés de 6 à 16 semaines, 45,7 et 33,3 % respectivement, ont été reconnus infectés. 20 sur 60 des dindes élevées en système intensif et 65 sur 142 en semi-intensif étaient infectées. La valeur moyenne de l'hématocrite pour les animaux parasités était de 29,95 + ou - 3,36 %. Ce résultat est significativement différent (P < 0,01) de la valeur moyenne de 37,3 + ou - 3,7 obtenue à partir des animaux sains. 11 des 89 cas positifs présentaient des formes cliniques. Quatre dindes dans un état critique sont mortes un jour après le début du traitement. Les médicaments suivants se sont montrés efficaces : phosphate de chloroquine à la dose de 5 mg/kg de poids vif, administré quotidiennement par voie intramusculaire pendant 3 jours ou sous forme de comprimés dosés à 250 mg par voie orale pendant 5 jours, et la pyriméthamine par voie parentérale à la dose de 0,3 mg/kg/PV pendant deux jours.
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GARREAU, H., J. M. BRUN, M. THEAU-CLEMENT, and G. BOLET. "Evolution des axes de recherche à l’INRA pour l’amélioration génétique du lapin de chair." INRAE Productions Animales 21, no. 3 (August 23, 2008): 269–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.3.3401.

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Abstract:
L’évolution du contexte sanitaire, économique et social de la production de lapin de chair a conduit les chercheurs de l’INRA à étudier la sélection de nouveaux caractères pour mieux répondre aux attentes des professionnels mais également du citoyen-consommateur, en particulier dans le domaine de la santé et de la longévité des animaux. Ces études reposent principalement sur la mise en place d’expériences mais également sur l’analyse de données de sélectionneurs privés et donnent lieu, après validation, à des applications dans les schémas de sélection commerciaux. Pour réduire la mortalité des jeunes, les chercheurs privilégient l’amélioration des aptitudes maternelles: l’application d’un modèle à effets génétiques directs et maternels pour le poids au sevrage a ainsi permis d’améliorer les aptitudes maternelles pour ce caractère. Une expérience de sélection canalisante pour l’homogénéité des poids de naissance intra-portée a permis d’améliorer la survie périnatale du lapereau. L’amélioration de la longévité de la femelle en reproduction est rendue possible par la mise en œuvre des méthodes d’analyse de survie. La résistance génétique aux maladies, principalement l’entérocolite épizootique et la pasteurellose, est explorée pour réduire les pertes économiques mais également pour améliorer le bien-être des animaux et réduire les risques sanitaires liés à l’utilisation des antibiotiques. Pour améliorer l’efficacité alimentaire du jeune en engraissement et ainsi réduire les coûts alimentaires qui grèvent lourdement le revenu de l’éleveur, deux critères de sélection sont comparées: la consommation résiduelle et la vitesse de croissance en régime alimentaire rationné. Afin de diminuer l’utilisation des hormones pour l’induction de l’oestrus, de nouveaux programmes visent à étudier la variabilité génétique du comportement d’oestrus des lapines.
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Pruneau, Diane, Hélène Gravel, and Ibrahim Ouattara. "Les relations que les adolescents entretiennent avec leur environnement." Articles 28, no. 3 (May 14, 2004): 565–85. http://dx.doi.org/10.7202/008334ar.

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Abstract:
Résumé L’article identifie les types de relations que des adolescents de 13-14 ans entretiennent avec leur environnement. Les chercheurs ont choisi trois moments de l’expérience : le trajet vers l’école, une aventure en milieu naturel comprenant un moment de solitude et l’accomplissement d’une action environnementale. Les résultats des entrevues individuelles et de groupe démontrent que les adolescents sont spontanément moins intéressés par l’environnement que leurs camarades plus jeunes. Toutefois, des activités pédagogiques dans la nature qui leur permettent de s’émerveiller, de se reposer, de découvrir, de jouer et d’aider les animaux avec leurs amis peuvent éveiller un intérêt latent pour l’environnement et favoriser une rencontre avec le milieu.
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LHERM, M., D. BEBIN, and G. LIENARD. "Orientation des productions bovines charolaises en Creuse." INRAE Productions Animales 1, no. 2 (May 11, 1988): 97–109. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.2.4440.

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Abstract:
Les éleveurs de vaches allaitantes ont de nombreuses possibilités de production à partir de la vente en maigre ou de l’engraissement de leurs animaux. Les choix doivent tenir compte de l’évolution des marchés et des systèmes fourragers possibles dans l’exploitation. En région herbagère, comme la zone charolaise centrale, tous les systèmes de production ne sont pas également adaptés, comme le montre l’analyse comparée de trois échantillons d’éleveurs adhérents à un Groupement de Producteurs du Nord Est de la Creuse, et qui vendent leurs veaux mâles soit en broutards, soit après engraissement en taurillons à l’auge ou en jeunes taureaux de 20 ou 24 mois après une période de pâturage. Les meilleurs revenus sont, jusqu’à présent, obtenus avec cette dernière option qui est bien adaptée aux conditions des exploitations, car elle permet une meilleure utilisation des surfaces en herbe et des potentialités de la race charolaise. Elle est néanmoins exigeante en technicité et elle doit être parfaitement menée aux plans techniques et économiques. Mais l’évolution de la conjoncture qui se dessine permettra-t-elle à l’avenir le maintien dans les zones allaitantes de cette production de jeunes bovins concurrencée par celle d’autres régions ?
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Faye, Bernard, and C. Mulato. "Facteurs de variation des paramètres protéo-énergétiques, enzymatiques et minéraux dans le plasma chez le dromadaire de Djibouti." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, no. 3 (March 1, 1991): 325–34. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9174.

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Abstract:
L'analyse du plasma de 52 dromadaires (27 femelles adultes, 13 jeunes femelles, 7 mâles adultes et 5 jeunes mâles) en provenance de cinq régions naturelles de Djibouti a concerné 15 paramètres biochimiques. Les valeurs observées tendent à admettre des états de subcarence en oligo-éléments (cuivre : 60, 7 µg/100 ml; zinc : 46,2 µg/100 ml) mais non en calcium (9,5 mg/100 ml), ni en magnésium (2,3 mg/100 ml), bien que dans ce dernier cas les écarts soient grands (1,1-3,9). Par ailleurs, les dromadaires de Djibouti semblent en état de déficit énergétique (63,7 mg/100 ml pour le glucose, 0,025 mmol/l pour le BOH, 0,17 mmol/l pour les acides gras libres), mais le niveau azoté alimentaire serait globalement satisfaisant (urée : 35,9 mg/100 ml, albumine : 32,7 g/l). Les lipides plasmatiques (cholestérol, phospholipides, triglycérides) signent les particularités métaboliques du dromadaire (respectivement 19,5, 22,4 et 26,6 mg/100 ml). Le facteur géographique est prépondérant sur les facteurs zootechniques pour expliquer les différences entre les profils observés. Les caractéristiques des cinq régions sont discutées en relation avec le profil moyen observé sur les animaux.
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CAMGUILHEM, R., and A. MILON. "Entérite du lapin à Escherichia coli O103. Essais de prévention par vaccination." INRAE Productions Animales 4, no. 2 (May 31, 1991): 131–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.2.4325.

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Abstract:
La colibacillose du lapin sevré est un syndrome entéritique grave, épizootique dans les élevages rationnels, accompagné de taux de mortalité parfois supérieurs à 30 %. Elle est provoquée par des Escherichia coli entéropathogènes, appartenant essentiellement, en France, au sérogroupe O103 et à des biotypes ne fermentant pas le rhamnose. Ces germes colonisent le tube digestif des lapins grâce à une adhésine protéique de p.m. 32 000, qui leur permet de s’attacher aux entérocytes. Les traitements antiinfectieux sont peu ou pas efficaces. Seule la vaccination par voie orale, stimulant l’immunité locale des animaux, a jusqu’à présent montré une efficacité certaine dans le contrôle de la maladie. La vaccination des mères ne permet pas d’obtenir une protection des jeunes après le sevrage. Par contre, la vaccination orale des lapereaux dès le sevrage, durant 4 jours à l’aide d’un vaccin inactivé préparé par culture d’une souche O103 dans un milieu favorable à l’expression de l’adhésine, protège 100 % des animaux contre tous les signes cliniques d’une infection expérimentale ultérieure. Cette méthode de vaccination originale est susceptible d’améliorations à mesure de l’avancée des connaissances sur la maladie et les colibacilles qui la provoquent.
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Seddik, Mabrouk M., M. S. Ben Said, M. Benzarti, T. Khorchani, L. Messadi, and A. Amara. "Contribution à l’étude de la maladie des abcès chez le dromadaire (Camelus dromedarius) dans la région de Nefzaoua (sud-ouest de la Tunisie)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 56, no. 1-2 (January 1, 2003): 21. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9870.

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Abstract:
Les résultats d’une enquête épidémiologique et clinique, et d’examen bactériologique relative à la maladie des abcès chez le dromadaire dans la région de Nefzaoua (sud-ouest de la Tunisie) sont présentés. L’étude épidémiologique a concerné 33 élevages en extensif ainsi que des dromadaires exploités dans le secteur touristique. Les études clinique et bactériologique ont porté sur 38 animaux issus de ces élevages. Cliniquement, la maladie n’a pas affecté l’état général de l’animal et a souvent touché les noeuds lymphatiques cervicaux inférieurs et préscapulaires en un nombre d’un ou deux abcès par animal atteint. La forme interne de la maladie n’a pas été observée sur les soixante-douze carcasses abattues dans l’abattoir de la région. La morbidité de la maladie dans la région a été de 9 p. 100. Cette maladie a souvent touché les jeunes dont l’âge était inférieur à un an. Les facteurs favorisants les plus incriminés dans l’apparition de la maladie ont été : le tatouage, le regroupement des animaux provenant de différents élevages et l’infestation par les tiques. Différents germes ont été isolés, notamment les staphylocoques (53 p. 100 des cas), Corynebacterium pseudotuberculosis (18 p. 100) et Actinomyces pyogenes (26 p. 100).
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Silva, R. A. M. S., A. M. R. Davila, L. B. Iversson, and U. G. P. Abreu. "Maladies virales du cheval au Pantanal, Brésil. Etudes réalisées entre 1990 et 1995." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, no. 1 (January 1, 1999): 9–12. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9706.

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Abstract:
Les auteurs ont étudié de 1990 à 1995 des maladies virales du cheval au Pantanal, Brésil, et rapportent pour la première fois la présence de maladies virales respiratoires. La séropositivité pour l’adénovirus équin était de 42 % et concernait principalement les animaux âgés de moins de 3 ans (61,9 %). Vis-à-vis de l’herpèsvirus équin de type 1 (EHV-1), elle était de 36 % (parmi les animaux séropositifs, 50 % étaient des poulains et 22,2 % des juments). La séropositivité observée pour EHV-1/respiratoire était de 58 %. Parmi les rhinovirus équins, seul le rhinovirus équin de type 1 (ERV-1) a été étudié lors de l’enquête. La séropositivité pour ERV-1 était de 18 p. 100. Les poulains âgés de 1 à deux ans (22,2 %) ont présenté un titre de 1/5. Des titres de 1/10 à 1/20 n’ont été observés que chez des animaux âgés de plus de cinq ans. Les réactions positives vis-à-vis du virus influenza A/Equine/2/Miami était de 30 %. Les poulains représentaient 40 % et les juments 28,6 % de tous les animaux séropositifs. La séropositivité pour l’influenza virus A/Equine/2/Fontainebleau était de 42 %. Les poulains et les juments totalisaient 86 % (43 % dans chaque groupe) des animaux séropositifs. Dans l’étude concernant l’anémie infectieuse du cheval, la prévalence observée était de 24,8 %. La séropositivité était de 14,3 % chez les mâles et de 10,6 % chez les femelles. Dans l’enquête sur les arboviroses, des anticorps neutralisants ont été observés pour les virus de l’encéphalite équine de l’est (6,7 %), de l’encéphalite équine de l’ouest (1,2 %), le flavivirus Ilheus (26,6 %), et les bunyavirus de Maguari (28,2 %) et de Tacaiuma (15,7 %). Aucun cas d’arté- rite virale équine n’a été détecté dans la région. Au Pantanal, à l’exception des arboviroses, tous les virus équins sont apparemment contractés quand de jeunes chevaux sont mis en contact avec des chevaux plus âgés, ou suite aux pratiques d’élevage locales.
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Clément, V., J. Bouix, A. Gueye, and R. L. Baker. "Estimation des paramètres génétiques de la résistance au parasitisme gastro-intestinal en élevage villageois de petits ruminants au Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, no. 3-4 (March 1, 1999): 291–303. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9678.

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Abstract:
Un protocole d'étude de la résistance génétique aux strongyloses gastro-intestinales a été mis en place sur des races locales d'ovins et de caprins du Sénégal. Des prélèvements de sang et des coproscopies ont été réalisés pendant deux ans sur des animaux de différents troupeaux de la zone de Louga en climat sahélien et de la zone de Kolda en climat soudano-guinéen. L'identité des pères étant inconnue dans ce contexte d'élevage, les apparentements étudiés étaient essentiellement les relations mère-descendant. Les caractères analysés étaient la coproscopie (trois prélèvements par an) en nombre d'oeufs par gramme de fèces (Opg) et l'hématocrite (deux prélèvements par an). Dans la région de Louga, le nombre d'individus étudiés (des deux espèces) était de 377 la première année et 606 la deuxième année. Dans la zone de Kolda, l'échantillon comprenait 671 animaux la première année, 725 la deuxième année. L'héritabilité et la répétabilité ont été estimées à l'aide d'un modèle « animal », avec comme effets fixés la combinaison village*saison*année, l'âge et le stade de lactation pour les mères, la combinaison village*saison*année, l'âge et le sexe pour les jeunes. La répétabilité moyenne intra-année était de 0,19 pour le caractère nombre d'Opg et 0,27 pour l'hématocrite. Elle était plus faible entre années : 0,12 pour le nombre d'Opg et 0,21 pour l'hématocrite. L'estimation de l'héritabilité a présenté des difficultés, à cause de la structure des données villageoises qui ne permettait pas d'estimer directement l'environnement maternel et les effets troupeaux, respectivement en raison de généalogies insuffisantes et de faibles effectifs par élevage. Les estimations de l'héritabilité variaient entre 0 et 0,33 pour le nombre d'Opg et entre 0 et 0,38 pour l'hématocrite selon l'échantillon analysé et le modèle utilisé. Les corrélations génétiques entre caractères n'ont pas pu être estimées. En revanche, les corrélations phénotypiques ont été estimées entre le nombre d'Opg et l'hématocrite, ainsi qu'entre chacune de ces deux variables et le poids des jeunes. Les contraintes liées à une étude génétique en milieu traditionnel ont été discutées.
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Desquesnes, Marc, Zakaria Bengaly, and Mamadou Lamine Dia. "Evaluation de la persistance des anticorps détectés par Elisa-indirect Trypanosoma vivax après traitement trypanocide chez des." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 56, no. 3-4 (March 1, 2003): 141. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9855.

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Abstract:
La connaissance de l’incidence et de la prévalence des infections est essentielle dans les études épidémiologiques des trypanosomoses chez le bétail. Ces études reposent sur des techniques de diagnostic directes et indirectes. Les examens parasitologiques ont une très faible sensibilité. La détection par PCR a une meilleure sensibilité, mais ne permet pas la détection de la plupart des infections chroniques. La détection des anticorps dirigés contre les trypanosomes par Elisa-indirect est l’outil le plus adapté pour évaluer l’importance des trypanosomoses dans les populations bovines. Toutefois, la détection des anticorps chez les bovins ne signifiant pas que les animaux sont activement infectés, la connaissance de la persistance des anticorps après traitement curatif ou élimination naturelle des parasites est essentielle pour l’interprétation des résultats. La persistance des anticorps anti-Trypanosoma vivax a été évaluée par Elisa-indirect chez 32 bovins métis (zébu x Baoulé) naturellement infectés par Trypanosoma vivax, après traitement à l’acéturate de diminazène (7 mg/kg par voie intramusculaire). Avec une séroprévalence initiale de 100 p. 100, la chute des anticorps a été sensible trois mois plus tard, pour atteindre une séroprévalence de 3 p. 100 cinq mois après le traitement. Les cas positifs persistants étaient dus à la persistance de l’infection ou la réinfection de deux animaux pendant le suivi (animaux éliminés de la cohorte) et un cas non expliqué. La séroprévalence a décru plus rapidement chez les jeunes. Il est suggéré que la séroprévalence en Elisa-indirect Trypanosoma vivax quatre à cinq mois après un traitement curatif indique la prévalence des infections actives.
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CABARAUX, J. F., I. DUFRASNE, M. ROUX, L. ISTASSE, and J. L. HORNICK. "La production de viande bovine à partir de femelles de réforme." INRAE Productions Animales 18, no. 1 (March 7, 2005): 37–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.1.3508.

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Abstract:
Dans l’Union Européenne, la moitié des gros bovins abattus sont des femelles, dont 60 % de vaches adultes et 40 % de génisses, essentiellement de races laitières. Les causes qui conduisent ces animaux à la réforme sont multiples et varient fortement d’un pays à l’autre et même d’un troupeau à l’autre. Leur engraissement est de ce fait nettement plus difficile et aléatoire que celui des jeunes taurillons, eu égard à l’hétérogénéité de leurs caractéristiques lors de la réforme. Parmi celles-ci, on peut citer : l’âge, la race et le format, l’état sanitaire, l’état physiologique, l’état corporel. Les modalités de finition (au pâturage ou à l’auge) et d’alimentation sont également des sources de variations importantes. Cet article propose de passer en revue les principaux facteurs pouvant influer sur la finition des femelles de réforme.
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FORTUN-LAMOTHE, L., and T. GIDENNE. "Besoins nutritionnels du lapereau et stratégies d’alimentation autour du sevrage." INRAE Productions Animales 16, no. 1 (February 9, 2003): 39–47. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.1.3643.

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Abstract:
Les besoins nutritionnels de la lapine allaitante sont antagonistes de ceux des lapereaux âgés de 20 à 42 jours. En effet, les besoins de la femelle allaitante sont élevés alors que la consommation d’un aliment de faible densité énergétique (pauvre en amidon et riche en fibres) pendant la période qui précède le sevrage améliorerait la viabilité des lapereaux après le sevrage. Plusieurs stratégies d’alimentation et d’élevage sont envisageables. Si le sevrage est réalisé entre 28 et 35 jours d’âge, une alimentation spécifique pour les jeunes, différente de celle de la mère, semble la solution la plus pertinente mais elle nécessite une modification du système de logement des animaux. A défaut, il convient de trouver un compromis entre les besoins nutritionnels de ces deux catégories d’animaux, par exemple une incorporation de matières grasses dans l’aliment permettrait d’accroître sa densité énergétique, sans réduire les apports de fibres. Cette solution privilégie la santé des jeunes au détriment de l’état corporel des femelles au sevrage. Le sevrage précoce (avant 26 jours d’âge) paraît aussi une alternative intéressante permettant de proposer aux lapereaux un aliment adapté à leurs besoins, et laissant plus de temps aux femelles pour reconstituer leurs réserves corporelles. Néanmoins, cette alternative nécessite des études complémentaires, tant pour préciser les besoins nutritionnels des lapereaux sevrés précocement que pour connaître les conséquences de cette pratique sur leur viabilité ultérieure.
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Salas, Michel, and Christian Sheikboudou. "Le parasitisme digestif dans les systèmes d’élevage bovin traditionnel en Guadeloupe. 1. Enquête globale." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 41, no. 2 (February 1, 1988): 171–80. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8719.

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Abstract:
Dans le cadre d’une étude sur les systèmes d’élevage bovin traditionnel guadeloupéen, des expérimentations ont été menées en vue de préciser l’importance et le niveau des parasitoses digestives. Deux séries de prélèvements de fèces (respectivement 278 et 299) ont été réalisées en fin de saison sèche et fin de saison des pluies. Les facteurs liés à l’environnement (zone géographique, saison, mode d’élevage...) ont été pris en considération pour l’analyse des résultats. Les analyses coprologiques sont essentiellement d’ordre quantitatif; le traitement des données épidémiologiques recueillies a été effectué à l’aide de méthodes d’analyse multidimensionnelle. Les résultats montrent que le niveau du parasitisme digestif chez ces bovins (dominé par les strongyloses) est relativement bas. Les facteurs liés à l’animal sont nettement prépondérants par rapport aux facteurs liés à l’environnement; l’âge des animaux (suivi par le sexe et l’état physiologique des vaches) est la principale variable explicative. En conclusion les auteurs insistent sur deux points principaux. La lutte contre les parasitoses digestives devra être orientée essentiellement vers des animaux à « haut risque » : jeunes de moins d’un an, vaches allaitantes, mâles à l’engraissement. Les problèmes posés par le parasitisme digestif dans ces systèmes d’élevage bovin restent secondaires par rapport aux problèmes liés à l’alimentation, à la reproduction et à l’amélioration génétique du cheptel.
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GERAERT, P. A. "Métabolisme énergétique du poulet de chair en climat chaud." INRAE Productions Animales 4, no. 3 (July 31, 1991): 257–67. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.3.4340.

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Abstract:
Devant le développement de l’aviculture dans les régions chaudes du globe ainsi que l’importance économique des coups de chaleur dans les élevages avicoles en France, faire le point des connaissances disponibles sur l’effet des températures ambiantes élevées sur le métabolisme énergétique du poulet de chair nous est apparu nécessaire. Les aspects de thermolyse ou pertes de chaleur et de thermogénèse ou production de chaleur sont développés ainsi que les capacités d’acclimatation des jeunes poulets aux températures chaudes. Les mécanismes d’élimination de la chaleur par voie sensible ou par évaporation pulmonaire chez les volailles sont présentés en insistant particulièrement sur l’influence de la vitesse de l’air en relation avec la température ambiante. Dans bien des cas, pour des raisons économiques, l’augmentation de la ventilation associée ou non à une diminution de la densité d’élevage apparaît la principale solution pour accroître les pertes de chaleur. Sur le plan de la dépense énergétique, alors que l’exposition au chaud réduit le métabolisme basal et vraisemblablement l’activité physique, la composante « thermogénèse alimentaire » ne serait pas diminuée mais au contraire accrue. Un tel résultat pourrait expliquer pourquoi les gains de poids des poulets élevés au chaud sont toujours inférieurs à ceux des poulets maintenus à température normale même lorsque les consommations sont égalisées. La modification de la composition de l’aliment ne permet de changer notablement ni la production de chaleur ni le dépôt de protéines corporelles des animaux élevés au chaud. La solution apparaît plutôt être dans le retrait de l’aliment juste avant et pendant toute la durée du stress thermique. Enfin, l’acclimatation des poulets dès le jeune âge à des températures ambiantes élevées leur permet de supporter beaucoup mieux les coups de chaleur en fin de croissance, période où ils sont le plus vulnérables. En conclusion, les besoins en nutriments et la réponse des animaux aux températures élevées pourraient être prédits par des modèles théoriques intégrant les facteurs environnementaux et nutritionnels pour éviter l’approche empirique trop longtemps utilisée en nutrition par le passé.
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Sow, A., L. Ouattara, Z. Compaoré, B. R. Doulkom, M. Pare, G. Poda, and J. Nyambré. "Prévalence sérologique de la peste des petits ruminants dans la province du Soum au nord du Burkina Faso." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 61, no. 1 (January 1, 2008): 5. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10012.

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Abstract:
Une enquête sérologique sur la peste des petits ruminants a été réalisée sur un échantillon de 2 114 sérums de petits ruminants provenant de 42 élevages des neuf départements de la province du Soum, située au nord du Burkina Faso. Sur l’ensemble des sérums analysés par c-Elisa, la prévalence sérologique de la PPR a été de 28,90 p. 100. L’étude a montré que cette prévalence variait d’un département à l’autre. Elle a été plus élevée chez les animaux âgés de plus de trois ans que chez les sujets plus jeunes (p = 0,042), chez les ovins (33,09 p. 100) que chez les caprins (23,01 p. 100) et chez les femelles que chez les mâles (p = 0,000). La circulation du virus de la PPR dans la province du Soum ayant été avérée, il apparaît nécessaire d’entreprendre des mesures vaccinales de lutte contre cette maladie.
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Ghêliho Zoffoun, Alex, and Abossèdé Murielle Lucrèce Faïhun. "Palatabilité de onze fourrages tropicaux chez des cobayes (Cavia porcellus) de différents stades physiologiques au B." Journal of Animal & Plant Sciences 41.2 (August 31, 2019): 6916–25. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v41-2.5.

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Abstract:
Évaluer la palatabilité de onze fourrages tropicaux chez les cobayes (Cavia porcellus). Des cobayes appartenant à deux stades physiologiques (jeunes et adultes) ont fait l’objet des tests sur la palatabilité. Onze espèces fourragères tirées des résultats d’enquête auprès des éleveurs locaux ont été utilisées : Panicum maximum C1(Herbe de Guinée var C1), Panicum maximum local (Herbe de Guinée local), Pennisetum purpureum (Herbe éléphant), Elaeis guineensis (Palmier à huile), Musa acuminata (Bananier), Manihot esculenta (Manioc), Carica papaya (Papayer), Centrosema pubescens (Haricot sauvage), Moringa olifera (Moringe), Talinum triangulare (Pourpier tropical) et Tridax procumbens (Herbe à lapins). L’indice de palatabilité (IP) de chaque fourrage a été déterminé selon la méthode décrite par Salem et al. (2000). Panicum maximum local a présenté l’indice de préférence le plus élevé aussi bien chez les jeunes que chez les adultes, les valeurs ont été respectivement de 0,22 et 0,38. Centrosoma pubescens, Tridax procumbens et Panicum maximum C1 ont aussi présenté des indices de préférence élevés pour les deux stades physiologiques des cobayes. Les valeurs obtenues pour Centrosoma pubescens ont été de 0,22 chez les jeunes contre 0,25 chez les adultes, pour Tridax procumbens 0,19 chez les jeunes contre 0,24 chez les adultes, pour Panicum maximum C1 0,10 chez les jeunes contre 0,15 chez les adultes. Les valeurs d’indice de préférence les plus faibles ont été obtenues pour les espèces fourragères Musa acuminata (IP=0,00 chez les jeunes contre 0,02 chez les adultes) et Elaeis guineensis (IP=0,01 chez les jeunes contre 0,01 chez les adultes). Les valeurs obtenues pour les indices de préférences ont été influencées significativement par l’âge de l’animal (p-value = 0.005651) et le type de fourrage (p-value < 2.2e-16). La présente étude a permis d’évaluer la palatabilité de onze espèces fourragères chez des cobayes de différents stades physiologiques et d’en retenir les plus appétées par ces animaux. La connaissance des espèces fourragères les plus appréciées par les cobayes et la composition chimique de ces dernières permettront d'optimiser les stratégies d'alimentation dans les élevages. Palatability of eleven tropical forages in guinea pigs (Cavia porcellus) of different physiological stages in Benin To evaluate the palatability of eleven tropical forages in guinea pigs (Cavia porcellus). Guinea pigs from two physiological stages (young and adult) were tested for palatability. Eleven forage species from survey results from local breeders were used : Panicum maximum C1 (Guinea grass C1), Panicum maximum local (local Guinea grass), Pennisetum purpureum (Elephant grass), Elaeis guineensis (African oil palm), Musa acuminata (Banana), Manihot esculenta (Cassava), Carica papaya (Pawpaw), Centrosema pubescens (Butterfly pea), Moringa olifera (Moringa), Talinum triangulare (Potherb fameflower) et Tridax procumbens (Coat buttons). The palatability index (PI) of each forage was determined by following the procedure described by Salem et al. (2000). Local Panicum maximum had the highest preference index in both young and adults, with values of 0.22 and 0.38, respectively. Centrosoma pubescens, Tridax procumbens and Panicum maximum C1 also showed high preference indices for the two physiological stages of guinea pigs. The values obtained for Centrosoma pubescens were 0.22 in the young against 0.25 in the adults, for Tridax procumbens 0.19 in the young against 0.24 in the adults, for Panicum maximum C1, 0.10 in the young against 0.15 in adults. The lowest preference index values were obtained for the forage species Musa acuminata (IP = 0.00 in young versus 0.02 in adults) and Elaeis guineensis (IP = 0.01 in young versus 0.01 in adults). The values obtained for the preference indices were significantly influenced by the age of the animal (p-value = 0.005651) and the type of forage (p-value <2.2e-16). The present study evaluated the palatability of eleven forage species in guinea pigs of different physiological stages and retained the most palatable of these animals. The knowledge of the forage species most appreciated by the guinea pigs and the chemical composition of the latter will optimize the feeding strategies in the farms.
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Remmel, Paul, and Valérie Freiche. "Entéropathies chroniques du chat, quelles spécificités ?" Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine & féline 19 (December 2022): 60–67. http://dx.doi.org/10.1051/npvcafe/2023010.

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Abstract:
Les entéropathies du chat sont des affections fréquentes dont l’origine peut être infectieuse, alimentaire, dysimmunitaire ou tumorale. Leur présentation est très équivoque et dans de nombreux cas, les signes cliniques orientent vers une atteinte diffuse entérocolique. La précision des signes cliniques reste cependant déterminante dans le choix des examens complémentaires. Les chats jeunes avec des signes cliniques modérés sont le plus souvent atteints par des protozoaires ou par des troubles de la tolérance alimentaire. En présence de diarrhée, une parasitose doit être recherchée par coproscopie sur 3 prélèvements successifs et PCR tritrichomonas. La fibroplasie sclérosante éosinophilique féline est une entité récemment décrite. Elle affecte aussi les jeunes adultes et peut être suspectée lors d’éosinophilie périphérique ou de masse digestive. Chez les animaux âgés de plus de huit ans, le lymphome digestif de bas grade est une cause fréquente d’entéropathie chronique. Les principaux signes cliniques incluent un amaigrissement, une anorexie (ou une polyphagie) et des vomissements. Le diagnostic est histologique selon de nouveaux critères, récemment mieux cernés. Les entéropathies lymphoplasmocytaires, éosinophiliques et les autres néoplasies affectent des chats de tout âge et peuvent s’exprimer par des présentations cliniques variées. L’échographie abdominale couplée à l’examen cytologique en cas d’adénopathie ou de masse digestive constitue une étape préliminaire et essentielle du diagnostic. Si nécessaire, des biopsies digestives soumises à une analyse histologique et immunohistochimique sont déterminantes pour la distinction spécifique entre inflammation chronique et lymphome de bas grade.
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ROBERT-GRANIÉ, C., A. LEGARRA, and V. DUCROCQ. "Principes de base de la sélection génomique." INRAE Productions Animales 24, no. 4 (September 8, 2011): 331–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.4.3265.

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Abstract:
Avec l’arrivée de données de génotypage à haut débit, il est maintenant possible d’estimer la valeur génétique d’animaux candidatsà la sélection dès leur naissance, sans attendre la collecte de phénotypes. La sélection génomique bouleverse complètement les perspectivesen amélioration génétique. Elle nécessite la constitution d’une population de référence formée d’animaux génotypés (jusqu’àrécemment, il s’agissait principalement de mâles) et ayant des performances précises, par exemple la performance moyenne de leursfilles. Les évaluations génomiques consistent à prédire les phénotypes dans cette population de référence comme la somme des effetsdes marqueurs moléculaires. Le problème méthodologique principal est que le nombre d’effets à estimer est typiquement beaucoupplus élevé que le nombre de phénotypes disponibles. Nous décrivons les idées générales de diverses familles de méthodes proposées :BLUP génomique basé sur une parenté entre individus calculée à partir des marqueurs, méthodes Bayésiennes plus flexibles maisaussi plus coûteuses, méthodes de sélection de variables, méthode en une seule étape qui combine évaluation génétique nationale etévaluation génomique. La précision des évaluations génomiques est faite par validation croisée chez les animaux les plus jeunes de lapopulation de référence. La taille de la population de référence, la manière de prendre en compte les QTL à effet fort et le degré d’apparentemententre candidats à la sélection et animaux de la population de référence ont un impact non négligeable sur l’efficacité desméthodes de sélection génomique.
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Sounon, Adam K. L. S., Alexandre Ickowicz, Matthieu Lesnoff, Samir Messad, Hugo Valls-Fox, and Marcel R. B. Houinato. "Impact de la sédentarisation des éleveurs sur la production bovine au nord du Bénin." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 72, no. 3 (October 7, 2019): 93. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31778.

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Abstract:
Deux principaux systèmes d’élevage bovin cohabitent dans le bassin de la Donga au nord du Bénin : l’élevage semi-sédentaire et l’élevage mobile. Ce bassin, situé dans la zone agroécologique subhumide de l’Afrique de l’Ouest, a subi ces dernières décennies deux changements majeurs : a) une augmentation des besoins en produits animaux et b) l’expansion des terres cultivées qui entraîne une diminution de l’accès aux ressources fourragères et à l’eau, une plus grande mobilité des troupeaux, et des conflits plus fréquents entre cultivateurs et éleveurs mobiles. Face à ces contraintes, les pouvoirs publics privilégient la sédentarisation des éleveurs mobiles. L’élevage mobile étant pourvoyeur de jeunes animaux aux élevages semi-sédentaires, la dynamique de sédentarisation crée une incertitude quant à l’approvisionnement de la région en bétail bovin et en viande par un élevage semi-sédentaire qui deviendrait largement majoritaire. Pour appréhender la question de besoins croissants en produits animaux, la production de bétail a été simulée afin d’évaluer l’effet d’une incitation des pouvoirs publics à la sédentarisation des éleveurs mobiles. Les productivités numérique et en viande ont été simulées sous différentes hypothèses d’amélioration des performances zootechniques des élevages semi-sédentaires. L’ensemble des scénarios ont été construits à partir de l’hypothèse de l’augmentation du cheptel semi-sédentaire directement liée à la sédentarisation d’une partie des éleveurs mobiles. Une simulation obtenue à l’aide du modèle de projection démographique Dynmod suggère que la sédentarisation des éleveurs mobiles romprait la complémentarité locale entre les systèmes d’élevage et conduirait à une perte de production de viande. En outre, aucun des scénarios d’amélioration explorés ne suffirait à compenser la perte de production de viande résultant de la politique de sédentarisation. Pour maintenir la production de viande bovine par les éleveurs semi-sédentaires il faudrait développer les liens commerciaux régionaux avec les élevages des pays sahéliens.
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Dodo, K., V. S. Pandey, and M. S. Illiassou. "Utilisation de la barymétrie pour l’estimation du poids chez le zébu Azawak au Niger." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, no. 1 (January 1, 2001): 63. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9808.

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Abstract:
L’objectif de cette étude a été de déterminer des équations barymétriques applicables au zébu Azawak. Pour cela, des pesées et 12 types de mensurations ont été effectuées chez 343 zébus Azawak pendant trois mois, à la station sahélienne expérimentale de Toukounous au Niger. Les animaux étaient essentiellement jeunes (74 p. 100 avaient au plus deux ans d’âge). Parmi les 12 types de mensurations, trois (le périmètre thoracique, la hauteur au garrot et la longueur scapulo-ischiale) ont été retenues pour établir la barymétrie en raison de leur corrélation avec le poids. La corrélation du poids avec le périmètre thoracique (r = 0,97) ou avec la longueur scapulo-ischiale (r = 0,96) a été plus élevée qu’avec la hauteur au garrot (r = 0,92). Plusieurs types de liaisons entre le poids et les deux types de mensurations (périmètre thoracique et longueur scapulo-ischiale) ont été comparées. L’équation barymétrique retenue pour l’ensemble des animaux (mâles et femelles) a été une régression polynomiale du poids prédit (y) sur le périmètre thoracique (x) et la longueur scapulo-ischiale (z) : y = 0,02697x2 – 4,25x + 1,535z + 96,145 avec un coefficient de détermination r2 = 0,989 et un écart-type résiduel (Sy) de 11,23 kg. L’erreur entre le poids observé et le poids prédit, exprimée en pourcentage du poids observé, a été inférieure à 5 p. 100 chez 57,2 p. 100 des animaux et inférieure à 10 p. 100 chez 90,1 p. 100 d’entre eux. Pour les mâles, une équation également à deux variables a été proposée : y = 0,0260x2 – 3,856x + 1,211z + 96,114 avec r2 = 0,990 et Sy = 10,33 kg. Chez les femelles, une régression à partir du périmètre thoracique uniquement (y = 0,0281x2 – 3,294x + 125,217) a aussi permis d’obtenir une bonne précision (r2 = 0,981 et Sy = 15,28 kg). Cette dernière équation a été utilisée pour établir une table de conversion du périmètre thoracique en poids.
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Jean-Paul EUZÉBY, Véronique GUÉRIN-FAUBLÉE, and Henri-Jean BOULOUIS. "ÉTUDE DE QUELQUES BACTÉRIES." ACTUALITES PERMANENTES EN MICROBIOLOGIE CLINIQUE 15, no. 02 (July 27, 2020): 64. http://dx.doi.org/10.54695/apmc.15.02.1539.

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Abstract:
L’examen bactériologique des prélèvements d’origine animale pose de nombreux problèmes aux laboratoires de diagnostic. La médecine vétérinaire s’intéresse à de nombreusesespèces, domestiques ou sauvages, allant des mollusques (coquillages, escargots) ou des arthropodes (abeilles, vers à soie…)jusqu’aux vertébrés supérieurs (primates non hominiens) en passant par les poissons, les reptiles et les oiseaux. Chacun de cesanimaux peut être infecté par des germes qui lui sont propreset l’éventail des bactéries potentiellement pathogènes est trèslarge. Les élevages intensifs se caractérisent par la rechercheexclusive de hauts rendements chez des animaux de plus enplus jeunes, soumis à une alimentation intensive et élevés engrand nombre sur des espaces de plus en plus confinés. Au seinde ces élevages, les grandes maladies sont bien maîtrisées maislaissent la place à des infections médicalement peu graves maisayant des répercussions économiques importantes telles que desretards de croissance. Ces infections sont généralement plurimicrobiennes et les résultats bactériologiques sont difficiles àinterpréter. La médecine des animaux de sport ou de compagnie,moins astreinte aux contraintes économiques, peut faire appel àtoutes les techniques médicales, chirurgicales et thérapeutiquesy compris les plus modernes. L’animal malade, traumatisé, affaibli, voire immunodéprimé sera soumis à des techniques d’exploration invasives, il fera l’objet de soins intensifs et il pourracontracter des auto-infections ou des exo-infections (dont desinfections nosocomiales et iatrogènes) provoquées par toute unepanoplie de germes plus opportunistes que véritablement pathogènes. Paradoxalement, les propriétaires ne sont pas toujoursconvaincus de l’utilité des examens de laboratoire et ne sont pasprêts à en assumer les coûts ce qui ne permet ni d’approfondirun diagnostic ni de multiplier les analyses sur un même animal(à titre d’exemple, il est exceptionnel de réaliser plusieurs hémocultures consécutives !). La réalisation des prélèvements s’avèredélicate et les pollutions par les flores saprophytes ou les germesdu milieu ambiant sont fréquentes. Il en résulte l’obtention decultures pluri bactériennes au sein desquelles l’agent étiologiquecoexiste avec toute une flore de contamination.
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BOUISSOU, M. F., and A. BOISSY. "Le comportement social des bovins et ses conséquences en élevage." INRAE Productions Animales 18, no. 2 (May 15, 2005): 87–99. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.2.3512.

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Abstract:
Les bovins appartiennent à des espèces sociales et vivent en groupes permanents au sein desquels ils développent des relations stables. Ce haut niveau de socialisation, qui a probablement facilité leur domestication, permet à l’éleveur de gérer les animaux en groupe, leur reproduction et l’élevage des jeunes. Les relations de dominance et celles d’affinité constituent la base des relations sociales chez les bovins domestiques. Elles se traduisent par des actes et des postures particulières. Les relations de dominance organisent les interactions agonistiques alors que les relations d’affinité s’expriment au travers d’interactions positives comme le toilettage mutuel. En conditions normales de groupe permanent les relations de dominance sont particulièrement stables et participent à la résolution à moindre coût des conflits. Cependant, leur expression peut être exacerbée par certaines conduites d’élevage entraînant alors des conséquences néfastes pour les dominés. Les relations d’affinité, qui se développent préférentiellement dans le jeune âge, assurent la cohésion ultérieure des groupes et permettent d’atténuer les éventuelles tensions. Les importantes contraintes sociales imposées par les conditions modernes d’élevage peuvent être génératrices d’inconfort, voire de stress, qui altère les performances et le bien-être des bovins. Une meilleure connaissance des relations sociales et de leurs mécanismes constitue un outil précieux, pour améliorer l’intégration de l’animal à son groupe d’élevage, en assurant la stabilité des relations de dominance et en privilégiant les relations d’affinité. Par ailleurs, une meilleure gestion des relations au sein du groupe devrait permettre d’accroître l’adaptation des bovins aux conditions d’élevage grâce en particulier aux phénomènes d’entraînement (imitation, leadership) et d’apaisement social.
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Kamissoko, B., Cheick Abou Kounta Sidibé, Mamadou Niang, Kassim Samake, A. Traoré, A. Diakité, O. Sangare, Adama Diallo, and Geneviève Libeau. "Prévalence sérologique de la peste des petits ruminants des ovins et des caprins au Mali." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 66, no. 1 (January 1, 2013): 5. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10148.

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Abstract:
Cette étude présente les résultats d’une enquête sérologique qui évalue le statut épidémiologique de la peste des petits ruminants (PPR) d’ovins et de caprins de différentes régions du Mali. Les animaux ont été testés par Elisa de compétition (c-Elisa) afin d’évaluer la séroprévalence par région prospectée, ainsi que par espèce, classe d’âge et sexe. Les résultats indiquent un taux individuel de séroprévalence de 42,6 p. 100 [intervalle de confiance à 95 p. 100 (IC95) : 40,9 - 44,3]. Une variation significative de la séroprévalence a été observée entre les différentes régions allant de 5,5 p. 100 (IC95 : 3,3 - 7,7) à Gao (la région avec la plus faible prévalence) à 55,6 p. 100 (IC95 : 52,2 - 59,1) à Koulikoro (la région avec la plus forte prévalence). Une différence significative (p < 0,05) a été observée entre les prévalences estimées des femelles et des mâles, et entre celles des animaux adultes (> 3 ans) et des plus jeunes (< 3 ans), mais pas entre ovins et caprins. Ces résultats confirment la présence de la maladie à travers tout le territoire, avec une prévalence relativement élevée dans les régions du centre, du sud et de l’ouest. Ils montrent aussi que la maladie sévit probablement à l’état enzootique, soulignant la faiblesse du programme de vaccination contre la PPR au Mali. Ils révèlent l’urgence de mettre en place un plan de vaccination efficace afin de protéger le cheptel contre cette maladie contagieuse.
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Salas, Michel, J. Lator, and Christian Sheikboudou. "Mise au point d'un système d'engraissement de jeunes bovins Créole en milieu paysan guadeloupéen basé sur l'utilisation de la canne à sucre et du pâturage." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, no. 4 (April 1, 1991): 469–74. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9155.

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Abstract:
Les auteurs ont mis au point et testé un système d'engraissement de jeunes bovins en milieu paysan, qui comprend deux périodes au cours du nycthémère : une période de pâturage au cours de la journée et une période dans un parc sous abri, pendant la nuit, avec distribution d'une ration complémentaire à base de canne à sucre. La croissance quotidienne moyenne a été de 490 g (+ ou - 26) sur sept animaux pendant huit mois, soit pratiquement le double des croissances observées en systèmes "tout pâturage" traditionnels. Le gain net total s'est élevé à 17700 francs pour 1,3 hectares immobilisés et 2,5 h de travail quotidien. Ce système d'engraissement se caractérise par de faibles investissements, une ration peu onéreuse, une technique proche des pratiques traditionnelles qui procurent une sécurité de production. Il représente une alternative intéressante aux systèmes d'engraissement intensifs et modernes en développant deux thèmes importants : la complémentarité agriculture/élevage et la mise au point de systèmes autonomes et économes.
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Tikhonova, Marina. "L’amour dans la poésie française contemporaine pour les enfants : entre effusion lyrique et espièglerie argotique." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 16 (May 19, 2021): 261–67. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.16.24.

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Abstract:
Le thème de l’amour occupe une place importante dans la poésie française pour les enfants, en prenant des aspects très divers. L’amour qui lie parents et enfants est le mieux représenté. Les poètes transmettent cet amour à l’aide de moyens d’expression variés : un lexique affectif, des noms hypocoristiques, le langage enfantin ; les tropes (la métaphore, la personnification, etc.) permettent d’exprimer les différentes facettes de l’amour. Les poètes s’inspirent des berceuses françaises traditionnelles. Les poèmes apprennent aux petits lecteurs à choyer leur famille, leurs amis, leur pays natal, la nature, les animaux, la vie. Ce lyrisme n’exclut pas que la poésie pour les jeunes soit empreinte d’humour et d’espièglerie. Pour évoquer les actions des enfants indisciplinés, les poètes recourent à un lexique argotique et familier. Le mélange des registres ajoute au charme de ces poèmes. Les différents visages de l’amour font l’objet d’une riche gamme de moyens d’expression qui reflètent toute la diversité des émotions et des sentiments.
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Chollet, J. Y., Arnaud Martrenchar, Didier Bouchel, and Aboubakar Njoya. "Epidémiologie des parasitoses digestives des jeunes bovins dans le Nord-Cameroun." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 4 (April 1, 1994): 365–74. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9073.

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Abstract:
Les parasitoses digestives des jeunes bovins zébus en milieu traditionnel du Nord-Cameroun ont été étudiées grâce à un suivi coproscopique mensuel de 17 troupeaux pendant 2 ans. La toxocarose apparaît comme la plus importante dans la province du Nord, où sa prévalence atteint 58 % entre 0 et 6 mois; 60 % des veaux positifs excrètent au moins une fois de grandes quantités d'oeufs de Toxocara; la fréquence des prélèvements révélant des nombres d'oeufs élevés s'est avérée plus grande en saison sèche. La vermifugation des veaux à un mois contre les Toxocara avec un produit bon marché pourrait être rentable dans le Nord. La strongyloïdose atteint 75,5 % des veaux de 0 à 12 mois, les nombres d'oeufs de Strongyloides étant élevés au moins une fois chez 31 % de ces veaux. Comme pour la toxocarose, les veaux sont plus souvent et davantage parasités dans le Nord que dans l'Extrême-Nord. L'importance clinique de la strongyloïdose semble assez faible, les rares troubles enregistrés se confondant alors avec ceux provoqués par la toxocarose. L'importance des strongyloses digestives est plus difficile à évaluer: tous les bouvillons sont atteints au cours de leur carrière, et de la même façon dans les deux provinces; les nombres d'oeufs de strongles dans les fèces des bovins de plus de six mois sont élevés pour 6,8 % des prélèvements, et au moins une fois chez 35 % de ces animaux. Ces résultats ne permettent pas de préconiser a priori un programme de vermifugation systématique contre les strongles, plusieurs programmes simples devant être testés pour déterminer leur rentabilité. Des coccidies ont été reconnues sur 77,4 % des veaux de 0 à 12 mois, les infections étant plus fréquentes et plus importantes dans le Nord, mais elles sont rarement fortes. Les Trichuris, Moniezia, Fasciola et paramphistomes n'ont été mis en évidence que sur un petit nombre de cas. En ce qui concerne les nématodoses, les interventions curatives et les études "coûts-bénéfices" de programmes de vermifugations doivent donc être ciblées sur la toxocarose des veaux de 0-3 mois dans le Nord et les strongyloses des jeunes de 6-12 mois dans les 2 provinces.
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MALTERRE, C., J. ROBELIN, J. AGABRIEL, and P. BORDES. "Engraissement des vaches de réforme de race Limousine." INRAE Productions Animales 2, no. 5 (December 10, 1989): 325–34. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.5.4426.

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Abstract:
L’évolution de la reprise de poids et la composition corporelle de vaches de réforme limousines ont été étudiées en fonction de la durée d’engraissement, des apports alimentaires et de l’âge des animaux. Lorsqu’elles sont alimentées avec des régimes d’ingestibilité et de concentration énergétique élevées (ensilage de maïs et concentré), les vaches de réforme peuvent, malgré leur faible capacité d’ingestion (1,85 à 1,90 kg MS / 100 kg poids vif), être engraissées en 2 mois, 2 mois et demi, et réaliser un gain de poids journalier de l’ordre de 1200 g. Leur gain de carcasse est important, de l’ordre de 50 kg, et la quantité de muscle dans ce gain est voisine de 20 kg. Au-delà de cette durée d’engraissement, la reprise de poids devient beaucoup plus lente et le gain de carcasse est essentiellement constitué de dépôts adipeux. L’efficacité alimentaire diminue tout au long de la période d’engraissement, mais cette diminution devient plus rapide au-delà des 2 premiers mois. L’efficacité chute également de façon importante lorsque les apports alimentaires sont limités. Il ne paraît donc pas intéressant de restreindre l’alimentation des animaux au cours de leur période de finition. En effet, les restrictions alimentaires conduisent à des vitesses de reprise de poids très faibles, et il est alors nécessaire de prolonger de façon trop importante la période d’engraissement. Dans les conditions de notre étude, réalisée sur des vaches très âgées, un accroissement du niveau d’apports azotés n’a eu aucun effet sur la reprise de poids et la composition des carcasses. L’analyse des performances en fonction de l’âge des animaux au moment de leur réforme montre que la capacité de reprise de poids des vaches, et donc leur gain de carcasse, sont d’autant plus élevés qu’elles sont jeunes. Toutefois, les vaches de race Limousine sont capables de produire jusqu’à l’âge de 13 ans des carcasses de poids et de composition très satisfaisants. Seules les vaches très âgées, de 14 ans et plus, sont difficiles à engraisser.
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CHEMINEAU, P., B. MALPAUX, J. P. BRILLARD, and A. FOSTIER. "Saisonnalité de la reproduction et de la production chez les poissons, oiseaux et mammifères d’élevage." INRAE Productions Animales 22, no. 2 (February 15, 2009): 77–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.2.3336.

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Abstract:
Les diverses productions issues d’animaux d’élevage sont fréquemment saisonnières, et par là même leur disponibilité en produits frais sur les marchés (viandes, lait et fromages, oeufs). Ceci relève, en partie, de la décision de l’éleveur qui vise à commercialiser ses produits à la période la plus favorable. Cette saisonnalité peut être aussi imposée par l’accès à des ressources alimentaires saisonnières, comme chez les herbivores, ou par des contraintes biologiques spécifiques, comme celle de la température de l’eau pour les poissons. Les variations saisonnières de la disponibilité en produits animaux sont aussi la conséquence de contraintes résultant d’une saison de reproduction plus ou moins marquée des animaux d’élevage qu’il s’agisse de poissons, d’oiseaux ou de mammifères. Sous des latitudes moyennes et hautes, la plupart des animaux d’élevage, comme leurs «cousins» sauvages, donnent en effet naissance à leurs petits en fin d’hiver et/ou au début du printemps, période souvent la plus favorable pour la survie des jeunes et la mise en place d’une nouvelle génération. En conséquence, la plupart des espèces manifestent des variations saisonnières de la fréquence d’ovulation (présence ou absence d’ovulations chez les mammifères et les poissons ; variations ou suppression des taux de ponte chez les oiseaux), de la qualité des gamètes (variations des taux de fécondation et de survie embryonnaire), mais aussi du comportement sexuel. Parmi les espèces d’intérêt en production animale, les oiseaux et les poissons sont généralement considérés comme plus directement sensibles aux facteurs externes (majoritairement température, mais aussi photopériode, pour les poissons et photopériode pour les oiseaux). Cependant, chez de nombreuses espèces incluant des mammifères, il est intéressant de constater que des traitements photopériodiques artificiels consistant en un éclairement supplémentaire pendant les jours courts naturels (chez le poulet, la dinde, la pintade, le mouton et la chèvre) ou de la mélatonine pendant les jours longs (chez le mouton et la chèvre), sont utilisés largement pour ajuster la période de reproduction aux souhaits de l’éleveur et/ou pour abolir complètement les variations saisonnières de la production spermatique dans les centres producteurs de semence destinée à l’insémination artificielle (mammifères), et dans les élevages (volaille, poissons). Par ailleurs, des traitements photopériodiques «&nbsp;purs&nbsp;» (sans mélatonine), en particulier lorsqu’ils sont appliqués en bâtiments ouverts, sont non invasifs et donc respectent pleinement le bien-être animal.
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Fransolet, M. C., P. Horlait, and Jacques Hardouin. "Elevage expérimental du cobaye Cavia porcellus en région équatoriale au Gabon." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 1 (January 1, 1994): 107–11. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9121.

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Abstract:
L'élevage du cobaye Cavia porcellus comme animal de boucherie a été étudié pendant deux ans et demi sous forme expérimentale au Gabon où il est déjà élevé au niveau familial, quoique de façon peu répandue. Le cobaye est un animal prolifique : 3,4 jeunes en moyenne par portée, et bien que sa durée de gestation soit relativement longue (2 mois), il reste un animal intéressant par sa rusticité et son aptitude à consommer les déchets végétaux de l'alimentation humaine. Les animaux à l'engraissement atteignent 750 g de poids vif en 6 mois avec un gain moyen quotidien de 4 g. Les rendements en carcasse sont de 47,9 %. Peu d'affections graves ont été rencontrées, si ce n'est des cas de pneumonies mortelles. Le comportement est très pacifique. Seule la mise en présence de mâles pubères étrangers dans le même enclos pose parfois des problèmes d'agressivité. Cette première étude est encourageante car en raison des besoins, une telle source de protéines n'est pas à dédaigner du point de vue de l'élevage familial d'appoint, ou même dans l'optique d'un élevage commercial.
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FAYE, B., J. P. CHACORNAC, M. RATOVONANAHARY, and J. P. JOUANY. "L’élevage des grands camélidés. Analyse des initiatives réalisées en France." INRAE Productions Animales 8, no. 1 (February 21, 1995): 3–17. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.1.4100.

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Abstract:
L’élevage des grands camélidés représente une activité d’élevage marginale, développée par quelques individus dans le cadre de la diversification. Ces animaux (dromadaires et chameaux) sont adaptés aux régions désertiques, au stress climatique, à la sécheresse et à la sous-nutrition. Ils présentent à ce titre tout un ensemble de mécanismes physiologiques témoignant de cette adaptation. Leurs performances de reproduction sont faibles (taux de fécondité, viabilité des jeunes), mais leurs performances de production (croissance, production de viande, production laitière) non négligeables compte tenu des contraintes de leur milieu d’origine. Dans le contexte des pays tempérés comme la France, ils sont confrontés à des conditions climatiques et alimentaires fort différentes de leur aire d’origine. Un suivi pendant une année de 65 chamelles appartenant à 9 éleveurs a permis de constater que les paramètres sanguins tels que l’albumine (36,4 ± 4,7g/l), globuline totale (32,7 ± 5,1 g/l), protéines totales (69,2 ± 6,1 g/l), urée (30,0 ± 14,8 mg/100 ml), glucose (111,0 ± 12,2 mg/100 ml), AGL (0,15 ± 0,15 mmole/l), GLDH (5,8 ± 10,8 UI/l), GGT (10,1 ± 5,8 UI/l), GOT (48,1 ± 14,3 UI/l), calcium (10,2 ± 6,5 mg/100 ml), magnésium (2,6 ± 0,3 mg/100 ml), cuivre (65,4 ± 20,2 μg/100 ml), zinc (34,6 ± 7,8 μg/100 ml) et céruloplasmine (41,4 ± 2,6 UO) présentent des valeurs comparables à celles observées en zones désertiques, mais avec des écart-types généralement plus importants du fait de la grande variété des systèmes alimentaires proposés. La saison, la complémentation alimentaire (en particulier minérale) et le statut sanitaire ont un effet significatif sur le profil métabolique des chamelles. La saison hivernale et l’excès de complémentation azotée représentent des facteurs de risque à ne pas négliger en particulier pour la mortalité des jeunes qui dépasse 40 % dans notre échantillon d’étude.
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Lebourgeois, François. "Le blaireau européen (Meles meles L.). Synthèse des connaissances européennes. Partie 2 : groupes familiaux, dynamiques des populations et domaines vitaux." Revue forestière française 72, no. 2 (April 30, 2020): 99–118. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5313.

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Abstract:
Cet article présente une synthèse des connaissances européennes sur les groupes familiaux, la dynamique des populations et les domaines vitaux. Le cycle de reproduction des blairelles est complexe avec un processus d’implantation différée des ovocytes. Le pic majeur de reproduction a lieu en hiver (janvier-février) après la mise bas des jeunes issus des accouplements précédents. Seulement environ 30 % des femelles se reproduisent tous les ans (femelles dominantes en bonne santé). Le nombre de blaireautins dans une portée varie en moyenne de 1 à 3 mais la mortalité avant un an est forte souvent autour de 50 %. En Europe, la densité moyenne des blaireaux est de 1,8 ± 2,3 individus (adultes et jeunes) au km2 (4,7 en considérant les fortes densités anglaises). Cependant, des densités nettement plus faibles de l’ordre de 1 blaireau par 10 km2 sont souvent observées en Europe de l’Est. La taille des groupes familiaux est de 3,8 ± 1,2 individus (avec 2,6 ± 1 adultes) avec des variations assez faibles entre les pays (4,6 ± 2,1 individus avec les données anglaises). Le domaine vital varie fortement selon le sexe et la saison. Il est plus grand pour les mâles. Il est minimal en hiver pour les deux sexes mais plus grand en été pour les femelles. Il varie également très fortement selon la densité des animaux au km2. Ainsi, les domaines vitaux les plus grands (> 500 ha) sont observés dans les zones de plus faibles densités d’animaux (1 à 2 individus aux 10 km2) sous climat contraignant et dans les contextes de moindres ressources alimentaires (Europe de l’Est et contexte méditerranéen). Dans les zones plus favorables en contexte océanique tempéré, le domaine vital est nettement plus petit (< 100 ha) avec des densités d’animaux souvent supérieurs à 2 ou 3 individus au km2.
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HEYMAN, Y., P. CHAVATTE-PALMER, X. VIGNON, C. RICHARD, and J. P. RENARD. "Le clonage somatique : un état des lieux chez les bovins et les petits ruminants." INRAE Productions Animales 18, no. 5 (December 18, 2005): 339–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.5.3537.

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Abstract:
Parmi les récentes biotechnologies de la reproduction chez les mammifères d’élevage, le clonage par transfert de noyaux somatiques constitue un pas en avant depuis la naissance de la brebis Dolly. Cet article fait le point sur les résultats actuels obtenus dans le monde chez les bovins et les petits ruminants, les limites de la technique et les applications potentielles. L’efficacité globale du clonage (nombre de jeunes nés /nombre d’embryons reconstitués) reste encore faible (≤ 7 %), mais elle progresse régulièrement. Elle est cependant limitée par l’existence de mortalités embryonnaires et de physiopathologies fœtales importantes après transplantation des embryons clonés dans des femelles porteuses. Après leur naissance, les bovins clonés font l’objet d’un programme de recherches à l’INRA pour évaluer leur santé, leurs performances à l’âge adulte ainsi que les éventuels risques associés au clonage. Malgré l’existence de différentes barrières biologiques encore mal maîtrisées, plusieurs applications du clonage peuvent être envisagées dont la production d’ animaux modèles de maladies, la contribution à la sélection bovine, la reproduction de génotypes rares, ou bien, l’association avec la transgénèse pour des utilisations à des fins biomédicales. Les recherches en cours prennent en compte la réflexion éthique et la perception sociale du clonage animal.
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