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Journal articles on the topic 'Jeux avec musique'

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Feryn, Mathieu. "Les mondes du jazz et leurs publics en France. Une réflexion sur les pratiques des acteurs de la création au cours des années 2000." Revue internationale animation, territoires et pratiques socioculturelles, no. 15 (March 8, 2019): 65–70. http://dx.doi.org/10.55765/atps.i15.223.

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Abstract:
L’étude du jazz permet d’observer les jeux de légitimité entre le monde de la musique savante, dont il imite l’organisation, et celui de la musique populaire, avec son vedettariat. Les changements que connaît le marché du jazz en France au XXIe siècle sont ici appréhendés à travers le système de récompenses, de prix et de distinctions décernés dans les concours. Après observations, l’image de l’amateur de jazz comme intellectuel bourgeois et savant s’effrite. La démocratisation et la médiation conduisent maintenant de considérer usagers, profanes et experts tour à tour comme récepteurs, diffuseurs et producteurs de l’information « jazzistique ».
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Fillion, Eric. "Le sahabi de Sonde : évolution d’une source sonore." Circuit 23, no. 1 (2013): 9–14. http://dx.doi.org/10.7202/1017207ar.

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Abstract:
Né des ateliers de design musical offerts à l’Université McGill par Mario Bertoncini, Sonde s’impose rapidement au Canada et à l’étranger. Partant de jeux exploratoires et d’improvisations méditatives, le groupe utilise des techniques électroacoustiques afin d’explorer les potentialités acoustiques de matériaux divers. Il arrive parfois que ces musiciens s’arrêtent sur une source sonore dont les qualités musicales dépassent toute attente. C’est le cas du sahabi, instrument constitué d’un cadre de métal au travers duquel sont tendues des dizaines de cordes métalliques. Deux exemplaires de cette source sonore existent et les membres du groupe les utilisent fréquemment depuis 1976. Pour ces raisons, le sahabi mérite le statut d’instrument de musique. Mais quels sont les enjeux qui accompagnent ce glissement sémantique ? Le présent article répond à cette question en s’appuyant sur un entretien réalisé par l’auteur avec Charles de Mestral, créateur du sahabi et figure importante de la nouvelle musique au Québec.
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Soulez, Antonia. "Phrases musicales." Circuit 17, no. 1 (2007): 27–47. http://dx.doi.org/10.7202/016772ar.

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Abstract:
L’auteure examine ici la portée du paradigme musical dans la philosophie de Wittgenstein. Le cadre de cet examen est l’approche à partir de Wittgenstein de ce que les philosophes ont aujourd’hui à dire de la signification musicale. Deux styles d’approche sont suggérés, l’un projectif bien marqué par l’idée de « musikalische Gedanke » dans le Tractatus et révélateur d’une filiation à laquelle appartient Wittgenstein, et l’autre horizontal suivant l’axe grammatical du rapport esthétique d’appropriation du geste de l’oeuvre à travers une écoute active. Cette conception intègre une exploration de la résonance des aspects, dans une troisième phase qui ne sera pas développée. Comment Wittgenstein remplit-il certains critères d’appartenance à ce que Lydia Goehr appelle « la quête formelle de l’autonomie du musical » est une question qui conduit l’auteure à re-situer le nouage musique et société chez Wittgenstein, par contraste avec Adorno, en mettant en relief les conditions auxquelles une compréhension interne d’un « contenu formel » (Granger) peut se combiner ici avec le contexte d’une pratique. Soulez met donc l’autonomie musicale selon Wittgenstein à l’épreuve du contexte des formes de vie, dans une phase où dominent les « jeux » d’une grammaire comparative motivée par l’analogie de la compréhension d’une phrase du langage avec celle de la compréhension d’une phrase musicale. Mettant l’accent sur le caractère actif de la compréhension, doublée d’une performance, l’auteure entend montrer comment Wittgenstein pense la musique avec la société autrement qu’Adorno, donc sans référence dialectique. La clef est une connexion inédite entre immanentisme de la signification musicale à l’échelle d’une phrase, comme le pense Wittgenstein et ses contemporains de l’École de Vienne, et un schéma esthético-pragmatique de « context-dependency ». De là s’ensuit une forme d’autonomie compatible avec la sphère extramusicale. Si « tout un monde se tient dans une phrase musicale », comme le dit Wittgenstein, c’est bien au sens où un motif répercute certains aspects d’un « monde » auquel nous contribuons en le « faisant ».
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Donin, Nicolas. "Le moment Musique en Jeu." Circuit 20, no. 1-2 (2010): 25–31. http://dx.doi.org/10.7202/039640ar.

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Abstract:
L’auteur se penche sur l’histoire, qui reste encore à écrire, de Musique en jeu, la revue française mythique des années 1970, qui est un modèle explicite pour la revue Circuit. Cet article livre des propos tirés d’entretiens réalisés à l’occasion d’une rencontre publique sur le passé et l’avenir des revues musicales avec deux des fondateurs de Musique en jeu : son principal animateur, Dominique Jameux, ainsi que l’un de ses collaborateurs notables, Jean-Pierre Derrien. Sont esquissés des détails sur la naissance de la revue de même que sur son évolution au cours de la décennie.
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Hétu, Joane. "Itinéraire à compléter." Circuit 6, no. 2 (2010): 9–10. http://dx.doi.org/10.7202/902128ar.

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Abstract:
Au travers de courtes contributions, parfois à caractère poétique, quelques acteurs de la musique actuelle (Hétu, Palardy Roger, Derome, Gervais, Côté) et des « décideurs » (Swift, du Conseil des arts, et Prévost, de la Société Radio-Canada) tentent de définir ce qu’on peut entendre aujourd’hui par « musique actuelle », souvent par différence avec la « musique contemporaine ». Certains auteurs jouent le jeu, d’autres dénoncent l’entreprise ou disent leur malaise devant un exercice considéré comme nominaliste. Tous insistent sur le métissage, le décloisonnement et l’hybridité des styles et des pratiques et font l’éloge de la spontanéité.
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Beaucage, Réjean. "Interprète et créateur." Circuit 15, no. 1 (2010): 65–72. http://dx.doi.org/10.7202/902342ar.

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Abstract:
Le violoncelliste français Benjamin Carat privilégie l’interprétation d’oeuvres nouvelles issues d’une étroite collaboration avec les compositeurs durant le processus de création. S’employant à développer un nouveau répertoire pour son instrument, il concentre son travail sur la musique mixte et les nouvelles techniques de jeu. Parcours biographique et réflexion sur le métier d’interprète.
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7

Stévance, Sophie. "Une lecture dialogique de l’improvisation libre et collective en musique actuelle et en contact-improvisation." Les Cahiers de la Société québécoise de recherche en musique 13, no. 1-2 (2012): 117–25. http://dx.doi.org/10.7202/1012357ar.

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Abstract:
Cet article propose une analyse de l’improvisation en musique actuelle, un courant musical d’avant-garde qui s’est développé au Québec en 1979, à la lumière du contact-improvisation (mouvement chorégraphique apparu aux États-Unis en 1972). L’objectif est de comprendre la nature de ces arts improvisés où le rapport avec autrui en est le fondement. Comment l’individu et l’autre agissent-ils l’un sur l’autre? Comment prennent-ils la place qui leur revient dans le cadre d’un même processus conversationnel en cours? Le dialogisme selon Bakhtine, ici considéré comme métaphore, permet d’illustrer les interactions en jeu dans la musique actuelle et le contact-improvisation. Le dialogisme offre également l’occasion d’interroger la notion d’improvisation libre et collective, dont la musique actuelle et le contact improvisation sont les dignes représentants.
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8

Morand, Louise. "Élèves difficiles : récompenser ou punir ? Une stratégie d’intervention pour les enseignants basée sur le dessin et le jeu." Notes from the Field 48, no. 1 (2013): 243–51. http://dx.doi.org/10.7202/1018411ar.

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Abstract:
Cet article relate une expérience menée par une enseignante en musique au primaire pour améliorer le comportement d’élèves qui perturbent la classe. Il s’agit d’une activité de dessin à la récréation présentée comme sanction pour les élèves ayant contrevenu aux règles du groupe dans le cours de musique. Cette expérience s’est avérée positive, car elle a permis à l’enseignante d’acquérir une meilleure compréhension des élèves difficiles et d’apaiser les tensions découlant des conflits vécus en classe. L’auteure démontre que le plaisir partagé de la création artistique et du jeu social ont permis d’établir une meilleure communication avec les élèves et d’éviter le recours à la violence et la coercition, tout en incitant les jeunes à coopérer davantage à l’école.
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9

Leclair, François-Hugues. "Composer une musique nordique ?" Les Cahiers de la Société québécoise de recherche en musique 14, no. 1 (2013): 55–62. http://dx.doi.org/10.7202/1016199ar.

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Abstract:
La dimension nordique a toujours occupé une place centrale dans mon imaginaire, les images les plus présentes dans ce réseau de symboles étant l’espace, la rudesse des éléments, en particulier du vent et du froid, de même que les dimensions du silence et de la solitude. La manifestation musicale de ces qualités hivernales est étudiée dans l’analyse détaillée du Solstice d’hiver, pour sextuor de flûtes, ainsi que dans un panorama de mes oeuvres à caractère nordique : choix des textes en lien avec l’hiver à la source de l’inspiration ; choix de timbres instrumentaux fréquemment associés au froid ; utilisation de modes de jeu contemporains pouvant évoquer le vent glacial, l’espace boréal ; rudesse de certaines sonorités ; instillation du silence dans la composition ; évocation de l’espace dans les distances entre les différents plans sonores ; création d’ambiances empreintes du mystère lié à la solitude humaine face à l’immensité du paysage.
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Laplante, Chantale. "Le son généreux [pour une hyper-écoute]." Articles 26, no. 2 (2012): 69–74. http://dx.doi.org/10.7202/1013226ar.

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Abstract:
L’article que l’artiste propose au lecteur relate le processus de transformation de sa pratique artistique durant une période particulière. L’artiste nous entretient de la transformation dans sa manière de composer la musique et de travailler avec le son. Elle développe sa réflexion autour de deux notions principales : l’hyper écoute qui favorise une approche intuitive, le son devenant la source première d’information à être transmué par la sensibilité de l’artiste, et l’espace-surface issu d’un temps musical non linéaire inscrit dans la durée. Tout au long de l’article, le lecteur prendra connaissance d’un contexte de travail précis qui a favorisé l’émergence d’un questionnement sur le processus de composition musicale et la relation avec le matériau en jeu, le son.
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Rousseaux, Francis, and Et Alainbonardi. "“Music-ripping”: Des Pratiques Qui Provoquent la Musicologie." Musicae Scientiae 7, no. 1_suppl (2003): 111–23. http://dx.doi.org/10.1177/10298649040070s106.

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Abstract:
Hors des placements habituels de l'informatique dans le domaine de la musique et de Ja musicologie, on constate depuis peu l'apparition de systèmes hommes-machines qui manifestent leur existence en rupture avec une tradition certes encore jeune, mais déjà operante. Car si ces systèmes singuliers opèrent incontestablement dans les champs d'expansion usuels de la musique, ne font aucune référence systèmatique aux catégories musicologiques connues. Au contraire, les expérimentations qu'ils rendent possibles inaugurent des usages où l'écoute. la composition et la transmission musicales se confondent dans un geste parfois qualifié de “music-ripping”. Nous montrerons en quoi les pratiques de “music-ripping” provoquent la musicologie traditionnelle, dont les catégories canoniques s'avèrent ici impuissantes au compte rendu. Pour ce faire, il nous faudra: expliciter un jeu de catégories minimal qui suffise à sous-tendre lesmodeles usuels de la musique assistée par ordinateur; faire de même pour les systèmes hommes-machines (anti-musicologiques?) dont l'existence nous trouble; examiner les conditions de possibilité de réduction du second ensemble catégorial au premier; conclure sur la nature du “music-ripping”.
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Sassanelli, Fiorella. "Un pianiste français face au public américain : les trois tournées de Raoul Pugno (1897-1906)." Les musiques franco-européennes en Amérique du Nord (1900-1950) : études des transferts culturels 16, no. 1-2 (2017): 63–76. http://dx.doi.org/10.7202/1039613ar.

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Abstract:
À partir de 1894 et jusqu’en janvier 1914, année où il meurt à Moscou au cours d’une tournée, le pianiste Raoul Pugno a voyagé à travers le monde en messager et en ambassadeur de l’art français. Le 17 novembre 1897, il débute à New York, à la salle Waldorf Astoria avec le violoniste Ysaÿe. Le 10 décembre 1897, ses débuts avec orchestre au Carnegie Hall, où il joue le Concerto de Grieg, révèlent aux Américains la grandeur musicale et humaine de cet artiste à l’image fort différente du virtuose séduisant et aux cheveux longs, mais attachant de par son enthousiasme unique pour la musique et par l’exubérance de son tempérament latin. Pugno visite les États-Unis en trois occasions, de novembre 1897 à mars 1898 pour des concerts à New York et Chicago ; d’octobre 1902 à janvier 1903 ; de novembre 1905 à mars 1906, quand il traverse les États-Unis d’est en ouest jusqu’au Canada. Cet article traite de la triple aventure américaine de Pugno à travers la presse américaine et la correspondance du pianiste avec ses collègues et amis. C’est un récit à deux niveaux : le point de vue du pianiste parisien aux États-Unis, mais surtout celui des Américains qui nous racontent leur réception de la musique européenne, du jeu pianistique de Pugno, de son image, mais aussi de l’école française de piano et de la musique française. Les lettres du pianiste témoignent de son succès, mais aussi des difficultés et des déceptions qui marquent son rapport avec la société américaine. Les commentaires de la presse tracent un changement presque radical de la réception. Au cours de huit ans et demi, la presse surmonte une certaine méfiance suggérée par son aspect d’homme « normal » et, au moment du troisième et dernier départ de Pugno pour la France, elle salue le pianiste avec une vive admiration. Face à lui, les critiques laissent même suspendu leur jugement sur l’école française de piano, qui ne jouit pas chez eux de la plus haute considération.
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Lortat-Jacob, Bernard. "L’improvisation et ses lieux communs (Pays de l’Oach, Roumanie)." Circuit 21, no. 2 (2011): 65–75. http://dx.doi.org/10.7202/1005273ar.

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Abstract:
L’article rappelle un certain nombre d’acquis concernant les études sur l’improvisation, principalement la notion de « modèle ». Mais cette notion trouve ses limites lorsqu’il s’agit de rendre compte du processus même de l’improvisation, de saisir l’inattendu, et même d’examiner de près des stratégies musicales enclenchées dans l’instant. En outre, dans nombre de traditions orales - dont l’inventaire est loin d’être achevé -, les régularités structurelles et la notion même de modèle semblent faire problème. Ce phénomène avait déjà été relevé par Bartók à propos de musiques paysannes de Roumanie. Il est ici approfondi. C’est ainsi qu’au nord de la Roumanie, en Oach, les violonistes (souvent tsiganes) sont invités, contre rétribution, non pas à reproduire des formes fixes, mais à produire le plus grand nombre possible de courts motifs modaux, pour « appâter » les chanteurs. Durant la performance, au déroulement imprévisible, ces derniers extraient de ce jeu motivique leur dants, c’est-à-dire une mélodie complète qui leur est propre et qui ne se confond pas avec celle des autres chanteurs qui sont aussi leurs rivaux.
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Kalulambi Pongo, Martin. "Musiques dans la rue. Terrains de jeu. Revue Ethnologie française (publiée avec le concours du Centre national de la recherche scientifique et de la Direction des musées de France. Contient des textes de F. Gétreau et E. Daphy, G. Basile, D. Giraudon, C. Servan-Schreiber, C. Sandroni, N. Gérôme, F. Maguet, 1999, n°1, ISSN: 0046-2616.)." Ethnologies 22, no. 1 (2000): 257. http://dx.doi.org/10.7202/1087848ar.

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Dyer-Witheford, Nick, and Zena Sharman. "The Political Economy of Canada's Video and Computer Game Industry." Canadian Journal of Communication 30, no. 2 (2005). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2005v30n2a1575.

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Abstract:
Abstract: Video and computer games are a burgeoning new media industry with global revenues rivaling those of film and music. This article, reporting on a three-year SSHRC-funded research project, analyzes the political economy of Canadian involvement in the interactive game business. After an overview of companies, ownership, markets and regional distribution, it discusses the developmental dynamics and contradictions of the Canadian industry in terms of capital, state, and labour. It concludes by reviewing different ways these interweaving forces may ‘play out’ and their implications for policy decisions affecting the Canadian video and computer game industry.
 
 Résumé : Les jeux électroniques sont une nouvelle industrie médiatique en plein essor dont les revenus mondiaux rivalisent avec ceux des industries du film et de la musique. Cet article, qui rend compte d’un projet de recherche de trois ans financé par le CRHS, analyse l’économie politique de la participation canadienne à l’industrie du jeu interactif. L’article – suivant une vue d’ensemble des compagnies, de leurs propriétaires, des marchés, et de la distribution régionale – traite des dynamiques du développement ainsi que des contradictions de l’industrie canadienne en fonction de capital, état et travail. En guise de conclusion, l’article passe en revue les diverses manières dont ces trois forces interreliées pourront évoluer et l’impact de celles-ci sur les décisions politiques portant sur l’industrie des jeux électroniques au Canada.
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Perronnet, Clémence. "Du côté des garçons : loisirs et construction de l’identité genrée à travers les sociabilités familiales et amicales masculines en milieux populaires." Enfances, Familles, Générations, no. 26 (March 14, 2017). http://dx.doi.org/10.7202/1041061ar.

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Abstract:
Cadre de la recherche : Les loisirs, pratiques et préférences culturelles sont une façon de dire qui l’on est et de se situer dans le monde social, tant par sa classe que par son âge, son genre ou son lieu de résidence. Autrement dit : « si tu joues au foot, que tu aimes les jeux vidéo et que tu écoutes de la musique rap… alors tu es un garçon de milieux populaires ».Objectifs :Le présent article cherche à interroger cette apparente évidence, se demandant comment les jeunes garçons de milieux populaires construisent leur genre à travers leurs loisirs et quel rôle jouent alors les sociabilités masculines familiales et amicales.Méthodologie : Le matériau utilisé a été recueilli à l’occasion d’une enquête qualitative menée par observations et entretiens individuels auprès de 20 garçons et 11 filles scolarisés dans deux classes de CM2 (10-11 ans) d’une école d’un quartier populaire de Lyon.Résultats : Les jeunes garçons évoluent dans un réseau de sociabilités et de loisirs très masculin, un entre-soi construit contre le féminin. Pour ce qui est des parents, leurs rôles genrés sont bien distincts, pères et mères n’interagissant pas de la même façon avec les garçons. Les sociabilités horizontales entres pairs (frères, amis, cousins) jouent aussi un grand rôle dans la formation des goûts et l’identification masculine. À l’échelle individuelle, le modèle de l’entre-soi masculin est moins unifié qu’il n’y paraît, et les façons d’être garçon s’avèrent à la fois variées et hiérarchisées. Des stratégies de distinction sociale prennent forme au sein de l’ordre de genre.Conclusions :Ce travail questionne ainsi la pertinence du modèle de la distinction sociale, en montrant qu’en dépit du caractère commun et partagé des loisirs « de garçons », des variations fines des pratiques sont l’occasion d’une hiérarchisation intra-masculine.Contribution : Il invite aussi à penser l’hétérogénéité des groupes sociaux par la description combinée de ce qui façonne le commun et de ce qui crée, en son sein, la différence.
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Gomez, Leticia. "Une fausse note par F. Giguère." Deakin Review of Children's Literature 5, no. 1 (2015). http://dx.doi.org/10.20361/g2w59v.

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Abstract:
Giguère, François. Une fausse note. Québec : Éditions Vents d’Ouest, 2014. Imprimé Une fausse note est le premier livre de François Giguère, un jeune retraité qui s’est lancé dans l’écriture après avoir gagné le concours littéraire Cerrdoc en 2000. Ce roman jeunesse qualifié de réaliste se situe entre le drame et la romance et se destine aux ados. Pour écrire cet ouvrage, l’auteur s’est inspiré des histoires vécues par ses quatre enfants lorsqu’ils étaient adolescents. Ainsi, ce livre traite entre autres de l’école et des premiers amours avec toutes les difficultés et les joies que cela peut comporter.Le titre Une fausse note est un jeu de mots faisant référence au thème principal du livre, la musique, et à la relation tendue entre Audrey et Sébastien. Audrey, personnage principal fait partie de l’ensemble musical de son école avec son amie Maude et son pire ennemi Sébastien. L’histoire débute avec la fin des vacances et par conséquent la rentrée. Julie St-Laurent, le professeur de musique prévoit pour cette nouvelle année scolaire un projet original qui consiste à faire jouer en duo ses élèves et ce avec un instrument différent de celui qu’ils utilisent dans l’harmonie. Ironie du sort, Audrey et Sébastien se retrouvent à travailler ensemble. Audrey, jeune adolescente au caractère bien trempée impose des limites très strictes à Sébastien qui l’aime en silence depuis si longtemps. Cependant, au fil de l’année scolaire, les choses évoluent et les deux coéquipiers finissent par s’avouer leurs sentiments. Mais les obligations professionnelles du père d’Audrey viendront chambouler leur relation. Le récit est donc une alternance d’événements dramatiques et romantiques qui tient le lecteur en haleine jusqu’à la toute dernière page.La typographie utilisée, la présence de minces interlignes et le nombre de page, soit 180, sont le signe d’un roman qui vise un lectorat âgé d’au moins 12 ans. Il faudra compter une dizaine d’heures pour qu’un bon lecteur puisse terminer ce roman passionnant. En ce qui concerne l’écriture, le style est plutôt classique, même dans les dialogues qui mettent le plus souvent en scène de jeunes ados.Si dans ce roman tout tourne autour de la musique, l’auteur aborde aussi le thème de la famille tel qu’on la connait aujourd’hui. Étant donné que cette histoire est très proche de ce que vivent les jeunes, le lecteur sera aussi amené à réfléchir sur sa relation à l’autre. Cela le fera sans aucun doute évoluer de manière positive. La véracité de certains éléments permettra également au lecteur de se reconnaître et ainsi vivre en héros le temps d’une lecture. Ce livre est donc parfait pour le lectorat adolescent qui s’intéresse à des textes en phase avec la vie actuelle.Note: quatre étoiles Critique: Leticia GomezLeticia étudie au Campus Saint-Jean depuis trois ans où elle effectue un baccalauréat en éducation secondaire avec une majeure en littérature. Elle écrit également des critiques littéraires pour le Franco, un journal francophone local.
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Laurent, Jérôme. "Patrimoines autochtones." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.104.

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Abstract:
De nombreux groupes autochtones au Brésil, au Canada, aux États-Unis, en Australie, en Nouvelle-Zélande et ailleurs dans le monde sont particulièrement préoccupés par la protection, la transmission et la reconnaissance de leurs patrimoines culturels. Trois dimensions sont indissociables de la compréhension des patrimoines autochtones soit 1) les liens entre matérialité et immatérialité du patrimoine 2) l’institutionnalisation des processus de patrimonialisation et 3) les médiateurs du patrimoine. Par patrimonialisation, il faut donc comprendre à la fois ce qui compose le patrimoine (chants, rituels, danses, objets, relation au territoire, arts visuels, jeux traditionnels, plantes médicinales…), les processus par lesquels ce patrimoine est documenté, préservé, transmis et mis en valeur (Kreps 2003), mais également les différents acteurs qui œuvrent au sein de ces processus. Souvent relégués à leurs dimensions matérielles, les patrimoines autochtones ne peuvent se comprendre sans considérer leur immatérialité (Leblic 2013 ; Lemonnier 2013). Par immatérialité, nous faisons référence ici aux débats anthropologiques sur les relations qu’entretiennent les humains avec leur environnement et les entités qui le composent (Descola 2005; Ingold 2000, 2011, 2012 ; Viveiros de Castro 2009). Si ces auteurs se sont surtout intéressés aux relations entre les humains et les animaux, les esprits ou les ancêtres, il est nécessaire de prendre en compte également la place des objets, du patrimoine bâti, des lieux et des sites sacrés, de la musique ou encore de la nourriture dans ces processus relationnels. Les objets, qu’ils soient d’art ou d’ethnographie, renvoient par exemple à des codes et des règles de comportement qui guident les humains, s’inscrivent dans des conceptions particulières de la personne, informent sur la création du monde ou se posent comme des révélateurs des identités autochtones du territoire. Les matériaux, les techniques de fabrication autant que le pouvoir attribué aux objets sont liés aux cosmologies et aux ontologies autochtones; ils sont porteurs de visions du monde et de modes d’être au monde spécifiques qui participent des processus actuels d’affirmations identitaires et politique. Dans ce contexte, il devient crucial de s’intéresser à la vie sociale des objets (Bonnot 2002, 2014 ; Koppytoff, 1986), des arbres (Rival 1998), de la forêt (Kohn 2013) ou encore des récits (Cruikshank 1998 ; Savard 1971, 2004 ; Vincent 2013). L’expérience corporelle (Goulet 1994, 1998 ; Laugrand 2013) et sensorielle (Classen 1993 ; Howes 2003, 2014 ; Mauzé et Rostkowski 2007) fait partie intrinsèque de ces patrimoines et de ces savoirs. Ceux-ci incluent à la fois des savoirs écologiques, des savoirs liés aux activités de chasse, de pêche et de cueillette, des savoirs rituels, des savoirs gastronomiques, des savoirs artisanaux et artistiques, des récits sous toutes leurs formes (création du monde, rêves, anecdotes, événements historiques, etc.), des savoirs liés aux réseaux d’alliance interfamiliale et d’affiliation territoriale, mais aussi des savoirs sur les objets ou sur les jeux traditionnels. Ces différents types de savoirs se transmettent et se transforment de manière créative, en étroite relation les uns aux autres. Les politiques historiques et contemporaines d’assimilation, de dépossession et d’usurpation de ces savoirs et de ces patrimoines conduisent à interroger les modalités institutionnelles de préservation et de mise en valeur de ces patrimoines autochtones. Souvent intégrés aux patrimoines nationaux et mis en valeur dans les musées d’État, les biens culturels autochtones ont longtemps échappé à leurs destinataires légitimes, les peuples autochtones eux-mêmes, les reléguant au statut de spectateurs de leurs propres cultures (Price 2007 ; Philips 2003, 2011). Depuis les années 1960-1970, les peuples autochtones ont largement contribué à la transformation, certes inachevée, des Musées de l’Autre en Musées de Soi et, dans certains cas, en Musées du Nous (De l’Étoisle, 2007). Présentés par le sociologue de l’art wendat (Québec) Guy Sioui Durand comme des musées mouroirs (Sioui Durand 2014), les institutions muséales et patrimoniales occidentales tentent aujourd’hui de (re)considérer leurs politiques et d’intégrer les savoirs autochtones dans leurs pratiques (Dubuc 2002, 2006 ; Kreps 2003). Certains cadres institutionnels ont favorisé ces changements. Pensons par exemple aux deux conventions de l’UNESCO pour la protection du patrimoine et des biens culturels immatériels (1972, 2003), au rapport sur les Musées et les peuples autochtones (Erasmus et al. 1994) au Canada, au Native American Graves Protection and Repatriation Act (NAGPRA, 1990) aux États-Unis ou à la Déclaration de l’ONU sur les droits des peuples autochtones (AGNU 2007, article 31). Si les institutions muséales occidentales ont progressivement opéré un changement de paradigme (Fienup-Riordan 1999 ; Simpson 2001), les peuples autochtones se dotent aujourd’hui de moyens qui leurs sont propres afin de favoriser la protection, la mise en valeur, la transmission, et souvent la restitution de ces patrimoines et de ces savoirs, et par extension de leur histoire et de leur identité politique (Ames 1992 ; Peers 2000). Le développement de musées, de centres culturels, d’écoles de transmission des savoirs ou de programmes éducatifs culturellement ancrés s’inscrit dans des projets de sociétés qui visent le renforcement des structures de gouvernance et de la souveraineté des peuples autochtones. Il est dès lors impossible de parler des patrimoines autochtones sans parler de mise en valeur et de protection des savoirs, de restitution des données ethnographiques (Zonabend 1994 ; Glowczewski 2009 ; De Largy Healy 2011), de gestion collaborative des collections muséales, et évidemment de participation des peuples autochtones dans ces processus (Tuhiwai Smith 1999). La littérature, le cinéma, la musique, la bande dessinée, les romans graphiques, l’art contemporain, le design, le tourisme ou les réseaux socionumériques s’affirment aujourd’hui comme des éléments incontournables du patrimoine autochtone, mais également comme des stratégies de reconnaissance politique (Coulthard 2014) et d’autoreprésentation identitaire. Ces processus complexes de patrimonialisation institutionnelle nous amènent à considérer enfin les acteurs du patrimoine. Guides spirituels, artistes, chefs familiaux, conservateurs, muséologues, technolinguistes, chercheurs autodidactes, enseignants, aînés-gardiens du savoir ou jeunes activistes, ces experts culturels sont régulièrement sollicités afin de transmettre, de valoriser ou de protéger des savoirs et des pratiques qui se construisent aussi en dehors de l'institution, dans le cadre d'actions citoyennes, de projets communautaires ou de dynamiques familiales. Le territoire devient alors l'espace privilégié de patrimonialisation des pratiques et des savoirs autochtones dans lequel les femmes jouent un rôle central (Basile 2017). Ces médiateurs du patrimoine doivent également faire face à divers enjeux concernant les formes et les stratégies de patrimonialisation actuelles, comme par exemple l’appropriation culturelle et la propriété intellectuelle (Bell et Napoléon 2008 ; Bell 1992, 2014) et les processus de rapatriement des biens culturels. Les processus de rapatriement sont indissociables des mouvements d’affirmations identitaire et politique autochtones qui se développent et se renforcent depuis les années 1960-70 (Clifford 1997, 2007, 2013 ; Gagné 2012 ; Matthews 2014, 2016 ; Mauzé 2008, 2010). Les biens culturels acquis de manières illicites, les restes humains ou les objets culturels sacrés nécessaires à la transmission d’une tradition sont généralement considérés par les institutions comme admissibles aux processus de rapatriement. Même si le mouvement international d’affirmation politique autochtone a conduit au rapatriement de nombreux objets dans leurs milieux d’origine, les processus restent souvent dans l’impasse, et ce pour au moins trois raisons : les experts locaux doivent réunir une documentation importante sur l’objet ; les groupes autochtones ne possèdent pas les infrastructures nécessaires pour conserver l’objet ; les Musées d’État ne sont pas prêts à se départir de ‘leurs’ collections.
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Odoni, Miriam. "Dans les coulisses d’un jury de piano." Cambouis, la revue des sciences sociales aux mains sales, June 1, 2021. http://dx.doi.org/10.52983/crev.vi0.85.

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Abstract:
Cet article propose de discuter du refus et ensuite de l’accès aux délibérations du jury dans les concours internationaux de musique classique. Cet accès m’a été refusé tout au long de ma thèse car le lieu des délibérations est formellement interdit à toute personne externe au jury. Lors des concours, les organisateurs n’aiment pas non plus que les jurés discutent avec d’autres personnes de la compétition en cours. Cette interdiction est même parfois mentionnée dans le règlement. Les organisateurs craignent, dans ces cas, une possibilité d’influence sur les membres du jury. Mes demandes de m’entretenir avec eux en-dehors de la salle de délibération sont restées systématiquement sans réponse. L’investigation de ces jurys constitue ainsi une tâche compliquée. Aucun chercheur n’a jamais été autorisé à accéder à une salle de délibération dans ce contexte. Néanmoins, après huit ans de refus, l’accès aux délibérations du jury m’a finalement été accordé par le directeur d’un concours, ma demande s’insérant dans une activité pédagogique, associant sociologues et musicologues. A travers des extraits de mon journal de terrain, je reviendrai sur les modalités du refus et ensuite de l’accès à ce terrain : l’alliance avec des musicologues, le jeu de rivalités entre concours, leur volonté de démocratisation et leur envie de se singulariser en étant le premier concours à ouvrir le jury à une personne externe. J’inscris également cet accès au terrain dans mon parcours de vie et dans un temps long, l’accès étant dans ce cas soumis au statut de docteure, et dans la transformation à la fois de la chercheuse et de son terrain. L’article revient aussi sur la difficulté de l’enquête dans des lieux soumis au silence et au secret.
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Kleefeld, John C., and Patricia L. Farnese. "Incorporating a Creative Component in First-Year Law." Canadian Journal for the Scholarship of Teaching and Learning 6, no. 2 (2015). http://dx.doi.org/10.5206/cjsotl-rcacea.2015.2.8.

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Abstract:
For some students, law school leads to a perception of legal education as favouring technical proficiency and structural similarity over innovation and creativity, leading to disengagement in learning. To address this, we offered a creative option in two first-year law courses, worth 20% of the grade. Students who chose this option created a diversity of artistic works, including short stories, visual arts, literary criticism, culinary art, music and lyric composition, film, a blog, a video game, and a board game. Some of these works were of startling originality; all engaged in law in unconventional ways. We assessed the work using a rubric with descriptors relating both to artistic merit and legal knowledge or law studies. Later, we surveyed all 30 students who had submitted a creative project. The survey instrument used both open-ended questions and a set of statements that students rated on a 1-5 Likert scale. When asked to rank whether the project positively contributed to their law school experience, the response was overwhelmingly in agreement. The students said that completing a creative project developed their understanding of property or tort law, the two subjects in which the option was offered; that it helped them to develop practical legal skills; and that, for some, it contributed to a sense of belonging and community, thereby assisting with overcoming some of the alienation associated with law school. Based on our experience, we enthusiastically encourage other law schools to try offering a creative option to their students, particularly in first year. Pour certains étudiants, les facultés de droit conduisent à une perception des études légales qui favorise la compétence technique et la similarité structurelle plutôt que l’innovation et la créativité, ce qui a pour résultat un désengagement envers l’apprentissage. Pour répondre à ce problème, nous avons proposé une option de créativité dans deux cours de droit de première année qui comptait pour 20 % de la note finale. Les étudiants qui ont choisi cette option ont créé une diversité de travaux artistiques dans plusieurs domaines : récit, arts visuels, critique littéraire, art culinaire, musique, composition lyrique, film, blogue, jeu vidéo et jeu de société. Certains de ces travaux étaient saisissants d’originalité; tous présentaient des rapports avec le droit de manières inhabituelles. Nous avons évalué les travaux en fonction d’un module d’évaluation comportant un système de descripteurs qui se rapportaient à la fois au mérite artistique et à la connaissance légale ou aux études de droit. Plus tard, nous avons fait un sondage auprès des 30 étudiants qui avaient remis un projet de créativité. L’instrument du sondage comportait des questions ouvertes ainsi qu’un ensemble de déclarations auxquelles les étudiants devaient répondre sur une échelle Likert de 1 à 5. Nous avons demandé aux étudiants si le projet avait contribué de façon positive à leur expérience à la faculté de droit; les réponses ont été massivement en faveur d’un tel projet. Les étudiants ont déclaré que le fait d’avoir complété un projet de créativité avait développé leur compréhension de la législation sur la propriété ou sur le droit de la responsabilité civile, les deux sujets pour lesquels l’option avait été offerte; que le projet les avait aidés à développer des compétences légales pratiques; et que, pour certains, il avait contribué à l’acquisition d’un sens d’appartenance et de communauté en les aidant à surmonter certaines des aliénations associées aux études de droit. Sur la base de notre expérience, nous encourageons avec enthousiasme d’autres facultés de droit à offrir une option de créativité à leurs étudiants, en particulier au cours de la première année d’études.
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