Academic literature on the topic 'Jocelyne est en dépression'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Jocelyne est en dépression.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Jocelyne est en dépression"

1

Willard, M. "Dépression au travail." European Psychiatry 30, S2 (2015): S5. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.025.

Full text
Abstract:
Les problèmes psychosociaux dans le monde de l’entreprise sont de plus en plus fréquents et de plus en plus graves. L’augmentation continue du nombre de suicides au travail, dont les médias se font régulièrement l’écho, en témoigne. La France est l’un des pays les plus touchés. Pourtant, les réponses proposées dans le monde de l’entreprise restent limitées à la gestion du stress, semblant ignorer l’existence de réels troubles de l’humeur d’origine professionnelle. Il est vrai que la plupart des intervenants au sein des entreprises n’ont pas de formation psychiatrique. Il existe d’authentiques dépressions professionnelles qui surviennent suite à des difficultés dans le monde du travail et s’expriment principalement au travail. Ces dépressions représentent la majeure partie des dépenses médicales occasionnées par les problèmes de santé mentale. La dépression des dirigeants d’entreprise, souvent méconnue, est un facteur causal de certaines faillites. La sémiologie est spécifique, les éléments de prise en charge et de prévention primaire, sont très différents de ceux du stress professionnel. De la même façon, le cadre législatif est surprenant. La dépression n’existe pas dans le tableau des maladies professionnelles, et sa reconnaissance hors tableau est difficile, avec en particulier, une absence de présomption d’origine. Au contraire, le suicide est désormais fréquemment reconnu comme accident du travail. Notre intervention, après avoir rappelé la sémiologie spécifique des troubles de l’humeur d’origine professionnelle, fera le point sur les aspects de prévention spécifique et sur les éléments de prise en charge. Nous présenterons, pour conclure, la prise en charge que nous avons mise en place dans un établissement bancaire français.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Andreasen, N. C., W. M. Grove, J. Endicott, et al. "La phénoménologie de la dépression." Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 17s—27s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002613.

Full text
Abstract:
RésuméTandis que certains chercheurs définissent la dépression comme continuum composé d’états bénins et graves reflétant essentiellement la même identité, d’autres pensent que le concept de dépression est, en revanche, hétérogène et constitué d’un groupe de sous-catégories distinctes.Si tel est le cas, identifier ces sous-catégories devient une priorité majeure. De telles sous-catégories doivent être comprises par rapport à leurs mécanismes fondamentaux neuronaux, voire même moléculaires. Toutefois, afin d’effectuer des recherches à ce sujet, il faut toujours commencer par la phénoménologie clinique.Dans les dépressions graves, deux sous-catégories majeures ont été proposées; l’une est la dépression endogène ou mélancolique et l’autre la dépression bipolaire. On a tendance à postuler l’existence d’un mécanisme biogénique fondamental relativement autonome, bien que pas forcément libre d’influences environnementales.Cet article étudie une série de tentatives visant à l’identification des sous-catégories distinctes de dépression. Une approche, utilisée dans une série de travaux, consiste à utiliser des techniques mathématiques telles que l’analyse par grappes, afin d’identifier de façon phénoménologique des sous-catégories similaires dans le spectre de la dépression.Cette approche a identifié d’une façon conséquente un syndrome mélancolique ou endogène. Nos efforts pour valider ce concept de dépression endogène, par exemple la recherche d’antécédents familiaux, ont eu moins de succès.Une autre méthode pour sous-catégoriser la dépression souligne que la sous-catégorie bipolaire représente une lorme distincte d’une dépression grave provoquée d’une façon endogène. Nous avons examiné la phénoménologie de la dépression bipolaire versus la dépression unipolaire et nous avons trouvé qu’il y a un certain nombre de caractéristiques qui différencient significativement la première de la dernière. Il est donc fort possible que la dépression endogène et la dépression bipolaire soient deux phénomènes distincts.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Bertschy, G. "La dépression mixte." European Psychiatry 30, S2 (2015): S4. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.022.

Full text
Abstract:
La dépression mixte correspond à un syndrome dépressif avec des éléments d’activation psychomotrice de la lignée hypomaniaque. Cette situation pathologique reste mal connue des cliniciens alors qu’elle est présente chez 10 à 20 % des patients dépressifs. Sa faible reconnaissance a été probablement liée à l’absence de ce concept dans les classifications internationales. Le DSM-5 a proposé une refonte de la définition des états mixtes, dépassant une conception particulièrement restrictive dans le DSM-IV. Des « caractéristiques mixtes » peuvent servir de spécificateur pour un épisode de trouble de l’humeur, dépressif ou maniaque. La dépression avec caractéristique mixte est définie par la présence de trois symptômes de la lignée maniaque associée à la dépression, hors agitation, distractibilité ou irritabilité. L’approche proposée par le DSM-5 manque de cohérence clinique et est finalement assez difficile à appliquer. Surtout elle ne permet pas d’identifier la majorité des dépressions mixtes. En effet les formes les plus fréquentes bien décrites dans les travaux de Koukopoulos ou Bennazzi se caractérisent par des symptômes hypomanes peu spécifiques comme l’irritabilité et l’agitation psychomotrice (ou parfois surtout l’absence de ralentissement psychomoteur) et des symptômes hypomanes limités à l’activation psychique qui s’exprime notamment à travers la tachypsychie subjective (avec des caractéristiques phénoménologiques différentes de celle de l’hypomanie) et la pression du discours. Les patients avec une dépression mixte sont particulièrement à risque de conduites suicidaires, d’abus de substances mais surtout de résistance thérapeutique car, même si on manque d’essais cliniques à leur sujet, ces patients non seulement nécessitent la prescription de thymorégulateurs mais aussi le plus souvent un arrêt des antidépresseurs qui ont souvent induit le caractère mixte de la dépression.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Singer, L. "Dépression, délire, psychose." Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 45s—51s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002649.

Full text
Abstract:
RésuméLors du Congrès de 1986 de l’Association Européenne de Psychiatrie, Pierre Pichot dans son rapport sur les «Voies nouvelles de la classification des états dépressifs» a posé le problème de l’autonomie des dépressions délirantes. Si l’on compare le DSM III-R au DSM III et la version provisoire de la CIM 10 à la CIM 9, on relève des changements importants: la dichotomie dépression psychotique-endogène/névrotique-psychogène-réaetionnelle disparaît, ce qui fut d’ailleurs déjà le cas dans le DSM III, mais surtout le délire dans la dépression devient un indice de gravité et ne situe plus cette forme dans une classe indépendante.A vrai dire la clinique avait déjà montré la nécessité de la suppression de la dichotomie psychotique/névrotique, les critères de différenciation diagnostiques s’étant révélés non fiables, variant suivant les écoles et les psychiatres et la clinique ne permettant pas de dissocier les diverses formes. Pas plus ne peut être maintenu, malgré l’opinion encore en cours chez de nombreux psychiatres, le rapport entre une personnalité déterminée comme le « Typus melanchoticus» de Tellenbach et la dépression délirante. Les recherches actuelles montrent en effet qu’il n’existe Pas de corrélation entre la personnalité et la dépression délirante. Le délire dans la dépression apparaît comme un indice de gravité et un mécanisme psychopathologique de défense contre l’angoisse de mort et la culpabilité. Le délire est une forme de pensée qui peut apparaître chez des individus et des groupes sous la pression de panique ou de stress ou de tensions extrêmes. Cette forme de pensée est fréquente dans certaines cultures où elle peut coexister avec la pensée logique. Dans la dépression le délire est transitoire. L’intégration du fait du délire de la dépression délirante dans la psychose dont les caractéristiques restent pour beaucoup le clivage du réel ne peut être maintenue. Le concept même de psychose doit à l’heure actuelle être contesté du fait de son ambiguité et du flou de sa définition qui varie d’une école et d’une théorie à l’autre. Il n’est plus d’actualité de maintenir la dépression délirante dans la catégorie des psychoses fontionnelles affectives, la différenciation entre psychoses affectives et non affectives devant être remise en cause. Cette façon de voir implique l’unicité de la maladie dépressive, ce qui n’exclut pas I existence de causes multiples. Il est vrai que tant que nous ne connaîtrons pas de façon plus précise l’étiologie et les mécanismes pathologiques, le débat restera ouvert.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Corruble, E. "Deuil et dépression." European Psychiatry 28, S2 (2013): 41. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.104.

Full text
Abstract:
Au-delà des dogmes anciens posant que le deuil devait être « respecté » et des données cliniques classiques permettant de discriminer deuil et épisode dépressif, la question est aujourd’hui posée de savoir quel curseur choisir pour porter le diagnostic d’épisode dépressif chez les endeuillés ? En effet, bien que les deuils soient des événements de vie inhérents à la vie de tout sujet, et le plus souvent sans interaction avec les épisodes dépressifs, les deuils sont toutefois parmi les évènements de vie le plus souvent associés à des épisodes dépressifs. Cette question du choix du curseur pour porter le diagnostic d’épisode dépressif chez les endeuillés est importante, puisqu’elle va déterminer la nature de la prise en charge à proposer ou non aux endeuillés. Cette question est par ailleurs d’actualité avec la nouvelle critériologie américaine DSM-5. En effet, la définition de l’épisode dépressif majeur du DSM-IV comportait un critère d’exclusion lié au deuil, critère hérité de la culture psychanalytique. Ce critère d’exclusion avait pour objectif de discriminer des sujets présentant une symptomatologie dépressive modérée liée au deuil, de façon à ne pas les prendre en charge prématurément comme des patients déprimés. Dans trois études françaises différentes, nous avons étudié la validité discriminante de ce critère d’exclusion lié au deuil. Nos résultats ont montré une validité discriminante médiocre de ce critère d’exclusion en pratique quotidienne. Et, après de nombreux débats, il a été décidé de supprimer ce critère d’exclusion lié au deuil pour la définition de l’épisode dépressif majeur dans le DSM-5. Le développement par le NIMH d’importants programmes de recherche consacrés au deuil dans toutes ses composantes devrait permettre d’une part de mieux comprendre la physiopathologie du deuil et ses liens avec la dépression et d’autre part de mieux soigner les sujets endeuillés souffrant d’épisodes dépressifs.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Schuster, J. P. "Dépression et maladie de Parkinson." European Psychiatry 29, S3 (2014): 577–78. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.274.

Full text
Abstract:
La maladie de Parkinson a longtemps été considérée comme un trouble neurodégénératif d’expression motrice pure. Il est à ce jour établi que la triade symptomatique « hypertonie extrapyramidale-tremblement- akinésie » ne peut résumer la complexité du trouble. Parmi les troubles psychiatriques comorbides à la maladie de Parkinson, la dépression est probablement la plus importante en termes de fréquence et d’impact. La prévalence de la dépression est particulièrement élevée, estimée à environ 40 %. Les symptômes dépressifs peuvent être évidents et même précéder les troubles moteurs de la maladie, cependant, le diagnostic d’épisode dépressif est le plus souvent complexe, en raison d’un chevauchement symptomatique des deux troubles. Pouvant inaugurer la maladie de Parkinson ou survenir plus tardivement, la dépression a un retentissement majeur sur l’autonomie fonctionnelle et la qualité de vie des patients. Il existe par ailleurs un lien entre dépression et troubles cognitifs chez les sujets atteints de maladie de Parkinson. La prise en charge de l’épisode dépressif majeur chez un patient présentant une maladie de Parkinson ne fait pas l’objet de recommandation. Les essais cliniques randomisés réalisés sont, à ce jour, trop peu nombreux et les résultats très hétérogènes. La dépression comorbide à la maladie de Parkinson de part sa fréquence et son impact, nécessite un repérage et une prise en charge spécifique et précoce.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

McCusker, Jane, Mark Yaffe, Tamara Sussman, et al. "La gestion de la dépression chez les aînés et leurs aidants naturels : résultats d’un programme de recherche au Québec." Santé mentale au Québec 42, no. 1 (2017): 273–88. http://dx.doi.org/10.7202/1040254ar.

Full text
Abstract:
La dépression est un problème répandu, sérieux, et souvent chronique chez les aînés, qui sont souvent atteints de maladies physiques chroniques, et affecte de façon négative leurs traitements et leurs soins. Malheureusement, le taux de détection et de suivi adéquat de la dépression est faible dans cette population. Au cours des deux dernières décennies, notre équipe a mené une série d’études pour mieux comprendre et améliorer la gestion de la dépression chez les aînés. Nous présentons une revue narrative et synthèse de 25 articles qui incluent : 4 revues systématiques, 10 études observationnelles, 9 essais d’interventions, et 2 conférences de consensus. Nous proposons en conclusion nos recommandations pour 1) la détection de la dépression dans les soins de santé primaires ; 2) les soins collaboratifs de la dépression ; 3) des interventions d’autogestion de la dépression ; 4) le rôle des aidants naturels dans les interventions d’autogestion de la dépression.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Douville, Olivier. "Catherine Lutz, La dépression est-elle universelle ?" Che vuoi ? 23, no. 1 (2005): 201. http://dx.doi.org/10.3917/chev.023.0201.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Lézé, Samuel. "Catherine Lutz, La Dépression est-elle universelle ?" L'Homme, no. 180 (December 1, 2006): 253–54. http://dx.doi.org/10.4000/lhomme.2590.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Haffen, Emmanuel. "La dépression est-elle une pathologie inflammatoire ?" Revue Neurologique 171 (April 2015): A175. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2015.01.396.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography