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1

Willard, M. "Dépression au travail." European Psychiatry 30, S2 (2015): S5. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.025.

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Abstract:
Les problèmes psychosociaux dans le monde de l’entreprise sont de plus en plus fréquents et de plus en plus graves. L’augmentation continue du nombre de suicides au travail, dont les médias se font régulièrement l’écho, en témoigne. La France est l’un des pays les plus touchés. Pourtant, les réponses proposées dans le monde de l’entreprise restent limitées à la gestion du stress, semblant ignorer l’existence de réels troubles de l’humeur d’origine professionnelle. Il est vrai que la plupart des intervenants au sein des entreprises n’ont pas de formation psychiatrique. Il existe d’authentiques dépressions professionnelles qui surviennent suite à des difficultés dans le monde du travail et s’expriment principalement au travail. Ces dépressions représentent la majeure partie des dépenses médicales occasionnées par les problèmes de santé mentale. La dépression des dirigeants d’entreprise, souvent méconnue, est un facteur causal de certaines faillites. La sémiologie est spécifique, les éléments de prise en charge et de prévention primaire, sont très différents de ceux du stress professionnel. De la même façon, le cadre législatif est surprenant. La dépression n’existe pas dans le tableau des maladies professionnelles, et sa reconnaissance hors tableau est difficile, avec en particulier, une absence de présomption d’origine. Au contraire, le suicide est désormais fréquemment reconnu comme accident du travail. Notre intervention, après avoir rappelé la sémiologie spécifique des troubles de l’humeur d’origine professionnelle, fera le point sur les aspects de prévention spécifique et sur les éléments de prise en charge. Nous présenterons, pour conclure, la prise en charge que nous avons mise en place dans un établissement bancaire français.
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2

Andreasen, N. C., W. M. Grove, J. Endicott, et al. "La phénoménologie de la dépression." Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 17s—27s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002613.

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Abstract:
RésuméTandis que certains chercheurs définissent la dépression comme continuum composé d’états bénins et graves reflétant essentiellement la même identité, d’autres pensent que le concept de dépression est, en revanche, hétérogène et constitué d’un groupe de sous-catégories distinctes.Si tel est le cas, identifier ces sous-catégories devient une priorité majeure. De telles sous-catégories doivent être comprises par rapport à leurs mécanismes fondamentaux neuronaux, voire même moléculaires. Toutefois, afin d’effectuer des recherches à ce sujet, il faut toujours commencer par la phénoménologie clinique.Dans les dépressions graves, deux sous-catégories majeures ont été proposées; l’une est la dépression endogène ou mélancolique et l’autre la dépression bipolaire. On a tendance à postuler l’existence d’un mécanisme biogénique fondamental relativement autonome, bien que pas forcément libre d’influences environnementales.Cet article étudie une série de tentatives visant à l’identification des sous-catégories distinctes de dépression. Une approche, utilisée dans une série de travaux, consiste à utiliser des techniques mathématiques telles que l’analyse par grappes, afin d’identifier de façon phénoménologique des sous-catégories similaires dans le spectre de la dépression.Cette approche a identifié d’une façon conséquente un syndrome mélancolique ou endogène. Nos efforts pour valider ce concept de dépression endogène, par exemple la recherche d’antécédents familiaux, ont eu moins de succès.Une autre méthode pour sous-catégoriser la dépression souligne que la sous-catégorie bipolaire représente une lorme distincte d’une dépression grave provoquée d’une façon endogène. Nous avons examiné la phénoménologie de la dépression bipolaire versus la dépression unipolaire et nous avons trouvé qu’il y a un certain nombre de caractéristiques qui différencient significativement la première de la dernière. Il est donc fort possible que la dépression endogène et la dépression bipolaire soient deux phénomènes distincts.
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Bertschy, G. "La dépression mixte." European Psychiatry 30, S2 (2015): S4. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.022.

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Abstract:
La dépression mixte correspond à un syndrome dépressif avec des éléments d’activation psychomotrice de la lignée hypomaniaque. Cette situation pathologique reste mal connue des cliniciens alors qu’elle est présente chez 10 à 20 % des patients dépressifs. Sa faible reconnaissance a été probablement liée à l’absence de ce concept dans les classifications internationales. Le DSM-5 a proposé une refonte de la définition des états mixtes, dépassant une conception particulièrement restrictive dans le DSM-IV. Des « caractéristiques mixtes » peuvent servir de spécificateur pour un épisode de trouble de l’humeur, dépressif ou maniaque. La dépression avec caractéristique mixte est définie par la présence de trois symptômes de la lignée maniaque associée à la dépression, hors agitation, distractibilité ou irritabilité. L’approche proposée par le DSM-5 manque de cohérence clinique et est finalement assez difficile à appliquer. Surtout elle ne permet pas d’identifier la majorité des dépressions mixtes. En effet les formes les plus fréquentes bien décrites dans les travaux de Koukopoulos ou Bennazzi se caractérisent par des symptômes hypomanes peu spécifiques comme l’irritabilité et l’agitation psychomotrice (ou parfois surtout l’absence de ralentissement psychomoteur) et des symptômes hypomanes limités à l’activation psychique qui s’exprime notamment à travers la tachypsychie subjective (avec des caractéristiques phénoménologiques différentes de celle de l’hypomanie) et la pression du discours. Les patients avec une dépression mixte sont particulièrement à risque de conduites suicidaires, d’abus de substances mais surtout de résistance thérapeutique car, même si on manque d’essais cliniques à leur sujet, ces patients non seulement nécessitent la prescription de thymorégulateurs mais aussi le plus souvent un arrêt des antidépresseurs qui ont souvent induit le caractère mixte de la dépression.
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Singer, L. "Dépression, délire, psychose." Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 45s—51s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002649.

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Abstract:
RésuméLors du Congrès de 1986 de l’Association Européenne de Psychiatrie, Pierre Pichot dans son rapport sur les «Voies nouvelles de la classification des états dépressifs» a posé le problème de l’autonomie des dépressions délirantes. Si l’on compare le DSM III-R au DSM III et la version provisoire de la CIM 10 à la CIM 9, on relève des changements importants: la dichotomie dépression psychotique-endogène/névrotique-psychogène-réaetionnelle disparaît, ce qui fut d’ailleurs déjà le cas dans le DSM III, mais surtout le délire dans la dépression devient un indice de gravité et ne situe plus cette forme dans une classe indépendante.A vrai dire la clinique avait déjà montré la nécessité de la suppression de la dichotomie psychotique/névrotique, les critères de différenciation diagnostiques s’étant révélés non fiables, variant suivant les écoles et les psychiatres et la clinique ne permettant pas de dissocier les diverses formes. Pas plus ne peut être maintenu, malgré l’opinion encore en cours chez de nombreux psychiatres, le rapport entre une personnalité déterminée comme le « Typus melanchoticus» de Tellenbach et la dépression délirante. Les recherches actuelles montrent en effet qu’il n’existe Pas de corrélation entre la personnalité et la dépression délirante. Le délire dans la dépression apparaît comme un indice de gravité et un mécanisme psychopathologique de défense contre l’angoisse de mort et la culpabilité. Le délire est une forme de pensée qui peut apparaître chez des individus et des groupes sous la pression de panique ou de stress ou de tensions extrêmes. Cette forme de pensée est fréquente dans certaines cultures où elle peut coexister avec la pensée logique. Dans la dépression le délire est transitoire. L’intégration du fait du délire de la dépression délirante dans la psychose dont les caractéristiques restent pour beaucoup le clivage du réel ne peut être maintenue. Le concept même de psychose doit à l’heure actuelle être contesté du fait de son ambiguité et du flou de sa définition qui varie d’une école et d’une théorie à l’autre. Il n’est plus d’actualité de maintenir la dépression délirante dans la catégorie des psychoses fontionnelles affectives, la différenciation entre psychoses affectives et non affectives devant être remise en cause. Cette façon de voir implique l’unicité de la maladie dépressive, ce qui n’exclut pas I existence de causes multiples. Il est vrai que tant que nous ne connaîtrons pas de façon plus précise l’étiologie et les mécanismes pathologiques, le débat restera ouvert.
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Corruble, E. "Deuil et dépression." European Psychiatry 28, S2 (2013): 41. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.104.

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Abstract:
Au-delà des dogmes anciens posant que le deuil devait être « respecté » et des données cliniques classiques permettant de discriminer deuil et épisode dépressif, la question est aujourd’hui posée de savoir quel curseur choisir pour porter le diagnostic d’épisode dépressif chez les endeuillés ? En effet, bien que les deuils soient des événements de vie inhérents à la vie de tout sujet, et le plus souvent sans interaction avec les épisodes dépressifs, les deuils sont toutefois parmi les évènements de vie le plus souvent associés à des épisodes dépressifs. Cette question du choix du curseur pour porter le diagnostic d’épisode dépressif chez les endeuillés est importante, puisqu’elle va déterminer la nature de la prise en charge à proposer ou non aux endeuillés. Cette question est par ailleurs d’actualité avec la nouvelle critériologie américaine DSM-5. En effet, la définition de l’épisode dépressif majeur du DSM-IV comportait un critère d’exclusion lié au deuil, critère hérité de la culture psychanalytique. Ce critère d’exclusion avait pour objectif de discriminer des sujets présentant une symptomatologie dépressive modérée liée au deuil, de façon à ne pas les prendre en charge prématurément comme des patients déprimés. Dans trois études françaises différentes, nous avons étudié la validité discriminante de ce critère d’exclusion lié au deuil. Nos résultats ont montré une validité discriminante médiocre de ce critère d’exclusion en pratique quotidienne. Et, après de nombreux débats, il a été décidé de supprimer ce critère d’exclusion lié au deuil pour la définition de l’épisode dépressif majeur dans le DSM-5. Le développement par le NIMH d’importants programmes de recherche consacrés au deuil dans toutes ses composantes devrait permettre d’une part de mieux comprendre la physiopathologie du deuil et ses liens avec la dépression et d’autre part de mieux soigner les sujets endeuillés souffrant d’épisodes dépressifs.
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Schuster, J. P. "Dépression et maladie de Parkinson." European Psychiatry 29, S3 (2014): 577–78. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.274.

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Abstract:
La maladie de Parkinson a longtemps été considérée comme un trouble neurodégénératif d’expression motrice pure. Il est à ce jour établi que la triade symptomatique « hypertonie extrapyramidale-tremblement- akinésie » ne peut résumer la complexité du trouble. Parmi les troubles psychiatriques comorbides à la maladie de Parkinson, la dépression est probablement la plus importante en termes de fréquence et d’impact. La prévalence de la dépression est particulièrement élevée, estimée à environ 40 %. Les symptômes dépressifs peuvent être évidents et même précéder les troubles moteurs de la maladie, cependant, le diagnostic d’épisode dépressif est le plus souvent complexe, en raison d’un chevauchement symptomatique des deux troubles. Pouvant inaugurer la maladie de Parkinson ou survenir plus tardivement, la dépression a un retentissement majeur sur l’autonomie fonctionnelle et la qualité de vie des patients. Il existe par ailleurs un lien entre dépression et troubles cognitifs chez les sujets atteints de maladie de Parkinson. La prise en charge de l’épisode dépressif majeur chez un patient présentant une maladie de Parkinson ne fait pas l’objet de recommandation. Les essais cliniques randomisés réalisés sont, à ce jour, trop peu nombreux et les résultats très hétérogènes. La dépression comorbide à la maladie de Parkinson de part sa fréquence et son impact, nécessite un repérage et une prise en charge spécifique et précoce.
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McCusker, Jane, Mark Yaffe, Tamara Sussman, et al. "La gestion de la dépression chez les aînés et leurs aidants naturels : résultats d’un programme de recherche au Québec." Santé mentale au Québec 42, no. 1 (2017): 273–88. http://dx.doi.org/10.7202/1040254ar.

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Abstract:
La dépression est un problème répandu, sérieux, et souvent chronique chez les aînés, qui sont souvent atteints de maladies physiques chroniques, et affecte de façon négative leurs traitements et leurs soins. Malheureusement, le taux de détection et de suivi adéquat de la dépression est faible dans cette population. Au cours des deux dernières décennies, notre équipe a mené une série d’études pour mieux comprendre et améliorer la gestion de la dépression chez les aînés. Nous présentons une revue narrative et synthèse de 25 articles qui incluent : 4 revues systématiques, 10 études observationnelles, 9 essais d’interventions, et 2 conférences de consensus. Nous proposons en conclusion nos recommandations pour 1) la détection de la dépression dans les soins de santé primaires ; 2) les soins collaboratifs de la dépression ; 3) des interventions d’autogestion de la dépression ; 4) le rôle des aidants naturels dans les interventions d’autogestion de la dépression.
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Douville, Olivier. "Catherine Lutz, La dépression est-elle universelle ?" Che vuoi ? 23, no. 1 (2005): 201. http://dx.doi.org/10.3917/chev.023.0201.

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Lézé, Samuel. "Catherine Lutz, La Dépression est-elle universelle ?" L'Homme, no. 180 (December 1, 2006): 253–54. http://dx.doi.org/10.4000/lhomme.2590.

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Haffen, Emmanuel. "La dépression est-elle une pathologie inflammatoire ?" Revue Neurologique 171 (April 2015): A175. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2015.01.396.

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Bubrovszky, M. "Traitements médicamenteux et risque de dépression." European Psychiatry 29, S3 (2014): 664–65. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.054.

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Abstract:
Les facteurs de résistance d’un épisode dépressif sont nombreux. L’enjeu de l’évaluation structurée est de pouvoir les identifier, d’apprécier leur imputabilité dans la constitution du trouble lui-même ou de son caractère résistant. Il est considéré que certains traitements médicamenteux peuvent induire un épisode dépressif, voire conduire à la résistance thérapeutique [1]. Une intervention sur ces polymédications – souvent nombreuses – s’avère alors être une démarche pertinente.Afin de formaliser ces évaluations, nous proposons de croiser les informations de la littérature avec les données officielles disponibles pour les différents produits considérés comme dépressogènes. Nous établissons ici une procédure d’évaluation incluant les conduites à tenir de première ligne pour les molécules d’usage fréquent dont l’imputabilité est forte et/ou la substitution simple (certains antiépileptiques par exemple) [2]. Une évaluation plus exhaustive est proposée pour les situations de résistances complexes où la discussion devra être plus spécifiquement posée pour chaque patient [3].En effet, les éléments méthodologiques sont cruciaux, se devant d’être impérativement pris en considération pour la discussion clinique. Le recueil des informations cliniques et diagnostiques sur le plan psychiatrique est souvent de mauvaise qualité. L’imputabilité, comme souvent pour les données de pharmacovigilance, est parfois difficile à préciser. Enfin, il s’agit de situations cliniques généralement complexes et relativement fréquentes où la comorbité somatique et son traitement sont tous deux susceptibles d’induire la survenue d’un épisode dépressif majeur, favoriser la persistance des manifestations et leur résistance au traitement pharmacologique entrepris.Au total, en dehors de quelques situations simples, il convient d’amener les éléments d’une discussion thérapeutique individualisée prenant en compte l’intensité, le retentissement et le niveau de résistance, d’une part, et, d’autre part, l’imputabilité des molécules (sur le plan individuel et au vu des données de la littérature) et les alternatives thérapeutiques aujourd’hui disponibles et adaptées au contexte clinique.
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Anguenot, A., P. Y. Loll, J. P. Neau, P. Ingrand, and R. Gil. "Depression et Maladie de Parkinson: étude d’une série de 135 parkinsoniens." Canadian Journal of Neurological Sciences / Journal Canadien des Sciences Neurologiques 29, no. 2 (2002): 139–46. http://dx.doi.org/10.1017/s0317167100120906.

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Abstract:
Résumé:Objective:La fréquence de la dépression au cours de la maladie de Parkinson (MP) conduit à s’interroger sur les difficultés du diagnostic et sur les liens entre la dépression et l’histoire naturelle de la maladie.Méthodes:Une série consécutive de 135 sujets atteints d’une MPidiopathique a été examinée sur le plan psychiatrique (DSM-III-R, échelle de dépression de Goldberg), neurologique (en distinguant les signes “axiaux” des autres signes parkinsoniens), neuropsychologique ( et en particulier tests frontaux).Résultats:Plus de la moitié des sujets ont une dépression qui apparaît plus fréquente dans les formes akinétiques et les formes fluctuantes de la maladie. Les sujets déprimés n’ont pas de déficit cognitif plus marqué mais leurs scores aux tests frontaux sont plus élevés. En outre les signes axiaux de la maladie (instabilité posturale, rigidité axiale) sont plus marqués chez les parkinsoniens déprimés, suggérant un lien entre la dépression et les lésions non dopaminergiques de la maladie. Alors que le ralentissement, les troubles de l’appétit et du sommeil, la fatigue peuvent être observés même chez des parkinsoniens non dépressifs, la séparation de la population parkinsonienne en plusieurs groupes montre que certains symptômes ne sont jamais rencontrés chez les parkinsoniens non dépressifs: il en est ainsi apparu que “l’impression que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue”, “la perte d’espoir pour l’avenir”, “l’impression de ne pas être à la hauteur, de ne rien faire de bien”, “la baisse d’énergie”, “la tristesse matinale” caractérisent la dépression parkinsonienne. La dépression parkinsonienne revêt deux grandes formes cliniques. La première est la plus riche en manifestations somatiques: troubles du sommeil, fatigue matinale; elle correspond aux dépressions les plus sévères avec une absence d’espoir pour l’avenir , une perte de confiance en soi. La seconde est pauvre en manifestations somatiques alors que l’apathie y est très fréquente ainsi que le ralentissement.Conclusions:Cette étude permet ainsi de préciser les symptômes de la dépression parkinsonienne qui doit être mieux reconnue pour être plus souvent traitée. Les liens entre la dépression et les signes axiaux de la maladie expliquent sans doute pourquoi la L-dopa et les agonistes dopaminergiques améliorent les signes moteurs de la dépression sans agir le plus souvent sur les manifestations dépressives.
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Cantin, Louise, and Guy Daoust. "Les déprimés anonymes." Santé mentale au Québec 6, no. 2 (2006): 180–82. http://dx.doi.org/10.7202/030117ar.

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Abstract:
Les déprimés anonymes est une association en existence depuis seulement trois ans. Le premier objectif de cette organisation est d’aider les personnes déprimées en les rassemblant une fois semaine dans un petit groupe dirigé par un animateur. Le rôle de l’animateur est d’encourager le dialogue parmi les participants en vue de les aider à explorer chaque facette de la dépression, de sorte qu’ils puissent comprendre d’où elle vient et pourquoi elle demeure. Partager l’expérience de chacun est une bonne façon d’aider chacun à se sortir de la dépression. L’association est non professionnelle. Une douzaine de groupes semblables existent déjà au Québec mais aucune de langue anglaise encore.
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Robin, Didier. "La dépression est la vérité inversée du désir." Cahiers de psychologie clinique 24, no. 1 (2005): 63. http://dx.doi.org/10.3917/cpc.024.063.

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Bech, P. "Dimensions de la dépression : modèles statistiques pour l’évaluation des troubles affectifs." Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 37s—44s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002637.

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Abstract:
RésuméDans cette étude, les dimensions de la dépression ont été analysées par rapport aux états dépressifs non bipolaires. Les états d’anxiété dans ce domaine ont été considérés comme des formes peu sévères de dépression au niveau phénoménologique. La dimension de l’anhédonie a été considérée comme liée aux troubles schizoaffectifs.Le concept clinique de la mélancolie a été utilisé pour inclure ces états unipolaires de la dépression. Ce concept comprend et la dimension de sévérité et les types diagnostiques de la dépression. Le principe d’organisation des désordres mentaux utilisé dans le manuel du DSM III implique que la «phénoménologie partagée» précède l’étiologie psychologique dans le cadre des désordres affectifs.Certains auteurs soutiennent que le moyen le plus efficace de tester la «phénoménologie partagée» est de démontrer l’existence d’une relation additive entre indices et symptômes. Le modèle de Rasch consiste en une théorie générale de la relation statistique entre les dimensions cliniques et les échelles d’évaluation de la dépression.Moyennant l’usage des analyses de Rasch, on a démontré que notre échelle de la mélancolie mesure une dimension de la sévérité de la dépression. De plus, notre échelle diagnostique de la mélancolie, qui a été élaborée à partir des 2 échelles de Newcastle (pour la dépression endogène versus la dépression réactionnelle (névrotique), mesure ces deux dimensions diagnostiques. Des résultats préliminaires obtenus avec l’échelle de diagnostic de la mélancolie ont démontré que chez des patients classifiés comme ayant une dépression endogène «pure» la courbe d’amélioration dans le temps est plus importante que chez des patients classifiés comme ayant une dépression réactive «pure» ou une association de dépression endogène et de dépression réactionnelle.
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Ionita, A. "Différentes dimensions de la vulnérabilité psychique du sujet âgé." European Psychiatry 29, S3 (2014): 576. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.270.

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Abstract:
La transition vers le grand âge s’accompagne des modifications neurobiologiques, physiques, psychologiques et environnementales augmentant le risque de décompensation psychiatrique. Cette vulnérabilité psychique du sujet âgé intègre des dimensions multiples endophénotypiques (génétiques, épigénétiques), diachroniques (traumas précoces, expériences de vie passées) et synchroniques (facteurs de stress actuels liés à la transition vers le grand âge). Les troubles psychiatriques, sous diagnostiqués dans ce groupe d’âge sont représentés notamment par la dépression, suivie des troubles anxieux, abus de substance et suicide. Un des mécanismes neurobiologiques impliqué dans cette vulnérabilité psychique du sujet âgé est la perturbation de l’axe du stress (hypothalamo-hypophyso-surrénalien) [1]. Deux profiles sont retrouvés dans la dépression chez la personne âgée : une hypercortisolemie urinaire, marquer de vulnérabilité à la dépression a tout âge et l’hypocortisolemie urinaire retrouvée chez des personnes âgées déprimés avec plus de fragilités physiques [2]. L’ hypercortisolémie sérique est une cause possible d’atrophie hippocampique secondaire, la dépression du sujet âgé représentant ainsi un facteur de risque important d’une démence ultérieure [3]. La relation dépression tardive/démence est probablement bidirectionnelle, la physiopathologie de la maladie Alzheimer pouvant induire une atrophie hippocampique, les symptômes dépressifs représentent alors un prodrome du processus neurodégénératif.La dépression représente le trouble psychiatrique le plus fortement associé aux conduites suicidaires chez la personne âgée (60–90 % des cas). La vulnérabilité suicidaire chez le sujet âgé semble avoir comme mécanismes étiopathogénique spécifique le vieillissement pathologique [4]. L’atrophie cérébrale au cours du vieillissement affecte les circuits connectant le cortex frontal aux noyaux gris centraux qui jouent un rôle important dans la régulation des comportements, des émotions et des fonctions cognitives complexes.Détecter la vulnérabilité psychique chez le sujet âgé est particulièrement pertinent dans une démarche de screening des patients à risque pour lesquels des mesures thérapeutiques spécifiques doivent être proposées.
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Bobolakis, I., and I. Secret. "Désespoir et dépression chez les suicidants." Psychiatry and Psychobiology 5, no. 6 (1990): 343–48. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x0000359x.

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Abstract:
RésuméSelon la théorie cognitive de Beck, le désespoir est un meilleur indicateur de l'intention suicidaire que la dépression. Une revue de la littérature concernant la présence de ces deux variables chez les patients ayant tenté de se suicider, est présentée. Quinze patients déprimés hospitalisés et 15 patients ayant fait des tentatives de suicide ont été étudiés. L’échelle de désespoir et l’échelle de dépression de Beck (BDI) ont été utilisées. La comparaison des scores de dépression ne montre pas de différence significative dans les deux populations. En revanche, la population des patients déprimés présente un score plus élevé à l’échelle de désespoir et cela d’une façon significative. Les implications théoriques et pratiques des résultats sont discutées.
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Lejoyeux, Michel, and Hélène Cardot. "Alcoolisme, anxiété et dépression." Santé mentale au Québec 26, no. 2 (2007): 47–61. http://dx.doi.org/10.7202/014525ar.

Full text
Abstract:
Résumé Dans cet article, les auteurs examinent les liens entre l'alcoolisme et les troubles psychiatriques. Ils estiment que la dépendance à l'alcool est rarement une pathologie qui survient de manière isolée. Les recherches nord-américaines menées en population générale (Epidemiological Catchment Area (ECA), National Comorbidity Study) ont confirmé l'association fréquente des troubles psychiatriques et des conduites alcooliques (Regier et al., 1990). Les auteurs concluent que la dépression et l'anxiété sont les deux principales comorbidités psychiatriques de l'alcoolisme. Ils suggèrent que le traitement de l'anxiété et de la dépression soit intégré à celui de l'alcoolisme.
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Jalenques, I., C. Lemogne, A. Consoli, and E. Haffen. "SMP – Diagnostic et traitement personnalisés des dépressions : enjeux et perspectives d’avenir." European Psychiatry 30, S2 (2015): S81. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.362.

Full text
Abstract:
La dépression unipolaire chez l’adulte est une maladie hétérogène, en raison de la multiplicité des causes et des mécanismes physiopathologiques vraisemblablement impliqués. La résistance thérapeutique est sans doute liée au défaut de mise en évidence de sous-groupes distincts qui nécessiteraient une prise en charge spécifique. Un diagnostic et un programme thérapeutique optimisés pour chaque patient constituent donc un enjeu majeur. La dépression entretient des relations réciproques avec les pathologies somatiques qui peuvent induire des états dépressifs par des mécanismes directs en raison d’une physiopathologie partagée (par exemple inflammatoire) ou indirects, en raison de leur retentissement fonctionnel ou des représentations qui leur sont attachées. Outre les difficultés diagnostiques liées à la comorbidité, une meilleure connaissance de ces mécanismes permet de personnaliser au mieux la prise en charge de la dépression. D’autre part, les états dépressifs sont des marqueurs de risque et de mauvais pronostic de nombreuses affections somatiques, notamment cardiovasculaires : l’élucidation progressive de ces mécanismes est la condition d’une prise en charge efficiente visant à réduire l’impact de la dépression sur le risque ou le pronostic de l’affection somatique. Ces relations réciproques seront illustrées au travers des exemples du cancer et de la maladie coronarienne [1],[2]. La dépression chez l’adolescent peut se présenter différemment de celle de l’adulte, d’autant plus que le sujet est jeune. Les risques évolutifs concernent essentiellement le risque suicidaire, l’abus de substance, une forte morbidité en termes d’adaptation psychosociale et un risque de récurrence. Il est donc primordial de savoir dépister un épisode dépressif caractérisé chez l’adolescent pour bien le prendre en charge, sachant faire la distinction avec des mouvements dépressifs inhérents au processus d’adolescence. Les traitements psychothérapeutiques restent le traitement de première intention chez ces adolescents, même si certains ISRS semblent avoir une action psychotrope efficace [3], [4].
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Marcotte, Diane, Laurier Fortin, Égide Royer, Pierre Potvin, and Danielle Leclerc. "L’influence du style parental, de la dépression et des troubles du comportement sur le risque d’abandon scolaire." Articles 27, no. 3 (2005): 687–712. http://dx.doi.org/10.7202/009970ar.

Full text
Abstract:
Résumé Dans cette étude, l’association entre les dimensions du style parental démocratique et la présence de symptômes de dépression et de troubles du comportement est examinée chez des adolescents de milieu scolaire en regard du sexe. Ensuite, l’association entre ces problématiques et le risque d’abandon scolaire est évaluée. Un échantillon de 761 élèves, âgés de 11 à 15 ans de trois régions du Québec, ont complété les mesures lors de cours ordinaires. Les résultats confirment que la dépression caractérise davantage les filles alors que les troubles du comportement sont davantage présents chez les garçons. Même s’il est lié à ces deux problématiques, le risque d’abandon scolaire se rattache plus aux symptômes de dépression que les troubles du comportement. Le faible engagement parental prédit la présence de symptômes dépressifs, alors qu’un faible encouragement à l’autonomie et un faible engagement parental prédisent les troubles du comportement chez les garçons.
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Guyodo, J., D. Ducasse, E. Olié, M. Seneque, M. C. Picot, and R. Schwan. "ENVIE : le premier programme français de psychoéducation dans la dépression unipolaire." European Psychiatry 30, S2 (2015): S37—S38. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.108.

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Abstract:
ContexteL’épisode dépressif majeur (EDM) est hautement prévalent, et est associé à une augmentation de la morbidité, de la mortalité (incluant le suicide), et des coûts de santé publique. En 2030, la dépression devrait être la première cause d’invalidité dans les pays développés. Même si une amélioration est observée chez 60–70 % des individus traités par antidépresseurs, seulement 35 % atteindront la rémission. De plus, parmi les patients qui ont expérimenté un EDM, il est estimé que 85 % présenteront une rechute. Deux principaux facteurs sont associés à l’augmentation du risque de rechute : la faible observance médicamenteuse, et la faible confiance dans ses compétences à gérer un nouvel épisode. Ces deux facteurs sont justement les cibles prioritaires des programmes de psychoéducation . En outre, la psychoéducation est recommandée dans les guidelines , mais aucun programme n’était disponible en France.InnovationNous avons développé le premier programme français de psychoéducation dans la dépression unipolaire, appelé « ENVIE ». Cette intervention de groupe se compose de neuf séances hebdomadaires. Son objectif est d’enseigner aux patients les connaissances actuelles sur la dépression unipolaires et les traitements efficaces, grâce à des séances didactiques et interactives. Au cours des séances, les patients sont également encouragés à expérimenter des compétences psychologiques innovantes (issues de la thérapie ACT) pour faire face à la symptomatologie dépressive, et maintenir leur motivation dans l’activation comportementale au cours du temps [3,4]. L’objectif global est que les patients deviennent experts et acteurs de leur maladie.PerspectiveDans le cadre d’un PHRC national, 332 patients déprimés unipolaires non chroniques (< 2 ans), d’intensité modérée à sévère, sans éléments psychotiques, seront randomisés en 2 groupes : programme ENVIE en add-on (n = 166) ou liste d’attente (n = 166). Le critère de jugement principal sera le taux de rémission (MADRS ≤ 12 sur 8 semaines sans rechute) à 15 mois. Démontrer l’intérêt du programme ENVIE permettrait sa diffusion plus large comme traitement adjuvant de la dépression unipolaire.
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Darcourt, G., E. Souetre, D. Pringuey, E. Salvati, P. Robert, and J. L. Belugou. "Les rythmes circadiens dans la dépression." Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 85s—94s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002686.

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Abstract:
RésuméLes auteurs font une présentation générale des connaissances sur les troubles des rythmes circadiens dans la dépression et en proposent une synthèse. Ils soulignent d’abord les difficultés méthodologiques de ces éludes: difficultés liées à la nécessité du recueil d’un nombre considérable de données et difficultés pour analyser ces données et vérifier que les différences observées correspondent bien é des cycles circadiens.Ils envisagent ensuite les troubles des phases, des taux moyens et des amplitudes. Les phases des cycles circadiens ont été beaucoup étudiées surtout après la proposition du concept d’avance de phase comme caractéristique propre de la dépression, qui avait été faite par Wehr en 1980. II semble actuellement que, plus qu’une avance de phase, ce qui caractérise la dépression c’est une désorganisation des phases. Les taux moyens sont souvent modifiés. Parlois diminués (mélatonine), parfois augmentés (cortisol). Les amplitudes des oscillations sont le plus souvent diminuées. Cette constatation, plus récente que les précédentes, semble être de première importance. Moins un rythme est ample, moins il est stable. Il est possible que désynchronisation et diminution d’amplitude soient deux manifestations d’une «faiblesse» des rythmes circadiens qui serait leur caractère principal dans la dépression.Ces anomalies n’existent pas que dans la dépression, mais c’est dans son cas qu’elles sont le plus manifestes. En général, elles disparaissent en période de rémission clinique. Pour expliquer ces perturbations, il semble qu’il faille envisager à la fois un trouble de la sensibilité aux synchroniseurs externes et un trouble des systèmes de contrôle interne des rythmes.
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Boureau, F., C. Gay, and A. Combes. "Douleur chronique, dépression et sérotonine." Psychiatry and Psychobiology 5, no. 3 (1990): 169–78. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003461.

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Abstract:
RésuméLes relations entre douleur chronique et dépression ont été soulignées de longue date, suggérant la possible intervention de variables biologiques ou psychologiques communes. Dans cette revue, trois catégories d’informations nous aideront à étudier ces relations: la prévalence de la dépression chez les malades douloureux chroniques, I’efficacité analgésique des antidépresseurs, I’hypothèse de perturbations neurobiologiques communes à la dépression et à la douleur chronique. Les études cliniques se heurtent à des difficultés d’ordre nosographique. Ainsi, la douleur chronique peut correspondre à des symptomatologies variées où it peut être difficile de faire la part des facteurs organiques (initiaux ou persistants) et des facteurs psychologiques, notamment dépressifs. Divers problèmes méthodologiques peuvent être invoqués pour expliquer la disparité des observations actuellement disponibles. L’efficacité analgésique des antidépresseurs est actuellement démontrée par de nombreux essais cliniques contrôlés, comportant des comparaisons à des molécules de références ou à un placebo. De nombreuses publications aboutissent à la conclusion que l’effet analgésique des antidépresseurs s’observe indépendamment de la présence d’une symptomatologie dépressive associée. Cette notion est importante car elle interdit désormais d’interpréter la réponse positive à un traitement antidépresseur comme un argument en faveur de I’origine dépressive d’une douleur. Diverses études neurobiologiques ont tente de chercher chez les patients douloureux chroniques des perturbations supposées caractériser certains états dépressifs. En particulier, l’hypothèse sérotoninergique a souvent été privilégiée.
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Ilonen, Tuula, Carl-Erik Mattlar, and Raimo K. R. Salokangas. "Rorschach Findings and Neuropsychological Comparison of First-Episode Psychotic Depression with First-Episode Nonpsychotic Depression and Schizophrenia: A Preliminary Report." Rorschachiana 22, no. 1 (1997): 198–210. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.22.1.198.

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Abstract:
Dans cette étude nous avons tenté de clarifier les traits neuropsychologiques et l’organisation psychologique qui différencient la dépression psychotique. Nous avons comparé 17 psychotiques unipolaires déprimés dans leur premier épisode avec 14 patients non psychotiques déprimés dans leur premier épisode et 20 patients schizophrènes, en utilisant une batterie de tests neuropsychologiques et le Rorschach en Système Intégré. Tous les sujets répondaient aux critères diagnostics de la DSM-IV et de l’ICD-10, obtenus par consensus entre quatre psychiatres expérimentés. Les patients à dépression psychotique ne différaient pas significativement des patients déprimés non psychotiques ni des patients schizophrènes sur les mesures neuropsychologiques. On a trouvé des différences entre les déprimés non psychotiques et le groupe schizophrène, ce dernier obtenant de moins bons résultats sur la plupart des mesures. Toutefois, la dépression était aussi associée avec un certain nombre de déficits cognitifs, particulièrement dans les secteurs de la mémoire, de l’attention, de la vitesse psychomotrice et de la fonction exécutive. Les trois groupes ne différaient pas de manière significative sur le DEPI. On trouvait des traits dépressifs chez les schizophrènes comme chez les patients déprimés, et seulement 35% des patients à dépression psychotique avaient un DEPI > 5. Bien que le diagnostic de dépression psychotique exige la présence de délire et/ou d’hallucinations, seuls les schizophrènes présentaient des problèmes caractéristiques de troubles de la pensée et de perception inadéquate qui reflétaient un système délirant et/ou hallucinatoire. Les patients à dépression psychotique tout comme les schizophrènes présentaient une caractéristique stylistique de sur-simplification des stimuli et un stress situationnel. Nos résultats ne permettent pas d’affirmer avec certitude que la dépression psychotique est une catégorie diagnostique séparée de la dépression non psychotique bien que l’on trouve effectivement certaines tendances qui pourraient le permettre. Identifier la dépression psychotique est difficile parce ce trouble semble présenter des caractéristiques mixtes et hétérogènes non seulement en termes de signes et de symptômes, mais aussi au regard des fonctions cognitives. Enfin, nos résultats suggèrent que les critères du délire et/hallucinations sont peut-être surévalués pour le diagnostic d’une dépression psychotique.
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Holtzmann, J. "Vers une définition actualisée de la dépression résistante." European Psychiatry 28, S2 (2013): 42. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.106.

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Abstract:
La dépression unipolaire est une maladie fréquente et particulièrement sévère en termes de morbi-mortalité (prévisions OMS pour 2030). Cette sévérité est en partie liée au profil évolutif de la maladie et en particulier au caractère de résistance aux traitements antidépresseurs qu’elle peut comporter. On estime ainsi que la résistance peut atteindre jusqu’à 30 % des cas de dépression unipolaire (Thase, J Clin Psychiatry, 2011). Une prise en charge optimale des dépressions résistantes est donc indispensable mais nécessite au préalable une définition claire, consensuelle et utilisable en clinique. La définition de la résistance la plus utilisée prend en compte uniquement le nombre d’essais d’antidépresseurs (Thase, J Clin Psychiatry, 1997, 1998). Elle présente l’avantage de la simplicité mais comporte plusieurs limites. Il apparaît aujourd’hui nécessaire pour bien définir la résistance d’une dépression de déterminer les facteurs prédictifs cliniques et para-cliniques, le profil évolutif de la maladie, ainsi que le niveau de résistance actuel tout en ayant pris soin d’éliminer une pseudo-résistance. Cette notion de résistance s’inscrit ainsi complètement dans l’évolution du cours de la maladie et est caractérisée par son intensité et sa dynamique. Cette définition théorique peut permettre en la transposant à la pratique clinique de dégager une prise en charge adaptée, personnalisée et, de là, plus efficace pour chaque patient. Néanmoins, ce travail de définition et de suivi de la résistance n’est pas aisé dans la pratique clinique courante et le développement d’outils cliniques spécifiques allant au-delà de la simple quantification de la résistance pourrait faciliter cette démarche, ainsi que le recours à des centres spécialisés dédiés à cette problématique.
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Bertschy, G., S. Vandel, and R. Volmat. "Epidémiologie de la dépression: données récentes. II — Epidémiologie analytique et épidémiologie d’évaluation." Psychiatry and Psychobiology 3, no. 4 (1988): 213–25. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00001978.

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Abstract:
RésuméLes données provenant d’études récentes concernant l’épidémiologie analytique et l’épidémiologie d’évauation de la dépression sont examinées.Au sujet de l’épidémiologie analytique, il peut être conclu de la littérature actuellement disponible que les principaux facteurs de risques pour la dépression majeure sont : a) Sociodémographiques, à savoir : être une femme, être jeune, séparé, divorcé, ou avoir des problèmes conjugaux (les auteurs soulignent en particulier que les différences entre les sexes, concernant la dépression, sont réelles et ne sont pas un artefact lié à la façon de relater les troubles ou au comportement vis-à-vis des soins), b) Environnementaux: facteurs prédisposants (les événements de vie qui surviennent durant l'enfance peuvent prédisposer un individu à la dépression à l’âge adulte) et facteurs précipitants (il y a relation entre la survenue d’événements de vie pendant la vie adulte et le début de la dépression), c) Familiaux: il y a une multiblication par 2 à 5 du taux de dépression majeure chez les parents de premier degré de sujets témoins par rapport à es témoins non malades. L’influence de l’hérédité génétique est supportée par des études de jumeaux et des études adoption, mais une large part de la variance ne peut être expliquée, d) Divers: qui concernent le cycle de reproduc- 10n de la femme (la période du post partum entraîne une augmentation du taux de dépression) et les variations saisonneres (pics au printemps et en automne).En ce qui concerne l'épidémiologie d’évaluation, il est habituel de distinguer prévention primaire, secondaire et teriaie. Leur dessein est respectivement de diminuer l’incidence de la dépression, la prévalence de la dépression et les isques de chronicité et de la récurrence. Les efforts concernant la prévention primaire ne peuvent avoir qu’un effet imité. Dans le domaine de la prévention secondaire, il peut être conclu que beaucoup de dépressifs ne sont pas diaglostiqués ou ne sont pas traités. La prévention tertiaire a pour dessein de limiter deux risques: la chronicité et la récurence. Le premier pourrait être évalué à 15-20% à chaque épisode. Les facteurs de risques principaux seraient la présence un trouble psychiatrique non affectif ou d’une affection physique, une personnalité névrotique et un faible niveau le traitement. Pour le risque de récurrence, on peut considérer qu’entre 50 et 85% des patients ayant fait un épisode lépressif majeur feront au moins un autre épisode de dépression ultérieurement. Les facteurs de risques pourraient re un Stand nombre d’épisodes antérieurs, un antécédent d’épisode maniaque ou d’hypomanie, l’association à un ésordre psychiatrique non affectif ou à une affection physique, une histoire familiale de maladie affective ou un âge e début tardif.
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Hirdes, John P., Naoki Ikegami, Pálmi V. Jónsson, Eva Topinková, Colleen J. Maxwell, and Keita Yamauchi. "Cross-National Comparisons of Antidepressant Use Among Institutionalized Older Persons Based on the Minimum Data Set (MDS)." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 19, S2 (2000): 18–37. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800013878.

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Abstract:
RÉSUMÉOn a examiné l'usage des antidépresseurs dans des échantillons provenant d'établissements de soins de longue durée de Toronto (Canada), Sapporo et Naie (Japon), Reykjavik (Islande) et Prague (République tchéque). C'est seulement en Islande que la majorité des résidents souffrant de dépression recevaient des antidépresseurs. Le taux de dépression et l'usage des antidépresseurs sont généralement faibles au Japon. On a constaté un écart important entre le diagnostic de dépression et le comportement dépressif en République tchèque. Dans tous les pays examinés, environ la moitié des utilisateurs d'antidépresseurs ne présentent pas de symptômes évidents de dépression. Dans certains pays, l'usage des antidépresseurs était moins élevé chez les résidentes, chez les aîné(e)s plus âgés ou plus handicapés. La dépression est clairement sous-diagnostiqué en République tchèque mais les faibles taux de dépression au Japon sont plus difficiles à interpréter. Étant donné l'opinion largement répandue voulant que la dépressione passe souvent inaperçue et soit done mal soignée, les résultats de l'étude laissent entendre que l'on pourrait améliorer les mesures prises dans les cas de dépression grâce à des outils comme le MDS.
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Portal, Benjamin, and Bruno P. Guiard. "Rôle des connexines astrocytaires dans la régulation des taux extracellulaires de glutamate : implication pour le traitement des épisodes dépressifs majeurs." Biologie Aujourd’hui 214, no. 3-4 (2020): 71–83. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2020008.

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Abstract:
La dépression majeure est une pathologie psychiatrique reposant sur différents mécanismes neurobiologiques. Parmi ces mécanismes, on trouve une hypersensibilité de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien associée à un excès de cortisol dans le sang et un déficit de neurotransmission monoaminergique. Ainsi, l’efficacité thérapeutique des antidépresseurs actuels repose sur leur capacité à augmenter les taux extracellulaires de monoamines dans la fente synaptique. Depuis la découverte des effets antidépresseurs rapides et durables de la kétamine, un antagoniste des récepteurs NMDA, un intérêt croissant est porté sur les moyens pharmacologiques atténuant l’action du glutamate pour traiter la dépression majeure. Les astrocytes jouent un rôle prépondérant dans la balance excitation/inhibition du système nerveux central en régulant la recapture et la sécrétion du glutamate. De manière intéressante, la libération de cet acide aminé excitateur est contrôlée, du moins en partie, par des canaux membranaires regroupés au niveau de jonctions intercellulaires de type « gap » ou d’hémicanaux formés par les connexines 30 et 43. Les données précliniques suggèrent que ces deux entités fonctionnelles ont des effets sur les comportements émotionnels dans différents modèles murins de dépression. Après un bref rappel sur les troubles de l’humeur et leurs traitements, cette revue de la littérature décrit le rôle des astrocytes et des connexines dans la neurotransmission glutamatergique et la dépression majeure. Les arguments avancés soulignent l’intérêt thérapeutique potentiel du blocage des connexines astrocytaires mais aussi les difficultés pratiques à cibler la fonction hémicanal sans impacter la fonction « gap ».
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Pringuey, D. "Privation de sommeil dans la dépression." Psychiatry and Psychobiology 3, no. 6 (1988): 419–26. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002303.

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Abstract:
RésuméBien que la maladie dépressive se manifeste par des troubles majeurs du sommeil, reposant sur une désorganisation architecturale assez spécifique, la privation totale du sommeil (DTS) d’une nuit apporte un allègement symptomatique notable le plus souvent immédiat, contemporain de la privation.A la suite des observations fortuites de Schulte, des séries systématiques et contrôlées ont défini le cadre et les limites de l’efficacité de la PTS et diverses investigations biologiques ont cherché à identifier des variables prédictives de son activité.La PTS apporte une amélioration dans environ 60% des cas, plus régulièrement dans les formes endogènes et lorsqu’il y a des variations diurnes de l’humeur. Cette amélioration est globale et elle apparaît le plus souvent aux heures de l’aube mais elle est transitoire, le bénéfice étant perdu au lendemain de la nuit de récupération d’où la nécessité de répéter la privation ou d’y associer une chimiothérapie antidépressive.Les investigations neurobiologiques situent la réponse clinique en rapport avec diverses modifications sur les paramétres catécholaminergiques et neuro-endocriniens ainsi que sur la structuration du sommeil.L’activation thymique se corrèle avec une facilité relative à maintenir l’éveil et se manifeste à un horaire particulier qui correspond à une époque circadienne critique. La PTS produirait une réorganisation des rapports entre la veille et le sommeil et parviendrait à rétablir les coïncidences de phases des rythmes biologiques. Ces données apportent une contribution nouvelle à la notion spécifique d’instabilité dépressive.
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Samson, S., J. P. Fagot, A. Cuerq, and A. Fagot-Campagna. "Une cohorte de personnes ayant un premier arrêt maladie de longue durée (plus de 6 mois) pour dépression en 2011." European Psychiatry 29, S3 (2014): 621–22. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.109.

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Abstract:
IntroductionAu cours d’un épisode dépressif, un arrêt maladie peut permettre de gérer les situations de stress. Cependant, la prolongation excessive de l’arrêt peut aggraver l’anxiété et entraîner une désocialisation, mais aussi témoigner de la gravité de la maladie. Notre objectif est de décrire les patients avec arrêt de longue durée pour dépression, analyser leur recours aux soins, identifier des facteurs prédictifs des arrêts, et suivre leur devenir.MéthodesLes bases de l’assurance maladie (SNIIRAM/PMSI) ont été utilisées pour constituer une cohorte de bénéficiaires du régime général, âgés de 20–69 ans, débutant en 2011 un arrêt maladie > 6 mois pour dépression et sans antécédent d’arrêt long en 2010 pour ce motif.RésultatsEn 2011, 84 000 personnes (2,6 pour 1000) étaient en arrêt maladie long pour dépression. Parmi celles-ci, 34 000 (1,1 pour 1000) l’avaient débuté en 2011 et constituent la cohorte (âge moyen 46 ans, femmes 66 %). L’arrêt était prescrit dans 75 % des cas par un médecin généraliste, 10 % un psychiatre libéral et 12 % un médecin salarié. Dans l’année précédant l’arrêt, 27 % avaient consulté un psychiatre libéral, et 57 % dans l’année précédant ou suivant le début de l’arrêt. L’année précédente, 43 % des patients avaient eu ≥ 3 délivrances d’antidépresseur et 83 % l’année suivante. Pour 39 % on retrouvait : ≥ 1 comorbidité somatique identifiée par une ALD ou une hospitalisation (23 %), une ALD psychiatrique (21 % dont 89 % pour dépression), une hospitalisation en MCO à ± 3 jours de l’arrêt (5,5 % dont 6 % pour tentative de suicide et 14 % pour pathologie psychiatrique).DiscussionUn recours au psychiatre libéral est observé dans les 2 ans (avant/après) pour environ la moitié des 34 000 patients ayant débuté un arrêt maladie de longue durée pour dépression en 2011. Les analyses sont en cours pour déterminer quels facteurs influencent le recours à ces arrêts et quelle en est l’évolution (invalidité éventuelle).
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Van Der Waerden, J., C. Galéra, A. L. Sutter-Dallay, et al. "Dépression maternelle et développement de l’enfant : résultats de la cohorte EDEN." European Psychiatry 30, S2 (2015): S35. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.101.

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Abstract:
Un des facteurs de risque systématiquement lié à la survenue précoce et importante de problèmes sociaux, affectifs et cognitifs durant la petite enfance est la psychopathologie parentale et particulièrement maternelle. En effet, les enfants dont la mère souffre de dépression ont environ deux à trois fois plus souvent des difficultés précoces, et qui peuvent prédire la survenue de problèmes psychiatriques avérés ultérieurement. À partir des données longitudinales de la cohorte EDEN, des groupes de trajectoires latentes de dépression maternelle seront identifiées au sein de la population d’étude. Ensuite, ces trajectoires seront mises en relation avec les difficultés émotionnelles et de comportement et le développement cognitif chez l’enfant en utilisant des analyses de régression linéaire multivariée, en tenant compte de covariables pertinentes. Nous avons identifié cinq trajectoires de dépression maternelle au sein de la cohorte EDEN : 60,2 % des mères n’avaient pas de symptômes dépressifs ; 4,7 % avaient des symptômes dépressifs élevés seulement pendant la grossesse ; 4,9 % avaient des symptômes dépressifs élevés 3–5 ans après la naissance de l’enfant ; 25,2 % avaient des symptômes dépressifs de niveau intermédiaire persistants et 5,0 % avaient des symptômes dépressifs de niveau élevé persistants. La dépression maternelle est liée à des problèmes émotionnels et comportementaux des enfants, en particulier si elle est persistante. De même, on a trouvé que le développement cognitif des enfants, tel que mesuré par le QI, suit la même tendance. À l’âge de 5,5 ans, les enfants de mères ayant des symptômes dépressifs élevés et persistants montrent des scores de QI verbal, QI de performance et QI total réduits par rapport aux enfants de mères jamais déprimés. Les résultats de ces recherches montrent que la dépression maternelle chronique a un impact sur le développement cognitif et émotionnel de l’enfant, même quand les symptômes dépressifs sont d’un niveau intermédiaire.
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Bourgeois, M. "Limites de la dépression." Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 53s—62s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002650.

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RésuméDéfinir la dépression sur une base physiopathogénique, ou un modèle de (dés)organisation psychopathologique, ou même une sommation (syndromique ?) de symptômes, reste problématique. Une autre façon de la définir est d’en tracer les frontières. Dans cet exposé l’auteur indique les limites entre états dépressifs d’une part, et d’autre part : la normalité psychique (démoralisation, deuil normal, etc.), la schizophrénie (états sehizo-affectifs), I anxiété (états anxiodépressifs), la démence (pseudodémence dépressive en particulier), les syndromes thymiques organiques, les troubles de la personnalité (et la dysthymie), la manie (et les états mixtes). Une limite de l’approche catégorielle réside dans la tentation de multiplier les catégories intermédiaires qui permettent ainsi moins de rigueur clinique. D’un point de vue pragmatique, au nombre restreint des grandes classes de médicaments psychotropes devrait correspondre un nombre limité de modèles nosographiques. La polypharmacie (ou matracagc thérapeutique) correspond souvent à une indécision diagnostique. Les épreuves thérapeutiques limitées dans le temps devraient être conduites avec rigueur, conviction et constance, en monothérapie, en congruence avec une hypothèse diagnostique, même si cela peut conduire par exemple à une définition circulaire (et inexacte) de la dépression comme état curable par les antidépresseurs.
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Pedron, L., and M. Bubrovszky. "Asymétrie d’activité frontale de la bande alpha et dépression." European Psychiatry 30, S2 (2015): S120. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.230.

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Abstract:
ContexteLa dépression est une maladie hétérogène, au niveau clinique et physiopathologique. La recherche de biomarqueurs des troubles affectifs apporterait une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents et améliorerait la prise en charge. L’asymétrie de l’activité frontale de la bande de fréquence alpha (frontal alpha asymmetry [FAA]) basale est une mesure psychophysiologique issue de l’analyse spectrale de la bande de fréquence alpha à partir d’électroencéphalogrammes. Elle serait une mesure stable de la motivation (d’approche avec une hyperactivité frontale gauche relative et de retrait avec une hyperactivité droite frontale relative) et des émotions. Elle témoignerait aussi de dispositions individuelles émotionnelles et comportementales, et d’une vulnérabilité psychopathologique à la dépression . Une hyperactivité frontale droite (ou une hypoactivité gauche) relative basale serait associée à la dépression, particulièrement au site frontal médian F3/F4 , malgré une certaine inconsistance de la littérature.MéthodeNous avons mesuré la FAA (calcul de la différence de puissance alpha entre 2 électrodes homologues) au site frontal médian F3/F4, dans un groupe de patients déprimés et un groupe contrôle. Nous attendions une différence significative entre ces 2 groupes, dans le sens d’une hypoactivité frontale gauche relative dans le groupe de patients.RésultatsNous avons retrouvé une différence significative de FAA entre les 2 groupes, au site F3/F4 mais avec un pattern d’asymétrie opposé à celui attendu (hyperactivité corticale frontale gauche relative dans le groupe de patients).ConclusionLe pattern d’asymétrie retrouvé est en faveur d’une augmentation de la motivation d’approche. Il est similaire au pattern d’asymétrie de patients souffrant de troubles bipolaires . Le pattern qui était attendu dans le groupe de patients déprimés signait une diminution de la motivation d’approche, et donc une baisse de la sensibilité à la récompense dans la dépression (anhédonie) .
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Stuart, Scott, and Elizabeth Clark. "Psychothérapie interpersonnelle (PTI) et Counseling interpersonnel (CIP) pour le traitement de la dépression post-partum." Santé mentale au Québec 33, no. 2 (2009): 87–104. http://dx.doi.org/10.7202/019670ar.

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Abstract:
RésuméLa dépression périnatale est un trouble prévalent qui comporte un degré élevé de morbidité à la fois chez la mère et chez le nourrisson. De nos jours, on dispose de traitements validés empiriquement pour traiter tant la dépression post-partum que la dépression pendant la grossesse. Parmi ces traitements, la psychothérapie interpersonnelle (PTI) a démontré son efficacité à traiter la dépression post-partum, qu’elle soit légère ou grave. En fait, l’évidence limitée des preuves de l’efficacité de la médication et les préoccupations au sujet de ses effets secondaires ont porté certaines personnes à proposer que la PTI soit la première option retenue pour traiter les femmes souffrant de dépression et qui allaitent. Des préoccupations semblables persistent au sujet de l’usage de médicaments pendant la grossesse. De récentes expériences et recherches cliniques portent à croire que le counseling interpersonnel (CIP) pourrait aussi s’avérer efficace chez certaines femmes en dépression post-partum. Forme abrégée de la PTI, le CIP semble être efficace pour traiter la dépression légère à modérée, et a l’avantage potentiel d’être plus facile à dispenser dans le cadre des soins primaires ou des milieux obstétricaux.
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Bertschy, G., S. Vandel, and R. Volmat. "Epidémiologie de la dépression : données récentes I. Epidémiologie descriptive." Psychiatry and Psychobiology 3, no. 3 (1988): 149–58. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00001711.

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Abstract:
RésuméLes auteurs font la revue des études récentes concernant l’épidémiologie de la dépression. Les études épidémiologiques de la dépression dans la population générale sont difficiles à interpréter, du fait de différences dans l'identification des cas et de variations dans les procédures de diagnostic entre les études. Mais il y a eu un progrés considérable avec le récent développement des méthodes d’identifications de cas, fiables et valides, comme les RDC et le DSM-III. D’autres problémes méthodologiques concernent le choix de la population et le choix des différentes mesures du risque.Des données examinées, on peut tirer les estimations suivantes : la prévalence sur six mois de la dépression majeure est de 1% à 3% chez l’homme, et 3% à 5% chez la femme; la prévalence sur la vie entiere (proportion des sujets qui ont déjà présenté le trouble) est de 3% à 6% chez l’homme et 5% à 10% chez la femme. L’estimation du risque morbide (ou risque sur la vie entiére) est plus difficile. Le principal probléme provient de l’effet de cohorte de naissance: il semble que les taux de troubles affectifs majeurs sont en train d’augmenter dans les cohortes nées apres la Seconde Guerre mondiale.Aussi, les auteurs proposent une estimation des risques sur la vie entiére qui ne peut être que prudente: 6 à 10% chez l’homme, 12 à 20% chez la femme. Ils envisagent aussi l’épidemiologie de la dépression sous l’angle de la mortalité: les troubles affectifs sont associés non seulement à un haut risque de suicide mais aussi à une mortalité générale augmentée.
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Lemogne, C. "Une prise en charge psychologique peut-elle infléchir le risque cardiovasculaire ?" European Psychiatry 28, S2 (2013): 39. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.098.

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Abstract:
Après ajustement sur les facteurs de risque cardiovasculaires « classiques » (tabagisme, hypertension, hypercholestérolémie, sédentarité, diabète, etc.), la dépression est associée à un risque quasiment doublé de survenue d’un premier événement coronarien ainsi qu’à un risque augmenté de 25 à 50 % de survenue d’un accident vasculaire cérébral. Il en est de même pour les symptômes anxieux. De plus, après un premier événement coronarien, la présence de symptômes dépressifs est associée à un risque augmenté de 15 à 60 % de récidive voire de mortalité cardiovasculaire. Ce constat a conduit à la mise en place de plusieurs essais contrôlés randomisés de prévention secondaire visant à démontrer l’intérêt d’une intervention pharmacologique, psychologique ou mixte sur les symptômes dépressifs dans la prévention des récidives et de la mortalité chez les patients coronariens. Globalement, les résultats obtenus jusqu’à présent ont été plutôt décevants, en particulier en ce qui concerne les études de forte puissance statistique (SADHARD, ENRICHD, CREATE, MIND-IT). Parmi ces quatre essais, trois ont montré l’intérêt d’un traitement par inhibiteur sélectif de recapture de la sérotonine ou thérapie cognitive et comportementale sur la symptomatologie dépressive, mais sans effet préventif sur la récidive des événements coronariens et la mortalité cardiovasculaire. Ce résultat paradoxal pourrait résulter de facteurs confondants, par exemple génétiques, expliquant l’association entre dépression et risque cardiovasculaire sans lien causal direct. Toutefois, certaines pistes restent encourageantes, en particulier lorsque l’intervention cible des facteurs plus généraux que la dépression tels que la gestion du stress (p.ex. essai SUPPRIM) ou au contraire repose sur une prise en charge personnalisée de la dépression (p.ex. essai COPES).
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Van Der Waerden, J., A. L. Sutter-Dallay, R. Dugravier, et al. "Dépression maternelle : facteurs de risque, conséquences sur le développement des enfants et interventions de prévention." European Psychiatry 30, S2 (2015): S33—S34. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.099.

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Abstract:
La dépression maternelle en période périnatale est fréquente et peut avoir des répercussions négatives sur le développement des enfants. La prévention de la dépression chez les femmes qui ont des enfants en bas âge est donc un objectif de santé publique prioritaire. Ceci exige une bonne connaissance des facteurs associés à la dépression maternelle, des conséquences sur le développement des enfants, et des mesures préventives pouvant être efficaces. Cette session thématique abordera chacun de ces trois axes à partir de résultats récents d’études épidémiologiques et d’intervention menées en France (ELFE, EDEN, CAPEDP). Les facteurs associés à la dépression maternelle au cours de la grossesse et en post-partum, ainsi que l’accès à des interventions de prévention qui visent à prévenir les difficultés psychologiques des mères, telles que l’entretien prénatal précoce et les cours de préparation à la parentalité, ont pu être étudiés à partir des données de la cohorte ELFE, une étude représentative au niveau national. Les résultats montrent notamment que les femmes qui ont une situation sociale défavorisée ont des niveaux élevés de difficultés psychologiques, alors que ce sont celles qui bénéficient le moins des interventions de prévention. L’impact en termes de difficultés comportementales ou développementales chez les enfants a pu être étudié à partir des données de la cohorte EDEN montrant l’importance de différentes trajectoires longitudinales de dépression maternelle vis-à-vis du développement émotionnel, comportemental et cognitif des enfants jusqu’à 6 ans. Enfin, la faisabilité et l’efficacité d’interventions de prévention de la dépression maternelle seront discutées à partir des résultats de l’étude CAPEDP, un programme de visites à domicile chez des familles en situation difficile.
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Lecomte, Tania, and Marc Corbière. "Une intervention cognitive comportementale de groupe pour prévenir les rechutes chez les employés en processus de retour au travail à la suite d’une dépression : protocole et faisabilité." Santé mentale au Québec 42, no. 2 (2017): 87–103. http://dx.doi.org/10.7202/1041916ar.

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Abstract:
La dépression est une des causes d’absence maladie (ou arrêt maladie) les plus fréquentes en milieu organisationnel. Plusieurs études se sont intéressées aux facteurs individuels, organisationnels, et ceux relatifs aux interventions qui peuvent prédire le retour au travail des personnes ayant vécu une dépression. Toutefois, peu d’études s’intéressent à la prévention des rechutes de dépression à la suite d’un retour au travail, alors que plus de la moitié des personnes ayant vécu une première dépression est à risque de faire une rechute dans un délai assez court.Objectif Cet article présente le protocole de recherche relatif à une intervention de groupe novatrice, d’orientation cognitive comportementale, en vue d’optimiser la santé mentale des employés lors de leur retour au travail et ainsi diminuer d’éventuelles rechutes. Nous visons aussi à présenter la faisabilité de cette approche.Méthode L’étude consiste en un essai pilote randomisé avec groupe contrôle dont la moitié des participants (n= 25) suit l’intervention de groupe et l’autre moitié (n = 25) reçoit les services/interventions usuels. Les bases théoriques et empiriques soutenant l’intervention proposée ainsi qu’une description de l’intervention et des objectifs de l’étude sont ici présentées.RésultatsNous décrirons succinctement les propos tenus par les participants des deux premières cohortes concernant leur appréciation à l’égard de l’intervention de groupe.ConclusionEnfin, les retombées d’une telle intervention seront aussi évoquées.
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Mirabel-Sarron, C., and A. Blanchet. "Modifications cliniques, cognitives et linguistiques au cours d'une psychothérapie cognitive d'un sujet déprimé." Psychiatry and Psychobiology 5, no. 1 (1990): 23–28. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003333.

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Abstract:
RésuméCette étude pilote sur un cas se propose d'étudier les modifications de certains marqueurs linguistiques au cours d'une thérapie cognitive de la dépression, selon le modèle de Beck. Les 12 entretiens de la psychothérapie sont enregistrés sur bande magnétique, permettant une analyse systématique de toutes les distorsions cognitives. En parallèle, est menée une analyse clinique et linguistique qui porte plus sélectivement sur 4 entretiens équidistants. Ainsi seront cotés aux entretiens 1, 4, 8 et 12 les échelles de la dépression de Hamilton, de l'anxiété de Hamilton et le Beck Depresion Inventory. De plus, une analyse propositionnelle du discours centrée sur l'étude des verbes, de la déictisation de locution, de la modalisation et des joncteurs est menée. Le dépouillement de toutes les données sémantiques s'effectue grâce au logiciel d'analyse propositionnelle du discours (Groupe de recherche sur la parole, Paris-VIII). L'évolution clinique favorable sous thérapie est traduite non seulement par l'amélioration de la symptomatologie mais aussi par la diminution des scores aux échelles d'anxiété et de dépression. Parallèlement, les distorsions cognitives diminuent quantitativement dans l'ensemble et plus spécifiquement pour l'inférence arbitraire et la personnalisation. Certains témoins linguistiques (verbes factifs, joncteurs oppositifs…) varient significativement, pouvant ainsi traduire les modifications opérées par la thérapie cognitive dans la structure discursive du patient.
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Julien, Dominic, Lise Gauvin, Lucie Richard, Yan Kestens, and Hélène Payette. "The Role of Social Participation and Walking in Depression among Older Adults: Results from the VoisiNuAge Study." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 32, no. 1 (2013): 1–12. http://dx.doi.org/10.1017/s071498081300007x.

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Abstract:
RÉSUMÉDes niveaux moins élevés de participation sociale et d’épisodes de marche représentent deux facteurs pouvant contribuer à la dépression chez les personnes âgées, mais les recherches antérieures ne sont pas concluantes à ce sujet. L’objectif de cette étude transversale est de quantifier les associations entre la dépression et l’effet combiné de la participation sociale et de la marche dans un échantillon de personnes âgées vivant au Canada (n = 549). Des analyses de régressions linéaires et logistiques ont été effectuées pour examiner si la participation sociale et la marche prédisent la dépression indépendamment des caractéristiques individuelles. Dans les modèles finaux, les résultats suggèrent que les individus qui ne prennent pas de marches présentent davantage de symptômes dépressifs ou une possible dépression (l’association entre la participation sociale et la dépression devient non significative dans les modèles ajustés). La présente étude souligne le rôle central des habitudes de vie telle la marche pour la santé mentale des aînés.
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Nasio, J. D. "La dépression est la réaction à la perte d'une illusion." Cliniques 4, no. 2 (2012): 100. http://dx.doi.org/10.3917/clini.004.0100.

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Richieri, R. M., D. Ducasse, O. Doumy, and J. Holtzmann. "Psychothérapies et dépression." European Psychiatry 30, S2 (2015): S37. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.107.

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Abstract:
La prise en charge classique de la dépression unipolaire repose généralement sur l’association d’antidépresseurs et/ou psychothérapie . Dans un premier temps, nous présenterons le programme ENVIE, premier programme français de psychoéducation indiqué dans le traitement de la phase aiguë de la dépression unipolaire. Son objectif est d’enseigner aux patients les connaissances actuelles dont nous disposons sur la dépression unipolaire et les traitements efficaces, grâce à des séances didactiques et interactives . Dans un second temps, nous évaluerons l’intérêt des psychothérapies dans le traitement des symptômes dépressifs résiduels et la prévention de la rechute. En effet, malgré le développement de nouvelles molécules au cours des dernières décennies, de nombreux patients souffrant de dépression unipolaire montrent une amélioration importante encore que partielle avec la persistance de symptômes infracliniques connus pour favoriser la rechute . L’approche psychothérapique de la dépression s’est parallèlement construite à travers notamment la thérapie cognitive. Devant l’intérêt grandissant représenté par la psychothérapie de la dépression, de nouveaux courants sont plus récemment apparus à travers la thérapie d’acceptation et d’engagement et la thérapie cognitive basée sur la pleine conscience . Enfin, malgré une efficacité établie, l’accès à une psychothérapie peut être long et coûteux. La prise en charge par Internet pourrait pallier aux inconvénients des soins classiques et permettre un traitement de la dépression unipolaire de très bonne qualité à un prix abordable. Dans ce contexte, nous nous proposons d’aborder « E-COMPARED » en tant que un projet de recherche européen visant à évaluer deux modes de prise en charge de la dépression chez l’adulte : la prise en charge classique (face-à-face) et combinée (face-à-face et Internet). Cet essai clinique sera réalisé, pour la France, au sein des 11 centres experts du réseau dépression résistante (Fondation FondaMental). En conclusion, ce symposium devrait apporter un éclairage nouveau sur l’importance de l’approche psychothérapique sous ces différentes formes dans la prise en charge thérapeutique de la dépression unipolaire.
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Lemoine, P. "Rythmes Biologiques, Anxiété, Cognition et Sommeil." Psychiatry and Psychobiology 3, S2 (1988): 167s—173s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002194.

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Abstract:
RésuméUn des aspects essentiels de la cognition chez l’homme est lié à la qualité de son sommeil qui semble conditionner la fonction de mémorisation aussi bien que d’attention. Il est d’ailleurs remarquable de constater que les molécules hypnotiques peuvent avoir des effets différents sur la cognition, de façon peut-être corrélée à leur action sur les differents stades de sommeil et sûrement liée à la persistance de leurs effets sur la vigilance pendant la journée.Il est désormais classique de différencier l’anxiété généralisée (AG) de la dépression majeure (DM) par la mise en évidence des variations circadiennes marquées sur les plans clinique, polygraphique, hormonal et physiologique dans la dépression alors qu’une non-rythmicité de l’anxiété généralisée est habituellement revendiquée. Certains rythmes peuvent néanmoins être mis en évidence, bien que de façon moins marquée dans cette pathologie. Ainsi, des variations circadiennes sont souvent notées sur le plan clinique, un maximum d’anxiété et d’attaques de panique se produisant l’après-midi et en début de soirée au moment de l’acmé de la courbe de température centrale. De même, certaines particularités sont notables au niveau de l’analyse des enregistrements polygraphiques de sommeil et des niveaux plasmatiques hormonaux.Un des faits les plus troublants est de constater une certaine symetrie dans l’expression clinique et polygraphique des troubles dans la dépression majeure et l’anxiété généralisee: la DM est classiquement associée à un réveil très douloureux en milieu de nuit et à une désorganisation de la structure polygraphique du sommeil dans la deuxième partie de la nuit, moments où la température centrale après avoir atteint son niveau minimal amorce une remontée. A l’inverse, l’AG est à son maximum en fin d’après-midi et comporte une insomnie de la première partie de la nuit objectivée par un aspect haché du sommeil observable entre le moment du coucher et le milieu de la nuit, période où la temperature centrale est dans une phase descendante.Certaines anomalies peuvent être également retrouvées aux niveaux physiologique et biologique. Ces ditférentes observations devraient sans doute, dans l’avenir, susciter des recherches chronobiologiques plus nombreuses et influencer les habitudes de prescription.
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Baptista, A., C. Soumet-Leman, and R. Jouvent. "Métacognition et dépression : validation d’une version française du MCQ-30 en population clinique." European Psychiatry 29, S3 (2014): 569. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.251.

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Abstract:
ContexteLe Metacognitions Questionnaire-30 (MCQ-30), développé par Wells et Cartwright-Hatton (2004) [1], est une échelle de mesure multidimensionnelle de facteurs métacognitifs impliqués dans le développement et la persistance de troubles psychiques. La théorie définitoire inhérente à cette échelle est résumée par Wells et Matthews [2] dans le modèle Self-Regulatory Executive Function (S-REF). Dans la dépression, une rumination pathogène serait induite par des pensées (croyances métacognitives évaluées par le MCQ-30) et des stratégies de contrôle qui perpétuent une cognition et des stratégies de coping inadaptées. Le but de notre étude est d’adapter et de valider une version française du MCQ-30 en évaluant ses propriétés psychométriques dans un échantillon de patients qui ont un diagnostic de dépression.MéthodesL’adaptation française de l’instrument a été réalisée après une traduction back-forward permettant une bonne validité de face. Elle est en cours de passation dans un échantillon de patients hospitalisés ayant un diagnostic de dépression établi selon les critères du DSM 4 TR. Le nombre de sujets nécessaires est estimé à 150 [3]. Une analyse factorielle confirmatoire permettra de vérifier la structure dimensionnelle à 5 facteurs retrouvée dans l’étude de validation de la version originale. Pour l’évaluation de la validité convergente, nous étudierons la corrélation des différents facteurs du MCQ-30 avec une mesure de l’anxiété d’état (Penn State Worry Questionnaire), de la rumination (Rumination on Sadness Scale), et de la dépression (Beck Depression Inventory). Hypothèses sur le comportement de l’échelle : en accord avec les validations étrangères, nous supposerons une corrélation positive et significative de la MCQ-30 avec les échelles sus-citées.RésultatsDes résultats partiels seront présentés et discutés à la lumière de la taille de l’échantillon.
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Kornreich, C. "Utilité de la dépression : une approche évolutionniste." European Psychiatry 28, S2 (2013): 13–14. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.032.

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Abstract:
La dépression est un phénomène très fréquent dans le monde occidental. Deux types de théories évolutionnistes peuvent être distinguées : 1 : les théories utilitaristes psychologiques pour lesquelles la dépression est une adaptation psycho-sociale qui ne remplit plus son rôle dans notre monde moderne ; 2 : les théories utilitaristes biologiques pour lesquelles la dépression accompagne notre lutte contre des agents pathogènes en vue de concentrer nos efforts sur cette lutte.1. Théories utilitaristes psychologiques [1,2] : la dépression pourrait être un signal utile pour amener l’individu atteint à réorienter ses buts de vie, afin d’économiser de l’énergie et des ressources allouées à des objectifs inatteignables. Elle pourrait aussi servir de signalisation sociale, soit en vue de diminuer une agression dans le cadre d’une compétition hiérarchique, en donnant une information d’absence de menace, soit en appuyant une demande d’aide par l’entourage. Les conditions de vie moderne pourraient expliquer pourquoi un mécanisme utile s’est transformé en pathologie chronique : impossibilité de réorienter ses investissements faute d’opportunité alternative, difficulté à quitter des milieux dans lesquels on occupe une place hiérarchique défavorable et rétrécissement des cercles sociaux qui font que l’appel à l’aide résonne dans le vide.2. Théories utilitaristes biologiques [3,4] : la dépression pourrait être utile pour réorienter les ressources de l’individu en vue de combattre une infection. Cependant, le stress psycho-social, l’obésité, le changement de diète, la diminution du temps de sommeil et l’isolement social pourraient avoir contribué à modifier l’équilibre de notre flore intestinale. La diminution de la coopération issue d’une co-évolution avec certains micro-organismes intestinaux (« les vieux amis ») serait responsable d’une activité inflammatoire chronique, indépendamment de toute lutte contre un agent infectieux pathogène, ce qui favoriserait les allergies, les maladies auto-immunitaires, la dépression et la fatigue chronique.
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Guelfi, J. D. "Critères diagnostiques, échelles et questionnaires utilisés au cours des dépressions." Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 63s—70s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002662.

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Abstract:
RésuméLes principaux instruments standardisés d’évaluation clinique de la dépression et de l’anxiété comprennent les critères diagnostiques, des échelles d’appréciation et des tests mentaux, principalement des questionnaires. L’utilisation systématique de critères diagnostiques rigoureux se révèle utile pour pouvoir constituer des groupes de Patients suffisamment homogènes pour les recherches cliniques. L'approche polydiagnostique représente, dans cette optique, une voie intéressante de recherche, permettant de ne pas être limité par un système de référence nosographique unique. Les systèmes permettant à ce jour la meilleure homogénéité des groupes de malades sont les critères du DSM III d’un épisode dépressif majeur, les critères de St-Louis de dépression primaire (Feighner, 1972), et les critères de dépression endogène (échelles de Newcastle; Roth, 1983), utilisés conjointement.Certaines échelles de dépression ont fait l’objet de développements récents en Europe comme la MADRS, l’échelle de ralentissement dépressif de Widlocher, l’échelle d évaluation de la dépression de Pichot et l’échelle manie-dépression du système AMDP. Il en est de même pour certains questionnaires ou check-lists comme le questionnaire HAD, la HSCL, les échelles visuelles analogiques de Norris ou la CHESS, check-list d’évaluation des symptômes somatiques. La sensibilité au changement de ces divers instruments en fait leur principal intérêt pratique.
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Proudnikova, X., Y. Hode, F. Gonzalez, and F. Duval. "L’anhédonie dans la dépression unipolaire et bipolaire." European Psychiatry 29, S3 (2014): 571. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.257.

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Abstract:
Les symptômes anhédoniques décrits dans la schizophrénie et dans la dépression pourraient être de nature différente [1]. Cette hypothèse a été explorée avec l’échelle EETP, différenciant l’anhédonie consommatoire (liée à l’éprouvé du plaisir) et l’anhédonie d’anticipation (liée à la motivation à rechercher le plaisir). Les patients souffrant de schizophrénie auraient un score plus bas à la composante anticipatoire [2]. Cette étude vise à évaluer les caractéristiques de l’anhédonie chez des patients dépressifs non psychotiques.MéthodeVingt-huit patients hospitalisés pour un épisode dépressif unipolaire ou bipolaire ont été inclus, (23 femmes, 5 hommes) âgés de 32 à 61 ans. Ils ont été évalués à l’aide de la MADRS et de l’EETP. Les corrélations entre les scores à la MADRS et ceux du plaisir anticipatoire et du plaisir consommatoire ont été analysées avec le test non paramétrique de Spearman.RésultatsLe score MADRS est inversement corrélé avec le score du plaisir consommatoire chez les patients avec un trouble dépressif unipolaire alors qu’il inversement corrélé avec le score du plaisir anticipatoire chez les patients bipolaires.ConclusionDans les dépressions bipolaires, l’anhédonie a une forme différente de celle rencontrée dans la dépression unipolaire. Cela pourrait signifier que la dépression bipolaire est plus en rapport avec un déficit motivationnel comme dans la schizophrénie. Cette étude montre aussi l’intérêt d’une utilisation plus systématique de l’échelle EETP dans les troubles thymiques. Cela pourrait aider à orienter l’action thérapeutique sur les mécanismes de l’éprouvé du plaisir ou sur ceux de la motivation.
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Lemoine, P. "Insomnies, hypersomnies, parasomnies en psychiatrie." European Psychiatry 28, S2 (2013): 36. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.087.

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Abstract:
Les troubles du sommeil sont probablement parmi les plus ubiquitaires en médecine et il n’existe guère de trouble psychiatrique qui ne les engendre. Certains d’entre eux comme les apnées du sommeil peuvent engendrer des syndromes tels la dépression, la fatigue, l’impuissance ou des déclins cognitifs allant jusqu’à la démence ou en constituer des facteurs de résistance au traitement ; de la même façon, le dépistage du syndrome des mouvements périodiques des membres inférieurs au cours du sommeil souvent associé au syndrome des jambes sans repos pendant l’éveil, peut permettre une meilleure approche de certaines formes de fatigue chronique, de dépression, de syndromes de glissement. D’autres perturbations au cours du sommeil constituent les symptômes clefs d’un syndrome psychiatrique comme par exemple l’hypersomnie dans la dépression saisonnière ou la dépression atypique. Enfin, certains troubles du sommeil chroniques telle l’insomnie au cours de la troisième décennie de la vie sont souvent les signes précurseurs d’une dépression qui surviendra vingt ans plus tard comme s’il existait un facteur commun à l’origine des deux entités pathologiques. De la même manière, une période d’insomnie même brève s’avère un prédicteur d’une rechute maniaque ou d’un épisode psychotique aigu. Apprendre à les reconnaître, les évaluer, s’en servir comme guides cliniques s’avère essentiel dans la prise en charge des patients de notre spécialité : dans quels cas faut-il systématiquement ou éventuellement demander un enregistrement polygraphique de sommeil ? Existent-t-ils et quelle est la valeur des outils diagnostiques moins contraignants comme par exemple l’agenda de sommeil, l’actimétrie ? Comment prendre en charge une insomnie dans un cadre psychiatrique ? Quel est le « bon usage » des hypnotiques ? Telles sont les nombreuses questions que cette rencontre avec l’expert permettra d’évoquer.
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Soucy Chartier, Isabelle, Valérie Blanchet, and Martin D. Provencher. "Activation comportementale et dépression : une approche de traitement contextuelle." Santé mentale au Québec 38, no. 2 (2014): 175–94. http://dx.doi.org/10.7202/1023995ar.

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Abstract:
La dépression comptant parmi les troubles psychologiques ayant les plus hauts taux de prévalence dans le monde, il importe de trouver des interventions efficaces et peu coûteuses afin de faciliter l’accès aux services. On observe, depuis une dizaine d’années, un regain d’intérêt pour les interventions comportementales dans le traitement de la dépression. L’activation comportementale, une composante de la thérapie cognitivo-comportementale, a été développée de manière à constituer un traitement à part entière et depuis, les données probantes qui appuient l’efficacité de ce traitement s’accumulent. Cet article résume d’abord les origines du modèle comportemental de la dépression. Il est suivi d’une explication détaillée des différentes étapes impliquées lors d’une intervention d’activation comportementale. Ses appuis empiriques sont par la suite présentés. L’activation comportementale est ensuite discutée dans le cadre de thérapies de troisième vague, abordant le rôle potentiel de la pleine conscience à travers les objectifs d’activation comportementale. Des suggestions sont faites quant à la façon dont les thérapeutes peuvent inclure des activités basées sur la pleine conscience dans la hiérarchie d’activation comportementale. L’article se conclut par une discussion sur les questions qui devraient être abordées dans les recherches futures.
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Lepage, Caroline, Diane Marcotte, and Laurier Fortin. "L’intimidation et la dépression à l’école : analyse critique des écrits." Revue des sciences de l'éducation 32, no. 1 (2006): 227–46. http://dx.doi.org/10.7202/013484ar.

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Abstract:
Résumé Des recherches récentes identifient un lien entre la dépression et l’intimidation. Les jeunes victimes d’intimidation, comme les jeunes intimidateurs, rapportent vivre des symptômes dépressifs. L’état des connaissances concernant la concomitance entre ces deux problématiques est encore très peu avancé, surtout en ce qui concerne les élèves de la fin du secondaire. Cet article présente une analyse critique de 12 études sur la relation entre l’intimidation et la dépression. Les aspects analysés incluent les caractéristiques des échantillons, les mesures utilisées, les variables ciblées et les devis de recherche employés. Dans l’ensemble, les résultats appuient l’existence d’une relation entre l’intimidation et la dépression chez des populations d’enfants et d’adolescents. Cependant, des aspects d’ordre méthodologique limitent la valeur des résultats obtenus dans ces études.
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