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Journal articles on the topic 'Joueurs pathologiques'

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1

Luquiens, A., M. Lagadec, A. Amirouche, and M. Reynaud. "Repérage des joueurs de poker en ligne problématiques et pathologiques : évaluation transversale des joueurs du site de poker Winamax et construction d’un outil de dépistage en ligne." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 536–37. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.404.

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Abstract:
ObjectifsNotre étude est la première phase transversale d’un essai randomisé en ligne. Elle a pour premier objectif de décrire et comparer les joueurs de poker en ligne non problématiques et les joueurs problématiques et pathologiques, recrutés dans leur environnement de jeu, sur le site de poker Winamax. Son deuxième objectif est de construire un outil de dépistage sensible et spécifique du jeu problématique ou pathologique à partir des données enregistrées par l’opérateur, et en se référant à un outil diagnostic reconnu, l’Index Canadien du Jeu Excessif (ICJE).MéthodesNotre étude a été proposée systématiquement à tous les joueurs de poker en ligne ouvrant une session de jeu sur le site Winamax, et considéré comme joueur actif inscrit depuis plus d’un mois sur le site (c’est-à-dire majeur et ayant justifié de leur identité). 14 595 joueurs ont été inclus et ont complété le questionnaire ICJE. Les données de comportement de jeu ont été extraites des données opérateurs enregistrées en routine pour chaque joueur inclus, pour les trente jours précédant l’inclusion. Nous avons constitué deux groupes : le groupe des joueurs non problématiques ayant un ICJE < 5 et le groupe des joueurs problématiques et pathologiques ayant un ICJE ≥ 5. Les données de jeux ont été décrites et comparées entre les deux groupes. Cette comparaison a permis de construire un modèle prédictif du jeu problématique et pathologique.RésultatsIl a été retrouvé une prévalence de 17,9 % de jeu problématique ou pathologique dans notre population. Les facteurs de risque de jeu problématique ou pathologiques identifiés et inclus dans le modèle prédictif sont : l’âge < 28 ans, le sexe masculin, la perte moyenne par session > 2 euros, la perte totale par mois > 45 euros, la compulsivité, le multitabling, le dépôt total non nul, le nombre de session > 60 par mois et le total des mises > 300 euros. Notre outil de dépistage présente une sensibilité de 80 % et un faible nombre de faux positifs ayant un score ICJE non nul et donc considéré comme non à risque.ConclusionNotre étude a permis de confirmer et préciser les facteurs de risque de pratique excessive du poker en ligne, et de construire un outil de dépistage avec de bonnes caractéristiques. Les perspectives de cette étude sont d’améliorer les stratégies de prévention du jeu pathologique par le repérage des joueurs problématiques et pathologiques sur les sites de poker en ligne par les opérateurs eux-mêmes.
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Wegrzycka, Barbara. "Le prix d’une passion : la carrière du joueur compulsif 1." Criminologie 40, no. 1 (July 3, 2007): 31–58. http://dx.doi.org/10.7202/016014ar.

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Abstract:
Résumé Alors que les jeux de hasard et d’argent gagnent en accessibilité, de nombreuses études établissent un lien entre le jeu pathologique et la criminalité. La vie du joueur emprunterait un parcours précis vers la délinquance et s’inscrirait dans un cycle gambling-délinquance2. Or, l’inscription des trajectoires délinquantes dans un cycle aussi statique nous paraît discutable. Dans cet article, nous soutenons que chaque individu est soumis à l’influence de facteurs pouvant modifier la carrière du joueur et sa propension à commettre des délits. À l’aide d’une vingtaine d’entrevues, nous avons retracé la trajectoire des joueurs en abordant des thèmes susceptibles d’apporter un éclairage sur les modalités d’apparition de la délinquance chez ces individus. En analysant leur vie en termes de carrière, nous observons l’apparition, l’évolution et, parfois même, l’arrêt du jeu et des activités délictuelles. Quant aux facteurs susceptibles de moduler l’apparition des comportements délinquants, nous examinons l’influence des proches en termes d’opportunités criminelles et de dissuasion, l’effet précipitant des tensions financières et familiales, l’effet dissuasif de la peur ou, au contraire, les prédispositions caractérielles ou comportementales des joueurs et, finalement, l’ingéniosité des joueurs à financer et prolonger leurs activités de jeu. Nous souhaitons ainsi mettre en perspective le cycle gambling-délinquance en étudiant les éléments constitutifs de la carrière des joueurs pathologiques qui ont pour effet de neutraliser, retarder ou accélérer le passage à l’agir délictuel.
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3

Gendron, Annie, Magali Dufour, Natacha Brunelle, and Danielle Leclerc. "Tour d’horizon sur les principales approches de traitement du jeu pathologique chez les adultes et les adolescents." Drogues, santé et société 9, no. 1 (November 8, 2010): 37–76. http://dx.doi.org/10.7202/044869ar.

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Abstract:
L’industrie des jeux de hasard et d’argent a connu un essor important au cours des dernières années. Parallèlement, les gouvernements ont beaucoup investi dans la recherche et le développement de programmes de traitement afin d’aider les joueurs aux prises avec un problème de jeu. Bien que l’offre de traitement soit diversifiée, on ne dispose pas actuellement de données probantes permettant de statuer sur les meilleures pratiques en matière de traitement du jeu pathologique. Les études évaluatives qui ont été menées auprès de joueurs pathologiques comportent des failles méthodologiques. Néanmoins, certaines approches chez les adultes semblent prometteuses. Par exemple, l’approche cognitivo-béhaviorale et les groupes de soutien de type Gamblers Anonymes (GA) se démarquent en termes de maintien de l’abstinence au jeu. D’autres travaux récents présentent des résultats encourageants obtenus avec l’approche pharmacologique. L’administration de Naltrexone aux joueurs pathologiques permettrait de diminuer l’envie obsessive de jouer. On commence aussi à reconnaître que le modèle transthéorique du changement et l’approche de thérapie conjugale contribuent certainement à améliorer la rétention des joueurs adultes en traitement. Pour les adolescents, l’offre de traitement est moins développée. Les initiatives de programmes d’intervention pour les jeunes présentant un problème de jeu sont encore embryonnaires et empruntent généralement les paradigmes de l’approche cognitivo-béhaviorale. Il sera nécessaire aussi de réfléchir aux critères retenus correspondant à la réussite d’un traitement, que ce soit pour les adultes ou pour les adolescents. L’abstinence complète de tous les jeux de hasard et d’argent n’est peut-être pas le seul indicateur de rétablissement.
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Kern, Laurence, Gayatri Kotbagi, Jean-Jacques Rémond, Philip Gorwood, and Lucia Romo. "Distorsions cognitives des joueurs de jeux de hasard et d’argent hors ligne et mixtes." Drogues, santé et société 13, no. 1 (October 31, 2014): 19–37. http://dx.doi.org/10.7202/1027123ar.

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Abstract:
But : Le but de ce travail est de comparer les joueurs qui jouent à de tels jeux sur des sites comme les casinos ou les hippodromes (joueurs hors ligne) et ceux qui jouent en plus en ligne (joueurs mixtes) en traçant les profils de ces joueurs. Méthode : 608 joueurs hors ligne et mixtes ont répondu à plusieurs questionnaires qui ont porté sur : 1) les données sociodémographiques (genre, âge, situation de famille, éducation) ; 2) les mesures de dépistage des usages problématiques des jeux de hasard et d’argent ; 3) la consommation d’alcool ; 4) les mesures d’anxiété et de dépression et 5) les mesures sociocognitives (distorsions cognitives et confiance en soi). Résultats : L’échantillon, d’un âge moyen de 53.0 ans (de 17 à 76 ans ; E.T = 15,9) est composé majoritairement de femmes (femmes : 60 % ; hommes : 39 %) ; 55 % des personnes interrogées vivent en couple. Seulement 23,7 % (N = 144) des participants sont des joueurs mixtes. En ce qui concerne la consommation d’alcool, 31,5 % (N = 191) ont des conduites à risque ou problématiques ; au niveau du jeu 19,6 % (N = 109) sont considérés à risque modéré selon l’indice canadien de jeu excessif (ICJE, 2001), alors que 9 % (N = 55) sont des joueurs pathologiques probables. Les joueurs mixtes sont de façon significative plus jeunes, jouent plus, ont des scores à l’ICJE plus élevés, sont plus anxieux et ont une plus grande consommation d’alcool. Ils présentent également des distorsions cognitives plus intenses (contrôle prédictif), mais ont, en revanche, moins confiance en leur capacité d’arrêter de jouer que les joueurs hors ligne. Conclusion : Une sévérité accrue au jeu pathologique et des distorsions cognitives plus intenses rendent la population des joueurs mixtes fragile. Quelques pistes d’intervention et de prévention seront proposées en guise de conclusion.
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Barrault, S., and I. Varescon. "Psychopathologie des joueurs pathologiques en ligne : une étude préliminaire." L'Encéphale 38, no. 2 (April 2012): 156–63. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2011.01.009.

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Bonnaire, C. "Vers une prise en charge intégrative des joueurs pathologiques." L'Encéphale 37, no. 6 (December 2011): 410–17. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2011.05.003.

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Ouellet, Frédéric. "« All in or fold » : les hauts et les bas de la carrière des joueurs excessifs." Criminologie 45, no. 1 (March 19, 2012): 181–211. http://dx.doi.org/10.7202/1008382ar.

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Abstract:
Aucune étude, tant étatsunienne que canadienne, ne s’est penchée sur la dynamique des trajectoires de joueurs compulsifs, pathologiques ou excessifs. Cette étude comble cette lacune par l’utilisation de modèles linéaires hiérarchiques qui permettent de traiter simultanément les données dynamiques issues de calendriers rétrospectifs (l’effet des circonstances de vie conventionnelles et déviantes) et les caractéristiques personnelles, impulsivité, sexe, etc., de 100 joueurs excessifs recrutés au sein de ressources thérapeutiques de la grande région de Montréal. On s’intéresse particulièrement aux variations des sommes investies dans les jeux de hasard et d’argent. Une attention particulière est aussi portée aux mois où les joueurs cessent de participer aux jeux de hasard et d’argent et aux facteurs qui favorisent l’abstinence. Les résultats montrent que les circonstances de vie de ces joueurs ont un effet déterminant sur leur endettement et sur leurs épisodes d’abstinence. On constate notamment l’importance des circonstances déviantes (revenus criminels, prêts usuraires et consommation de stupéfiants).
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Rémond, J. J., M. Hernández-Mora, C. Marseille, G. Mesure, and L. Romo. "Étude de faisabilité d’une exposition thérapeutique en réalité virtuelle pour joueurs pathologiques." L'Encéphale 46, no. 1 (February 2020): 23–29. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2019.09.002.

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Dreher, Jean-Claude. "Dysfonctionnements du système de récompense et biais cognitifs chez les joueurs pathologiques." Bulletin de l'Académie Nationale de Médecine 205, no. 7 (August 2021): 748–60. http://dx.doi.org/10.1016/j.banm.2021.05.010.

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Bonnaire, C., I. Varescon, and C. Bungener. "Recherche de sensations dans une population française de joueurs de courses de chevaux : comparaison entre des joueurs pathologiques et réguliers." L'Encéphale 33, no. 5 (October 2007): 798–804. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2006.08.010.

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Grall-Bronnec, M., G. Bouju, M. Landréat-Guillou, and J. L. Vénisse. "Évaluation sociodémographique, clinique et du parcours de jeu d’un échantillon de joueurs pathologiques français." L'Encéphale 36, no. 6 (December 2010): 452–60. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2010.02.002.

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Guillou-Landréat, M., E. Rossé, and A. Luquiens. "Entre approche sociétale et approche centrée sur la personne : quels enjeux pour les joueurs pathologiques ?" French Journal of Psychiatry 1 (November 2018): S18—S19. http://dx.doi.org/10.1016/s2590-2415(19)30040-6.

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Quistrebert-Davanne, V. "Évolution du traitement attentionnel de l’information émotionnelle de joueurs pathologiques anxieux et non anxieux : une étude préliminaire." Psychologie Française 57, no. 1 (March 2012): 31–50. http://dx.doi.org/10.1016/j.psfr.2011.11.001.

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Bouju, G., J. B. Hardouin, M. Grall-Bronnec, G. Bouju, J. L. Vénisse, J. B. Hardouin, L. Romo, et al. "Les joueurs de poker : un profil différent des autres joueurs ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 6. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.015.

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Abstract:
Si les points communs sont nombreux entre le poker et les autres jeux de hasard et d’argent (JHA), les professionnels du soin et de la recherche spécialisés dans le jeu pathologique sont de plus en plus nombreux à insister sur la nécessité de prendre en compte les spécificités de ce jeu, afin de mettre en place des actions de prévention et de soins plus adaptées et donc plus efficaces. Nous avons mis en place la cohorte multicentrique JEU qui a pour objectif principal d’explorer les déterminants des transitions de la pratique de jeu (émergence des problèmes de jeu, recours à des soins, rechute, etc.). Un objectif secondaire de cette cohorte était de décrire et de comparer les différents types de jeu de prédilection. Les résultats présentés ici concernent une régression logistique multivariée permettant de comparer les joueurs de poker (n = 78) aux autres joueurs de la cohorte (n = 537), dans deux sous-populations distinctes : les joueurs non problématiques et les joueurs problématiques. Les joueurs (problématiques ou non problématiques) de poker se distinguent des autres joueurs par un score d’illusion comportementale sur le jeu (GABS-attitude) plus élevé, une initiation au jeu plus précoce et une pratique du jeu moins ancienne. De plus, les joueurs non problématiques de poker se distinguent des autres joueurs non problématiques par une mise maximale en un jour plus élevée, un score de coopération (TCI) plus élevé et moins de troubles anxieux. Par ailleurs, les joueurs problématiques de poker se distinguent des autres joueurs problématiques par le fait de jouer plus sur Internet et un score de transcendance (TCI) moins élevé. Ces résultats seront discutés en termes d’implications pour la prévention, la recherche et les soins dans cette population particulière de joueurs.
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Grall-Bronnec, M., G. Bouju, A. Guilleux, M. Grall-Bronnec, G. Bouju, J. L. Vénisse, J. B. Hardouin, et al. "Ces français qui jouent, du plaisir à l’excès. À partir d’une étude multicentrique portant sur 628 joueurs." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 6. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.014.

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Abstract:
Il aura fallu attendre 2010 pour que soit menée en France la première étude de prévalence des troubles liés à la pratique des jeux de hasard et d’argent [1]. Si cette enquête a indiqué que les problèmes de jeu touchaient environ 1,3 % de la population adulte, elle ne décrivait que partiellement les caractéristiques associées. Il est cependant essentiel de disposer d’informations pouvant expliquer qu’une pratique récréative devienne hors de contrôle. L’étude JEU a cette ambition. Impliquant 7 centres hospitaliers français, elle a débuté en 2009 et a permis de recruter 628 sujets ayant joué au moins une fois au cours de l’année écoulée, qui seront suivis pendant les 5 années suivantes. Répartis en 3 groupes (« joueurs non problématiques = JNP », « joueurs problématiques sans soin = JPNS » et « joueurs problématiques avec soins = JPS »), l’un des objectifs de cette étude est de comparer leurs caractéristiques respectives. Lors du suivi de la cohorte, l’évolution de ces variables sera mise en perspective avec l’évolution de la pratique et du recours à des soins spécifiques. Une partie des résultats issus de la description des 3 groupes sera présentée ici. Des régressions logistiques multivariées, comparant 2 à 2 les groupes, ont été réalisées. Elles indiquent que, par rapport aux JNP, les JP jouent plus fréquemment, ont un score de distorsions cognitives plus élevé et un score de détermination plus faible. Par rapport aux JPNS, les JPS sont plus jeunes, plus fréquemment actifs, plus nombreux à jouer sur Internet, avec un jeu pathologique plus sévère et un risque suicidaire plus important. Cette étude permet de dresser le tableau des joueurs, en particulier ceux pour lesquels la pratique devient problématique. Des hypothèses au sujet des facteurs favorisant et limitant l’accès aux soins sont discutées.
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Gorsane, M. A. "Facteurs de risque et facteurs associés au jeu problématique ou pathologique sur Internet : revue de la littérature." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 536. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.403.

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Abstract:
La prévalence sur l’année en France du jeu de hasard et d’argent en ligne en population adulte est de l’ordre 3,7 % (Tovar et al., 2013). Se basant sur l’Indice canadien du Jeu Excessif (ICJE) (Ferris et Wynne, 2001) pour l’évaluation des pratiques de jeu, la proportion de joueurs « problématiques » parmi les joueurs dans l’année s’élève à 17 % (Tovar et al., 2013). Ces chiffres sont nettement supérieurs à ceux retrouvés avec l’offre de jeu traditionnelle, majoritairement non-en ligne : 10,8 % de joueurs problématiques parmi les joueurs actifs, c.-à-d., ceux ayant joué plus d’une fois par semaine et/ou dépensé plus de 500 euros dans l’année (Costes et al., 2011). Des résultats comparables ont été retrouvés dans d’autres pays évoquant un niveau de risque plus élevé des jeux sur internet par rapport à l’ensemble des jeux (Tovar et al., 2013). Cela peut être en rapport avec des éléments socio-démographiques ou cliniques associés aux pratiques de jeux en ligne (Kairouz et al., 2011). Des facteurs en rapport avec la pratique du jeu en ligne peuvent intervenir : l’anonymat, l’accessibilité, le côté abordable de ces conduites, ainsi que les caractéristiques structurelles mêmes des jeux (Griffiths, 2003). Nous nous proposons dans ce travail de faire une revue systématique de la littérature sur les bases Medline et PsycINFO au sujet des facteurs de risque et facteurs associés au jeu problématique ou pathologique et de discuter les résultats retrouvés.
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Aubry, C., L. Romo, J. Djordjian, C. Legauffre, and J. Adès. "À propos de la prise en charge d’un joueur pathologique." Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 15, no. 4 (December 2005): 154–58. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(05)81236-4.

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Marty, François. "[NO TITLE AVAILABLE]." Ágora: Estudos em Teoria Psicanalítica 17, spe (August 2014): 111–26. http://dx.doi.org/10.1590/s1516-14982014000300010.

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Abstract:
La dépendance est une étape, provisoire mais nécessaire pour la constitution psychique du sujet. C›est une des figures du lien sans laquelle il ne saurait y avoir d›autonomie. Mais la dépendance traduit aussi un état pathologique dans le processus d'adolescence où la capacité à jouer avec l'objet est rabattue au besoin de trouver un objet qui comble, qui masque aussi la détresse du sujet et sa difficulté à se séparer. Nous faisons l›hypothèse que la dépendance pathologique est une façon de lutter contre la dépression et l›angoisse d›effondrement qui lui est sous-jacente.
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Berrada, S., L. Rachidi, S. El Gnaoui, M. Agoub, D. Moussaoui, and O. Battas. "Fréquence et facteurs de risque du jeu pathologique chez une population de joueurs à Casablanca." L'Encéphale 35, no. 6 (December 2009): 554–59. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2008.08.003.

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Gendron, Annie, Magali Dufour, Natacha Brunelle, Danielle Leclerc, and Marie-Marthe Cousineau. "Les symptômes associés aux problèmes de jeux de hasard et d’argent à l’adolescence : étude comparative selon le sexe." Drogues, santé et société 13, no. 1 (October 31, 2014): 38–52. http://dx.doi.org/10.7202/1027124ar.

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Abstract:
De nombreux travaux ont documenté la présence de problèmes de jeux de hasard et d’argent (JHA) au sein de populations adolescentes. La prévalence du trouble chez les adolescents serait même plus élevée que celle trouvée auprès de populations adultes. Le présent article présente une synthèse des études québécoises rapportant la prévalence du jeu pathologique auprès de populations adolescentes, et il met l’accent sur les différences sexuelles. À partir d’une étude menée auprès de 1870 élèves du secondaire âgés de 14 à 18 ans, une description des habitudes de JHA des garçons et des filles est d’abord présentée. Ensuite, les critères autorévélés du DSM-IV-MR-J (Fisher, 2000), rapportés par les garçons et les filles aux prises avec des problèmes de jeu, sont comparés selon le sexe. Les résultats montrent que près d’un élève sur dix a des habitudes de JHA problématiques. Malgré le fait qu’il existe un écart quant à la proportion de garçons et de filles présentant des problèmes de JHA, les adolescents semblent éprouver les mêmes symptômes. Ces derniers se distinguent uniquement sur la préoccupation entretenue à propos de leurs habitudes de JHA, les garçons joueurs problématiques étant plus nombreux à avoir rapporté ce critère que les filles qui sont aux prises avec des problèmes de JHA.
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Mauran, Philippe. "L’absolue nécessité de courir le monde de Jean Guidon de Chambelle." Revue d'histoire du protestantisme 6, no. 1 (June 1, 2021): 51–80. http://dx.doi.org/10.47421/rhp6_1_51-80.

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En 2003, Dirk Van der Cruysse publiait le récit de cinq années aux Indes hollandaises d’un Français, « mercenaire de la VOC ». Malgré son identification, l’origine et le milieu social de l’auteur restaient mystérieux : Jean Guidon de Chambelle, protestant parisien, affirmait pourtant le poids de ses recommandations. Des documents, issus du minutier central des notaires de Paris ou des archives du Châtelet, ont permis de reconstituer la parentèle de Jean Guidon, sieur de Chambelle. Le vaste réseau qu’elle dessine, avec une large assise géographique dans l’arrière-pays des côtes atlantiques, fait apparaître le rôle déterminant des calvinistes parisiens dans les relations du royaume de France avec les Provinces-Unies, ainsi que leur soutien financier à la régence pendant la Fronde. La contextualisation du texte de Guidon a aussi permis de comprendre les raisons de son départ : joueur pathologique, sa famille l’éloignait pour un temps d’un environnement qui l’emprisonnait dans son addiction. La construction du texte révèle la foi calviniste du sieur de Chambelle, mise au service de son retour vers les siens.
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Gervason, S., M. Defaye, D. Ardid, J. Y. Berthon, C. Altier, E. Filaire, and F. A. Carvalho. "Influence du microbiote sur la douleur." Douleur et Analgésie 34, no. 2 (May 5, 2021): 86–96. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2021-0144.

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Abstract:
De plus en plus d’études indiquent que le microbiote intestinal pourrait jouer un rôle important sur les fonctions du système nerveux en modulant l’activité des cellules nerveuses. Il a été montré que les produits dérivés des bactéries peuvent influencer la perception de la douleur. De plus, des perturbations du microbiote (ou dysbiose) sont souvent associées à des pathologies intestinales ou extraintestinales comme des désordres neurodégénératifs ou des troubles développementaux. Cette revue présente les études précliniques et cliniques mettant en évidence un impact du microbiote sur la perception de la douleur dans différents contextes pathologiques. Le lien entre le microbiote et l’activation des neurones est discuté au travers de l’interaction directe hôte–microbiote qui implique l’activation des nocicepteurs par les composés ou métabolites microbiens. De nouvelles études sur l’interaction entre le microbiote et le système nerveux devraient conduire à l’identification de nouveaux ligands microbiens et de médicaments ciblant les récepteurs de l’hôte, qui pourraient à terme améliorer la gestion de la douleur chronique et le « bien-être ».
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Medina, Julie, Benjamin Charvet, Pascal Leblanc, Raphaële Germi, Branka Horvat, Patrice N. Marche, and Hervé Perron. "Des séquences rétrovirales endogènes dans le génome humain peuvent jouer un rôle physiologique ou pathologique." médecine/sciences 33, no. 4 (April 2017): 397–403. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20173304009.

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Chalasani, Venu, Wassim Kassouf, Joseph L. Chin, Yves Fradet, Armen G. Aprikian, Adrian S. Fairey, Eric Estey, et al. "Radical cystectomy for the treatment of T1 bladder cancer: the Canadian Bladder Cancer Network experience." Canadian Urological Association Journal 5, no. 2 (April 2, 2013): 83. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.587.

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Abstract:
Background: Radical cystectomy may provide optimal survivaloutcomes in the management of clinical T1 bladder cancer. Wepresent our data from a large, multi-institutional, contemporaryCanadian series of patients who underwent radical cystectomy forclinical T1 bladder cancer in a single-payer health care system.Methods: We collected a pooled database of 2287 patients whounderwent radical cystectomy between 1993 and 2008 in 8 differentcentres across Canada; 306 of these patients had clinical T1bladder cancer. Survival data were analyzed using Kaplan-Meiermethod and Cox regression analysis.Results: The median age of patients was 67 years with a mean follow-up time of 35 months. The 5-year overall, disease-specific anddisease-free survival was 71%, 77% and 59%, respectively. The10-year overall and disease-specific survival were 60% and 67%,respectively. Pathologic stage distribution was p0: 32 (11%), pT1:78 (26%), pT2: 55 (19%), pT3: 60 (20%), pT4: 27 (9%), pTa: 16(5%), pTis: 28 (10%), pN0: 215 (74%) and pN1-3: 78 (26%). Only12% of patients were given adjuvant chemotherapy. On multivariateanalysis, only margin status and pN stage were independentlyassociated with overall, disease-specific and disease-free survival.Interpretation: These results indicate that clinical T1 bladder cancermay be significantly understaged. Identifying factors associatedwith understaged and/or disease destined to progress (despite anyprior intravesical or repeat transurethral therapies prior to radicalcystectomy) will be critical to improve survival outcomes withoutover-treating clinical T1 disease that can be successfully managedwith bladder preservation strategies.Contexte : La cystectomie radicale peut donner des résultats optimauxen lien avec la survie dans la prise en charge d’un cancerde la vessie de stade clinique T1. Nous présentons ici les donnéesprovenant d’une récente étude multicentrique de grande envergureportant sur des patients canadiens ayant subi une cystectomie radicalepour le traitement d’un cancer de la vessie de stade cliniqueT1 dans un système de santé à payeur unique.Méthodologie : Nous avons cumulé les données provenant de2 287 patients ayant subi une cystectomie radicale entre 1993et 2008 dans 8 centres différents au Canada; 306 de ces patientsprésentaient un cancer de la vessie de stade clinique T1. Les donnéesliées à la survie ont été analysées à l’aide de la méthode deKaplan-Meier et du modèle de régression de Cox.Résultats : L’âge médian des patients était de 67 ans, et la duréemoyenne du suivi, de 35 mois. La survie globale, la survie spécifiqueà la maladie et la survie sans maladie après 5 ans étaient de71 %, 77 % et 59%, respectivement. La survie globale et la surviespécifique à la maladie après 10 ans étaient de 60 % et 67 %,respectivement. Les stades pathologiques se répartissaient ainsi :p0 : 32 (11 %), pT1 : 78 (26 %), pT2 : 55 (19 %), pT3 : 60 (20 %),pT4 : 27 (9 %), pTa : 16 (5 %), pTis : 28 (10 %), pN0 : 215 (74 %)et pN1-3 : 78 (26 %). Seulement 12 % des patients ont reçu unechimiothérapie adjuvante. À l’analyse multivariée, seuls le statutdes marges chirurgicales et le stade pN étaient indépendants dela survie globale, la survie spécifique à la maladie et la surviesans maladie.Interprétation : Ces résultats indiquent que le stade d’un cancerde la vessie d’abord classé comme T1 peut avoir été grandementsous-évalué. L’identification des facteurs associés à un cancer dontle stade a été sous-évalué et/ou à une maladie destinée à évoluer(malgré un traitement intravésical antérieur ou des traitementstransurétraux répétés avant la cystectomie radicale) jouera un rôlecrucial dans la hausse des taux de survie sans surtraiter la maladieclinique de stade T1 pouvant être prise en charge de façon efficacepar des stratégies de conservation de la vessie.
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Dansereau-Touchette, Noémie. "Impact de la comorbidité dans le traitement des joueurs pathologiques." Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 11, no. 1 (September 8, 2021). http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v11i1.51272.

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Abstract:
Les jeux de hasard et d’argent ne cessent de se développer à travers le monde et l’accroissement de leur visibilité permet un portrait plus juste des variables impliquées dans la problématique du trouble lié au jeu d’argent. Les données pro- bantes quant à la compréhension de ce trouble se développent rapidement et le jeu d’argent pathologique se présente majoritairement en cooccurrence avec d’autres troubles de santé mentale. Les résultats de recherches ont démontré que jusqu’à 96 % des personnes ayant reçu un diagnostic de jeu d’argent pathologique ont satisfait aux critères d’au moins un autre trouble psychiatrique au cours de leur vie (Bischof et al., 2013 ; Kessler et al., 2008 ; Steel et Blaszczynski, 1998). Par ailleurs, les troubles d’utilisation de substances (TUS) ont un taux de prévalence particulièrement élevé chez les joueurs pathologiques (Cowlishaw et al., 2014 ; Fernández, 2002) et cette concomitance peut avoir un impact important sur la problématique de même que sur l’issue d’un traitement. De plus, les joueurs pathologiques ne représentent pas un groupe homogène et plusieurs caractéristiques les distinguent entre eux. Ce sont ces caractéristiques qui demandent à être mieux comprises. Ainsi, l’objectif de cet article est d’identifier les différences étiologiques chez les joueurs en lien avec l’impact de la comorbidité, particulièrement le TUS associé au jeu d’argent pathologique (JAP) et leurs influences sur les programmes de traitement.
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Juodis, Marcus, and Sherry H. Stewart. "A Method for Classifying Pathological Gamblers According to “Enhancement,” “Coping,” and “Low Emotion Regulation” Subtypes." Journal of Gambling Issues, no. 34 (August 1, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2016.34.11.

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Abstract:
Pathological gamblers vary in their personality traits, psychopathological characteristics, and motivations for gambling. Methods for classifying them according to disseminated subtyping schemes, however, are not readily available, which may hinder further research on subtypes or efforts to incorporate subtyping schemes into clinical practice. With regard to affective motivations for gambling, we describe and evaluate a method for classifying pathological gamblers according to “enhancement,” “coping,” and “low emotion regulation” subtypes. Generalized squared distance was used to determine the best profile fit for 158 pathological gamblers on the basis of their Inventory of Gambling Situations (IGS) scores and in relation to refined IGS subtype profiles obtained through cluster analysis, these refined subtypes also having been validated via Gambling Motives Questionnaire scores. No gamblers were misclassified, suggesting that this method may perform well on cross-validation. For interested researchers and practitioners, an easy-to-use tool is available that automates this profile-matching approach to classification. Additional research is needed on how this method fares in independent samples of regular gamblers and of individuals with gambling disorder.Les joueurs pathologiques varient quant à leurs traits de personnalité, leurs caractéristiques psychopathologiques et leurs motivations à jouer. Il n’existe cependant pas de méthodes facilement utilisables pour les classés selon des schémas de sous-types disséminés, ce qui risque de ralentir la recherche sur les sous-types ou les efforts déployés pour intégrer des schémas de sous-types à la pratique clinique. En ce qui concerne les motivations affectives au jeu, la présente étude décrit et analyse une méthode de classement des joueurs pathologiques reposant les sous-types suivants : la « stimulation », l’« adaptation » et la « faible régulation des émotions ». La distance généralisée au carré a été utilisée pour déterminer la « meilleure correspondance de profil » pour 158 joueurs pathologiques en fonction de leur score au questionnaire de la liste des occasions de jeu (LOJ) et relativement à des profils plus précis de sous-types de la LOJ obtenus au moyen d’une analyse typologique et validés à partir des résultats du questionnaire sur les motivations à jouer. Aucun joueur n’a été classé de manière erronée à l’aide de la méthode analysée, ce qui laisse entendre qu’elle peut être efficace dans le cadre d’une validation croisée. Un outil « facile d’emploi » permettant d’automatiser une telle approche de classification par association avec des profils se trouve ainsi accessible aux chercheurs et aux praticiens intéressés. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer l’efficacité de cette méthode avec des échantillons indépendants de joueurs ordinaires et de joueurs présentant un problème de jeu.
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Juodis, Marcus, and Sherry H. Stewart. "A Method for Classifying Pathological Gamblers According to “Enhancement,” “Coping,” and “Low Emotion Regulation” Subtypes." Journal of Gambling Issues, no. 34 (August 1, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i34.3964.

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Abstract:
Pathological gamblers vary in their personality traits, psychopathological characteristics, and motivations for gambling. Methods for classifying them according to disseminated subtyping schemes, however, are not readily available, which may hinder further research on subtypes or efforts to incorporate subtyping schemes into clinical practice. With regard to affective motivations for gambling, we describe and evaluate a method for classifying pathological gamblers according to “enhancement,” “coping,” and “low emotion regulation” subtypes. Generalized squared distance was used to determine the best profile fit for 158 pathological gamblers on the basis of their Inventory of Gambling Situations (IGS) scores and in relation to refined IGS subtype profiles obtained through cluster analysis, these refined subtypes also having been validated via Gambling Motives Questionnaire scores. No gamblers were misclassified, suggesting that this method may perform well on cross-validation. For interested researchers and practitioners, an easy-to-use tool is available that automates this profile-matching approach to classification. Additional research is needed on how this method fares in independent samples of regular gamblers and of individuals with gambling disorder.Les joueurs pathologiques varient quant à leurs traits de personnalité, leurs caractéristiques psychopathologiques et leurs motivations à jouer. Il n’existe cependant pas de méthodes facilement utilisables pour les classés selon des schémas de sous-types disséminés, ce qui risque de ralentir la recherche sur les sous-types ou les efforts déployés pour intégrer des schémas de sous-types à la pratique clinique. En ce qui concerne les motivations affectives au jeu, la présente étude décrit et analyse une méthode de classement des joueurs pathologiques reposant les sous-types suivants : la « stimulation », l’« adaptation » et la « faible régulation des émotions ». La distance généralisée au carré a été utilisée pour déterminer la « meilleure correspondance de profil » pour 158 joueurs pathologiques en fonction de leur score au questionnaire de la liste des occasions de jeu (LOJ) et relativement à des profils plus précis de sous-types de la LOJ obtenus au moyen d’une analyse typologique et validés à partir des résultats du questionnaire sur les motivations à jouer. Aucun joueur n’a été classé de manière erronée à l’aide de la méthode analysée, ce qui laisse entendre qu’elle peut être efficace dans le cadre d’une validation croisée. Un outil « facile d’emploi » permettant d’automatiser une telle approche de classification par association avec des profils se trouve ainsi accessible aux chercheurs et aux praticiens intéressés. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer l’efficacité de cette méthode avec des échantillons indépendants de joueurs ordinaires et de joueurs présentant un problème de jeu.
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Gilbert-Baril, Chanelle, Stéphane Bouchard, and Isabelle Giroux. "Traitement du jeu pathologique à l'aide de la réalité virtuelle : la verbalisation de stratégies face aux situations à risque / Virtual Reality Relapse Prevention for Pathological Gamblers: Strategies for Dealing with Risky Situations." Journal of Gambling Issues, no. 47 (March 8, 2021). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2021.47.14.

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Il est d’usage, au cours d’un traitement, d’aider les joueurs pathologiques à développer et à mettre en pratique différentes stratégies pour prévenir les rechutes. Le traitement du jeu pathologique a connu des avancées dans les dernières années en utilisant la réalité virtuelle (RV) pour exposer les joueurs à leur envie de jouer. L’influence de cette modalité de traitement sur les stratégies de prévention des rechutes reste toutefois à évaluer. Notre étude visait donc à identifier et à classifier les stratégies proposées par les joueurs pour gérer leur envie de jouer lorsqu’ils sont confrontés à des situations à risque d’une exposition à la RV. Des enregistrements de dix joueurs pathologiques ayant pris part à une séance de prévention de la rechute en RV ont été transformés en verbatim. Le contenu du verbatim a fait l’objet d’une analyse de type déductif et inductif validée par une procédure d’accord interjuges. Les résultats ont révélé six stratégies comportementales et sept stratégies cognitives proposées par les joueurs, avec une moyenne de dix stratégies différentes par joueur. Les stratégies cognitives montrent l’influence possible de la restructuration cognitive qui a eu lieu lors de la thérapie. De plus, l’évitement semble être l’une des stratégies comportementales clés pour les participants, lorsque confrontés à un environnement de bar. Cette étude appuie le potentiel de RV en prévention de la rechute. La spécificité des stratégies provenant de la RV, en comparaison avec l’exposition en imagination, ainsi que l’efficacité des stratégies abordées en séance de RV devraient faire l’objet d’autres études.AbstractIt is common practice, during treatment, to help pathological gamblers develop and implement different strategies to prevent relapses. Treatment for pathological gambling has made progress in recent years and now uses virtual reality (VR) to make gamblers aware of their gambling urges. However, the impact of this treatment method on relapse prevention strategies has yet to be evaluated. This study aims to identify and classify strategies to manage gambling urges as proposed by gamblers when faced with risky situations during exposure in virtual reality. Recordings taken of ten pathological gamblers during a virtual reality relapse prevention session were transcribed verbatim. The verbatim was the subject of a deductive and inductive analysis validated by a procedure agreed upon by the judges. The results reveal six behavioural and seven cognitive strategies proposed by the players with an average of ten strategies per player. The cognitive strategies show that the cognitive restructuring used during treatment had a possible impact. Furthermore, in bars, avoidance seems to be one of the key behavioural strategies for the participants. This study supports the potential of virtual reality in relapse prevention. The specificity of the strategies proposed during VR exposure compared with imaginary exposure as well as the effectiveness of the strategies addressed in VR sessions should be studied further.
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Heiskanen, Maria. "Financial recovery from problem gambling: problem gamblers’ experiences of social assistance and other financial support." Journal of Gambling Issues, no. 35 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2017.35.2.

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Abstract:
The objective of this article is to understand problem gamblers’ experiences of recovery from financial difficulties caused by problem gambling. Specifically, financial social assistance from public services is considered. A sample of 17 interviews with Finnish self-identified, treatment-seeking problem gamblers from various financial positions was analyzed qualitatively using thematic content analysis. The analysis revealed four themes. The first theme examines how the financial concerns of problem gamblers were left unaddressed by treatment professionals. The second theme discusses the rationalizations behind not applying for or not receiving financial social assistance from public services. The reasons behind not applying for financial social assistance were related to financial stability and perceived pride derived from surviving independently (loss of pride when not being able to survive independently). Not receiving assistance despite applying for it was mostly because of their income having been assessed as adequate by the social services. Third theme examines receiving financial social assistance during, or after, problematic gambling. Participants living on welfare often spent their benefits on gambling in the hopes of an increased income. Recovering lower-income problem gamblers also received financial social assistance for living expenses or for treatment. Fourth, non-governmental and more controlling forms of financial support were (1) financial assistance within private safety nets, (2) support for over-indebtedness from an NGO, or (3) private person/official authority taking control over problem gamblers’ financial matters. The socio-economic background factors are important to address when designing financial and other support for problem gamblers. The results of this study provide useful information for future survey studies of the topic.Dans cet article, on cherche à comprendre le vécu des joueurs pathologiques qui ont dû surmonter des problèmes d’argent en raison du jeu compulsif. Plus particulièrement, on s’est intéressé à l’aide sociale financière offerte par les services publics. Un échantillon de 17 entrevues avec des Finlandais s’étant déclarés joueurs pathologiques à la recherche d’un traitement et se trouvant dans différentes situations financières a été étudié qualitativement à partir d’une analyse du contenu thématique. De cette analyse, quatre thèmes ont été dégagés. Le premier porte sur la façon dont les fournisseurs de traitement n’ont pas tenu compte des soucis matériels des joueurs pathologiques. Le deuxième parle des arguments avancés pour ne pas avoir demandé ou reçu d’aide sociale financière des services publics. Les raisons s’opposant à la présentation d’une telle demande avaient trait à la stabilité financière et à la fierté ressentie au fait d’assurer seul sa survie. Dans la plupart des cas, les personnes qui n’avaient pas reçu d’aide même après avoir fait une demande pour en obtenir disposaient d’un revenu que les services sociaux jugeaient adéquat. Le troisième aborde l’aide sociale financière qui a été reçue durant ou après les problèmes de jeu. Les participants vivant de l’aide sociale dépensaient souvent leurs prestations au jeu dans l’espoir d’augmenter leur revenu. Les joueurs pathologiques en voie de guérison dont le revenu était plus faible ont également reçu de l’aide sociale financière pour leurs dépenses courantes ou pour leur traitement. Le quatrième traite des formes de soutien monétaire non gouvernementales et plus contrôlantes, notamment (1) l’aide financière dans le cadre de filets de sécurité privés, (2) l’aide fournie par une organisation non gouvernementale pour le surendettement ou (3) un particulier ou une autorité officielle qui prend en main les problèmes d’argent des joueurs pathologiques. Il est important d’examiner les facteurs en matière de contexte socioéconomique au moment de concevoir des mécanismes de soutien financier ou autres pour les joueurs pathologiques. Les résultats de cette étude fournissent des renseignements utiles pour de futures études par sondage sur ce sujet.
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Heiskanen, Maria. "Financial recovery from problem gambling: problem gamblers’ experiences of social assistance and other financial support." Journal of Gambling Issues, no. 35 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i35.3971.

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Abstract:
The objective of this article is to understand problem gamblers’ experiences of recovery from financial difficulties caused by problem gambling. Specifically, financial social assistance from public services is considered. A sample of 17 interviews with Finnish self-identified, treatment-seeking problem gamblers from various financial positions was analyzed qualitatively using thematic content analysis. The analysis revealed four themes. The first theme examines how the financial concerns of problem gamblers were left unaddressed by treatment professionals. The second theme discusses the rationalizations behind not applying for or not receiving financial social assistance from public services. The reasons behind not applying for financial social assistance were related to financial stability and perceived pride derived from surviving independently (loss of pride when not being able to survive independently). Not receiving assistance despite applying for it was mostly because of their income having been assessed as adequate by the social services. Third theme examines receiving financial social assistance during, or after, problematic gambling. Participants living on welfare often spent their benefits on gambling in the hopes of an increased income. Recovering lower-income problem gamblers also received financial social assistance for living expenses or for treatment. Fourth, non-governmental and more controlling forms of financial support were (1) financial assistance within private safety nets, (2) support for over-indebtedness from an NGO, or (3) private person/official authority taking control over problem gamblers’ financial matters. The socio-economic background factors are important to address when designing financial and other support for problem gamblers. The results of this study provide useful information for future survey studies of the topic.Dans cet article, on cherche à comprendre le vécu des joueurs pathologiques qui ont dû surmonter des problèmes d’argent en raison du jeu compulsif. Plus particulièrement, on s’est intéressé à l’aide sociale financière offerte par les services publics. Un échantillon de 17 entrevues avec des Finlandais s’étant déclarés joueurs pathologiques à la recherche d’un traitement et se trouvant dans différentes situations financières a été étudié qualitativement à partir d’une analyse du contenu thématique. De cette analyse, quatre thèmes ont été dégagés. Le premier porte sur la façon dont les fournisseurs de traitement n’ont pas tenu compte des soucis matériels des joueurs pathologiques. Le deuxième parle des arguments avancés pour ne pas avoir demandé ou reçu d’aide sociale financière des services publics. Les raisons s’opposant à la présentation d’une telle demande avaient trait à la stabilité financière et à la fierté ressentie au fait d’assurer seul sa survie. Dans la plupart des cas, les personnes qui n’avaient pas reçu d’aide même après avoir fait une demande pour en obtenir disposaient d’un revenu que les services sociaux jugeaient adéquat. Le troisième aborde l’aide sociale financière qui a été reçue durant ou après les problèmes de jeu. Les participants vivant de l’aide sociale dépensaient souvent leurs prestations au jeu dans l’espoir d’augmenter leur revenu. Les joueurs pathologiques en voie de guérison dont le revenu était plus faible ont également reçu de l’aide sociale financière pour leurs dépenses courantes ou pour leur traitement. Le quatrième traite des formes de soutien monétaire non gouvernementales et plus contrôlantes, notamment (1) l’aide financière dans le cadre de filets de sécurité privés, (2) l’aide fournie par une organisation non gouvernementale pour le surendettement ou (3) un particulier ou une autorité officielle qui prend en main les problèmes d’argent des joueurs pathologiques. Il est important d’examiner les facteurs en matière de contexte socioéconomique au moment de concevoir des mécanismes de soutien financier ou autres pour les joueurs pathologiques. Les résultats de cette étude fournissent des renseignements utiles pour de futures études par sondage sur ce sujet.
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Sonkurt, Harun Olcay, and Ali Ercan Altınöz. "Cryptocurrency investment: A safe venture or a new type of gambling?" Journal of Gambling Issues, no. 47 (March 8, 2021). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2021.47.8.

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Abstract:
Investment behaviour and gambling overlap from time to time. It is stated that there is a spectrum between gambling and investment behaviour, and there are “speculative” investment tools in the middle of the spectrum. Considering that it presents a higher risk because of its high volatility compared to traditional investment instruments, trading cryptocurrencies can become pathological and gambling-like. This study aims to investigate the pathological trading behaviour and frequency among cryptocurrency investors, to investigate additional gambling disorders, and to investigate the relationship between cryptocurrency investment behaviour and impulsivity. An online questionnaire was created to investigate these issues. In the questionnaire, the Pathological Trading Scale, the South Oaks Gambling Screen Test and the Barratt Impulsivity Scale were all used. A total of three hundred persons were evaluated. We found that total pathological traders were 48.7% of all traders, impulsivity in 18–25 age group was higher, high-frequency traders were more pathological, and their impulsivity was higher; also margin traders and day traders show more pathological behaviour. It seems that an important part of cryptocurrency traders may be pathological, and certain of them may have cryptocurrency addiction, which can be evaluated as a subtype of gambling disorder.Résumé Le comportement de l’investisseur et celui du joueur se chevauchent de temps à autre. On dit qu’il existe un spectre entre ces deux comportements, au milieu duquel se trouvent des outils d’investissement « spéculatif ». Compte tenu de leur risque plus élevé dû à leur plus grande volatilité par rapport aux instruments d’investissement traditionnels, les échanges de cryptomonnaies peuvent devenir pathologiques et s’apparenter aux jeux de hasard. Cette étude vise à analyser le comportement des investisseurs de cryptomonnaies et la fréquence de leurs opérations afin d’examiner d’autres troubles liés à la pratique des jeux de hasard et la relation entre le comportement des investisseurs de cryptomonnaies et l’impulsivité. Un questionnaire en ligne a été créé à cette fin et la Pathological Trading Scale, le South Oaks Gambling Screen Test et la Barratt Impulsivity Scale y étaient utilisés. En tout, 300 personnes ont été évaluées. Nous avons constaté que les joueurs pathologiques représentaient 48,7% de tous les spéculateurs, que l’impulsivité dans le groupe des personnes de 18 à 25 ans était plus élevée, et que les spéculateurs qui effectuaient des transactions plus souvent étaient plus pathologiques et faisaient preuve d’une plus grande impulsivité; de plus, les spéculateurs sur marge et les spéculateurs sur séance affichaient un comportement plus pathologique. Il semble qu’une proportion importante des spéculateurs de cryptomonnaies peuvent être pathologiques, et que certains d’entre eux peuvent être dépendants à l’égard des cryptomonnaies, ce qui peut être évalué comme un sous-type de jeu compulsif.
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Ferland, Francine, Nadine Blanchette-Martin, Annie-Claude Savard, Émilie Vézina, Andrée-Anne Légaré, Alexandra Champagne, Haniel Baillargeon-Lemieux, Isabelle Giroux, and Pascal Garceau. "Les joueurs pathologiques en traitement sont-ils un groupe homogène? Différences selon la concomitance d’un trouble d’utilisation d’une substance." Journal of Gambling Issues, no. 39 (September 27, 2018). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2018.39.11.

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Abstract:
Cette étude compare les profils sociodémographiques et cliniques de joueurs pathologiques en traitement dans un centre public de réadaptation en dépendance selon qu’ils présentent ou non un trouble lié à l’utilisation d’une substance (TUS) au moment de leur entrée en traitement. Les évaluations d’admission des joueurs requérant un traitement dans un centre public de réadaptation en dépendance ont été utilisées. Les joueurs (N = 322) ont été répartis en deux groupes mutuellement exclusifs, soit le groupe Jeu sans TUS (n = 190) et le groupe Jeu avec TUS (n = 132). Il était attendu que les profils sociodémographiques des deux groupes de joueurs pathologiques différeraient et que le groupe Jeu avec TUS présenterait un profil clinique plus sévère que le groupe Jeu sans TUS. Les analyses indiquent que le groupe Jeu avec TUS présente des besoins d’intervention plus importants sur les plans professionnel, judiciaire, psychologique et relationnel, en plus de se distinguer sur le plan sociodémographique. Toutefois, le groupe Jeu sans TUS présente quant à lui des besoins d’intervention plus importants concernant les habitudes de jeux de hasard et d’argent (JHA). Les auteurs discutent des implications de ces différences dans les profils cliniques, en considérant les cibles d’intervention à prioriser.This study compared the sociodemographic and clinical profiles of pathological gamblers in treatment at a public dependence rehabilitation centre. The gamblers (N = 322) were divided into two mutually exclusive groups based on their entry assessments, which evaluated if they presented with a concurrent substance abuse disorder (SAD) at the onset of treatment. The groups were as follows, Gambling without SAD (n = 190) and Gambling with SAD (n = 132). It was expected that the sociodemographic profiles of the two groups of pathological gamblers would differ, with the Gambling with SAD group presenting a more severe clinical profile than the Gambling without SAD group. Analyses indicate that the Gambling with SAD group has a greater need for professional, legal, psychological and relational intervention, as well as differences on the sociodemographic level. However, the Gambling without SAD group has a greater need for intervention concerning their gambling and gaming habits,. The implication of these differences in the clinical profiles is discussed in relation to the intervention targets to prioritize.
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Turner, Nigel E., Steve McAvoy, Peter Ferentzy, Flora I. Matheson, Chris Myers, Farah Jindani, Nina Littman-Sharp, and Jan Malat. "Addressing the Issue of Problem Gambling in the Criminal Justice System: A Series of Case Studies." Journal of Gambling Issues, no. 35 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2017.35.4.

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Abstract:
The prevalence rates of problem gambling in the adult correctional population are 5 to 10 times higher than those found in the general population. Yet little has been published about dealing with problem gamblers in correctional settings. We conducted a literature review and interviewed 16 key informants who provide services to clients experiencing problem gambling and/or who have worked in the criminal justice system. Our objective was to gain greater understanding of programming for problem gambling for clients who are involved in the criminal justice system, with a particular focus on Ontario. The published literature on this topic is remarkably sparse. In fact, only two peer-reviewed published studies were identified that formally evaluated a treatment program for problem gambling for clients in these settings. However, we uncovered a small number of programs (10) that had been developed for, and delivered to, this population, including a gambling treatment court in Buffalo, Gamblers Anonymous, outpatient treatment during probation or parole, brief psychoeducational programs, brief therapy, a full intense treatment program, and inpatient treatment after release. We present a series of short case studies of these programs. Although some programs have been delivered within correctional institutions, others have been offered either after release or prior to sentencing. A major issue is the lack of awareness of problem gambling in the criminal justice system among judges, lawyers, wardens, corrections workers, and parole officers. The results are discussed in terms of issues and opportunities for programming for problem gamblers in the criminal justice system.Chez la population carcérale adulte, les taux de prévalence du jeu compulsif sont de cinq à dix fois plus élevés que dans l’ensemble de la population. Pourtant, peu de choses ont été publiées sur les joueurs pathologiques en milieu correctionnel. Nous avons effectué une revue de la littérature et avons interviewé 16 informateurs clés qui fournissent des services aux clients ayant un problème de jeu ou qui ont travaillé dans le système de justice pénale. Notre objectif consistait à mieux comprendre les programmes pour traiter le jeu compulsif destinés aux clients qui ont eu des démêlés avec la justice, avec un intérêt particulier pour l’Ontario. Étonnamment, il existe très peu de publications sur ce sujet. En effet, nous n’avons trouvé que deux comptes rendus d’étude publiés et validés par un comité de lecture qui ont évalué en bonne et due forme un programme de traitement pour le jeu pathologique destiné aux clients de ce milieu. Toutefois, nous avons découvert un petit nombre de programmes (10) qui ont été élaborés à l’intention de cette population, et qui lui ont été offerts, notamment un programme judiciaire de traitement du jeu pathologique à Buffalo, le groupe d’aide Joueurs Anonymes, un traitement ambulatoire durant la probation ou la libération conditionnelle, des programmes psychopédagogiques de courte durée, une thérapie brève, un programme complet de traitement intensif et un traitement en établissement après la libération. Nous présentons une série de courtes études de cas de ces programmes. Bien que certains de ces programmes aient été offerts dans des établissements correctionnels, d’autres ont été proposés après la libération ou avant la condamnation. Le principal problème réside dans le fait que les juges, les avocats, les directeurs, les intervenants correctionnels et les agents de libération conditionnelle connaissent mal le jeu pathologique dans le cadre du système de justice pénale. Les résultats sont analysés en fonction des difficultés et des avantages des programmes destinés aux joueurs pathologiques qui ont eu des démêlés avec la justice.
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Turner, Nigel E., Steve McAvoy, Peter Ferentzy, Flora I. Matheson, Chris Myers, Farah Jindani, Nina Littman-Sharp, and Jan Malat. "Addressing the Issue of Problem Gambling in the Criminal Justice System: A Series of Case Studies." Journal of Gambling Issues, no. 35 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i35.3973.

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Abstract:
The prevalence rates of problem gambling in the adult correctional population are 5 to 10 times higher than those found in the general population. Yet little has been published about dealing with problem gamblers in correctional settings. We conducted a literature review and interviewed 16 key informants who provide services to clients experiencing problem gambling and/or who have worked in the criminal justice system. Our objective was to gain greater understanding of programming for problem gambling for clients who are involved in the criminal justice system, with a particular focus on Ontario. The published literature on this topic is remarkably sparse. In fact, only two peer-reviewed published studies were identified that formally evaluated a treatment program for problem gambling for clients in these settings. However, we uncovered a small number of programs (10) that had been developed for, and delivered to, this population, including a gambling treatment court in Buffalo, Gamblers Anonymous, outpatient treatment during probation or parole, brief psychoeducational programs, brief therapy, a full intense treatment program, and inpatient treatment after release. We present a series of short case studies of these programs. Although some programs have been delivered within correctional institutions, others have been offered either after release or prior to sentencing. A major issue is the lack of awareness of problem gambling in the criminal justice system among judges, lawyers, wardens, corrections workers, and parole officers. The results are discussed in terms of issues and opportunities for programming for problem gamblers in the criminal justice system.Chez la population carcérale adulte, les taux de prévalence du jeu compulsif sont de cinq à dix fois plus élevés que dans l’ensemble de la population. Pourtant, peu de choses ont été publiées sur les joueurs pathologiques en milieu correctionnel. Nous avons effectué une revue de la littérature et avons interviewé 16 informateurs clés qui fournissent des services aux clients ayant un problème de jeu ou qui ont travaillé dans le système de justice pénale. Notre objectif consistait à mieux comprendre les programmes pour traiter le jeu compulsif destinés aux clients qui ont eu des démêlés avec la justice, avec un intérêt particulier pour l’Ontario. Étonnamment, il existe très peu de publications sur ce sujet. En effet, nous n’avons trouvé que deux comptes rendus d’étude publiés et validés par un comité de lecture qui ont évalué en bonne et due forme un programme de traitement pour le jeu pathologique destiné aux clients de ce milieu. Toutefois, nous avons découvert un petit nombre de programmes (10) qui ont été élaborés à l’intention de cette population, et qui lui ont été offerts, notamment un programme judiciaire de traitement du jeu pathologique à Buffalo, le groupe d’aide Joueurs Anonymes, un traitement ambulatoire durant la probation ou la libération conditionnelle, des programmes psychopédagogiques de courte durée, une thérapie brève, un programme complet de traitement intensif et un traitement en établissement après la libération. Nous présentons une série de courtes études de cas de ces programmes. Bien que certains de ces programmes aient été offerts dans des établissements correctionnels, d’autres ont été proposés après la libération ou avant la condamnation. Le principal problème réside dans le fait que les juges, les avocats, les directeurs, les intervenants correctionnels et les agents de libération conditionnelle connaissent mal le jeu pathologique dans le cadre du système de justice pénale. Les résultats sont analysés en fonction des difficultés et des avantages des programmes destinés aux joueurs pathologiques qui ont eu des démêlés avec la justice.
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35

Yokomitsu, Kengo, and Eiichi Kamimura. "Factor structure and validation of the Japanese version of the Gambling Symptom Assessment Scale (GSAS-J)." Journal of Gambling Issues, no. 41 (February 13, 2019). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2019.41.1.

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Abstract:
The Gambling Symptom Assessment Scale (GSAS) is a 12-item self-rated measure designed to assess gambling symptoms. This study was designed to translate the GSAS into Japanese and to examine the factor structure and validity of the Japanese version of the GSAS (GSAS-J) for a Japanese sample population. We examined the measurement invariance in the GSAS-J between a probable disordered and a non-disordered gambling sample. Seven hundred and seven participants (380 men, 327 women; mean age = 48.41, SD = 10.79) living in Japan were recruited online and included in the analyses. Confirmatory factor analysis results indicated that the GSAS-J factor structure (one-factor structure model) was appropriate for the data (χ2(48) = 195.49, p < .05; CFI = .927; RMSEA = .066; SRMR = .036). Results of multi-group confirmatory factor analysis indicated that the GSAS-J demonstrated strong factorial invariance between probable disordered gamblers and non-disordered gamblers. The Cronbach a coefficient was .96 for the total scale. Good concurrent validity was found for the GSAS-J in relation with other variables: the Kruskal-Wallis H test showed severe and extreme gamblers spent more days and much more money than those of moderate or mild gamblers, and the GSAS-J was significantly correlated with South Oaks Gambling Screen (r = .57), Gambling Related Cognitions Scale (r = .71), and Gambling Urge Scale (r = .72). Furthermore, t-test results indicated significant gender differences in GSAS-J scores. These results indicate GSAS-J is a valid measure for assessing gambling symptoms in Japanese sample populations.Résumé La Gambling Symptom Assessment Scale (GSAS) (échelle d’évaluation des symptômes du jeu pathologique) est une mesure d’auto-évaluation en 12 points, conçue pour évaluer les symptômes du jeu. Cette étude visait à traduire le GSAS en japonais et à examiner la structure factorielle et la validité de la version japonaise du GSAS (GSAS-J) pour un échantillon de population japonaise. Nous avons examiné l’invariance des mesures du GSAS-J entre un échantillon de jeu problématique probable et un échantillon de jeu non problématique. Sept-cent-sept participants (380 hommes, 327 femmes; âge moyen = 48,41, SD = 10,79) vivant au Japon ont été recrutés en ligne et inclus dans les analyses. Les résultats de l’analyse factorielle confirmatoire ont indiqué que la structure factorielle du GSAS-J (modèle de structure à un facteur) était appropriée pour les données (χ2(48) = 195,49, p < 0,05; CFI = 0,927; RMSEA = 0,066; SRMR = 0,036). Les résultats de l’analyse factorielle confirmatoire multi-groupes ont indiqué que le GSAS-J démontrait une forte invariance factorielle entre les joueurs probablement pathologiques et les joueurs non pathologiques. Le coefficient de Cronbach a était de 0,96 pour l’échelle totale. Une bonne validité convergente a été trouvée pour le GSAS-J en fonction de relation avec d’autres variables: Test Kruskal-Wallis H – le groupe de joueurs montant de graves et à très graves symptômes du jeu a passé plus de jours et dépensé beaucoup plus d’argent que les joueurs des groupes ayant des symptômes modérés ou légers; analyses de corrélation – South Oaks Gambling Screen (r = 0,57), échelle des cognitions liées au jeu (Gambling Related Cognitions Scale) (r = 0,71) et échelle de jeu compulsif (r = 0,72). En outre, les résultats du test de Student indiquaient des différences significatives entre les sexes dans les scores GSAS-J. Ces résultats indiquent que le GSAS-J est une mesure valable pour évaluer les symptômes du jeu dans les échantillons de la population japonaise.
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Venuleo, Claudia, and Tiziana Marinaci. "The Social Construction of the Pathological Gambler's Identity and Its Relationship With Social Adaptation: Narratives From Members of Italian Gambling Anonymous and Gam-Anon Family Groups." Journal of Gambling Issues, no. 36 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2017.36.7.

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Abstract:
According to a socio-constructionist perspective, pathological gamblers’ “subjectivities” emerge out of social networks and networks of meaning-making in which scientists, politicians, health services, and common people take an active part. We are interested in showing how a legitimated view (socio-cultural model) of problem gambling as a disease affects the way in which the members of Gamblers Anonymous (GA) self-groups understand and present their identity and talk about their problem and the help they have received. The work is based on a qualitative analysis of 35 in-depth, semi-structured, open-ended interviews, 25 with gamblers who attend Italian GA self-help groups and 10 with gamblers’ relatives who attend Gam-Anon family groups. The main themes arising from the interviews show how a dominant view of problem gambling as a lifelong chronic illness opens the door to reconciliation with oneself and one’s relatives. This work provides insights into the close relationship between acculturation to a pathological identity, moral reconciliation, and “social belonging” that occurs through conforming to the GA group. Selon un point de vue socio-constructiviste, les «subjectivités» des joueurs pathologiques émergent des réseaux sociaux et des réseaux de création de sens dans lesquels les scientifiques, les politiciens, les services de santé et les personnes ordinaires participent activement. Nous sommes intéressés à montrer comment une vision légitimée (modèle socio-culturel) du jeu problématique en tant que maladie affecte la façon dont les membres des groupes autonomes de Gamblers Anonymes (GA) comprennent et présentent leur identité et parlent de leur problème et de l'aide qu’ils ont reçu. Le travail est basé sur une analyse qualitative de 35 entrevues approfondies, semi-structurées et ouvertes, 25 avec des joueurs qui fréquentent des groupes d'entraide italiens de GA et 10 avec des parents de joueurs qui fréquentent des groupes familiaux Gam-Anon. Les principaux thèmes découlant des entrevues montrent comment une vision dominante du jeu problématique en tant que maladie chronique tout au long de la vie ouvre la voie à la réconciliation avec soi-même et avec ses proches. Ce travail donne un aperçu de la relation étroite entre l'acculturation à une identité pathologique, une réconciliation morale et une «appartenance sociale» qui se produit en se conformant au groupe GA.
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Venuleo, Claudia, and Tiziana Marinaci. "The Social Construction of the Pathological Gambler's Identity and Its Relationship With Social Adaptation: Narratives From Members of Italian Gambling Anonymous and Gam-Anon Family Groups." Journal of Gambling Issues, no. 36 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i36.3985.

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Abstract:
According to a socio-constructionist perspective, pathological gamblers’ “subjectivities” emerge out of social networks and networks of meaning-making in which scientists, politicians, health services, and common people take an active part. We are interested in showing how a legitimated view (socio-cultural model) of problem gambling as a disease affects the way in which the members of Gamblers Anonymous (GA) self-groups understand and present their identity and talk about their problem and the help they have received. The work is based on a qualitative analysis of 35 in-depth, semi-structured, open-ended interviews, 25 with gamblers who attend Italian GA self-help groups and 10 with gamblers’ relatives who attend Gam-Anon family groups. The main themes arising from the interviews show how a dominant view of problem gambling as a lifelong chronic illness opens the door to reconciliation with oneself and one’s relatives. This work provides insights into the close relationship between acculturation to a pathological identity, moral reconciliation, and “social belonging” that occurs through conforming to the GA group. Selon un point de vue socio-constructiviste, les «subjectivités» des joueurs pathologiques émergent des réseaux sociaux et des réseaux de création de sens dans lesquels les scientifiques, les politiciens, les services de santé et les personnes ordinaires participent activement. Nous sommes intéressés à montrer comment une vision légitimée (modèle socio-culturel) du jeu problématique en tant que maladie affecte la façon dont les membres des groupes autonomes de Gamblers Anonymes (GA) comprennent et présentent leur identité et parlent de leur problème et de l'aide qu’ils ont reçu. Le travail est basé sur une analyse qualitative de 35 entrevues approfondies, semi-structurées et ouvertes, 25 avec des joueurs qui fréquentent des groupes d'entraide italiens de GA et 10 avec des parents de joueurs qui fréquentent des groupes familiaux Gam-Anon. Les principaux thèmes découlant des entrevues montrent comment une vision dominante du jeu problématique en tant que maladie chronique tout au long de la vie ouvre la voie à la réconciliation avec soi-même et avec ses proches. Ce travail donne un aperçu de la relation étroite entre l'acculturation à une identité pathologique, une réconciliation morale et une «appartenance sociale» qui se produit en se conformant au groupe GA.
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Shumlich, Erin J., Samara Perez, and Peter N. S. Hoaken. "The Influence of Locus of Control and Sensation Seeking Among Undergraduate Texas Hold’em Players." Journal of Gambling Issues, no. 37 (December 31, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2018.37.2.

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Abstract:
Texas Hold’em poker has become increasingly popular on university and college campuses. However, not much is known about personality correlates of engaging in Hold’em, which is commonly seen as more skill-based compared to other forms of gambling. The current study sought to determine where, how much, and which students are playing Hold’em, and to further distinguish these patterns among gamblers. The current study describes Canadian university students’ Hold’em-specific behaviour and beliefs, as well as determines whether locus of control and sensation seeking traits independently correlate with and predict gambling behaviour among a university sample. Undergraduate students (N = 96) completed an online questionnaire containing Rotter’s Internality-Externality scale (I-E), the Zuckerman Sensation Seeking Scale (SSS) and the South Oaks Gambling Screen (SOGS). Participants played a round of Hold’em in lab and answered a survey about their perception of Hold’em and of the game they played. Sensation seeking and external locus of control were significantly positively correlated with gambling pathology. Participants overestimated the number of hands played and the time spent playing Hold’em. There was a significant positive correlation between gambling pathology and gambling success. The I-E and boredom susceptibility sensation seeking subscale significantly predicts some problem/pathological gambling. The current study suggests that more pathological gamblers display higher levels of sensation seeking and a more external locus of control than non-problem gamblers, and that the type of gambling activity and setting in which gambling occurs should be considered in future research looking at personality characteristics of certain problem/pathological gamblers. RésuméLa version de poker Texas Hold’em fait de plus en plus d’adeptes sur les campus. On ne connaît cependant pas grand-chose sur les corrélats de personnalité qui entrent en jeu dans le Hold’em, mais ils semblent généralement plus axés sur les compétences par rapport aux autres formes de jeux de hasard. Cette étude a cherché à déterminer les lieux, le nombre et le genre d’étudiants qui jouent au Hold’em et à caractériser plus en profondeur ces modèles parmi les joueurs. L’étude décrit le comportement et les croyances propres aux étudiants universitaires canadiens et détermine si le locus de contrôle et les caractéristiques de recherche de sensation sont en corrélation et prédisent indépendamment le comportement du jeu dans un échantillon universitaire. Pour l’étude, les étudiants de premier cycle (N = 96) ont rempli un questionnaire en ligne contenant l’échelle de Rotter (I-E) sur l’internalité-externalité, l’échelle de Zuckerman sur la recherche de sensation et le South Oaks Gambling Screen (SOGS). Les participants ont joué une partie de Hold’em en laboratoire et ont répondu à un sondage sur leur perception du Hold’em et de la partie qu’ils ont jouée. La recherche de sensations et le lieu de contrôle externe ont été corrélés positivement et substantiellement à la pathologie du jeu. Les participants ont surestimé le nombre de mains jouées et le temps consacré à jouer la partie. Il y a eu corrélation positive importante entre la pathologie du jeu et la réussite du jeu. L’échelle sur l’internalité-externalité et la sous-échelle de la disposition à l’ennui prédisent de manière significative certains problèmes ou pathologies liés au jeu. L’étude actuelle suggère que plus de joueurs pathologiques affichent des niveaux plus élevés de recherche de sensation et un locus de contrôle plus externe que les joueurs sans problème, et que ce type d’activité de jeu et le contexte dans lequel le jeu se produit devraient être pris en compte dans les recherches futures sur les caractéristiques de la personnalité de certains joueurs compulsifs/pathologiques.
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Shumlich, Erin J., Samara Perez, and Peter N. S. Hoaken. "The Influence of Locus of Control and Sensation Seeking Among Undergraduate Texas Hold’em Players." Journal of Gambling Issues, no. 37 (December 8, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i37.3990.

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Abstract:
Texas Hold’em poker has become increasingly popular on university and college campuses. However, not much is known about personality correlates of engaging in Hold’em, which is commonly seen as more skill-based compared to other forms of gambling. The current study sought to determine where, how much, and which students are playing Hold’em, and to further distinguish these patterns among gamblers. The current study describes Canadian university students’ Hold’em-specific behaviour and beliefs, as well as determines whether locus of control and sensation seeking traits independently correlate with and predict gambling behaviour among a university sample. Undergraduate students (N = 96) completed an online questionnaire containing Rotter’s Internality-Externality scale (I-E), the Zuckerman Sensation Seeking Scale (SSS) and the South Oaks Gambling Screen (SOGS). Participants played a round of Hold’em in lab and answered a survey about their perception of Hold’em and of the game they played. Sensation seeking and external locus of control were significantly positively correlated with gambling pathology. Participants overestimated the number of hands played and the time spent playing Hold’em. There was a significant positive correlation between gambling pathology and gambling success. The I-E and boredom susceptibility sensation seeking subscale significantly predicts some problem/pathological gambling. The current study suggests that more pathological gamblers display higher levels of sensation seeking and a more external locus of control than non-problem gamblers, and that the type of gambling activity and setting in which gambling occurs should be considered in future research looking at personality characteristics of certain problem/pathological gamblers. RésuméLa version de poker Texas Hold’em fait de plus en plus d’adeptes sur les campus. On ne connaît cependant pas grand-chose sur les corrélats de personnalité qui entrent en jeu dans le Hold’em, mais ils semblent généralement plus axés sur les compétences par rapport aux autres formes de jeux de hasard. Cette étude a cherché à déterminer les lieux, le nombre et le genre d’étudiants qui jouent au Hold’em et à caractériser plus en profondeur ces modèles parmi les joueurs. L’étude décrit le comportement et les croyances propres aux étudiants universitaires canadiens et détermine si le locus de contrôle et les caractéristiques de recherche de sensation sont en corrélation et prédisent indépendamment le comportement du jeu dans un échantillon universitaire. Pour l’étude, les étudiants de premier cycle (N = 96) ont rempli un questionnaire en ligne contenant l’échelle de Rotter (I-E) sur l’internalité-externalité, l’échelle de Zuckerman sur la recherche de sensation et le South Oaks Gambling Screen (SOGS). Les participants ont joué une partie de Hold’em en laboratoire et ont répondu à un sondage sur leur perception du Hold’em et de la partie qu’ils ont jouée. La recherche de sensations et le lieu de contrôle externe ont été corrélés positivement et substantiellement à la pathologie du jeu. Les participants ont surestimé le nombre de mains jouées et le temps consacré à jouer la partie. Il y a eu corrélation positive importante entre la pathologie du jeu et la réussite du jeu. L’échelle sur l’internalité-externalité et la sous-échelle de la disposition à l’ennui prédisent de manière significative certains problèmes ou pathologies liés au jeu. L’étude actuelle suggère que plus de joueurs pathologiques affichent des niveaux plus élevés de recherche de sensation et un locus de contrôle plus externe que les joueurs sans problème, et que ce type d’activité de jeu et le contexte dans lequel le jeu se produit devraient être pris en compte dans les recherches futures sur les caractéristiques de la personnalité de certains joueurs compulsifs/pathologiques.
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Cunha, Diana, Bruno De Sousa, and Ana Paula Relvas. "Risk factors for pathological gambling along a continuum of severity: Individual and relational variables." Journal of Gambling Issues, no. 35 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2017.35.3.

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Abstract:
This study’s aim was to identify characteristics with higher odds of distinguishing a group of pathological gamblers (PG) from (1) a group of gamblers without a gambling problem (NP) and 2) a sub-clinical group (SP). An additional aim was to investigate those characteristics as risk/protective factors along the continuum of problem-gambling severity. Sociodemographic (gender, age, marital status, and educational level), individual (psychopathological symptoms) and relational (family functioning, dyadic adjustment, and differentiation of self) variables were considered. The sample consisted of 331 participants: 162 NP, 117 SP and 52 PG. The main results indicate that the characteristics with higher odds of distinguishing among the groups were gender, educational level, age, differentiation of self, and psychopathological symptoms. The odds of being a PG were higher for men with a low educational level and less adaptive psycho-relational functioning. Conversely, the odds of being a NP were higher for women with a high educational level and more adaptive psycho-relational functioning. Gender and educational level stood out with respect to their relevance as risk/protective factors, and their role was found to be dynamic and interdependent with the severity of problem gambling and/or the investigated psycho-relational characteristics. The risk/protective value was more remarkable when gamblers already exhibited SP.L’objectif de cette étude était d'identifier les caractéristiques présentant une probabilité plus élevée de distinguer un groupe de joueurs pathologiques (PG) d'un groupe de joueurs sans problème de jeu (NP) et un groupe sous-clinique (SP). Un autre objectif consistait à étudier ces caractéristiques en tant que facteurs de risque / protection dans le continuum de la gravité du jeu problématique. Les variables sociodémographiques (sexe, âge, état matrimonial et niveau d'instruction), individuelles (symptômes psychopathologiques) et relationnelles (fonctionnement familial, ajustement dyadique et différenciation de self) ont été prises en considération. L'échantillon comprenait 331 participants: 162 NP, 117 SP et 52 PG. Les principaux résultats indiquent que les caractéristiques ayant une plus grande probabilité de distinction entre les groupes étaient le sexe, le niveau d'instruction, l'âge, la différenciation de self et les symptômes psychopathologiques. Les probabilités d'être un PG étaient plus élevées chez les hommes ayant un faible niveau d'instruction et moins adaptative au fonctionnement psycho-relationnel. À l'inverse, les probabilités d'être NP étaient plus élevées chez les femmes ayant un niveau d'instruction élevé et un fonctionnement psycho-relationnel plus adaptatif. Le sexe et le niveau de scolarité se distinguent par leur pertinence en tant que facteurs de risque / protection et leur rôle est jugé dynamique et interdépendant de la gravité du jeu problématique et / ou des caractéristiques psycho-relationnel étudiées. La valeur risque / protection était plus remarquable lorsque les joueurs présentaient déjà SP.
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Cunha, Diana, Bruno De Sousa, and Ana Paula Relvas. "Risk factors for pathological gambling along a continuum of severity: Individual and relational variables." Journal of Gambling Issues, no. 35 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i35.3972.

Full text
Abstract:
This study’s aim was to identify characteristics with higher odds of distinguishing a group of pathological gamblers (PG) from (1) a group of gamblers without a gambling problem (NP) and 2) a sub-clinical group (SP). An additional aim was to investigate those characteristics as risk/protective factors along the continuum of problem-gambling severity. Sociodemographic (gender, age, marital status, and educational level), individual (psychopathological symptoms) and relational (family functioning, dyadic adjustment, and differentiation of self) variables were considered. The sample consisted of 331 participants: 162 NP, 117 SP and 52 PG. The main results indicate that the characteristics with higher odds of distinguishing among the groups were gender, educational level, age, differentiation of self, and psychopathological symptoms. The odds of being a PG were higher for men with a low educational level and less adaptive psycho-relational functioning. Conversely, the odds of being a NP were higher for women with a high educational level and more adaptive psycho-relational functioning. Gender and educational level stood out with respect to their relevance as risk/protective factors, and their role was found to be dynamic and interdependent with the severity of problem gambling and/or the investigated psycho-relational characteristics. The risk/protective value was more remarkable when gamblers already exhibited SP.L’objectif de cette étude était d'identifier les caractéristiques présentant une probabilité plus élevée de distinguer un groupe de joueurs pathologiques (PG) d'un groupe de joueurs sans problème de jeu (NP) et un groupe sous-clinique (SP). Un autre objectif consistait à étudier ces caractéristiques en tant que facteurs de risque / protection dans le continuum de la gravité du jeu problématique. Les variables sociodémographiques (sexe, âge, état matrimonial et niveau d'instruction), individuelles (symptômes psychopathologiques) et relationnelles (fonctionnement familial, ajustement dyadique et différenciation de self) ont été prises en considération. L'échantillon comprenait 331 participants: 162 NP, 117 SP et 52 PG. Les principaux résultats indiquent que les caractéristiques ayant une plus grande probabilité de distinction entre les groupes étaient le sexe, le niveau d'instruction, l'âge, la différenciation de self et les symptômes psychopathologiques. Les probabilités d'être un PG étaient plus élevées chez les hommes ayant un faible niveau d'instruction et moins adaptative au fonctionnement psycho-relationnel. À l'inverse, les probabilités d'être NP étaient plus élevées chez les femmes ayant un niveau d'instruction élevé et un fonctionnement psycho-relationnel plus adaptatif. Le sexe et le niveau de scolarité se distinguent par leur pertinence en tant que facteurs de risque / protection et leur rôle est jugé dynamique et interdépendant de la gravité du jeu problématique et / ou des caractéristiques psycho-relationnel étudiées. La valeur risque / protection était plus remarquable lorsque les joueurs présentaient déjà SP.
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Pickering, Dylan, Zhenzhen Nong, Sally M. Gainsbury, and Alex Blaszczynski. "Consumer Perspectives of a Multi-Venue Gambling Self-Exclusion Program: A Qualitative Process Analysis." Journal of Gambling Issues, no. 41 (April 30, 2019). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2019.41.2.

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Abstract:
Self-exclusion is an important harm minimization strategy implemented by gambling operators to restrict a problem gambler’s access to gambling opportunities. Aspects of self-exclusion, including low uptake and non-compliance, limit the effectiveness of programs. Research that considers the consumer perspective is needed to enhance the perceived utility of self-exclusion in the target audience. Twenty interviews were conducted with current (n = 13) and former (n = 7) participants of a multi-venue self-exclusion program for land-based gaming machine venues in New South Wales, Australia. Participants were asked open-ended questions about their experiences and opinions of the program, including its strengths and weaknesses, and suggested improvements for future consumers. Overall, participants found self-exclusion beneficial. However, several shortcomings of the program were expressed, including lack of available public information and overly complicated registration processes. Participants lacked confidence in venues’ willingness and ability to identify non-compliant gamblers and highlighted the need for vastly improved detection systems. The quality of interactions with venue staff in relation to self-exclusion were mixed; counsellor support, however, was perceived as important from beginning to end of a self-exclusion period. Results suggest that gambling operators should increase marketing efforts to promote the availability and benefits of self-exclusion. Investigation of strategies to streamline registration processes and to augment detection systems with new technologies was supported. Venue staff may benefit from training in appropriate self-exclusion facilitation procedures. Gambling operators should aim to foster strong links between self-exclusion programs and professional gambling counselling services.Résumé L’auto-exclusion est une importante stratégie de minimisation des méfaits mise en œuvre par les exploitants de jeux d’argent afin de limiter l’accès des joueurs pathologiques aux occasions de jeu. Certains aspects de l’auto-exclusion, notamment la faible participation et la non-conformité, limitent toutefois l’efficacité des programmes. Des recherches tenant compte de la perspective du joueur sont nécessaires pour renforcer l’utilité perçue de l’auto-exclusion auprès du public cible. Vingt entretiens ont été menés auprès de participants actuels (n = 13) et anciens (n = 7) d’un programme d’auto-exclusion multi-sites pour les salles de jeux de hasard en Nouvelle-Galles-du-Sud, en Australie. On a posé aux participants des questions ouvertes sur leurs expériences et leurs opinions sur le programme, y compris ses forces et ses faiblesses, et sur des améliorations à apporter pour les futurs participants. Dans l’ensemble, les participants ont trouvé le programme d’auto-exclusion bénéfique. Toutefois, plusieurs lacunes du programme ont été signalées, notamment le manque d’informations disponibles dans le public et des processus d’inscription excessivement compliqués. Les participants manquaient de confiance en la volonté et la capacité des propriétaires de sites d’identifier les joueurs non conformes, et ils ont souligné la nécessité d’améliorer considérablement les systèmes de détection. La qualité des interactions avec le personnel des lieux concernant l’auto-exclusion était mitigée; le soutien des conseillers a toutefois été perçu comme important du début à la fin de la période d’auto-exclusion. Les résultats laissent croire que les exploitants de jeux d’argent devraient intensifier leurs efforts de publicité pour promouvoir la disponibilité et les avantages de programmes d’auto-exclusion. La recherche de stratégies visant à rationaliser les processus d’inscription et à améliorer les systèmes de détection par de nouvelles technologies a été encouragée. Les membres du personnel des sites peuvent bénéficier d’une formation sur les procédures appropriées de facilitation pour l’auto-exclusion. Les exploitants de jeux devraient s’efforcer d’établir des liens étroits entre les programmes d’auto-exclusion et les services de conseillers professionnels en matière de jeu.
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Côté, Mélissa, Joël Tremblay, and Natacha Brunelle. "A new look at the coping strategies used by the partners of pathological gamblers." Journal of Gambling Issues, no. 38 (May 28, 2018). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2018.38.3.

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Abstract:
People living with pathological gamblers (PGs) have to endure the negative consequences of their problem gambling. It is known that the partners of PGs will develop adaptation strategies to cope with gambling behaviour. However, research conducted on the topic is still in its early stages. The goal of this study was to draw up a portrait of the strategies employed, their context, means, and main goals, and to examine the variation of these strategies over time and the viewpoints of the 2 members of the couple. Using 19 semi-structured interviews, we noted that the partners used some 30 strategies aiming primarily at modifying the gamblers’ pathological behaviour, and also at improving their own personal well-being. An analysis of the usage context illustrated the many possible interactions which occurred between individuals and their environment and which triggered a strategy’s use. Generally speaking, both members of the couple had a similar perception of the strategies used by the partners. When partners realized that they had not influenced the PGs’ habits, they sometimes changed adaptation strategies.RésuméLes partenaires de joueurs pathologiques (JP) vivent des conséquences négatives découlant des habitudes problématiques de jeux de hasard et d’argent (JHA) de leur conjoint.. Il est reconnu que les partenaires de JP mettront en place des stratégies d’adaptation pour faire face à ces comportements de JHA. Toutefois, les recherches effectuées sur le sujet en sont encore à leurs premiers balbutiements. L’objectif de cette étude vise à dresser un portrait des stratégies utilisées, leurs contextes d'utilisation, les moyens et les finalités recherchées, en plus de s’intéresser au point de vue des deux membres du couple et à la variation dans le temps de ces stratégies. À l'aide de dix-neuf entrevues semi-structurées, on remarque que les partenaires ont utilisé près d'une trentaine de stratégies visant principalement une modification des comportements de JHA du JP, mais aussi l'amélioration de leur bien-être personnel. L'analyse des contextes d’utilisation illustre les nombreuses interactions possibles entre l'individu et son environnement qui déclenchent l’utilisation d’une stratégie. De façon générale, les deux membres du couple ont une perception similaire des stratégies utilisées par l’autre partenaire. Enfin, lorsque les partenaires prennent conscience qu'elles n'ont pas influencé les habitudes de JHA du JP, elles changent parfois de stratégies d’adaptation.
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Wohl, Michael J. A., Melissa M. Salmon, Samantha J. Hollingshead, and Hyoun S. Kim. "An Examination of the Relationship Between Social Casino Gaming and Gambling: The Bad, The Ugly, and The Good." Journal of Gambling Issues, no. 35 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2017.35.1.

Full text
Abstract:
Social casino games (i.e., free-to-play online gambling-themed games) are now ubiquitous on social network platforms such as Facebook. Their popularity and similarity to gambling games has raised concern that, among other things, social casino games will normalize gambling behaviour, which may contribute to gambling participation and to a rise in the rate of disordered gambling (see Gainsbury, Hing, Delfabbro, & King, 2014; Kim, Wohl, Salmon, Gupta, & Derevensky, 2015; Parke, Wardle, Rigbye, & Parke, 2013). Herein, we review theory and research that address potentially bad (migration to gambling) and ugly (increased rate of problem gambling) consequences of social casino gaming. We also outline the limits and boundaries of this presupposition. Specifically, we outline contexts in which social casino games may yield positive consequences when played, including the use of such games as a proxy for gambling among disordered gamblers. Drawing on these discussions, we offer a path model for gambling behaviour that places social casino gaming at its core. Although we, like others, present some pessimism regarding the outcome of social casino game play, this paper points to situations and motivations that may yield positive effects.Les jeux de casino sociaux (à savoir, les jeux de hasard gratuits en ligne) se retrouvent maintenant sur les plateformes de réseaux sociaux comme Facebook. Leur popularité et leur ressemblance avec les jeux d’argent soulèvent des inquiétudes que les jeux de casino sociaux aient entre autres pour effet de normaliser les comportements de jeu, lesquels peuvent contribuer à une participation aux jeux de hasard et à une augmentation du taux de jeu compulsif (voir Gainsbury, Hing, Delfabbro, et King, 2014; Kim, Wohl, Salmon, Gupta, et Derevensky, 2015; Parke, Wardle, Rigbye, et Parke, 2013). Dans le présent article, nous analyserons la théorie et les travaux de recherche qui traitent des conséquences potentiellement néfastes (engouement pour les jeux d’argent) et horribles (augmentation du taux du jeu compulsif) des jeux de casino sociaux. Nous définissons également les limites de cette affirmation. Plus particulièrement, nous présentons une vue d’ensemble des contextes dans lesquels les jeux de casino sociaux peuvent avoir des conséquences positives lorsqu’on s’y adonne, notamment l’utilisation chez les joueurs pathologiques de ces jeux comme substitut pour les jeux de hasard. En nous inspirant de cette analyse, nous proposons un modèle de cheminement pour les comportements de jeu où les jeux de casino sociaux occupent la place centrale. Bien que nous soyons un peu pessimistes, et nous ne sommes pas les seuls, en ce qui a trait aux répercussions des jeux de casino sociaux, cet article cite des situations et des motivations qui peuvent amener des effets positifs.
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Wohl, Michael J. A., Melissa M. Salmon, Samantha J. Hollingshead, and Hyoun S. Kim. "An Examination of the Relationship Between Social Casino Gaming and Gambling: The Bad, The Ugly, and The Good." Journal of Gambling Issues, no. 35 (August 2, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i35.3970.

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Abstract:
Social casino games (i.e., free-to-play online gambling-themed games) are now ubiquitous on social network platforms such as Facebook. Their popularity and similarity to gambling games has raised concern that, among other things, social casino games will normalize gambling behaviour, which may contribute to gambling participation and to a rise in the rate of disordered gambling (see Gainsbury, Hing, Delfabbro, & King, 2014; Kim, Wohl, Salmon, Gupta, & Derevensky, 2015; Parke, Wardle, Rigbye, & Parke, 2013). Herein, we review theory and research that address potentially bad (migration to gambling) and ugly (increased rate of problem gambling) consequences of social casino gaming. We also outline the limits and boundaries of this presupposition. Specifically, we outline contexts in which social casino games may yield positive consequences when played, including the use of such games as a proxy for gambling among disordered gamblers. Drawing on these discussions, we offer a path model for gambling behaviour that places social casino gaming at its core. Although we, like others, present some pessimism regarding the outcome of social casino game play, this paper points to situations and motivations that may yield positive effects.Les jeux de casino sociaux (à savoir, les jeux de hasard gratuits en ligne) se retrouvent maintenant sur les plateformes de réseaux sociaux comme Facebook. Leur popularité et leur ressemblance avec les jeux d’argent soulèvent des inquiétudes que les jeux de casino sociaux aient entre autres pour effet de normaliser les comportements de jeu, lesquels peuvent contribuer à une participation aux jeux de hasard et à une augmentation du taux de jeu compulsif (voir Gainsbury, Hing, Delfabbro, et King, 2014; Kim, Wohl, Salmon, Gupta, et Derevensky, 2015; Parke, Wardle, Rigbye, et Parke, 2013). Dans le présent article, nous analyserons la théorie et les travaux de recherche qui traitent des conséquences potentiellement néfastes (engouement pour les jeux d’argent) et horribles (augmentation du taux du jeu compulsif) des jeux de casino sociaux. Nous définissons également les limites de cette affirmation. Plus particulièrement, nous présentons une vue d’ensemble des contextes dans lesquels les jeux de casino sociaux peuvent avoir des conséquences positives lorsqu’on s’y adonne, notamment l’utilisation chez les joueurs pathologiques de ces jeux comme substitut pour les jeux de hasard. En nous inspirant de cette analyse, nous proposons un modèle de cheminement pour les comportements de jeu où les jeux de casino sociaux occupent la place centrale. Bien que nous soyons un peu pessimistes, et nous ne sommes pas les seuls, en ce qui a trait aux répercussions des jeux de casino sociaux, cet article cite des situations et des motivations qui peuvent amener des effets positifs.
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Nadeau, Dominic, Isabelle Giroux, Martine Simard, Christian Jacques, and Nicolas Dupré. "Gambling Habits of People With Parkinson’s Disease: An Exploratory Study." Journal of Gambling Issues, no. 37 (December 31, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2018.37.7.

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Abstract:
The development of pathological gambling (PG) among people with Parkinson’s disease (PD) is increasingly reported. The intake of dopamine agonists is most often associated with the emergence of this addiction. Although it is known that gambling habits contribute to the onset of gambling problems in the general population, these habits have not yet been studied in individuals with PD. Thus, this study aimed to explore gambling habits in people with PD. Twenty-five individuals with PD and 8 caregivers participated. Thirteen gamblers took part in a semi-structured interview regarding their gambling habits and the presence of a gambling problem and other impulse-control disorders. The results show that gamblers mainly play lotteries and slot machines. Most gamble for pleasure, but some reported wanting to win money to finance a cure for their PD. None of the gamblers involved a caregiver in their gambling activities and no gambler currently presented a gambling problem. However, 2 at-risk gamblers reported having developed a gambling problem in the past. This study sheds light on factors that may contribute to the development of PG among patients with PD, namely, the emergence of new reasons for gambling after a PD diagnosis, erroneous beliefs about gambling, and discretion about gambling habits. Prevention strategies are discussed in view of these results. However, given the small sample size, further studies examining the gambling habits of people with PD are required.RésuméDe plus en plus, on observe le développement du jeu pathologique (JP) chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson (MP). La prise d’agonistes de la dopamine est le plus souvent associée à l’émergence de cette dépendance. Bien qu’il soit connu que les habitudes de jeu contribuent à l’apparition de problèmes de jeu dans la population en général, ces habitudes n’ont pas encore été étudiées chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson (MP). Dans cette optique, cette étude explore les habitudes de jeu chez les personnes atteintes de la MP. Vingt-cinq personnes atteintes de la maladie de Parkinson et huit soignants y ont participé. Treize joueurs ont participé à une entrevue semi-structurée concernant leurs habitudes de jeu et la présence d’un problème de jeu et d’autres troubles liés au contrôle des impulsions. Les résultats montrent que les joueurs jouent principalement aux loteries et aux machines à sous. La plupart jouent par plaisir, mais certains ont déclaré vouloir gagner de l’argent pour financer une thérapie contre la maladie. Aucun des joueurs n’avait avec lui un fournisseur de soins dans ses activités de jeu et aucun joueur ne présentait actuellement de problème de jeu. Cependant, deux joueurs à risque ont déclaré en avoir développé un par le passé. Cette étude met en lumière les facteurs qui peuvent contribuer au développement du jeu pathologique chez les personnes atteintes de Parkinson, à savoir l’émergence de nouvelles raisons pour le jeu après un diagnostic de MP, les croyances erronées sur le jeu et la discrétion sur les habitudes de jeu. Compte tenu de ces résultats, des stratégies de prévention sont analysées. Cependant, étant donné la petite taille de l’échantillon, d’autres études examinant les habitudes de jeu des personnes atteintes de cette maladie sont nécessaires.
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Nadeau, Dominic, Isabelle Giroux, Martine Simard, Christian Jacques, and Nicolas Dupré. "Gambling Habits of People With Parkinson’s Disease: An Exploratory Study." Journal of Gambling Issues, no. 37 (December 8, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i37.3995.

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Abstract:
The development of pathological gambling (PG) among people with Parkinson’s disease (PD) is increasingly reported. The intake of dopamine agonists is most often associated with the emergence of this addiction. Although it is known that gambling habits contribute to the onset of gambling problems in the general population, these habits have not yet been studied in individuals with PD. Thus, this study aimed to explore gambling habits in people with PD. Twenty-five individuals with PD and 8 caregivers participated. Thirteen gamblers took part in a semi-structured interview regarding their gambling habits and the presence of a gambling problem and other impulse-control disorders. The results show that gamblers mainly play lotteries and slot machines. Most gamble for pleasure, but some reported wanting to win money to finance a cure for their PD. None of the gamblers involved a caregiver in their gambling activities and no gambler currently presented a gambling problem. However, 2 at-risk gamblers reported having developed a gambling problem in the past. This study sheds light on factors that may contribute to the development of PG among patients with PD, namely, the emergence of new reasons for gambling after a PD diagnosis, erroneous beliefs about gambling, and discretion about gambling habits. Prevention strategies are discussed in view of these results. However, given the small sample size, further studies examining the gambling habits of people with PD are required.RésuméDe plus en plus, on observe le développement du jeu pathologique (JP) chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson (MP). La prise d’agonistes de la dopamine est le plus souvent associée à l’émergence de cette dépendance. Bien qu’il soit connu que les habitudes de jeu contribuent à l’apparition de problèmes de jeu dans la population en général, ces habitudes n’ont pas encore été étudiées chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson (MP). Dans cette optique, cette étude explore les habitudes de jeu chez les personnes atteintes de la MP. Vingt-cinq personnes atteintes de la maladie de Parkinson et huit soignants y ont participé. Treize joueurs ont participé à une entrevue semi-structurée concernant leurs habitudes de jeu et la présence d’un problème de jeu et d’autres troubles liés au contrôle des impulsions. Les résultats montrent que les joueurs jouent principalement aux loteries et aux machines à sous. La plupart jouent par plaisir, mais certains ont déclaré vouloir gagner de l’argent pour financer une thérapie contre la maladie. Aucun des joueurs n’avait avec lui un fournisseur de soins dans ses activités de jeu et aucun joueur ne présentait actuellement de problème de jeu. Cependant, deux joueurs à risque ont déclaré en avoir développé un par le passé. Cette étude met en lumière les facteurs qui peuvent contribuer au développement du jeu pathologique chez les personnes atteintes de Parkinson, à savoir l’émergence de nouvelles raisons pour le jeu après un diagnostic de MP, les croyances erronées sur le jeu et la discrétion sur les habitudes de jeu. Compte tenu de ces résultats, des stratégies de prévention sont analysées. Cependant, étant donné la petite taille de l’échantillon, d’autres études examinant les habitudes de jeu des personnes atteintes de cette maladie sont nécessaires.
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Binde, Per. "Gambling-Related Employee Embezzlement: A Study of Swedish Newspaper Reports." Journal of Gambling Issues, no. 34 (August 1, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2016.34.2.

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Abstract:
It is well-known that severe problem gambling may lead to economic crime. This study explored a particular type of such criminality: embezzlement committed by problem gamblers in the workplace. The aim was to gain knowledge about the extent of such criminality in Sweden and the sums of money involved. The method used was a media study of newspaper reports, complemented with information about help-seeking problem gamblers obtained in interviews with therapists specializing in problem gambling and with peer counsellors in mutual support societies of problem gamblers. The results showed that gambling-related embezzlement occurs in all branches of the economy where employees have access to money. The sums embezzled can be huge and the crimes sustained over several years. However, this varies across professional categories, with bank managers embezzling larger sums of money than others, and for longer, before being detected. Although Swedish newspapers report on average about one case a month of gambling-related employee embezzlement, the true prevalence is likely to be at least 10 times higher. More efforts should be made to prevent embezzlement and other gambling-related harms in the workplace.On sait que le jeu problématique grave peut mener à la criminalité économique. Cette étude porte sur un aspect particulier de ce type de criminalité, soit le détournement commis par des joueurs problématiques dans leur milieu de travail. Elle vise à établir l’étendue de cette criminalité en Suède et les sommes d’argent en cause. À cette fin, on a effectué une analyse média des articles de journaux ainsi que des renseignements sur les joueurs problématiques ayant demandé de l’aide recueillis dans des entrevues avec des thérapeutes spécialisés en jeu problématique et avec des pairs-conseillers de groupes de soutien pour les joueurs problématiques. Il a été constaté que le détournement lié au jeu problématique se produit dans tous les secteurs de l’économie où les employés ont accès à l’argent. Les sommes détournées peuvent être considérables et les crimes, se perpétrer sur plusieurs années. La situation varie toutefois selon la catégorie des professions, les directeurs de banque détournant des sommes plus élevées que les autres, et pendant de plus longues périodes, avant d’être découverts. Bien que les journaux suédois ne rapportent en moyenne qu’un cas de détournement par un employé joueur pathologique par mois, cette étude laisse entendre que la prévalence réelle est probablement dix fois plus élevée. Il est conclu que plus d’efforts doivent être faits pour prévenir le détournement et les autres dommages liés au jeu dans le milieu de travail.
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Binde, Per. "Gambling-Related Employee Embezzlement: A Study of Swedish Newspaper Reports." Journal of Gambling Issues, no. 34 (August 1, 2017). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.v0i34.3955.

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Abstract:
It is well-known that severe problem gambling may lead to economic crime. This study explored a particular type of such criminality: embezzlement committed by problem gamblers in the workplace. The aim was to gain knowledge about the extent of such criminality in Sweden and the sums of money involved. The method used was a media study of newspaper reports, complemented with information about help-seeking problem gamblers obtained in interviews with therapists specializing in problem gambling and with peer counsellors in mutual support societies of problem gamblers. The results showed that gambling-related embezzlement occurs in all branches of the economy where employees have access to money. The sums embezzled can be huge and the crimes sustained over several years. However, this varies across professional categories, with bank managers embezzling larger sums of money than others, and for longer, before being detected. Although Swedish newspapers report on average about one case a month of gambling-related employee embezzlement, the true prevalence is likely to be at least 10 times higher. More efforts should be made to prevent embezzlement and other gambling-related harms in the workplace.On sait que le jeu problématique grave peut mener à la criminalité économique. Cette étude porte sur un aspect particulier de ce type de criminalité, soit le détournement commis par des joueurs problématiques dans leur milieu de travail. Elle vise à établir l’étendue de cette criminalité en Suède et les sommes d’argent en cause. À cette fin, on a effectué une analyse média des articles de journaux ainsi que des renseignements sur les joueurs problématiques ayant demandé de l’aide recueillis dans des entrevues avec des thérapeutes spécialisés en jeu problématique et avec des pairs-conseillers de groupes de soutien pour les joueurs problématiques. Il a été constaté que le détournement lié au jeu problématique se produit dans tous les secteurs de l’économie où les employés ont accès à l’argent. Les sommes détournées peuvent être considérables et les crimes, se perpétrer sur plusieurs années. La situation varie toutefois selon la catégorie des professions, les directeurs de banque détournant des sommes plus élevées que les autres, et pendant de plus longues périodes, avant d’être découverts. Bien que les journaux suédois ne rapportent en moyenne qu’un cas de détournement par un employé joueur pathologique par mois, cette étude laisse entendre que la prévalence réelle est probablement dix fois plus élevée. Il est conclu que plus d’efforts doivent être faits pour prévenir le détournement et les autres dommages liés au jeu dans le milieu de travail.
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Sanscartier, Matthew D., Jack Shen, and Jason D. Edgerton. "Gambling Among Emerging Adults: How Gender and Risk Level Influence Associated Problem Behaviours." Journal of Gambling Issues, no. 41 (April 30, 2019). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2019.41.6.

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Abstract:
This study investigates mental health and substance use problems associated with gambling among Canadian emerging adults (ages 18–20 years). Drawing on a cross-sectional wave of 624 (47.8% male) participants from the Manitoba Longitudinal Study of Young Adults, our findings suggest that among emerging adults, problem gambling should be understood as part of a wider syndrome. The profile of syndromic associations varies with both problem gambling risk level and gender. With respect to risk level, regression models indicate that, relative to no-risk gamblers, lower risk gamblers are more likely to use drugs and alcohol, whereas higher risk gamblers report greater symptoms of depression and anxiety. Males and females present different barriers to recovery: High-risk female gamblers are more likely to rely on escape-avoidance coping mechanisms, whereas their male counterparts tend to lack perceived social support. Given the centrality of these two variables and the lack of literature addressing how they interact, we conclude that further research is needed to understand how gender and gambling severity interact to simultaneously influence gambling-related behaviours among emerging adults. RésuméCette étude porte sur les problèmes de santé mentale et de toxicomanie associés au jeu chez les jeunes adultes canadiens (âgés de 18 à 20 ans). Fondés sur une vague transversale de 624 participants (47,8% d’hommes) de l’étude longitudinale des jeunes adultes du Manitoba (MLSYA), nos résultats laissent entendre que, parmi les jeunes adultes, le jeu problématique devrait être abordé comme faisant partie d’un syndrome plus vaste. Le profil des associations syndromiques varie selon le niveau de risque de jeu problématique et le genre. En ce qui concerne le niveau de risque, les modèles de régression indiquent que, par rapport aux joueurs sans risque, les joueurs à faible risque sont plus susceptibles de consommer de la drogue et de l’alcool, tandis que les joueurs à risque plus élevé montrent des symptômes plus importants de dépression et d’anxiété. En parallèle, les hommes et les femmes rencontrent différents obstacles au rétablissement : les joueuses à haut risque sont plus susceptibles de compter sur des mécanismes d’adaptation comme l’échappement ou l’évitement, tandis que leurs homologues masculins ont tendance à manquer de soutien social perçu. Compte tenu de la centralité de ces deux variables et du manque de littérature traitant de leurs interactions, nous concluons qu’il est nécessaire de poursuivre les recherches pour comprendre les interactions entre le genre et la gravité du jeu pathologique afin d’influencer simultanément les comportements liés au jeu chez les jeunes adultes.
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