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Berrani, Sid-Ahmed, Laurent Amsaleg, and Patrick Gros. "Recherche approximative de plus proches voisins." Techniques et sciences informatiques 22, no. 9 (November 1, 2003): 1201–30. http://dx.doi.org/10.3166/tsi.22.1201-1230.

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2

Fortin, V., T. B. M. J. Ouarda, P. F. Rasmussen, and B. Bobée. "Revue bibliographique des méthodes de prévision des débits." Revue des sciences de l'eau 10, no. 4 (April 12, 2005): 461–87. http://dx.doi.org/10.7202/705289ar.

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Abstract:
Dans le domaine de la prévision des débits, une grande variété de méthodes sont disponibles: des modèles stochastiques et conceptuels mais aussi des approches plus novatrices telles que les réseaux de neurones artificiels, les modèles à base de règles floues, la méthode des k plus proches voisins, la régression floue et les splines de régression. Après avoir effectué une revue détaillée de ces méthodes et de leurs applications récentes, nous proposons une classification qui permet de mettre en lumière les différences mais aussi les ressemblances entre ces approches. Elles sont ensuite comparées pour les problèmes différents de la prévision à court, moyen et long terme. Les recommandations que nous effectuons varient aussi avec le niveau d'information a priori. Par exemple, lorsque l'on dispose de séries chronologiques stationnaires de longue durée, nous recommandons l'emploi de la méthode non paramétrique des k plus proches voisins pour les prévisions à court et moyen terme. Au contraire, pour la prévision à plus long terme à partir d'un nombre restreint d'observations, nous suggérons l'emploi d'un modèle conceptuel couplé à un modèle météorologique basé sur l'historique. Bien que l'emphase soit mise sur le problème de la prévision des débits, une grande partie de cette revue, principalement celle traitant des modèles empiriques, est aussi pertinente pour la prévision d'autres variables.
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3

Boyd, Raymond. "Les voisins les plus proches : un aperçu de la dialectologie en Afrique." Faits de langues 6, no. 11 (1998): 87–98. http://dx.doi.org/10.3406/flang.1998.1200.

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4

Bouteldja, Nouha, Valérie Gouet-Brunet, and Michel Scholl. "Stratégies alternatives pour la recherche des plus proches voisins dans les espaces multidimensionnels." Ingénierie des systèmes d'information 15, no. 1 (February 28, 2010): 35–60. http://dx.doi.org/10.3166/isi.15.1.35-60.

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5

Solomon, Nathalie. "Voyages et fantasmes de voyages chez quelques écrivains français du XIXe siècle: un passé insurpassable." Nottingham French Studies 51, no. 1 (March 2012): 41–53. http://dx.doi.org/10.3366/nfs.2012.0005.

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Abstract:
Le XIXème siècle français, qui aime tant voyager, ne sait pas toujours regarder les autres, au point que le regard des écrivains est essentiellement moqueur, parfois féroce quand il se porte sur ses voisins les plus proches, beaucoup plus indulgent quand il observe les habitants de contrées lointaines: ne serait-ce qu'en Europe, le Polonais martyr politique est bien mieux traité que l'Anglais caricatural, voyageur effréné pétri de snobismes. C'est toute la question du voisinage géographique vu par un siècle où le voyageur aventurier se transforme peu à peu en touriste: si l’étrangeté est hilarante dans certains cas, séduisante dans d'autres, cela tient aussi à ce que la littérature française, entre 1820 et 1890, adore, transforme, puis rejette tour à tour les clichés qui concernent ses voisins trop connus. A la fois autre et familier, le voisin européen, celui qui est à côté, toujours ennemi, mais facile à conceptualiser, figure de manière pertinente la conception d’époque d'une frontière à la fois éternelle et de plus en plus fragile vue d'une France qui, réduite à elle-même, ne parvient pas à oublier son passé révolutionnaire et impérial.
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6

Pichot, C. "Analyse de dispositifs par approches itératives prenant en compte les performances des plus proches voisins." Agronomie 13, no. 2 (1993): 109–19. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19930205.

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7

Burba, Florent, Frédéric Ferraty, and Philippe Vieu. "Convergence de l'estimateur à noyau des k plus proches voisins en régression fonctionnelle non-paramétrique." Comptes Rendus Mathematique 346, no. 5-6 (March 2008): 339–42. http://dx.doi.org/10.1016/j.crma.2008.01.022.

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8

B.-DANDURAND, Renée. "Famille, État et structuration d’un champ familial." Sociologie et sociétés 27, no. 2 (September 30, 2002): 103–19. http://dx.doi.org/10.7202/001165ar.

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Abstract:
Résumé Nous proposons dans cet article de considérer le domaine du familial à la manière d'un champ, soit comme un espace social structuré de positions, défini par des enjeux et des intérêts mobilisant spécifiquement divers types d'agents, qu'il s'agisse d'individus, de groupes ou d'institutions. D'abord considérée en rapport avec l'investissement des familles concrètes dans le travail de la reproduction humaine, la dynamique d'un tel champ est aussi examinée en rapport avec l'investissement des agents externes aux foyers familiaux, qu'ils appartiennent au réseau des proches (párenteles, amis, voisins, collègues) ou qu'ils s'inscrivent dans le cadre de rapports plus formels (agents publics qui dispensent des services aux familles dans les instances scolaires, sanitaires, psychosociales, judiciaires ou communautaires).
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Attouch, Mohammed, Ali Laksaci, and Fatima Rafaa. "Estimation locale linéaire de la régression non paramétrique fonctionnelle par la méthode des k plus proches voisins." Comptes Rendus Mathematique 355, no. 7 (July 2017): 824–29. http://dx.doi.org/10.1016/j.crma.2017.05.007.

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Kovač, Senka. "Claude Lévi-Strauss: le masque et le mythe." Issues in Ethnology and Anthropology 4, no. 2 (February 28, 2016): 121–35. http://dx.doi.org/10.21301/eap.v4i2.7.

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Abstract:
Le travail étudie le rapport du masque et du mythe en s’interrogeant dans quelle mesure l’analyse correspondante de Claude Lévi-Strauss peut nous éclairer sur le champ sémantique complexe des masques dans une partie de l’Amérique du Nord. Claude Lévi-Strauss a mis en relief dans ses travaux la structure complexe du mythe. La complexité peut être suivie aussi bien sur le plan de l’expression que sur celui du contenu et de la signification des masques Salish, Kwakiutl et d’autres masques uniques de cette partie de l’Amérique du Nord. Claude Lévi-Strauss a analysé les mythes en s’efforçant d’expliquer la voie des masques chez des peuples proches par leur langue, ou des peuples avoisinants. La mythologie Tsimshian, Tlingit et Haïda contient certains motifs qui renvoient à des groupes voisins (Salish). En dépit des différences concernant la signification des masques, il existe un "patrimoine mythologique" commun aux peuples de la côte Nord du Pacifique. Claude Lévi-Strauss a une fois de plus démontré que l’étude des mythes ne représente pas le véritable point de départ de l’analyse, et que l’on ne peut par la décomposition des problèmes percevoir une quelconque unité cachée. "Comme la pensée mythique ne tient pas à fixer clairement son point de départ ni son point d’arrivée, elle ne parcourt jamais toute sa trajectoire: il lui reste toujours quelque chose à accomplir. Comme les rites, les mythes sont interminables". Il semble que l’explication de La Voie des masques faite par Lévi-Strauss va également dans ce sens-là.
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Fekih-Romdhane, F., M. Cheour, W. Cherif, and L. Chennoufi. "Folie à famille : à propos d’un cas." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S141. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.280.

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Abstract:
IntroductionLes contagions psychiques induites par les liens, ou « folie à deux », a passionné des générations d’aliénistes. C’est une entité clinique considérée comme rare. Elle met en jeu, non pas un, mais deux ou plusieurs personnes qui ont une relation proche. Rarement tous les membres de la famille partagent les mêmes illusions et ceci est appelé folie à famille. Nous proposons à travers ce travail de présenter un cas de cette pathologie rare, et d’analyser le cas à travers une illustration des données de la littérature.ObservationLes frères S et Y ainsi que la sœur S sont de mêmes parents biologiques, tous célibataires, orphelins de mère depuis quatre ans et vivant ensemble avec le père depuis longtemps dans un isolement social relatif, en milieu rural au Nord-Ouest de la Tunisie. Le frère « inducteur » a été atteint de schizophrénie paranoïde avec délire de persécution qui a été imposé et plus tard partagé par les autres membres de la famille. En effet, Monsieur S. a clairement exprimé un délire interprétatif et hallucinatoire, à thématique persécutive prédominante, selon lequel il existerait un complot à grande échelle à son encontre. Puis, tous les membres de la famille devenaient aussi visés : ils seraient poursuivis par des personnes inconnues ayant un pouvoir politique, voulant nuire à monsieur S à travers sa fratrie. Au fil du temps, tous les proches, les voisins, ainsi que les agents de l’ordre sont devenus « persécuteurs ».ConclusionLe cas que nous rapportons illustre la complexité de la folie à famille, la gravité de ses conséquences comportementales, ainsi que le dysfonctionnement psychosocial qui en résulte. Les délires partagés, notamment la folie à famille, offrent l’opportunité unique d’examiner les rôles respectifs des facteurs de risque génétiques et environnementaux dans le développement des troubles psychotiques.
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Zivojinovic, Mirjana. "Les Dragas et le mont Athos." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 43 (2006): 41–57. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0643041z.

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Abstract:
(francuski) L'auteur de ce travail consid?re les rapports des Dragas avec certains monast?res athonites: Saint-Pant?l??m?n, Chilandar, Iviron, Kutlumus et Vatop?di. En l'occurrence, on sait qu'outre la confirmation d'anciens privil?ges fonciers, ils ont octroy? de nouveaux droits ? ces ?tablissements ? travers la donation de nombre de villages et d'?glises sis sur le territoire de leur Etat, tr?s agrandi apr?s la bataille de la Maritsa (26 septembre 1371), et, le cas ?ch?ant, ont r?solu les litiges fonciers les opposant entre eux. Cette activit? est attest?e par plusieurs documents d?livr?s ? ces monast?res, dont les indications chronologiques subsistant sur les originaux endommag?s ne sont pas toujours fiables, alors qu'elles font totalement d?faut sur les copies. L'auteur estime que Chilandar et Saint Pant?l??m?n sont les premiers monast?res athonites ? avoir sollicit? l'intervention des nouveaux ma?tres de la r?gion de la Strumica, tout d'abord pour r?soudre un litige concernant le village de Breznica, qui opposait ces deux ?tablissements depuis approximativement 1364. On sait que ce village est vraisemblablement ?chu au monast?re russe un peu apr?s juin 1374. A cette ?poque, d'apr?s des copies conserv?es, les fr?res Dragas ? le despote Jovan et gospodin Konstantin ? ont offert ? Saint-Pant?l??m?n une dizaine de villages sis dans la r?gion de la Strumica, dont la majorit? existent encore aujourd'hui, ainsi qu'un ou deux hameaux; la donation de ces villages incluait celle de neuf ?glises patrimoniales, auxquelles ils ont ?galement ajout? une ?glise situ?e ? Strumica et deux respectivement ? P?trie et dans les environs de cette ville. Pour sa part, le gospodin Konstantin semble avoir rattach? ? Saint-Pant?l??m?n jusqu'? 18 villages, 3 hameaux et 6 ?glises sis dans la r?gion de Tikves. En fait, nous poss?dons uniquement une seule copie faisant ?tat de la donation ? cet ?tablissement de l'?glise Saint-Georges sise ? Polosko avec les villages de Polosko, Kosane et Dragozelj. Cependant cette donation pourrait justement ?tre mise en doute compte tenu que nous savons que l'empereur Dusan a rattach? cette ?glise avec les trois villages mentionn?s au monast?re de Chilandar en f?vrier 1340. L'auteur attire toutefois l'attention sur le fait que l'?glise Saint-Georges avec ces villages, dans ce cas, se serait retrouv? comme une possession isol?e de Chilandar, entour?e de possessions de Saint-Pant?l??m?n de sorte qu'il n'exclut non plus la possibilit? qu'il soit question d'une donn?e digne de foi. Par cons?quent, une solution serait que Chilandar s'est peut-?tre vu d?dommag?e la perte de ces villages et de cette ?glise sis ? Polosko par la cession de villages sis dans une autre r?gion. Finalement, Konstantin a ?galement offert au monast?re athonite russe deux autres ?glises ? une sise ? Stip et la seconde ? Zletovo avec les droits leur appartenant. Les litiges apparus entre les moines de Chilandar et ceux de Saint-Pant?l??m?n au sujet de leur possessions limitrophes, sises sur la rive droite de la Strumica ont ?t? r?solus, sur ordre du gospodin Konstantin et du conseil de ses seigneurs par les ?v?ques de Strumica et de Vodoca en 1375/76. Puis, vers 1376/77, les fr?res Dragas avec leur m?re, l'imp?ratrice Evdokija, ont confirm? ? Saint-Pant?l??m?n la possession de villages sur la seule rive droite de la Strumica, ce faisant leur acte consigne de fa?on pr?cise les droits de ces villages tr?s probablement aux fins de pr?venir tout nouveau litige avec les voisins de ces biens dans la jouissance de ceux-ci. Les donations des fr?res Dragas en faveur de Chilandar s'av?rent ?galement tr?s nombreuses. Par un acte dat? du 1er juin 1377 le despote Jovan et le gospodin Konstantin ont confirm? ? Chilandar la possession durable et inali?nable de l'?glise Saint-Biaise ? Stip et de trois villages sis dans les environs de cette ville. Ensuite, vers 1379 ou en 1380/81, l'imp?ratrice Evdokija et le gospodin Konstantin ont donn? ? Chilandar leur ?glise patrimoniale d?di?e ? la Vierge sise au lieu dit Arhiljevica et 19 villages avec leurs droits; au printemps 1380, Konstantin, ? la demande des moines de Chilandar, a rattach? ? leur monast?re quelques villages sis dans la r?gion de Vranje; une seconde importante possession de Chilandar sise ? Lesnovo, en l'occurrence l'?glise du Saint-Archange (Michel), a ?t? restitu?e par Konstantin ? ce monast?re le 15 ao?t 1381, ? la demande de ses moines et par l'interm?diaire du milosnik vo?vode Dmitar. L'?glise du Saint-Archange a ?t? remise avec 10 villages, 5 hameaux, 4 villages abandonn?s, ainsi qu'avec tous leurs droits dans la r?gion de Lesnovo, de Bregalnica et de Stip; parall?lement, Konstantin a confirm? ? l'?glise du Saint-Archange une donation de Dusan, en l'occurrence un revenu annuel de 100 hyperpres provenant du march? de Zletovo. Enfin vraisemblablement vers la fin de la neuvi?me d?cennie du XIV?me si?cle satisfaisant une requ?te du vo?vode Dmitar alors entr?e en religion Konstantin a rattach? ? Chilandar trois autres villages sis dans les environs de Stip. En plus des villages offerts par les fr?res Dragas ou par Konstantin seul, les monast?res se sont vu attribuer tous les imp?ts et corv?es rattach?s ? ces biens. Pour tout ce qu'il a fait pour leur monast?re les moines de Chilandar reconnaissants ont rang? gospodin Konstantin au nombres des fondateurs de leur ?tablissement. Les fr?res Dragas ?taient en relation avec le monast?re d'Iviron par le biais de son m?toque d?di? ? la Vierge El?oussa, situ? non loin de Strumica, auquel ils ont c?d? (le 13 janvier 1380) deux importants privil?ges, exemptant pour toujours ses hommes de l'obligation de la bigla (bigliatikori) et de la moisson de froment (zetva zitna) ? corv?es au profit de l'Etat, dont les souverains serbes exemptent d'habitude les habitants des villages appartenant ? des monast?res. Une donn?e (juin 1393) nous apprenant que le gospodin Konstantin ?tait un bienfaiteur de Kutlumus appara?t toute ? fait digne de foi; ce seigneur y est mentionn? comme son 'protecteur et fondateur'. Toutefois, nous ne poss?dons aucune information sur les donations, assur?ment importantes pour justifier ces titres honorifiques, faites par Kontantin ? cet ?tablissement. A la diff?rence des actes par lesquels les Dragas ont proc?d? ? des donations ? Saint-Pant?l??m?n, Chilandar et Iviron, et qui, par leur formulation, sont tr?s proches des actes imp?riaux, ce qui pourrait attester qu'ils sont issus de la chancellerie de souverains ind?pendants, l'acte par lequel Konstantin a confirm? ? Vatop?di, en octobre 1393, le monast?re de la Sainte-Vierge Pantanassa sis ? Melnik, petit ?tablissement gravement d?labr?, montre clairement que le donateur a une position de vassal par rapport au sultan ottoman, qu'il mentionne comme. Pour cette raison l'auteur en conclut que le despote Jovan, jusqu'? son entr?e en religion un peu apr?s 1377, et le gospodin Konstantin, vraisemblablement jusqu'? la bataille de Kosovo (13 juin 1389) ont prot?g? les int?r?ts des moines hagiorites, ? ce qu'il semble en qualit? de souverains ind?pendants satisfaisant ? leur requ?tes. Si le gospodin Konstantin s'est trouv? dans quelque position d?pendante par rapport au sultan ottoman, il est toutefois certain que celle-ci n'atteignait pas le degr? que sugg?re notre acte d'octobre 1393. .
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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Abstract:
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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Kauers, Manuel, and Rika Yatchak. "Walks in the Quarter Plane with Multiple Steps." Discrete Mathematics & Theoretical Computer Science DMTCS Proceedings, 27th..., Proceedings (January 1, 2015). http://dx.doi.org/10.46298/dmtcs.2463.

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Abstract:
International audience We extend the classification of nearest neighbour walks in the quarter plane to models in which multiplicities are attached to each direction in the step set. Our study leads to a small number of infinite families that completely characterize all the models whose associated group is D4, D6, or D8. These families cover all the models with multiplicites 0, 1, 2, or 3, which were experimentally found to be D-finite — with three noteworthy exceptions. Nous étendons la classification des marches aux plus proches voisins dans le quart de plan à des modèles dans lesquels une multiplicité est attachée à chaque direction de l’ensemble des pas. Notre étude identifie un petit nombre de familles infinies qui caractérisent complétement tous les modèles dont le groupe est D4, D6 ou D8. Ces familles contiennent tous les modèles à multiplicités 0, 1, 2 ou 3 dont il a été prouvé expérimentalement qu’ils étaientD-finis —avec trois exceptions notables.
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Laskri, Mohamed Tayeb, and Djallel Chefrour. "Who_Is : Identification system of human faces." Revue Africaine de la Recherche en Informatique et Mathématiques Appliquées Volume 1, 2002 (November 4, 2002). http://dx.doi.org/10.46298/arima.1830.

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Abstract:
International audience Although human face recognition is a hard topic due to many parameters involved (e.g. variability of the position, lighting, hairstyle, existence of glasses, beard, moustaches, wrinkles...), it becomes of increasing interest in numerous application fields (personal identification, video watch, man machine interfaces...). In this work, we present WHO_IS, a system for person identification based on face recognition. A geometric model of the face is definedfrom a set of characteristic points which are extracted from the face image. The identification consists in calculating the K nearest neighbors of the individual test by using the City-Block distance. The system is tested on a sample of 100 people with a success rate of 86 %. Bien que la reconnaissance des visages humains soit un domaine difficile à cause de la multitude des paramètres qu'il faut prendre en compte (variation de posture, éclairage, style de coiffure, port de lunettes, de barbes, de moustaches, vieillesse…), il est très important de s'en intéresser vu les nombreux champs d'applications (vérification de personnes, télésurveillance, interfaces homme-machine …). Dans ce travail nous présentons la mise en œuvre de WHO_IS, un système d'identification de personnes par reconnaissance des visages humains. Nous avons développé un modèle géométrique du visage basé sur un ensemble de points caractéristiques extraits à partir de l'image du visage. La procédure d'identification consiste à calculer les K plus proches voisins de l'individu test dans le sens de la distance City-Block. Le système WHO_IS a été testé sur un échantillon de 100 personnes. Un taux de reconnaissance correcte de 86% a été obtenu
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Vandenberghe, Vincent. "Numéro 2 - mai 2002." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16273.

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Abstract:
Un constat fort se dégage des enquêtes sur les connaissances des élèves en math, en sciences et en lecture opérées depuis 30 ans par l’OCDE : la performance de notre enseignement décroche graduellement par rapport à celle des pays voisins et de la Flandre. Quels sont les déterminants probables d’un tel état de fait ? Peut-on penser que le niveau des ressources joue un rôle décisif ? A vrai dire non. Communautés française et flamande ont dépensé tout au long des années 1990 pratiquement le même montant par élève. Mais les scores des élèves en Flandre sont nettement supérieurs. Nos travaux et ceux de nombreux collègues économistes de l’éducation suggèrent que l’enjeu est avant tout organisationnel. Certes, les ressources budgétaires importent. Il est évident, par exemple, que leur niveau doit garantir la possibilité d’engager du personnel en nombre et qualité suffisants. Mais la majoration des moyens financiers et humains ne constitue nullement une condition suffisante de l’amélioration des performances. Dans l’enseignement plus que dans d’autres secteurs, le mode d’organisation (régulation) semble, en revanche, avoir une forte influence sur la relation ressources/résultats. Que peut-on dire de la situation en Communauté française sur ce plan et quels en sont les enjeux ? En bref, nous pouvons dire que le mode de régulation actuel est très insatisfaisant car très hybride. Il repose sur plusieurs conceptions de la régulation. Chacune comporte des faiblesses. De plus, l’articulation qui s’est opérée au fil des ans a été peu réfléchie, mal mise en oeuvre, et se révèle en définitive coûteuse sur le plan des performances. A l’inverse, la Flandre a accompli depuis 1970 un travail discret mais bien effectif de simplification et de clarification de son mode de régulation. L'organisation de l'enseignement en Communauté française comporte tout d'abord une composante concurrentielle (ou "quasi-marché"). Bien que le financement de l’enseignement soit public, les modalités d’octroi de ce financement font apparaître une logique concurrentielle : les parents, les élèves ou étudiants sont en effet libres de choisir leur établissement. Les établissements sont de surcroît financés en fonction du nombre d’inscrits. La faiblesse de ce modèle est qu’il est source d’iniquité, dans la mesure où le libre-choix tend généralement à accentuer le degré de ségrégation des publics entre écoles proches. Il y a par ailleurs en Communauté française une tradition de contrôle par la voie hiérarchique. Les réglementations administratives sont nombreuses dans l’enseignement : horaires, grilles salariales, taux d’encadrement, priorité d’emploi pour les personnels avec ancienneté, ... Et la tendance récente est à l’amplification. Or, l’évaluation que les économistes font sur ce type d’interventions est très mitigée. Le contrôle administratif réussit certes à générer une certaine conformité (respect formel des horaires, des taux d’encadrement prévus par la loi, …) mais il échoue à influencer les comportements des enseignants qui déterminent réellement le degré d’efficacité et d’équité du système. La présence simultanée de ces deux modes de régulation antagonistes nuit tant à l'efficacité qu'à l'équité de l'enseignement. La concurrence, pour être efficace, requiert la présence de producteurs libres de choisir l’usage des ressources qui leur paraît le plus indiqué pour répondre à la demande. Or, le contrôle administratif limite fortement l'autonomie des écoles en multipliant règles et procédures à respecter. On peut également douter du fait que le contrôle administratif exerce une action correctrice par rapport aux effets néfastes du libre-choix. Ainsi, peu de mesures administratives en vigueur sont de nature à limiter la ségrégation des publics ou ses effets. L’uniformité des salaires et des modes de gestion du personnel empêche, par exemple, l’octroi de primes salariales aux enseignants s’occupant d’élèves en difficulté. Que faire dès lors ? En dépit de toutes les limitations d'un système de libre-choix, et malgré la tendance à la ségrégation des publics qui la caractérise, nous ne croyons pas à son remplacement par un modèle hiérarchique pur, avec, comme en France, une carte scolaire synonyme d’assignation de l’école en fonction du lieu de résidence. Car il y a la question du coût politique de l’abandon du libre-choix de l’école. Mais il y a aussi le risque d’une accentuation de la ségrégation résidentielle. L’option de politique scolaire doit plutôt être celle d'encadrer le système de libre-choix, mais pas via un renforcement du contrôle hiérarchique de type bureaucratique. Il est plus indiqué d’opter, comme en Flandre mais aussi en Finlande ou en Grande-Bretagne, pour un encadrement par voie de contractualisation. Il s’agirait de dissocier plus nettement qu’aujourd’hui les fonctions de contrôle et de production du service éducatif. Aux écoles, il reviendrait de décider plus librement des horaires de présence des professeurs et des élèves, de la durée des cours par matière, du nombre et du type d’enseignants à recruter ou encore de l’opportunité de les envoyer en recyclage. A l’administration, il appartiendrait d’évaluer la performance des écoles. Son rôle principal deviendrait de faire passer aux élèves, à intervalles réguliers, des tests standardisés, à l’image de ceux conçus par l’OCDE. Les résultats à ces tests, pondérés pour tenir compte de l’origine socio-économique des élèves, formeraient la base de l’évaluation des écoles. Et ce n’est qu’en cas d’évaluation négative répétée qu’il y aurait intervention dans la gestion de l’école, par un changement de direction, une mise sous tutelle, …
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Vandenberghe, Vincent. "Numéro 2 - mai 2002." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2002.05.01.

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Abstract:
Un constat fort se dégage des enquêtes sur les connaissances des élèves en math, en sciences et en lecture opérées depuis 30 ans par l’OCDE : la performance de notre enseignement décroche graduellement par rapport à celle des pays voisins et de la Flandre. Quels sont les déterminants probables d’un tel état de fait ? Peut-on penser que le niveau des ressources joue un rôle décisif ? A vrai dire non. Communautés française et flamande ont dépensé tout au long des années 1990 pratiquement le même montant par élève. Mais les scores des élèves en Flandre sont nettement supérieurs. Nos travaux et ceux de nombreux collègues économistes de l’éducation suggèrent que l’enjeu est avant tout organisationnel. Certes, les ressources budgétaires importent. Il est évident, par exemple, que leur niveau doit garantir la possibilité d’engager du personnel en nombre et qualité suffisants. Mais la majoration des moyens financiers et humains ne constitue nullement une condition suffisante de l’amélioration des performances. Dans l’enseignement plus que dans d’autres secteurs, le mode d’organisation (régulation) semble, en revanche, avoir une forte influence sur la relation ressources/résultats. Que peut-on dire de la situation en Communauté française sur ce plan et quels en sont les enjeux ? En bref, nous pouvons dire que le mode de régulation actuel est très insatisfaisant car très hybride. Il repose sur plusieurs conceptions de la régulation. Chacune comporte des faiblesses. De plus, l’articulation qui s’est opérée au fil des ans a été peu réfléchie, mal mise en oeuvre, et se révèle en définitive coûteuse sur le plan des performances. A l’inverse, la Flandre a accompli depuis 1970 un travail discret mais bien effectif de simplification et de clarification de son mode de régulation. L'organisation de l'enseignement en Communauté française comporte tout d'abord une composante concurrentielle (ou "quasi-marché"). Bien que le financement de l’enseignement soit public, les modalités d’octroi de ce financement font apparaître une logique concurrentielle : les parents, les élèves ou étudiants sont en effet libres de choisir leur établissement. Les établissements sont de surcroît financés en fonction du nombre d’inscrits. La faiblesse de ce modèle est qu’il est source d’iniquité, dans la mesure où le libre-choix tend généralement à accentuer le degré de ségrégation des publics entre écoles proches. Il y a par ailleurs en Communauté française une tradition de contrôle par la voie hiérarchique. Les réglementations administratives sont nombreuses dans l’enseignement : horaires, grilles salariales, taux d’encadrement, priorité d’emploi pour les personnels avec ancienneté, ... Et la tendance récente est à l’amplification. Or, l’évaluation que les économistes font sur ce type d’interventions est très mitigée. Le contrôle administratif réussit certes à générer une certaine conformité (respect formel des horaires, des taux d’encadrement prévus par la loi, …) mais il échoue à influencer les comportements des enseignants qui déterminent réellement le degré d’efficacité et d’équité du système. La présence simultanée de ces deux modes de régulation antagonistes nuit tant à l'efficacité qu'à l'équité de l'enseignement. La concurrence, pour être efficace, requiert la présence de producteurs libres de choisir l’usage des ressources qui leur paraît le plus indiqué pour répondre à la demande. Or, le contrôle administratif limite fortement l'autonomie des écoles en multipliant règles et procédures à respecter. On peut également douter du fait que le contrôle administratif exerce une action correctrice par rapport aux effets néfastes du libre-choix. Ainsi, peu de mesures administratives en vigueur sont de nature à limiter la ségrégation des publics ou ses effets. L’uniformité des salaires et des modes de gestion du personnel empêche, par exemple, l’octroi de primes salariales aux enseignants s’occupant d’élèves en difficulté. Que faire dès lors ? En dépit de toutes les limitations d'un système de libre-choix, et malgré la tendance à la ségrégation des publics qui la caractérise, nous ne croyons pas à son remplacement par un modèle hiérarchique pur, avec, comme en France, une carte scolaire synonyme d’assignation de l’école en fonction du lieu de résidence. Car il y a la question du coût politique de l’abandon du libre-choix de l’école. Mais il y a aussi le risque d’une accentuation de la ségrégation résidentielle. L’option de politique scolaire doit plutôt être celle d'encadrer le système de libre-choix, mais pas via un renforcement du contrôle hiérarchique de type bureaucratique. Il est plus indiqué d’opter, comme en Flandre mais aussi en Finlande ou en Grande-Bretagne, pour un encadrement par voie de contractualisation. Il s’agirait de dissocier plus nettement qu’aujourd’hui les fonctions de contrôle et de production du service éducatif. Aux écoles, il reviendrait de décider plus librement des horaires de présence des professeurs et des élèves, de la durée des cours par matière, du nombre et du type d’enseignants à recruter ou encore de l’opportunité de les envoyer en recyclage. A l’administration, il appartiendrait d’évaluer la performance des écoles. Son rôle principal deviendrait de faire passer aux élèves, à intervalles réguliers, des tests standardisés, à l’image de ceux conçus par l’OCDE. Les résultats à ces tests, pondérés pour tenir compte de l’origine socio-économique des élèves, formeraient la base de l’évaluation des écoles. Et ce n’est qu’en cas d’évaluation négative répétée qu’il y aurait intervention dans la gestion de l’école, par un changement de direction, une mise sous tutelle, …
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