Academic literature on the topic 'Kurdistan d’Irak'

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Journal articles on the topic "Kurdistan d’Irak"

1

Roussel, Cyril. "Où se cache l’habitat social à Erbil (Kurdistan d’Irak) ?" NAQD N° 38-39, no. 1 (May 3, 2021): 193–203. http://dx.doi.org/10.3917/naqd.038.0193.

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2

Roussel, Cyril. "Irak et Kurdistan d’Irak : la problématique de la frontière interne et les enjeux du contrôle territorial." Égypte/Monde arabe, no. 18 (June 15, 2018): 65–82. http://dx.doi.org/10.4000/ema.4071.

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3

Ribau, Patrick. "La République éphémère de Mahabad au Kurdistan d’Iran." La Pensée N° 389, no. 1 (January 1, 2017): 81–85. http://dx.doi.org/10.3917/lp.389.0081.

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4

Roussel, Cyril. "Le Kurdistan d’Irak, un espace de redéploiement des circuits commerciaux entre Turquie et Iran." Les Cahiers d’EMAM, no. 26 (July 9, 2015). http://dx.doi.org/10.4000/emam.1035.

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5

"Ecrire en français: le cas des étudiants kurdes du département de français de l’Université Libano- Française d’Erbil (Kurdistan d’Irak)." ZANCO Journal of Humanity Sciences 24, no. 5 (December 8, 2020). http://dx.doi.org/10.21271/zjhs.24.5.14.

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6

Bromberger, Christian. "Iran." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

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Abstract:
Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux
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Dissertations / Theses on the topic "Kurdistan d’Irak"

1

Sulaiman, Ahmed Qahraman. "Enseigner le lexique par les genres de discours : le cas des étudiants de l’Université Salahaddin au Kurdistan d’Irak." Thesis, Université de Lorraine, 2017. http://www.theses.fr/2017LORR0178.

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Abstract:
En partant d’une question de recherche visant à savoir comment exploiter les genres textuels pour apprendre aux apprenants le lexique français, nous nous affrontons à une problématique centrale en linguistique. Ce travail de thèse s’inscrit dans une perspective de recherche en Sciences du langage et en Didactique du Français Langue Étrangère (FLE). En effet, la question de l’apprentissage du lexique par les genres textuels n’a pas encore la place qu’elle mérite dans le cadre des recherches en didactique des langues étrangères, malgré l’intérêt que suscite cette catégorie dans les recherches textuelles et discursives. Notre objectif consiste à étudier la problématique liée à l’apprentissage du lexique français par le biais de la notion de genre textuel avec des apprenants kurdes à l’université au Kurdistan d’Irak. L’analyse textuelle de notre corpus, genre des contes, nous permettra d’envisager les organisations, structures, champs actantiels, sémantiques et lexicaux de l’ensemble de nos contes. En effet, l’objectif de cette analyse consistera à passer d’une analyse textuelle de tous les contes de notre corpus à une analyse de leurs séquences choisies. L’intérêt de cette dernière analyse consistera à réunir un stock d’informations des séquences en question que nous voudrons tester, sous une étude de terrain c’est-à-dire par nos questionnaires ainsi que par notre observation dans les classes de français langue étrangère dans le cadre de l’université du Kurdistan irakien. Le but de cette étude empirique consiste à montrer les liens entre lexique et genres textuels, des liens incontournables pour l’apprentissage du FLE
Starting this research with a question that aims at discovering how to exploit genres of discourse to teach students French vocabulary, we are facing a vital issue in linguistics. This thesis falls within a research perspective of the field of Linguistic Science and Didactics of French as a Foreign Language (FLE). Undeniably, the query of vocabulary learning through literary genres does not draw the focus that it merits within the research of foreign languages didactics, despite the interest that it sparks in literary and discursive research. Our aim is to study the issues related to French vocabulary learning by means of literary genre notion with Kurdish students at a university in Iraqi Kurdistan. Textual analysis of our corpus, the genre of tales, will allow us to consider organizations, structures, actantial, semantic and lexical models of all of the tales. Certainly, the aim of this analysis is to progress from a textual analysis of all of the tales of our corpus to the analysis of their chosen sequences. The interest of the latter will be to compile a stock of information in a field study, about the sequences in question, that we want to test, i.e. through our questionnaires as well as through observation of French as a foreign language classes, at the university in Iraqi Kurdistan. The aim of this empirical study is to show the links between lexicon and textual genres, essential links for the learning of French as a foreign language
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Grondin, Maxime. "La création d’un État de facto au Kurdistan irakien : un gain qui divise." Thèse, 2016. http://hdl.handle.net/1866/18397.

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Abstract:
En 1991, suite à la fin de la deuxième guerre du Golfe, un État de facto a été établi au Kurdistan irakien. Cette mutation d’un acteur contestataire kurde en un État de facto s’est avérée un gain sans précédent pour le « mouvement nationaliste kurde ». Néanmoins, malgré son importance historique, ce gain d’autonomie ne permit pas pour autant de dépasser les divisions présentes au sein du mouvement nationaliste kurde. Ce mémoire tente ainsi de comprendre les raisons du maintien de ces divisions. L’hypothèse proposée est que la raison pour laquelle la création d’un État de facto kurde en Irak n’a pas permis de dépasser les divisions du mouvement nationaliste est que ce dernier a poursuivi un projet de construction étatique similaire aux États de facto. Pour vérifier cette hypothèse, la recherche fait le lien entre la littérature sur les États de facto, le comportement du Kurdistan irakien et les divisions du mouvement nationaliste kurde. La recherche démontre dans un premier temps que la poursuite d’un projet de construction étatique a amené le Kurdistan irakien à prioriser sa légitimation interne plutôt que l’unité du mouvement nationaliste kurde. Elle démontre dans un deuxième temps qu’afin de réaliser ce projet, le Kurdistan irakien a employé des stratégies externes qui ont nui au reste du mouvement nationaliste kurde.
In 1991, following the end of the Second Gulf War, a de facto state has been established in Iraqi Kurdistan. This transformation of a protest actor into a de facto state has been an unprecedented gain for the « Kurdish nationalist movement ». However, despite his historic importance, this gain has failed to overtake divisions within the « Kurdish nationalist movement ». This thesis attempts to identity the reasons why the divisions have not faded away. The assumption is that the reason why these divisions have not been overtaken is because Iraqi Kurdistan has pursued a state-building project similar to those of de facto states. To test this hypothesis, this research links de facto state’s literature, Iraqi Kurdistan behaviour and the divisions of the « Kurdish nationalist movement ». This thesis first demonstrate that this project has led Iraqi Kurdistan to establish other priorities that the « Kurdish nationalist movement » unity. It then shows that to realize this state-building project, Iraqi Kurdistan has used external strategies that have affected the rest of the movement.
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Book chapters on the topic "Kurdistan d’Irak"

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Desreumaux, Alain J. "Une inscription hébraïque médiévale découverte dans le Bet Garmaï (Kurdistan d’Irak)." In Études Mésopotamiennes – Mesopotamian Studies: N°1 – 2018, 151–55. Archaeopress Publishing Ltd, 2018. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1nzfvzr.19.

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2

Rouault, Olivier, Maria Grazia Masetti-Rouault, Narmen Ali Muhamad Amen, Pedro Azara, Ilaria Calini, Pauline Kessouri, John MacGinnis, et al. "Qasr Shemamok-Kilizu (Kurdistan d’Irak), les campagnes de 2012 (6 avril-20 mai et 11-31 octobre)." In Études Mésopotamiennes – Mesopotamian Studies: N°1 – 2018, 254–303. Archaeopress Publishing Ltd, 2018. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1nzfvzr.25.

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3

Rouault, Olivier, Maria Grazia Masetti-Rouault, Ilaria Calini, John MacGinnis, Jason Ur, and Quentin Vitale. "Qasr Shemamok-Kilizu (Kurdistan d’Irak), les campagnes de 2011 (9 avril-15 mai et 16 octobre-5 novembre)." In Études Mésopotamiennes – Mesopotamian Studies: N°1 – 2018, 212–53. Archaeopress Publishing Ltd, 2018. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1nzfvzr.24.

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4

Azara, Pedro, Joan Borrell, Marc Marín, and Eric Rusiñol. "Quelques réflexions autour des fouilles à Kilizu, aujourd’hui Qasr Shemamok (Erbil, Kurdistan d’Iraq) :." In Études Mésopotamiennes – Mesopotamian Studies: N°1 – 2018, 55–62. Archaeopress Publishing Ltd, 2018. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv1nzfvzr.11.

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