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1

Rétat, Claude. "Louise Michel une révolutionnaire anarchiste entre maçonnerie et littérature." La chaîne d'union N° 80, no. 2 (April 23, 2017): 18–29. http://dx.doi.org/10.3917/cdu.080.0018.

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2

Hamel, Jean-François. "« Plus de livre, plus jamais de livre »." Études françaises 54, no. 1 (January 16, 2018): 77–96. http://dx.doi.org/10.7202/1042867ar.

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Abstract:
Dans la perspective d’une histoire culturelle des formes et des théories de l’engagement, cet article reconstitue la politique de la littérature défendue par le Comité d’action étudiants-écrivains, de sa fondation en mai 1968 à sa dissolution moins d’un an plus tard, en regard du répertoire des discours et des pratiques de l’agitation culturelle à la disposition des contestataires. Le thème de « l’absence de livre », présent dans l’oeuvre critique de Maurice Blanchot, trouve là une extension politique, voire insurrectionnelle. D’une part, le Comité se porte à la défense d’un espace public oppositionnel, alimenté par la production militante des tracts, des affiches et des bulletins, au sein duquel le livre, emblématique de la culture bourgeoise, apparaît comme un instrument de répression au service du pouvoir. D’autre part, au nom d’une exigence radicale de pluralité, et conformément à l’esprit antiautoritaire des événements, le Comité conteste la littérature comme discours d’exception et refuse le prestige symbolique rattaché au statut d’écrivain, rejetant ainsi l’idée même d’une oeuvre d’art révolutionnaire. D’où le paradoxe d’un Comité d’action constitué d’écrivains qui, pendant plusieurs mois, par fidélité au soulèvement, prend la décision de littéralement faire grève de la littérature.
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3

Rosignoli, Margareth. "A revolução na literatura portuguesa." Revista do Centro de Estudos Portugueses 24, no. 33 (December 31, 2004): 69. http://dx.doi.org/10.17851/2359-0076.24.33.69-77.

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Abstract:
<p>A história contemporânea de Portugal tem sua marca na Revolução dos Cravos, em 25 de abril de 1974. A literatura portuguesa que ainda se escreve e que presenciou toda a efervescência do momento relata sua emoção e limitação por estar no meio dos acontecimentos. Hoje, trinta anos depois, encontramos uma literatura eclética. Conteúdo e forma foram modificados, os escritores sabem que seus leitores não idealizam, mas procuram na ficção uma identidade em busca de resposta ao caos, que inove e se assuma, da forma que lhe for possível, no mundo real em que vivem.</p> <p>L’histoire contemporaine du Portugal est marquée par la “Révolution des oeillets”, le 25 avril 1974. Étant présente aux événements et à l’effervescence du moment révolutionnaire, la littérature portugaise, a raconté son émotion et sa limitation, et elle le fait encore. Aujourd’hui, trente ans après, nous rencontrons une littérature éclectique. Le contenu et la forme ont été changés. Les écrivains savent que leurs lecteurs n’ idéalisent pas, mais qu’ils s’efforcent de trouver dans la fiction une identité, qui va à la recherche de la réponse pour le chaos, qui innove et qui s’assume, de la façon qui lui soit possible dans le monde réel où ils vivent.</p>
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4

Bürger, Peter. "Fin de l’avant-garde ?" Études littéraires 31, no. 2 (April 12, 2005): 15–22. http://dx.doi.org/10.7202/501231ar.

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Abstract:
Le terme " avant-garde " recouvre habituellement deux orientations tout à fait différentes : l'avant-garde proprement dite, qui désigne les mouvements conjoignant assaut contre l'autonomie de l'art et projet de changement social révolutionnaire, et la modernité, qui, selon Adorno, a pour centre l'œuvre d'art autonome et insiste sur la pureté esthétique. Or, il semble aujourd'hui que la définition exigeante d'Adorno ne puisse plus s'appliquer à une modernité qui puise désormais dans le répertoire des gestes esthétiques au lieu de chercher à développer le matériau ; quant aux avant-gardes, en l'absence de projet visant à changer la praxis de la vie, elles ne survivent, en définitive, qu'en tant que passé. Le présent article pose la question de la possibilité de poursuivre le projet de la modernité ou de fonder une nouvelle avant-garde à l'ère postmoderne de la déshistorisation des arts et de la littérature.
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5

Lévêque, Laure. "La justice balzacienne: des tables de la loi aux tables de l’aloi." Non Plus 6, no. 12 (December 31, 2017): 38–53. http://dx.doi.org/10.11606/issn.2316-3976.v6i12p38-53.

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Abstract:
C’est l’œuvre de Balzac qui signe véritablement l’entrée de la justice en littérature, laquelle fournit la matière d’une multitude d’intrigues. Nostalgique d’une société organique dont il réfère la perte à l’événement révolutionnaire, Balzac conçoit la justice rapportée à ce moment, synonyme pour lui de bascule d’une société de droit à un ordre de fait que symbolise le contrat, garant d’un nouveau pacte social dont La Comédie humaine passe au scalpel tous les dysfonctionnements. Dès lors, la justice dit-elle le droit ? Pas sûr, à lire les avertissements que professe le duc de Chaulieu dans Les Mémoires de deux jeunes mariées : « Il n’y aura plus que des lois pénales ou fiscales, la bourse ou la vie ». Et l’on peut d’autant plus en douter à voir Vautrin devenir chef de la police ce que le précédent de Vidocq ne peut suffire à expliquer : au-delà du cas particulier, ce sont bien des mutations structurelles que désignent Balzac, celles qui accompagnent l’entrée dans la société civile.
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Gobille, Boris. "Politiques de l’écriture et régimes du collectif dans les avant-gardes littéraires en mai-juin 1968." Études françaises 54, no. 1 (January 16, 2018): 13–36. http://dx.doi.org/10.7202/1042864ar.

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Abstract:
Cet article explore l’impact de Mai-Juin 68 sur les avant-gardes littéraires françaises. La contestation paraît conforter les écrivains d’avant-garde dans leurs aspirations révolutionnaires. Mais elle les défie tout autant. Ils se doivent de descendre dans l’arène et de former des collectifs. Les politiques de la littérature avant-gardistes, du moins celles qui font reposer la révolution sociale sur une révolution dans le langage armée par le savoir théorique le plus avancé, sont contestées par la prise de parole généralisée, égalitaire, anonyme et profane. Comment les avant-gardes affrontent-elles ce défi ? Trois positions sont examinées. Tel Quel, hostile au mouvement étudiant, intervient comme groupe déjà constitué et réaffirme la coupure entre théoriciens spécialisés et profanes spontanéistes. À l’inverse, le Comité d’action étudiants-écrivains, formé le 18 mai 1968 dans la Sorbonne occupée, s’aligne sur la matrice symbolique de Mai, prône la fusion dans le mouvement révolutionnaire et la rupture avec les privilèges de l’écrivain, et bâtit un « communisme d’écriture » fondé sur l’anonymat et l’impersonnalité. Enfin, l’Union des écrivains, née elle aussi durant les événements, conteste « l’ordre littéraire établi » et interroge les rapports entre l’écriture littéraire et « l’écriture généralisée » de Mai. Elle construit en outre une action collective de type syndical qui, parce qu’elle pose que l’écrivain est un « travailleur » dont il faut empêcher la « mort sociale », rompt avec les mythologies littéraires présentant l’auteur comme un créateur éthéré et solitaire. Le régime de communauté politique propre à Mai-Juin 68 télescope donc le régime de singularité littéraire et contraint les avant-gardes à repenser à la fois leurs politiques de l’écriture et leurs conceptions du collectif. Cet article, qui souhaite contribuer à l’étude des rapports entre champ littéraire et événement critique, interroge enfin ce qu’il advient de ces remaniements dans l’immédiat après-Mai.
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7

Bouvier-Bron, Michelle. "Le séjour du poète grec André Calvos à Genève et Lausanne." Historical Review/La Revue Historique 4 (November 20, 2008): 7. http://dx.doi.org/10.12681/hr.207.

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Abstract:
<p>L'objet de cet article était de recenser les renseignements concernant le poète grec André Calvos pendant son long séjour à Genève (mai 1821-décembre 1824) dans les Archives d'État (conditions de vie); dans les journaux genevois de l'époque (annonce de la publication de son premier recueil d'odes <em>La Lyre</em>, de celle des cours de littérature italienne, puis grecque qu'il se propose de donner); dans les registres de la Société de Lecture (contacts probables avec l'helléniste Élie-Ami Bétant, l'homme politique James Fazy et le comte Jean Capodistrias). Nous nous sommes interrogée sur les relations qu'il a pu avoir avec les réfugiés piémontais et lombards arrivés nombreux à Genève en 1821 et 1822, et surtout avec le célèbre révolutionnaire Filippo Buonarroti. Enfin, nous donnons une transcription diplomatique de la lettre de recommandation en faveur de Calvos que Jean Capodistrias, alors installé à Genève, adresse le 8 novembre 1824 à Lausanne à son ami Frédéric-César de La Harpe, ancien précepteur du tsar Alexandre et, à l'époque de Calvos, personnage hautement contestataire, proche de la Charbonnerie.</p><p> </p><p> </p>
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Solomon, Nathalie. "Voyages et fantasmes de voyages chez quelques écrivains français du XIXe siècle: un passé insurpassable." Nottingham French Studies 51, no. 1 (March 2012): 41–53. http://dx.doi.org/10.3366/nfs.2012.0005.

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Abstract:
Le XIXème siècle français, qui aime tant voyager, ne sait pas toujours regarder les autres, au point que le regard des écrivains est essentiellement moqueur, parfois féroce quand il se porte sur ses voisins les plus proches, beaucoup plus indulgent quand il observe les habitants de contrées lointaines: ne serait-ce qu'en Europe, le Polonais martyr politique est bien mieux traité que l'Anglais caricatural, voyageur effréné pétri de snobismes. C'est toute la question du voisinage géographique vu par un siècle où le voyageur aventurier se transforme peu à peu en touriste: si l’étrangeté est hilarante dans certains cas, séduisante dans d'autres, cela tient aussi à ce que la littérature française, entre 1820 et 1890, adore, transforme, puis rejette tour à tour les clichés qui concernent ses voisins trop connus. A la fois autre et familier, le voisin européen, celui qui est à côté, toujours ennemi, mais facile à conceptualiser, figure de manière pertinente la conception d’époque d'une frontière à la fois éternelle et de plus en plus fragile vue d'une France qui, réduite à elle-même, ne parvient pas à oublier son passé révolutionnaire et impérial.
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Ivleva, Krasimira. "Horizon poétique/projet traductif." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 63, no. 1 (June 29, 2017): 65–88. http://dx.doi.org/10.1075/babel.63.1.05ivl.

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Abstract:
Résumé Cet article examine comment le canon poétique et traductif dans la Bulgarie communiste a influencé non seulement la sélection des auteurs et des titres à traduire, mais aussi la manière dont on traduit. L’analyse s’appuie sur un recueil de poèmes de Paul Éluard traduits en bulgare en 1953. Lorsque l’œuvre d’Éluard fut publiée en Bulgarie, la poésie politiquement engagée était un genre qui existait déjà dans la littérature bulgare et qui était très apprécié par le canon. Cependant, il y avait une différence substantielle entre la manière dont les poèmes politiques étaient écrits en Bulgarie et l’expression poétique d’Éluard, ce qui a eu un impact sur la traduction. Les traducteurs s’écartaient de l’original de deux manières. Premièrement, ils intégraient une vision idéologique des poèmes d’Éluard en ajoutant ou en soulignant certaines images secondaires ou inexistantes dans l’original. En outre, ils réduisaient les métaphores complexes d’Éluard à des images standard à connotation révolutionnaire et militante. Deuxièmement, les traducteurs ajoutaient des nuances poétiques à l’écriture sobre de l’original. Des rythmes et des rimes étaient introduits, ainsi qu’un vocabulaire archaïque et des inversions poétiques. Ces écarts peuvent s’expliquer par l’impact que le canon littéraire au sens large et les projets du traducteur individuel exerçaient sur la pratique de la traduction dans la Bulgarie communiste.
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Silva, Evaldo Balbino. "Convergência, de Murilo Mendes: a materialidade do signo ou a “textualização do real”." Revista do Centro de Estudos Portugueses 24, no. 33 (December 31, 2004): 273. http://dx.doi.org/10.17851/2359-0076.24.33.273-285.

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Abstract:
<p>O presente artigo se propõe a fazer uma leitura do conto Uns braços de Machado de Assis, apontando nele alguns traços marcantes do estilo machadiano. Nesse sentido, pretendo estabelecer um diálogo entre aspectos do pensamento de Roland Barthes e a escrita de Machado. Destaco, no referido conto, sobretudo o traço do furo, da falta, da incompletude, do logro – marca persistente da narrativa machadiana – que desconforta o leitor, colocando-o em estado de crise, na sua relação com a linguagem. A meu ver, o texto do autor de Dom Casmurro, caracterizaria le texte de jouissance, nos termos propostos por Barthes. Nesse sentido tecerei considerações sobre a linguagem literária e o exercício de deslocamento produzido pelo escritor, no cerne da própria língua, promovendo, segundo Barthes uma trapaça salutar. Ainda me disponho a desenvolver, ao longo do estudo, reflexões acerca da importância da literatura, como força revolucinária que consiste em levantar questões sobre a própria realidade a qual não passa de construção discursiva e, portanto, é passível de ser modificada.</p> <p>Cet étude se propose à faire une lecture sur le texte Uns braços de Machado de Assis . On fera des considérations sur des traits rémarquables du style machadien qui se caractérize pour une narrative de la manque, de l’incomplétude. Une narrative qui provoque de l’angoisse au lecteur. Pourtant, un “texte de jouissance: celui qui met en état de perte, celui qui déconforte (peut-être jusqu’ à un certain ennui)”. On réflechira bien aussi sur le texte littéraire et l’exercice de déplacement introduit pour l’écrivain à l’intérieur même du langage, y faisant, selon la pensée de Barthes, un tourbillonemment salutaire; on réflechira, finalement sur des traits de la littérature comme une force révolutionnaire qui pose des questions sur la propre réalité qui n’est que des constructions de langage et, pourtant, elle peut être modifiée.</p>
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Dupuy, P. "La diffusion des stéréotypes révolutionnaires dans la littérature et le cinéma anglo-saxons (1789-1989)." Annales historiques de la Révolution française 305, no. 1 (1996): 511–28. http://dx.doi.org/10.3406/ahrf.1996.1992.

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Pereira, João Carlos Vitorino. "Littérature de parti et écriture normative : l’oeuvre de Manuel Tiago/Álvaro Cunhal." Abril – NEPA / UFF 7, no. 14 (April 15, 2015): 101–18. http://dx.doi.org/10.22409/abriluff.v7i14.29853.

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Abstract:
Tout roman à thèse communiste, comme tout conflit idéologique, répartit l’humanité en bons et en méchants, ce qui donne lieu à une axiologie binaire : c’est ce que l’on observe dans l’œuvre de Manuel Tiago dont l’écriture est explicative et normative. L’auteur, d’ailleurs, recourt fréquemment à la modalité déontique, qui caractérise le normatif, ainsi qu’aux commentaires évaluatifs, et donc à la modalité épistémique. Son premier roman, Até Amanhã, Camaradas, écrit sous la dictature salazariste, a servi de manuel aux membres du PCP qui devaient se transformer en « révolutionnaires professionnels » en luttant dans la clandestinité.----------------------------------------------------------------------LITERATURA DE PARTIDO E ESCRITA NORMATIVA: A OBRA DE MANUEL TIAGO/ÁLVARO CUNHALTodo o romance de tese comunista, assim como todo o conflito ideológico, divide a humanidade em bons e maus, o que dá origem a uma axiologia binária : é o que se verifica na obra de Manuel Tiago cuja escrita é explicativa e normativa. O autor, aliás, recorre frequentemente à modalidade deôntica, que caracteriza o normativo, bem como aos comentários avaliadores e, consequentemente, à modalidade espitémica. O seu primeiro romance, Até Amanhã, Camaradas, escrito sob a ditadura salazarista, serviu de manual para os membros do PCP que deviam transformar-se em « revolucionários profissionais », lutando na clandestinidade.---Artigo em francês.
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Glinoer, Anthony. "Balises pour une histoire institutionnelle de la littérature prolétarienne et révolutionnaire (1920-1940)." Dossier 3, no. 1 (January 16, 2012). http://dx.doi.org/10.7202/1007578ar.

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Abstract:
Cas à la fois emblématique et ambigu de littérature engagée, la littérature prolétarienne et révolutionnaire des années 1920-1940 a fait l’objet de nombreux travaux : que ce soit dans les cas de l’Allemagne, de la France, des États-Unis ou de la Russie soviétique, les principaux acteurs ont été identifiés, certaines oeuvres ont été republiées et il a été montré comment ces mouvements ont été encouragés puis déstructurés, au profit du seul réalisme socialiste, par l’Internationale communiste. Cependant, la dimension transnationale, voire mondiale, de ce mouvement littéraire, n’a pas été mise de l’avant, non plus que les profondes ressemblances entre les démarches institutionnelles menées d’un pays à l’autre dans ce domaine. Partant de sources critiques peu connues dans le monde francophone, cet article défriche ce terrain et dresse un état des lieux institutionnels de la littérature prolétarienne et révolutionnaire : groupes, revues, associations y sont considérés de façon à apporter un éclairage nouveau sur ce temps où, de par le monde, les ouvriers écrivaient.
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Pra, Denis R. "Une lézarde révolutionnaire dans l’histoire martiniquaise: la littérature engagée d’Edouard Glissant." Paroles gelées 27, no. 1 (2012). http://dx.doi.org/10.5070/pg7271003258.

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Saemmer, Alexandra. "Littératures numériques : tendances, perspectives, outils d’analyse." 43, no. 3 (January 3, 2008): 111–31. http://dx.doi.org/10.7202/016907ar.

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Abstract:
Résumé Depuis quelques années, les sites Web personnels, les blogues, journaux intimes, les sites de poésie, les chroniques personnelles prolifèrent en ligne : le succès des Skyblogs, supports de publication destinés aux adolescents, n’est que l’indicateur le plus médiatisé d’un phénomène qui touche toutes les couches de la population. Le statut d’auteur semble désormais accessible à tout le monde. La possibilité de toucher plusieurs millions d’internautes, l’espoir de se faire « repérer » un jour par un éditeur papier, motivent un grand nombre d’auteurs à mettre leurs productions textuelles sur le Web. L’on peut cependant constater que beaucoup de blogues, journaux intimes et romans-feuilletons « en réseau » se présentent sous des formats assez traditionnels : le lien hypertexte, outil syntaxique révolutionnaire, n’est utilisé qu’à l’intérieur d’un sommaire facilitant le « feuilletage » du matériel textuel ; l’animation textuelle, outil sémantique renouvelant profondément l’aspect graphique de l’écrit, est quasiment absente de ces créations, ou bien elle se trouve réduite à une fonction de gadget. Les codes de programmation informatiques, présents sous la surface lisse de l’écran, ne jouent qu’un rôle de langage secondaire. À côté de cette première forme de littérature en réseau s’est développée une deuxième, encore peu connue du grand public, et qui donne lieu à des trouvailles beaucoup plus surprenantes. Depuis une dizaine d’années, loin des circuits de publication et de diffusion des littératures papier, des cercles, des communautés d’écrivains se sont formées autour de l’idée d’une littérature numérique exploitant pleinement les potentialités du médium « ordinateur ». L’animation, l’interactivité et une programmation créative caractérisent ces nouvelles créations littéraires sur support numérique. C’est ainsi dans les calligrammes et métaphores animés et dans l’animation syntaxique, dans les relations intersémiotiques entre le texte animé et l’image fixe, entre le texte fixe et l’image animée que se dessine une première particularité de la littérature numérique. Deuxièmement, c’est la dynamisation de l’écrit par le lien hypertexte (que le lecteur active par clic) qui incite un nombre grandissant d’auteurs à expérimenter avec le support numérique. Un troisième « genre » de la nouvelle littérature numérique se fonde sur la réflexion concernant le rôle du programme. Le premier but de cet article est de présenter les convergences et les différences entre les trois principaux genres de la littérature numérique. À partir d’un certain nombre d’exemples représentatifs, je propose ensuite des outils d’analyse adaptés à ces nouvelles formes de création littéraire.
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Wormser, Gérard. "La pensée romantique, une révolution des idées." Sens public, December 24, 2016. http://dx.doi.org/10.7202/1044410ar.

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Abstract:
Entre 1770 et 1800 se diffuse en Allemagne un ensemble de réflexions concernant l’art et la subjectivité. C’est la philosophie du romantisme. Elle amorce la transformation révolutionnaire européenne. L’essor intellectuel allemand commence par un dialogue avec les Lumières françaises chez Lessing, Herder et leurs successeurs avant de s’infléchir en une réflexion sur l’originalité des expressions culturelles. Radicalisée par Kant, Schelling ou Goethe, cette pensée de la subjectivité, où l’esthétique voisine avec la morale et la métaphysique, englobe la littérature, la philosophie et la religion. Par ses aspirations comme par ses conséquences, elle a modelé la modernité et a ouvert la voie aux formes d’action communicationnelle de cénacles spécialisés dont nos interactions numériques ont retrouvé le fil. Après ce premier article présentant ce mouvement culturel européen, un second traitera de la philosophie du romantisme allemand et de sa transformation académique avant qu’un troisième esquisse le passage de la dialectique au numérique.
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Lahouste1, Corentin. "Du mur à la page. Poétique du graffiti dans Les Renards pâles de Yannick Haenel." Articles 8, no. 1 (November 16, 2016). http://dx.doi.org/10.7202/1038033ar.

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Abstract:
Que se passe-t-il lorsque la « littérature sauvage » trouve des passeurs dans le champ institué? Tel est le cas des graffitis dans l’oeuvre de Yannick Haenel, au sein de laquelle des phrases rapportées occupent toujours un rôle central, constituant la force motrice de l’écriture. Plusieurs de ses romans (Cercle, Les renards pâles, Je cherche l’Italie) intègrent à leurs intrigues des tags qui proviennent des murs des villes que parcourent les narrateurs haeneliens. Les Renards pâles, publié en 2013, exploite tout particulièrement ce processus. Les différents graffitis retranscrits et insérés dans la textualité du roman, loin de perdre leur statut « sauvage » en rentrant dans le rang de la forme livresque institutionnalisée, viennent, en tant que « phrases-talismans » investies d’une puissance sacrée, nourrir et renforcer l’aspect « vif » de l’écriture de l’écrivain français. Cette pratique scripturale singulière se voit également insuffler une portée politique – elle permet de rejouer deux notions déterminantes du politique : l’identité et la communauté –, mais surtout révolutionnaire et anarchique, en ouvrant à une autre voie, celle du symbolique.
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Trudel, Alexandre. "Sur un étrange héros de l’anti-littérature : les stratégies divergentes de Guy Debord." @nalyses. Revue des littératures franco-canadiennes et québécoise, January 1, 2006. http://dx.doi.org/10.18192/analyses.v1i1.437.

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Abstract:
Dans son œuvre mémorialiste tardive, Guy Debord offre l’image d’un certain type d’héroïsme littéraire. C’est à partir de l’époque post-révolutionnaire de sa vie que Debord change de stratégie dans le contrôle de la réception de ses productions. Alors que, durant la période situationniste, l’agitation culturelle devait s’organiser dans le secret, la période suivante voit Debord adopter le rôle plus classique de l’« auteur ». Anticipant sa postérité, Debord organise la diffusion posthume de son œuvre tout en peaufinant les dernières images « héroïques » qu’il lèguera de lui-même. Mais cette rupture apparente avec les principes hérités des avant-gardes ne doit pas masquer la singularité de la démarche, qui consiste en une mise en scène inédite de soi par l’entremise d’une dialectique apparition/disparition dans laquelle la littérature ne joue qu’un rôle partiel.AbstractIn his late memorialist works, French writer Guy Debord presents a distinctive image of literary heroism. It’s during the post-revolutionary era of his life that Debord changed his strategy in the control of his works’ reception. Whereas during the situationnist era the cultural revolution ought to be spread in secret, the next period sees Debord adopting the classical function of the “author”. Anticipating his posterity to come, Debord organized the posthumous diffusion of his works while polishing up the ultimate heroic images of himself he would pass on. But this noticeable break with the principles inherited from the avant-gardes should not hide the singularity of Debord’s reasoning, which consists in an original mise en scène of the self by an appearance/disappearance dialectic in which literature only plays a partial part.
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Hébert, Martin. "Utopie." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.080.

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Abstract:
Les rapports perçus entre l’utopisme et l’anthropologie sont complexes, contestés et souvent davantage révélateurs du regard qui est posé sur ces deux formes de discours que d’une parenté évidente entre elles. Le sens même à donner à ces termes est ambigu. Nous commencerons ici par examiner des conceptions plutôt restrictives et formalistes de ces types de discours. Elles tracent une frontière relativement claire et rigide, que les anthropologues ont longtemps tenté de renforcer pour assoir l’autorité de leurs propres productions. Dans un deuxième temps, nous aborderons la manière dont cette frontière est devenue de plus en plus poreuse au XXe siècle, reflétant diverses appropriations anthropologiques de l’utopisme. Selon ses définitions les plus restrictives, le genre utopique serait constitué d’un corpus littéraire dont les codes ont été fixés dans l’Utopie de Thomas More (1516). Ses matériaux seraient le voyage imaginaire et il aurait pour finalité de produire le « plan » d’une société dans laquelle les contradictions que perçoit l’auteur-e dans sa propre société sont résolues. Cette même approche définitionnelle appliquée à l’ethnographie en fait un discours qui tire son autorité de l’expérience directe du terrain, dont le ton est ostensiblement descriptif avant d’être normatif et dont l’objectif ultime réside dans l’appréciation et la théorisation de la diversité des sociétés humaines. Même quand l’ethnographie est critique des rapports de pouvoir qu’elle met en récits, sa prétention typique est généralement de « découvrir » les réponses des personnes rencontrées sur le terrain face à ces systèmes de domination, plutôt que d’inventer des solutions pour contrer ces derniers. La distinction entre « découvrir » et « inventer » renvoie au vocabulaire utilisé à l’un des moments charnières dans la différentiation générique entre l’utopie et le discours des sciences sociales naissantes à la fin du XIXe siècle. Dans une brochure intitulée Socialisme utopique et socialisme scientifique (1880), Engels parlait de la recherche des moyens qui pourraient permettre d’ « éliminer les anomalies » mises au jour par l’analyse des sociétés. Il écrit : « Il faut donc non pas inventer ces moyens dans son cerveau, mais les découvrir à l’aide de son cerveau dans les faits matériels […]. » (Engels 1971 [1880] : 92) Les cibles explicites de cette critique sont, ici, les piliers de l’utopisme socialiste que sont Saint-Simon, Fourier et Owens. Pour Engels, l’engagement politique de ces auteurs est louable, mais ils souffrent d’une « immaturité théorique » qui les contraint à recourir aux codes de l’utopisme pour communiquer leur lecture du social et de l’émancipation. Pour Engels, bien entendu, ces jeux littéraires avaient été rendus caduques par l’échafaudage du « véritable » outil scientifique qu’était le matérialisme historique. Cette ligne de fracture générique entre l’utopisme et les sciences sociales n’est certainement pas un fait unique à la tradition marxienne. Dans son étude consacrée à la période d’émergence et de consolidation de l’anthropologie institutionnalisée, Esteban Krotz (2014 [1994]) a montré que la quête de respectabilité scientifique de la discipline anthropologique a souvent impliqué un rejet brutal, catégorique, de toute association possible avec l’utopisme. Cet acte sacrificiel, si l’on peut dire, par lequel le discours anthropologique désavouait sa parenté avec d’autres formes de discours sur l’ « Autre », tels le conte philosophique, le récit de voyage et l’utopie semble avoir été l’acte rhétorique exigé, selon Krotz, pour gagner une place à la table des sciences sociales. Mais sous ce désaveu se cachaient des filiations, peut-être profondes, qui ont continué de lier l’anthropologie et l’utopisme même durant cette période de définition des formes canoniques de la discipline anthropologique. Traitant du contexte français, Philipe Chanial parle de « deux voies » intervenant dans la genèse des sciences sociales : celle des Lumières et celle des Mystères. La seconde, évoquant l’importance « de l’utopie, du romantisme social et de l’Illuminisme » (Chanial 2000 : 80) est généralement peu assumée dans la narration de l’histoire de l’anthropologie. Pourtant, cette branche de l’arbre généalogique disciplinaire a nourri ce que George Marcus a nommé le « projet caché » au sein de l’écriture anthropologique, son engagement politique donnant une portée critique, si ce n’est justement utopique, aux comparaisons faites entre sociétés humaines. À tout le moins, ces ethnographies peuvent être considérées comme disponibles pour une appropriation utopiste. Les premières décennies du XXe siècle sont celles où la distinction générique entre l’utopie et l’ethnographie est affirmée avec le plus de sévérité. L’historiographie de l’anthropologie montre toutefois une certaine porosité dans la frontière entre ces discours. On relève en outre le fait que l’« exonostalgie » est restée un motif utopique récurrent dans le discours anthropologique jusqu’à nos jours (Makens et Blanes 2016). Mais quoi qu’il en soit, une forte connotation négative est attachée au terme d’ « utopie » à l’époque. Dans les années 1870, même l’utopie littéraire est en voie d’être supplantée par les romans dystopiques. L’optimisme (souvent techno-utopique), lui, se déplace alors vers la science-fiction. Ce n’est qu’avec la renaissance de l’utopie en tant que concept sociologique à la fin des années 1920 que cette dernière commencera à devenir fréquentable pour le vocabulaire anthropologique, particulièrement lorsqu’il sera question des résistances face au colonialisme. La réhabilitation de l’utopie en anthropologie peut être découpée en trois moments importants. Dans un premier temps, il sera question d’ethnographier de manière assez classique des communautés intentionnelles qui tentent de refonder la vie sociale par des pratiques expérimentales assumées comme telles. Paraitront des ethnographies de Kibbutz par exemple (Spiro 1956). Mais ces contributions tirent généralement peu parti de la conceptualisation de l’utopie comme force politique. Les références à des textes clés comme le Idéologie et utopie de Karl Mannheim ou le Thomas Münzerde Ernst Bloch, qui ont définitivement rompu avec les définitions littéraires de l’utopie à partir des années 1920, arriveront avec près de quarante années de retard en anthropologie. S’éloignant de la vision « insulaire » de l’utopie comme une sorte de microcosme à ethnographier, les anthropologues commencent alors à adopter des visions plus dialectiques où l’utopie interagit socialement avec des forces, en particulier l’idéologie, qui participent à la reproduction des formations sociales. Cette approche aura une résonnance particulière dans l’étude des contextes coloniaux où les mouvements religieux millénaristes ou prophétiques, par exemple, seront réinterprétés comme des expressions de la ferveur utopique/révolutionnaire des subalternes. Des travaux de Vittorio Lanternari (1962) et de Mühlmann (1968) sur les messianismes et les millénarismes, à ceux de Jean et John Comaroff sur les églises d’Afrique du sud (1991) et de Mondher Kilani sur les cultes du cargo mélanésiens (1983) dans les années 1980, l’étude de mouvements mus par l’« esprit de l’utopie », mais non nécessairement par ses prétentions totalisantes, dirigistes et insulaires classiques, devint une approche importante pour aborder des mobilisations et des résistances souvent difficilement lisibles comme politiques pour les sciences sociales occidentales. Si, dans les ethnographies d’expériences communautaires ou de mouvements sociopolitiques la différence générique entre l’utopisme et l’écriture anthropologique demeurait relativement stable, un troisième moment de cette réappropriation de l’utopie viendra questionner cette frontière. Des appels faits dans les années 1960 à pratiquer une ethnographie engagée jusqu’aux réflexions sur l’autorité narrative dans les années 1980, nous constatons une remise en question croissante de la possibilité pour les anthropologues d’agir simplement comme les observatrices et observateurs des utopies des « autres ». Réciproquement, des spécialistes de l’utopisme commençaient à proposer que le texte utopique soit compris comme une pratique politique située dans et agissant sur la société (Suvin 1979). Ainsi, la distinction rigide qu’avait postulé Engels entre l’action de « découvrir » des réponses aux contradictions de la société et celle de les « inventer » devenait de moins en moins claire. L’apparent délitement des frontières génériques entre l’ethnographie contemporaine et l’utopisme met en évidence l’importance de recentrer notre appréciation de ces genres sur les usages qui sont faits des textes eux-mêmes. Une ethnographie peut facilement être réappropriée dans des projets délibérés de revitalisation, voire de réinvention, de la vie sociale. Les tentatives de faire du buen vivir un un principe de refondation macro-sociale de certains États d’Amérique latine, par exemple, mettent en évidence de telles réappropriations. L’inscription du principe du buen vivirdans la constitution de l’Équateur en 2008, par exemple, peut être vue comme une telle appropriation. Inversement l’utopie ou des genres apparentés, dont la science-fiction en particulier, sont de plus en plus mobilisés explicitement comme puissants outils auto-ethnographiques par une diversité de groupes historiquement marginalisés (Dillon 2012). Un certain nombre d’auteurs du Sud ont d’ailleurs noté la pertinence de s’inscrire dans la tradition utopique et d’y revendiquer une participation en soutenant qu’elle a débordé l’Occident depuis bien longtemps déjà (Bagchi 2016). Elle peut même constituer une réponse épistémologique critique face aux idéaux eurocentriques des Lumières dans la mesure où l’utopie elle-même s’est souvent définie par son rapport agonique face à ces derniers (Kannepalli Kanth 1997 ; Sarr 2016). Activer et déstabiliser les codes de littératures et pratiques si étroitement liées à la modernité occidentale devient alors une stratégie à la fois pour découvrir et pour inventer des manières de la confronter sur son propre terrain.
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