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Journal articles on the topic 'Lait concentré'

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1

COULON, J. B., P. FAVERDIN, F. LAURENT, and G. COTTO. "Influence de la nature de l’aliment concentré sur les performances des vaches laitières." INRAE Productions Animales 2, no. 1 (1989): 47–53. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.1.4399.

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Abstract:
Quarante-cinq comparaisons de concentré riches en amidon (A) ou en parois facilement dégradables (P) ont été utilisées pour analyser l’influence de la nature du concentré sur les performances des vaches laitières. Les concentrés P sont légèrement moins encombrants que les concentrés A. Ils conduisent en moyenne à des productions laitières et à des taux butyreux un peu supérieurs (de respectivement + 0,5 kg/j et + 0,6 g ‰), mais à des taux protéiques un peu inférieurs (-0,4 g ‰). Ces écarts, très variables d’un essai à l’autre, ne deviennent cependant importants que lorsque les quantités de concentré offertes atteignent ou dépassent 50 % de la ration totale ( + 1,3 kg/j de lait 4 %, + 3,3 g ‰ de taux butyreux et -0,8 g ‰ de taux protéique entre les concentrés P et A). Dans les conditions françaises habituelles d’utilisation du concentré, la santé des vaches laitières n’est pas affectée par le type de concentré utilisé. Dans ces conditions, le choix du type de concentré dépendra donc plus de contraintes économiques et pratiques que d’avantages zootechniques.
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2

LEFRILEUX, Y., P. MORAND-FEHR, and A. POMMARET. "Aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage." INRAE Productions Animales 25, no. 3 (2012): 277–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3215.

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Abstract:
Neuf expériences ont été réalisées à la station expérimentale du Pradel (Sud-Est de la France) de 1991 à 2000 sur la conduite au pâturage des chèvres laitières hautes productrices (800-1100 kg de lait/chèvre/an) et en particulier sur le type de pâturage à adopter (pâturage tournant ou continu), les conditions de la mise à l’herbe et la stratégie de complémentation afin d’évaluer leurs effets sur les performances laitières (production et composition du lait). Deux expériences comparant pendant 3 ans et 100 jours respectivement deux systèmes d’alimentation, en chèvrerie ou au pâturage, ont montré que le pâturage couvre plus de 50% des besoins énergétiques des chèvres et que les productions laitières et les taux butyreux et protéique ne sont jamais significativement différents entre les deux conduites. Dans une troisième expérience aucune différence significative n’a été observée sur la production et la composition du lait de chèvres conduites pendant 100 jours au printemps en pâturage tournant ou en pâturage continu à surface identique et sur ces couverts végétaux comparables. Une quatrième expérience de 120 jours a permis de montrer qu’une mise à l’herbe précoce (début Mars) permet une meilleure production laitière qu’avec une mise à l’herbe plus tardive, vers le 31 Mars. Quatre expériences d’une durée de 12 à 16 semaines ont comparé différents niveaux de complémentation des chèvres au pâturage. L’augmentation de l’apport d’aliment concentré améliore de façon limitée la production laitière, en particulier au dessus de 0,8 kg de concentré/jour/chèvre. Avec de l’herbe de très bonne valeur alimentaire, cette augmentation est de 10 g de lait/100 g de concentré ajouté alors qu’elle est de 40 g avec de l’herbe à un stade plus avancé. La composition du lait est très peu modifiée par l’apport de concentré. Une dernière expérience de 100 jours et certaines expériences précédentes ont précisé les effets de la composition de l’aliment concentré. La nature des sources azotées (protéines peu ou fortement dégradables dans le rumen) influence plus la production laitière que celle des sources énergétiques (amidon vs fibre et matière grasse). Ainsi une production de lait de 1000-1100 kg par an peut être obtenue avec un système alimentaire où le pâturage couvre une part importante des besoins énergétiques totaux des chèvres (50 à 75% environ). Pour cela il est nécessaire que le potentiel génétique des chèvres le permette, que la durée journalière de pâturage soit suffisante (10-11 heures par jour), que les apports de fourrages distribués à l’auge soient très limités ou supprimés, que ceux d’aliments concentrés soient limités à environ 0,8 kg/chèvre/jour et surtout qu’une gestion du pâturage basée sur des contrôles journaliers et des observations précises soit mise en place avec rigueur par l’éleveur.
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3

DELABY, L., J. L. PEYRAUD, and R. DELAGARDE. "Faut-il complémenter les vaches laitières au pâturage ?" INRAE Productions Animales 16, no. 3 (2003): 183–95. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.3.3659.

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Abstract:
L’herbe pâturée est un fourrage de valeur nutritive élevée, peu coûteux à produire et à récolter et qui peut constituer le seul aliment de la ration de la vache laitière. En l’absence de toute complémentation, la production et la composition du lait d’une vache laitière au pâturage dépend d’abord de l’animal et de son potentiel au moment de la mise à l’herbe. Mais les conditions de pâturage (chargement, hauteur en début et fin de parcelle) imposées par l’éleveur pour valoriser au mieux l’herbe produite ne permettent pas aux vaches laitières de satisfaire la totalité de leurs besoins énergétiques. En conséquence, l’apport de concentré est aujourd’hui plus efficace que par le passé et des réponses de 1 kg de lait par kg de concentré, accompagnées d’une baisse du taux butyreux et d’une augmentation du taux protéique, sont souvent rapportées. Les travaux récents conduits à l’INRA montrent que cette efficacité varie peu dans les conditions habituelles de pâturage. De même, dans le cas d’apport identique de concentré entre vaches, l’efficacité semble indépendante du niveau de production entre 25 et 45 kg de lait par jour à la mise à l’herbe. Ces résultats permettent de proposer des simplifications dans les modalités d’attribution du concentré au pâturage. Comme en alimentation hivernale, la nature de l’énergie du concentré n’a réellement d’influence sur la composition du lait (taux butyreux) que pour des quantités élevées, supérieures à 5 kg de concentré. L’incorporation de matières premières riches en protéines, même protégées, ne se justifie que dans le cas d’herbe pâturée pauvre en azote. L’apport de fourrages complémentaires au pâturage présente peu d’intérêt et, dans la pratique, contribue souvent à une dégradation des conditions de pâturage. Seules les situations de pénurie fourragère ou de chargement très élevé permettent de bien valoriser à la fois l’herbe pâturée et les fourrages conservés distribués en complément.
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4

Gault, P., M. Mahaut, and J. Korolczuk. "Caractéristiques rhéologiques et gélification thermique du concentré de protéines de lactosérum." Le Lait 70, no. 3 (1990): 217–32. http://dx.doi.org/10.1051/lait:1990318.

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HODEN, A., L. DELABY, and B. MARQUIS. "Pois protéagineux comme concentré unique pour vaches laitières." INRAE Productions Animales 5, no. 1 (1992): 37–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.1.4220.

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Abstract:
Deux rations complètes équilibrées à base d’ensilage de maïs comportant des apports iso-énergétiques d’aliments concentrés témoin classique (1 UFL/kg MS et 115 PDIE/UFL) ou expérimental (pois protéagineux) offertes en quantités limitées ont été comparées. Les apports nutritifs (UFL - PDI) ont été prédéterminés de façon à satisfaire sans excès les besoins des animaux. Selon un schéma expérimental en inversion comportant 2 périodes de 7 semaines, un total de 21 vaches en milieu de lactation (80 % primipares) réparties en 2 lots a reçu l’une ou l’autre de ces rations. Pour des apports moyens de 5,4 kg MS de concentré témoin ou de 4,6 kg MS de pois protéagineux, les quantités ingérées totales ont été identiques (3,08 kg MS % kg de poids vif). Les apports énergétiques ont été comparables (15,6 UFL/j) et ceux de PDI ont été sensiblement plus faibles pour la ration comportant le pois protéagineux. Les bilans énergétiques ont été légèrement excédentaires, surtout pour le traitement expérimental (+ 0,7 UFL). Les bilans PDI sont à l’opposé déficitaires, en particulier pour la ration comportant le pois protéagineux (-130 g contre - 55 g pour le témoin). Pour les 2 traitements, les productions de lait, de matières grasses et de protéines ont été comparables et en moyenne de 23,5 kg, 948 g et 692 g par jour respectivement. La composition du lait a aussi été identique mais les taux protéiques ont été faibles par rapport aux taux butyreux (30 vs 41 g/kg respectivement). Les vaches les plus fortes productrices ont cependant diminué plus fortement leur production de lait 4 % (P < 0,07), de matières grasses (P < 0,02) et le taux butyreux (P < 0,02) lorsqu’elles ont reçu le pois protéagineux. En conclusion, il est possible de valoriser des quantités importantes de pois protéagineux jusqu’à des niveaux de production de 25 à 30 kg de lait par jour. Pour les productions supérieures, il sera nécessaire d’apporter simultanément des protéines de qualité.
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SCHMIDELY, P., and D. SAUVANT. "Taux butyreux et composition de la matière grasse du lait chez les petits ruminants : effets de l’apport de matières grasses ou d’aliment concentré." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (2001): 337–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3760.

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Abstract:
Une base de données sur les effets de l’apport d’aliment concentré ou de matières grasses a été constituée pour quantifier la réponse du taux butyreux et de la composition en acides gras du lait chez les petits ruminants. L’apport d’aliment concentré réduit le taux butyreux, de façon plus marquée en ration complète qu’en ration fourrage - concentré séparés. Dans ce dernier type de ration, la réponse de la matière grasse du lait est curvilinéaire, un ratio fourrage concentré 1:1 maximisant la matière grasse produite. Dans ces conditions, les proportions des AG courts et moyens du lait sont peu ou pas modifiées, celles des AG longs saturés et mono-insaturés de type cis sont fortement réduites au profit des formes mono-insaturées trans et de l’acide linoléique. L’apport de matières grasses non protégées augmente généralement le taux butyreux et la matière grasse produite, de façon comparable pour les matières grasses animales ou végétales. Avec des huiles végétales ou animales, ces réponses sont très variables en fonction de l’intensité des effets dépresseurs de ces matières grasses sur la synthèse des acides gras courts et moyens, et de l’accroissement des acides gras longs. Les teneurs en acide linoléique, linolénique et CLA du lait sont accrues par les graines ou l’huile de colza, mais de façon modeste. Les huiles de poisson non protégées n’accroissent que faiblement les teneurs en acides gras poly-insaturés du lait. L’utilisation de savons de calcium (huile de palme principalement) accroît le taux butyreux de façon plus marquée chez les brebis que chez les chèvres, alors que l’accroissement de la matière grasse est comparable entre les deux espèces pour des apports jusqu’à 150 g/j. Ils réduisent la teneur du lait en AG moyens, mais pas celle des acides gras courts, ni celle de l’acide palmitique ; inversement ils induisent une forte augmentation de la teneur en acide stéarique et surtout oléique. La protection de graines ou d’huile de poisson par encapsulation permet de limiter l’effet dépresseur observé sur les acides gras courts et moyens, avec une réduction de l’acide stéarique et oléique au profit des formes trans de cet acide. Dans ces conditions, le transfert des acides linoléique et linolénique est accru en fonction de la richesse des graines pour ces acides gras. Cette forme de protection constitue un moyen modérément efficace de transférer vers le lait les acides gras polyinsaturés des huiles de poisson, ou des CLA alimentaires. L’ensemble de ces résultats fait apparaître un manque de données expérimentales chez les petits ruminants sur les facteurs alimentaires permettant de maîtriser la composition de la MG du lait, en particulier en ce qui concerne les acides gras jouant un rôle potentiel sur la santé humaine.
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COULON, J. B., P. D’HOUR, M. PETIT, E. ALBARET, and M. JAWOREK. "Niveau et répartition des apports de concentré hivernaux chez la vache laitière. Résultats sur primipares." INRAE Productions Animales 3, no. 5 (1990): 319–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.5.4390.

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Abstract:
Cent dix neuf vaches laitières en première lactation ayant vêlé en moyenne le 6 décembre ont été utilisées au cours d’un essai conduit 3 années consécutives. Au cours de l’hiver, tous les animaux recevaient une ration de base composée d’ensilage d’herbe (à volonté) et de foin (4 kg/j). Chaque année 5 lots ont été constitues : 3 niveaux d’apport de concentré au cours de la période hivernale (haut H, moyen M et bas B), et pour chacun des 2 niveaux inférieurs, 2 modes de répartition du concentré (classique (C) ou uniforme (U)), ont été comparés. Au pâturage toutes les vaches ont été conduites ensemble. Au cours de la période expérimentale (semaine 4 à 18 de lactation), les vaches du lot H et des lots M et B ont ingéré respectivement 6,3, 4,8 et 3,5 kg MS/j de concentré et 9,2, 9,5 et 9,8 kg MS/j de fourrages. Les vaches du lot H ont produit en moyenne plus de lait (1,2 et 3,1 kg/j par rapport a celles des lots MC et BC), lait d’une teneur plus élevée en protéines (+ 0,6 et + 1,7 g/kg). Au cours de l’hiver, les variations de poids vifs ont été respectivement de + 1, - 26 et - 39 kg dans les lots H, M et B. A l’échelle de la lactation (305 j) les écarts de production atteignent 169 et 577 kg pour des écarts d’apport de concentré de 202 et 420 kg MS. Il n’y a pas eu d’effet significatif du mode de répartition du concentré sur les performances des animaux. Ces résultats sont discutes en fonction du niveau de production des animaux, et de leur conséquence sur leur carrière ultérieure.
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TROCCON, J. L. "Allaitement et sevrage des génisses d’élevages." INRAE Productions Animales 2, no. 3 (1989): 189–95. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.3.4412.

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Abstract:
Afin de proposer des plans de rationnement en lait et en aliment concentré, 137 génisses Holstein ont reçu différentes quantités journalières d’aliment d’allaitement (770 à 1320 g/j) et d’aliment concentré (1,5 à 3 kg/j) et ont été sevrées à dif férents âges (9 à 16 semaines). L’augmentation de l’apport d’aliment d’allaitement réduit la consommation d’aliments solides (aliment concentré surtout). Le gain de poids vif des génisses de moins de 6 semaines est alors fortement accru car, jusqu’à cet âge, la substitution de l’aliment concentré à l’aliment d’allaitement est faible. La distribution quotidienne de 1 kg d’aliment d’allaitement avant le sevrage puis de 2 kg d’aliment concentré assure la continuité du croît des génisses après le sevrage. Après l’âge de 6 semaines, la distribution prolongée de 1 kg/j d’aliment d’allaitement au lieu de 2 kg/j d’aliment concentré permet des croîts identiques. Dans de bonnes conditions d’élevage, un sevrage des génisses à l’âge minimum de 8 semaines avec 45 kg d’aliment d’allaitement permet un gain de poids vif régulier de 800 à 900 g/j de la naissance à l’âge de 4 mois.
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BERTIN, M., and R. CASTANIE. "Résultats de deux enquêtes sur l’élevage du veau laitier réalisées en Loire-Atlantique et Vendée en février 1996." INRAE Productions Animales 10, no. 4 (1997): 327–31. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.4.4006.

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Abstract:
Les éleveurs laitiers adhérant au Contrôle Laitier ont été enquêtés dans les départements français de Loire-Atlantique (un éleveur enquêté sur deux) et de Vendée (tous les éleveurs) sur leurs pratiques concernant l’alimentation des génisses de la naissance jusqu’après le sevrage. L’alimentation lactée (colostrum, lait entier, lait de remplacement ; nombre de repas, etc) est très variée dans les élevages, à l’inverse de l’alimentation solide (fourrages distribués notamment). L’équilibre des composants de l’alimentation (lait, concentré, fourrage) demande à être précisé dans le cadre du sevrage précoce (à moins de 10 semaines d’âge, ce qui concerne 30 à 50 % des élevages) ou tardif (à plus de 10 semaines d’âge).
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Gnanda, I. B., J. S. Zoundi, Aimé J. Nianogo, Alain Le Masson, and Christian Meyer. "Performances laitières et pondérales de la chèvre du Sahel burkinabé en régime de complémentation basé sur l’utilisation des ressources alimentaires locales." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 3 (2005): 175. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9930.

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Abstract:
En matière de production laitière, en plus des apports indispensables en nutriments protéiques et énergétiques, il est nécessaire que les animaux aient leurs besoins couverts en certains principes minéraux. Pour aborder cette problématique, 32 chèvres du Sahel burkinabé de troisième lactation et d’âge variant entre 4 ans et 4 ans et demi ont été réparties en quatre lots, afin d’évaluer l’impact de quatre rations de complémentation isoazotées, formulées à base de son local et de fanes de niébé, et différant entre elles par des valeurs de rapports matières azotées digestibles/unité fourragère (122, 122, 133 et 153 respectivement pour les lots 1, 2, 3 et 4) et concentré/fourrage (1,27, 1,27, 0,5 et 0 respectivement pour les lots 1, 2, 3 et 4). Le lot 1, comparativement au lot 2, a reçu, en plus de la complémentation isoazotée, une complémentation minérale ad libitum. La production laitière et les performances pondérales des chèvres ainsi que celles de leurs petits ont été suivies pendant 13 à 14 semaines. L’incorporation plus importante de concentré (son local) n’a pas eu d’effet significatif sur la production laitière des chèvres. Cependant, il a été relevé globalement que l’apport de concentré a permis un accroissement de 11 p. 100 de la production totale journalière (quantité traite + quantité consommée par le chevreau). Cette augmentation a été de plus de 40 p. 100 lorsque a été considérée la quantité de lait traite. L’apport du complément minéral aux chèvres du lot 1 a eu une incidence significativement positive (P < 0,05) sur la production laitière de ces dernières, avec en moyenne par animal et par jour, une quantité de lait traite de 358 ± 62 g contre 267 ± 70, 215 ± 32 et 197 ± 76 g respectivement pour les lots 2, 3 et 4. La composition en extrait sec, matières grasses (MG), matières protéiques (MP) et matières minérales du lait n’a pas été significativement influencée par les rations de complémentation. Néanmoins, les laits obtenus des lots 2, 3 et 4 ont été relativement plus riches en MG et MP. Le lait des chèvres du lot 1 a été significativement plus concentré en lactose : 4,35 p. 100 contre 3,9, 3,8 et 3,6 p. 100 respectivement pour les lots 2, 3 et 4. Les gains moyens quotidiens (gmq) des mères ont été de + 7,6 ± 15,9, – 18,3 ± 3,3, – 26,3 ± 31,1 et – 23,7 ± 16,2 g respectivement pour les lots 1, 2, 3 et 4. Les gmq de leurs petits ont été de 50,7 ± 17,3, 46,5 ± 22,5, 39,1 ± 16,6 et 36,8 ± 14,2 g respectivement pour les chevreaux appartenant aux lots 1, 2, 3 et 4. L’indice de consommation évalué a donné des valeurs de 11,1 ± 3,9, 11,6 ± 1,7, 13,2 ± 2,0 et 13,9 ± 2,2 respectivement pour les petits des lots 1, 2, 3 et 4. L’étude a montré qu’avec une bonne combinaison des ressources alimentaires locales l’on pouvait améliorer de façon importante la production laitière de la chèvre Sahélienne en saison sèche. Cette amélioration devient significative s’il y a association d’une complémentation minérale.
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FERLAY, A., B. GRAULET, and Y. CHILLIARD. "Maîtrise par l’alimentation des teneurs en acides gras et en composés vitaminiques du lait de vache." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (2020): 177–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3146.

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Abstract:
Après un rappel de l’origine digestive et métabolique des acides gras et des composés vitaminiques du lait, cet article relate l’effet des principaux facteurs alimentaires sur leur concentration. L’herbe pâturée, par rapport à des rations hivernales, diminue les teneurs du lait en acides gras saturés au profit des acides gras trans et polyinsaturés dont le C18:3n-3 et le CLA-c9t11. Les supplémentations des rations des vaches laitières en lin ou en colza augmentent les teneurs du lait en acides gras trans et légèrement en CLA-c9t11, à court terme et aussi à long terme. Le lin produit des laits plus riches en C18:3n-3 et plus pauvres en C18:1-c9 que le colza. Des réponses différentes existent en fonction de l’interaction entre la nature des fourrages, la teneur de la ration en amidon et le type d’oléagineux. Les tannins ou les huiles essentielles ont peu d’influence sur la composition en acides gras du lait. Hormis la vitamine B12 ,l’ensemble des vitamines dans le lait peut provenir des fourrages ou du concentré et/ou du complément minéral contenant les vitamines A, E et D3. Le ruminant peut également synthétiser les vitamines A, C, B3, et D à partir de précurseurs apportés dans la ration. Les vitamines B et K sont synthétisées par les bactéries ruminales. Les facteurs nutritionnels influençant les concentrations en vitamines dans le lait sont peu documentés, à l’exception de la vitamine A. L’alimentation est néanmoins un levier important permettant d’augmenter la qualité nutritionnelle du lait.
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DOREAU, M., C. MARTIN, M. EUGÈNE, M. POPOVA, and D. P. MORGAVI. "Leviers d’action pour réduire la production de méthane entérique par les ruminants." INRAE Productions Animales 24, no. 5 (2011): 461–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.5.3278.

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Abstract:
Cet article fait le point des connaissances sur différentes pistes pour réduire la production de méthane entérique par les ruminants,en privilégiant les approches in vivo, et évalue les possibilités d'application pratique. Il est connu que l'accroissement du pourcentagede concentré dans la ration réduit la production de méthane par kg de matière sèche ingérée. Cet effet est toutefois plus sensible pourdes proportions élevées de concentré. Les céréales diminuent plus la production de méthane que les concentrés riches en fibres.L'addition de lipides à la ration a un effet significatif pour réduire les émissions de méthane. Parmi les fourrages, l'ensilage de maïsentraîne des émissions plus faibles que l'ensilage d'herbe ou le foin ; mais les différences induites entre stades de végétation de l'herbeou entre graminées et légumineuses sont faibles, et parfois controversées. De très nombreux extraits de plantes et autres additifsaux modes d'action divers ont été testés. Les plantes riches en tannins et les tannins extraits des plantes sont efficaces pour réduire leméthane mais le risque de diminution de la digestibilité de la ration doit être considéré. Les autres additifs nécessitent des étudessupplémentaires pour attester leur efficacité sur le long terme. Parmi les biotechnologies, celles visant à réorienter la productiond'hydrogène vers d'autres produits que le méthane sont séduisantes, mais pas encore mises au point. L'accroissement du niveau deproduction des animaux entraîne une réduction de la production de méthane qui est particulièrement marquée quand elle estrapportée au kg de lait ou de viande. Enfin, il y a des différences entre animaux dans l'efficacité globale de production, appréciée parl'ingestion rapportée à un même niveau de production. Les animaux les plus efficaces produisent moins de méthane par kg de lait oude viande. L'article met l'accent sur la nécessité de ne pas considérer la diminution du méthane seule, mais d'évaluer l'efficacité desstratégies proposées sur l'ensemble des GES.
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DULPHY, J. P., J. ROUEL, and J. BONY. "Association de betteraves fourragères à de l’ensilage d’herbe pour des vaches laitières." INRAE Productions Animales 3, no. 3 (1990): 195–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.3.4375.

Full text
Abstract:
Dans 4 essais (2 en début de lactation et 2 en milieu de lactation) des betteraves fourragères ont été distribuées avec une ration à base d’ensilage d’herbe apporté à volonté. Les apports de betteraves ont varié de 0 kg à 4 kg de MS par jour et par animal. Lors des 2 premiers essais, la teneur en MS des betteraves était en moyenne de 12 % contre 21 % lors des 2 autres essais. Les betteraves pauvres en MS ont fait baisser notablement la quantité d’ensilage ingérée et leur valeur d’encombrement a été proche de 1, valeur élevée pour un aliment riche en énergie. Par contre, les betteraves riches en MS se sont comportées comme un aliment concentré et ont eu une valeur d’encombrement proche de 0,5. Lorsque les animaux ont reçu des betteraves, leur production de lait a très légèrement baissé de 0,23 kg de lait par jour. Par contre, simultanément le taux protéique a augmenté de 0,85 point et le taux butyreux de 1,23 point. Dans nos conditions d’expérimentation et sous réserve de tenir compte de la teneur en cendres des betteraves, ainsi que des interactions digestives qu’elles induisent en tant qu’aliment concentré, la valorisation énergétique des rations avec betteraves est correcte et comparable à celle prévue à partir de la valeur des aliments distribués.
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Laurent, F., D. Coomans, J. N. Gardeur, and B. Vignon. "Composition azotée et caractéristiques technologiques du lait de vache en relation avec la nature et le niveau d'apport de l'aliment concentré." Le Lait 72, no. 2 (1992): 175–83. http://dx.doi.org/10.1051/lait:1992212.

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Ouedraogo, Sibiri Jean, and H. Doanio. "Déterminants de la consommation de lait frais pasteurisé local à Ouagadougou au Burkina Faso." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 60, no. 1-4 (2007): 59. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9978.

Full text
Abstract:
L’objectif de cette étude a été d’établir les déterminants de la consommation de lait frais pasteurisé dans la ville d’Ouagadougou au Burkina Faso. Une enquête rétrospective en un seul passage a été faite auprès de 120 ménages selon un échantillonnage semi-raisonné. Pour analyser les données, deux modèles économétriques ont été utilisés : le modèle « probit » pour estimer la probabilité de consommation de lait frais pasteurisé et le modèle linéaire simple d’Heckman pour estimer le niveau des dépenses consacrées à la consommation de ce produit. Les résultats ont montré que, parmi les variables étudiées, les principaux facteurs qui ont influencé la décision de consommer du lait frais pasteurisé et le niveau de consommation ont été le goût, la disponibilité, le revenu et la taille du ménage. Le revenu a été la principale contrainte à la consommation de lait frais pasteurisé. Par ailleurs, l’étude a souligné que le lait frais pasteurisé et le lait UHT importé étaient des produits « de luxe » consommés surtout par les ménages à revenu élevé. En revanche, le lait concentré et le lait caillé étaient consommés en majorité par les ménages à revenu faible. La consommation de yaourt et de lait en poudre a semblé moins dépendante du niveau de revenu. Pour améliorer la présence du lait frais local sur le marché d’Ouagadougou, les transformateurs doivent veiller à fournir un lait de bonne qualité (dont le goût est réputé supérieur) et à le rendre le plus accessible possible, en particulier dans les quartiers à revenus élevés.
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Belaid, Baya, Christian Le Goff, and Pierre-Charles Lefèvre. "Enquête épidémiologique et sérodiagnostic de l'agalaxie contagieuse des petits ruminants de l'Est algérien." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no. 1 (1990): 37–41. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8892.

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Abstract:
L'agalaxie contagieuse des petits ruminants, très largement répandue dans le monde entier, n'épargne pas la plupart des pays africains. Elle revêt une grande importance économique par les pertes en lait et en viande qu'elle occasionne. Sur les 15 millions de têtes d'ovins en Algérie, un tiers est concentré dans l'Est du pays. L'enquête effectuée a pour but de confirmer l'existence de la maladie et d'évaluer sa prévalence. Durant ce travail, 372 sérums et 80 échantillons de lait ont été prélevés sur des troupeaux suspects. Seuls les élevages présentant des signes de mammites et d'arthrites ou de mammites et de kératites ont été retenus. Les tests sérologiques appliqués ont permis non seulement de recenser les animaux positifs mais aussi de comparer leur spécificité et leur sensibilité.
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AGABRIEL, C., J. B. COULON, G. MARTY, and B. BONAÏTI. "Facteurs de variation de la composition chimique du lait dans des exploitations à haut niveau de production." INRAE Productions Animales 6, no. 1 (1993): 53–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.1.4187.

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Abstract:
Soixante-seize exploitations laitières utilisant des vaches Montbéliardes à haut niveau de production (6200 à 8800 kg/vache/an) et alimentées l’hiver avec une ration à base de foin, ont fait l’objet d’une enquête détaillée concernant à la fois la structure de l’exploitation et du troupeau, la qualité des fourrages utilisés, les pratiques alimentaires hivernales et estivales et les caractéristiques génétiques des animaux (index et effet troupeau pour le lait, le taux butyreux et le taux protéique). Ces données ont permis d’analyser les variations de la composition chimique du lait d’une exploitation à l’autre. Les taux butyreux et protéique moyens annuels ont été très variables d’une exploitation à l’autre (respectivement 34,2 à 41,2 g/kg et 30,7 à 34,5 g/kg), malgré l’homogénéité des exploitations sur les critères niveau de production laitière, race et type de ration de base. Cette variabilité est due essentiellement à des facteurs du milieu. Lorsque l’on classe les exploitations par niveau d’effet troupeau (taux butyreux ou taux protéique), on observe 1) que les écarts de taux protéique sont les plus élevés au cours de la période hivernale et sont associés à des pratiques alimentaires différentes (qualité des foins, part du regain dans la ration, type de concentré utilisé), 2) que les écarts de taux butyreux d’un groupe d’exploitations à l’autre sont aussi importants, voire plus, l’été que l’hiver. Ces écarts ne sont qu’en partie associés à des pratiques alimentaires favorables ou défavorables au taux butyreux (présence de betteraves dans la ration, méthode de distribution du concentré). On n’a pas observé de liaison entre les effets troupeau taux butyreux et taux protéique. Il est donc possible de faire varier ces 2 taux de manière indépendante, par le biais de facteurs du milieu.
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HODEN, A., and J. B. COULON. "Maîtrise de la composition du lait : influence des facteurs nutritionnels sur la quantité et les taux de matières grasses et protéiques." INRAE Productions Animales 4, no. 5 (1991): 361–67. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.5.4349.

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Abstract:
La composition chimique du lait dépend de facteurs liés à l’animal et au milieu. Parmi ces derniers, l’alimentation joue un rôle important : elle permet d’agir à court terme et de manière différente sur les taux de matières grasses et de protéines. Le taux protéique varie dans le même sens que les apports énergétiques (+ 0,6 g/kg par UFL supplémentaire aux alentours des recommandations). Il peut aussi être amélioré par des apports spécifiques en acides aminés (lysine et méthionine). Il est presque toujours diminué par l’adjonction de lipides, même protégés, dans la ration. Le taux butyreux dépend à la fois de la part d’aliment concentré dans la ration (et, quand celle-ci est élevée, de la nature de ces aliments concentrés), et du mode de présentation et de distribution de la ration (finesse de hachage, nombre de repas, mélange des aliments). Il peut être sensiblement augmenté par l’utilisation de certains aliments (ensilage de maïs, betteraves, lactosérum) ou additifs (substances tampons, monopropylène glycol). Il est donc possible de modifier sensiblement et dans des sens opposés le taux butyreux et le taux protéique. Dans l’avenir, des moyens synthétiques et objectifs d’appréciation de la qualité des rations (indice de fibrosité) devraient permettre d’améliorer la gestion des variations de ces taux.
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DULPHY, J. P., and J. ROUEL. "Note sur la capacité d’ingestion des vaches laitières en fin de lactation." INRAE Productions Animales 1, no. 2 (1988): 93–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.2.4439.

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Abstract:
Les quantités ingérées par des vaches laitières en fin de lactation ont été mesurées pour une ration à base d’ensilage d’herbe et comparées à celles mesurées en début de lactation (respectivement semaines 34-46 après le vêlage et semaines 1 à 12). Au maximum d’ingestion (5e semaine après le vêlage) les vaches produisant 33 kg de lait à 4 % de MG ont ingéré 20,6 kg de MS (ensilage d’herbe + concentré) ; en fin de lactation, pour une production de 11 kg de lait (40e semaine après le vêlage), elles ont ingéré 14,1 kg de MS. Cette dernière valeur correspond à une capacité d’ingestion de 15,6 UEL, cohérente avec le système des unités d’encombrement. Il existe cependant des variations individuelles de la capacité d’ingestion en fin de lactation qui ne s’expliquent pas par le format ni par la production des animaux.
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Hossaini-Hilaii, J., and S. Benlamlih. "LA CHEVRE NOIRE MAROCAINE CAPACITÉS D'ADAPTATION AUX CONDITIONS ARIDES." Animal Genetic Resources Information 15 (April 1995): 43–48. http://dx.doi.org/10.1017/s1014233900000419.

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Abstract:
RESUMELa chèvre noire Marocaine peuple les régions arides et semi-arides du Maroc où elle survit et produit du lait et de la viande pour la population rurale des zones défavorisées. L'objectif du présent article est de présenter cette race tout en mettant l'accent sur ses capacités d'adaptation aux conditions arides d'élevage. Il ressort des études réalisées que cette race possède un faible turnover de l'eau corporelle et une autorégulation précise de la masse corporelle. Ceci lui permet une grande mobilité et agilité pour chercher de l'eau et de la nourriture dans son biotope. La production laitière est faible mais le lait sécrété est concentré. Durant les périodes de privation d'eau ou d'aliments (2 jours), cette chèvre montre une bonne capacité àpréserver le poids corporel. D'autres études sont nécessaires (effet du stress thermique) afin d'élucider d'éventuelles capacités adaptatives.
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HAUWUY, A., J. PARADIS, and J. B. COULON. "Complémentation énergétique de rations à base de foin pour les vaches laitières." INRAE Productions Animales 5, no. 5 (1992): 339–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.5.4248.

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Abstract:
Quarante-huit vaches laitières de race Abondance ont été utilisées au cours d’un essai conduit 2 années consécutives. Au cours de l’hiver tous les animaux recevaient à volonté une ration à base de foin de prairie permanente des Alpes du Nord. Chaque année, au cours des 16 premières semaines de lactation hivernale, 2 lots ont été constitués : les vaches du lot Haut étaient complémentées selon les recommandations, tandis que celles du lot Bas recevaient 2 kg/j de concentré de moins. La composition de l’aliment concentré était ajustée de manière à ce que les apports azotés soient identiques dans les 2 lots. Les vaches du lot Bas n’ont produit que 0,5 kg/j de lait de moins que celles du lot Haut, en raison d’un mobilisation de leurs réserves corporelles supérieure, mais leur taux protéique a été significativement plus faible (- 1 g/kg). La valeur d’encombrement des foins utilisés a été faible (comprise entre 1 et 1,05 UEL/kg MS), inférieure à celle attendue pour ce type de fourrage.
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HODEN, A., A. MULLER, J. L. PEYRAUD, et al. "Pâturage pour vaches laitières. Effets du chargement et de la complémentation en pâturage tournant simplifié." INRAE Productions Animales 4, no. 3 (1991): 229–39. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.3.4337.

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Abstract:
Trois essais, chacun d’une durée moyenne de 6 mois, ont été répétés de 1986 à 1988 sur les mêmes surfaces du domaine INRA du Pin au Haras selon la technique du pâturage tournant simplifié (2 parcelles au printemps, 4 en automne). Ils ont concerné un total de 162 vaches d’un haut niveau de production à la mise à l’herbe (30,0 kg/j de lait en moyenne). Les comparaisons ont porté sur l’influence de 3 niveaux de chargement correspondant à 100 (Témoin = 2,3 vaches/ ha), 115 (Fort = 2,6 vaches/ha) et 130 (Très fort = 3,0 vaches/ha) % du témoin, en interaction avec 2 niveaux H (Haut = 3,7 kg/j/vache) et B (Bas = 0,5 kg) d’aliment concentré. Les productions individuelles ne sont pas significativement différentes entre chargements et n’ont diminué que de 5 % entre les extrêmes (20,3 pour le Très Fort contre 21,3 kg lait 4 % pour le Témoin). La production de lait à l’hectare a augmenté de 23 % avec le chargement Très Fort (9800 contre environ 8000 kg lait 4 % avec le Témoin). La complémentation a permis une amélioration moyenne des productions de 9 % (21,8 avec le niveau Haut contre 20,0 kg lait 4 % avec le Bas, P < 0,01). Cette réponse tend à s’améliorer avec le niveau de production des vaches à la mise à l’herbe et l’augmentation du chargement. Les mesures effectuées sur l’herbe pâturée permettent de mieux appréhender sa valorisation par les vaches.
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Mouhous, A., V. Alary, and J. Huguenin. "Stratégies d’adaptation des éleveurs bovins laitiers en zone montagneuse d’Algérie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 4 (2015): 193. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20561.

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Abstract:
La production laitière peut constituer une part importante des revenus dans les exploitations de montagne en Kabylie. Nos travaux ont porté sur la caractérisation des élevages bovins dans cette zone, leur mode de conduite et les stratégies adoptées. Suite à un travail antérieur sur 97 élevages, nous avons procédé à un suivi de 17 exploitations de mars 2012 à février 2013. L’étude a permis d’identifier trois types d’exploitations : a) les petites exploitations (< 8 unités de gros bétail [UGB] en moyenne) produisant principalement de la viande (type « viande ») ; b) les exploitations moyennes (12 UGB) à dominance laitière (type « lait ») ; et c) les grandes exploitations (> 46 UGB) avec une production mixte de lait et de viande (type « mixte »). L’alimentation des vaches a été basée sur du concentré toute l’année, en moyenne 8 kg/vache/ jour pour les deux premiers types d’exploitations et jusqu’à 11 kg/vache/jour pour le troisième. La vente annuelle de lait par vache a été de 3 000 kg environ pour le type viande, et de 4 000 kg pour les types lait et mixte. Les revenus des exploitations spécialisées (viande ou lait) ont été similaires (moins de 400 000 dinars algériens [DZD] par an, soit 3 896 €), alors que le type mixte a généré des revenus supérieur à 3 millions de DZD/an (soit 33 139 €). L’étude a montré que les stratégies adoptées dépendaient beaucoup de la capacité des éleveurs à obtenir des dotations. Elle permet de mieux appréhender les dynamiques actuelles des systèmes d’élevage en zone montagneuse, selon leurs atouts et leurs faiblesses.
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RUPP, R., D. BOICHARD, C. BERTRAND, and S. BAZIN. "Bilan national des numérations cellulaires dans le lait des différentes races bovines laitières françaises." INRAE Productions Animales 13, no. 4 (2000): 257–67. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.4.3785.

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Abstract:
Cet article présente le premier bilan descriptif des données de numérations cellulaires disponibles dans la base de données nationale pour les principales races bovines laitières au Contrôle Laitier, depuis 1995. Les numérations cellulaires varient avec la race, le lait des vaches des races les moins productives (Abondance, Simmental Française) étant moins concentré en cellules que celui des races plus productives (Prim’Holstein, Pie Rouge des Plaines). Ces différences entre races se maintiennent à niveau de production équivalent. Elles ne sont donc pas attribuable au niveau de production en tant que tel et leur origine reste à éclaircir. Intra-race, les vaches faibles productrices ont des numérations cellulaires élevées, ce qui reflète probablement l’effet dépressif des infections sur la production laitière. Intra-race, les numérations cellulaires augmentent avec le rang de lactation, traduisant l’augmentation de l’incidence et de la persistance des infections mammaires avec l’âge. Au cours de la lactation, la numération cellulaire présente un profil inversé par rapport à la production laitière. Excepté au début de la lactation, ce profil semble résulter essentiellement d’un phénomène de concentration avec la diminution du volume de lait produit puisque la quantité de cellules excrétées est stable en milieu et fin de lactation. Les numérations cellulaires apparaissent plus élevées en été et plus faibles en automne ; elles varient entre régions d’élevage. Elles apparaissent, en revanche, relativement stables au cours des dernières années, dénotant une bonne maîtrise de la part des éleveurs.
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HAUWUY, A., A. BORNARD, J. B. COULON, and L. HALTEL. "Performances des vaches laitières en alpage : effet du niveau de la complémentation en aliment concentré." INRAE Productions Animales 6, no. 4 (1993): 289–95. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.4.4210.

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Abstract:
Soixante dix-neuf vaches de race Tarentaise ont été utilisées au cours d’un essai de complémentation à l’alpage conduit 2 années consécutives. Au cours de la période estivale, tous les animaux pâturaient sur un alpage des Alpes du Nord, d’altitude comprise entre 1650 et 2200 m, conduit en pâturage rationné (renouvellement des parcs 2 fois par jour). Chaque année, au cours de l’ensemble de la période d’alpage, 2 lots ont été constitués : les vaches du lot Haut recevaient en moyenne 1,5 kg/j de concentré de plus que celles du lot Bas. L’effet du niveau des apports de concentré a été identique au cours des 2 étés : les vaches du lot Haut ont produit en moyenne 1,1 kg/j de lait de plus que celles du lot Bas (P<0,01), leur taux protéique a été légèrement plus élevé (+ 0,8 g/kg) et elles ont repris plus de poids vif (+ 6 kg) et d’état corporel (+ 0,4 point d’état) que celles du lot Bas. La reconstitution des réserves corporelles a été particulièrement faible chez les vaches du lot Bas en début de lactation à la montée à l’alpage. Ces résultats ont été comparés à ceux obtenus en zone de plaine, de demi-montagne ou sur d’autres alpages des Alpes du Nord.
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PRACHE, S., and M. THERIEZ. "Production d’agneaux à l’herbe." INRAE Productions Animales 1, no. 1 (1988): 25–33. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.1.4432.

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Abstract:
La production à l’herbe concerne environ 60 % des agneaux en France ; elle est difficile à bien maîtriser, et les résultats techniques sont très variables entre exploitations. Nous avons présenté les facteurs qui permettent de réussir ce type d’agneau. Nous avons rappelé ceux qui conditionnent l’ingestion de l’animal au pâturage, puis ceux qui permettent d’optimiser la conduite du troupeau et la valorisation de l’herbe au cours des différentes phases de la production. Jusqu’à l’âge de 8-10 semaines, la quantité d’énergie ingérée par l’agneau provient surtout du lait qu’il consomme, et il ne peut compenser que très partiellement un faible apport de lait. L’agneau doit être sevré d’autant plus jeune que sa croissance est faible sous la mère ; l’âge minimum à respecter est de 6 semaines si l’agneau est engraissé en bergerie et de 8 semaines s’il est engraissé à l’herbe, à condition qu’il pèse alors le triple de son poids à la naissance. Le choix du mode de finition après sevrage dépend de la quantité et de la qualité d’herbe disponible à cette époque, et aussi du type d’agneau. L’apport de concentré au pâturage est surtout efficace pour de faibles disponibilités en herbe, et doit d’abord être réservé aux agneaux qui reçoivent peu de lait. La maîtrise du parasitisme est un élément clé de la réussite de cette production.
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CHILLIARD, Y., R. VERITE, and A. PFLIMLIN. "Effets de la somatotropine bovine sur les performances des vaches laitières dans les conditions françaises d’élevage." INRAE Productions Animales 2, no. 5 (1989): 301–12. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.5.4423.

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Abstract:
Vingt essais ont été réalisés en France sur 360 vaches recevant de la somatotropine (BST) retard tous les 14 ou 28 jours, à des doses correspondant à 24 ou 35 mg/j. Les données obtenues suggèrent, en première approximation, que l’effet de la BST retard sur la production laitière varie assez nettement selon la dose totale injectée chaque mois, et assez faiblement selon la fréquence d’injection (1 ou 2 fois par mois). Selon les conditions d’utilisation (dose et fréquence), les effets moyens ont été compris entre + 2,2 et + 3,7 kg de lait par jour avec des rations hivernales, et entre + 1,2 et + 2,3 kg de lait par jour au pâturage. Les réponses inférieures au pâturage pourraient être dues à la qualité de l’herbe, au stade de gestation ou à la durée du traitement. La composition du lait n’est pas modifiée au pâturage chez des vaches en milieu de lactation. Il existe une tendance à la diminution du taux protéique (- 0,5 g/l environ) avec les rations hivernales distribuées lorsque le traitement à la BST est de 3 à 4 mois après le pic de lactation. Ces chiffres provisoires devront être réévalués sur la base d’un plus grand nombre d’essais et après dépouillement statistique approfondi. Outre ces valeurs moyennes, la production et la composition du lait fluctuent entre deux injections successives, de façon croissante lorsque s’accroît l’intervalle entre injections. Les vaches traitées montrent aussi une diminution de leur note d’état corporel (- 0,3 point environ) lorsqu’elles reçoivent une ration hivernale au pic de lactation (ce qui peut entraîner un retard de fécondation non négligeable), ou lorsqu’elles sont au pâturage avec des quantités limitées de concentré. La variabilité de la réponse est très grande entre essais et entre vaches. Les données actuellement publiées ne permettent pas d’évaluer d’éventuels effets à long terme sur la santé et la carrière des animaux.
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Jurjanz, S., O. Colin-Schoellen, and F. Laurent. "Effet de la nature de l'amidon de l'aliment concentré et de la supplémentation en méthionine sur la production et la composition du lait." CrossRef Listing Of Deleted DOIs 44, Suppl. 1 (1995): 379. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:199505art0339.

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LE NEINDRE, P., and G. PECATTE. "Conséquences des quantités de lait et d'aliment concentré consommées avant sevrage sur les performances de bovins mâles entiers de 3 mois à l'abattage." Annales de Zootechnie 36, no. 4 (1987): 387–410. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19870404.

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Jurjanz, S., O. Colin-Schoellen, and F. Laurent. "Effet de la nature de l'amidon de l'aliment concentré et de la supplémentation en méthionine sur la production et la composition du lait." Annales de Zootechnie 44, Suppl. 1 (1995): 379. http://dx.doi.org/10.1051/animres:199505339.

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Alexandre, G. "Croissance pré-sevrage des chevreaux en Guadeloupe." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (1991): 57–62. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9232.

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Abstract:
La croissance des chevreaux dépend étroitement de la production laitière de leur mère, en particulier pendant les 40 premiers jours, où les coefficients de corrélation sont les plus élevés (0.7 à 0.9). En effet les chevreaux élevés par des mères recevant un haut niveau alimentaire (fourrage et complément) ont un GMQ (0-40 jours) supérieur (83 g/j + 18 vs 53 + 17, P < 0.001) à celui de ceux dont les mères ne recoivent que le fourrage vert. Pour un niveau d'alimentation lactée comparable, quelque que soit la saison d'élevage, les jeunes qui reçoivent en plus du lait et du fourrage, un aliment concentré (0.86 UFL et 115g PDIN/kg, distribué ad libitum à partir de la 3e semaine) ont une croissance (GMQ 40-85j) supérieure de l'ordre de 40 %, améliorent leur poids au sevrage de 16 à 20 % et réduisent leur taux de mortalité de 28 à 0 %. Les facteurs de variation liés au stade d'allaitement et à l'effet indirect de la saison sont présentés et discutés. Dans un troupeau expérimental en élevage semi-intensif sur prairie, deux conduites principales sont mises en parallèle. Les résultats montrent que le chevreau Créole présente un bon potentiel de production : son poids de naissance (1,5 kg) est multiplié par 4,6 à 5,7 au moment du sevrage à 85 jours.
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LAGAUDE, A., and B. TARODO DE LA FUENTE. "Etude de la thermostabilité des laits concentrés reconstitués." Le Lait 66, no. 1 (1986): 79–98. http://dx.doi.org/10.1051/lait:198615.

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Boyaval, Patrick, Parwin Bhugaloo-Vial, Frédérique Duffes, Anita Metivier, Xavier Dousset, and Didier Marion. "Réacteurs à hautes densités cellulaires pour la production de solutions concentrées de bactériocines." Le Lait 78, no. 1 (1998): 129–33. http://dx.doi.org/10.1051/lait:1998116.

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LUCAS, A., S. HULIN, V. MICHEL, et al. "Relations entre les conditions de production du lait et les teneurs en composés d’intérêt nutritionnel dans le fromage : étude en conditions réelles de production." INRAE Productions Animales 19, no. 1 (2006): 15–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.1.3477.

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Abstract:
Les relations entre les conditions de production du lait et les teneurs en composés d’intérêt nutritionnel de fromages fermiers au lait de vache ou de chèvre ont été étudiées en conditions réelles de production au sein de 4 filières fromagères (Abondance, Tomme de Savoie, Salers/Cantal et Rocamadour). Au total, 432 fromages, dont 306 au lait de vache et 126 au lait de chèvre, produits tout au long de l’année par 74 producteurs fermiers ont été analysés. Dans un premier temps, les effets respectifs des conditions de production du lait et de la transformation fromagère sur la variabilité de composition du fromage ont été quantifiés. Dans un second temps, les relations entre la composition du fromage et les conditions de production du lait, préalablement identifiées au moyen d’enquêtes, ont été étudiées. Le fromage fermier se caractérise par une grande variabilité de composition qui dépend majoritairement de la transformation fromagère pour la vitamine B9 et les minéraux et des conditions de production du lait pour les acides gras (AG), les vitamines A et E et les caroténoïdes. L’espèce animale explique une grande partie de la variabilité en certains AG et en β-carotène dans le fromage. Les teneurs en micronutriments liposolubles et le potentiel antioxydant du fromage dépendent principalement de la nature de la ration fourragère (pâturage vs fourrages conservés) quelle que soit l’espèce animale. Les rations à base de pâturage sont associées à des teneurs en caroténoïdes et en vitamines A et E et à un potentiel antioxydant dans le fromage plus importants. En revanche, les facteurs de variation du profil en AG du fromage ont différé dans cette étude entre les vaches et les chèvres. Pour les fromages au lait de vache, il dépend principalement de la nature de la ration fourragère (pâturage vs fourrages conservés). Les fromages associés au pâturage sont plus riches en AG saturés et insaturés à longue chaîne (≥ C18) et plus pauvres en AG saturés à courte et moyenne chaîne (C6:0 à C16:0). Le profil en AG du fromage au lait de chèvre dépend principalement de la proportion de matières grasses apportées par les concentrés dans la ration, du stade de lactation des animaux et dans une moindre mesure de la présence ou non de lin dans les concentrés. Ce fromage est plus riche en AG à longue chaîne et plus pauvre en AG saturés à courte et moyenne chaîne lorsque la proportion de matières grasses apportées par les concentrés est plus importante, les concentrés contiennent du lin et les animaux sont en début de lactation. En conclusion, ce travail a permis de collecter des données représentatives et détaillées sur les caractéristiques nutritionnelles de différentes variétés fromagères et de hiérarchiser les effets des principaux facteurs de production responsables de la variabilité de composition du fromage.
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BOCQUIER, F., and G. CAJA. "Production et composition du lait de brebis : effets de l’alimentation." INRAE Productions Animales 14, no. 2 (2001): 129–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.2.3734.

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Abstract:
Le niveau d’alimentation est un des facteurs d’élevage qui affecte la production et la composition du lait chez la brebis laitière. La production laitière augmente avec le niveau d’alimentation et inversement, alors que les effets sur la composition du lait sont moins nets. Le taux butyreux du lait est généralement corrélé négativement au bilan énergétique des brebis, alors que le taux protéique est corrélé positivement avec celui-ci : un niveau d’alimentation élevé diminue généralement la teneur en matières grasses du lait et augmente légèrement la teneur en protéines. La distribution de grandes quantités de concentrés, qui est un moyen simple d’augmenter l’apport d’énergie dans la ration, risque de provoquer une chute des taux butyreux et protéique et, secondairement, entraîne une réorientation des flux d’énergie vers le dépôt de gras corporel. Lorsque la brebis n’a pas atteint son potentiel de production, l’augmentation de la teneur protéique de la ration augmente la production de protéines du lait, mais sans modification du taux protéique du lait.
 L’utilisation de certains nutriments tels que les matières grasses ou les acides aminés protégés semble intéressante comme moyen d’accroître les teneurs en matières grasses et/ou protéiques du lait, mais peu d’expériences ont été effectuées sur brebis laitières et l’intérêt de ces nutriments est encore mal connu.
 Dans les conditions pratiques d’élevage de brebis laitières, généralement alimentées en groupes, les effets de l’alimentation sont souvent masqués par d’autres facteurs d’élevage connus pour modifier eux-mêmes la composition du lait. Il est donc nécessaire de prendre en compte la variabilité individuelle (stade de lactation notamment) pour définir la stratégie d’alimentation qui permette de maîtriser la composition du lait collecté.
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SRAÏRI, M. T., and B. KESSAB. "Performances et modalités de production laitière dans six étables spécialisées au Maroc." INRAE Productions Animales 11, no. 4 (1998): 321–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.4.3958.

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Abstract:
Les performances et les modalités actuelles de production laitière intensive au Maroc ont été étudiées dans six élevages de 1991 à 1996. La superficie (244,8 ha) et l’effectif bovin (53,1 vaches présentes) moyens de ces élevages sont nettement plus élevés que ceux des exploitations du pays. Les fourrages n’occupent qu’une place limitée de l’assolement annuel (moins de 8 % de la SAU). Les performances de production (moyenne économique de 6016 kg de lait par vache et par an) sont satisfaisantes, l’alimentation des vaches étant fortement tributaire des apports de concentrés qui représentent 73 % de l’apport énergétique global. L’intervalle moyen entre deux vêlages de 391 j est satisfaisant, mais l’âge au premier vêlage (30,2 mois) est trop élevé, ce qui témoigne d’une mauvaise conduite d’élevage des génisses. L’analyse des facteurs influençant les résultats des étables a montré que la productivité laitière des vaches était très fortement liée à l’apport annuel de concentrés qui leur sont destinés, tandis que la dépense en UFL issues des concentrés par kg de lait produit diminue avec l’augmentation de la moyenne économique. Les résultats de la reproduction sont uniquement influencés par les effets des variations climatiques interannuelles. Ces observations montrent l’importance des facteurs du milieu (conduite alimentaire, climat et unité de production) sur les performances des vaches et mettent en relief les tendances actuelles de l’élevage bovin laitier spécialisé au Maroc, basé sur la conversion des concentrés en protéines animales.
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Coulibaly, Doubangolo, Charles-Henri Moulin, René Poccard Chapuis, Géraldine Morin, S. I. Sidibé, and Christian Corniaux. "Evolution des stratégies d'alimentation des élevages bovins dans le bassin d'approvisionnement en lait de la ville de Sikasso au Mali." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 60, no. 1-4 (2007): 103. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9961.

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Abstract:
Au cours des dernières décennies, l’alimentation des bovins est devenue la principale contrainte après la maîtrise des épizooties. Une étude a été conduite dans la zone périurbaine de Sikasso, ville moyenne en zone cotonnière du Mali, pour caractériser les évolutions de l’alimentation des troupeaux chez les éleveurs commercialisant du lait en ville. Des enquêtes rétrospectives ont été menées auprès de 27 responsables de troupeau pour cerner les changements de pratiques dans le long terme. Un suivi d’une année dans 14 troupeaux a permis de caractériser et quantifier les pratiques d’alimentation et la production de lait. Quatre stratégies d’alimentation des élevages bovins ont été distinguées : 1) troupeaux sédentaires, alimentés au pâturage, complémentation très faible ciblant plutôt les boeufs de labour et les jeunes ; 2) troupeaux sédentaires, alimentés au pâturage, faible soutien de la production laitière ; 3) troupeaux transhumants, avec allotement des laitières restant sur le terroir pour vendre du lait en ville, faible soutien de la production laitière ; 4) troupeaux au pâturage, éloignés de la ville ; laitières en ville, avec recours important aux concentrés. Le recours à une mobilité croissante est lié à la réduction de l’espace pastoral autour de la ville. La complémentation, fondée sur le stockage de biomasse fourragère et surtout l’achat de concentrés, a été facilité chez les agropasteurs par les avances sur les recettes du coton ou du lait mais a du mal à se pérenniser. L’utilisation des revenus du commerce a cependant permis à quelques éleveurs habitant en ville de développer un troupeau de laitières améliorées, avec une forte utilisation de la complémentation.
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TOULLEC, R., J. F. GRONGNET, H. FLAGEUL, J. LAREYNIE, and P. M. LUCAS. "Remplacement partiel des protéines du lait par celles du blé ou du maïs dans les aliments d’allaitement : influence sur l’utilisation digestive chez le veau de boucherie." INRAE Productions Animales 3, no. 3 (1990): 201–6. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.3.4376.

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Abstract:
Le but de cet essai était d’étudier l’influence du remplacement d’une partie des protéines du lait par celles du blé ou du maïs, sur la digestibilité de l’aliment et la rétention azotée, chez le veau de boucherie. Pour cela, 4 laits de remplacement (T, BV, BD et M) ont été distribués à des lots de 6 veaux entre les âges d’environ 4 et 19 semaines. Dans l’aliment T, les protéines étaient apportées en totalité par de la poudre de lait écrémé. Dans les autres aliments, 19 % des protéines étaient fournies soit par du gluten de blé vital (BV) ou dévitalisé (BD), soit par un concentrat protéique de maïs (M). La digestibilité apparente et la rétention azotée, mesurées au cours des 8e et 14e semaines d’âge, n’ont pas été significativement affectées par la nature des protéines de l’aliment : en moyenne, la digestibilité de l’azote a été de 0,95, 0,95, 0,95 et 0,93 pour les aliments T, BV, BD et M, respectivement. Les valeurs calculées ont été de 0,94, 0,93 et 0,86 pour la digestibilité de l’azote des produits BV, BD et M. Les veaux des lots BV, BD et M ont développé des anticorps systémiques contre les protéines étudiées. Cependant, aucune de ces dernières ne semble avoir entraîné de réactions allergiques. La dévitalisation n’a pas eu d’influence notable sur l’utilisation du gluten de blé par les animaux, mais elle a permis d’améliorer son maintien en suspension.
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CHILLIARD, Y., D. BAUCHART, M. LESSIRE, P. SCHMIDELY, and J. MOUROT. "Qualité des produits : modulation par l’alimentation des animaux de la composition en acides gras du lait et de la viande." INRAE Productions Animales 21, no. 1 (2008): 95–106. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.1.3380.

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Abstract:
La composition en Acides Gras (AG) du lait et de la viande est une composante importante de leur qualité nutritionnelle pour l’Homme, qui est fortement modulable à court terme par l’alimentation des animaux d’élevage. Cet article résume les grands axes de recherche et les principaux résultats obtenus à l’INRA sur ce sujet au cours des 10 dernières années. Chez le porc, le poulet et le lapin, les recherches ont principalement porté sur le transfert des AG polyinsaturés, en particulier le 18:3 n-3 du lin, de l’aliment à la viande (muscle et tissu adipeux) et ses conséquences sur la qualité des carcasses. Chez les ruminants, on a étudié les effets des principaux types de fourrages (herbe pâturée, foins, ensilages d’herbe ou de maïs) et de concentrés (céréales, oléagineux), et leurs interactions, sur les AG du lait et de la viande bovine, notamment les AG saturés et insaturés (oléique, trans, conjugués et 18:3 n-3). Des différences marquées existent entre les réponses des AG du lait de la vache et de la chèvre laitière. Des études en cours évaluent les éventuels effets secondaires des pratiques alimentaires sur la qualité sensorielle des produits et la santé des animaux, et sur une possible utilisation du profil en AG pour tracer l’origine des produits. Les études futures devront aussi intégrer l’avancée attendue des connaissances en nutrition humaine sur les effets potentiels des différents AG majeurs et mineurs des produits animaux standards ou enrichis.
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RULQUIN, H., C. HURTAUD, S. LEMOSQUET, and J. L. PEYRAUD. "Effet des nutriments énergétiques sur la production et la teneur en matière grasse du lait de vache." INRAE Productions Animales 20, no. 2 (2007): 163–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.2.3448.

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Abstract:
Les récents changements des données économiques concernant le marché et les possibilités de valorisation de la matière grasse laitière conduisent à penser qu’à l’avenir la production d’un lait un peu moins riche en matières grasses a de fortes chances d’être encouragée. Cela peut être atteint par le biais de la génétique et de la nutrition. Ce texte a pour objectif de faire l’état des connaissances sur les différents nutriments jouant sur le taux butyreux des laits et de quantifier les effets des acides acétique, butyrique et propionique, du glucose, de l’acide gras trans10 C18:1 et du trans10, cis12 CLA sur le taux butyreux et le rapport taux protéique sur taux butyreux. Les travaux des cinquante dernières années sont synthétisés dans six méta-analyses des données d’essais dans lesquels les précédents nutriments ont été apportés par perfusion digestive. L’efficacité à diminuer le taux butyreux est respectivement de - 5,71, - 2,99, - 87, et - 1467 g/kg par kilogramme de nutriment ajouté pour l’acide propionique, le glucose, le trans10 C18:1, et le trans10, cis12 CLA et de - 7,33 et - 2,20 g/kg par kilogramme de nutriment apporté en moins pour les acides butyrique et acétique. Les mécanismes mis en jeux dans ces réponses sont revus. Sur la base des variations de flux de nutriments mesurées à la suite d’une augmentation de 30 % de la proportion d’aliments concentrés, il ressort que les nutriments glucogéniques (acide propionique et glucose) expliqueraient 54 % de la chute du taux butyreux enregistrée, les acides gras trans10 (trans10 C18:1 et trans10, cis12 CLA) 34 % et les précurseurs (acide acétique et butyrique) des acides gras synthétisés «de novo» 21 %. Ce travail démontre que la chute de taux butyreux observée avec des changements de régime est multifactorielle. Une approche pluri-nutriments est proposée pour remplacer l’approche mono-nutriment jusqu’ici utilisée pour essayer de prédire les changements de taux butyreux en réponse à une modification de la composition des rations.
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AMON, G., G. LIENARD, J. C. DELATTRE, and E. HEROGUELLE. "Production laitière intensive dans le Pas-de-Calais. Fonctionnement, adaptation aux quotas et résultats techniques et économiques de 22 exploitations sur 6 campagnes." INRAE Productions Animales 6, no. 2 (1993): 117–36. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.2.4193.

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Abstract:
La présence de l’élevage dans les exploitations des plaines céréalières intensifiables est source de complémentarités économiques et agronomiques dont on perçoit mieux l’intérêt aujourd’hui, alors que ces systèmes diversifiés ont fait place à d’autres plus spécialisés aboutissant à la séparation des deux secteurs, élevage et cultures de vente. L’étude analyse les résultats et l’évolution sur six ans d’un échantillon d’exploitations laitières du Pas-de-Calais, pratiquant un système lait-cultures à hautes performances. L’instauration des quotas en 1984 (première année d’observation) a modifié profondément le développement des exploitations qui, à l’occasion d’agrandissements ont rediversifié leur système par augmentation des cultures de vente tout en poursuivant l’augmentation des performances laitières (7000 litres par vache de moyenne économique avec 1300 kg d’aliments concentrés, et plus de 15000 litres par ha SFP, en 1989/90). Quatre profils d’exploitations ont été identifiés, différant par les structures, l’équilibre entre lait et cultures, et les performances réalisées, celles obtenues pour le lait allant souvent de pair avec celles des cultures. Les trajectoires d’évolution ont différé selon les possibilités d’obtention de quotas supplémentaires ou d’agrandissement. Les plus grandes ont diversifié le plus leurs cultures sans le faire au détriment des performances de troupeau. Par leur équilibre, leur niveau de performance, la compétence des agriculteurs, ces exploitations lait-cultures sont parmi les mieux armées pour affronter les contraintes économiques de l’avenir notamment les conséquences de la réforme de la PAC, tout en respectant mieux l’environnement. Mais ces sytèmes complexes exigent beaucoup de capitaux, dont il faut assurer la transmission d’une génération à l’autre, et ils exigent un collectif de travail de plus d’une personne.
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Sraïri, Mohamed Taher, J. M. Leblond, and Alain Bourbouze. "Production de lait et/ou de viande : diversité des stratégies des éleveurs de bovins dans le périmètre irrigué du Gharb au Maroc." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 56, no. 3-4 (2003): 177. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9862.

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Abstract:
Cent onze exploitations pratiquant l’élevage bovin dans l’arrondissement de Sidi Allal Tazi (périmètre irrigué du Gharb, au nord-ouest du Maroc) ont fait l’objet d’enquêtes sur les facteurs de production mobilisés, les modes de conduite du cheptel et les performances obtenues. A cet effet, une fiche d’enquête a été élaborée en vue de déterminer les variables discriminantes propres à différencier les types d’élevage entre eux, et ce, par le recours à des méthodes statistiques multidimensionnelles. A partir de ces renseignements, cinq classes d’éleveurs ont été repérées sur la base des paramètres de structure (foncier et taille du cheptel), des pratiques de production laitière (alimentation en fourrages, supplémentation…) et des facteurs concernant les autres activités agricoles et d’élevage (élevage ovin, céréaliculture et maraîchage…). Deux types d’éleveurs requièrent une attention particulière dans l’optique d’une intensification de l’élevage bovin laitier : le premier est celui des grandes exploitations laitières où l’ensemble des facteurs sont mobilisés pour accéder à une véritable intensification (fourrages verts tout le long de l’année, quantités importantes de concentrés), tandis que le deuxième représente toutes les exploitations à plus faibles moyens de production, mais dont la totalité des ressources converge comme dans le premier type vers une spécialisation en production laitière. A l’inverse, les trois autres types s’éloignent progressivement de l’intensification laitière, le troupeau bovin assurant un rôle plurifonctionnel de plus en plus marqué : fonction de diversification des revenus par une orientation délibérée vers des productions de viande de différents types, fonction de restauration de la fertilité des sols par les apports en fumier, fonction de capital pour des exploitants sans comptes bancaires. Cette diversité des stratégies des éleveurs doit impérativement être prise en compte pour toute décision de développement de la production bovine dans le Gharb.
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COULON, J. B., and A. PRIOLO. "La qualité sensorielle des produits laitiers et de la viande dépend des fourrages consommés par les animaux." INRAE Productions Animales 15, no. 5 (2002): 333–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.5.3712.

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Abstract:
La nature des fourrages ingérés par les ruminants est un des facteurs de variation de la qualité sensorielle des produits laitiers et de la viande. L’effet de ce facteur a été récemment mis en évidence, en particulier dans le cadre des produits d’Appelation d’Origine Contrôlée, pour lesquels l’alimentation des animaux constitue un élément important de liaison au terroir.
 Sur les fromages, la conservation de l’herbe sous forme d’ensilage ne semble pas entraîner, lorsqu’elle est réalisée dans de bonnes conditions, de modifications importantes des caractéristiques sensorielles, exception faite de la couleur, plus jaune avec l’ensilage. Les régimes à base d’herbe pâturée conduisent à des fromages dont la couleur, le goût et l’odeur sont plus intenses que ceux issus d’une alimentation hivernale à base d’herbe conservée sous forme de foin et d’ensilage. La composition botanique de l’herbe modifie aussi les caractéristiques sensorielles des fromages. Les écarts les plus importants concernent la texture et sont obtenus sur des fromages à pâte pressée cuite lorsque les vaches pâturent des prairies très diversifiées.
 Ces différences sensorielles peuvent être dues à des constituants du lait directement issus de l’alimentation. C’est le cas des carotènes, responsables de la couleur jaune des produits laitiers, et qui sont présents en grande quantité dans les fourrages verts. Elles peuvent aussi être liées à des constituants du lait produit par l’animal de manière différentielle selon l’alimentation offerte. C’est le cas de la teneur en plasmine du lait ou de la composition de ses matières grasses, qui peuvent modifier la texture du fromage.
 La viande des animaux finis à l’herbe est plus sombre et moins tendre que celle des animaux finis avec des régimes riches en concentrés. Cet effet pourrait être lié d’une part à une modification du pH ultime de la viande (pour la couleur), mais aussi à l’âge à l’abattage (plus avancé avec les régimes à base d’herbe), à l’état d’engraissement des carcasses et à la teneur en gras intramusculaire (plus élevés avec les régimes riches en concentrés), qui peuvent modifier à la fois la couleur et la tendreté des viandes. L’alimentation à l’herbe influence aussi la flaveur de la viande. Cet effet serait lié d’une part à l’interaction entre les acides gras à chaînes ramifiées (considérés comme responsables de la flaveur caractéristique de la viande ovine) et le scatole (issu de la dégradation du tryptophane) qui renforcerait la perception sensorielle des acides gras à chaînes ramifiées, et d’autre part à la teneur en acide linolénique. Les produits d’oxydation de cet acide sont en effet associés aux flaveurs spécifiques de la viande.
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SAUVANT, D., P. CHAPOUTOT, and H. ARCHIMEDE. "La digestion des amidons par les ruminants et ses conséquences." INRAE Productions Animales 7, no. 2 (1994): 115–24. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.2.4161.

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Abstract:
Il est maintenant acquis que la digestion ruminale de l’amidon varie largement en fonction de la nature de l’aliment et de son traitement technologique. La mesure in sacco de la dégradation théorique de l’amidon (X,%) permet de prédire la digestibilité préintestinale (Y,%) de ce constituant : Y = 0,483 X + 45,62. Les différences sur les paramètres de la digestion de l’amidon peuvent se répercuter sur la protéosynthèse microbienne, le profil fermentaire et la stabilité de l’écosystème ruminal. La digestibilité de l’amidon entrant dans l’intestin grêle n’est que partielle et semble révéler une limite de la capacité amylolytique de ce segment. L’amidon non digéré dans l’intestin grêle est en partie dégradé par les microorganismes du gros intestin. Les résultats de bilans digestifs partiels publiés à ce jour permettent d’effectuer une estimation des quantités d’acides gras volatils et de glucose potentiellement mises à disposition de l’animal par l’amidon d’un régime. Lorsque la ration distribuée aboutit à des valeurs normales du profil fermentaire ruminal et du taux butyreux du lait, il ne semble pas y avoir d’effet important de la vitesse de digestion de l’amidon et de sa répartition entre les différents segments digestifs. Une distinction apparaît par contre pour les régimes plus riches en concentrés qui entraînent des fermentations propioniques marquées et un faible taux butyreux du lait. Dans ce cas, le choix d’amidon lentement dégradable semble apporter une certaine "sécurité fermentaire" dans le rumen et permet de limiter la chute du taux butyreux du lait. D’une façon générale, des recherches doivent encore être poursuivies pour mieux connaître les conséquences nutritionnelles et zootechniques de la vitesse de dégradation de l’amidon des régimes dans le réticulo-rumen et pour élaborer des recommandations fiables.
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MONTAGNE, L., and J. P. LALLES. "Digestion des matières azotées végétales chez le veau préruminant. Quantification des matières azotées endogènes et importance des mucines." INRAE Productions Animales 13, no. 5 (2000): 315–24. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.5.3799.

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Abstract:
Améliorer l’utilisation des matières azotées de remplacement par le veau nécessite de mieux comprendre leurs interactions avec le tube digestif. A cet égard, les nouveaux concepts de digestibilité distinguent les pertes azotées endogènes basales des pertes spécifiques, dépendantes de l’aliment. L’objectif de cet article est de caractériser quantitativement et qualitativement les matières azotées basales et celles spécifiques de sources végétales, et de préciser l’importance, dans ces matières azotées endogènes, des mucines, glycoprotéines du mucus qui protège l’épithélium digestif. Le flux des matières azotées endogènes non spécifiques, mesuré avec un aliment dépourvu de protéines, augmente entre le duodénum et le jéjunum. Les matières azotées sont ensuite apparemment réabsorbées à environ 70 % avant l’iléon où le flux est de 20 g/kg de matière sèche ingérée. Les mucines contribuent à 20, 40 et 25 % des pertes iléales d’azote basal, de lysine et de thréonine, respectivement. La digestibilité apparente iléale de l’azote des aliments contenant des matières azotées végétales est inférieure à celle du lait (0,85, 0,73 et 0,81 vs 0,91, respectivement pour un concentrat et un isolat de soja, et un concentrat de protéines de pomme de terre). Les digestibilités réelles des matières azotées de ces aliments sont similaires mais inférieures à celle du lait (0,95 vs 0,99). Ces différences s’expliquent par l’augmentation des flux de matières azotées endogènes spécifiques, et en particulier des mucines. Par ailleurs, la fraction d’azote provenant des bactéries hébergées par l’animal est plus susceptible aux modifications de la nature des protéines alimentaires que la fraction endogène réellement sécrétée. En conclusion, les différences de digestibilité apparente entre les sources de matières azotées végétales étudiées sont principalement déterminées par les pertes iléales de matières azotées spécifiques qu’elles génèrent le long du tube digestif.
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CHATELLIER, V., A. PFLIMLIN, and C. PERROT. "La production laitière dans les régions de l’arc Atlantique européen." INRAE Productions Animales 21, no. 5 (2008): 427–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.5.3417.

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Abstract:
Les régions de «l’arc Atlantique» qui participent au projet «Green Dairy» réalisent près du quart de la production laitière de l’UE. Au cours des deux dernières décennies, le taux de restructuration du secteur productif laitier a été particulièrement intense dans les régions espagnoles et anglaises. Dans les régions françaises, les mesures en faveur de l’installation de jeunes agriculteurs et la gestion administrée des quotas laitiers ont freiné le mouvement d’agrandissement des exploitations. Bien que situées dans la même zone climatique (sous influence océanique), les exploitations laitières de l’arc Atlantique privilégient des systèmes alimentaires variés et une utilisation plus ou moins intensive des surfaces fourragères. Du fait de surfaces limitées, les exploitations portugaises et espagnoles achètent d’importantes quantités de concentrés et sont souvent intensives. Les exploitations de l’Ouest de la France, qui valorisent fréquemment des fourrages ensilés, sont confrontées à des difficultés environnementales importantes, en raison de la présence d’autres productions animales (porcs et volailles). Favorisées par un faible coût alimentaire, elles sont pénalisées par des coûts de mécanisation élevés. Les unités irlandaises et anglaises, qui laissent une large place à l’herbe, ont un coût de production du lait bien maîtrisé. Elles sont cependant pénalisées par un faible prix du lait et investissent peu. Les exploitations laitières de l’arc Atlantique ne sont donc pas toutes homogènes face aux nouveaux défis : la remise en cause du régime des quotas laitiers (qui soulève d’importants enjeux territoriaux en France) ; le renchérissement du prix de l’énergie fossile (qui pourrait entraîner une hausse du prix des céréales, peu favorable aux systèmes alimentaires du sud) ; le renforcement des contraintes environnementales (qui implique des investissements).
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GAUTIER, F., and E. LABUSSIÈRE. "Origines alimentaires et digestion des nutriments chez le veau préruminant." INRAE Productions Animales 24, no. 3 (2011): 245–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.3.3259.

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Abstract:
L’essentiel des nutriments nécessaires pour couvrir les besoins nutritionnels du veau préruminant est apporté par l’aliment d’allaitement formulé à base de diverses matières premières d’origine animale ou végétale. La connaissance de leur digestibilité est primordiale pour rationnaliser leur emploi. Cette synthèse fait le point sur les différentes sources de protéines, de matières grasses et de glucides utilisées dans les aliments d’allaitements des veux de boucherie. A partir de la description des processus digestifs pour les protéines, les lipides et les glucides dans le cas particulier du veau de boucherie, cette synthèse bibliographique montre que les matières premières d’origine laitière (poudre de lait écrémé, poudre de lactosérum, lactose) sont en général très bien digérées par le veau préruminant avec des coefficients d’utilisation digestive apparente supérieurs à 90% pour tous les nutriments. L’utilisation digestive d’autres matières premières, comme les concentrats de soja, les concentrés protéiques de pomme de terre ou le gluten de blé est plus variable, dépendant largement des traitements technologiques qui sont appliqués. Cependant, les valeurs de digestibilités sont élevées et indiquent que les matières premières d’origine végétale sont des alternatives intéressantes en substitution aux produits laitiers, surtout au-delà du premier mois de vie de l’animal.
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SAUVANT, D., S. GIGER-REVERDIN, F. MESCHY, L. PUILLET, and P. SCHMIDELY. "Actualisation des recommandations alimentaires pour les chèvres laitières." INRAE Productions Animales 25, no. 3 (2012): 259–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3214.

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Abstract:
L’alimentation des chèvres laitières est un domaine en évolution technique rapide qui demande de plus en plus de recommandations alimentaires précises. La dernière mise à jour a été effectuée en 2007 et une actualisation s’avérait nécessaire. Les caractéristiques zootechniques de base (variations de la production de lait, des taux butyreux et protéique et du poids vif) sont mieux connues et désormais modélisées au sein du logiciel INRAtion. Les valeurs des besoins en énergie, protéines et minéraux au cours du cycle gestation- lactation sont globalement confirmées ou légèrement modifiées. En revanche, les lois de réponses aux apports de concentrés ont été précisées, en relation notamment avec les apports et les bilans d’énergie. Dans le domaine des lipides, de nombreuses données ont été publiées récemment ce qui permet de disposer de nouvelles lois de réponses ayant une bonne précision. Les rejets d’éléments polluants (méthane et azote) ont été abordés et des équations de prévision simples et utilisables de ces flux sont proposées. Enfin, dans les domaines du comportement alimentaire, de l’acidose et des besoins en eau, des travaux récents permettant de disposer de valeurs repères applicables sur le terrain.
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Benson, N. C., S. C. Benson, and F. Wilt. "The organic matrix of the sea urchin embryo spicule visualized by electron microscopic immunocytochemistry." Proceedings, annual meeting, Electron Microscopy Society of America 44 (August 1986): 158–59. http://dx.doi.org/10.1017/s0424820100142414.

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Abstract:
The embryonic spicule of the sea urchin, Strongylocentrotus purpuratus is first detected at the late gastrula stage of development. The calcite spicule elongates within an intracellular vacuole of a syncytium of primary mesenchyme cells (PMC) originating at the ventral end of the blastocoel cavity and continues to form upward within a cytoplasmic cable until fully formed at the prism larval stage. The calcite is laid down as concentric lamallae on an organic matrix that extends within and through the spicule. The matrix has been characterized as a glycoprotein with major bands of molecular weights of about 47, 50, 57 and 64 kd. The PMCs surrounding the spicule are presumably the sites of synthesis and glycosylation of the organic matrix.
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Fernández-González, Á., M. Prieto, A. Putnis, and S. López-Andrés. "Concentric zoning patterns in crystallizing (Cd,Ca)CO3 solid solutions from aqueous solutions." Mineralogical Magazine 63, no. 3 (1999): 331–43. http://dx.doi.org/10.1180/002646199548556.

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Abstract:
AbstractOtavite-calcite solid solutions have been synthesized to investigate the factors which control the patterns of compositional zoning. The equilibrium partitioning of otavite between the aqueous and the solid phase can be described by means of a function XCdCO3(XCd,aq)eq, which relates the solid mole fraction and the aqueous activity fraction of Cd. According to this function, there is a strong preferential partitioning of Cd towards the solid. A set of experiments starting with parent solutions with different Cd2+/Ca2+ ratios was carried out. In these experiments nucleation takes place at high supersaturations and the Cd2+ and Ca2+ ions tend to be laid down in a ratio which deviates from the equilibrium distribution. Experimental nucleation data can be fitted to a curve XCdCO3(XCd,aq)ef of the same functionality as that for equilibrium.After nucleation, supersaturation decreases as the crystals grow. During this process, substituting ions are not incorporated into the solid in the same stoichiometric proportion as in the aqueous solution. Therefore, crystal and fluid compositions tend to vary as growth proceeds and this evolution is registered as a compositional zoning. The curves XCdCO3(XCd,aq)eq and XCdCO3(XCd,aq)ef confine the reaction path corresponding to the growth process. Here, these curves are used to account for the observed zoning patterns.
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