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Journal articles on the topic 'Laitue – Conservation'

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1

Arseneau, Isabelle. "La condition du pastiche dans le roman lyrico-narratif de Jean Renart (Le Roman de la Rose ou de Guillaume de Dole)." Études françaises 46, no. 3 (December 21, 2010): 99–122. http://dx.doi.org/10.7202/045120ar.

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Abstract:
La relecture du Roman de la rose ou de Guillaume de Dole (1212-1214) fait apparaître que, au contraire de ce que l’on a souvent avancé, ce roman lyrico-narratif répond à des objectifs qui vont bien au-delà de la thésaurisation des chansons qu’il « brode » à la trame du récit. L’examen méthodique de la laisse épique et des 46 fragments lyriques qui y sont insérés fait plutôt apparaître que l’invention le dispute fortement à la conservation et à la monumentalisation que l’on serait en droit d’attendre d’une « anthologie ». En effet, il y a dans l’ensemble des pièces rapportées quelques morceaux qui se détachent du lot et qui invitent au réexamen des frontières médiévales entre les différentes pratiques imitatives. En l’absence de tout autre témoin manuscrit, les analyses thématique, stylistique et formelle de la chanson que l’auteur attribue à « Gautier de Saguies » et de la laisse qu’il dit emprunter au Gerbert de Metz tendent plutôt à suggérer que le romancier a succombé à la tentation du pastiche.
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DUQUET, J. P., Anne TROUVAT, Ariette MOUNIQUA, G. ODET, and O. CERF. "Les spores thermorésistantes du lait utilisé pour la fabrication de laits de longue conservation." Le Lait 67, no. 3 (1987): 393–401. http://dx.doi.org/10.1051/lait:1987323.

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3

Bosset, J. O., P. U. Gallmann, and R. Sieber. "Influence de la translucidité de l'emballage sur la conservation du lait et des produits laitiers." Le Lait 73, no. 1 (1993): 3–49. http://dx.doi.org/10.1051/lait:199311.

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Miara, Mohamed Djamel, Mohammed Ait Hammou, and Khellaf Rebbas. "Flore endemique, rare et menacees de l'Atlas Tellien Occidental de Tiaret (Algerie)." Acta Botanica Malacitana 42, no. 2 (February 20, 2018): 269–83. http://dx.doi.org/10.24310/abm.v42i2.3590.

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Abstract:
Cette étude vise la connaissance et la recherche des plantes endémiques, rares et menacées de l’atlas tellien occidental de Tiaret. Les recherches ont été guidées par les données existantes dans la littérature afin de retrouver les plantes endémiques et rares citées pour la région de Tiaret. Nous avons exploité nos données de terrain (287 relevés floristiques) ainsi que d’autres recherches ciblées afin de localiser les taxons endémiques. Cela nous a permis d’identifier 32 plantes endémiques (7 endémiques strictes Algérie; 11 Algérie-Maroc; 4 Algérie-Tunisie; 10 Afrique du Nord). Les recherches ont permis également de reconnaitre 36 taxons rares, 4 Trigger species et 17 taxons menacées (protégés). Plusieurs taxons cités dans la bibliographie pour la région n’ont pas été retrouvés ce qui laisse à s’interroger quant à l’état de conservation et l’existence de ces taxons dans un environnement très fortement perturbé par l’action anthropique dévastatrice.
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Grillet, Nelly, Patrice Grimaud, Gérard Loiseau, Milton Wesuta, and Bernard Faye. "Qualité sanitaire du lait cru tout au long de la filière dans le district de Mbarara et la ville de Kampala en Ouganda." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 4 (April 1, 2005): 245. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9919.

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Abstract:
La qualité sanitaire du lait cru est une problématique importante en Ouganda, tant pour des raisons socio-économiques que sanitaires. L’étude conduite sur la filière informelle du lait cru en Ouganda a mis en évidence deux principaux points critiques pour la qualité du lait : le manque d’hygiène du lieu de production au lieu de consommation, et l’absence de système efficace de conservation limitant le développement des bactéries pendant le transport vers Kampala. La charge microbienne a atteint en effet des niveaux très élevés, proche de 2 x 106 unités formant colonie par millilitre sur le lait de ferme dans le bassin laitier de Mbarara au sud-ouest du pays, que le transport vers la capitale Kampala a multiplié par un facteur d’environ 150. Il existe, au sein de cette filière informelle, des unités artisanales dites de pasteurisation. Le lait qu’elles produisent est certes exempt de bactéries à sa sortie mais la conservation sur plusieurs jours de ce produit surchauffé pourrait rendre ce procédé plus dangereux que bénéfique. Ces constats doivent alerter tous les acteurs de la filière informelle sur la nécessité de mettre en oeuvre une stratégie d’amélioration de la qualité du lait, à la fois par une modification des pratiques courantes pour qu’elles deviennent plus respectueuses de l’hygiène, et par une amélioration de la conservation du lait au moyen de technologies telles que la réfrigération, la pasteurisation à petite échelle ou encore l’utilisation du système lactoperoxydase. Cette étude a permis d’acquérir des bases techniques et scientifiques pour appuyer les actions visant à améliorer la qualité du lait cru en Ouganda. Quelle que soit la stratégie qui sera adoptée par les autorités, elle ne pourra être mise en oeuvre que si elle implique l’ensemble des acteurs de la filière.
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Moyer, G. R., M. S. Blouin, and M. A. Banks. "The influence of family-correlated survival on Nb/N for progeny from integrated multi- and single-generation hatchery stocks of coho salmon (Oncorhynchus kisutch)." Canadian Journal of Fisheries and Aquatic Sciences 64, no. 9 (September 1, 2007): 1258–65. http://dx.doi.org/10.1139/f07-099.

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Abstract:
There exist surprisingly few data on the final variance and mean of family sizes for hatchery-born fish at the adult stage. Thus, it is difficult to predict, for a conservation hatchery operation that minimizes the variance in progeny number, how much lower the true effective population size (Ne) of a cohort of hatchery-born adults will be than Ne predicted simply by the number of parents that produced them. We used parentage analysis to estimate the survival and Ne for two integrated stocks of hatchery coho salmon (Oncorhynchus kisutch). One hatchery is a multigeneration stock obtained by spawning 70% hatchery with 30% naturally reproducing fish, whereas the second is a single-generation stock derived from naturally reproducing coho. There was no significant difference in average overall survival between stocks, but observed Ne was significantly less than expected for each stock. Family-correlated survival contributed to roughly a 20% reduction in Ne over the freshwater and marine life stages. This reduction is similar to previous estimates and suggests a value that can be used when estimating the effective number of hatchery parents in applications of the Ryman–Laikre formula (at least for programs such as ours that attempt to equalize sex ratios and family sizes).
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Langlois, Annabelle, Raymond Archambault, Renée Lebeuf, Jean-Pierre Turgon, Raymond McNeil, and Jacques Brisson. "Inventaire des macromycètes d’une forêt ancienne de la région du Haut-Saint-Laurent." Le Naturaliste canadien 137, no. 2 (May 10, 2013): 62–77. http://dx.doi.org/10.7202/1015517ar.

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Abstract:
Malgré l’importance confirmée des listes rouges en tant que source d’information pour la conservation adéquate de la biodiversité et alors que de telles listes détaillées existent déjà pour de nombreux groupes tels que les mammifères ou les oiseaux, aucune liste de macromycètes (champignons supérieurs) en situation précaire n’est encore disponible dans la plupart des régions du monde, y compris au Québec. Les écosystèmes forestiers matures semblent abriter de nombreuses espèces rares et devraient par conséquent être inventoriés avec une attention particulière pour fournir des renseignements de base sur la flore macrofongique québécoise. Notre étude avait donc pour objectif de documenter la diversité des macromycètes présents dans une forêt ancienne. Vingt-deux excursions hebdomadaires ont été effectuées entre juin et octobre 2012 dans un écosystème forestier mature exceptionnel, le Boisé-des-Muir. Un total de 333 espèces de macromycètes y ont été identifiées, dont 7 qui étaient inconnues pour la province de Québec. Les genres Lepiota, Cystolepiota et Leucoagaricus étaient exceptionnellement bien représentés. La grande majorité de ces 333 espèces étaient saprotrophiques, confirmant ainsi l’importance des débris ligneux dans de tels écosystèmes. La sous-représentation des espèces mycorhiziennes, malgré une bonne proportion d’espèces rares, est probablement attribuable aux conditions météorologiques propres à l’année d’échantillonnage. En gardant à l’esprit la prudence avec laquelle de tels inventaires doivent être comparés, la présente étude laisse croire que les forêts feuillues matures du sud du Québec présentent une diversité macrofongique élevée.
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Fogarasi, Barbara, and Andrea Dúll. "Inside the Mind and Heart of Homo Aedificator •." Építés - Építészettudomány 49, no. 1-2 (March 15, 2021): 267–87. http://dx.doi.org/10.1556/096.2021.00009.

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Abstract:
While the reasons that lead to the current crisis of the heritage preservation sector in Hungary are manifold, it is worth looking into what might be done to draw attention to some issues that may help consolidate the ground of common values; the foundation, upon which a meaningful dialogue can be constructed, leading to the appreciation of and willingness to care for the historic environment by all actors. There seems to be a hidden conflict between the values of conservation experts and those of laypeople. Possessing thorough knowledge about the nature of historical and architectural values and trained to easily identify these, we are bound to focus more on people, their meanings and values. Much can be learned from pervious, human-centred architectural theory and practice, some of which are reviewed in the study, with special attention to the work of Gyula Hajnóczi. Referring to his space theory and ideas about the perception of space, we are especially grateful for his term homo aedificator suggesting that architecture satisfies material and spiritual needs universal to all human beings. Recognizing the challenges that stem from the differences between architects and non-architects, and likewise, heritage professionals and laypeople, the concepts of environmental psychology can help us show the way to universal values. We look into the method of the semantic differential scale to identify the affective meanings of built historic environments. The first steps of an empirical psychological research allow us to see into the minds and hearts of heritage professionals by assessing how they qualify the subject of their daily expertise. While these preliminary results are definitely intriguing, shedding light on how professionals tend to give meaning, our research continues with the aim to reveal the attitudes and meanings people associate with built historic heritage and find viable tools to mitigate the discrepancies between the profession and the general public.Miközben a magyarországi műemlékvédelem jelenlegi válságának számos oka lehet, érdemes figyelmet fordítanunk arra, hogy mit tehetünk azért, hogy megerősítsük a közös értékek talaját; azt az alapot, amire olyan értelmes párbeszédeket építhetünk, melyek a történeti környezet értékelése és törődése iránti hajlandósághoz vezetnek. Egyre gyakrabban üti fel a fejét az a rejtett ellentét, ami a műemlékes szakértők és a laikusok értékei között feszül. Szakértőként, átfogó ismerettel a történeti és építészeti értékekről, melyeket megtanultunk könnyen azonosítani, hasznos lehet a figyelmünket az emberekre, az ő jelentésadásaikra és értékeikre fordítanunk. Sokat okulhatunk a korábbi, ember- központú építészetelméleti és gyakorlati példákból, melyek közül néhányat tanulmányunkban átte- kintünk, kiemelve Hajnóczi Gyula munkásságát. Térelméletére és térészlelési gondolataira hivat- kozva, különösen hálásak vagyunk a homo aedificator fogalmáért, utalva arra, hogy az építészet minden emberi lény anyagi és szellemi igényeit kielégíti. Felismerve az építész–nemépítész és ehhez hasonlóan a műemlékes szakember–laikus közötti különbözőségek kihívásait, a környezetpszicholó- gia segíthet az univerzális értékek felé vezető út megtalálásában. A szemantikus differenciál módsze- rét hívjuk segítségül az épített történeti környezet érzelmi jelentésének feltárására. Empirikus kutatá- sunk első lépéseivel betekintést nyerünk a műemlékes szakemberek vélekedéseibe, pontosabban abba, hogy hogyan minősítik szakértelmük tárgyát. Bár már ezek az előzetes eredmények is – melyek rávilágítanak arra, hogy a szakemberek hogyan értelmezik a műemlékeket – érdekesek lehetnek, kuta- tásunk azzal a céllal folytatódik, hogy általánosságban feltárjuk az emberek vélekedéseit és a történeti épületeknek tulajdonított jelentéseket. Eredményeinkkel használható eszközöket kívánunk nyújtani a szakmabeliek és a laikusok közötti ellentétek feloldására.
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Markert, Bernd, Simone Wünschmann, and Edita Baltrėnaitė. "INNOVATIVE OBSERVATION OF THE ENVIRONMENT. BIOINDICATORS AND BIOMONITORS: DEFINITIONS, STRATEGIES AND APPLICATIONS / APLINKOS STEBĖSENOS NAUJOVĖS. BIOINDIKATORIAI IR BIOMONITORIAI: APIBRĖŽTYS, STRATEGIJOS IR TAIKYMAS." Journal of Environmental Engineering and Landscape Management 20, no. 3 (October 8, 2012): 221–39. http://dx.doi.org/10.3846/16486897.2011.633338.

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Abstract:
For a number of years “classical” programs for environmental monitoring are being supplemented by bioindication measures. Investigations on living organisms or their remains (e.g. peat) are used to indicate the environmental situation in either qualitative (bioindication) or quantitative (biomonitoring) terms. This provides pieces of information on environmental burdens of a region at a given point of time or on its changes with time (trend analysis). Classical bioindication often deals with observation and measurements of chemical noxae (both inorganic and organic ones) in well-defined bio-indicator plants or animals (including man). In terms of analytical procedures and results there are parallel developments between progresses in bioindication and innovation in analytical methods. After some 30 years of development in bioindication there are now the following newer lines for further development: 1) more frequent inclusion of multi-element total analyses for a thorough investigation of mutual correlations in the sense of the Biological System of Elements; 2) more work on (analytical) speciation issues to proceed into real effect-oriented environmental sciences; and 3) there should and must be a focus on integrative bioindication methods because for a large number of environmental monitoring problems a single bioindicator will not provide any meaningful information: a single bioindicator is about as good as none at all. Integrative concepts such as the Multi-Markered Bioindication Concept (MMBC) provide basic means to get into precautionary environmental protection effects drawing upon such a second-generation bioindication methodology. The selected case studies in Lithuania illiustrate some new aspects for the development of integrative bioindication consept. Santrauka Jau keletą metų „klasikinės“ aplinkos stebėjimo programos yra papildomos bioindikacinėmis priemonėmis. Atliekami gyvųjų organizmų arba jų liekanų (pvz., durpių) tyrimai, siekiant nustatyti aplinkos būklę kokybiniu (bioindikacija) arba kiekybiniu (biostebėsena) požiūriu. Taip gáunama informacijos apie regiono aplinkos problemas tam tikru metu arba aplinkos pokyčius laikui bėgant (tendencijų analizė). Taikant klasikinę bioindikaciją dažnai stebimos ir organinės, ir neorganinės cheminės medžiagos, matuojamos jų koncentracijos tiksliai nustatytuose bioindikatoriniuose augaluose arba gyvūnuose (taip pat ir žmogaus organizme). Kalbant apie analizines procedūras ir rezultatus, pastebimos panašios bioindikatorių tobulinimo ir naujų analizinių metodų plėtojimo tendencijos. Bioindikacijos plėtrai vykstant jau beveik 30 metų, išskirtinos tam tìkros tolesnės plėtotės tendencijos: 1) atliekant išsamius elementų biologinės sistemos tarpusavio sąsajų tyrimus dažniau pasirenkama kelių elementų bendroji analizė; 2) daugiau dirbama (analizinis darbas) sprendžiant naujų rūšių atsiradimo klausimus siekiant pereiti prie aplinkos mokslų, nukreiptų į tikrąjį poveikį; 3) daugiau dėmesio skiriama kompleksiniams bioindikaciniams metodams, nes esant daugybei aplinkos stebėsenos problemų, pavienis bioindikatorius daug vertingos informacijos neteikia. Kompleksinės koncepcijos, pavyzdžiui, daugiaženklės bioindikacijos koncepcija, remdamosi antrosios kartos bioindikacijos metodika, numato paprastų aplinkos apsaugos prevencijos priemonių. Šiame straipsnyje pateikiami tyrimų, atliktų Lietuvoje, pavyzdžiai iliustruoja kelis naujus aspektus formuojant kompleksinę bioindikacijos koncepciją.
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Baltrėnas, Pranas, and Dovilė Vaitkutė. "INVESTIGATION AND EVALUATION OF COPPER AND ZINC CONCENTRATION TENDENCIES IN PINUS SYLVESTRIS L. TREE-RINGS / VARIO IR CINKO KONCENTRACIJOS KAUPIMOSI TENDENCIJOS PINUS SYLVESTRIS L. METINĖSE RIEVĖSE TYRIMAI IR VERTINIMAS / ИССЛЕДОВАНИЕ И ОЦЕНКА ИЗМЕНЕНИЙ КОНЦЕНТРАЦИЙ МЕДИ И ЦИНКАВ ГОДОВЫХ КОЛЬЦАХ PINUS SYLVESTRIS L." Journal of Environmental Engineering and Landscape Management 19, no. 4 (December 21, 2011): 278–86. http://dx.doi.org/10.3846/16486897.2011.634418.

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Abstract:
Free trace metals are one of the most relevant environmental problems of today; consequently, it is becoming important to evaluate their spatial distribution and accumulation rates in the natural environment. For this analysis, Scots pine (Pinus sylvestris L.) was chosen as suitable for indication of environmental stress because of its simple wood structure and of well distinct tree-rings for evaluation of temporal trace metals concentration changes. For the primary study, we chose the most evenly forested territory – the south-eastern part of Lithuania. The study results revealed that the background Zn concentration in Scots pines is 7.2 mg·kg−1 and that of Cu amounts to 2.5 mg·kg−1 The anomaly concentration of both trace metals in Scots pine defined to be higher than 21.3 for Zn and 9.0 mg·kg−1 of d.w. for Cu. The Cu and Zn concentration in Scots pine stem distributed gradually with slightly increased values towards the bark. However, a lower concentration rate was noticed in the wood formed in 1930–1950, which agrees with the most extreme climatic period in Lithuania. Santrauka Viena iš aktualių nūdienos aplinkosaugos problemų yra sunkieji metalai, tad tampa vis svarbiau kuo išsamiau įvertinti jų sklaidą ir kaupimąsi gamtinėse sistemose. Šiems tyrimams pasirinkta paprastoji pušis (Pinus sylvestris L.). Dėl paprastos medienos sandaros, aiškiai matomų metinių rievių, tinkamumo metalų koncentracijų kitimui įvertinti laikui bėgant tai yra paranki medžių rūšis aplinkai sukeliamam stresui nustatyti. Pirminiam vertinimui atlikti pasirinkta viena iš miškingiausių Lietuvos vietovių – Pietryčių Lietuva. Iš gautų rezultatų galima teigti, kad Pietryčių Lietuvoje paprastosiose pušyse Zn foninis kiekis yra 7,2 mg·kg−1, o Cu – 2,5 mg·kg−1. Taip pat buvo apskaičiuotos šių metalų minimalios anomalios koncentracijos: Zn – 21,3 mg·kg−1, o Cu – 9,0 mg·kg−1. Zn ir Cu metinėse pušies rievėse buvo pasiskirstęs tolygiai, šiek tiek koncentracijos didėjo žievės link. Taip pat pastebėta, kad metinėse rievėse, susiformavusiose 1930–1950 m., abiejų metalų koncentracija, palyginti su kitų rievių, yra šiek tiek mažesnė. Tai gali būti siejama su 1930–1960 m. vyravusių itin ekstremalių orų laikotarpiu. Резюме Одной из актуальных современных экологических проблем являются тяжелые металлы, поэтому представляетсявсё более важным исследовать их рассеяние и аккумуляцию в природных системах. Для исследования фоновогонакопления тяжелых металлов древесиной сосны обыкновенной (Pinus sylvestris L.) были выбраны деревья, произрастающие на техногенно ненарушенных территориях. Для первичной оценки была выбрана одна из наиболеелесистых местностей Литвы – юго-восточная Литва. На основании полученных результатов можно утверждать,что в юго-восточной Литве в древесине сосны обыкновенной фоновая концентрация Zn составляет 7.2 мг/кг, Cu – 2.5 мг/кг. Концентрации цинка и меди в годичных кольцах сосны разделились поровну со слегка выраженным ееувеличением в направлении коры. Было также отмечено, что в годовых кольцах, сформировавшихся в 1930–1950годах, концентрации обоих металлов по сравнению с другими годовыми кольцами роста несколько меньше, чтоможет быть связано с господствовавшими в 1930–1960 годах экстремальными погодными условиями.
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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Abstract:
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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Pereira, Paulo, and Xavier Úbeda. "SPATIAL DISTRIBUTION OF HEAVY METALS RELEASED FROM ASHES AFTER A WILDFIRE." JOURNAL OF ENVIRONMENTAL ENGINEERING AND LANDSCAPE MANAGEMENT 18, no. 1 (March 31, 2010): 13–22. http://dx.doi.org/10.3846/jeelm.2010.02.

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Abstract:
Heavy Metals (HM) in great amounts in soil and water resources can cause coercive effects in the environment and human health. Ash contains high quantities of HM that depend on combusted species, type and part burned and soil characteristics. After a fire, the HM released from ash can lead to a soil solution and water resources contamination. This liberation of HM in solution can be highly variable across the affected area. This work pretends to study the spatial variation of the HM ‐ Aluminium (Al3+), Manganese (Mn2+), Iron (Fe2+) and Zinc (Zn2+) ‐ in a Quercus suber and Pinus pinaster stand affected by a wildfire in Portugal, applying some interpolation methods. The results showed that on average across the plot, Al3+ was the HM released in higher quantities and Zn2+ in lower. The higher variability was observed in Zn2+ and in Fe2+. The interpolation methods assessed showed that polynomial regression (PR) method was the more accurate to predict the distribution of the HM across the plot. Al3+ and Mn2+ showed a rise in their concentration from south towards north section of the plot, and Fe2+ and Zn2+ a decrease from northwest to southeast section of the plot. The liberation of Al3+and Mn2+ is related with species burning severity, and Fe2+ and Zn2+ with plot topography. The fire evolution across the plot and the consequent rising temperatures can have higher impacts than burned species in HM spatial variability. Over time, with the decreasing ash pH, HM will become more mobile and will be released in soil solution, with potential coercive effects in the environment. Santrauka Dideles sunkiuju metalu (SM) koncentracijos dirvožemyje ir vandenyje gali sukelti pavoju aplinkai ir žmogaus sveikatai. Pelenuose aptinkamos dideles SM koncentracijos, kurios priklauso nuo sudegusio medžio rūšies, tipo, sudegusios medžio dalies ir dirvožemio savybiu. Po gaisro iš pelenu pasišalinantys SM patenka i dirvožemio tirpala ir gali sukelti vandens ištekliu tarša. SM išsiskyrimas iš pelenu teritorijos plote gali kisti. Darbe taikant interpoliacinius metodus tiriama SM — aliuminio (Al3+), mangano (Mn2+), geležies (Fe2+) ir cinko (Zn2+) ‐ pasiskirstymas teritorijoje po Quercus suber ir Pinus pinaster miško gaisro Portugalijoje. Iš rezultatu matyti, kad nagrinejamoje teritorijoje vidutiniškai didžiausios koncentracijos pasiskirste Al3+, o mažiausios ‐ Zn2+. Didžiausi koncentraciju pokyčiai buvo būdingi Zn2+ ir Fe2+. Iš taikytu interpo‐liaciniu metodu, prognozuojant SM pasiskirstyma teritorijoje, tikslesnis buvo polinomines regresijos metodas. Al3+ ir Mn2+ koncentraciju padidejimas nustatytas iš pietines teritorijos dalies šiaurinCs link, o Fe2+ ir Zn2+ ‐ sumažejimas iš šiaures vakaru dalies pietrytines teritorijos dalies link. Al3+ ir Mn2+ išsiskyrimas iš pelenu priklause nuo gaisro intensyvumo, o Fe2+ ir Zn2+ ‐ nuo teritorijos topografijos. Gaisro intensyvumo pokyčiai teritorijoje ir su tuo susijes temperatūros kilimas gali tureti didesnes itakos SM pasiskirstymui teritorijoje negu sudegusiu medžiu rūšys. Laikui begant ir kintant pelenu pH, SM tampa judresni, tad gali patekti i dirvožemio tirpala, sukelti pavoju aplinkai. Резюме Большие концентрации тяжелых металлов (ТМ) в почве и воде могут быть oпасны для окружающей среды и здоровья людей. Большие концентрации ТМ, выделяемые после пожара из золы, зависят от вида, типа, части сгоревшего дерева и свойств почвы. ТМ попадают в почву и могут вызвать загрязнение подземных вод. Выделение ТМ из золы на площади территории может меняться. В статье рассматривалось распределение после пожара на территории в Португалии таких тяжелых металлов, как алюминий (Al3+), марганец (Mn2+), железо (Fe2+) ir цинк (Zn2+). С этой целью применялись методы интерполяции. Из результатов анализа видно, что на исследуемой территории в среднем наибольшими были концентрации Al3+, а наименьшими Zn2+. Наибольшим изменениям подвергались концентрации Zn2+ и Fe2+. Из применявшихся методов интерполяции метод полиноминальной регрессии был наиболее точным для прогноза распределения ТМ на территории. Для Al3+ и Mn2+ было характерно увеличение концентраций с южной территории в сторону северной части, а для Fe2+ ir Zn2+ – уменьшение концентраций с северо-западной части в сторону юго-восточной территории. Выделение Al3+ и Mn2+ из золы после пожара зависело от интенсивности пожара, а в случае с Fe2+ и Zn2+ – от топографии территории. Изменение интенсивности пожара на территории и в связи с этим изменение температуры может оказывать бόльшее влияние на распределение ТМ на территории, чем вид сгоревших деревьев. С течением времени и изменением pH золы ТМ становятся более подвижными, могут попадать в подземные воды и тем самым создавать угрозу для окружающей среды.
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT, and D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

Full text
Abstract:
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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BROCHARD, M., K. DUHEN, and D. BOICHARD. "Dossier "PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait"." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 21, 2014): 251–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3071.

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Abstract:
Dossier "PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait Avant-propos Le lait est un produit animal complexe à l’origine de multiples valorisations en alimentation humaine : laits de consommation incluant les laits infantiles, fromages, beurres, crèmes, yaourts, desserts et boissons lactées, ingrédient dans une grande diversité de pâtisseries et de plats cuisinés, etc. Il s’agit donc d’un pilier de l’alimentation humaine y compris à l’âge adulte et ce depuis des milliers d’années. Toutefois, les demandes des consommateurs et de la société ont évolué rapidement ces dernières années et les exigences en matière de qualité des produits se sont complexifiées (Le Bihan-Duval et al 2014). Tout d’abord du point de vue du consommateur, en particulier occidental, l’alimentation doit désormais répondre à une diversité d’attentes. A la demande en « quantité » d’après-guerre, se sont en particulier ajoutées des exigences sanitaires, des exigences organoleptiques, de traçabilité du produit, des exigences nutritionnelles, et après une période « nutrition - santé » (Cniel 2011), une exigence croissante de « naturalité ». De plus, du point de vue du citoyen, la qualité intègre l’environnement, le bien-être animal, les conditions de production. Une partie des consommateurs a d’ailleurs évolué vers une stratégie d’achat « responsable » (Cniel 2011). Simultanément, le lait, bien que bénéficiant d’une image traditionnellement et majoritairement favorable à plusieurs titres, est confronté ces dernières années à des remises en causes parfois virulentes (allergies, intolérances, rejet des matières grasses saturées et trans…) qui s’installent probablement durablement dans les rapports des consommateurs avec le lait (Cniel 2011). Malgré ce contexte exigeant et changeant, jusqu’à aujourd’hui, au-delà des quantités totales en matières grasses et protéiques, peu de dispositifs sont disponibles et mis en œuvre pour suivre, qualifier, voire piloter la composition fine du lait « en sortie de ferme ». Le lait a suivi, avec le développement du secteur laitier, un processus de standardisation conformément au principe du « lait apte à toute transformation », devenant une matière première à laquelle l’application de procédés de fabrication variés donne de la valeur. Ce constat est à moduler pour les filières AOP fromagères. La composition fine du lait, en particulier la variabilité des profils en acides gras et en protéines, n’est pas ou peu valorisée, ni au niveau de la production, ni au niveau de la transformation. Dans le contexte actuel, traiter le lait de manière indifférenciée peut être contre-productif, en particulier si l’on reconsidère la richesse intrinsèque de la matière première « lait » et le fait que la composition du produit final reflète largement la composition du lait d’origine (Lucas et al 2006). Le lait « en sortie de ferme » se situe à la charnière entre l’amont et l’aval des filières laitières et, à ce titre, est idéalement placé pour être une source importante de compétitivité et d’adaptabilité des filières laitières dans leur globalité. Le sujet de la composition fine du lait a bien entendu fait l’objet de travaux bien avant que le programme PhénoFinlait ne soit imaginé et mis en œuvre. Ainsi, les liens entre alimentation et profil en acides gras (Chilliard et al 2007, Couvreur et al 2007, Hurtaud et al 2007) ou encore les variants génétiques des lactoprotéines majeures (Grosclaude et al 1987, Grosclaude 1988) ont été étudiés généralement à partir de dispositifs expérimentaux. Ces connaissances ont servi de point de départ et d’assurance sur la faisabilité et l’intérêt d’engager un programme à grande échelle. L’ambition de PhénoFinlait était alors de transposer ces connaissances et hypothèses en élevages privés avec une grande diversité de systèmes d’alimentation et de coupler cela à une analyse conjointe du déterminisme génétique afin d’apporter aux éleveurs et à leurs filières des outils et des réponses globales. De nombreuses nouvelles références étaient bien évidemment à établir, mais l’un des enjeux majeurs portait et porte toujours sur les possibilités de transfert aux filières. Les développements à la fois de la spectrométrie dans l’infra-rouge et de la sélection génomique ont ouvert de nouvelles portes en matière d’accès à la composition fine du lait à coûts réduits et d’analyses de ses déterminants génétiques.Les travaux pionniers de la Faculté Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux (Soyeurt et al 2006) ont ainsi ouvert la voie à l’estimation de nombreux composants fins du lait à partir d’une exploitation plus fine des données d’absorbance de la lumière dans le Moyen Infra-Rouge (MIR) principalement. Le principe est simple : la spectrométrie MIR, utilisée pour estimer les taux de matière grasse et protéique en routine dans les laboratoires d’analyse du lait, peut aussi être utilisée pour quantifier individuellement certains composants fins. Des modèles de prédiction sont développés à partir d’un jeu d’échantillons caractérisés à la fois à l’aide d’une méthode d’ancrage et par un spectre MIR. Ces modèles sont ensuite appliqués aux données spectrales telles que celles produites dans le cadre des analyses laitières habituelles de paiement du lait à la qualité et de contrôle laitier. Plusieurs dizaines d’acides gras et protéines peuvent ainsi être estimés avec une précision satisfaisante et à un coût additionnel modeste par rapport aux analyses déjà réalisées en routine. Parallèlement, les avancées dans le domaine de la génomique permettent d’analyser et d’exploiter plus rapidement et plus finement le déterminisme génétique des caractères. Là encore, le principe est relativement simple : deséquations d’estimation du potentiel génétique des animaux pour les différents caractères sont établies à partir d’une population de référence (animaux génotypés et caractérisés d’un point de vue phénotypique). Cette population peut être de taille beaucoup plus restreinte que celle nécessaire pour mettre en œuvre une évaluation génétique « classique ». Par ailleurs, les équations produites permettent de déterminer le potentiel génétique d’un animal sans pour autant qu’il dispose lui-même (ou ses descendants) de phénotype mesuré (Robert-Granié et al 2011). L’un des enjeux en sélection est alors de concevoir et de mettre en œuvre des programmes de caractérisation phénotypique de populations de référence, ce que l’on a appelé des programmes de « phénotypage » à plus ou moins grande échelle. Le programme PhénoFinlait est l’un des premiers grands programmes de phénotypage à haut débit (Hocquette et al 2011) avec ses caractéristiques : phénotypage fin sur la composition du lait, dans des systèmes d’élevage caractérisés, en particulier, par l’alimentation, préalable à un génotypage à haut débit des animaux suivis. Face à ces enjeux pour la filière laitière et ces nouvelles potentialités techniques et scientifiques, les filières laitières bovine, caprine et ovine, les acteurs de l’élevage (conseil en élevage et laboratoires d’analyse du lait) et de la génétique (entreprises de sélection et de mise en place d’insémination), les instituts de recherche et de développement (Inra, Institut de l’Elevage, Actalia) et APIS-GENE ont décidé de se constituer en consortium afin d’unifier leurs efforts et de partager leurs compétences et réseaux. Le consortium, avec le soutien financier d’APIS-GENE, de l’ANR, du Cniel, du Ministère de l’Agriculture (fond dédié CASDAR et Action Innovante), de France AgriMer, de France Génétique Elevage, du fond IBiSA et de l’Union Européenne, a initié début 2008 un programme pour :- analyser la composition fine du lait en acides gras et en protéines par des méthodes de routine et des méthodes d’ancrage ultra-résolutives (protéines) ;- appliquer ces méthodes à grande échelle sur une diversité de systèmes et de races représentatives de la diversité de la ferme France afin d’identifier des facteurs influençant la composition fine du lait ;- optimiser la valorisation des ressources alimentaires et génétiques par le conseil en élevage ;- initier une sélection génomique. Au-delà de ces objectifs, le programme PhénoFinlait a été envisagé comme un investissement majeur et collectif pour les filières laitières françaises afin de leur permettre de conserver ou de développer des avantages compétitifs par la possibilité de mieux valoriser la composition fine et demain ultrafine (grâce à des méthodes plus fines encore que la spectrométrie MIR) du lait. Les bases de données et d’échantillons ont ainsi vocation à être exploitées et ré-exploitées pendant plusieurs années au fur et à mesure des demandes des filières et de l’avancée des connaissances et des technologies d’analyse du lait. D’autres pays se mobilisent également sur cette problématique : Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Danemark et Suède, Italie, Belgique, etc. Ce dossier de la revue Inra Productions Animales fait état des principales productions issues à ce jour du programme PhénoFinlait. Il n’a pas vocation à couvrir exhaustivement les résultats produits. En particulier, nous ne présenterons pas systématiquement l’ensemble des résultats pour l’ensemble des espèces, races et composants. Néanmoins, nous nous sommes attachés à présenter à travers trois articles de synthèse et un article conclusif les principales avancées permises par ce programme à partir d’exemples pris dans les différentes filières. Gelé et al, débutent ce dossier par une présentation du programme dans ses différents volets, depuis la détermination des élevages et animaux à suivre jusqu’à la collecte et la conservation d’échantillons (de lait et de sang), en passant par l’enregistrement en routine des spectres MIR, des conditions d’alimentation, le prélèvement d’échantillons de sang puis, plus tard, le génotypage sur des puces pangénomiques. Cet article développe plus particulièrement la méthodologie mise en place pour déterminer la composition du lait en acides gras etprotéines à partir de spectres MIR. Enfin, il dresse un bilan des données collectées, permettant d’actualiser les références sur la caractérisation des troupeaux, des femelles laitières, des régimes alimentaires, et du profil des laits produits dans les trois filières laitières françaises. Legarto et al, présentent ensuite les résultats relatifs à l’influence des facteurs physiologiques (stade de lactation...), alimentaires (à travers des typologies de systèmes d’alimentation), raciaux et saisonniers, sur les profilsen acides gras. Ces résultats mettent en évidence de nombreuses sources de variation de la composition du lait qui pourront être exploitées à différentes échelles : animal, troupeau et bassin de collecte. Enfin, Boichard et al, présentent une synthèse de l’analyse du déterminisme génétique des acides gras d’une part et des protéines d’autre part. Cette synthèse aborde les estimations de paramètres génétiques tels que l’héritabilité et les corrélations génétiques entre caractères de composition fine entre eux, et avec les caractères de production. Ces résultats permettent en particulier de définir les potentialités de sélection ainsi que les liaisons génétiques à considérer. Ces analyses ont aussi permis de mesurer l’importance du choix de l’unité d’expression des teneurs (en pourcentage de la matière grasse ou protéique, ou en pourcentage dans le lait). Dans une dernière partie, cet article présente les analyses de détection de QTL avec une analyse des co-localisations entre races, entre composants et avec des gènes majeurs connus. RéférencesBoichard D., Govignon-Gion A., Larroque H., Maroteau C., Palhière I., Tosser-Klopp G., Rupp R., Sanchez M.P., Brochard M., 2014. Déterminisme génétique de la composition en acides gras et protéines du lait des ruminants. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 283-298. Chilliard Y., Glasser F., Ferlay A., Bernard L., Rouel J., Doreau M., 2007. Diet, rumen biohydrogenation, cow and goat milk fat nutritional quality: a review. Eur. J. Lipid Sci. Technol., 109, 828-855. Cniel, 2011. Lait, produits laitiers et société : France 2025 – Prospective collective. Note de synthèse sur les évolutions probables, juillet 2011. Couvreur S., Hurtaud C., Marnet P.G., Faverdin P., Peyraud J.L., 2007. Composition of milk fat from cows selected for milk fat globule size and offered either fresh pasture or a corn silage-based diet. J. Dairy Sci., 90, 392-403. Gelé M., Minery S., Astruc J.M., Brunschwig P., Ferrand M., Lagriffoul G., Larroque H., Legarto J., Martin P., Miranda G., Palhière I., Trossat P., Brochard M., 2014. Phénotypage et génotypage à grande échelle de la composition fine des laits dans les filières bovine, ovine et caprine. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 255-268. Grosclaude F., Mahé M.F., Brignon G., Di Stasio L., Jeunet R., 1987. A Mendelian polymorphism underlying quantitative variations of goat αS1-casein. Génét. Sel. Evol., 19, 399-412. Grosclaude F., 1988. Le polymorphisme génétique des principales lactoprotéines bovines. Relations avec la quantité, la composition et les aptitudes fromagères du lait. INRA Prod. Anim., 1, 5-17. Hocquette J.F., Capel C., David V., Guemene D., Bidanel J., Barbezant M., Gastinel P.L., Le Bail P.Y., Monget P., Mormede P., Peyraud J.L., Ponsart C., Guillou F., 2011. Les objectifs et les applications d’un réseau organisé de phénotypage pour les animaux d’élevage. Renc. Rech. Rum., 18, 327-334. Hurtaud C., Peyraud J.L., 2007. Effects of feeding camelina (seeds or meal) on milk fatty acid composition and butter spreadability. J. Dairy Sci., 90, 5134-5145. Le Bihan-Duval E., Talon R., Brochard M., Gautron J., Lefevre F., Larzul C., Baeza E., Hocquette J.F., 2014. Le phénotypage de la qualité des produits : enjeux de société, scientifiques et techniques. In : Phénotypage des animaux d’élevage. Phocas F. (Ed). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 223-234. Legarto L., Gelé M., Ferlay A., Hurtaud C., Lagriffoul G., Palhière I., Peyraud J.L., Rouillé B., Brunschwig P., 2014. Effets des conduites d’élevage sur la composition en acides gras du lait de vache, chèvre et brebis évaluéepar spectrométrie au moyen infrarouge. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds).Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 269-282. Lucas A., Rock E., Chamba J.F., Verdier-Metz I., Brachet P., Coulon J.B., 2006. Respective effects of milk composition and the cheese-making process on cheese compositional variability in components of nutritionalinterest. Lait, 86, 21-41. Robert-Granié C., Legarra A., Ducrocq V., 2011. Principes de base de la sélection génomique. In : Numéro spécial, Amélioration génétique. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M. (Eds). INRA Prod. Anim., 24, 331-340. Soyeurt H., Dardenne P., Dehareng F., Lognay G., Veselko G., Marlier M., Bertozzi C., Mayeres P., Gengler N., 2006. Estimating fatty acid content in cow milk using mid-infrared spectrometry. J. Dairy Sci., 89, 3690-3695.
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Hagen, Ingerid J., Ola Ugedal, Arne J. Jensen, Håvard Lo, Espen Holthe, Bjørn Bjøru, Bjørn Florø-Larsen, Harald Sægrov, Helge Skoglund, and Sten Karlsson. "Evaluation of genetic effects on wild salmon populations from stock enhancement." ICES Journal of Marine Science, December 26, 2020. http://dx.doi.org/10.1093/icesjms/fsaa235.

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Abstract:
Abstract Many salmonid populations are of conservation concern, and the release of hatchery-produced juveniles is a frequently used measure to alleviate declines and increase harvest opportunities. While such releases may be of conservation value for some populations, stocking may also decrease the effective population size and subsequently impose additional strain on already threatened populations. In this study, we assessed how the cohort-wise effective number of breeders in five populations of Atlantic salmon (Salmo salar) were affected by supplementation. Altogether, 19 cohorts were studied (2–7 cohorts per population) by estimating the proportion hatchery-released individuals and the effective number of wild and captive breeders in each cohort of the respective populations. We show that the effect of releasing captive-bred individuals varies both between populations and between years within the same population. A Ryman–Laikre effect—where the effective number of breeders has decreased as a consequence of supplementation—was observed for 11 cohorts. We discuss how supplementation can be adapted to optimize the effective population size, demonstrate that evaluation of supplementation can be reliably achieved, and show that supplementation programmes that lead to high proportions of hatchery-origin fish on spawning grounds are more likely to induce a Ryman–Laikre effect.
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