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Journal articles on the topic 'Laurentides-Québec'

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1

Labelle, Claude, and Pierre J. H. Richard. "Végétation tardiglaciaire et postglaciaire au sud-est du parc des Laurentides, Québec." Géographie physique et Quaternaire 35, no. 3 (February 2, 2011): 345–59. http://dx.doi.org/10.7202/1000544ar.

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Abstract:
L’analyse pollinique des sédiments de trois lacs situés au sud-est du parc des Laurentides a permis de retracer les étapes de la recolonisation végétale post-wisconsinienne. Celle-ci s’est effectuée selon un schéma assez constant à travers le secteur à l’étude. Au début, la végétation était très ouverte, mais tout de même relativement riche en taxons herbacés et arbustifs. Cette phase initiale de végétation (sous-zone la) fut suivie, après une période de transition (sous-zone 1b), par une végétation luxuriante de type toundra (sous-zone 1c). Celle-ci fut à son tour remplacée par une végétation de type toundra arbustive (sous-zone 1d) où l’on voit s’accroître l’importance de Betula glandulosa et d’autres éléments arbustifs. Avec un certain métachronisme entre les sites, l’afforestation s’est amorcée par l’installation du Populus cf. tremuloïdes (sous-zone 2a) et s’est poursuivie par l’arrivée de Picea mariana (fin de la sous-zone 2a) puis, par celle d’une série d’arbres tels Betula papyrifera, Pinus cf. divaricata, Abies balsamea, Picea glauca et Larix laricina (sous-zone 2b). Pendant cette dernière phase de l’afforestation, l’abondance du pollen d’Alnus cf. crispa dans les spectres est maximale. Il semble qu’au moins mille ans se soient écoulés avant l’arrivée des arbres autres que le Populus cf. tremuloïdes. Par la suite, l’histoire de la végétation forestière (zone 3) a été plutôt monotone. Bien que les diagrammes révèlent des périodes de plus grande abondance de certains taxons (Pinus strobus, Picea mariana, Pinus et. divaricata), la majorité des arbres, présents actuellement dans la région, ont migré très tôt à l’Holocène.
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2

Charest, Pierrette, and Michel Savard. "Découverte de l’épithèque de Brunelle au Québec, une libellule secrète." Entomologie 138, no. 2 (May 16, 2014): 16–25. http://dx.doi.org/10.7202/1025065ar.

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Abstract:
La récolte d’exuvies de libellules en 2012 et 2013, sur les berges des rivières Batiscan et Trenche en Mauricie, a mené à la découverte de l’épithèque de Brunelle (Neurocordulia michaeli) au Québec. Cette espèce méconnue, récemment décrite par Brunelle (2000), affiche une distribution plus nordique que celle de l’épithèque de Provancher (Neurocordulia yamaskanensis). Ces 2 espèces, plus répandues dans la zone tempérée que ne le laissent croire les mentions québécoises, peuvent cohabiter dans le même cours d’eau au piémont des Laurentides. Lors d’un inventaire d’adultes, ces épithèques peuvent carrément passer inaperçues en raison de leurs moeurs secrètes et crépusculaires. Une clé de détermination des espèces de l’est du Canada est fournie.
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3

Gauthier, Robert. "La répartition et l'habitat du Tomenthypnum falcifolium au Québec–Labrador." Canadian Journal of Botany 65, no. 2 (February 1, 1987): 286–98. http://dx.doi.org/10.1139/b87-040.

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Abstract:
The discovery of Tomenthypnum falcifolium (Ren. ex Nich.) Tuom. in Canada is rather recent. For a long time, it was considered as a variety of Tomenthypnum nitens. Some characters allowing the distinction of the two species are discussed and illustrated. Distribution maps of both species in the Québec–Labrador Peninsula are presented. Habitat conditions of Tomenthypnum falcifolium in the Laurentides Park are derived from a study of peatland vegetation. It grows mainly in extremely poor fens, the dominant peatland type of this region. It is a hummock-preferring species and never forms extensive colonies. Its ecological amplitude is then rather different from that of Tomenthypnum nitens which is more commonly found in rich fens.
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4

Morissonneau, Christian. "Développement et population de la réserve indienne du Village-Huron, Loretteville." Cahiers de géographie du Québec 14, no. 33 (April 12, 2005): 339–57. http://dx.doi.org/10.7202/020931ar.

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Abstract:
Cet article présente une étude de l'évolution de la population dans la réserve indienne du Village-Huron, à Loretteville (Québec), et du processus de développement de la réserve. Celle-ci a bénéficié un temps d'un surplus de territoire dans les Laurentides, mais elle doit faire face aujourd'hui à des problèmes d'espace vital. La population a davantage le profil d'une population blanche que celui d'une réserve, quand on le compare à d'autres réserves. Le Village-Huron présente les caractéristiques d'une petite ville de banlieue et son développement est grandement favorisé par la proximité de Québec. La confection et la commercialisation d'articles de sport et d'artisanat font vivre quelques petites entreprises. La fabrication de canots et de raquettes domine. La demande croît régulièrement dépassant souvent le rythme de production. La part de plus en plus importante que prennent les Indiens dans l'administration de leur réserve est considérée comme un élément positif pour le développement futur de cette communauté.
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5

Paquette, Jonathan, Aurélie Lacassagne, and Robin Nelson. "Patrimoine et territorialisations: les imaginaires culturels du terroir dans la région des Laurentides au Québec." Journal of Canadian Studies 52, no. 1 (January 2018): 193–216. http://dx.doi.org/10.3138/jcs.2017-0038.r.

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6

El Moussaoui, Nadia, and Beatrix E. Beisner. "Facteurs environnementaux associés à la prolifération de la méduse d’eau douce Craspedacusta sowerbii dans les lacs du Québec." Le Naturaliste canadien 141, no. 1 (November 8, 2016): 47–57. http://dx.doi.org/10.7202/1037938ar.

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Abstract:
Les proliférations (aussi appelées pullulations ou « blooms ») de la méduse d’eau douce Craspedacusta sowerbii semblent de plus en plus fréquentes dans les lacs d’Amérique du Nord. Cependant, puisqu’elles apparaissent sporadiquement, de façon discontinue dans le temps et l’espace, on connaît mal leur répartition, leur écologie et les facteurs environnementaux qui les influencent. Les objectifs du présent projet étaient de déterminer la répartition spatiale et les facteurs environnementaux responsables de la prolifération de C. sowerbii au Québec en vue de prévoir de nouvelles proliférations. À l’aide des données recueillies, nous avons cartographié la répartition des lacs québécois envahis par C. sowerbii jusqu’en 2014 et colligé des données sur les variables environnementales de ceux-ci : leur profondeur maximale, leur superficie, leur périmètre et leur altitude, ainsi que la transparence de l’eau et sa concentration en chlorophylle a, en carbone organique dissous (COD) et en phosphore total. En tout, l’espèce a été répertoriée dans 88 lacs au Québec, principalement dans les régions des Laurentides, de l’Outaouais et de l’Estrie, où les lacs sont particulièrement abondants. Selon nos analyses statistiques, les proliférations de cette méduse exotique au Québec ont été observées plus fréquemment dans les lacs dont la superficie est supérieure à 2,8 km² et dont l’eau a une concentration en phosphore total inférieure à 14,77 µg/l.
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7

Desponts, Mireille, André Desrochers, Louis Bélanger, and Jean Huot. "Structure de sapinières aménagées et anciennes du massif des Laurentides (Québec) et diversité des plantes invasculaires." Canadian Journal of Forest Research 32, no. 12 (December 1, 2002): 2077–93. http://dx.doi.org/10.1139/x02-127.

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Abstract:
This study was undertaken to determine the contribution of old-growth and senescent forest stands regenerated through clear-cutting to the biodiversity of wet boreal fir stands in eastern Quebec because overmature stands are becoming scarce in that region. The study area was located in the Laurentian Mountains north of the city of Québec. The structure and composition of nonvascular plant communities (mosses, hepatica, lichens, and saprophytic fungi) of old-growth forests were compared with those of mature or senescent fir stands harvested 60 years ago. Nonvascular plants have a more uniform structure and a lower diversity in mature than in senescent or old-growth forests. A variety of specialized soil- and wood-inhabiting species and many rare species not observed in mature stands regenerated through clear-cutting are found in the latter. Structural diversity of senescent second-growth fir stands becomes similar to that of old-growth stand because of mortality within the overstory. These structural characteristics favour the development of diversified nonvascular plant communities, especially wood-inhabiting species found on slightly decomposed woody debris and soil-inhabiting species that colonize disturbed soils.[Journal translation]
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8

Gagnier, Marianne, Isabelle Laurion, and Anthony J. DeNicola. "Control and Surveillance Operations to Prevent Chronic Wasting Disease Establishment in Free-Ranging White-Tailed Deer in Québec, Canada." Animals 10, no. 2 (February 12, 2020): 283. http://dx.doi.org/10.3390/ani10020283.

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Abstract:
Chronic wasting disease (CWD), a degenerative and fatal prion disease affecting cervids, was detected for the first time in the province of Québec, Canada, in a red deer (Cervus elaphus) farm in the Laurentides region on 10 September 2018. To assess CWD prevalence and control the disease in the free-ranging white-tailed deer (Odocoileus virginianus) population, a response plan including enhanced surveillance, population control, regulatory measures, and public outreach was deployed by the Ministry of Forests, Wildlife, and Parks (MFFP). In the 401 km2 white-tailed deer control area, a total of 750 free-ranging white-tailed deer were culled over 70 days, from 22 September to 15 December 2018. Of the culled deer, 534 were tested for CWD. We also tested for CWD a total of 447 white-tailed deer hunted from the enhanced surveillance zone and 2584 free-ranging white-tailed deer harvested outside this zone. Regulations were applied to prevent the spread of the disease through movements of infected animals harvested by hunters. Although no case of CWD was detected in free-ranging cervids in Québec in 2018, this does not confirm the absence of the disease in these populations. However, the results suggest that if CWD is present, few free-ranging cervids are infected, making it possible to prevent its establishment in the province of Québec.
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9

Little, Jack I. "LAURIN, Serge, Histoire des Laurentides. Québec, Institut québécois de recherche sur la culture, coll. « Les régions du Québec », n 3, 1989. 892 p." Revue d'histoire de l'Amérique française 44, no. 1 (1990): 112. http://dx.doi.org/10.7202/304870ar.

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10

Manzagol, Claude. "Laurin, Serge (1989) Histoire des Laurentides. Québec, Institut québécois de recherche sur la culture (Coll. « Les régions du Québec », no 3), 892 p." Cahiers de géographie du Québec 34, no. 93 (1990): 408. http://dx.doi.org/10.7202/022153ar.

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Cloutier, Vincent, René Lefebvre, Martine M. Savard, Édith Bourque, and René Therrien. "Hydrogeochemistry and groundwater origin of the Basses-Laurentides sedimentary rock aquifer system, St. Lawrence Lowlands, Québec, Canada." Hydrogeology Journal 14, no. 4 (February 7, 2006): 573–90. http://dx.doi.org/10.1007/s10040-005-0002-3.

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Ritchot, Gilles, and André Cailleux. "Taxonomie, géomorphologie et morphoscopie de sables au Québec méridional." Cahiers de géographie du Québec 15, no. 36 (April 12, 2005): 423–38. http://dx.doi.org/10.7202/020980ar.

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Abstract:
La connaissance préalable de la géomorphologie permet de récolter à bon escient des échantillons de sables, tills, matrice de graviers, arènes de désagrégation. L'étude au microscope binoculaire, par réflexion, des grains de quartz de 0,5 à 1 millimètre, de formations quaternaires ou actuelles du Québec méridional, montre la prédominance des grains non-usés (moyennes : 73 à 95%), normale au voisinage du bouclier et de montagnes ; la présence de grains remaniés façonnés par le vent au Paléozoïque, surtout dans les Appalaches (11%) et les Basses terres (6%), moins abondants dans les Laurentides (2%) ; l'absence presque générale de trace d'usure dans l'eau, sauf dans les sables d'estuaire ou de plages marines (5%) et dans les sables éoliens qui souvent en dérivent (3%) ; enfin la présence de grains façonnés par le vent quaternaire et actuel, surtout dans les sables éoliens (15%) ; dans les autres sortes de dépôts, il y en a bien moins (1 à 2%). Dans le détail, aux îles de la Madeleine et ailleurs, ces résultats sont en très bon accord avec ceux de l'étude géomorphologique. Et la morphoscopie (étude de la forme des grains) apporte ainsi une contribution utile à la géographie physique, dans les cas difficiles en particulier.
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Marshak, Charlie, Marc Simard, and Michael Denbina. "Monitoring Forest Loss in ALOS/PALSAR Time-Series with Superpixels." Remote Sensing 11, no. 5 (March 7, 2019): 556. http://dx.doi.org/10.3390/rs11050556.

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Abstract:
We present a flexible methodology to identify forest loss in synthetic aperture radar (SAR) L-band ALOS/PALSAR images. Instead of single pixel analysis, we generate spatial segments (i.e., superpixels) based on local image statistics to track homogeneous patches of forest across a time-series of ALOS/PALSAR images. Forest loss detection is performed using an ensemble of Support Vector Machines (SVMs) trained on local radar backscatter features derived from superpixels. This method is applied to time-series of ALOS-1 and ALOS-2 radar images over a boreal forest within the Laurentides Wildlife Reserve in Québec, Canada. We evaluate four spatial arrangements including (1) single pixels, (2) square grid cells, (3) superpixels based on segmentation of the radar images, and (4) superpixels derived from ancillary optical Landsat imagery. Detection of forest loss using superpixels outperforms single pixel and regular square grid cell approaches, especially when superpixels are generated from ancillary optical imagery. Results are validated with official Québec forestry data and Hansen et al. forest loss products. Our results indicate that this approach can be applied to monitor forest loss across large study areas using L-band radar instruments such as ALOS/PALSAR, particularly when combined with superpixels generated from ancillary optical data.
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Girard, Audrey, and Jonathan Deschênes. "NousRire : étude de cas d’une entreprise québécoise repensant la marque responsable traditionnelle." Revue Organisations & territoires 29, no. 3 (December 1, 2020): 1–12. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v29n3.1192.

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Abstract:
Fondée en 2015, NousRire est une petite entreprise à but lucratif québécoise qui a pour mission de « rendre accessibles des aliments biologiques non périssables d’excellente qualité, tout en permettant de faire des économies et en créant un impact positif sur la Terre et sur ses habitants »1. L’entreprise offre aux clients de passer leurs commandes en ligne et de venir les récupérer dans des lieux de cueillette précis durant des périodes appelées « journées d’emballage ». Ces aliments sont disponibles en vrac pour minimiser la production de déchets. Plus de 500 bénévoles oeuvrent durant ces périodes afin de distribuer la nourriture dans les contenants des clients, qui emballent eux-mêmes leur commande. NousRire est constituée de 18 « cellules » autogérées ancrées dans diverses régions du Québec, dont l’Estrie, l’Abitibi, les Laurentides et la région de Montréal. L’entreprise fonctionne grâce à l’implication de 2000 bénévoles et d’environ 20 employés.
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Jacob-Racine, Romy, and Claude Lavoie. "Reconstitution historique de l’invasion du Québec par le myriophylle à épis (Myriophyllum spicatum)." Botanique 142, no. 3 (August 28, 2018): 40–46. http://dx.doi.org/10.7202/1050997ar.

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Abstract:
Le myriophylle à épis (Myriophyllum spicatum) est une plante vasculaire exotique envahissante qui colonise les lacs et les rivières de l’Amérique du Nord depuis plusieurs décennies. Nous avons reconstitué la progression historique de son invasion au Québec à l’aide de spécimens d’herbier, de bases de données, de rapports, de journaux et de périodiques. L’aire de répartition de la plante s’est beaucoup étendue depuis son introduction à la fin des années 1950. L’espèce s’est d’abord disséminée le long du fleuve Saint-Laurent. Elle s’est ensuite propagée à l’intérieur des terres à partir des années 1970. En 2017, 14 des 17 régions administratives du Québec comptaient au moins une mention de myriophylle à épis. Cela représentait 132 lacs, 16 rivières et ruisseaux — y compris le fleuve Saint-Laurent et ses lacs fluviaux — et 4 autres plans d’eau, tels que des étangs ou des voies navigables artificielles. À lui seul, le fleuve Saint-Laurent représentait 24 % des 322 mentions. Les régions avec le plus grand nombre de mentions sont celles de la Montérégie, des Laurentides, de l’Estrie et de l’Outaouais. Bien que l’envahissement par le myriophylle à épis semble avoir progressé de manière importante ces dernières années, il est possible que l’augmentation du nombre d’observations soit davantage le reflet d’une préoccupation grandissante des acteurs du territoire par rapport à l’envahisseur que d’une accélération réelle de l’invasion.
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Bédard, Yves, Éric Alain, Yves Leblanc, Marc-André Poulin, and Mathieu Morin. "Conception et suivi des passages à petite faune sous la route 175 dans la réserve faunique des Laurentides." Le Naturaliste canadien 136, no. 2 (May 11, 2012): 66–71. http://dx.doi.org/10.7202/1009109ar.

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Abstract:
Afin d’atténuer la perte de connectivité engendrée par l’élargissement de la route 175 dans la réserve faunique des Laurentides, 36 passages fauniques (dont 33 spécifiques pour la petite faune) ont été construits entre le km 60 et le km 144 à partir de 2006. Ces passages fauniques ont été conçus en considérant le meilleur emplacement possible pour leur implantation, le type de passage et de clôture à y installer et l’aménagement des approches. Quatre types de passage ont été retenus, soit l’aménagement du lit majeur, le passage de type marche, la tablette en porte-à-faux et le tuyau sec en béton armé. Le suivi des passages a débuté en 2009 et a d’abord été effectué à l’aide de tampons encreurs, puis avec des caméras. Durant les 2 années de suivi, 23 espèces de mammifères ont été observées dans les passages. Un inventaire exhaustif des passages est en cours afin de déterminer les caractéristiques qui influencent leur utilisation, dans le but d’optimiser la planification des futurs passages fauniques pour la petite faune ailleurs au Québec.
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Désilets, L., C. Langlois, A. Lamarche, and D. CLuis. "Tendances temporelles de la qualité physico-chimique de l’eau du fleuve Saint-Laurent (Tronçon Cornwall-Quebec) au cours de la période 1955 a 1986." Water Quality Research Journal 23, no. 4 (November 1, 1988): 542–55. http://dx.doi.org/10.2166/wqrj.1988.042.

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Abstract:
Résumé Les principales tendances temporelles de la qualité de l’eau du fleuve Saint-Laurent de Cornwall à Québec ont pu être décelées et caractérisées à l’aide des logiciels statistiques DETECT et DEPASS, basés sur les fonctions double-masse et CUSUM et sur des tests non paramétriques. Les résultats obtenus indiquent que la majorité des changements observés ont eu lieu entre 1969 et 1978. Les tendances se regroupent selon deux masses d’eau, soit celle en provenance des Grands Lacs et celle en provenance des rivières des Laurentides. La conductivité montre des tendances reliées à des facteurs climatiques et hydrologiques. Les tendances à la baisse pour les concentrations de phosphore et à la hausse pour les nitrites et nitrates sont analogues à celles décrites pour les Grands Lacs et seraient attribuables à la réglementation des concentrations en phosphore dans les détersifs et à l’intensification des activités agricoles respectivement. Enfin, les concentrations décroissantes en sulfates et en solides en suspension décelées dans le fleuve sont reliées à la réglementation et à la diminution des rejets des usines de pâtes et papiers et des raffineries.
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Lacroix, Laurier. "La collection comme temps de la Nation." Les Cahiers des dix, no. 62 (September 24, 2009): 123–51. http://dx.doi.org/10.7202/038123ar.

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Abstract:
En 1920, le secrétaire de la province de Québec, Athanase David, met sur pied un jury afin d’acquérir des œuvres d’art en vue de constituer une collection pour un futur musée de la province. Les œuvres sont choisies parmi celles présentées à l’exposition annuelle du printemps de l’Art Association of Montreal et à l’exposition d’automne de l’Académie royale des arts du Canada. Le comité de sélection est formé de représentants de la communauté intellectuelle et artistique de Montréal. Édouard Montpetit, J.-Omer Marchand, Edmond Dyonnet, William Hope et Robert Lindsay constituent un premier groupe auquel se joint le peintre Joseph-Charles Franchère en novembre 1920. Les œuvres de neuf artistes sont sélectionnées qui offrent un éventail de la communauté artistique montréalaise tant francophone qu’anglophone. Ses figures dominantes et ses jeunes membres s’y retrouvent. Les œuvres de William Brymner, Maurice Cullen, Suzor-Coté, J. M. Barnsley côtoient celles d’Albert H. Robinson, Herbert Raine, Alice des Clayes, John Y. Johnstone et Clarence Gagnon. Dix œuvres sont retenues (8 tableaux et 2 estampes) qui offrent un survol de la production contemporaine. La facture des œuvres met de l’avant une esthétique postimpressionniste qui combine une palette claire à des effets proprement picturaux. Les sujets s’inspirent du paysage québécois de plusieurs régions (Côtede-Beaupré, Portneuf, Arthabaska, Laurentides) et de vues de Québec et de Montréal. Il en résulte le portrait d’une pratique variée et moderne. Qui plus est, ces œuvres font référence à une temporalité longue (traces du passé en milieu rural), mais actualisée par la technique et l’intérêt pour des effets atmosphériques qui introduisent le temps présent dans son rythme saisonnier et quotidien. Ainsi, cette première sélection d’œuvres pour la collection nationale offrait un raccourci de la production picturale contemporaine qui tenait compte à la fois des origines du Québec mais aussi de la complexité de sa représentation actuelle.
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Pépino, Marc, Raphaël Proulx, and Pierre Magnan. "Fall synchrony between leaf color change and brook trout spawning in the Laurentides Wildlife Reserve (Québec, Canada) as potential environmental integrators." Ecological Indicators 30 (July 2013): 16–20. http://dx.doi.org/10.1016/j.ecolind.2013.01.036.

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Hébert, Rémi, Claude Samson, and Jean Huot. "Factors Influencing the Abundance of Berry Plants for Black Bears, Ursus americanus, in Quebec." Canadian Field-Naturalist 122, no. 3 (July 1, 2008): 212. http://dx.doi.org/10.22621/cfn.v122i3.601.

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Abstract:
Berries generally represent the primary food source used by Black Bears (Ursus americanus) during summer and sometimes fall. Our study attempted to identify factors influencing the abundance of these critical resources for Black Bears in Quebec. We used data from the ecological inventories of the Ministère de l’Environnement du Québec. Three different study areas were selected, including the Papineau-Labelle Wildlife Reserve (326 sample plots; 24 species), the Laurentides Wildlife Reserve (679 sample plots; 16 species) and the Côte-Nord administrative region (1944 sample plots; 30 species). Each site represented a different bioclimatic domain. Characteristics of the dominant vegetation (density and height), soil texture, and drainage classes (vertical or oblique) were used as analysis factors. In general, height and density of the dominant vegetation had a significant effect on the abundance of berry plants. Berry plants were more abundant in plots where dominant vegetation height and density were low. Soil texture had little effect on the abundance of berry plants, and the influence of drainage varied depending on the region. This study allowed us to determine the optimal sites of berry resources for Black Bears.
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Brigot, Guillaume, Marc Simard, Elise Colin-Koeniguer, and Alexandre Boulch. "Retrieval of Forest Vertical Structure from PolInSAR Data by Machine Learning Using LIDAR-Derived Features." Remote Sensing 11, no. 4 (February 13, 2019): 381. http://dx.doi.org/10.3390/rs11040381.

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Abstract:
This paper presents a machine learning based method to predict the forest structure parameters from L-band polarimetric and interferometric synthetic aperture radar (PolInSAR) data acquired by the airborne UAVSAR system over the Réserve Faunique des Laurentides in Québec, Canada. The main objective of this paper is to show that relevant parameters of the PolInSAR coherence region can be used to invert forest structure indicators computed from the airborne LIDAR sensor Laser Vegetation and Ice Sensor (LVIS). The method relies on the shape of the observed generalized PolInSAR coherence region that is related to the three-dimensional structure of the scene. In addition to parameters describing the coherence shape, we consider the impact of acquisition parameters such as the interferometric baseline, ground elevation and local surface slope. We use the parameters as input a multilayer perceptron model to infer canopy features as estimated from LIDAR waveform. The output features are canopy height, cover and vertical profile class. Canopy height and canopy cover are estimated with a normalized RMSE of 13%, 15% respectively. The vertical profile was divided into 3 distinct classes with 66% accuracy.
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Simard*, Julie, Serge Occhietti, and Francine Robert. "Retrait de l’inlandsis sur les Laurentides au début de l’Holocène : transect de 600 km entre le Saint-Maurice et le Témiscamingue (Québec)." Géographie physique et Quaternaire 57, no. 2-3 (September 22, 2005): 189–204. http://dx.doi.org/10.7202/011313ar.

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Abstract:
Résumé Jusqu’à récemment le mode de déglaciation dans les Laurentides occidentales était mal connu. À l’est, la Moraine Mars-Batiscan constitue la seule position frontale continue identifiée entre la Moraine de Saint-Narcisse et la Moraine de Sakami. Comme la Ceinture morainique de Cartier I, en Ontario, la Moraine Mars-Batiscan est maintenant associée à la fin du Pléistocène. Le territoire à l’étude est un transect, du Saint-Maurice au Témiscamingue, qui fait la jonction entre la Moraine Mars-Batiscan et la Ceinture morainique de Cartier. La cartographie systématique des formes glaciaires du transect à partir de photographies aériennes à l’échelle de 1/15 840, validée sur le terrain, a permis de reconstituer le patron de déglaciation. À l’est du transect, nous observons une inflexion de la marge glaciaire qui redevient relativement linéaire vers l’ouest selon une orientation générale ENE-OSO, avec plusieurs lobes et rentrants mineurs. La topographie est l’élément local qui régit le tracé du front glaciaire. La durée de la déglaciation entre les marges latitudinales du transect est de 600 ans, entre environ 11,46 et 10,86 ka cal. (10 000 et 9580 ans 14C BP). Une légère accélération du retrait glaciaire succède à la phase de la Moraine Mars-Batiscan, suivie de taux de retrait relativement constants. Le tracé des nouveaux isochrones précise celui des modèles antérieurs de déglaciation de la région Mattawa-Témiscamingue, puisqu’il montre un front de déglaciation linéaire et sans rentrant notable dans l’axe de l’Outaouais-Témiscamingue pendant la période étudiée.
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Morin, Hubert. "Importance et évolution des épidémies de la tordeuse des bourgeons de l’épinette dans l’est du Canada : l’apport de la dendrochronologie." Géographie physique et Quaternaire 52, no. 2 (October 2, 2002): 237–44. http://dx.doi.org/10.7202/004856ar.

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Abstract:
Résumé La compilation de toutes les chronologies publiées sur les épidémies de la tordeuse des bourgeons de l'épinette établies à partir de la largeur des cernes de croissance des arbres hôtes a été utilisée pour étudier l'évolution spatiale et temporelle des épidémies survenues au cours du XX e siècle dans l'est de l'Amérique du Nord et particulièrement dans les régions nordiques. L'étude inclue 19 chronologies comprenant 1 257 arbres échantillonnés. Les données sont nombreuses pour certaines régions du Québec mais fragmentaires dans d'autres régions comme l'est et le centre de l'Ontario. On observe un remarquable synchronisme des plus faibles croissances radiales associées à la défoliation entre les différentes régions représentées pour les trois épidémies enregistrées au XX e siècle. La plus faible croissance radiale a été atteinte dans la majorité des régions vers 1914 pour la première épidémie du XX e siècle, entre 1948 et 1952 pour la deuxième et entre 1977 et 1979 pour la troisième. L'analyse des chronologies existantes ne montre pas une expansion des épidémies des régions méridionales vers les régions plus nordiques à moins forte proportion de sapin. Les chronologies du sud du Québec sont synchrones avec celles de la réserve des Laurentides et du nord du Saguenay - Lac Saint-Jean pour les trois épidémies, jusqu'au 50 e parallèle où les populations de sapin sont marginales. Il y a un léger décalage vers l'est pour la première épidémie, dans le Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie. Les résultats des analyses dendrochronologiques présentées appuient l'hypothèse selon laquelle la dynamique des populations de tbe dans les forêts boréales nordiques du domaine de la pessière noire ne serait pas fondée sur un débordement des populations plus méridionales en période d'épidémies graves mais résulterait d'une augmentation relativement synchrone de populations présentes à l'état endémique.
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Lavoie, Martin, and Pierre J. H. Richard. "Paléoécologie de la tourbière du lac Malbaie, dans le massif des Laurentides (Québec) : évaluation du rôle du climat sur l’accumulation de la tourbe." Géographie physique et Quaternaire 54, no. 2 (October 2, 2002): 169–85. http://dx.doi.org/10.7202/004843ar.

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Abstract:
Résumé Des analyses microfossiles (pollen, rhizopodes, charbons de bois) et des macrorestes végétaux ont été réalisées sur trois profils d'une tourbière du massif des Laurentides, au Québec. Les objectifs sont de reconstituer la succession de la végétation locale et les conditions hydrologiques qui ont présidé à l'accumulation de la tourbe en trois points d'échantillonnage, afin d'en inférer certaines conditions du climat, notamment sous l'angle du régime hydrique. Des conditions hydrologiques locales contrastées se sont établies entre les différents secteurs de la tourbière durant son développement. Sauf au cours de l'Holocène supérieur, les analyses paléobotaniques n'ont pas révélé d'influences hydriques claires de nature climatique sur l'accumulation de la tourbe. Le dépôt des premiers sédiments organiques a débuté au sein d'un petit étang vers 10 300 ans BP (années étalonnées) dans un environnement de toundra arbustive, plus de 2000 ans après le retrait régional des glaces. À l'Holocène inférieur, après des conditions climatiques initiales rigoureuses, l'augmentation des températures semble avoir été déterminante sur la productivité végétale et sur la dynamique de l'entourbement. De 8000 jusque vers 3000 ans BP, un ralentissement généralisé du rythme de l'accumulation sédimentaire s'est produit dans l'ensemble de la tourbière. Il est attribué en partie à une décomposition anaérobique par des cyanobactéries fixatrices d'azote. Une importante reprise de l'entourbement vertical est survenue au cours des trois derniers millénaires, sans doute en réponse à l'établissement de conditions climatiques plus fraîches et plus humides.
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Pinel-Alloul, B., N. Bourbonnais, and F. Pick. "Variations spatiotemporelles des compartiments autotrophes et hétérotrophes de la boucle microbienne dans les lacs du sud du Québec." Revue des sciences de l'eau 15, no. 1 (April 12, 2005): 3–25. http://dx.doi.org/10.7202/705432ar.

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Abstract:
Les variations de la biomasse des compartiments autotrophes et hétérotrophes de la boucle microbienne ont été examinées dans neuf lacs de deux régions du sud du Québec. Six lacs étaient situés dans les Laurentides et trois lacs dans les Cantons de l'Est. Ils se différenciaient en fonction de leur statut trophique, de la géologie du bassin versant, et de la physicochimie des eaux. Dans chaque lac, l'échantillonnage a été réalisé à trois profondeurs correspondant aux strates épi-, méta- et hypolimnétiques et à cinq dates au cours de l'été (1990-1992). Les biomasses moyennes de picoplancton autotrophe (PPA : 16-80 µg·C·L-1), de picoplancton hétérotrophe (PPH : 97-647 µg·C·L-1), de nanoplancton autotrophe (NPA : 7-37 µg·C·L-1) et de nanoplancton hétérotrophe (NPH : 9-29 µg·C·L-1) notées dans les lacs du sud du Québec le long d'un gradient trophique de PT variant de 7 à 73 µg·L-1 étaient du même ordre de grandeur que celles rapportées pour d'autres écosystèmes d'eau douce au Canada. La majeure partie de la variation dans les biomasses des compartiments microbiens étaient reliée aux variations inter-lacs mais il existaient aussi des sources de variation significatives au sein des lacs, soit au niveau spatial entre les strates limnétiques ou au niveau temporel entre les dates d'échantillonnage durant l'été. Toutefois, les patrons de variation spatiotemporelle intra-lac variaient d'un lac à l'autre. Les variations inter-lacs de la biomasse des quatre compartiments microbiens ont été mises en relation avec les changements dans les concentrations de phosphore total (PT) et dans les densités de macrozooplancton. Le niveau trophique des lacs, exprimés en PT, et l'abondance du macrozooplancton avaient un effet sur les biomasses des compartiments picoplanctoniques. La biomasse de PPA et PPH décroissait dans les lacs eutrophes des Cantons de l'Est ayant des concentrations de PT supérieures à 20 µg·L-1 et dans les lacs ayant de fortes densités de macrozooplancton ou un faible rapport micro-macrozooplancton. Notre étude n'a pas mis clairement en évidence les effets du niveau trophique ou du macrozoopancton sur les compartiments nanoplanctoniques (NPA, NPH).
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Bouffard, Mélanie, Yves Leblanc, Yves Bédard, and Donald Martel. "Impacts de clôtures métalliques et de passages fauniques sur la sécurité routière et le déplacement des orignaux le long de la route 175 au Québec." Projets entourant la route 175 136, no. 2 (May 11, 2012): 8–15. http://dx.doi.org/10.7202/1009100ar.

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Abstract:
Les collisions de véhicules avec les orignaux, un phénomène qui représente une préoccupation majeure pour la sécurité routière, sont en augmentation depuis plusieurs années au Québec. Par exemple, plus de 50 collisions ont été répertoriées annuellement sur la route 175, un tronçon routier en réfection qui traverse la réserve faunique des Laurentides et qui est récemment passé de 2 à 4 voies. À échéance, 67 km de cette route auront été clôturés pour réduire les collisions impliquant l’orignal. Nos travaux visaient à documenter les impacts des clôtures métalliques hautes (2,4 m) et des structures connexes (passages fauniques, sorties d’urgence pour orignal, passages routiers anti-cervidés, etc.) qu’on y a installées sur la sécurité routière et le déplacement de l’orignal. Après 5 années de suivi, les occurrences d’orignaux à l’intérieur de l’emprise clôturée ont diminué de plus de 95 %, réduisant la fréquence annuelle des collisions avec des véhicules de 7,5 collisions (en 2006 et 2007) à aucune (en 2008 et 2009) dans la zone clôturée. En parallèle, la fréquentation des passages fauniques sous la route par les orignaux s’est accrue de 48 % entre 2009 et 2010 (de 189 à 279 passages documentés). Bien que les clôtures métalliques hautes se soient avérées très efficaces pour limiter les déplacements d’orignaux sur la chaussée et réduire les risques de collisions, la croissance des populations et la modification des patrons de déplacement de l’orignal semblent avoir engendré de nouvelles zones à risque le long de la route réaménagée.
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Cloutier, Conrad, Jean-Marie Perron, and Christine Jean. "Extraits de l'évolution de l'entomologie appliquée au Québec : emphase sur la phytoprotection." Phytoprotection 89, no. 2-3 (November 20, 2009): 79–97. http://dx.doi.org/10.7202/038236ar.

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Abstract:
Le développement de l’entomologie au Québec comme science naturelle a commencé avec des naturalistes érudits comme William Couper, Léon Provancher et Henry Lyman qui ont observé abondamment et décrit l’entomofaune du Québec, fondé des sociétés professionnelles et rédigé les premiers ouvrages scientifiques sur les insectes du Québec. Au début du XXe siècle, l’importance économique des plantes agricoles et des essences de coupes forestières a atteint un niveau favorisant la naissance de l’entomologie appliquée. Son développement initial est marqué par la fondation de la SPPQ, la création du premier programme d’études supérieures en entomologie, ainsi que le recrutement d’entomologistes professionnels dans les institutions publiques de protection des plantes contre les ravageurs. Les entomologistes en chef James Fletcher au gouvernement fédéral et Victor Huard au gouvernement provincial, ainsi que les professeurs William Lochhead du Collège Macdonald et Georges Maheux de l’École forestière de l’Université Laval, sont des figures remarquables de cette époque. Les entomologistes publient abondamment sur le cycle de vie des insectes nuisibles, sur les dommages causés et sur les moyens de lutte efficaces avec des insecticides encore primitifs et dangereux. Pendant plusieurs décennies, Ernest-Melville DuPorte se trouve au Collège Macdonald au centre des études supérieures et de la recherche en entomologie au Québec. Après la Seconde Guerre mondiale, la demande en denrées alimentaires et en fibre ligneuse croît à un rythme sans précédent, de même que la lutte aux ravageurs, à l’ère nouvelle des produits chimiques de synthèse, notamment des insecticides comme le DDT. En agriculture, les entomologistes actifs en phytoprotection se regroupent au laboratoire de recherche de Saint-Jean-sur-Richelieu et au Service de la protection des cultures du MAPAQ, ainsi que dans leurs stations de recherche de terrain. La recherche en entomologie forestière se développe à Québec autour du laboratoire fédéral des Laurentides et à la Faculté d’arpentage et de génie forestier (aujourd’hui la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique) de l’Université Laval. Sous la pression de l’industrie forestière, les arrosages aériens aux insecticides deviennent systématiques et sont surtout régis par l’abondance cyclique de la tordeuse des bourgeons de l’épinette. À la fin des années 1960, l’entomologie appliquée prend lentement un virage écologique, ouvert au contrôle naturel des ravageurs et aux idées de la résistance des plantes et de la stimulation de l’impact des agents biologiques de répression. La recherche et la formation aux études supérieures en entomologie connaissent un essor marqué dans les centres universitaires établis et nouvellement créés. La fin du XXe siècle est marquée par l’arrivée des plantes transgéniques résistantes aux ravageurs et les conséquences prévisibles du réchauffement climatique sur l’abondance et la diversité des ravageurs. L’entomologie comme activité scientifique professionnelle s’est enrichie de l’arrivée de nombreuses femmes dans les centres de recherche et les universités, bien qu’affectée par le ralentissement du recrutement d’entomologistes professionnels dans les services publics et les universités et l’incertitude des conditions économiques futures.
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Prichonnet, Gilbert. "La déglaciation de la vallée du Saint-Laurent et l’invasion marine contemporaine." Dynamique et paléogéographie de l’inlandsis laurentidien 31, no. 3-4 (January 17, 2011): 323–45. http://dx.doi.org/10.7202/1000281ar.

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Abstract:
La région étudiée couvre 20 000 km2, de la frontière des États-Unis jusqu’aux hauteurs des Laurentides, et de l’Ontario aux reliefs appalachiens. Le glacier du Wisconsinien supérieur se retira de la région entre 13 000 et 10 500 ans BP. La mer de Champlain a envahi les zones déprimées, au front du glacier en recul, s’étendant depuis Québec vers le SO à partir de 12 500 ans BP, puis s’élargissant vers le N. De nouvelles données nous permettent d’admettre sa présence au centre des basses terres jusqu’aux environs de 9500 ans BP. Pour la déglaciation, deux thèmes ont été approfondis : les mouvements successifs du glacier et les constructions glaciaires et proglaciaires. Dans les basses terres, des mouvements tardifs vers le SO sont en relation avec des lacs proglaciaires méridionaux : l’interprétation du réajustement isostatique et de l’invasion marine doivent tenir compte de leur présence. Les constructions morainiques mineures suggèrent un retrait glaciaire rapide. Des fossiles marins ont été incorporés aux tills en coulées : ce sédiment n'est pas mis en place lors de réavancées glaciaires. Dans le «complexe morainique» de (Saint-Faustin-) Saint-Narcisse, les poussées sont de faible importance. Sédimentologie et morphométrie des accumulations littorales permettent de réévaluer le niveau marin maximum : au nord, dans les fjords, les constructions littorales, régressives et non fluvioglaciaires, marquent un niveau de l’ordre de 251 m; au centre, données de terrain et eustatiques semblent indiquer un niveau au moins égal à 228 m; au sud, 190 lignes de rivage ont été identifiées : la mer y a sans doute atteint 222 m.
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Talon, Brigitte, Serge Payette, Louise Filion, and Ann Delwaide. "Reconstruction of the long-term fire history of an old-growth deciduous forest in Southern Québec, Canada, from charred wood in mineral soils." Quaternary Research 64, no. 1 (July 2005): 36–43. http://dx.doi.org/10.1016/j.yqres.2005.03.003.

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Abstract:
AbstractCharcoal particles are widespread in terrestrial and lake environments of the northern temperate and boreal biomes where they are used to reconstruct past fire events and regimes. In this study, we used botanically identified and radiocarbon-dated charcoal macrofossils in mineral soils as a paleoecological tool to reconstruct past fire activity at the stand scale. Charcoal macrofossils buried in podzolic soils by tree uprooting were analyzed to reconstruct the long-term fire history of an old-growth deciduous forest in southern Québec. Charcoal fragments were sampled from the uppermost mineral soil horizons and identified based on anatomical characters. Spruce (Picea spp.) fragments dominated the charcoal assemblage, along with relatively abundant wood fragments of sugar maple (Acer saccharum) and birch (Betula spp.), and rare fragments of pine (Pinus cf. strobus) and white cedar (Thuja canadensis). AMS radiocarbon dates from 16 charcoal fragments indicated that forest fires were widespread during the early Holocene, whereas no fires were recorded from the mid-Holocene to present. The paucity of charcoal data during this period, however, does not preclude that a fire event of lower severity may have occurred. At least eight forest fires occurred at the study site between 10,400 and 6300 cal yr B.P., with a dominance of burned conifer trees between 10,400 and 9000 cal yr B.P. and burned conifer and deciduous trees between 9000 and 6300 cal yr B.P. Based on the charcoal record, the climate at the study site was relatively dry during the early Holocene, and more humid from 6300 cal yr B.P. to present. However, it is also possible that the predominance of conifer trees in the charcoal record between 10,400 and 6300 cal yr B.P. created propitious conditions for fire spreading. The charcoal record supports inferences based on pollen influx data (Labelle, C., Richard, P.J.H. 1981. Végétation tardiglaciaire et postglaciaire au sud-est du Parc des Laurentides, Québec. Géographie Physique et Quaternaire 35, 345-359) of the early arrival of spruce and sugar maple in the study area shortly after deglaciation. We conclude that macroscopic charcoal analysis of mineral soils subjected to disturbance by tree uprooting may be a useful paleoecological tool to reconstruct long-term forest fire history at the stand scale.
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Comeau, Robert. "La Société généalogique canadienne-française et Les Archives nationales du Québec (de Montréal, de Laval, de Lanaudière, des Laurentides et de la Montérégie). Montréal, ses gouverneurs, ses maires: 1642-1992 généalogie et histoire, Montréal, 1992, non paginé." Bulletin d'histoire politique 1, no. 1 (1992): 21. http://dx.doi.org/10.7202/1063766ar.

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Clibbon, Peter B. "Changing Land Use in Terrebonne County, Québec." Cahiers de géographie du Québec 8, no. 15 (April 12, 2005): 5–39. http://dx.doi.org/10.7202/020460ar.

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Abstract:
Le comté de Terrebonne, situé directement au nord-ouest de la ville de Montréal, enjambe la zone de contact entre les basses terres du Saint-Laurent et le plateau accidenté des Laurentides. Dans la zone des basses terres s'étendent de vastes superficies de sols argileux fertiles dont la plus grande partie fut colonisée pour des fins agricoles dès le début du XIXe siècle. La terre arable de qualité est beaucoup plus rare sur les hautes terres du plateau. Seules les grandes vallées fluviales, particulièrement celles des rivières du Nord et du Diable, en rassemblent des étendues de quelque importance. Ces sols fertiles de vallée furent défrichés et convertis à l'agriculture tout au début de l'occupation du territoire. Quant aux parties du plateau offrant le moins d'intérêt, parce que dotées d'un relief assez rude, de sols sablonneux et d'une courte saison de croissance, elles firent également l'objet, durant la deuxième moitié du XIXe siècle, d'une colonisation vigoureuse sous l'impulsion de l'Eglise et de l'Etat. Les terres défrichées, généralement tout au plus propres à la culture de foin de médiocre qualité et au pâturage des moutons, furent progressivement abandonnées : vers la fin des années 30, la plus grande partie de ces terres étaient en voie d'être réoccupées par la forêt. Durant le dernier demi-siècle, et surtout depuis les années de la seconde guerre mondiale, le comté de Terrebonne s'est considérablement urbanisé. Alors que le plateau s'équipe rapidement de facilités pour la pratique des sports d'été et d'hiver et transforme son habitat villageois en des centres de services pour le tourisme, dans la plaine ont surgi, le long de la rivière des Milles Isles, de nombreuses « villes-dortoirs » où s'écoule le trop-plein de la main-d'oeuvre montréalaise. Ces changements ont transformé l'agriculture du comté : les superficies de terres cultivées ont diminué de 60% depuis 1921 dans l'ensemble du comté tandis que l'exploitation agricole est presque complètement disparue des Laurentides depuis la même époque.
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Richard, Pierre. "Végétation tardiglaciaire au Québec méridional et implications paléoclimatiques." Géographie physique et Quaternaire 31, no. 1-2 (December 9, 2010): 161–76. http://dx.doi.org/10.7202/1000062ar.

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Abstract:
Recent pollen-analytical data allow a detailed reconstruction of the initial vegetation which followed the final retreat of the Wisconsinan ice sheet. The general scheme is the following. A period of periglacial desert was replaced more or less rapidly by tundra vegetation. Afforestation of the landscape proceeded either through a taïga phase, represented by a lichen — black spruce woodland, or by the establishment of an aspen parkland. Several postglacial vegetation types followed. The paleoclimatic interpretation of the data indicates severe climatic conditions around 11 400 BP at Mount Shefford, and around 7200 BP in the southern part of Laurentides Provincial Park. It has not yet been possible to show evidence for a climatic oscillation during the late-Glacial of Quebec, which appears very metachroneous. This metachroneity seems to be caused by the differences in altitude of the main physiographic regions and does not seem to correspond to the metachroneity in the ice retreat of the Wisconsinan ice sheet, view, there is now a firm basis to the statement that vegetation similar to the present-day tundra occupied a broad area in front of the ice sheet. Future research should define the duration and extension of the tundra on one hand, and on the other hand increase knowledge of its paleoclimatic significance.
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Chew, David M., and Cees R. Van Staal. "The Ocean – Continent Transition Zones Along the Appalachian – Caledonian Margin of Laurentia: Examples of Large-Scale Hyperextension During the Opening of the Iapetus Ocean." Geoscience Canada 41, no. 2 (May 7, 2014): 165. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2014.41.040.

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Abstract:
A combination of deep seismic imaging and drilling has demonstrated that the ocean-continent transition (OCT) of present-day, magma-poor, rifted continental margins is a zone of hyperextension characterized by extreme thinning of the continental crust that exhumed the lowermost crust and/or serpentinized continental mantle onto the seafloor. The OCT on present-day margins is difficult to sample, and so much of our knowledge on the detailed nature of OCT sequences comes from obducted, magma-poor OCT ophiolites such as those preserved in the upper portions of the Alpine fold-and-thrust belt. Allochthonous, lens-shaped bodies of ultramafic rock are common in many other ancient orogenic belts, such as the Caledonian – Appalachian orogen, yet their origin and tectonic significance remains uncertain. We summarize the occurrences of potential ancient OCTs within this orogen, commencing with Laurentian margin sequences where an OCT has previously been inferred (the Dalradian Supergroup of Scotland and Ireland and the Birchy Complex of Newfoundland). We then speculate on the origin of isolated occurrences of Alpine-type peridotite within Laurentian margin sequences in Quebec – Vermont and Virginia – North Carolina, focusing on rift-related units of Late Neoproterozoic age (so as to eliminate a Taconic ophiolite origin). A combination of poor exposure and pervasive Taconic deformation means that origin and emplacement of many ultramafic bodies in the Appalachians will remain uncertain. Nevertheless, the common occurrence of OCT-like rocks along the whole length of the Appalachian – Caledonian margin of Laurentia suggests that the opening of the Iapetus Ocean may have been accompanied by hyperextension and the formation of magma-poor margins along many segments.SOMMAIREDes travaux d’imagerie sismique et des forages profonds ont montré que la transition océan-continent (OCT) de marges continentales de divergence pauvre en magma exposée de nos jours, correspond à une zone d’hyper-étirement tectonique caractérisée par un amincissement extrême de la croûte continentale, qui a exhumé sur le fond marin, jusqu’à la tranche la plus profonde de la croûte continentale, voire du manteau continental serpentinisé. Parce qu’on peut difficilement échantillonner l’OCT sur les marges actuelles, une grande partie de notre compréhension des détails de la nature de l’OCT provient d’ophiolites pauvres en magma d’une OCT obduite, comme celles préservées dans les portions supérieures de la bande plissée alpine. Des masses lenticulaires de roches ultramafiques allochtones sont communes dans de nombreuses autres bandes orogéniques anciennes, comme l’orogène Calédonienne-Appalaches, mais leur origine et signification tectonique reste incertaine. Nous présentons un sommaire des occurrences d’OCT potentielles anciennes de cet orogène, en commençant par des séquences de la marge laurentienne, où la présence d’OCT a déjà été déduites (le Supergroupe Dalradien d’Écosse et d'Irlande, et le complexe de Birchy de Terre-Neuve). Nous spéculons ensuite sur l'origine de cas isolés de péridotite de type alpin dans des séquences de marge des Laurentides du Québec-Vermont et de la Virginie-Caroline du Nord, en nous concentrant sur les unités de rift d'âge néoprotérozoïque tardif (pour éviter les ophiolites du Taconique). La conjonction d’affleurements de piètre qualité et de la déformation taconique omniprésente, signifie que l'origine et la mise en place de nombreuses masses ultramafiques dans les Appalaches demeureront incertaines. Néanmoins, la présence fréquente de roches de type OCT tout le long de la marge Calédonnienne-Appalaches de Laurentia suggère que l'ouverture de l'océan Iapetus peut avoir été accompagnée d’hyper-étirement et de la formation de marges pauvres en magma le long de nombreux segments.
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Bernier, François, and Serge Occhietti. "Le complexe glaciaire du Cap Charles, vallée moyenne du Saint-Laurent, Québec." Géographie physique et Quaternaire 44, no. 2 (December 18, 2007): 173–80. http://dx.doi.org/10.7202/032816ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le complexe du Cap Charles est emboîté dans les rythmites de Leclercville, sur la rive sud du Saint-Laurent, en aval de Deschaillons. Il est composé d'une lithozone inférieure de till de fond (diamicton I) dont la base incorpore les argiles des rythmites de Leclercville et dont la fabrique indique un écoulement glaciaire vers le SE. Au-dessus, une lithozone de sables turbiditiques, puis deux zones de till flué (diamictons II et III), séparées par une zone d'argile stratifiée, représentent une sédimentation de marge glaciaire en milieu lacustre. Le sommet est une surface d'érosion. Les turbidites de Parisville à lits diamictiques couvrent le complexe du Cap Charles et précèdent le Till de Gentilly. Faute de repères, la position stratigraphique du complexe du Cap Charles est incertaine. Il représente soit des phases préliminaires à l'englaciation majeure représentée par le Till de Gentilly, postérieures à l'Intervalle de Saint-Pierre, soit des phases associées aux tills immédiatement antérieurs à l'Intervalle de Saint-Pierre. Il a été mis en place par des glaces allochtones venant des Laurentides puis par fluages, vraisemblablement à la périphérie d'un lobe. Le complexe du Cap Charles révèle que l'histoire glaciaire de la vallée du Saint-Laurent est complexe et reste encore peu connue.
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Degeai, Jean-Philippe, and Jean-Pierre Peulvast. "Calcul de l’érosion à long terme en région de socle autour de grands astroblèmes du Québec et de France." 60, no. 2 (December 10, 2007): 131–48. http://dx.doi.org/10.7202/016825ar.

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Abstract:
Résumé Une nouvelle méthode de calcul de l’érosion à long terme est proposée à partir des caractéristiques morphométriques des cratères d’impact complexes. Cette méthode permet d’estimer l’épaisseur de la tranche de substrat érodé autour d’un astroblème, forme dégradée d’un cratère d’impact. Pour cela, la morphométrie initiale du cratère est reconstituée afin d’estimer l’altitude de la topographie pré-impactique. Deux paramètres morphométriques sont retenus : le diamètre de la structure d’impact et sa profondeur réelle, c’est-à-dire la distance entre la topographie pré-impactique et la base des brèches d’impact polymictiques. Une relation entre ces deux paramètres a été déterminée à partir d’une base de données portant sur 31 cratères d’impact complexes terrestres bien conservés. Cette méthode est appliquée à quatre grands astroblèmes, d’âge dévonien à triasique, situés au Québec (Charlevoix, Manicouagan, lac à l’Eau Claire est) et dans l’ouest du Massif central français (Rochechouart). Les tranches de substrat érodé autour de ces astroblèmes depuis leur formation sont estimées entre 100 et 2 000 m d’épaisseur. Les taux moyens d’érosion post-impactique sont relativement faibles, avec des valeurs comprises entre 1 et 10 m/Ma. Au Québec, l’érosion à long terme au cours des temps phanérozoïques semble avoir été 2 à 4 fois plus forte sur la bordure du Bouclier canadien (Laurentides) qu’à l’intérieur (Labrador).
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