Academic literature on the topic 'Légumineuses – Fléaux – Lutte contre'

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Journal articles on the topic "Légumineuses – Fléaux – Lutte contre"

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Tétreault, Martin. "Immigration et santé publique : Lowell, Massachusetts, 1865‑1890." Historical Papers 20, no. 1 (April 26, 2006): 29–44. http://dx.doi.org/10.7202/030931ar.

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Abstract:
Résumé Le XIX' siècle nord-américain a connu plusieurs maladies à caractère épidémique au nombre desquelles il faut compter la variole. Cette dernière maladie, à cause de son taux élevé de létalilé et la célérité avec laquelle elle se propage, soulève la crainte parmi les populations. Les villes industrielles de la Nouvelle-Angleterre devront de toute nécessité organiser la lutte contre ces fléaux. Nous étudions spécialement le cas d'une ville du Massachusetts: Lowell entre 1865 et 1890. Cette dernière ville a dû faire face à la menace permanente d'apparition de la variole en raison du fait qu'elle était le point de destination de nombreux immigrants canadiens en provenance de régions où sévissait la variole à Vétat endémique. À Montréal en 1885, la variole prend soudainement les proportions d'une épidémie. Comme cette ville est reliée au nord-est américain par le réseau ferroviaire, le New Hampshire, l'état le plus immédiatement menacé, organisera conjointement avec le U.S. Marine Hospital Service, la protection des états de la Nouvelle-Angleterre.
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Gros, Damien. "La lutte législative contre les fléaux sociaux, la politique, la finance et la morale. les lois relatives à l’alcool votées par l’assemblée nationale de 1871." Droits 45, no. 1 (2007): 255. http://dx.doi.org/10.3917/droit.045.0255.

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Hermida, Lucía, José Luis Sánchez, Laura López, Claude Berthet, Jean Dessens, Eduardo García-Ortega, and Andrés Merino. "Climatic Trends in Hail Precipitation in France: Spatial, Altitudinal, and Temporal Variability." Scientific World Journal 2013 (2013): 1–10. http://dx.doi.org/10.1155/2013/494971.

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Abstract:
Hail precipitation is characterized by enhanced spatial and temporal variability. Association Nationale d’Etude et de Lutte contre les Fléaux Atmosphériques (ANELFA) installed hailpad networks in the Atlantic and Midi-Pyrénées regions of France. Historical data of hail variables from 1990 to 2010 were used to characterize variability. A total of 443 stations with continuous records were chosen to obtain a first approximation of areas most affected by hail. The Cressman method was selected for this purpose. It was possible to find relationships between spatial distributions of the variables, which are supported by obtained Pearson correlations. Monthly and annual trends were examined using the Mann-Kendall test for each of the total affected hailpads. There were 154 pads with a positive trend; most were located between Tarbes and Saint-Gaudens. We found 177 pads with a negative trend, which were largely south of a pine forest in Landes. The remainder of the study area showed an elevated spatial variability with no pattern, even between relatively close hailpads. A similar pattern was found in Lérida (Spain) and Southeast France. In the entire area, monthly trends were predominantly negative in June, July, and August, whereas May had a positive trend; again, however, there was no spatial pattern. There was a high concentration of hailpads with positive trend near the Pyrenees, probably owing to orographic effects, and if we apply cluster analysis with the Mann-Kendall values, the spatial variability is accentuated for stations at higher altitude.
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Cissokho, PS, MT Gueye, EH Sow, and K. Diarra. "Substances inertes et plantes à effet insecticide utilisées dans la lutte contre les insectes ravageurs des céréales et légumineuses au Sénégal et en Afrique de l’Ouest." International Journal of Biological and Chemical Sciences 9, no. 3 (September 9, 2015): 1644. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v9i3.43.

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FARRUGGIA, A., B. MARTIN, R. BAUMONT, S. PRACHE, M. DOREAU, H. HOSTE, and D. DURAND. "Quels intérêts de la diversité floristique des prairies permanentes pour les ruminants et les produits animaux ?" INRAE Productions Animales 21, no. 2 (June 23, 2008): 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.2.3391.

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Abstract:
Les prairies permanentes occupent environ un tiers de la surface agricole utile et présentent un grand potentiel de diversité biologique. L’élevage a de ce fait un rôle majeur à jouer dans la préservation de la biodiversité sur le territoire français. L’objectif de cette synthèse est d’aborder la question de la diversité floristique des prairies et de l’élevage en s’interrogeant sur l’intérêt de cette diversité construite par les éleveurs, pour les ruminants et les produits animaux. Une seule composante de la diversité biologique des prairies est prise en compte : la diversité floristique. Il est réalisé dans cette synthèse un état des connaissances pluridisciplinaires des effets de cette diversité sur la valeur nutritive des fourrages, l’ingestion des animaux, les caractéristiques sensorielles et nutritionnelles des produits laitiers et carnés, enfin sur deux aspects de la santé animale, la lutte contre les infestations par les strongles digestifs et la prévention des processus de peroxydation. Dans chacune des thématiques abordées, des effets liés à la composition botanique des prairies ont été mis en évidence, mais sans qu’il puisse être toujours fait la part entre les effets liés à la présence d’un grand nombre d’espèces dans la parcelle, les effets liés à la présence de certaines espèces et les effets liés au stade phénologique. Le rôle probable important des dicotylédones et notamment des légumineuses a été souligné à plusieurs reprises, en particulier du fait de leur plus grande teneur en métabolites secondaires que les graminées. Enfin, l’intérêt de fournir aux animaux des sources d’alimentation diversifiées a également été évoqué en particulier sur les aspects liés à l’ingestion et à la santé animale.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Abstract:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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Akanvou, L., R. Akanvou, and K. Toto. "Effets des variétés de maïs et de légumineuses dans la lutte contre Striga hermontica en zone de savane en Côte d\'Ivoire." Agronomie Africaine 18, no. 1 (February 25, 2009). http://dx.doi.org/10.4314/aga.v18i1.1675.

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Dissertations / Theses on the topic "Légumineuses – Fléaux – Lutte contre"

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Hamraoui, Abdelaziz. "Adaptation d'Acanthoscelides obtectus say (coléoptère-bruchidae) bruche du haricot (phaseolus vulgaris L. ) à des légumineuses originellement non hôtes et protection végétale induite par des plantes et extraits aromatiques et leurs dérivés allèlochimiques." Pau, 1993. http://www.theses.fr/1993PAUU3013.

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Abstract:
Concernant le domaine des relations plantes-insectes, ce travail montre qu'Acanthoscelides obtectus say, coléoptère, bruchidae, est un insecte phytophage ravageur bien adapté à sa plante-hôte, Phaseolus vulgaris L. , même s'il peut aisément se reproduire sur d'autres espèces de légumineuses d'intérêt alimentaire pour les pays en développement, comme le Niebe (vigna unguiculata) et la fève (vicia faba). Des plantes et extraits aromatiques de la flore tempérée, appartenant en particulier a la faille des labiées, et leurs molécules allèlochimiques exercent un effet protecteur, résultat d'un effet létal sur les insectes adultes et d'une inhibition de la reproduction (diminution de la ponte, effets ovicides et larvicides) limitant le renouvellement des générations. L'activité des huiles essentielles et de leurs composés majoritaires monoterpénoïques déterminés par chromatographie en phase gazeuse est mise en evidence ainsi que celles des composes allelochimiques de nature polyphénolique qui perturbent la physiologie de l'insecte. Ainsi les plantes aromatiques possèdent en leur sein un véritable arsenal moléculaire de défense contre cet insecte et peuvent révéler ainsi un caractère protecteur pour les graines de légumineuses.
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Caron, Daniel. "Épidémiologie de la rouille brune du blé (Puccinia recondita f. Sp. Tritici) dans le Sud-Ouest de la France." Toulouse, INPT, 1993. http://www.theses.fr/1993INPT011A.

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Abstract:
La rouille brune due a puccinia recondita f. Sp. Tritici est une tres grave maladie du ble dans le sud-ouest de la france. Sa biologie a ete analysee pour comprendre l'origine des variations dans la dynamique des epidemies. Apres avoir detaille le fonctionnement de la lutte phytosanitaire, nous avons etudie la maladie en conditions naturelles pour decrire ses differentes phases. Nous avons observe le pathogene sur les repousses a la fin de l'ete, au cours de l'automne et en hiver. Les contaminations primaires ont ete detectees des la levee des bles en automne. La maladie a ete mise en evidence durant l'hiver sur les cultures. Nous avons rencontre au printemps un hyperparasite (sphaerellopsis filum) qui peut occasionnellement modifier l'evolution de la maladie. A partir de la montaison des bles, il se distingue deux phases d'evolution successives. La premiere prepare l'epidemie. Quelques uredosores y sont visibles avec un niveau d'attaque tres faible. Elle peut durer de quelques jours a quelques semaines. La seconde est l'expansion epidemique rapide conduisant a de graves baisses de rendement. L'epoque de declenchement de cette phase presente une tres forte variation locale, regionale et annuelle. Le demarrage de l'explosion epidemique a ete correle avec les humidites relatives elevees (duree et moyenne) et la temperature moyenne. Nous avons utilise ces equations comme elements previsionnels et decisionnels pour le premier traitement fongicide
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Jourand, Philippe. "Les légumineuses du genre "Crotalaria" : symbiose fixatrice d'azote et activités biologiques contre les nématodes phytoparasites." Montpellier 2, 2003. http://www.theses.fr/2003MON20127.

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Okeke, Boniface. "Recherche de substances antifongiques d'origine fongique à usage agricole : contribution à la lutte contre les phytopathogènes du riz (Orysa sativa)." Université Joseph Fourier (Grenoble), 1993. http://www.theses.fr/1993GRE18012.

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Demeule, Elizabeth. "Effet répressif de Bacillus subtilis et de Bacillus pumilus envers Rhizoctonia solani sur tomate et concombre de serre." Master's thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/66758.

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Abstract:
Les agents phytopathogènes telluriques constituent un problème majeur touchant les productions serricoles de concombre (Cucumis sativus L.) et de tomate (Solanum lycopersicum L.). Les traitements biologiques efficaces sont limités pour lutter contre ces agents pathogènes. Cette étude avait pour objectifs d’évaluer (1) l’effet antagoniste in vitro de Bacillus pumilus Meyer et Gottheil souche PTB180 et Bacillus subtilis (Ehrenberg) Cohn souche PTB185 envers Rhizoctonia solani J.G. Kühn, Pythium ultimum Trow, Sclerotinia sclerotiorum (Lib.) de Bary, Phytophthora capsici Leonian, Fusarium oxysporum Schltdl. et F. oxysporum f.sp. radicis-lycopersici Jarvis & Shoemaker, (2) l’effet répresseur d’une application préventive des bactéries sur la pourriture du collet et la fonte des semis causées par R. solani, sur concombre ou tomate en serre et (3) l’effet des bactéries sur la croissance et la productivité des plants de tomate cultivés en serre. Lors des essais in vitro, PTB180 et PTB185, utilisés seuls et en mélange (1:1), ont fortement inhibé la croissance mycélienne des six agents phytopathogènes. Sur plantules de concombre et de tomate, le mélange (1:1) des deux souches a permis une réduction significative (p<0,05) de la sévérité des symptômes de la pourriture du collet. PTB185 et le mélange (1:1) des deux souches ont augmenté significativement la hauteur et la masse sèche des plants infectés par R. solani. Les essais sur graines de tomate montrent que PTB180 a augmenté significativement le taux de levée des graines et que PTB185 a réduit significativement la mortalité post-levée tout en favorisant la croissance des plantules. Les tests réalisés sur plants de tomate sains n’ont pas montré d’effet significatif de PTB180 et PTB185 sur la croissance et la productivité des plants. Les bactéries à l’étude pourraient éventuellement représenter une alternative aux fongicides de synthèse pour lutter contre les agents phytopathogènes.
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Leroy, Valentin. "Décontamination des grains de blé et d'orge par traitements aux ultrasons." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27917.

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Abstract:
La production céréalière, plus particulièrement le blé et l'orge, subit des pertes importantes de rendement occasionnées par la fonte des semis et les pourritures racinaires. Deux champignons sont majoritairement responsables de ces maladies chez le blé et l'orge : Fusarium graminearum et Bipolaris sorokiniana. L'utilisation des ultrasons comme une alternative « verte » aux fongicides pourrait permettre une culture biologique et minimiser les pertes économiques. L'objectif principal de ce projet consistait à établir les paramètres optimaux (puissance des ultrasons, présence d'éthanol, débit d'oxygène et temps de traitement) afin de réduire la contamination par B. sorokiniana des grains de blé et d'orge sous un seuil de 30 % tout en conservant la germination supérieure au seuil de 85 %. L'ensemble du projet de recherche exploratoire a permis de vérifier l'efficacité de traitements novateurs pour le blé contaminé. Le traitement de ces lots de grains sous forme sèche a révélé un maintien de la germination pour tous les types de traitement (ultrasons 30 W, oxygène en bullage dans l'éthanol et les deux techniques combinées) ainsi qu'une réduction significative du taux de contamination par B. sorokiniana (en moyenne en dessous de 15 %). Pour l'orge, ces traitements semblables ont permis le maintien de la germination ainsi qu'une faible diminution de la contamination par B. sorokiniana. Cette nuance peut être expliquée par la morphologie différente des deux grains. Une réelle avancée dans le domaine du traitement des grains sous forme sèche peut être mise en évidence pour sa rapidité de traitement. Il restera à vérifier l'efficacité du traitement sur d'autres lots et sur des quantités plus importantes pour vérifier la mise à l'échelle du dispositif (supérieure à 100 g). Pour l'avenir, une étude se basant sur le microcalorimétrie sera préconisée pour étudier les prémisses de la germination des grains traités.
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Munsch, Patricia. "Lutte biologique contre la tache bactérienne du champignon de Paris au moyen de bactériophages : Spécificité et efficacité du bactériophage TO.1." Pau, 1994. http://www.theses.fr/1994PAUU3008.

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Abstract:
Des bactériophages lytiques ont été isolés dans le but de contrôler les populations pathogènes de Pseudomonas tolaasii, responsable de la tache bactérienne du champignon de paris, principal désordre phytosanitaire en champignonnière. Sur la base de caractéristiques biochimiques, de résultats de sensibilité/résistance aux antibiotiques, la population pathogène peut être considérée comme homogène. Cependant, des tests biologiques sur l'hôte ont montré divers degrés d'agressivité. Les résultats d'amplification par PCR au moyen des amorces ERIC et REP révèlent la présence de bandes majeures communes, mais les bandes mineures sont discriminantes à l'échelle de la souche. L'étude des interactions entre la population de bactériophages, composée de TO. 1 à TO. 16, confrontée à des bactéries saprophytes ou pathogènes, appartenant à différents genres et espèces, montre une spécificité étroite. La lysotypie des souches de Pseudomonas tolaasii (des formes pathogènes et variants non pathogènes) a mis une résistance en évidence : les résultats d'induction au moyen des UV et de la mitomycine C suggèrent que dans un cas au moins la résistance est liée à un phénomène de lysogénie. Les bactériophages TO. 1, TO. 3, et TO. 9 appartiennent au groupe morphologique A. 1 de la classification définie par Bradley (1967), Ackermann et Du Bow (1987). Les ADNs phagiques ont une taille qui varie entre 20 et 70 Mda. L'enzyme Hind III met un polymorphisme en évidence au niveau des phages TO. 1,9, 5-6-7-8, et 15 ; de plus, il y a cohérence au niveau de l'étude des ADNs phagiques, basée sur les profils de restriction et les résultats de lysotypie, représentés sous forme de dendogramme. Seul TO. 1 est neutralisé par l'antiserum anti-TO. 1. La compatibilité de la lutte biologique avec des agents phytosanitaires de type insecticides/fongicides a étè vérifiée : les conditions de temperature, de PH requises pour la culture du champignon de Paris ne sont pas non plus contre-indiquées avec la pulvérisation de bactériophages. Sur l'ensemble des essais mis en place à l'INRA, l'efficacité en conditions de culture est comprise entre 30 et 70% : l'utilisation de bactériophages lytiques constitue donc une alternative sérieuse de contrôle de la tache bactérienne dans le cadre d'une champignonnière.
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Gely-Deschamps, Isabelle. "Le dépérissement de la chataigneraie audoise : analyse spatiale d'un complexe épidémiologique et contribution à la lutte contre l'Endothia parasitica dans la massif de Cuxac-Cabardés-Caudebronde." Toulouse 2, 1993. http://www.theses.fr/1993TOU20057.

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Abstract:
Cette these se propose d'identifier des zones a sensibilite differenciee vis-a-vis de la maladie du chancre du chataignier a travers l'approche epidemiologique d'un massif de chataigniers du cabardes (montagne noire meridionale), cette approche est concue comme une analyse de processus spatialises de facon a mettre en evidence les facteurs du milieu qui exercent une influence preponderante sur la maladie. Pour ce faire et dans un premier temps, on a utilise les fonctionnalites du logiciel d'information geographique cartima, a partir duquel, il a ete constitue une base de donnees localisees portant sur un grand nombre de parametres susceptibles de peser sur le developpement du chancre du chataignier. L'exploitation de cette base de donnees met en evidence le role preponderant de certaines modalites des parametres etudies : exposition en versant se-s-sw, altitude inferieure a 550m, situation en fond de vallee, densite du taillis forte en brins et faible en souches a l'hectare, peuplement a grande interespecificite, et proximite immediate des routes et chemins. Dans une seconde etape, ce travail s'est attache a rechercher des moyens de controle plus directs de la maladie a travers deux series d'experimentations a but sylvicole et sanitaire conduites sur le terrain et en laboratoire. Ces experimentations revelent l'interet d'effectuer une eclaircie sanitaire au sein d'un peuplement atteint et jeune (< 15 ans) car elle permet l'assainissement du taillis infecte, quand elle est pratiquee selon certaines precautions et favorise l'accroissement du taillis. L'ensemble de ces experimentations reclame cependant une duree d'experience plus longue pour confirmer les premieres conclusions
The purpose of this thesis is to identify the different levels of sensibility of some areas infected by the chestnut blight. This kind of epidemiologic approach is designed as a spatialized analysis so as to emphasize the environment's factors which have a strong influence on the chestnut blight. In a first time, we used the functions geographic information system cartima, from which was created a localized data base including most of the factors assumed to influence the chestnut blight. The area of study is located in cabardes, south of montagne noire (south east of france). Working the data base allows to identify some of these factors propitious to the infection : exposition se-s-sw, altitude lower than 550m, location in valley bottom, copse density (strong in shoots and weak in stumps), high interspecificity in the chestnut population, nearness to roads and ways. In a second time, we attempted to search for more directs means for controlling the chestnut blight. Two experiments were achieved in field and in laboratory. These experiments point out the interest of a sanitary clearing in a sick but young (inferior to 15 years old) chestnut population, in so far as it allows to make healthier the infected copse, and to be propitious to the copse growth. However, all these experiments require further confirmations of these first conclusions
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Bendahmane, Boubekeur Seddik. "Contribution à la lutte chimique contre drechslera teres (Sacc. ) shoem. , agent de l'helminthosporiose de l'orge." Toulouse, INPT, 1992. http://www.theses.fr/1992INPT010A.

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Abstract:
L'helminthosporiose de l'orge est une maladie fongique causee par drechslera teres (sacc. ) amorphe de pyrenophora teres drechs. Apres avoir fait une etude bibliographique sur le binome orge/d. Teres, nous avons realise une etude de l'action in vitro de plusieurs fongicides sur plusieurs sequences du pathogene. A l'issue du screening, nous observons que les fongicides de contact sont efficaces sur la germination des conidies, les fongicides systemiques sur la croissance mycelienne, la soporulation de la f. Teres et, preventivement sur la morphogenese des organes sclerotioides. L'experimentation in vivo en chambre de culture et en plein champ demontre une inefficacite des fongicides de contact quand ils sont appliques preventivement plus de 48 h avant la contamination. En revanche le prochloraze montre une excellente action preventive en chambre de culture et au champ, mais son efficacite baisse sensiblement au champ sur la f. Maculata. Une etude de la localisation de d. Teres dans la semence, montre que le pathogene peut coloniser les differentes parties de la graine. L'expression de la maladie a partir de l'inoculum seminicole est sous l'influence de la temperature et de l'humidite. La f. Maculata exprime des symptomes coleoptilaires, la f. Teres des symptomes coleoptilaires mais surtout foliaires, celle-ci peut etre systemique. Enfin aucun fongicide teste n'est efficace en traitement de semences sur le pathogene
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Benmoussa-Haichour, Dalila. "Relations termites-nématodes entomopathogènes : applications à la lutte biologique." Paris 12, 1999. http://www.theses.fr/1999PA120039.

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Abstract:
Les termites sont des grands ravageurs en afrique sur culture de la canne a sucre. Une nouvelle strategie de lutte preventive s'est averee necessaire contre la caste des sexues, elle est demontree dans ce travail. Les essais de pathogenecite ont montres clairement le potentiel des steinernema e2 et k27 comme agent de controle biologique contre les differentes especes de termite chez les macrotermitinae : ancistrotermes guineensis, pseudacanthotermes spiniger, odontotermes sp. , macrotermes bellicosus et une espece xylophage reticulitermes santoneensis (rhinotermitidae) en provoquant des mortalites de 100% des individus en moins de 20 jours. La souche heterorhabditis bacteriophora s'est revelee la moins efficace. Seule la caste des soldats est la moins sensible aux differentes souches testees. La caste aile presente une forte teneur en lipide et en glucide, compares aux autres castes des differentes especes ce qui permet la multiplication des nematodes entomopathogenes. Steinernema kushidai penetre dans la caste ailee par voie buccale. Les activites heterosidasiques chez le sexue traite chutent par rapport au sexue non traite. Il est montre qu'a de fortes infestations la physiologie digestive est perturbee. La paralysie est observee et la mort survient par septicemie generalisee en 40 heures. Un fort effet pathogene de la souche steinernema carpocapasae est aussi montre par l'essai pilote conduit a la sonasut (tchad) sur les ailes ancistrotermes guineensis, la dose de 1 millions de l3 suffit a provoquer leur mortalite en une semaine. Une multiplication intense en moins de 14 jours est enregistree chez 60% des ailes testes. La sensibilite des nematodes entomopathogenes aux differents produits pesticides utilises a la sonasut (tchad) a permis de confirmer que les heterorhabditis sont plus sensibles aux differents pesticides, alors que les deux souches steinernema carpocapsae et steinernema kushidai permettent la recherche de l'hote et l'infestation apres une immersion de 4 jours dans les produits phytosanitaires. Ainsi un seul traitement au moment de l'essaimage permettrait de limiter l'implantation de nouvelles colonies de termites en afrique.
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Books on the topic "Légumineuses – Fléaux – Lutte contre"

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Comment lutter contre les parasites et ennemis du jardin. [Lieu de publication non identifié]: De Vecchi, 1998.

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Lavallée, Robert. Lutte contre le charançon du pin blanc: Intervention et lutte biologique. Sainte-Foy, Qué: Centre de foresterie des Laurentides, 1997.

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Brochard, Daniel. SOS plantes. Paris: Sélection du "Reader's digest, 2002.

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Reid, Lana M. Maladies courantes du maïs au Canada. Ottawa, Ont: Agriculture et agroalimentaire Canada, 2001.

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5

Berthiaume, Richard. Le puceron des pousses du sapin. Sainte-Foy, Qué: Centre de foresterie des Laurentides, 2001.

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6

Abgrall, J. F. La forêt et ses ennemis. 3rd ed. Grenoble: CEMAGREF-DICOVA, 1991.

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7

Henderson, D. E. Insectes utiles et nuisibles du fraisier et du framboisier. Ottawa, Ont: Direction générale des communications, Agriculture Canada, 1991.

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Brooks, J. E. Development of a resistance index for Sitka spruce against the white pine weevil Pissodes strobi Peck. Victoria, B.C: Forestry Canada, 1992.

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9

Lochhead, William. The present condition of the San José scale in Ontario. Toronto: Dept. of Agriculture, 1997.

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10

Humphreys, N. Surveys of forest health in young stands in British Columbia. Victoria, B.C: Forestry Canada, 1992.

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