To see the other types of publications on this topic, follow the link: Les philosophes antiques.

Dissertations / Theses on the topic 'Les philosophes antiques'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 dissertations / theses for your research on the topic 'Les philosophes antiques.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse dissertations / theses on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Gassino, Isabelle. "Images et mises en scène du pouvoir dans l'œuvre de Lucien Samosate." Rouen, 2000. http://www.theses.fr/2001ROUEL398.

Full text
Abstract:
L'étude des images du pouvoir se propose d'établir la forme et le sens des représentations, passant ou non par le biais d'images rhétoriques, des différentes formes de pouvoir évoquées par Lucien. Il s'agit aussi de déterminer si Lucien se borne à un travail purement littéraire de réécriture ou s'il se fait observateur de son temps. Lucien s'intéresse tout d'abord à un pouvoir déchu, celui des dieux olympiens, poussant jusqu'à l'absurde la représentation anthropomorphique des immortels, il les dépeint aussi médiocres que les hommes dont ils ont les attitudes les soucis, les défauts et les limites. Cette perte de pouvoir prend un sens politique : les dieux figurent des citoyens inconséquents ou bien un empereur romain débonnaire et las du pouvoir. La comédie fait place à la polémique quand Lucien évoque le type du faux philosophe, qu'il invective au moyen de métaphores animales l'assimilant successivement à un chien, toi poisson, un âne et un singe : Lucien use aussi d'arguments philosophiques en employant l'image du théâtre et de l'acteur pour montrer que les charlatans, qui ne mettent pas leurs théories en pratique, sont aux antipodes de l'idéal philosophique. Le pouvoir des philosophes repose essentiellement sur la force de persuasion de leurs discours : un troisième chapitre étudie donc le pouvoir ambivalent de la parole qui, utilisée dans les règles de l'art, est source d'un plaisir partage, mais peut aussi devenir un instrument de domination assimilable à un sortilège, dangereux ou ludique selon celui qui en use. Enfin, le portrait idéal que Lucien fait du vrai philosophe montre que celui-ci sait avant tout faire une image raisonnée de la parole et persuader au moyen de métaphores pédagogiques. En filigrane, derrière ce modèle c'est une esquisse de Lucien lui-même que l'on aperçoit. L'image du pouvoir que l'on découvre est celle de Lucien tirant les ficelles d'un réseau métaphorique très cohérent, tour à tour créateur d'images et objet de celles-ci.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Leblond, Chantal. "A la croisée de deux mondes. Les relations entre maître et disciples selon quatre témoins d'époque impériale : deux grecs, le biographe Diogène Laërce et le philosophe Epictète ; deux juifs, l'historien Flavius Josèphe et l'exégète Philon d'Alexandrie." Thesis, Tours, 2009. http://www.theses.fr/2009TOUR2017/document.

Full text
Abstract:
Dans notre première partie, nous mettons en rapport l’enseignement dispensé par un maître avec la bonne nature de l’élève et l’exercice. Puis sont étudiés les pré-requis parfois exigés des disciples postulants, et au contraire l’adaptation de certains maîtres à leur auditoire. Nous constatons ensuite qu’instaurer une relation harmonieuse est difficile : confiance et bienveillance mutuelles sont indispensables, mais certains maîtres s’établissent dans une position de domination ; parfois même, de mauvais maîtres pervertissent leurs disciples. Notre quatrième partie est consacrée à trois attaches particulières : les liens de parenté ; les sentiments amoureux ; la vénération. Finalement, nous rappelons que maîtres et disciples vivaient au sein de la société : par conséquent, nous nous interrogeons sur leurs rapports aux biens matériels, aux puissants de ce monde, à la politique, et enfin à la mort, dans la mesure où celle-ci s’insère dans un cadre social<br>In our first part, we observe teaching in connection with pupil’s good disposition and training. Then we examine which prerequisites a disciple must fulfil in order to attend a master’s lecture, and, on the contrary, the way some masters adapt themselves to their audience. Thirdly, we remark that a harmonious relationship is difficult to establish : mutual confidence and benevolence are essential to success ; but some masters may dominate their disciples ; sometimes, bad masters even corrupt their pupils. Our fourth part tackles three peculiar bonds uniting some masters with their disciples : family ties ; love ; veneration that some ardent disciples feel towards their master. Lastly, we remind that teachers and disciples lived within a society ; consequently, we think about their relations to material possessions, to mighty personages, to politics, a finally, to death, inasmuch as it is not only a personal experience, but comes within a social context
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Pavie, Xavier. "La réception des exercices spirituels antiques dans la philosophie contemporaine." Paris 10, 2011. http://www.theses.fr/2011PA100062.

Full text
Abstract:
Cette thèse vise à comprendre en quoi la philosophie contemporaine réceptionne les exercices spirituels ainsi qu’ils ont pu être élaborés, partagés, pratiqués par les philosophes de l’Antiquité. Destinés à l’amélioration et à la transformation de soi pour vivre une vie philosophique, les exercices spirituels font en effet partie intégrante des préoccupations fondamentales pour les écoles antiques. Les philosophes élaborent alors doctrines et théorie, sans négliger pour autant une réalité pratique, quotidienne de ces discours. L’articulation theroria/praxis est l’un des piliers des exercices spirituels et constitue également un fil directeur de cette thèse permettant d’apprécier l’évolution de cette notion d’exercice spirituel. Pierre Hadot est celui qui décèle chez les Anciens la présence d’exercices spirituels, leur construction et leur mise en œuvre. Toutefois, la philosophie ne se cantonne pas à la période antique, elle se prolonge jusque dans notre espace contemporain. Cette période de plus de 2 500 ans a vu l’exercice spirituel des Anciens questionné, redimensionné, notamment en fonction des environnements religieux en général, chrétiens en particulier. En conséquence, la démarche d’ensemble consiste à repérer dans l’évolution de la philosophie en général, dans la philosophie contemporaine en particulier, l’essence des exercices spirituels des Anciens<br>The goal of this thesis is to understand in what way contemporary philosophy apprehends spiritual exercises as they were conceived, shared and practiced by ancient philosophers. Aimed at self-improvement and self-transformation, spiritual exercises were intended to enable one to live a philosophical life. As such they represented an essential element in the main concerns of antique schools. Thus philosophers elaborated doctrines and theories, while maintaining a real and daily practice of these views. Indeed, the axis theoria/praxis is one the most important of spiritual exercises and is also a connecting thread in this thesis leading to a better understanding of the notion of “spiritual exercise” itself. Pierre Hadot is the one who discovered traces of spiritual exercises - their construction and implementation in ancient philosophy. However, philosophy goes far beyond the antique philosophers, to our contemporary era. As a result, for more than 2,500 years spiritual exercises have been questioned, reorganized by their environment, notably the religious and Christian environment. Consequently, the aim here is to determine the very essence of the antique spiritual exercises in the evolution of philosophy in a general sense, and more particularly in contemporary philosophy
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Davieau, Nicolas. "Le corps des philosophes : traditions biographiques et construction de la personne du philosophe chez Diogène Laërce." Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010629.

Full text
Abstract:
À partir de l’analyse des traditions biographiques compilées et conservées par Diogène Laërce, cette thèse cherche à évaluer l’intérêt des anecdotes mettant en scène le corps des philosophes dans l’élaboration d’une figure du philosophe idéal ou bien dans la construction de la personne du philosophe. Si les philosophes anciens nous sont avant tout connus comme un ensemble de textes ou de systèmes doctrinaux, les témoignages biographiques antiques fournissent en effet également la mémoire de pratiques corporelles ou d’interrogations sur certaines pratiques corporelles (régime alimentaire, activité physique, vêtement, santé) qu’il convient d’analyser. Cette étude vise à savoir dans quelle mesure et de quelles manières le corps peut être compris comme un terrain de mise en pratique de théories ou de préceptes philosophiques, et par la même, de voir comment le corps intervient dans la reconnaissance du philosophe. Cette recherche envisage successivement ce que peut être un régime de vie philosophique (vêtement, barbe et pilosité, accessoires) avant d’interroger le rapport des philosophes à leurs propres corps mortels (maladie, vieillesse et mort). L’enquête aussi à une lecture pragmatique de l’œuvre de Diogène Laërce, envisagée comme un auteur et non comme un compilateur<br>Based on an analysis of the biographical traditions compiled and preserved by Diogenes Laertius, this thesis assesses the significance of anecdotes depicting the body of philosophers in the development of the figure of an ideal philosopher and in these philosopher’ building of their own persona. Whilst ancient philosophers are primarly known to us through texts and doctrinal systems, the insights into their bodily pratcices and their reflections on the subject – diet, physical activity, clothing health – which are reported in ancient biographical testimonies are also worth investigating. This study examines the extent to which and the different ways in which the body can be ssen as the field of practice for the theories and for the philosopher’s relationship to their own mortal body (disease, old age and death). The investigation also provides a pragmatic reading of the work of Diogene Laertius, considered as an author and not merely as a compiler
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Youm, Paul. "Les interprétations de la doctrine platonicienne de la réminiscence dans la tradition médio et néoplatonicienne grecque." Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040098.

Full text
Abstract:
Auteurs de la philosophie grecque médioplatonicienne ( Philon le juif, Plutarque, Alkinoos, Maxime de Tyr,l’auteur anonyme du Commentaire sur le Théétète, Longin, Numénius ) et neuf auteurs de philosophienéoplatonicienne ( Plotin, Porphyre, Syrianus, proclus, Damascius, Simplicius, Jean Philopon, Olympiodore,Elias ) ont servi de matière textuelle à ce travail qui a essayé de tracer l’évolution des interprétations de la doctrine platonicienne de la réminiscence : l’expérience à travers laquelle l’âme se souvient des réalités intelligibles qu’elle a oubliées d’une certaine façon devient, chez ces auteurs, l’occasion de considérer l’oubli comme une sorte d’évidence ontologique, de telle sorte que la question n’est pas souvent abordée, contrairement à la place qu’elle prend chez Platon. Le difficile problème du lien entre l’âme et le corps de renverse au bénéfice d’une valorisation du donné sensible, en particulier de la beauté sensible, qui devient le point de départ nécessaire de la réminiscence : c’est donc qu’il y a une trace de l’intelligible et de l’universel dans ce sensible : toute la question de la réminiscence devient, avec ces auteurs, une enquête sur comment l’âme saisit ces objets intelligibles qui avec le Néoplatonisme entrent dans uns structure ontologique de plus en plus complexe. La saisie du sensible par l’âme révèle la possession par l’âme de ce que les Médio platoniciens appelleront les notions communes, dont le statut cognitif est évolutif, savoirs innés a priori, appelées à devenir de vraies connaissances à condition qu’elles soient articulées correctement par l’intellect. Ces philosophes voient ainsi apparaître, dans le champ platonicien, une raison d’établir une concorde philosophique entre Platon et Aristote,afin de réussir à démontrer que la beauté intelligible est l’objet du souvenir de l’âme à partir de la beauté sensible : les Néoplatoniciens en particulier y arrivent en expliquant que l’objet de la réminiscence, le savoir et la beauté intelligible, se déclinent en plusieurs états progressifs ( forme dans le sensible ou universel sensible,universel abstrait) jusqu’à l’état ultime, l’universel intelligible, résultant du fait les formes qui sont dans l’âme convoquent le souvenir des formes paradigmatiques. C’est tout ce processus qui fait la spécificité de la réminiscence dans la pensée tardo-antique, sans compter que par rapport à l’emploi du mythe chez Platon, Plotin,Plutarque et Hermias ont travaillé à rendre cette notion du souvenir en abordant précisément la question du désir par une réflexion sur « Eros » et les formes psychiques (logoï), le coup de foudre ou l’élan de l’âme vers la beauté dont elle se souvient. A l’arrivée, au VI eme siècle après J.C, c’est donc Platon et Aristote réunis qui font la nouvelle doctrine de la réminiscence à travers les lectures qui ont été faites du Ménon, du Phédon, du Phèdre,du Banquet, du Théétète et du Timée<br>From Philo of Alexandria to Elias through Alkinoos, Plutarch of Cheroneus, Plotinus, Porphyrus, Syrianus,Hermias, Proclus, Damascius, Simplicius, Olympiodorus, twenty eight texts written by sixteen authors of medioand neoplatonician philosophy have permitted us to deal with how these commentators read and understand thePlato’s theory of recollection. Reading Plato was, for them, dealing with how truth is being revealed to thehuman soul; that is to say, how the soul which have known things before entering bodies recollect them, how itovercomes oblivion.It is usually claimed that recollection in Plato is in the Meno, Phaedrus and Phaedo dialogues.Thus, we notice that Theaetetus and Timaeus were visited by commentators whose aim was to show that thetheory of recollection is the way truth is revealed in the soul’s discurse. For Plato, recollection is an a properexperience for human beings, for the tradition, that is the same attitude, except a surprising formula of Proclusthat we can find in an Elias’s text. For Plato, the soul, as it is said in the Meno, possesses knowledge; due to theMedioplatonicians specially, the common notions («koinai ennoiai» ), we have seen that the human knowledgecomes out as the product of recollection, but by a starting step in which these knowledge are need stimulation andclarification. Moreover, as soon as with Plotinus appeared the philosophical concept of forms in the soul, itbecame clearer for Syrianus, Hermias, Proclus, Damascius, Simplicius and others that intelligible forms werepresent in the soul as images. Concerned a lot by philosophical «symphonia» between Plato and Aristotle, theyintroduce the problematic of Universals through Aristotle writings, particularly through Categories. From thenon, recollection became a process which can be divided in various cognitive steps or various attainments ofdifferent types of «logoi». The consider the role of sensible beauty, the important place of abstraction, but finally,for most of them, recollection is specially the crucial moment when the soul recollect the intelligible forms,moving itself, as dynamic as «Eros», and, in its turn, produce forms. As a conclusion, recollection start later thenin Plato’s conception and moreover, it may go trough out and concern the realities above the level of intelligibleforms. Those are variations of the theory according to commentators who were generally convince that theirsearch was strictly truth and only truth, rather than fidelity toward Plato himself
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Bevacqua, Flavio. "Les œuvres du Philosophe Anépigraphe entre alchimie, néoplatonisme et philosophie naturelle : édition critique, traduction et commentaire." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2025. http://www.theses.fr/2025SORUL025.

Full text
Abstract:
La thèse est consacrée au Philosophe Anépigraphe, un auteur transmis par le corpus alchimique grec, et s'organise en trois parties étroitement liées. La première est dédiée à l'étude de la tradition manuscrite du corpus. Les manuscrits sont analysés selon une double perspective : du point de vue paléographique et codicologique d'une part, et, d'autre part, sous l'angle de l'histoire des sciences et des idées, en mettant l'accent sur la réception matérielle des textes dans les milieux savants durant les périodes byzantine et de la Renaissance. La section s'ouvre sur une « recensio » de tous les manuscrits qui transmettent des œuvres attribuées à l'auteur ; elle est suivie d'une série d'études consacrées à des points critiques de l'histoire de la transmission du Xe au XVIIe siècles. La deuxième partie consiste en une analyse philologique de la tradition et comprend une édition critique des trois œuvres attribuées à l'auteur, accompagnée d'une traduction italienne. L'étude des relations entre les manuscrits a non seulement permis d'identifier les témoins utiles à l'établissement du texte, mais aussi de mettre en évidence la nature « fluide » de la tradition, tout en identifiant des éléments suffisants pour tracer, pour la première fois, un « stemma codicum » pour la transmission textuelle d'un auteur au sein du corpus alchimique. La partie se conclut par un commentaire philologique et textuel sur les principaux « loci critici ». La troisième partie consiste en une série d'études critiques à portée historique et philosophique, visant à identifier l'identité de l'auteur, ses influences et le milieu dans lequel il a opéré. L'auteur est reconnu comme un philosophe néoplatonicien du VIIe/VIIIe siècle, dont la doctrine est caractérisée par une dérivation originale de la métaphysique de la nature, principalement celle de Proclus. Les conclusions approfondissent le milieu proposé pour l'auteur, en avançant l'hypothèse de l'existence d'une « chimie métaphysique » développée à partir de la métaphysique de la nature néoplatonicienne, tout en soulignant l'inadéquation de la « narratio vulgata » dominante concernant la transmission des savoirs philosophiques et scientifiques à cette époque<br>The thesis is dedicated to the Anonymous Philosopher, an author transmitted by the Greek alchemical corpus, and is organised into three sections, distinct from one another but closely interconnected. The first part is devoted to the study of the manuscript tradition of the corpus. The manuscripts are analysed from a dual perspective: on the one hand, from a palaeographic and codicological viewpoint, and on the other, from the perspective of the history of science and ideas, focusing on the material reception of the texts in scholarly circles during the Byzantine and later Renaissance periods. The section opens with a "recensio" of all the manuscripts that transmit works attributed to the author; this is followed by a series of studies on critical points in the history of transmission from the 10th to the 17th century. The second part is dedicated to the philological analysis of the tradition and includes a critical edition, along with an Italian translation, of the three works attributed to the author. The study of the relationships between the manuscripts, in addition to identifying the testimonia useful for the "constitutio textus", has allowed the "fluid" nature of the tradition to be highlighted while at the same time identifying sufficient elements to trace, for the first time, a "stemma codicum" for the textual transmission of an author within the alchemical corpus. The section concludes with a philological and textual commentary on the primary "loci critici". The third part is structured as a series of critical studies with a historical-philosophical focus aimed at identifying the author's identity, his influences, and the milieu in which he operated. He is recognised as a Neoplatonic philosopher of the 7th/8th century, whose doctrine is characterised as an original derivation of the metaphysics of nature, primarily of that of Proclus. The conclusions further investigate the proposed "Sitz im Leben" of the author, advancing the hypothesis of the existence of a "metaphysical chemistry" developed from the Neoplatonic metaphysics of nature, and highlighting the inadequacy of the prevailing "narratio vulgata" concerning the transmission of philosophical and scientific knowledge during this period
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Tomas, Régis. "Les philosophes de Cyrène : une traduction commentée." Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010547.

Full text
Abstract:
Les Cyrénaïques constituent un mouvement philosophique qui se caractérise par des dissidences qui font douter de son unité. Malgré des positions inconciliables, les Cyrénaïques s'entendent sur des valeurs communes comme la référence éthique à la nature, la pratique de l'ascèse, de la tempérance et de la sagesse pratique et, en particulier, Ie déclassement du bonheur en tant que fin seconde, déclassement qui marque indéniablement leur originalité en morale antique. Toutefois, c'est dans le domaine de la théorie de la connaissance que leur originalité apparaît plus évidente. Leur subjectivisme fonde sur la confiance exclusive dans les affects reste irréductible aux autres subjectivismes antiques par le statut qu'il accorde au percevant. Ce dernier devient en effet l'unique instance de jugement sur ses propres expériences pathiques, ce qui représente à la fois un cas unique en philosophie antique et une préfiguration de ce que sera la subjectivité moderne.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Palù, Chiara. "Philosophie et écriture : analyse des débuts de la tradition ancienne." Lille 3, 2004. http://www.theses.fr/2004LIL30038.

Full text
Abstract:
La thèse se propose d'analyser la question du rapport entre philosophie et écriture chez les premiers philosophes. Elle se présente sous forme d'un recueil de textes avec commentaire et elle se partage en deux parties : dans la première partie, titrée "les philosophes qui n'ont pas écrit", sont répertoriés les témoignages sur la production écrite de Thalès et de Pythagore ; dans la deuxième partie, titrée "la prose philosophique", ceux sur Phérécyde, l'école de Milet, Héraclite. La thèse esaie de réfuter la thèse qu'Havelock avait été amené à formuler sur les penseurs présocratiques, qu'il devait situer, en vertu de sa thèse générale, dans la tradition orale. On a montré, au contraire, que, si l'on ne néglige pas les notices dont nous disposons, on retrouve les traces d'une sorte de réflexion présocratique sur l'écriture qui n'exclut pas un certain emploi, à l'époque archa͏̈ique, du texte écrit. En outre, m^eme lorsque les philosophes, ainsi que dans le cas de Pythagore, décident d'abandonner de l'écriture, on ne peut pas parler, comme le fait Havelock, de simple oralité
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Palù, Chiara Laks André Cavini Walter. "Philosophie et écriture analyse des débuts de la tradition ancienne /." Lille : A.N.R.T, 2004. http://www.univ-lille3.fr/theses/palu-chiara.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Savard, Dave. "L’avenir de la démocratie : perspectives des limites de la démocratie antique." Electronic Thesis or Diss., Paris 10, 2013. http://www.theses.fr/2013PA100075.

Full text
Abstract:
La démocratie est liée au temps de manière tout à fait particulière, car elle évolue d’une génération à l’autre et doit donc être sans cesse redéfinie. Elle est niée en même temps que créée. C’est la raison pour laquelle le fait de s’intéresser au passé est une manière de mieux comprendre ce qu’est la démocratie aujourd’hui. Or, si nous voulons savoir à quoi elle correspond, on doit chercher à comprendre ce qu’est le sens véritable de la démocratie dans son idéal. Ainsi, prenons pour exemple la liberté. La démocratie doit apporter la liberté à la communauté à laquelle elle appartient, sans quoi il ne s’agit plus d’une démocratie, mais d’une représentation erronée de celle-ci. Par ailleurs, cette forme de liberté au sein de la démocratie ne peut être complète, car elle est toujours créée au travers de ses limites. De nos jours, elle semble inexistante ou désabusée, comme s’il n’y avait plus de lieu pour discuter de cet idéal, d’un lieu commun à tous, c’est-à-dire d’un endroit où l’on se sent chez soi, comme si l’on ne faisait qu’un avec la culture intellectuelle dans l’espace public. Pis encore, faut-il avoir le temps et le désir de discuter de l’idéal de vie que l’on recherche en tant que société. La démocratie répond-elle toujours à nos besoins intellectuels et moraux? Doit-on rechercher autre chose que la démocratie pour répondre à ces besoins? La démocratie doit être représentative du lieu d’où l’on vient et donner une orientation que la société dans laquelle on vit doit prendre, pour être proche de ses valeurs intellectuelles et morales. Cette démocratie doit vivre dans l’espace civique qui existe et qui doit continuer d’être pour que les générations actuelles et à venir la ressentent comme un parent attentionné et soucieux du futur de ses enfants, car il s’agit de son avenir à elle aussi. Ce lieu a pour but de susciter des réflexions telles que celles qui ont forgé notre passé jusqu’à l’avènement des démocraties libérales modernes et à partir desquelles l’on doit chercher à comprendre avec prudence, quel modèle démocratique répond le mieux à nos besoins intellectuels et moraux actuels, afin d’être bien préparé quant à son avenir. Sans contredit, la démocratie, quelle que soit son époque, est limitée par des événements qui la dépassent sans que l’on puisse pour autant cerner les difficultés à venir afin de les repenser, même si elle ne contrôle point la vie de l’homme en général, car les limites de la démocratie sont toujours en évolution, comme l’est la condition humaine. Les idées politiques changent et évoluent d’une génération à l’autre. Enfin, il semble curieux de vouloir comparer les limites de la démocratie grecque avec la nôtre, mais le fait de s’interroger sur le sens et la valeur du mot démocratie limite l’usure de cet idéal si souvent employé, à tort ou à raison. Le but de cette étude sera modeste, puisqu’il cherchera à réintroduire cette idée à l’aide de l’étude des mouvements de la pensée politique du Ve siècle sous différentes perspectives politiques telles que celles de Platon, d’Aristote et des sophistes. L’objectif est donc de redécouvrir certains aspects des limites de la démocratie antique, afin de mieux s’interroger sur la nôtre, car elles sont à l’origine de nos problèmes humains actuels. Le propos de notre thèse est donc de démontrer que l’étude des limites morales et intellectuelles de la démocratie directe, en lien avec l’histoire de la philosophie politique, permet de réactualiser quelques difficultés théoriques et pratiques irrésolues des démocraties actuelles et à venir. Il faut d’abord comprendre d’où l’on vient si l’on veut saisir le sens réel dans la manière de choisir la direction idéale à prendre dans la recherche du bien commun<br>Democracy is tied to time in a peculiar way because since it evolves from one generation to the next, it must necessarily be constantly defined and redefined. Because democracy is, so to say, negated and recreated anew, we must concern ourselves with what it will become as a way of understanding what it really is. However, we must search particularly to understand the true meaning of democracy; the ideal that defines it. Take for example the idea of freedom. Democracy must bring freedom to a given community; if it does not, it would not be a democracy. However, this freedom-fostering democracy cannot be absolute because it is constantly confronted with human limitations. Nowadays, democracy seems to be losing its true sense, or to be non-existent even. It seems as if there is no longer a common place where all could discuss the ideal that democracy embodies; in other words, as if there is no longer a common area where all could feel at home in both the cultural and affective parts of our common existence. How can we find the time for this, and how can we again revive this ideal of discussion that gives a higher sense of existence to our present societies? Is democracy the answer to our intellectual and moral needs? Should we be looking at something other than democracy for answers to our present needs? These are some of the major questions that gave rise to this thesis and to which I attempt to find answers
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Hude, Henri. "L'intuition de l'intemporel. Essai sur la philosophie de jean guitton et ses sources antiques." Paris 4, 1990. http://www.theses.fr/1989PA040075.

Full text
Abstract:
Jean guitton est un philosophe, au sens plein et fort du terme : telle est notre these. Cette affirmation pouvant surprendre, un avantpropos tente de susciter chez le lecteur la confiance minimale indispensable, en manifestant l'unite de cette pensee que l'on dit dispersee, ou les raisons d'un style trop litteraire ou personnel aux yeux de plusieurs. Nous suivons (1ere partie) la formation de sa pensee jusqu'au moment ou deviennent explicites son projet : synthetiser bergson et saint augustin, et son axe de recherche : approfondir l'intuition bergsonienne de la duree jusqu'a degager l'intuition de l'intemporel. Nous montrons alors (2eme partie) comment sa methode philosophique vient dans le prolongement de celle de bergson. Cette revision methodologique va de pair avec une reforme du contenu meme du gergsonisme (3eme partie). Nous etudions l'aspect principal de cette reforme : les notions guittoniennes capitales de structure et de developpement renouvellent la conception bergsonienne de l'etre et de la substance. Nous indiquons certaines applications cosmologiques de ces principes. Nous sommes particulierement attentifs a montrer combien guitton s'alimente aux sources antiques, surtout a aristote. La 4eme partie montre en l'histoire de la philosophie un auxiliaire de la metaphysique. Guitton a donc ete trop meconnu<br>Jean guitton is a philosopher in the full meaning of the word : such is the subject of our thesis. Since similar assertion might chock, a forewrd attempts to elicite from the reader the basic essential trust, in disclosing the unity of that thought which is sometimes said to be in scattered form, or the reasons for a too literary or personal style, according to many. In the ist part, we follow the development of his thought up to the point when are fully revealed his goal : synthecize the thoughts of bergson and st augustine, and his line of research : deepen bergson's insight of duration up to the point when he acquires the insight of the intemporal. We then show in the 2d part how his philosophical method is in the stream of bergson's. This methodological reform is accompanied by a revision of the very content of bergsonism (in our 3rd part). We study the main aspects of this revision : prof. Jean guitton's notions of structure and development reniew bergson's conceptions of being and substance. We point out a few cosmological consequences of these principles. We are particularly concerned with showing how deeply guitton draws from ancient sources, especially aristotle. The 4th part shows the history of philosophy as an auxiliary to metaphysics
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Savard, Dave. "L’avenir de la démocratie : perspectives des limites de la démocratie antique." Thesis, Paris 10, 2013. http://www.theses.fr/2013PA100075/document.

Full text
Abstract:
La démocratie est liée au temps de manière tout à fait particulière, car elle évolue d’une génération à l’autre et doit donc être sans cesse redéfinie. Elle est niée en même temps que créée. C’est la raison pour laquelle le fait de s’intéresser au passé est une manière de mieux comprendre ce qu’est la démocratie aujourd’hui. Or, si nous voulons savoir à quoi elle correspond, on doit chercher à comprendre ce qu’est le sens véritable de la démocratie dans son idéal. Ainsi, prenons pour exemple la liberté. La démocratie doit apporter la liberté à la communauté à laquelle elle appartient, sans quoi il ne s’agit plus d’une démocratie, mais d’une représentation erronée de celle-ci. Par ailleurs, cette forme de liberté au sein de la démocratie ne peut être complète, car elle est toujours créée au travers de ses limites. De nos jours, elle semble inexistante ou désabusée, comme s’il n’y avait plus de lieu pour discuter de cet idéal, d’un lieu commun à tous, c’est-à-dire d’un endroit où l’on se sent chez soi, comme si l’on ne faisait qu’un avec la culture intellectuelle dans l’espace public. Pis encore, faut-il avoir le temps et le désir de discuter de l’idéal de vie que l’on recherche en tant que société. La démocratie répond-elle toujours à nos besoins intellectuels et moraux? Doit-on rechercher autre chose que la démocratie pour répondre à ces besoins? La démocratie doit être représentative du lieu d’où l’on vient et donner une orientation que la société dans laquelle on vit doit prendre, pour être proche de ses valeurs intellectuelles et morales. Cette démocratie doit vivre dans l’espace civique qui existe et qui doit continuer d’être pour que les générations actuelles et à venir la ressentent comme un parent attentionné et soucieux du futur de ses enfants, car il s’agit de son avenir à elle aussi. Ce lieu a pour but de susciter des réflexions telles que celles qui ont forgé notre passé jusqu’à l’avènement des démocraties libérales modernes et à partir desquelles l’on doit chercher à comprendre avec prudence, quel modèle démocratique répond le mieux à nos besoins intellectuels et moraux actuels, afin d’être bien préparé quant à son avenir. Sans contredit, la démocratie, quelle que soit son époque, est limitée par des événements qui la dépassent sans que l’on puisse pour autant cerner les difficultés à venir afin de les repenser, même si elle ne contrôle point la vie de l’homme en général, car les limites de la démocratie sont toujours en évolution, comme l’est la condition humaine. Les idées politiques changent et évoluent d’une génération à l’autre. Enfin, il semble curieux de vouloir comparer les limites de la démocratie grecque avec la nôtre, mais le fait de s’interroger sur le sens et la valeur du mot démocratie limite l’usure de cet idéal si souvent employé, à tort ou à raison. Le but de cette étude sera modeste, puisqu’il cherchera à réintroduire cette idée à l’aide de l’étude des mouvements de la pensée politique du Ve siècle sous différentes perspectives politiques telles que celles de Platon, d’Aristote et des sophistes. L’objectif est donc de redécouvrir certains aspects des limites de la démocratie antique, afin de mieux s’interroger sur la nôtre, car elles sont à l’origine de nos problèmes humains actuels. Le propos de notre thèse est donc de démontrer que l’étude des limites morales et intellectuelles de la démocratie directe, en lien avec l’histoire de la philosophie politique, permet de réactualiser quelques difficultés théoriques et pratiques irrésolues des démocraties actuelles et à venir. Il faut d’abord comprendre d’où l’on vient si l’on veut saisir le sens réel dans la manière de choisir la direction idéale à prendre dans la recherche du bien commun<br>Democracy is tied to time in a peculiar way because since it evolves from one generation to the next, it must necessarily be constantly defined and redefined. Because democracy is, so to say, negated and recreated anew, we must concern ourselves with what it will become as a way of understanding what it really is. However, we must search particularly to understand the true meaning of democracy; the ideal that defines it. Take for example the idea of freedom. Democracy must bring freedom to a given community; if it does not, it would not be a democracy. However, this freedom-fostering democracy cannot be absolute because it is constantly confronted with human limitations. Nowadays, democracy seems to be losing its true sense, or to be non-existent even. It seems as if there is no longer a common place where all could discuss the ideal that democracy embodies; in other words, as if there is no longer a common area where all could feel at home in both the cultural and affective parts of our common existence. How can we find the time for this, and how can we again revive this ideal of discussion that gives a higher sense of existence to our present societies? Is democracy the answer to our intellectual and moral needs? Should we be looking at something other than democracy for answers to our present needs? These are some of the major questions that gave rise to this thesis and to which I attempt to find answers
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Journée, Gérard. ""Rien ne saurait naître de rien" : l'émergence du problème de l'être dans la philosophie préplatonicienne." Lille 3, 2007. http://www.theses.fr/2007LIL30005.

Full text
Abstract:
D'après Aristote, que rien ne naît du non étant constituerait l'opinion commune des physiciens, affirmation qui semble recroiser celle selon laquelle tous les anciens physiciens, de Thalès à Démocrite, ont renoncé à la génération proprement dite. Une bonne partie de l'interprétation moderne reconnaît cependant dans le principe l'œuvre de Parménide, qui l'aurait énoncé pour la première fois, dans son Poème, s'en servant pour abolir précisément la génération. Cette conception a contribué à changer profondément l'approche moderne concernant les penseurs venant avant Parménide, en particulier les Milésiens. Peut-on toutefois refuser à ceux-ci le respect au moins implicite du principe ? Et si tel n'est pas le cas, peut-on encore maintenir que le principe rien ne naît du non étant constitue immédiatement un principe de non devenir ? La thèse s'interroge sur les schèmes relevant de la causalité naturelle mis en avant par les Milésiens, et sur leurs rapports avec le problème classique de la conservation, et donc de l'absence de génération à proprement parler. Repartant d'Aristote, elle s'interroge ensuite sur les conceptions raisonnablement attribuables aux Milésiens, avant d'étudier les occurences du principe chez Parménide, et chez les physiciens du Vème siècle Anaxagore, Empédocle et Démocrite<br>According to Aristotle, "nothing should come from what-is-not" had constituted the physicians' common opinion. This claim seems to be linked to his other idea that all physicians, from Thales to Democritus, had renounced the notion of coming-to-be in the strict sense. Many modern scholars want yet to see in this principle the work of Parmenides : he would indeed have enounced it for the first time in his Poem in view to destroy precisely coming-to-be. This conception has made a lot to change the modern perception of the thinkers before Parmenides, especially the Milesians. However, is it possible to deny them an implicit respect, at least, for the principle ? And if it is not the case, is it possible to claim that the principle constitutes immediately a principle of no-becoming ? In this study, we will wonder about the schemes linked to natural causality in Milesian philosophy, about their relations with the classical problem of conservation and the absence of coming-to-be in the strict sense. From Aristotle, we will wonder about the conceptions which are reasonably ascribable to Milesians. We will then study the occurences of the principle in the work of Parmenides and in the physics of the fifth century B. C. : Anaxagoras, Empedocles and Democritus
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Volsky, Eugène. "La pensée de Grégoire Skovoroda et ses sources antiques." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040076.

Full text
Abstract:
Cette thèse décrit de façon précise et détaillée la pensée de Grégoire Skovoroda (1722-1794),philosophe ukrainien,et tente de montrer comment cette pensée se rattache à celle des Pères de l'Eglise et des philosophes de l'Antiquité. Elle se compose de cinq chapitres qui traitent successivement de Dieu,du monde,de l'homme,de la Bible et des opinions de Skovoroda sur son temps,sur les chrétiens et sur le christianisme. Bien que méconnu,Skovoroda fait figure de fondateur de la philosophie russe ; à la différence de nombre de ses contemporains ou successeurs,son originalité consiste à s'être inspiré directement de l'Antiquité sans rien de devoir aux écrivains français,anglais ou allemands à la mode en Russie à son époque<br>This thesis descibes precisely and at length the thought of Grigorij Skovoroda,an ukranian philosopher,and try to show how this thought pertains to that of fathers of the Church and ancient philosophers. .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Gravil, André. "Philosophie et finitude." Nice, 2003. http://www.theses.fr/2003NICE2033.

Full text
Abstract:
L'objet de la thèse est l'évolution du problème philosophique de la finitude dans l'histoire de la pensée. La première partie étudie le thème du non être dans la philosophie platonicienne ; la seconde partie concerne la notion médiévale et classique d'étant fini chez Thomas d'Aquin (ens finitum), puis chez Spinoza (res finita comme mode fini), et chez Leibniz (substantia finita comme centre de perspective fini). La troisième partie étudie le renversement kantien : le statut de "l'être raisonnable fini" est examiné dans les trois Critiques. La quatrième partie concerne le problème du fini et de l'infini dans l'idéalisme allemand au travers d'une étude de l'Assise fondamentale de 1794 de Fichte, des Recherches sur l'essence de la liberté humaine de Schelling, et de la Science de la logique de Hegel. La cinquième partie est consacrée au sens heideggérien de la finitude.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Passavanti, Sandro. "Délire et pathologie de la perception dans l’Antiquité classique : Littérature, philosophie, médecine." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEP067.

Full text
Abstract:
« Les Grecs et les Latins n’avaient pas fait du trouble de la raison une analyse assez profonde et détaillée pour penser à imposer une dénomination collective à un genre de ses symptômes, fussent-ils les plus remarquables de tous. Ceux dont il est ici question, les hallucinations, ils les avaient observés sans doute, ils les connaissaient. Mais ils ne les rassemblent pas sous une désignation générale ». Ceci était l’avis du médecin L.-F. Lélut (L’amulette de Pascal, 1846), un jugement qui reflète l’image que la science de son époque s’était faite de la réflexion des Anciens sur les pathologies de la perception dans le délire. À l’exclusion des recherches d’empreinte positiviste visant à retrouver les catégories psychiatriques dans certaines manifestations pathologiques dont nous avons trace dans les textes classiques, aucune étude générale n’a jamais été consacrée aux liens établis par les Anciens entre altérations cognitives et désordres morbides de la perception. Cette recherche se propose de combler cette lacune, en étudiant de manière systématique les textes anciens faisant état de cet ensemble d’expériences pathologiques, et ce sur la longue durée, depuis la physiologie présocratique jusqu’aux traités médicaux latins de l’Antiquité tardive. Après une introduction détaillant la méthodologie de recherche et le status quæstionis, le travail s’articule en trois parties. Dans la première, j’analyse les textes de la Collection hippocratique dans lesquels il est question d’altérations des facultés cognitives et sensorielles, retraçant le paradigme de compréhension de ces phénomènes propre aux médecins grecs des Ve-IVe siècles. Une comparaison avec les scènes de folie visionnaire du théâtre attique contemporain permet de faire ressortir la priorité chronologique et spéculative des représentations euripidéennes de la vision morbide comme phénomène trompeur, en opposition à l’image archaïque du visionnaire comme maître de vérité – un trait dont la médecine rationnelle saura aussitôt tirer profit à sa manière dans ses descriptions des syndromes hallucinatoires. La deuxième partie du travail retrace l’histoire de la réflexion philosophique antique sur les troubles de la perception depuis Alcméon jusqu’à Épictète, à travers le double prisme de la physiologie de la perception et de la gnoséologie. Refusant et distançant le modèle matérialiste des Présocratiques, Platon et Aristote articulent ouvertement le problème des perceptions altérées de la folie à la fois en termes de vérité/fausseté et de reconstruction physiologique, dans le but de repousser les objections relativistes des Sophistes. L’essor du débat hellénistique entre Stoïciens et Académiciens tire son origine d’une opposition semblable entre des conceptions dogmatiques reposant sur une ‘harmonie préétablie’ entre l’homme et les objets de sa connaissance et, d’autre part, les positions sceptiques de ceux qui n’admettent la distinction des sensations de l’homme sain de celle du fou. La substance de ce débat, qui ne s’épuise pas avant la fin de l’Académie platonicienne au Ier siècle av. J.-C., se prolongera dans le Stoïcisme d’époque romaine et sera accueillie de bon gré par la tradition médicale postérieure : dans la troisième partie de l’enquête, une attention spécifique est accordée aux textes de Celse, Arétée de Cappadoce, Asclépiade de Bithynie, Galien, Cælius Aurélien, où l’héritage philosophique hellénistique se greffe sur la tradition clinique et pharmacologique précédente, en donnant lieu à de nouvelles conceptions nosologiques qui serviront de point de départ incontournable à toute réflexion médicale postérieure sur les troubles sensoriels<br>«The Greeks and Romans did not analyze the trouble of mind deeply enough to give a common denomination to a kind of its symptoms, as relevant as they may be. They surely observed and knew hallucinations, of which we are talking about. But they did not recollect them under a general definition». This was the opinion of the French physician L.-F. Lélut (L’amulette de Pascal, 1846), a statement which clearly reflects the opinion of scientists of his time about ancient analysis of psychopathological sensory alterations. Exception made for a positivistic interest, aiming at recognizing psychiatric categories in some pathological phenomena depicted in classical literature, no general study has ever been devoted to the relationship between cognitive alterations and pathological disorders of perception. This research intends to address such shortcoming through a long-term investigation of classical texts, by taking into account this cluster of pathological experiences, from Pre-Socratic physiology to the medical treatises of Late Antiquity. This work is structured in three sections: first, a methodological introduction and an analysis of the current state of art leads to an inquiry on Hippocratic texts about cognitive and sensory alterations (5th- 4th centuries BC). A comparison between medical literature and theatrical episodes of visionary madness reveals the chronological and speculative priority of Euripidean representations of morbid visions as deceptive phenomena, in opposition to the archaic image of the visionary as ‘master of truth’. The second part of the thesis focuses on the history of philosophical thought about troubles of perception, from Alcmæon to Epictetus, through the twofold lens of physiology of perception and epistemology. By refusing the Pre-Socratic materialistic model, Plato and Aristotle openly formulated the problem of distorted perceptions of madness in terms of truth and falsehood and physiological explicability, in order to push back sophistic and relativistic arguments. The development of Hellenistic Stoic/Academic debates originated from an analogous opposition between dogmatic conceptions – resting upon a ‘pre-established harmony’ between men and their objects of knowledge – and, on the other side, skeptical objections about the supposed indiscernibility of sane and mad perceptions. The core of this debate, which lasted until the end of the Platonic Academy in the 1st century BC, was perpetuated by the Middle Stoicism and then received by the subsequent medical tradition: in the third section, particular attention is devoted to the treatises written by Celsus, Aretæaus of Cappadocia, Asclepiades, Galen, Cælius Aurelianus, in which the Hellenistic philosophical heritage grafted on to the earlier clinical and pharmacological traditions. This turning point represents the very foundation of every medical consideration about sensory disorders until the end of Classical Antiquity
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Journée, Gérard Laks André. ""Rien ne saurait naître de rien" l'émergence du problème de l'être dans la philosophie préplatonicienne /." Lille : A.N.R.T, 2007. http://documents.univ-lille3.fr/files/pub/www/recherche/theses/JOURNEE_Gerard.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Lafargue, Bernard. "Le tableau, métaphysique de la peinture : I- Narcisse, télos de la peinture antique." Nice, 1986. http://www.theses.fr/1986NICE2020.

Full text
Abstract:
Le cadre n'est-il qu'un parergon contingent de la surface peinte et le tableau de chevalet du Quattrocento le simple miroir de la montée au pouvoir de la classe marchande, ou bien au contraire la forme symbolique et métaphysique dans et par laquelle la peinture, existant enfin comme art complet, réalise et dévoile sa véritable essence ? Quel est alors le propre de la peinture, la force centrifuge et centripète qui anime et aimante toute poiesis picturale? Analysant la loi du développement de la peinture des tombes de l'ancienne Egypte aux portraits romano-égyptiens du fayoum, ce premier tome montrera que la peinture est l'art le plus propre à exprimer le sentiment de l'individualité spirituelle. Toujours, la vie du coloris mine les canons des arts qui prétendent la juguler, annonce bouleversements politiques ou nouvelles visions du monde, comme aimantée par la forme paradigmatique du tableau qui naitra lors de la guerre du Péloponnèse qui exacerbe l'individualisme proné par les sophistes, sous les pinceaux des peintres grecs de la deuxième moitié du cinquième siècle avant Jesus-Christ. Platon, le premier, voit dans le tableau le katoptron de l'individualité, qui pense la peinture à partir de la philosophie de Protagoras et chasse de la cité le peintre Doxocalos avec le sophiste Doxomimetos. Que peint donc le peintre? Quels jeux de regards du peintre, du modèle et du spectateur sont ici patiemment tissés? Ne faut-il pas alors voir dans le portrait ou, plus précisement, dans l'autoportrait le centre de la peinture et dans le Narcisse de Pompei et d'Ovide le télos de toute la peinture antique?<br>Is the frame only a contingent parergon of the painted surface, and the painting on easel of the quattrocento the mere reflection of the rising power of the merchant class, or else, on the opposite, the opposite, the symbolical and metaphysical shape in which and through which painting, finally coming into being as a complete art, fulfils and unveils its true essence? What then is the nature of painting, the centrifugal and centripetal force that gives life and magnetizes all pictorial poiesis? Through an analysis of the laws of the development of painting, from the tombs of ancien aegypt to the roman-aegyptian portraits from fayoum, this first volume will show that painting is the most adequatte art to express the feeling of spiritual individuality. Colouring will always undermine the rules of the arts that try to jugulate it, announce political upheavals or new visions of the world, as if magnetized by the paradigmatic shape of the painting that will come to life during the peloponnesian war, which exacerbates the individualism praised by the sophists, through the brushes of the greek painters of the second half of the fifth century before christ. Plato, who thinks of painting in terms of the philosophy of protagoras, is the first to see in it the katoptron of individuality, and therefore bans from the city both Doxocalos painter and sophist Doxomimetos. What then does the painter paint? What visions from painter, model and spectator are here patiently interwoven? Therefore shouldn't one see in the portrait, or, more precisely, in self portrait, the core of painting and in the narcissus in pompei and in ovide the telos of all ancient painting?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Laffon, Amarande. "L’ἀναρχία (anarchia) en Grèce antique". Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040218.

Full text
Abstract:
L’anarchia désigne au sens propre la vacance du pouvoir dans la sphère militaire (la mort du chef sur le champ de bataille) et dans la sphère politique (la vacance de la magistrature, en particulier éponyme). La notion est vite devenue plus générale et exprime au figuré le manque ou le refus du commandement. Elle se rapproche des sens d’insubordination, insoumission, indiscipline, licence et désordre. L’expérience effective de la vacance du pouvoir dans les cités grecques, sa représentation et sa conceptualisation constituent les axes principaux de cette recherche. L’anarchia est envisagée à l’échelle de l’âme, de la famille, de la cité, voire de l’univers. Elle engage une réflexion sur l’articulation entre deux principes a priori antagonistes, l’aspiration à la liberté et la nécessité de l’ordre, et par conséquent sur les fondements de l’exercice légitime du pouvoir. L’étude repose sur l’analyse précise des emplois du terme anarchia dans les sources épigraphiques, historiques, littéraires et philosophiques. La première partie envisage les vacances effectives des magistratures dans le cadre du cours normal ou d’une rupture du fonctionnement des institutions ainsi que les palliatifs mis en place. Les occurrences du terme anarchia concernent les cités d’Athènes, Thasos, Téos, Syros et Bérénikè. S’ajoutent les emplois problématiques des termes akosmia à propos du régime crétois par Aristote et atagia dans les inscriptions thessaliennes. La deuxième partie envisage l’évolution sémantique du terme de l’absence de chef à l’anarchie chez les historiens et les poètes tragiques et la place de l’anarchia dans les théories du commandement élaborées par Xénophon, Platon et Aristote<br>The term anarchia refers literally to the absence of power, in the military sphere (that caused by the loss of a commander), and the political sphere (the absence of archontes, specifically the eponymous archon). The concept quickly generalised, coming to designate in the figurative sense the lack and want of power or the rejection and negation of power. It approaches the meanings of insubordination, rebelliousness, unruliness, licentiousness and disorder. The actual experience of power vacuum in the cities of Ancient Greece and how the Greeks represented it and conceptualised it are the three main lines of this research. Anarchia is conceived not only in the city but also in the soul of the individual, in the family, or even in the universe. It demands reflection on the articulation between two seemingly antagonistic principles, the desire for freedom and the necessity of order, and consequently upon the foundations of legitimate authority. This work relies on a precise analysis of the term anarchia in the epigraphic, historical, literary and philosophical sources. The first part deals with actual periods of power vacuum in the ordinary course of political life or in the context of institutional disruption and the implemented remedies. The term anarchia is employed in the cities of Athens, Thasos, Teos, Syros and Berenike. One must add the problematical use of the terms acosmia by Aristotle regarding the Cretan regime and atagia in the Thessalian inscriptions. The second part deals with the semantic evolution of the term from the absence of ruler to anarchy in the work of historians and tragic poets and the role of anarchia in the theory of leadership developed by Xenophon, Plato and Aristotle
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Duhot, Jean-Joël. "La conception stoïcienne de la causalité." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1986PA040293.

Full text
Abstract:
La causalité stoïcienne fonctionne suivant le schéma ternaire agent patient (corps) - effet (incorporel), qui est incompatible avec le schéma binaire de la chaîne causale auquel nous a habitués le déterminisme. Cela ne permet pas de penser un déroulement temporel de la causalité ni une organisation causale de l'enchaînement des phénomènes. En revanche tout est ainsi ramené a la causalité métaphysique du pneuma agent. La définition stoïcienne de la cause est, quant à elle, sémantique et traditionnelle : la cause est ce "a cause de quoi". Chrysippe n'a pas du tout cherche à concilier la liberté et le déterminisme causal, mais a défendre la responsabilité du sujet. L'homme est responsable de ses actes parce qu'ils expriment sa personnalité réelle, qui se révèle à l'occasion des évènements extérieurs. Mais en pratique le sujet est généralement mu par le déterminisme interne de sa nature. De toute façon le destin stoïcien englobe aussi les choix de chacun. La liberté stoïcienne ne se prouve pas face a un déterminisme anachronique, elle est le fruit de la victoire du sage sur les passions. Quant aux listes de causes, elles ne sont pas stoïciennes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Clavadetscher-Thürlemann, Silvia. "Polemos dikaios und bellum iustum : Versuch einer Ideengeschichte /." Zürich : Juris Druck und Verl, 1985. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34898285v.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Veillard, Christelle. "Hécaton de Rhodes et la transformation de l'éthique stoïcienne : introduction, texte, traduction, notes et commentaire des fragments et témoignages." Aix-Marseille 1, 2008. http://www.theses.fr/2008AIX10080.

Full text
Abstract:
L'objectif de ce travail est de donner accès aux fragments et témoignages d'Hécaton de Rhodes (2e moitié du 2e s. Av. J. -C. ), stoïcien disciple de Panétius, source de Sénèque et de Cicéron. Cette période de l'histoire du stoïcisme est mal connue : l'établissement de ces textes puis leur analyse fournissent des éléments précieux et inédits, qui permettent de mesurer l'évolution de la doctrine stoïcienne et de faire apparaître des outils conceptuels nouveaux qui seront investis par le stoïcisme dit impérial, et qui connaîtront une notable postérité. Notre travail comprend une première partie méthodologique et historique, qui met en place les outils nécessaires à la composition du "corpus" : étude des sources, complétude et délimitation du "corpus", étude des travaux antérieurs sur Hécaton, choix éditoriaux. La deuxième partie est l'édition proprement dite : les fragments sont regroupés par traités, édités avec un aparat, des notes critiques et des notes de commentaires. Un commentaire philosophique synthétique est proposé en troisième partie, commentaire articulé selon deux axes principaux : la redéfinition par Hécaton de la vertu stoïcienne conduit à l'apparition d'une vertu athéorique ; cette redéfiniton cache des enjeux pratiques, dont l'invention de la casuistique, l'importance du thème des bienfaits et de l'amour de l'autre, sont des symptômes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Olive, Julien. "L’ efficience de la cause : le concept d’efficience naturelle dans la physique antique et classique." Aix-Marseille 1, 2009. http://www.theses.fr/2009AIX10080.

Full text
Abstract:
Le propos de cette enquête est d’établir le rôle joué par l’évolution des théories de la causalité dans la naissance de la physique classique. Elle se présente comme une alternative aux interprétations de la notion moderne de cause proposées par le positivisme et l’histoire heideggerienne de la métaphysique. Dans un premier temps, nous montrons dans quelle mesure l’opérateur causal antique est différent de celui des modernes. Alors que chez ces derniers la causalité est pensée comme une relation transitive et nécessaire entre des réalités homogènes, les anciens conçoivent la causalité comme une propriété absolue, une pseudo-relation dépourvue de converse où l’effet appartient à un registre ontologique moindre. Ainsi, Platon et Aristote ont formulé les conditions d’intelligibilité du devenir, le principe de causalité et de la cause-agent, mais leur physique n’en reste pas moins formellement incompatible avec les lois de la mécanique classique, de même que la détermination est inintelligible dans l’ensemble des philosophies antiques. Enfin, nous étudions comment est apparue, chez les penseurs néo-platoniciens, puis monothéistes, l’idée d’une cause efficiente, c’est-à-dire d’un influx engendrant l’être d’une chose et qui, en tant que tel, ne se laisse penser que sous la forme d’une relation. La deuxième partie montre l’influence de la causalité comme relation dans la formation de la physique classique. Le projet mécaniste fut de reconstruire la totalité des objets du savoir sur des bases nominalistes opposées à celles de l’essentialisme ancien, la causalité efficiente fut pour cela son opérateur explicatif unique. De cette façon, le modèle du transfert a rendu possible la mathématisation du mouvement et a fait de la raison suffisante le principe d’intelligibilité universel. Nous établissons enfin que les critiques modernes de la causalité sont les conséquences de l’application de la cause efficiente aux objets de la métaphysique : Dieu, les substances et les idées.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Tsouna, Paraskevoula. "Les philosophes cyrénaïques et leur théorie de la connaissance." Paris 10, 1988. http://www.theses.fr/1988PA100111.

Full text
Abstract:
Le but de la présente thèse fut de discuter la théorie cyrénaïque de la connaissance. En premier lieu, nous avons situé les philosophes cyrénaïques dans leur contexte historique et philosophique. Nous avons établi les successions de l'école aussi bien qu'une chronologie approximative des philosophes cyrénaïques. Nous avons traite des problèmes concernant le statut institutionnel des cyrénaïques, leur filiation socratique et leurs écrits. Nous avons trace les grandes lignes de l'hédonisme cyrénaïque et nous avons déterminé les origines historiques de la gnoséologie de la secte. Nous avons analysé également les traits principaux de la notion cyrénaïque de l'affect. En second lieu, nous nous sommes placées dans la perspective de la philosophie systématique. Nous avons discuté la conception cyrénaïque de l'infaillibilité et celle de la vérité, la croyance a l'existence du monde extérieur et la critique d'Aristocles contre les cyrénaïques. Nous avons examiné la formulation du problème des autres esprits et la théorie cyrénaïque du langage. Enfin, nous avons analysé la gnoséologie cyrénaïque en termes de la théorie dite analyse adverbiale de la perception. Nous avons soutenu que cette interprétation est formellement correcte et philosophiquement pertinente<br>The aim of the present thesis was to discuss the Cyrenaic theory of knowledge. In the first place, we have tried to situate the Cyrenaic philosophes in their historical and philosophical context. We have established their success as well as an approximate chronology of the school. Problems concerning their institutional status, their Socratic origins and their writing have been discussed. We have traced the main features of the Cyrenaic hedonism and the historical background of the Cyrenaic epistemology. We have also analyzed the Cyrenaic notion of affect. In the second place, we proceeded to a systematic approach to the Cyrenaic theory of knowledge. Our topics were the Cyrenaic conception of infallibility and of truth, the belief in the existence of the external world and Aristotles' critique against the Cyrenaic. We also examined the formulation of the other minds problem and the Cyrenaic theory of language. Finally, we analyzed the Cyrenaic epistemology in terms of the so-called adverbial analysis theory. In our mind such an interpretation is formally adequate and philosophically interesting
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Donato, Marco. "[Platone] Erissia, o sulla ricchezza : introduzione, testo critico, traduzione e commento." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEP017.

Full text
Abstract:
Cette thèse de doctorat consiste en une nouvelle édition critique avec introduction, traduction en italien et commentaire de l’« Éryxias » pseudo-platonicien, un dialogue socratique ayant été transmis parmi les œuvres de Platon mais qui était déjà connu par les anciens pour être inauthentique et faussement attribué au grand philosophe (voir par exemple Diogène Laërce 3, 62). L’édition critique la plus récente du texte, publiée dans la « Collection des Universités de France » par les soins de Joseph Souilhé en 1930, est fondée sur une reconstruction de la tradition manuscrite qui a été remise en question par les études de L.A. Post (1934). En outre, malgré le récent retour d’intérêt pour les dialogues « apocryphes » du corpus platonicien, l’« Éryxias » reste méconnu et peu étudié : après les deux dissertations allemandes d’O. Schrohl (Göttingen 1901) et G. Gartmann (Bonn 1949), il n’y a pas eu de travaux dédiés spécifiquement au dialogue, exception faite de la décevante traduction annotée par R. Laurenti (Bari 1969). L’hypothèse avancée au cours de ce travail voit en l’« Éryxias » un produit composé à l’école fondée par Platon, l’Académie, après la mort du fondateur et plus précisément pendant la première moitié du troisième siècle avant Jésus-Christ : cela ferait du dialogue un témoin de la reconstruction de la pensée et de l’activité littéraire de l’Académie hellénistique. L’introduction est divisée en quatre chapitres. Les deux premiers abordent les problèmes plus strictement philologiques, liés à la transmission du corpus et du dialogue dans l’antiquité et à la chronologie du texte, notamment fixée par les savants sur la base de la présence d’un magistrat – le gymnasiarque – qui n’apparaît pas à Athènes avant la fin du quatrième siècle avant Jésus-Christ. Le troisième chapitre porte sur le contenu philosophique : le sujet de l’« Éryxias » est le rapport entre richesse (ploutos) et vertu (arete). Deux conclusions différentes sont présentées, en s’appuyant sur deux définitions différentes de la richesse : selon la première, ayant trait au concept de valeur, le sage est le plus riche des hommes ; selon la seconde, identifiant la richesse à la possession de biens matériels (chremata), le plus riche des hommes sera le plus méchant. Les deux conclusions sont parfaitement en accord avec un arrière-plan philosophique constitué par les dialogues de Platon et s’insèrent dans une tentative visant à accorder les divers traitements de la richesse dans les écrits authentiques. La recherche menée dans l’« Éryxias » peut bien être contextualisée dans le mouvement général de « renaissance du Socratisme » qui a été individué par les savants durant la première moitié de l’époque hellénistique (voir A. A. Long, Socrates in Hellenistic Philosophy, CQ 38, 1988, 150-171 ; F. Alesse, La Stoa e la tradizione socratica, Napoli 2000). L’Académie, comme le montre la production de dialogues socratiques, occupe un rôle central dans ce mouvement, ayant l’effort de revendiquer l’héritage de Socrate à travers son disciple, Platon. Le quatrième chapitre porte sur l’aspect littéraire : l’« Éryxias » a été reconnu par les savants comme le plus soigné des dialogues inauthentiques en ce qui concerne la cure de l’élément artistique. Après un paragraphe sur la poétique du dialogue dans l’« Éryxias », nous relevons une étude approfondie du proème, qui se montre particulièrement détaillé, ainsi que de Socrate et des autres personnages. À la fin du chapitre, le style et la langue du dialogue sont examinés. À la suite d’une note sur la tradition manuscrite, est donnée une nouvelle édition critique avec apparat du dialogue, suivie d’une traduction en italien. Le commentaire extensif porte sur des questions de détail s’insérant dans le plus grand cadre tracé au cours de l’introduction : son approche est autant philologique-littéraire qu’historique et philosophique. Un appendice de tables et une bibliographie sont ajoutés en qualité d’instruments nécessaires au lecteur<br>This PhD thesis consists in a new critical edition with introduction, italian translation and commentary of the pseudo-platonic Eryxias, a Socratic dialogue transmitted inside the corpus of Plato’s works but already known in antiquity (see Diogenes Laertius 3.62) to be inauthentic and falsely attributed to the ancient philosopher. The latest critical edition of the Eryxias, which dates back to 1930 and was published by J. Souilhé in the «Collection des Universités de France», is not reliable, as it depends on a misleading reconstruction of the manuscript tradition, outdated at least since the pioneering work of L. A. Post (1934, The Vatican Plato and its Relations, Middletown); moreover, notwithstanding the text’s philosophical and literary interest and length inside the group of the Platonic spuria, the Eryxias has not been object of specific studies in the past century, exception made for the two dissertations by O. Schrohl (Göttingen 1901) and G. Gartmann (Bonn 1949), two works that remain hardly accessible even to scholars in the field, and for the italian edition by R. Laurenti (Bari 1969). Even in recent years, when the spurious dialogues have seen a renaissance as a field of study (see for example the volume edited by K. Döring, M. Erler and S. Schorn, Pseudoplatonica, Stuttgart, 2005), the Eryxias remains less studied than other items in the corpus, mainly due to its extension – fifteen pages of the canonic edition by Stephanus (1578) – and to its overall complexity. In spite of this marginal role in recent studies, the Eryxias had attracted since the 18th century the interest of scholars and historians of ancient economy, as it presents an ancient discussion on the value of wealth and material goods. The first part of the introduction deals with the philological issues and the general problems related to the transmission of the text in antiquity. In the second chapter I turn to the philosophical content. The theme of the Eryxias is an enquiry on the relationship between wealth (ploutos) and virtue (arete), led by Socrates together with his interlocutors Erasistratus, Eryxias and Critias (the tyrant). Two definitions of wealth are investigated: according to the first, which is centered on value (axios) the wealthiest man will be the wise man (sophos), as wisdom is the greatest value for mankind. According to the second, which identifies wealth with the possession of material goods (chremata), the richest man will be the most wicked. Both of these conclusions are consistent with the main model of the dialogue, that is to say the authentic writings of Plato. In the introduction I argue that the philosophical aim of the Eryxias is in fact an attempt to draw a coherent doctrine of wealth based on the Platonic dialogues and on the research developed inside Plato’s school, the Academy, in the first decades of the third century: to prove this point I show the coherence with many parallel passages in Plato’s writings, which show a careful study of the whole body of work associated to the name of the founder of the Academy, and I try to set the Eryxias in its historical frame, namely the «return to Socrates» that historians have seen in the first part of the Hellenistic Age (see A. A. Long, Socrates in Hellenistic Philosophy, CQ 38, 1988, 150-171; F. Alesse, La Stoa e la tradizione socratica, Napoli 2000). In the third and final chapter I concentrate my attention on the literary aspect, with a particular interest in the reception of the models of Socratic literature in the composition of the dialogue. Follows a note on the medieval tradition. After the text and translation, the extended commentary focuses on issues of detail, both literary-philological and philosophical. An appendix with tables as a full bibliography are included
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Vogl, Wolfgang. "Aktion und Kontemplation in der Antike : die geschichtliche Entwicklung der praktischen und theoretischen Lebensauffassung bis Origenes /." Frankfurt am Main : P. Lang, 2002. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40058761k.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

Radoilska, Lubomira. "Du projet aristotélicien dans la philosophie morale." Paris, EHESS, 2003. http://www.theses.fr/2003EHES0004.

Full text
Abstract:
Cette thèse de philosophie s’attache à montrer la plausibilité d’une théorie morale réaliste respectant l’exigence internaliste à l’égard de la force motivationnelle des raisons morales. Une telle théorie devient possible à travers la conception de la rationalité pratique en tant que rationalité des fins implicite dans l’éthique d’Aristote. En ce sens, cette recherche se propose de dégager un projet aristotélicien dans la philosophie morale. La démarche suivie concerne à la fois les problèmes de la métaéthique contemporaine et l’interprétation de la pensée d’Aristote. La première partie traite des difficultés théoriques liées aux concepts de vérité et d’objectivité dans la perspective contemporaine. La deuxième partie présente une analyse de l’épistémologie aristotélicienne suivant laquelle l’éthique constitue un domaine légitime de connaissance. La troisième partie met en évidence le caractère problématique de la conception instrumentale de la rationalité pratique supposée par l’antiréalisme moral. La dernière partie développe une conception substantielle de la rationalité pratique à partir de la notion aristotélicienne de finalité immanente. Cette conception garantit la compatibilité des aspects motivationnel et cognitif des jugements moraux<br>The aim of this thesis is to show the plausibility of a moral realism meeting the internalist requirement concerning moral reasons. Such a realist position finds support in the conception of practical rationality as a rationality of ends, implied in Aristotle’s ethics. Therefore I try to explicit an Aristotelian project in moral philosophy by discussing on the one hand questions of recent metaethics and on the other hand topics of Aristotelian philosophy. The first part explains some theoretical difficulties concerning the concepts of truth and objectivity in contemporary moral theory. The second analyses the Aristotelian epistemology, considering ethics as a legitimate field of knowledge. The third criticises the instrumental conception of practical rationality assumed by moral antirealism. The starting point of the argument of the last part is the Aristotelian concept of the inner finality of action. It allows to explicit a substantial conception of practical rationality according to which the cognitive and the motivational aspects of moral judgements are not mutually exclusive
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Rath, Ingo W. "Der Mythos-Diskurs und sein Verlust eine Vor-Geschichte der abendländischen Vernunft /." Wien : VWGÖ, 1991. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35532150v.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Zingerevitz, Walter. "La philosophie parodique de Gorgias de Leontium." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040196.

Full text
Abstract:
Grand maitre des mots qu'il était, Gorgias n'aurait su quitter la vie sans proférer une belle phrase, la belle métaphore, calmement dite, que voici : "le sommeil a déjà commencé à me monter la garde, comme un frère". Cela résume bien le style du sophiste. Arme de beaucoup d'ironie, le philosophe dialogue avec l'école éléate dans l'un des textes les plus complexes et arides de la pensée présocratique, à savoir le traité sur le non-étant ou sur la nature. Nous avons entrepris d'analyser le discours philosophique parodique de Gorgias, d'une part, et le travail du rhétoricien d’autre part, tel qu'il se dégage de l'éloge d’Hélène, de la défense de Palamède, dont l'apologie de Socrate de Platon est le renversement, de l'oraison funèbre, etc. Le développement de ces analyses a montré que le philosophe, le joueur sérieux de la « métaphore réflexive », possède une remarquable unité de pensée.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Dross, Juliette. "Les représentations de la philosophie à Rome, de Cicéron à Marc Aurèle." Paris 12, 2004. https://athena.u-pec.fr/primo-explore/search?query=any,exact,990002531950204611&vid=upec.

Full text
Abstract:
Notre travail, qui porte sur " les représentations de la philosophie à Rome de Cicéron à Marc Aurèle ", consiste à étudier la manière dont les philosophes romains mettaient en images la philosophie dans leurs écrits. Cette étude repose sur une exploration de la notion de "représentation" dans la rhétorique antique, à laquelle est consacré le premier temps de cette thèse. Cette analyse rhétorique Soutient le relevé des représentations de la philosophie chez Cicéron, Sénèque et Marc Aurèle, à l'examen duquel est consacrée la suite de ce travail. Nous tentons notamment de montrer que le recours à de tels procédés rhétoriques répond à des exigences pédagogiques et parénétiques, quand il s'agit de convertir un disciple, et polémiques, lorsqu'il faut réfriter un adversaire. Cette diversité fonctionnelle explique la fréquence des représentations de la philosophie dans la littérature philosophique et constitue un angle d'approche original de la spécificité de la pensée romaine<br>This work, which deals with "the representations ofphilosophy in Rome, from Cicero to Marcus Aurelius ", aims to study the way the roman philosophers would represent the concept of philosophy through a vivid style. This study is based on an exploration of the notion of "representation" in antic rhetoric, to which s dedicated the first movement of our work. This rhetoric analysis supports the statement of the representations of philosophy in Cicero's, Seneca's and Marcus Aurelius' works and their analysis, made in the second part of our work. We aim to show that the use of such rhetoric figures is dictated by pedagogic and parenetic requirements, when the writer wants to convert a disciple to philosophy, or polemic requirements, when he must refute an opponent. This diversity of functions explains the frequence ofthe representations ofphilosophy in philosophical literature and gives an original point ofview on the specificity ofron-ian thought
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Dross, Juliette Lévy Carlos. "Les représentations de la philosophie à Rome, de Cicéron à Marc Aurèle." Créteil : Université de Paris-Val-de-Marne, 2007. http://doxa.scd.univ-paris12.fr:8080/theses-npd/th0253195.pdf.

Full text
Abstract:
Thèse de doctorat : Latin : Paris 12 : 2004.<br>Thèse électronique uniquement consultable au sein de l'Université Paris 12 (Intranet). Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p. 773-836. Index.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Boni, Kone Tanella. "L'idee de vie chez aristote." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1986PA040296.

Full text
Abstract:
Partant de l'hypothese qu'il y a une idee de vie chez aristote au niveau des traites biologiques, il s'est agi de savoir si dans les autres traites du corpus et les oeuvres de jeunesse une telle idee ne pouvait pas etre mise en evidence. Apres analyse des textes des trois periodes determinees par jaeger nous avons abouti a la conclusion suivante : il y a une idee de vie chez aristote qui est soit une croyance soit un prejuge metaphysique qui fonde une science en quete de statut : la biologie qui tend a etre la science des etres a jamais separes des etres divins<br>Our purpose was to show that there is an idea of life in aristotle's treatises written during the three periods of his philosophical activities determined by jaeger this idea is the basic point on which the philosopher wants to build a new science, biology; this new science plays the role of a substitute, in our world, of theology, the science of supramondane world
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Villani, Arnaud. "Philosophie critique de la communication." Nice, 1990. http://www.theses.fr/1990NICE2001.

Full text
Abstract:
L’étude entreprend d'abord une généalogie du commun, de la communauté et de la communication en Grèce ancienne jusqu'a Platon. Essayant de déterminer un concept de la communication, elle retrouve un sens positif au paradoxe, et au-delà de l'espace linéaire, aux espaces-carrefour, ouverts par une multiplicité de chemins. Concentrant la critique sur la communication contemporaine, ou elle met en évidence le danger d'une surpuissance abstraite, et niant que la "nouvelle communication" apporte réellement du nouveau, elle tente de redonner place à la singularité et à l'écart, au silence, à la pauvreté du dialogue, à la poésie, au symbole, au sens originel. Pour contrer les effets de la multiplication accélérée des intermédiaires et des simulacres, elle cherche à remettre l'homme face à des réels, en supposant universel un fond de "grande communication" auxquels tous participent
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Blandin, Jean-Yves. "Dynamisme et ontologie Plotin philosophie de la vie." Rennes 1, 1998. http://www.theses.fr/1998REN1S020.

Full text
Abstract:
Plotin affirme que " ses theories n'ont rien de nouveau, et qu'elles ne sont pas d'aujourd'hui " [v, 1 [10], 810-11]. Pourtant son exegese n'apparait pas historique, mais doctrinale, et elle ne cesse de temoigner de son originalite personnelle. Sa liberte de jugement se manifeste tout particulierement dans son ontologie. Car sans jamais aller jusqu'a abandonner le critere, d'origine platonicienne, de definition de l'etre par l'unite, l'identite a soi, la limite et la forme, il semble s'efforcer de faire passer au premier plan le critere de la puissance active, ce qui confere a son ontologie un dynamisme nouveau, par rapport a ses modeles privilegies, platon et aristote. Dans le livre 1, on a cherche a mettre en evidence cette prevalence du dynamique sur le statique, en se placant sur le plan des images que plotin emprunte a la tradition. Ont ete particulierement etudiees les images de la lumiere et de l'obscurite, avec leurs modalisations, la premiere symbolisant l'energie active presente dans l'etre, et la seconde figurant la courbe d'entropie que l'etre revele a mesure que l'on descend les divers degres de la procession, jusqu'au non-etre ultime de la matiere sensible. Le livre 2 s'est efforce de mettre en evidence, cette fois sur le plan des concepts utilises, ce dynamisme plus intensement marque. On a montre a la fois comment plotin accorde une dignite ontologique eminente, et absolument nouvelle, au genre du mouvement, et l'on a degage les mutations qu'il fait subir aux notions aristoteliciennes d''acte', d''en acte', de 'puissance' et d''etre en puissance'. Le theme de la vie, dont l'etude forme la substance du livre 3, a paru constituer l'expression privilegiee de ce dynamisme consubstantiel a l'etre. On en a restitue les trois niveaux, celui de l'intelligence, puis de l'ame, et enfin du corps. L'idee directrice fut que la vie, bien qu'inseparable de la multiplicite, ne reside pas dans cette derniere, mais dans l'acte par lequel le multiple, sans cesser d'etre multiple, fait retour vers l'unite du principe dans lequel il trouve son origine. Et en meme temps s'est revele un point aveugle irreductible : la reconnaissance, dans cette ontologie de la vie, du fait de la mort, comme absolu de dissemination radicale s'annoncant a travers le fait constate, mais jamais reellement explique, de la mort des vivants sensibles<br>Plotin claims that " there is nothing new about his theories, that they go back a long way " [v, 1 [10], 810-11]. Yet, his exegesis does not seem to belong to history, rather to doctrine, and it consistently bears witness to its individuality. His freedom of thought is particularly clear in his ontology. For without ever abandoning the platonician criterion of defining the being through its unity, its self-identity, its limit and its shape, he seems to attempt at emphasizing the criterion of the active power, which confers to his ontology a new dynamism, compared to his favoured models, plato and aristotle. In book 1, we have attempted to underscore this dominance of the dynamic over the static by focusing on the images that plotin borrows from tradition. The images of light and darkness with their modalisations have been more particularly treated, the former symbolizing the active energy to be found in the being, the latter representing the entropy curb revealed by the being as one descends the various stages of the procession down to the ultimate non-being of sensible matter. In book 2, we have pointed out - this time from the angle of concepts used by plotin - this more intensely pointed dynamism. We have shown both how plotin grants on outstanding - and definitely new - ontological dignity to the genre of movement, and we have brought out the mutations that he imposes on the aristotelician notions of 'act', 'in-act', 'power', and 'being-in-power'. The theme of life, which book 3 deals with, has appeared to constitute the privileged expression of this dynamism which belongs to the being. We have restored the three levels, first of intelligence, then of the soul, and lastly of the body. The key idea has been that life, however inseparable from multiplicity, does not lie in multiplicity, but in the act through which the multiple, without ceasing to be multiple, returns to the unity of the principle in which it finds its origin. And at the same time, an irreductible blind spot revealed itself : the recognition, in this ontology of life, of the fact of death, an absolute and radical dissemination made patent through the acknowledged fact - as yet never really explained - of the death of sensible beings
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Sabit, Audrey. "La mise en place d'un nouveau système politique : l'exemple de l'avènement de la démocratie dans l'Athènes antique." Bordeaux 4, 2001. http://www.theses.fr/2001BOR40006.

Full text
Abstract:
La these se propose de montrer le caractere emergent, c'est-a-dire a la fois non voulu et non prevu, de l'avenement de la democratie dans l'athenes antique. La premiere partie opere une synthese entre les apports sociologiques de certains auteurs : r. Boudon, n. Elias, m. Dobry, g. Balandier, et les donnees historiques de facon a proposer une explication du processus sociologique qui a conditionne cette emergence. Dans la seconde partie, nous montrerons en particulier que les elites atheniennes, poussees par la crise agraire, ont procede a des reamenagements. Ceux-ci, par le jeu des strategies des acteurs ont modifie les hierarchies sociales. La cite athenienne s'est donc dotee de nouvelles institutions integrant le changement social, ou l'ensemble des citoyens atheniens furent integres a la participation de la decision politique, plus particulierement au controle de la decision politique donnant lieu a un systeme politique nomme democratie. L'etude de l'emergence de la democratie conduit a conclure que le peuple athenien ne s'est pas empare du pouvoir mais que le systeme a emerge des strategies des differents acteurs sociaux. Les conditions de creation des nouvelles institutions permettent de mettre en valeur des criteres plus pertinents de definition de la democratie et donc de differenciation des systemes politiques en general, cette question sera developpee dans la troisieme partie.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Schubert, Andreas. "Untersuchungen zur stoischen Bedeutungslehre /." Göttingen : Vandenhoeck und Ruprecht, 1994. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35696216b.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Nossenty, Julien. "La phronêsis : une philosophie morale et politique pour repenser le système technicien de santé et médico-social." Electronic Thesis or Diss., Paris Est, 2022. http://www.theses.fr/2022PESC2002.

Full text
Abstract:
Les autorités politiques ont décidé que les établissements de soins et d'accompagnement devaient normaliser leur fonctionnement, avec une organisation structurée qui promeut une qualité maximale, le bien-être assuré afin de supprimer les risques. Refoulée, dissimulée, occultée la personne est devenue dans cette technostructure sanitaire et médico-sociale un indicateur, un marqueur de bonne qualité, que l'on peut afficher de manière péremptoire à l'entrée des établissements ou sur les sites internet de ces mêmes établissements qui montrent qu'ici la qualité est de rigueur. Mais alors, quelle est la place de la personne dans cette organisation? Que pense la personne? Est ce que la personne à encore le pouvoir de décider? Le développement de la gestion des risques, de la technique, de la biotechnologie et l'idéologie de la qualité absolue nous rappellent l'importance du concept aristotélicien de la "phronèsis". Ce rappel de la "phronèsis" est nécessaire, ca il place la personne toujours au cœur de l'action et plus spécifiquement au cœur de l'accompagnement des personnes vulnérables. En effet, la "phronèsis" sert à ne pas modéliser la réponse à apporter à la personne, encore plus lorsqu'il s'agit d'une personne en situation de handicap, de vulnérabilité. Au contraire, cette démarche philosophique et éthique laisse toute sa place à une "praxis" de l'accompagnement, et à la personnalisation de l'être, de la personne. Il est intéressant de voir au cours de cette thèse, comment la "phronèsis", peut trouver sa place dans l'approche de l'accompagnement à la vulnérabilité. Puis, il sera utile d'analyser dans le cadre de cette thèse que le handicap n'a pas besoin d'être surmédicalisé et que parfois, il est nécessaire d'accepter la fragilité de l'Autre. Savoir l'accepter, c'est regarder l'Autre dans sa singularité, avec sa personnalité propre. Pour les professionnels de santé et du médico-social, accompagner une personne, c'est la laisser prendre de décisions, et ce même si le risque et de ne pas répondre aux critères, au modèle imposé par les institutions politiques sanitaires, car la vulnérabilité et le handicap ne se quantifient pas, ne se mesurent pas. L'accompagnement d'une personne vulnérable, c'est aussi un engagement envers l'Autre, envers un semblable qui vit une souffrance particulière, différente et unique. Ainsi, nous tenterons également au cours de cette thèse, de comprendre les normes règlementaires qui promeuvent une qualité toujours plus grande de l'offre de soins qui dictent et astreignent l'accompagnant lui-même à suivre un modèle d'aide e d'accompagnement qui nie la singularité de la personne qui souffre de déficiences. La finalité de ce travail de thèse est de consentir que la personne vulnérable reste une personne à part entière, qui a la possibilité de choisir et de décider de sa vie et de l''aide qu'on lui apporte. Cette sagacité donne la possibilité de démontrer que la "phronèsis" doit guider les institutions, ainsi que les accompagnants à aller vers une juste sagesse pratique qui prend en considération et reconnait la personne vulnérable.Notre but est de remettre l’éthique de la décision au cœur de la pensée des différents professionnels de santé et du médico-social, au cœur des décideurs afin de ne pas laisser une absolutisation de la techno-politique sanitaire prendre une place toujours grande. Le principe de subsidiarité peut-il répondre à cet enjeu ?<br>Politics have decided that healthcare institutions must standardize their operating procedures and tend to become an industrial kind of organizations which promote maximal quality, sure well-being and focus on the risk management. Inhibited, hidden, concealed, the individual has become, within this health technostructure, an indicator, a marker of good quality, which we can show off at etablishments' entrance, on those same etablishments' websites, to highlight that quality reigns supreme here. But then, where does the individual stand in this organization ? What about his ideas? Does the individual still own some decision making power? The growth of risk management, technics, biotechnology and doctrine of the absolute quality call us out and remind us the significance of the Aristoltelian concept of « phronèsis ». Highlighting the « phronèsis » concept is necessary here as it puts the individual at the heart of the action and more specifically at the heart of caring to the vulnerable ones. Indeed, the « phronesis » helps us to not standardize the answer to the Individual, especially when this person is disabled or vulnerable. On the contrary, this philosophical and ethical approach gives way to a “praxis” of caring and bet-ter knowlege of the Individual himself. In this thesis, it is interesting to see how the “phronesis” can find its place from the initial caring to the vulnerability. Then, we will consider that it is not necessary to resort to medicalization to deal with handicap; most of the time, it is only a question of how we accept someone's fragility. Accepting means looking at the other as an Individual, considering his own personnality, his peculiarity. For healthcare and social &amp; medical professionnals, caring for someone should mean leave him mak-ing decisions even if it leads to relax the pressure on standardized criterias from heathcare policies. Indeed, vulnerability and handicap are not quantifiable. Caring for a vulnerable individual also means commitment towards him, towards someboby who faces a pain, a personnal and special suffering. That is why, in this thesis, we will try to understand the standards, the norms and the conflict be-tween the wish of higher and higher quality of healthcare's offering and the medical professionnal who have to follow, sometimes reluctancy, a model denying the peculiarity of the Individual. The prupose of this thesis is to agree that the vulnerable people remains an Individual, who keeps the ability of choosing and deciding for his own life and for the support, the help given by the pro-fessionals. This sagacity offers us the possibilty of showing that the “phronesis” must lead the insti-tutions and the medical staff to a more concrete and fairer wisdom witch takes into account the vulnerable individual and recocgnize his importance.The purpose of this thesis is to agree that the vulnerable people remains an individual, who keeps the ability of choosing and deciding for his own life and for the support, the help given by the pro-fessionals. Can the principle of subsidiarity respond to this issue ?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Prōtopapá-Marnélī, María. "La rhétorique des stoïciens." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040018.

Full text
Abstract:
Cette recherche se divise en trois parties: 1ere partie: a la justification de la place de la rhétorique dans l'ensemble de la philosophie stoïcienne; à savoir aux raisons pour lesquelles les stoïciens lui accordent une place dans la partie de la logique en la plaçant ensemble avec la dialectique. Ensuite l'accent est mis sur la valeur de la voix et des lekta en même temps qu'on essaie de formuler la différence entre la rhétorique et la dialectique. 2eme partie: les différentes techniques du langage utilisées par le sage sont analysées. Ensuite l'accent est mis sur l'importance et la contribution des formes géométriques à l'enseignement philosophique. La contribution de l'analogie et des homoiomata d'Ariston de Chios est exploitée. Enfin le point est mis sur l'habitude du sage de parler à la deuxième personne du singulier, fait qui constitue un topos stoïcien. 3eme partie: l'accent est mis sur: a) l'importance que les stoïciens accordent au poème et à la poésie, considérés comme discours rhétorique, et une comparaison entre la conception platonicienne et celle stoïcienne par rapport à la poésie est effectuée; b) la définition de la poésie et du poème par Poseidonius; c) la particularité et l'importance du son et de la musique à la poésie ainsi et les influences négatives ou positives que ceux-ci provoquent à la psychologie de l'auditeur; d) l'analyse du traite de la musique de Diogène de Babylone et l'influence que la musique exerce sur l'auditoire. A la fin de la 3eme partie la production stoïcienne en poésie est signalée. Il y a aussi une analyse de l'hymne à Zeus, de Cléanthe en même temps qu'une éventuelle chronologie de l'hymne est tentée, en comparaison au Proemion des phénomènes (w. 1-18) d'Aratos. Suivent une bibliographie, un index des auteurs anciens, médiévaux et contemporains et une table des matières<br>This research is divided into three parts, 1st part: justification of the particular place that rhetoric holds in stoic philosophy, namely, the reasons for which the stoics regard rhetoric together with dialectic, as part of logic. Then the worth of voice and lecta (speaking techniques) are emphasized and at the same time, the difference between rhetoric and dialectic is clearly formulated. 2nd part: the various speaking techniques which the sage orator makes use of are pointed out. After that, the contribution of geometric forms in the teaching of philosophy is explained as well the contribution of analogies and the homoiomata used by Ariston of Chios. Finally, the significance of the fact that the stoic speaks in the second person singular which constitutes a stoic way (topos) is explained. 3rd part: the significance which the stoics attribute to poetry and the poem as a particular kind of rhetoric is presented in detail as well as their contribution in teaching. A comparison between platonic and stoic philosophy is attempted as regards the poem while, at the same time, Posidonius' definition of poetry and the poem is presented in detail. The particular importance of sound and music in poetry is then examined as well as their positive or negative influence in the psychology of the audience. After that, an analysis of Diogenes' of Babylon about music, on the same subject is attempted. The end of the third part deals the production of the stoics in poetry, as regards the quality of their work. The hymn to Zeus by Kleanthes is also analyzed and an attempt to place it temporally is carried out through a comparison to Aratos' invocation to Zeus (phaenomena 1-18). There is also a bibliography and an index of ancient, medieval and modern writers
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Hufschmitt, Benoît. "Les fonctions philosophiques de la définition dans la pensée antique et classique : de la nécessité des définitions réelles, d'après une relecture de quelques grands auteurs." Aix-Marseille 1, 1995. http://www.theses.fr/1996AIX10069.

Full text
Abstract:
Les problemes de la definition sont, dit-on souvent, resolus (ou dissous) depuis l'avenement de la logique contemporaine et le triomphe connexe du nominalisme : il n'y a de definitions que de mots ; les definitions de choses sont, au mieux, des propositions sans specificite, au pire, des petitions de principe, voire un moyen privilegie pour la construction de pseudoconcepts, l'instrument de la confusion de pensee. Or, une consideration un peu attentive montre que les logiciens et philosophes contemporains sont generalement plus nuances ; se degagent de leur etude la reconnaissance d'une grande diversite de difficultes, et la mise en place de multiples analyses afin d'y repondre. De fait, les regles choisies pour la description, la composition et la validation des definitions engagent des prises de positions generales sur la pensee et sur l'etre : elles inscrivent le discours dans les normes d'une rationalite discursive ; elles delimitent, en deca et au dela, le proces de la connaissance scientifique ; elles organisent la diversite des etres et des objets de connaissance ; enfin, de maniere generale, elles determinent les regles memes de la diversification de l'etre et du connaitre. L'etude de quelques grands auteurs de la philosophie antique et classique, soit qu'ils promeuvent, soit qu'ils rejettent l'importance de la definition en philosophie, permet de conclure que les fonctions precedemment degagees sont une constante de la reflexion philosophique. Sont etudies successivement platon, aristote, les epicuriens et les stoiciens antiques, hobbes, descartes, locke, berkeley, pascal, arnauld et nicole, leibniz et kant<br>It is often said that the problems of definition have been solved (dissolved) since the arrival of modern logic and the triumph of nominalism : definitions only exist by the existence of words. The definitions of things are at best propositions without specificity, at worst a petitio principii, or a privileged means for the construction of pseudo-concepts, instrument of thought confusion. A close study shows that modern logicians and philosophers are more qualified ; from the study of their work, one can distinguish a wide variety of difficulties and the use of lots of different analysis to cope with this question. In fact, the rules chosen to describe, compose and validate definitions carry with them positions about the thinking and the being : discourse is so embedded into the norm of a discursive rationality ; beyond and after that, they build the limits of the trial of scientific knowledge ; they organise the diversity of beings and of the objects of knowledge ; finally, as a general rule, they determine the very rules of the diversification of the being and of knowledge. The study of some of the best authors of antique and modern philosophy, who either dismiss or promote the importance of definition in philosophy, can lead to the conclusion that the functions seen before are a constant of the philosophic reflection. Plato, aristoteles, antique epicurean and stoics, hobbes, descartes, locke, berkeley, pascal, arnault and nicole, leibniz and kant are in turn being studied
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Morvan, Thomas. "Recherches sur la dimension poétique et sur la structure mathématique du Timée-Critias de Platon." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010562.

Full text
Abstract:
Ces recherches sur le Timée-Critias sont la mise à l'épreuve d'hypothèses sur l'écriture philosophique telle que l'a conçue Platon, son initiateur. Ces hypothèses veulent donner l'idée précise d'un art d'écrire mathématiquement réglé, disposant théoriquement et pragmatiquement des moyens adéquats, et sachant reprendre, dans un cadre de conceptualisation ainsi mathématise, un ensemble de figures et de valeurs poétiques signifiantes. L'art d'écrire serait, dans cette hypothèse, de conjoindre le poétique et le mathématique pour donner à la vie philosophique une représentation miniature virtuelle, séminale, et la possibilité d'une reproduction future dans un acte de lecture. On se sera donc appuyé, pour développer cette idée, sur un examen des textes ou Platon donne à penser et son rapport effectif à l'écriture et sa position dans le problème technique de l'art d'écrire comme dans celui, politique, de la communication de la pensée ; à savoir, les lettres et le Phèdre. Ces recherches renouent d'une part avec la tradition de lecture néoplatonicienne, non pas pour reprendre littéralement le contenu du commentaire, mais la qualité d'un rapport au texte à commenter. D'autre part, elles veulent se tester comme interprétation pertinente sur des sortes d' "expériences cruciales" pour la lecture. Avec le Timée-Critias, présenté ici comme banc d'essai, l'épreuve-test consiste dans la difficulté qui embarrasse un lecteur moderne : l'apparent inachèvement du discours de Critias<br>These researches about the work of Plato, the Timaeus-Critias, such as he conceived it, are meant to confirm some of the hypothesis about his philosophical writing. These hypothesis want to give a definite idea of a writing art mathematically adjusted, theoretically and practically feasible, and a writing art which is able to integrate, on this base, some poetic,traditional and meaningful figures. In such an hypothesis, the art consists in joining the poetic and the mathematic as well, in order to allow the philosophical practice to become a virtual performance, so that the miniatured and seminal dialogue of his text can reproduce itself in the activity of reading, in the reader himself. Thus, these researches command to consider the many texts in which plato gives some informations about his own relation with a piece of writing, and takes position in the technical problem of the writing art or the political problem of the communication of thoughts (the letters and the phaedrus). On the one hand, this work revives the tradition of neoplatonician reading, not the content of them, but the way of considering a text. On the other hand, it wants to test itself as a relevant interpretation with + crucial experiments ; of reading. The Timaeus-Critias is here a relevant test for the reader of today to meet with the difficulty of the seamly incompletion of critias speech
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Vanatoru, Brigitte. "Le statut de la croyance à travers les représentations mythiques et scientifiques du monde." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2008. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210443.

Full text
Abstract:
Etude du statut de la croyance à travers les représentations mythiques et scientifiques des origines de l'univers. seront étudiés les mythologies issues de textes anciens qui nous sont parvenus (Théogonie d'Hésiode, Rg veda, etc aisni que les théories scientifiques les plus récentes. L'apport des neurosciences est ici déterminante et permet de mieux cerner le statut de la croyance.<br>Doctorat en Philosophie<br>info:eu-repo/semantics/nonPublished
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Olert, Judith. "Platonische Lehren in I. F. Annenskijs Lyrik : Eine intertextuelle Untersuchung /." Hamburg : Kovac, 2002. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb392655134.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Cremonesi, Laura Gros Frédéric Fabris Adriano. "Interpretazioni del mondo antico nell'opera di Michel Foucault "technai tou biou, epimeleia heautou e parrhesia /." Créteil : Université de Paris-Val-de-Marne, 2006. http://doxa.scd.univ-paris12.fr:80/theses/th0251317.htm.

Full text
Abstract:
Thèse de doctorat : Philosophie : Paris 12 : 2006. Dottorato di ricerca : Filosofiche : Università degli studi di Pisa : 2006.<br>Thèse soutenue en co-tutelle. Titre provenant de l'écran-titre. Pagination : 347 p. Bibliogr. p. 314-345.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

Goulet, Richard. "La philosophie de moise. Essai de reconstitution d'un commentaire philosophique prephilonien du pentateuque." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040003.

Full text
Abstract:
Materiel litteraire. Les traites exegetiques de philon d'alexandrie (1er s. Ap. J. C. ) : les traits conserves appartenant a la serie des allegories des lois sacrees (genese i-xvii), ainsi que les developpements allegoriques de l'exposition des lois et des questions-reponses sur la genese et sur l'exode. Point de depart. Les testimonia philoniens sur l'existence d'allegoristes juifs radicaux. Objectifs. Retrouver les vestiges d'un commentaire allegorique du pentateuque d'origine judeo-alexandrine utilise par philon dans l'elaboration de sa propre allegorie. Methode. Analyser selon l'ordre des versets bibliques (et non celui des traites de philon) les exegeses multiples proposees a differents endroits de l'oeuvre afin de deceler les incoherences et mettre en lumiere des continuites thematiques dans l'allegorie. Resultats. Decouverte d'une source litteraire homogene: un commentaire cursif de l'ecriture appliquant une methode allegorique rigoureuse afin de degager, par dela la denonciation de l'absurdite ou de l'inconvenance du sens litteral, la philosophie cachee de moise, source de la pensee des grecs. Une nouvelle image de philon: malgre tout le materiel exegetique qu'il emprunte a sa source, il reste un juif pieux hostile a l'allegorie radicale et a la demythologisation du judaisme qu'elle entendait mettre en oeuvre<br>Textual basis. The biblical commentaries of philo alexandrinus (1st century a. D. ): the extant treatises belonging to the series allegories of the sacred laws (genesis i-xvii), as well as the allegorical sections of the series exposition of the laws and of the questions and answers on genesis and exodus. Initial idea. The evidence from philo on radical jewish allegorists, whose works have been lost. Object. To gather together the vestiges of an allegorical commentary on the pentateuch produced in jewish alexandria at the end of the hellenistic period and used by philo while writing his own allegorical exegesis. Method. An analysis of all the explanations offered by philo throughout his treatises for a single biblical verse shows repeatedly self-contradictions, as well as recurrent themes, unseen by the reader who follows the philonian text and all its di
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

Spaak, Claude Vishnu. "Interprétations phénoménologiques de la Physique d'Aristote chez Heidegger et Patočka." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040171.

Full text
Abstract:
L’ambition de cette thèse est de confronter les interprétations heideggérienne et patočkienne des concepts fondamentaux de la Physique d’Aristote. Un point d’accord relie les deux philosophes : Aristote conçoit le mouvement comme une détermination ontologique fondamentale. Le mouvement (κίνησις/μεταβολή) se conçoit fondamentalement en effet comme un procès d’éclosion, d’advenue au paraître des étants dans la présence manifeste. Cependant, Heidegger et Patočka ne comprennent pas de la même manière le sens de ce mouvement ontologique au cœur de la nature (φύσις) : c’est à examiner ces différences que cette thèse est consacrée, de sorte à faire ressortir, à la faveur de l’interprétation d’Aristote, deux conceptions distinctes et à bien des égards opposées chez ces deux auteurs du sens et du statut de l’ontologie phénoménologique elle-même. Cette thèse conclut à l’idéalisme philosophique de Heidegger, ainsi qu’à la tendance contraire chez Patočka à un réalisme cosmologique qui conteste, jusqu’à un certain point, l’identité de l’être et du sens. Dans le cadre de cette thèse, une attention toute particulière est accordée au concept qui concentre en lui toute la charge de la tension : à savoir le concept de matière (ὕλη)<br>This thesis confronts the Heideggerian and Patočkian interpretations of the fundamental concepts of Aristotelian Physics. Both interpretations share a point in common: according to Heidegger and Patočka, Aristotle conceives movement as a fundamental ontological determination of Being. Indeed, movement (κίνησις/μεταβολή) is conceived by Aristotle as a process of unconcealment, of coming into presence of entities in the openness of manifest being. Nevertheless, Heidegger and Patočka disagree on the way that one should understand the meaning of this ontological movement at the core of nature (φύσις). This thesis is entirely dedicated to examining these differences. Our aim is to show, through Heidegger’s and Patočka’s interpretations of Aristotle, that there are two distinct and by all means opposed conceptions of the meaning and status of phenomenological ontology itself. This thesis concludes both to Heidegger’s philosophical idealism, and to Patočka’s contrary attempt to build a cosmological realism that challenges to a certain extent the identity between Being and meaning. In the working out of this thesis, a very particular focus is drawn on the concept that concentrates the entire charge of the tension, i.e. the concept of matter (ὕλη)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Monteils-Laeng, Laetitia. "L'akrasia dans la philosophie ancienne : une étude de la boulèsis et de l'hexis de platon aux stoïciens." Caen, 2010. http://www.theses.fr/2010CAEN1604.

Full text
Abstract:
Cette étude, « L'akrasia dans la philosophie ancienne. Une étude de la boulèsis et de l'hexis de Platon aux Stoïciens », se propose de mesurer l'ampleur des bouleversements induits en matière de psychologie morale par le questionnement du conflit de l'âme et de l'incontinence (akrasia) dans la philosophie antique, au travers de deux notions spécifiques, la boulèsis (souhait/désir rationnel/aspiration) et l'hexis (disposition/habitus). Il s'agit plus précisément de montrer que de Platon aux Stoïciens, en passant par Aristote, se produit un affaiblissement progressif de l'intellectualisme moral qui conduit certes non pas à une conceptualisation de la volonté comprise comme faculté de détermination de l'agir indépendante de la raison mais à une compréhension des composants de l'agir où notre état cognitif est solidaire d'une tension de notre vouloir<br>This work, « Akrasia in Ancient Philosophy. A Study on boulèsis and hexis from Plato to Stoics », means to assess the extent of the modifications induced in moral psychology by the examination of mental conflict and incontinence (akrasia) in ancient philosophy through two specific notions, boulèsis (wish/rational desire/aspiration) and hexis (disposition/habitus). We want precisely to show that, from Plato to the Stoics via Aristotle, a progressive weakening of moral intellectualism takes place which doesn’t lead to a conceptualization of will defined like a faculty of determination of the action independent of reason, but to an understanding of the elements of the action where our cognitive state is bound up with a tension of our willing
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Tordesillas, Alonso, and Mario Untersteiner. "Mario Untersteiner, les sophistes : seconde édition revue et notablement augmentée avec un appendice sur les origines sociales de la sophistique." Université Pierre Mendès France (Grenoble ; 1990-2015), 1987. http://www.theses.fr/1987GRE29062.

Full text
Abstract:
La these presente une traduction du volume i de l'ouvrage italien de mario untersteiner : i sofisti, relatif a protagoras et a gorgias. Cette traduction est precedee de quelques remarques concernant la vie et l'oeuvre de l'auteur, d'une introduction, d'une presentation de l'ouvrage traduit et d'une preface dutraducteur, et est accompagne de notes de traduction. L'introduction degage les diverses interpretations qu'ont subies les sophistes dans l'antiquite, en particulier celles de platon et d'aristote, puis suit les reevaluations modernes a partir du xixeme siecle montrant comment celles-ci sont redevables aux lecteurs anciennes qui, de fait, ont constitue le mouvement sophistique tel que nous le connaissons. La presentation de l'ouvrage traduit met en relief l'originalite de la lecture de m. Untersteiner par rapport aux rehabilitations anterieures, en particulier par l'usage qu'il fait de l'interpretation et, tente de mettre en perspective cette lecture dans la polemique qu'elle a suscite a la publication de l'ouvrage. La preface du traducteur tente d'indiquer quelques lignes de recherches posterieures a celles de m. Untersteiner et pour lesquelles l'etude de m. Untersteiner a permis une mise au point exhaustie ve concernant l'etat de la question jusqu'a 1967. La preface s'articule autour de trois notions : le language, la politique et le kairos, ce dernier apparaissant comle point de convergence des deux premiers. Enfin, une bibliographie des travaux de m. Untersteiner complete cet ensemble<br>The thesis presents a translation of the volume i of mario untersteiner's italian book : i sofisti, which concerns protagoras and gorgias. This translation is preceded by some notes on life and work of the author, an introduction, anpreliminary chapter on thettranslated book and a preface and foot notes about the translation. The introduction points out the different interpretations of the sophists in the antiquity, peculiarly those of plato and aristotle, and examines the modern valuations since the 19th century, showing that they are tributaries of the ancient interpretation, which, in fact have constituded the sophistic movement as we know it. The presentation of the translated work points out mario untersteiner's personal point of view with respect to precedent rehabilitations, specially on his own use of interpretation and replaces the work within the controversial discussions produced by the book. The translator preface points out some investigations performed after those of mario untersteiner, and for which the book translated is of a great interest because it makes a complete restatement of the question up to 1967. The preface connects three notions : language, politics and kairos, this latter is sehowed as the convergent point of the first two notions. A bibliography of mario untersteiner's concludes the thesis
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Savard, Dave. "L'avenir de la démocratie : perspectives des limites de la démocratie antique." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/29684/29684.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

Dos, Santos Nélio Gilberto. "Préservation et Usage. Le dualisme de la fin chez Aristote." Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL142.

Full text
Abstract:
Selon Aristote, la cause finale est double, suivant ce qu’il indique en cinq endroits stratégiques du corpus : à propos de la relation causale entre la finalité et la matière, dans Physique II ; par rapport à la finalité de la reproduction animale, dans De Anima II ; et un peu plus loin, dans cette même ouvrage, le dualisme est affirmé pour éclairer la manière dont l’âme est fin pour le corps ; dans l’Éthique à Eudème, où il s’agit de préciser la façon dont le dieu est fin pour la sagesse pratique ; enfin, concernant la causalité téléologique du Premier Moteur, dans Métaphysique Λ. Ce dualisme téléologique, formulé dans les occurrences du De Anima II à travers l’expression technique τὸ οὗ et τὸ ᾧ, ayant été développée dans une étude qui ne nous est pas parvenue, est fréquemment comprise en fonction de la finalité de la production technique et traduite par « le but visé » et « le bénéficiaire ». Toutefois, cette tentative d’éclaircir cette expression laconique pose des problèmes assez importants, dont celui de sa pertinence pour l’approche des phénomènes naturels qu’elle est censée expliquer. Cette étude cherche à restituer ce dualisme de la fin au centre de la compréhension aristotélicienne de la téléologie. L’examen des occurrences, ainsi que l’étude des thèmes majeurs de la finalité dans la philosophie de la nature d’Aristote, nous conduisent à mettre en avant deux notions qui permettent expliciter ce à quoi fait référence le dualisme téléologique : la notion d’usage, χρῆσις, et celle de préservation, σωτηρία<br>According to Aristotle, the final cause is twofold, as it indicates in five strategic places of the corpus: concerning the causal relation between finality and matter, in Physics II; with respect to the purpose of animal reproduction, in De Anima II; and a little further on, in this same work, this dualism is affirmed to enlighten the way in which the soul is end for the body; in Eudemian Ethics, where is it to specify the way in which the god is an end for practical wisdom; finally, concerning the teleological causality of the Prime Mover, in Metaphysics Λ. This teleological dualism, formulated in the occurrences of De Anima II through the technical expression τὸ οὗ and τὸ ᾧ, having been developed in a study that has not survived to our times, is frequently understood in terms of purpose in technical production and translated by "purpose" and "beneficiary". However, this attempt to clarify this laconic expression raises quite significant problems, including that of its relevance for the approach of the natural phenomena that it is supposed to explain. This study attempts to restore this dualism of the end at the centre of Aristotelian understanding of teleology. The examination of occurrences, as well as the study of the major themes of finality in Aristotle's philosophy of nature, lead us to put forward two notions that make explicit what the teleological dualism refers to: the notion of usage, χρῆσις, and that of preservation, σωτηρία
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Le, Noxaïc Armand. "L'idée de vide de l'antiquité à nos jours : histoire et interprétations." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010622.

Full text
Abstract:
L'idée de vide émergea en Grèce, dans la cosmologie pythagoricienne, au Vème siècle av. J. -C. Elle apparut, d'autre part, très tôt dans les textes hindous. Dans l'antiquité, Démocrite définit comme principes le vide et les atomes ; alors qu’Aristote envisagea un continuum de l'être. Le moyen-âge arabe et chrétien adopta la position d’Aristote, en soutenant toutefois, pour les scolastiques chrétiens, que Dieu puisse créer un espace vide. Au XVIIème siècle, l'expérience barométrique de Torricelli et les travaux de pascal permirent d'envisager de nouveau l'existence du vide. L'éther domina la physique du XIXeme siècle avant que l'expérience de Michelson et de Moriey l'eut mis en défaut. L'idée de vide resurgit au XXème siècle en s'avérant diffèrent du vide démocritéen. Le vide quantique est caractérisé par des fluctuations qui perturbent le comportement des particules réelles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography