To see the other types of publications on this topic, follow the link: Lettres à un ami allemand.

Journal articles on the topic 'Lettres à un ami allemand'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 17 journal articles for your research on the topic 'Lettres à un ami allemand.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Delori, Mathias. "Camus et la montée aux extrêmes. Commentaires d’un politiste sur les Lettres à un ami allemand." Littérature N°199, no. 3 (2020): 101. http://dx.doi.org/10.3917/litt.199.0101.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Lévesque, Andrée. "« Cher Ami » : cinq lettres d’Éva Circé-Côté à Marcel Dugas." Articles 24, no. 1 (September 14, 2011): 45–59. http://dx.doi.org/10.7202/1006076ar.

Full text
Abstract:
Cinq lettres de la femme de lettres Éva Circé-Côté adressées à Marcel Dugas, à Paris, constituent des documents historiques révélateurs sur la relation entre les protagonistes, sur la pensée de Circé-Côté, sur ses lectures et sur ses réseaux sociaux pendant les années 1920. À l’égard de son collègue et ami, elle joue le rôle de mentore en lui prodiguant encouragements, conseils et remontrances. Il est aussi le confident à qui elle livre ses sentiments sur la religion, sur la mort de sa mère, sur le milieu intellectuel québécois. Les lettres de Circé-Côté ne contribuent pas seulement à son autoportrait, mais elles laissent voir aussi un portrait de Dugas, éclairant ainsi la biographie des deux personnages.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Legault, Josée. "Réponse à un ami canadien. Précédé de lettres à un ami québécois de Philip RESNICK et Daniel LATOUCHE, Montréal, Boréal, 1990, 174 p." Politique, no. 19 (1991): 149. http://dx.doi.org/10.7202/040694ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Tewes, Ludger. "Aurélie Luneau / Jeanne Guérot / Stefan Martens: Comme un Allemand en France. Lettres inédits sous l´occupation 1940 – 1944." Das Historisch-Politische Buch 67, no. 2 (June 1, 2019): 259–60. http://dx.doi.org/10.3790/hpb.67.2.259.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Denis, Serge. "Philip RESNICK, Letters to a Québécois Friend. With a Reply by Daniel Latouche;Philip RESNICK et Daniel LATOUCHE, Réponse à un ami canadien, précédé de Lettres à un ami québécois." Recherches sociographiques 33, no. 2 (1992): 337. http://dx.doi.org/10.7202/056697ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

COGMAN, P. W. M. "Review. Lettres a un ami. Tomes I & II. Texte presente et commente par Jean Gaudon. Hugo, Victor." French Studies 40, no. 1 (January 1, 1986): 86. http://dx.doi.org/10.1093/fs/40.1.86-a.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Flower, John. "Book Review: Aurélie Luneau, Jeanne Guérout and Stefan Martens (eds.): Comme un Allemand en France: Lettres inédites sous l’Occupation, 1940–1944." Journal of European Studies 47, no. 2 (May 26, 2017): 226–28. http://dx.doi.org/10.1177/0047244117705930g.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

von Blumröder, Christoph. "S’orienter selon Hermann Hesse." Circuit 19, no. 2 (June 3, 2009): 11–34. http://dx.doi.org/10.7202/037448ar.

Full text
Abstract:
Resumé L’identité artistique de Stockhausen s’est forgée juste après la Seconde Guerre mondiale, durant la période entre les années 1948 et 1950, dans laquelle elle s’enracine. Pendant ces années, il était très créatif, particulièrement sur le plan littéraire, et à ce titre il était à la recherche d’une orientation, qu’il a trouvée chez Hesse. En 1949, quelques jours après son 21e anniversaire, Stockhausen fit parvenir à Hesse une lettre de six pages pour se présenter et lui offrir un de ses poèmes. Cette lettre, ce poème et la réponse encourageante de Hesse sont ici analysés, comme le sont aussi d’autres échanges épistolaires entre les deux hommes, quelques lettres de Stockhausen à son ami Karel Goeyvaerts, dans lesquels est examiné le roman de Hesse Das Glasperlenspiel, et un second poème de Stockhausen. L’oeuvre de Stockhausen s’est développée à partir de concepts thématiques et d’objectifs établis durant cette période.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Ouellet, Pierre. "L’idée d’Idée : une eidétique mallarméenne." Études littéraires 22, no. 1 (April 12, 2005): 11–26. http://dx.doi.org/10.7202/500884ar.

Full text
Abstract:
La conception mallarméenne de l'Idée est généralement rattachée à une forme d'hégélianisme: on la fait volontiers découler de l'idéalisme allemand, auquel Mallarmé aurait été sensibilisé par son ami Villiers. Des propositions comme « Le Verbe, à travers l'Idée et le Temps qui sont "la négation identique à l'essence" du devenir, devient le Langage » laissent croire, en effet, que l'auteur d' Igitur n'était pas insensible à la négativité productive de l'Idée, propre à la conception dialectique de Hegel. On ne peut cependant ramener complètement l'eidétique mallarméenne à un tel principe abstrait. Plongeant en fait ses racines dans la pensée présocratique - avec laquelle l'idéalisme platonicien est en dialogue constant, à travers, notamment, sa théorie du langage ( Cratyle ) et de la nature ( Timée )- l'Idée mallarméenne ne peut être considérée comme un « incorporel». Mallarmé parle, en effet, de « la figure, que demeure l'Idée », ou encore des « gestes de l'Idée », et affirme que c'est « par la seule sensation » qu'il est « arrivé à l'Idée de l'Univers », montrant par là que l'idéalité, comparable à un « théâtre mental » ou à une « scène spirituelle », peut être vue comme le lieu où se manifestent, dans leur « forme » ou leur « type », les « qualités sensibles » communes aux Mots et aux Choses. L'article explore, dans l'oeuvre de Mallarmé, cette conception de l'Idée comme lieu des « formes » de la sensation, de même que le lien qu'elle entretient avec le Réalisme de Platon, tel qu'on peut l'interpréter à la lumière de sa philosophie de la Nature.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Popovic, Aleksandar, and Radivoj Radic. "Pisma Dragutina Anastasijevica Karlu Krumbaheru - 1907-1909." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 41 (2004): 485–505. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441485p.

Full text
Abstract:
(francuski) Pionnier de la byzantinologie serbe, Dragutin Anastasijevic (1877-1950), s'est sp?cialis? de 1902 ? 1905 aupr?s de Karl Krumbacher (1856-1909) ? Munich o? il a obtenu son doctorat en 1905. De retour en Serbie, Anastasijevic est rest? en contact avec son ma?tre, comme l'attestent cinq de ses lettres, dat?es de 1907 ? 1909, conserv?es dans le legs ?pistolaire de Krumbacher (Bayerische Staatsbibliothek, M?nchen). Les photocopies de cette correspondance, r?dig?e en allemand, ont ?t? remises au recteur de Universit? de Belgrade, Marija Bogdanovic, par le prof. Peter Schreiner lors de sa promotion au rang de docteur honoris causa de l'Universit? de Belgrade, le 9 f?vrier 2004. Ce travail propose une traduction en serbe et un commentaire des lettres d'Anastasijevic. Bien qu'assez bref, leur contenu nous r?v?le le champ d'int?r?t tr?s diversifi? qui retenait alors l'attention de ce byzantiniste serbe. On y retrouve avant tout le th?me de sa th?se de doctorat Die par?netischen Alphab?te in der griechischen Literatur portant sur un type de po?sie moralisante jusqu'alors quasiment inconnu se caract?risant par des vers dont les initiales reprennent l'ordre de l'alphabet grec. Outre cela, Anastasijevic s'int?ressait alors tout particuli?rement ? l'?tude des chartes athonites, ce qui l'amena ? s?journer neuf mois ? l'Athos en 1907/08. On note auusi tout l'int?r?t qu'il portait ? un bague d'or octogonale, acquise en 1908 et aujourd'hui conserv? dans la Collection des antiquit?s romaines tardives et pal?o byzantines du Mus?e national de Belgrade. Bien que donnant de nombreux d?tails sur cette parure dans une de ses lettres conserv?es, Anastasijevic, lui m?me, ne l'a jamais publi?e. Cette bague n'a finalement fait l'objet d'une premi?re publication, due au dr Ivana Popovic de l'Institut Arch?ologique de Belgrade, qu'en 2001. Les pol?miques de l'?poque agitant la science byzantine ont ?galement trouv? un ?cho dans les lettres d'Anastasijevic. Il s'agissait avant tout de certaines questions relatives ? la formation du grec moderne. De fait, la question linguistique s'?tait ?rig?e en probl?me culturel et politique en Gr?ce d?s la fin du XVIII?me si?cle, qui a perdur?, il est permis de dire, jusqu'? nos jours. Le d?bat sur la langue est devenu plus particuli?rement virulent en 1905 lors de la parution du livre de Krumbacher, To npo?Xri?a ??j? veo)T?pa? ??a<?o?e\?\? cAATjvuoj? (p. 1-300) ??? ?ndvrrioi? sic avr?v vn? ?e?a??. N. ???&?a??] (?. 301-860). Nombre d'?crivains, de savants et, plus g?n?ralement, de gens de plume, consid?raient qu'il n'?tait pas de progr?s possible de la litt?rature et de la spiritualit? grecques sans une g?n?ralisation de l'emploi du grec d?motique. Parmi eux figurait notamment Karl Krumbacher qui a alors pris part ? le lutte pour l'introduction d'une langue grecque populaire. Parmi les savants grecs cette pol?mique voyait l'engagement de Georgios Chatzidakis, qui s'opposait ? l'introduction du d?motique, et Joannis Psycharis, qui voulait mettre un terme ? l'utilisation de la katharevousa et tentait de syst?matiser le d?motique et d'en faire la seul et unique langue nationale. D. Anastasijevic, qui ?tait ?galement partisan de l'emploi du grec d?motique, note dans une de ses lettres que ?seuls Psycharis et Krumbacher sont les ap?tres de la vie et de l'avenir qui toujours doivent l'emporter sur la mort et le pass??. Les lettres d'Anastasijevic nous renseignent ?galement, de fa?on explicite, sur son abondante correspondance avec de nombreux scientifiques contemporains tels que, par exemple, P. Marc, J. Heeg, P. Maas, G. Schlumberger, J. H. Mordtman. De toute ?vidence ce jeune savant serbe s'?tait fait un grand nombre d'amis parrains ses confr?res au cours de ses ?tudes ? Munich et de ses nombreux voyages ou s?jours de travail dans les principaux centres scientifiques et les plus importantes biblioth?ques d'Europe. Finalement, mais non en dernier lieu, il ressort clairement des lettres d'Anastasijevic tout le respect et la gratitude qu'il ressentait ? l'?gard de son ma?tre, et ma?tre de nombreux autres chercheurs se penchant sur le pass? byzantin, Karl Krumbacher. Il s'adresse ? lui le plus souvent par ?tr?s cher monsieur le professeur? ou ?tr?s cher ma?tre?. Dans ce cas il est r?ellement question du nombre rapport entre un ?l?ve et son ma?tre devenu son ?p?re spirituel?. .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Voisine, Nive. "Monseigneur Elzéar-Alexandre Taschereau et la création du diocèse de Nicolet." Sessions d'étude - Société canadienne d'histoire de l'Église catholique 52 (December 19, 2011): 35–50. http://dx.doi.org/10.7202/1007001ar.

Full text
Abstract:
Mgr Elzéar-Alexandre Taschereau, archevêque de Québec, est un des principaux partisans de la création du diocèse de Nicolet. Lors de la tentative avortée de 1875-1878, il se prononce ouvertement en faveur de la mesure, mais sans faire de pressions spéciales à Rome. Mais à partir de 1882, il prend la tête du mouvement en faveur de Nicolet, écrit régulièrement mémoires et lettres à la Propagande, insiste sur la nécessité d’agir rapidement, conseille les pétitionnaires, rameute une majorité de membres de l’épiscopat. Bien plus, au moment où le commissaire apostolique, dom Henri Smeulders, se prononce contre le diocèse de Nicolet, Mgr Taschereau va à Rome piloter les dossiers et faire pression sur les membres de la Congrégation de la Propagande pour arracher une décision définitive et favorable à sa cause. Ce qu’il obtient à l’arraché le 30 septembre 1884 et qui fait dire à un autre chaud partisan de Nicolet, Mgr Calixte Marquis : « Je n’ai pas fait le diocèse, je l’ai fait faire par Son Éminence le cardinal Taschereau, grand ami de ma jeunesse ». L’archevêque de Québec intervient si fermement et si instamment parce que le problème de la création du diocèse de Nicolet est directement relié aux autres débats de la période comme la question universitaire, le problème de l’« influence indue », les animosités entre les autorités diocésaines de Québec et les intransigeants de la province.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Nadeau, Robert. "Un panorama des conceptions de la justice sociale. Michel Herland, Lettres sur la justice sociale à un ami de l’humanité, Paris, Éditions Le Manuscrit, coll. Essais et documents, 2006, 334 p., Disponible également en version numérique <>." L'Actualité économique 84, no. 4 (2008): 449. http://dx.doi.org/10.7202/039327ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Olfert, Ryan J. "Luther’s Behemot: The Politics of Grace between Paul and Badiou." Studies in Religion/Sciences Religieuses 40, no. 1 (March 2011): 45–62. http://dx.doi.org/10.1177/0008429810387989.

Full text
Abstract:
The discourse of universal grace is employed as revolutionary theo-politics by many of the readers of Paul’s letters. Alain Badiou is one such reader of Paul, who finds in Paul the possibility of a new radical egalitarianism based on the constitution of a subject committed to the truth of a grace-like event. This paper examines the compatibility of Badiou’s politics and his reading of Paul in his book St. Paul: The Foundation of Universalism through a comparison with another politically radical reading of Paul, that of the German theologian and reformer Martin Luther. Like Badiou, Luther is a prime example of the way in which theology, philosophy, and politics are intimately connected. But more than that, Luther occupied a position from which he was able to, and did, affect the social and political implementation of his ideas. Thus, he provides a means of analyzing the results of the coordination of power and a Pauline universalism of grace. This paper concludes not only that Badiou’s attempt at a materialistic appropriation of Pauline grace is incommensurable with his political vision but that it has, to borrow Slavoj Žižek’s phrase, a hidden perverse core. Le discours de la grâce universelle est utilisé en tant que theo-politique révolutionnaire par plusieurs des lecteurs des lettres de Paul. Alain Badiou est un tel lecteur de Paul, qui trouve en Paul la possibilité d’un nouvel égalitarisme radical basé sur la constitution d’un sujet investi dans la vérité d’un événement de grâce. Ce document examine la compatibilité des politiques de Badiou et sa lecture de Paul dans son livre St. Paul: The Foundation of Universalism au moyen d’une comparaison à une autre lecture politiquement radicale de Paul, celui du théologien et réformateur allemand Martin Luther. Comme Badiou, Luther est un exemple typique de la manière dont la théologie, la philosophie, et la politique sont reliées intimement. Mais plus que ça, Luther a occupé une position dans laquelle il pouvait affecter et a affecté l’exécution sociale et politique de ses idées. Ainsi, il fournit des moyens d’analyser les résultats de la coordination de la puissance et d’un universalisme Pauline de grâce. Cet essai conclut que la version de grâce matérialiste avancée par Badiou est non seulement incommensurable avec sa vision politique mais qu’elle a-pour emprunter l’expression de Slavoj Žižek-un Ž noyau pervers caché.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

ΑΝΑΓΝΩΣΤΑΚΗΣ, Ηλίας. "Οὐκ εἴσιν ἐμὰ τὰ γράμματα. Ιστορία και ιστορίες στον Πορφυρογέννητο." BYZANTINA SYMMEIKTA 13 (September 29, 1999): 97. http://dx.doi.org/10.12681/byzsym.862.

Full text
Abstract:
&nbsp; <p>Ilias Anagnostakis</p><p>&nbsp;Histoire et histoires chez le Porhyrog&eacute;n&egrave;te. &Omicron;ὐ&kappa; &epsilon;ἴ&sigma;&iota;&nu; ἐ&mu;ὰ &tau;ὰ &gamma;&rho;ά&mu;&mu;&alpha;&tau;&alpha;</p><p>La correspondance de Constantin Porphyrog&eacute;n&egrave;te avec Th&eacute;odore de Cyzique est la seule oeuvre de l'empereur &agrave; n'avoir pas encore &eacute;t&eacute; contest&eacute;e: elle est consider&eacute;e comme une production absolument personelle -il s'agit d'ailleurs d'une correspondance priv&eacute;e. En effet, si pour toutes ses autres oeuvres, post&eacute;rieures &agrave; cette correspondance, il existe des scribes qui se chargent de composer, d'&eacute;crire, de recopier sous sa direction, au contraire ses lettres n'ont pas n&eacute;cessit&eacute; un tel &eacute;tat-major. On y pourrait constater donc le niveau d'&eacute;ducation et les pr&eacute;ferences stylistiques de l'empereur et on y constate en effet, outre l'amertume du fils &eacute;cart&eacute; de L&eacute;on, un manque de confiance en soi li&eacute; &agrave; un apprentissage tourment&eacute; et tardif et surtout l'aveu de son indigence litt&eacute;raire. Il serait une erreur d'interpr&eacute;ter ces aveux comme des simples exag&eacute;rations rh&eacute;toriques. En revanche, il est plut&ocirc;t ais&eacute; de rep&eacute;rer et d'&eacute;tablir avec s&ucirc;ret&eacute; la crainte qu'&eacute;prouve le Porphyrog&eacute;n&egrave;te &agrave; des sages et serviteurs des Muses pleins de suffisance. Chaque fois que s'en pr&eacute;sente l'occasion, il ne manque pas, lorsqu'il s'adresse &agrave; Th&eacute;odore, de mentionner sans detours son insuffisance. Quelquefois il la justifie &agrave; mots couverts mais assez clairs pour se faire comprendre. De fait, l'aveu de sa balourdise pourrait &ecirc;tre consid&eacute;r&eacute; comme une figure de style si nous ne disposions pas des r&eacute;ponses de son ami. Th&eacute;odore semble acquiescer et mettre l'empereur dans une position difficile, quand il le force d'avouer que les lettres ne sont pas &eacute;crites par sa main mais par son humble scribe. Reste, n&eacute;anmoins, ind&eacute;fini, le degr&eacute; de l'implication de l'empereur &agrave; sa correspondance priv&eacute;e. </p><p>Or, le processus d'&eacute;criture de la correspondance du Porphyrog&eacute;n&egrave;te pourrait dans une certaine mesure &ecirc;tre rapproch&eacute; du processus de composition de son oeuvre majeure, la Vita Basilii. Les &eacute;claircissements aux lettres &eacute;chang&eacute;es avec Th&eacute;odore et les explications qui accompagnent l'aveu &Omicron;ὐ&kappa; &epsilon;ἴ&sigma;&iota;&nu; ἐ&mu;ὰ &tau;ὰ &gamma;&rho;ά&mu;&mu;&alpha;&tau;&alpha; pourraient &eacute;clairer des nombreux c&ocirc;t&eacute;s du processus de sa production. Nous consid&eacute;rons en effet que si le Porphyrog&eacute;n&egrave;te confiait &agrave; ses collaborateurs la composition et la r&eacute;daction des livres de Th&eacute;ophane Cont. ou d'autres oeuvres apr&egrave;s en avoir pr&eacute;alablement d&eacute;fini les buts et le cadre, fourni la mati&egrave;re ou encore racont&eacute; en d&eacute;tail certaines histoires, la Vita au contraire pourrait &ecirc;tre dict&eacute;e, comme les lettres. Mais m&ecirc;me dans ce cas, la contribution du scribe pourrait &ecirc;tre consid&eacute;r&eacute;e comme bien plus importante qu'un simple enregistrement de ce que lui dictait l'empereur. Pour ce second type de collaboration avec ses scribes (si l'on consid&egrave;re comme un premier type celui adopt&eacute; pour Th&eacute;ophane Cont. et les autres ouvrages), l'empereur &nbsp;racontait simplement ou dictait, selon le cas de mani&egrave;re simple et en langue parl&eacute;e (celle probablement qu'il qualifie ailleurs de vulgaire), ou &eacute;lev&eacute;e et lettr&eacute;e (selon la conception qu'il avait du style &eacute;lev&eacute;). Or, le scribe servait en plus &agrave; faire passer &agrave; l'&eacute;crit toutes les exigences de style du Porphyrog&eacute;n&egrave;te en train de conter ou dicter de mani&egrave;re rel&acirc;ch&eacute;e lettres ou histoires. </p><p>Si cela est vrai, il nous est permis de supposer que pour le Porphyrog&eacute;n&egrave;te et ses scribes il existe r&eacute;ellement une ligne claire de s&eacute;paration qui impose nettement ses r&egrave;gles quant aux styles et aux genres et peut aussi engendrer des probl&egrave;mes de sinc&eacute;rit&eacute; et d'identit&eacute;, voire responsabilit&eacute;, en ce qui concerne l'auteur. Cette ligne de partage est &eacute;nonc&eacute;e dans la pr&eacute;face de Th&eacute;ophane Cont. o&ugrave; le Porphyrog&eacute;n&egrave;te apparait en train de narrer-dicter au scribe conform&eacute;ment &agrave; toutes les hypoth&egrave;ses que nous venons de faire. Ainsi, au-del&agrave; des questions d'organisation et de mat&eacute;riel qui l'ont impos&eacute;e, ces pr&eacute;cisions de la pr&eacute;face de Th&eacute;ophane Continu&eacute; ainsi que du d&eacute;but du DAI entretienent-elles un rapport avec le Porphyrog&eacute;n&egrave;te: la pr&eacute;f&eacute;rence &agrave; la narration, le non &eacute;crit, la langue simple. Jusqu'&agrave; quel point peut-on &eacute;galement soutenir qu'il pr&eacute;f&eacute;rait la &laquo;litt&eacute;rature l&eacute;g&egrave;re&raquo;, les chroniques, les r&eacute;cits populaires de son temps, dans lesquelles on trouve des proclamations stylistiques analogues aux siennes? L'Histoire se trouve-t-elle donc exclusivement du c&ocirc;t&eacute; de l'&eacute;crit et les histoires surtout de ce qui a &eacute;t&eacute; dict&eacute; en langue commune? Et si le service des scribes couvre toute cette gamme, l'apport personnel du Porphyrog&eacute;n&egrave;te se limite-t-il &agrave; l'oralit&eacute;, la dict&eacute;e? </p><p>En conclusion, nous pensons que pour le Porphyrog&eacute;n&egrave;te, moderne &agrave; son insu, l'Histoire n'existe pas, mais seule la narration, le <em>historein</em>. Il faudra donc surtout &eacute;tudier dans l'oeuvre qui lui est attribu&eacute;e l'acte de la narration, v&eacute;ridique ou invent&eacute;e, et le rapport de d&eacute;pendance entre narration et historicit&eacute;, entre histoires et Histoire.</p><p>&nbsp;</p>
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Agostini, Siegrid. "Claude Clerselier lettore del dubbio di René Descartes*." EDUCAÇÃO E FILOSOFIA 34, no. 72 (February 12, 2021): 1077–103. http://dx.doi.org/10.14393/revedfil.v34n72a2020-59281.

Full text
Abstract:
Claude Clerselier leitor da dúvida de René Descartes Resumo: Claude Clerselier foi amigo, correspondente, tradutor e editor de René Descartes, de quem publicou os três volumes da correspondência (Cartas do senhor Descartes), O homem e O mundo. Sua atividade de editor e tradutor foi sempre animada por um duplo desígnio : divulgar a filosofia de Descartes, construindo e veiculando, entretanto, a imagem mais ortodoxa possível do filósofo. Essa imagem de Cleserlier « vulgarizador » da filosofia de Descartes, que sempre o fez o fiel discípulo que se esforça para não se distanciar do mestre cujos méritos celebra, merece em nossa opinião um aprofundamento. Uma análise atenta do Prefácio a’O homem mostra incontestavelmente que Clerselier não se limita a difundir e defender a filosofia cartesiana, mas também que dela é um intérprete escrupuloso. A passagem desse Prefácio no qual Clerserlier discute certos temas, centrais, da metafísica cartesiana, nos parece, com efeito, sugerir uma abordagem completamente diferente daquela de seu mestre. Palavras-chave: Descartes. Clerserlier. Correspondência. O homem e O mundo. Claude Clerselier, reader of the doubt of René Descartes Abstract: Claude Clerselier was a friend, correspondent, translator, and editor of René Descartes. He published three volumes of correspondence of Descartes (The Correspondence of René Descartes), Treatise of Man, and The World. His activity as editor and translator was always inspired by a dual purpose: disseminate the philosophy of Descartes, though through building and conveying the most orthodox image possible of the philosopher. This image of Clerselier as “popularizer” of Descartes’ philosophy, that always portrayed him as the faithful disciple who strives to never distance himself from the master whose merits he honors, is, in our opinion, worthy of deeper analysis. Close attention to the Preface of the Treatise of Man undeniably shows that Clerselier did not limit himself to disseminating and defending Cartesian philosophy but that he is also its scrupulous interpreter. The passage of this Preface in which Clerselier discusses determined themes central to Cartesian metaphysics effectively appears to suggest a completely different approach to that of his master. Keywords: Descartes, Clerselier, correspondence, Treatise of Man, The World Claude Clerselier lecteur du doute de René Descartes Résumé: Claude Clerselier fut ami, correspondant, traducteur et éditeur de René Descartes, dont il publia les trois volumes de la correspondance (Lettres de Monsieur Descartes), l’Homme et le Monde. Son activité d’éditeur et traducteur fut toujours animée d’un double dessein : divulguer la philosophie de Descartes tout en construisant et véhiculant, du philosophe, l’image la plus orthodoxe possible. Cette image de Clerselier ‘vulgarisateur’ de la philosophie de Descartes, qui a toujours fait de Clerselier le fidèle disciple qui se garde de s’éloigner de la doctrine du maître dont il célèbre les mérites, mérite à notre avis d’un approfondissement. Une analyse attentive de la Préface à l’Homme montre incontestablement que Clerselier ne se limite pas à diffuser et à défendre la philosophie cartésienne mais qu’il en est aussi un interprète scrupuleux. Le passage de cette Préface dans lequel Clerselier discute certains thèmes, centraux, de la métaphysique cartésienne, nous semble en effet suggérer une approche complètement différente de celle de son maître. Mots-clé: Descartes. Clerserlier. Correspondance. L'homme et Le Monde. Data de registro: 17/11/2020 Data de aceite: 30/12/2020
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Bracco, Christian, and Jean-Pierre Provost. "VERS UNE MEILLEURE COMPRÉHENSION DES PREMIÈRES IDÉES SCIENTIFIQUES D’ALBERT EINSTEIN – SON ENVIRONNEMENT SCIENTIFIQUE EN ITALIE (1895-1902)." Istituto Lombardo - Accademia di Scienze e Lettere - Rendiconti di Scienze, June 29, 2020. http://dx.doi.org/10.4081/scie.2018.663.

Full text
Abstract:
L’«année miraculeuse» d’Einstein (1905), qui le voit publier en l’espace de quelques mois quatre articles et une thèse ayant marqué la physique de son temps, apparaît bien éloignée des années durant lesquelles, jeune étudiant à l’ETH de Zurich (1896-1900) puis en thèse (1901-1902), il revenait régulièrement dans sa famille à Milan. Albert Einstein s’étant très peu exprimé sur ses questionnements et ses positionnements scientifiques dans cette période, nous les analysons en détail à partir du contenu des lettres qu’il écrit à sa future femme Mileva Marić. Nous nous appuyons pour cela sur une étude antérieure portant sur son environnement scientifique à Milan publiée dans ces mêmes Rendiconti di Scienze. La lecture à la bibliothèque de l’Institut lombard du Festschrift pour Lorentz a joué un rôle important dans ses réflexions au printemps 1901, lorsqu’il est à Milan en compagnie de son ami Michele Besso. Nous discutons en particulier comment un article de Max Reinganum l’a mené sur une «fausse piste» le conduisant au retrait début 1902 d’une première thèse, dont celle de 1905 allait prendre le contrepied. Toujours dans le Festschrift, l’article de Henri Poincaré auquel Einstein fera référence en 1906, a de son côté probablement contribué à sa prise de conscience que le temps local introduit par Hendrik Antoon Lorentz est un vrai temps; il a pu aussi, chose surprenante, participer à une première image de quanta différente de celle de Max Planck. Quant au passage étonnant par la physique statistique (1902-1904), qui allait conduire Albert Einstein en 1904 avec Michele Besso à renouer avec les quanta, nous montrerons qu’il a été déterminé par une lecture passionnée mais incomplète de Ludwig Boltzmann (1899-1901). Finalement, la période antérieure à 1905, en partie à Milan, se révèle être une période riche scientifiquement, qui a permis au jeune étudiant Albert de devenir le savant Einstein que l’on connaît.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Guenther, Alan M. "Seeking Employment in the British Empire: Three Letters from Rajah Gobind Ram Bahadur." Fontanus 12 (January 1, 2010). http://dx.doi.org/10.26443/fo.v12i.194.

Full text
Abstract:
Three short 18th century Persian language letters in the manuscript collection of the Division of Rare Books and Special Collections, McLennan Library, along with the story of how they came to McGill University, provide a fascinating window on the British Empire and the efforts of imperial subjects to obtain employment. The story begins in Bengal where a rising civil servant, Raja Gobind Ram, at a difficult time in his life, petitions his friend David Anderson for assistance. Gobind Ram achieves success, holding eventually posts of considerable responsibility in nascent British India. When, in the late 19th century, the letters come to Canada, the story introduces a young Scottish entrepreneur and immigrant, J. K. Oswald, and his pursuit of employment—first in the financial world of Montreal and later in public service at the then small settlement of Calgary—during the years when the Canadian Pacific Railway was opening up Western Canada, and Louis Riel was leading the Northwest Rebellion of 1885.ResuméUn coup d’œil fascinant sur l’empire britannique et sur les efforts déployés par ses sujets pour trouver du travail est offert par trois courtes lettres en langue perse datant du 18e siècle et par l’histoire du cheminement par lequel elles sont parvenues à l’Université McGill, où elles résident présentement à la Division des livres rares et des collections spéciales de la Bibliothèque McLennan. L’histoire débute au Bengale, avec la demande d’aide adressée par le fonctionnaire Raja Gobind Ram lors d’un moment difficile de sa vie à son ami David Anderson. Gobind Ram accéda éventuellement à des postes d’importance considérable en Inde à l’aube de l’époque d’administration britannique. Ces lettres sont parvenue au Canada vers la fin du 19e siècle, et c’est à cette étape du récit que nous rencontrons James Kidd Oswald, un jeune entrepreneur et immigrant écossais. Nous le suivons alors qu’il cherche du travail—d’abord dans le monde financier de Montréal, puis à titre de fonctionnaire dans ce qui était alors la petite ville de Calgary—au cours des années qui ont vu la compagnie de chemins de fer Canadian Pacific ouvrir les portes de l’ouest canadien et Louis Riel mener la rébellion de 1885.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography