Academic literature on the topic 'Libertinage – 17e siècle'

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Dissertations / Theses on the topic "Libertinage – 17e siècle"

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Griffejoen-Cavatorta, Constance. "Libertinage et éthique aristocratique au XVIIe siècle." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2010. http://www.theses.fr/2011VERS006S.

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Abstract:
Au dix-septième siècle, nombreux furent les nobles qui, par leurs actes et leurs écrits, exprimèrent toute l’importance qu’ils accordaient à la liberté du corps, du cœur et de l’esprit. En manifestant leur tempérament voluptueux et en célébrant les plaisirs de la chair, ils s’affranchirent des règles d’une morale austère. En affichant certaines distances avec les pratiques et les croyances religieuses, ils affirmèrent leur indépendance et rejetèrent le respect dû à l’Autel. En nourrissant l’opposition politique par la participation aux complots et aux cabales, ainsi que par la pratique du duel, ils revendiquèrent un idéal d’insoumission. Les actions libertines, qu’elles concernent la débauche, l’incrédulité ou la rébellion politique prennent une force plus importante encore lorsqu’elles s’accompagnent d’une plume libertine. Les écrits composés par les représentants du libertinage aristocratique comme Monluc, Saint-Évremond, Bussy-Rabutin, La Fare ou encore Chaulieu, présentent une remarquable unité. Ces nobles partagent en effet des valeurs étroitement liées à leur rang, et composer des œuvres libertines, – par leur matière ou par leur manière –, contribue de façon plus pérenne à la construction de leur ethos aristocratique. Ainsi la revendication de liberté, placée au cœur du libertinage aristocratique, revêt-elle une importance capitale dans l’univers mental des nobles. Le libertinage apparaît comme un aspect essentiel de la culture nobiliaire et constitue l’une des expressions fondamentales de l’identité et de la conscience aristocratiques
In the seventeenth century, many noblemen voiced the importance they attached to the liberty of mind, soul and body, through their deeds and works. Showing their voluptuous nature and celebrating the pleasures of the flesh, they freed themselves from stern morals. Displaying some distance towards religious beliefs and practices, they asserted their independence and denied the consideration due to the Altar. Fostering political opposition by their involvement in plots and conspiracies, or by fighting duels, they claimed for an ideal of rebelliousness. Libertine deeds, whether they relate to debauchery, disbelief or political rebellion, gain strength when accompanied by a libertine pen. The works written by representatives of aristocratic libertinage such as Montluc, Saint-Évremond, Bussy-Rabutin, La Fare or Chaulieu reveal a remarkable unity. These noblemen share values closely linked to their standing; composing libertine works - whether in matter or in manner – more perenially contributes to building their aristocratic ethos. Set at the heart of aristocratic libertinage, claiming for liberty thus assumes a major importance to the noblemen and their mental universe. Libertinage appears as an aspect essential to nobiliary culture and constitutes one of the most fundamental ways of expressing aristocratic identity and consciousness
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D'Angelo, Filippo. "Le Moi dissocié : libertinage et fiction dans le roman à la première personne au XVIIe siècle." Grenoble 3, 2008. http://www.theses.fr/2008GRE39046.

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Abstract:
Les romanciers libertins du XVIIe siècle s'expriment volontiers à la première personne. Pour autant, leur utilisation du Je narratif n'aboutit pas à la configuration personnelle d'une vision hétérodoxe du monde. Marquée par l'ironie et la dissimulation, la pratique libertine de l'écriture autodiégétique est le produit d'un processus de dissociation énonciative : l'instance auctoriale se démarque de l'instance narrative, qui, à son tour, se désolidarise de son propre discours idéologique, pour se fragmenter en une succession de points de vue hétérogènes. La présente étude analyse ce processus à travers un corpus composé de: l'Histoire comique de Francion (1623) de Charles Sorel, la Première journée (1623) de Théophile de Viau, Les Avantures satyriques de Florinde (1625, anonyme), Le Gascon extravagant (1637) d'Onésime de Claireville, Le Page disgracié (1643) de Tristan L'Hermite, L'Autre Monde (1657-1662) de Cyrano de Bergerac, L'Orphelin infortuné (1660) de César François Oudin de Préfontaine, Les Aventures (1677) de Charles Coypeau Dassoucy, La Terre Australe connue (1676) de Gabriel de Foigny et l'Histoire des Sévarambes (1677-1679) de Denis Veiras. Au bout du parcours tracé par l'analyse des textes, la subjectivité qui préside à l'émergence des romans libertins à la première personne apparaît comme un Moi dissocié, suspendu à l'espace énonciatif neutre où se déploient ses impulsions contradictoires
The libertine novelists of the 17th century wrote frequently in first person. Nevertheless, their use of the first person narrator did not lead to a personal configuration of a heterodox vision of the world. Characterized by irony and concealment, the libertine practice of self-diegetic writing is the product of a process of declarative dissociation: the auctorial point of view is well separated by the narrative one that, in its tom, lost its own ideological discourse and became a series of heterogeneous points of view. This study aims at analyzing this process through sorne works such as the Histoire comique de Francion (1623) by Charles Sorel, the Première journée (1623) by Théophile de Viau, Les Aventures satyriques de Florinde (1625, anonymous), Le Gascon extravagant (1637) by Onésime de Claireville, Le Page disgracié (1643) by Tristan L'Hermite, L'Autre Monde (1657-1662) by Cyrano de Bergerac, L'Orphelin infortuné (1660) by César François Oudin de Préfontaine, Les Aventures (1677) by Charles Coypeau Dassoucy, La Terre Australe connue (1676) by Gabriel de Foigny and the Histoire des Sévarambes (1677-1679) by Denis Veiras. At the end of the path characterized by the analysis of these texts, the subjectivity marking out libertine first person narrator novels seems to be a dissociated subject, hanging on the neuter declarative space where its contradictory impulses takes place
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Staquet, Anne. "Descartes et le libertinage." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2007. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210696.

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Aoun, Ali. "Libertinage et utopie : étude comparée de la question de l'homme dans des utopies narratives du XVIIe siècle." Clermont-Ferrand 2, 2007. http://www.theses.fr/2007CLF20023.

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Abstract:
La question de l'homme était et demeure un sujet fort à l'honneur. En effet, qu'il soit utopique ou réel, l'être humain est tout ce qu'il y a à connaître. N'est-il pas la mesure de toute chose, pour reprendre les humanistes ? Au XVIIe siècle, la sensibilité anthropologique se nourrissait des récits de voyages des mondes récemment découverts. Le désir de donner un sens à sa vie et de découvrir qui pousse l'homme à voyager et à se comparer aux autres. La réflexion sur l'Autre va mettre en question le "moi". Contre le monolithisme de la vérité, l'utopie enseigne la relativité de tout jugement porté sur l'homme et sur la culture d'autrui. En outre, les utopistes libertins n'étaient indifférents aux mouvements de pensée qui ont agité leur siècle. Ils ont aussi repris des philosophies antiques comme l'Epicurisme et le Stoïcisme, deux doctrines jugées capables de fournir à l'homme un modèle de vie paisible. Les récits sont des miroirs où les différentes théories sur l'homme sont réflétées. Mais y a-t-il une vérité sur l'homme ? Celui-ci ne change-t-il d'ailleurs pas à peine on en a donné une définition ? N'est-il pas le siège de toutes les contradictions ? L'être humain est souvent instable, ondoyant, inconstant et insaisissable
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Bah-Ostrowiecki, Hélène. "Erudition et combat antireligieux au 17ème siècle : le cas du Theophrastus Redivivus." Paris 10, 1995. http://www.theses.fr/1995PA100074.

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Abstract:
Date de mille six cent cinquante-neuf et reste anonyme, le Theophrastus Redivivus est un volumineux ouvrage antireligieux, construit par réutilisation de la culture philosophique traditionnelle (tradition gréco-latine et renaissance essentiellement); il est composé de six traites, respectivement consacres à prouver l'inexistence des dieux, l'éternité du monde, la nature exclusivement politique de la religion, la mortalité de l'âme et l'inexistence de l'au-delà, la nécessité de mépriser la mort, puis de vivre selon la nature pour trouver le bonheur et la sagesse. Nous montrons d'abord comment le fonctionnement du texte (articulation et sélection des références érudites, techniques argumentatives diverses. ) Détermine la manière sont ces sujets, courants alors, sont traites. La tension entre un projet doxographique et l'intention polémique de l'ouvrage est notamment essentielle à saisir. La deuxième partie est centrée sur le concept de nature. Omniprésent dans le texte, il est au carrefour des réflexions sur le surnaturel, sur la société, et sur l'homme. En lui se reflètent les grandes positions philosophiques qui structurent l'ouvrage, ainsi que leurs insuffisances, voire leurs contradictions. Ces deux parties aboutissent chacune par une voie différente à la même conclusion : malgré une tonalité parfois violemment antireligieuse, le Theophrastus ne peut être globalement considéré comme un ouvrage purement et simplement athée. D'une part, le dispositif discursif du texte, fonde sur le dialogisme de l'érudition, montre que les positions hétérodoxe es, tout en ruinant les ambitions totalitaires du discours de l'église, sont également fragiles, car soutenues par la même culture et les mêmes techniques de persuasion. D'autre part, la négation des dieux, thématique initiale, n'est que le point de départ d'une réflexion qui, dans ces conséquences anthropologiques, finit par réintroduire la nécessité, pour penser l'homme, d'une altérité, incarnée par la nature; fonctionnellement, elle prend dans les développements éthiques la place précédemment occupée par le divin
The Theophrastus Redivivus, a bulky anonymous antireligious work written in sixteen fifty nine, is constructed on a reuse of traditional philosophical culture (mainly graeco-lation and renaissance); it consists of six treatises devoted respectively to proving the non-existence of gods, the eternity of the world, the exclusively political nature of religion, the mortality of the soul and the non-existence of the beyond, the necessity of despising death, then of living according to nature in order to reach happiness and wisdom. We will first show how the organization of the text (articulation and selection of scholarly references, various argumentative techniques. . . ). Determines the way in which these issues, common at the time, are dealt with. It is particularly crucial to grasp the tension between a demographic project and the polemic intention of the work. The second part focuses on the concept of nature which pervades the whole text and provides the meeting-point for reflexion on the super-natural, society, and man. It illustrates the major philosophical positions that structure the text, as well as their inadequacies, and even their contradictions. Those two parts reach the same conclusion via different ways: despite a sometime violently antireligious tone, the Theophrastus cannot be globably regarded as a merely atheist work. On the one hand, the discursive structure of the text, founded on the dialogism of scholarship, shows that heterodox positions, while undoing the totalitarian ambitions of the church's discourse, are vulnerable too, since they rely on the same culture and persuasion techniques. On the other hand, the denial of gods, the initial thematic, is only the starting point of a reflexion that, in its anthropological consequences, finally reintroduces the necessity, in order to think out man, of an alterity embodied by nature; in terms of function, it takes up in ethic developments the place previously held by the divine
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Moreau, Isabelle. "Les stratégies d'écriture des libertins au XVIIème siècle." Saint-Etienne, 2005. http://www.theses.fr/2005STET2097.

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Abstract:
Le libertinage de l’âge classique ne consiste pas en un corps de doctrine homogène. Il n’est pas compréhensible d’après la seule hétérodoxie religieuse. Si la pensée libertine s’oppose bien à la doctrine chrétienne, elle ne saurait se réduire à cette opposition : elle a une cohérence et une logique propres, qu’il importe de saisir pour interpréter les stratégies d’écriture. C’est dans le protocole de lecture et d’écriture des libertins — dans la complexité de leur style, dans l’appareil de leurs citations, dans l’ironie de leur rapport au texte — que se dessine l’angle d’approche le plus fécond. Gabriel Naude, François de la Mothe le Vayer, Cyrano de Bergerac et Charles Sorel parcourent un corpus de textes en perpétuelle redéfinition, formant un fonds commun de référence, et le réinvestissent de façon critique dans une production écrite originale. Pour en comprendre les enjeux, il est impératif de saisir la cohérence philosophique, rhétorique et stylistique du propos libertin. Qu’il s’agisse de la religion, de l’histoire ou de la philosophie naturelle, le libertin envisage les questions relatives au savoir d’une manière critique. Deux domaines — l’écriture de l’histoire et la lecture des récits de voyage — nous ont paru révélateurs. Nos auteurs développent une conception de l’homme et du monde en concurrence directe avec les représentations chrétiennes. L’homme est un animal « philomythe », toujours enclin à abdiquer ses facultés critiques. Pour le libertin, l’essentiel réside dans la compréhension du mécanisme qui sous-tend le phénomène d’adhésion. Les stratégies d’écriture sont la réponse rhétorique du philosophe à l’analyse anthropologique des croyances humaines
Seventeenth century libertinism does not constitute a single harmonious philosophy, nor does it reduce to mere anti-christianism. Libertine thought is obviously in conflict with christian doctrine, but should not be reduced to this conflict alone : libertinism possesses its own logic and coherence, which it is important to grasp in order to understand authorial strategies. The analysis of the libertine protocol of reading and writing — their complex style, their rhetorical use of quotations, their irony — seems to us the best approach. Gabriel Naudé, François de la Mothe le Vayer, Cyrano de Bergerac and Charles Sorel read a very select library of books which they appropriate before beginning to write their own. To understand what is at stake in this protocol, it is important to determine the philosophical, rhetorical and stylistic coherence of libertine discourse. In the fields of religion, history and natural philosophy, the libertines tackle the question of knowledge from a very critical standpoint. Two domains — historiography and the reading of travelers’ accounts of their journeys — seem especially significant. Our authors elaborate an image of man and the world which competes with christian representations. Man loves myths : he has an inherent tendency to abandon critical distance. The libertines believe that it is most important to analyse the psychological mechanism that gives birth to conviction and belief. Writing strategies are the philosopher’s rhetorical answer to the anthropological analysis of human beliefs
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Caballero, Marcial. "J. C. Vanini : averroïsme de Padoue et pensée libertine (une philosophie de la crise à l'âge baroque)." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1996PA040155.

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Abstract:
Le temps de la contre-réforme ou l’Age baroque nous offre le cadre essentiel où l'on doit inscrire le sujet de notre recherche : Vanini (1585-1619) et ses écrits; ce serait la meilleure façon de la mettre à l'abri des interprétations tendancieuses ou anachroniques, si fréquentes dans les approches faites jusqu'à une époque récente. Ce temps était fortement conditionné par une "logique de guerre" et l'imaginaire intensément travaillé par des métaphores récurrentes nourries de connotations sceptiques, qui tendaient à voir la vie comme un "songe" et le monde comme un "théâtre". Les gestes, les écrits -somme toute les actions du philosophe-, une fois resitués dans ce contexte, présentent, pour l'histoire de la pensée, l'intérêt d'une réponse originale ; même si Vanini se sert d'éléments d'autres courants et de doctrines présentes dans la philosophie de la renaissance tardive, et qu'il construit cette réponse sur les débris d'un savoir en crise (l'aristotélisme) cautionnant, dans sa version la plus orthodoxe, la violence idéologie de la contre-réforme, principale cible de sa critique. Son côté radical et sa valeur d'anticipation expliqueraient le composant polémique qui l'a toujours accompagné, mais aussi sa capacité d'agir, de par sa particulière insertion dans le courant libertin, comme un catalyseur ou une référence difficile à oublier quand il s'agit de repenser certains sujets importants lies au surgissement, à la consolidation d'une certaine mentalité moderne ainsi qu'à ses contradictions inhérentes : conception des fondements et fonction du savoir, place que l'on accorde à la nature et à l'homme dans la nature, relation philosophie-religion, philosophie-pouvoir, façon d'envisager les notions métaphysiques et l'horizon de la transcendance, possibles bases d'une éthique ne s'appuyant plus sur un fondement religieux
The topic of our research is G. C. Vanini's life and works (1585-1619). Until recently, these have been partially or anachronistically interpreted. That is why we have decided to place them in their proper context, within the age of counter-reformation, or the age of barocco. This was a time strongly conditioned by a "logic of war", a time when imagination was deeply concerned by recurrent metaphors with sceptic connotations that tended to contemplate life as a "dream" and the world as a "theatre". Every deed and writing of this philosopher can be analyzed as an original answer in the history of thought, once they are replaced in their right context, Vanini uses elements from other schools and doctrines from the late renaissance philosophy and builds upon the ruins of a thought in crisis (Aristotelian tradition) that -in its most orthodox version- legitimates the violent ideology of counter-reformation, which is Vanini's main target. His radicalism, as well as his ability for anticipation would explain the controversy that has always accompanied him, under the contradictory labels of "hero" or "damned". It would explain as well his capacity for acting as a catalyst -within the libertine movement- and as a reference difficult to forget when we try to rethink some important subjects related to the origin and consolidation of a certain modern mentality and its inherent contradictions: the conception of the basis and functions of knowledge, the place we assign to nature -and to man in nature-, the relationships between philosophy and religion or philosophy and power, the way to consider the metaphysical concepts or the horizon of transcendence, and the possible basis of an ethical theory that isn't based on religion any longer
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Julia, Aurélie. "Frédéric Lachèvre ou le renouveau des études dix-septièmistes." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2005PA040185.

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Abstract:
Qui se souvient de Frédéric Lachèvre (1855-1943) ? Figure oubliée des dictionnaires encyclopédiques, le nom du personnage ne résonne plus dans les esprits. Et pourtant ! Que de services rendus à la " petite histoire " ! Que d'heures passées à dégager des archives poussiéreuses les minores du XVIIe siècle ! Seuls les spécialistes gardent peut-être en mémoire les fameuses Bibliographies des recueils collectifs de poésie du XVIIe siècle qui valurent à l'amateur la réputation de " bibliographe-bénédictin ". Rien, chez cet homme, ne laissait prévoir une telle destinée. Promis à une belle carrière financière, c'est seulement à l'âge de quarante-cinq ans que l'autodidacte publie ses premières études : Jacques Vallée Des Barreaux, Théophile de Viau, Saint-Pavin, Claude de Chouvigny. . . Sous sa plume, c'est tout l'univers libertin d'un siècle alors mal connu voire méconnu qui renaît. L'analyse proposée ne va pas sans livrer des commentaires personnels qui peuvent prêter à sourire : la vision engagée du bonhomme témoigne d'une époque et d'une sensibilité propre à certain milieu. Rappeler l'activité scientifique de Frédéric Lachèvre conduit à évoquer des notions aussi diverses que bibliophilie, bibliographie, censure. . . Avec elles réapparaissent des personnalités érudites comme Charles Nodier, Jean-Jacques Brunet, Pierre Louÿs, Fernand Vandérem, Georges Mongrédien. . . D'un style souple et léger, parfois sarcastique et mordant, l'œuvre de Frédéric Lachèvre invite à se plonger dans le monde truculent des petits poètes d'hier
Who remembers Frédéric Lachèvre (1855-1943)? Usually forgotten by encyclopaedias and dictionaries, his name rings no bell anymore although the man devoted himself to what could be called “minor history” and spent many hours bringing out the minors of XVIIth century from dusty archives! Only few specialists may remember the remarquable Bibliographies collectives de poesies du XVIIe siècle which earned Frédéric Lachèvre the nickname of “bibbliographe-bénédictin”. Nothing in this man could predict such a fate: promised to a brilliant career in Finance, it was only when he was forty-five when the autodidact published his first studies on Jacques Vallée Des Barreaux, Théophile de Viau, Saint-Pavin, Claude de Chouvigny. . . Under his pen, it is the world of a little known century which emerges. His commentaries with personal remarks could make one smile: his vision belongs to a particular milieu from a particular time. Recalling the scientific work of Frédéric Lachèvre evokes various notions as bibliophily, bibliography, censorship. . . Along with them reppear erudite persons like Charles Nodier, Jean-Jacques Brunet, Pierre Louÿs, Fernand Vandérem, Georges Mongrédien. . . With a light and pleasant style, sometimes sarcastic and caustic, the work of Frédéric Lachèvre is an invitation to bury oneself in the earthy world of minor poets
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Tricoche-Rauline, Laurence. "Le Moi libertin : Modalités d'expression de la subjectivité à l'âge classique." Saint-Etienne, 2006. http://www.theses.fr/2006STET2102.

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Abstract:
Cette étude met en évidence les enjeux de l’écriture libertine à la première personne, à partir des œuvres complètes de Théophile de Viau et de Tristan L’Hermite (à l’exception des pièces de théâtre), de la Prose chagrine de La Mothe Le Vayer, de la Relation d’un Voyage de Paris en Limousin de La Fontaine, des Aventures de Dassoucy, et des Lettres de Cyrano de Bergerac. Face à l’opposition des pouvoirs, les libertins construisent une image d’eux-mêmes complexe et clivée. Ils reprennent les modèles littéraires, moraux et religieux de l’orthodoxie, pour en suggérer la subversion, à destination de lecteurs choisis et éclairés. L’écriture personnelle libertine se définit par rapport au modèle de la confession : elle met en évidence la sincérité et l’humilité du moi, mais prive « entre les lignes » l’aveu et le motif de la conversion de tout sens religieux. Le choix récurrent de l’écriture personnelle correspond, pour les libertins, à une prise de position en faveur d’un certain individualisme. Les libertins prennent implicitement distance avec la vision cartésienne d’un sujet juge de la vérité et transparent à lui-même. Il ne peut y avoir de vérité que subjective et relative, pour des auteurs qui posent davantage de questions qu’ils n’avancent de réponses. Ils réhabilitent également les passions, y compris dans leurs traductions les plus « suspectes », tels que le rire, la mélancolie, la sexualité et le désir. L’écriture, qui conduit l’individu à faire l’expérience maîtrisée de la fécondité de son imagination et de la liberté des passions, semble être l’instrument essentiel de la quête libertine d’un bonheur terrestre.
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Szabries, Carmen. "Libertinage et libertins dans les romans d’Andréa de Nerciat." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040007.

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Abstract:
Dans ce mémoire, nous avons formulé trois interrogations principales autour desquelles a évolué notre recherche : quelle est la véritable nature des libertins dont Nerciat dresse le portrait ? Quelle est la portée éthique que dégagent ses créations littéraires ? Quels sont les outils littéraires qu’utilise l’auteur pour mettre en scène un libertinage joyeux et bon enfant ? Nous avons vu que Nerciat nous présente une écriture dans laquelle la volupté et l’excessive jouissance se rejoignent dans un univers plein de charme. Poussés par un hédonisme qui se suffit à lui-même, les petitsmaîtres vivent dans l’unique but de réaliser le plaisir, et cela sans de grandes souffrances. Il devient vite évident que notre romancier maîtrise parfaitement l’écriture ; celle-ci se caractérise par son allure souple, le tissage textuel est cohérent et le récit est inventif. L’auteur fait preuve d’une imagination débordante qui est au service d’un comique auquel le lecteur peut adhérer
The following thesis proposes three main questions : how realistic is Nerciat’s portrayal of his libertines? What ethical imperatives drive his literary creations ? What kind of literary devices does Nerciat employ to express a libertinage that is at once joyous and playful ? Nerciat’s writing exemplifies a voluptuousness and excessive pleasure that combine to create a unique universe full of exquisite charm. Shaped by a self-sufficient hedonism, his libertines live with the single-minded aim of fulfilling their ideal of pleasure, but do so without experiencing any great suffering. It soon becomes apparent that Nerciat is a master of writing : his style is characterised by a fluency of pace; the weaving together of textual elements is coherent and the content is inventive. Overall, the author reveals an imagination that is overpowering, but which reins itself in at the service of a comic humour that engages completely both the reader’s attention and his approbation
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Books on the topic "Libertinage – 17e siècle"

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Les sources documentaires du courant libertin français: Giulio Cesare Vanini. Fasano (Brindisi): Schena, 2004.

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Le charme indiscret de Jan Schuermans: Curé flamand du dix-septième siècle. Villeneuve d'Ascq [France]: Presses universitaires du Septentrion, 2003.

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Kenna, Anthony Mc. Libertinage et Philosophie au XVIIe siècle, tome 6 : Libertins et Esprits forts du 17e, quels modes de lecture ? Presses Universitaires de Saint-Etienne, 2002.

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