Academic literature on the topic 'Littérature française – 17e siècle – Histoire et critique'

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Journal articles on the topic "Littérature française – 17e siècle – Histoire et critique"

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Barraband, Mathilde, and Julien Bougie. "Un projet contrarié. L’histoire de la littérature contemporaine française au tournant du xxe siècle1." Tangence, no. 102 (February 10, 2014): 31–52. http://dx.doi.org/10.7202/1022656ar.

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Abstract:
Au tournant du xxe siècle, alors que l’histoire littéraire se transforme profondément et s’essaie à de nouvelles approches, alors que s’opposent des visions contradictoires de la fonction de la critique littéraire et que le lectorat s’élargit et se diversifie, il semble qu’un goût pour le contemporain s’affirme de manière relativement consensuelle au sein de la discipline. Le consensus est d’autant plus étonnant que l’ambition d’une histoire du présent est paradoxale et qu’elle contrevient à une certaine idée de l’histoire littéraire comme conservatrice. L’article propose d’observer le sort que les historiens de la littérature du tournant du xxe siècle ont réservé dans leurs histoires à la littérature de leur temps, et de répondre à quelques-unes des interrogations que cette pratique contradictoire soulève. L’observation des pratiques mais aussi des justifications des premiers historiens modernes de la littérature quant à l’étude du contemporain sera ainsi l’occasion de saisir plus largement les préoccupations et les principes de l’histoire littéraire au moment où elle se fonde et s’institue, se faisant alors la chambre d’échos des inquiétudes nationales et identitaires de la France du dernier xixe siècle.
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Weis, Monique. "Le mariage protestant au 16e siècle: desacralisation du lien conjugal et nouvelle “sacralisation” de la famille." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 134. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.07.

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Abstract:
RÉSUMÉLe principal objectif de cet article est d’encourager une approche plus large, supraconfessionnelle, du mariage et de la famille à l’époque moderne. La conjugalité a été “désacralisée” par les réformateurs protestants du 16e siècle. Martin Luther, parmi d’autres, a refusé le statut de sacrement au mariage, tout en valorisant celui-ci comme une arme contre le péché. En réaction, le concile de Trente a réaffirmé avec force que le mariage est bien un des sept sacrements chrétiens. Mais, promouvant la supériorité du célibat, l’Église catholique n’a jamais beaucoup insisté sur les vertus de la vie et de la piété familiales avant le 19e siècle. En parallèle, les historiens décèlent des signes de “sacralisation” de la famille protestante à partir du 16e siècle. Leurs conclusions doivent être relativisées à la lumière de recherches plus récentes et plus critiques, centrées sur les rapports et les représentations de genre. Elles peuvent néanmoins inspirer une étude élargie et comparative, inexistante dans l’historiographie traditionnelle, des réalités et des perceptions de la famille chrétienne au-delà des frontières confessionnelles.MOTS-CLÉ: Époque Moderne, mariage, famille, protestantisme, Concile de TrenteABSTRACTThe main purpose of this paper is to encourage a broader supra-confessional approach to the history of marriage and the family in the Early Modern era. Wedlock was “desacralized” by the Protestant reformers of the 16th century. Martin Luther, among others, denied the sacramental status of marriage but valued it as a weapon against sin. In reaction, the Council of Trent reinforced marriage as one of the seven sacraments. But the Catholic Church, which promoted the superiority of celibacy, did little to defend the virtues of family life and piety before the 19th century. In parallel, historians have identified signs of a “sacralization” of the Protestant family since the 16th century. These findings must be relativized in the light of newer and more critical studies on gender relations and representations. But they can still inspire a broader comparative study, non-existent in traditional confessional historiography, of the realities and perceptions of the Christian family beyond denominational borders.KEY WORDS: Early Modern Christianity, marriage, family, Protestantism, Council of Trent BIBLIOGRAPHIEAdair, R., Courtship, Illegitimacy and Marriage in Early Modern England, Manchester, Manchester University Press, 1996.Beaulande-Barraud, V., “Sexualité, mariage et procréation. Discours et pratiques dans l’Église médiévale (XIIIe-XVe siècles)”, dans Vanderpelen-Diagre, C., & Sägesser, C., (coords.), La Sainte Famille. Sexualité, filiation et parentalité dans l’Église catholique, Problèmes d’Histoire des Religions, 24, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, 2017, pp. 19-29.Bels, P., Le mariage des protestants français jusqu’en 1685. 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Huppe, Justine Yolande. "L' Écriture entre deux chaises." Nouvelle Revue Synergies Canada, no. 12 (February 7, 2020). http://dx.doi.org/10.21083/nrsc.v0i12.4836.

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Abstract:
« Le temps des avant-gardes. Peut-être la seule forme de vie excitante, parce que liée intimement à l’écriture » : voici la manière dont Chloé Delaume se remémore, dans Où le sang nous appelle (2014) son enthousiasme premier pour certaines expériences d’activisme poétique et politique, avant pourtant d’en dresser un bilan particulièrement critique. Cette citation, et la suite qui lui est donnée, résume toute l’ambiguïté du rapport qu’entretient Chloé Delaume au legs avant-gardiste, et en particulier situationniste. À la faveur d’une traversée des textes de Delaume – du Cri du sablier aux Sorcières de la République –, cet article tentera de déplier cette contradiction en montrant comment, malgré sa péremption annoncée, le concept d’avant-garde, dans ses dimensions historique, sociologique et pragmatique, permet de mieux situer Chloé Delaume dans le champ littéraire contemporain. 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Nadler, Leticia. "Maria Chapdelaine par L. Hémon." Deakin Review of Children's Literature 6, no. 3 (2017). http://dx.doi.org/10.20361/g2tp5w.

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Abstract:
Hémon, Louis. Maria Chapdelaine (adaptation de Jennifer Tremblay). Québec : Les Éditions de la Bagnole et Soulières éditeur, 2013. ImpriméÉcrivain français, Louis Hémon est aussi une figure emblématique de la littérature canadienne française grâce à son roman Maria Chapdelaine paru au début du XXème siècle et considéré aujourd’hui comme un véritable classique. En 2013, Jennifer Tremblay sort une version adaptée de ce roman afin de le rendre accessible aux plus jeunes. Et pour mieux se rendre compte de la vie du terroir canadien-français, s’ajoute au texte en caractères agrandis, de nombreuses illustrations de Francesc Rovira.L’adaptation de Jennifer Tremblay, reste très fidèle à la version originale. Il raconte l’histoire de Maria, une jeune canadienne française en âge de se marier. C’est une « belle grosse fille, et vaillante avec ça » qui plait mais qui semble « presque inaccessible » à cause de la distance qui la sépare du village. En effet, Maria vit avec sa famille au nord de Péribonka, loin de l’Église, à la lisière du bois, isolée de tout et de tous. Des prétendants, au nombre de trois vaincront la distance pour aller veiller chez les Chapdelaine, chacun d’eux lui offrant un avenir différent. Même si elle est attirée par François et peut être bien aussi par Laurenzo, c’est Eutrope qu’elle épousera.Derrière une histoire d’apparence banale, se cache toute une réflexion sur le « Pays de Québec », d’ailleurs évoquée explicitement dans l’avant dernier chapitre. Ainsi, la lecture de Maria Chapdelaine permet de revisiter le Québec rural d’autrefois et de mieux comprendre l’état d’esprit des habitants de l’époque.Cet ouvrage est un roman mythique de la littérature canadienne française et l’adaptation de Jennifer Tremblay fait de lui une œuvre idéale à étudier avec des élèves du secondaire, qu’ils soient francophones ou francophiles. Il pourra aussi aisément illustrer des thèmes abordés en études sociales ou être étudié en parallèle avec l’une des trois adaptations cinématographiques. Dans tous les cas, que ce soit en salle de classe ou pas, c’est un livre à lire absolument.Note : 4 étoilesAuteur de la critique : Leticia NadlerLeticia a étudié au campus Saint-Jean où elle a obtenu un baccalauréat en éducation. Elle enseigne à présent le français à des jeunes du secondaire.
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Auger, Reginald, and Allison Bain. "Anthropologie et archéologie." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.030.

Full text
Abstract:
Les parcours sinueux qu’ont suivis l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord depuis une cinquantaine d’années démontrent des intérêts convergents pour la connaissance et l’explication du comportement humain et cela avec des méthodes de recherche de plus en plus divergentes. L’anthropologie qui a émergé des milieux intellectuels aux États-Unis au XIXe siècle avait pour origine l’intérêt pour la compréhension des populations autochtones de l’Amérique; de cet intérêt pour l’humain, se sont développés des outils pour comprendre le comportement qui se cachait derrière le geste posé. Dès le début, l’anthropologue s’intéressait aux comportements et l’archéologue documentait les traces du geste posé. De cette proximité entre l’anthropologie et l’archéologie qui s’est concrétisée par la création du Bureau of American Ethnology à la fin du XIXe siècle, il était naturel de placer la formation en archéologie au sein de départements d’anthropologie dans les universités aux États-Unis et au Canada. Malgré l’apparence initiale d’un champ unifié et d’un terrain partagé entre l’anthropologie et l’archéologie, la pratique s’est transformée pour devenir tout autre au fil des ans. Au milieu du XXe siècle, l’archéologie commence à remettre en question sa relation avec les interprétations fonctionnalistes des anthropologues (Trigger 2006 : 363-372). La première figure à souligner le problème de l’inéquation entre les résultats de la recherche archéologique et la théorie en anthropologie fut Walter Taylor (1948) dans son livre A Study of Archaeology. Taylor, le relativiste, exposa son penchant pour le particularisme historique dans une approche qu’il identifie comme étant conjonctive; pour ce chercheur iconoclaste, l’historiographie comptait pour beaucoup. L’approche conjonctive consistait à établir des corrélations entre différents types de données dans des contextes historiques et culturels spécifiques afin de faire le pont entre des particularités historiques (les collections archéologiques) et des données anthropologiques. La méthodologie qu’il proposait impliquait la vérification d’hypothèses par l’analyse de la composition et de la structure des collections archéologiques. L’objectif central de cette approche visait à mettre de l’avant des études contextuelles détaillées qui permettraient d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques. Dans sa formulation de l’approche conjonctive en archéologie et la vérification d’hypothèses, Taylor reconnaissait qu’une réflexion critique était nécessaire puisque l'archéologue travaillait dans le présent. En dépit de la richesse des collections archéologiques et constatant le danger qui planait sur l’archéologie si nous avions continué à publier des listes d’attributs de nos objets au lieu d’interpréter la culture matérielle comme étant la trace du comportement humain, dans un geste de médiation entre l’anthropologie et l’archéologie, Binford (1962) publiait son article portant le titre Archaeology as Anthropology. Comme il le signale dans son introduction son article qui faisait suite à un ouvrage venant d’être publié par Willey et Phillips (1958) où l’on mentionne clairement que l’archéologie américaine « c’est de l’anthropologie ou rien du tout ». Ce geste d’éclat dans une période charnière de l’enseignement de l’archéologie dans les universités nord-américaines allait donner naissance à un nouveau paradigme que l’on appela la New Archaeology aussi connue sous le nom d’archéologie processuelle. Un tel changement de paradigme venait en contradiction avec les pratiques européennes en matière d’archéologie préhistorique, notamment celles de l’École de Bordeaux et de François Bordes, son membre le plus influent, qui avait réussi à imposer sa vision sur le sens de la variabilité des outils en pierre du paléolithique moyen (Bordes 1961; 1984). Dans sa thèse de doctorat intitulée The Bordes-Binford Debate: Transatlantic Interpretive Traditions in Paleolithic Archaeology, Melissa C. Wargo (2009) présente une analyse en profondeur des modes de pensée qui diffèrent entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Essentiellement, le raisonnement traditionnel voulait que l’apparition d’une nouvelle culture archéologique (de nouveaux types) puisse signifier la manifestation d’un nouveau groupe de personnes, un groupe ethnique détectable avec les outils de l’archéologie. C’est ce que nous apprenions à la lecture des travaux de François Bordes sur les changements technologiques observés au paléolithique moyen. Lorsque Binford est parvenu à étudier les mêmes collections, il proposa des interprétations toutes autres. Ainsi, alors que pour Bordes, des outils différents représentent des groupes différents; si l’ensemble de l’assemblage ne peut être attribué à un groupe avoisinant, peut-être alors que certains éléments peuvent l’être. Et si de tels parallèles peuvent être établis, l’approche de Bordes a pour corollaire que c’est là le lieu d’origine de la population à l’étude et que nous serions en présence d’une diffusion de traits culturels à partir de la migration d’un groupe ethnique. Pour Binford, la différence dans la composition des assemblages devrait plutôt être interprétée comme étant le résultat d’adaptations; pour ce chercheur, les assemblages archéologiques sont des coffres d’outils adaptés pour une fonction particulière. Nonobstant la grande quantité de statistiques accumulées, Binford, de son propre aveu, admit qu’il fut incapable d’expliquer ce qu’elles signifiaient. En d’autres mots, il avait beaucoup d’information sur le présent mais ne pouvait l’expliquer par manque d’analogie avec le passé. En dépit de ces différences d’opinion, l’utilité de la typologie de Bordes réside dans le fait qu’elle fournissait un langage descriptif; cette typologie a cependant été par la suite rejetée par certains chercheurs qui considéraient que la définition des types de François Bordes était inadéquate parce que trop subjective. Pire encore, Bordes a été accusé d’incorporer dans ses interprétations des hypothèses non vérifiées sur les capacités cognitives des hominidés durant le paléolithique moyen. De nos jours, nos analyses de la technologie visent à remplacer cette approche typologique de Bordes par une méthode s’appuyant sur la combinaison d’attributs dont la description porte davantage sur le comportement. De toute évidence, le débat entre le promoteur de la New Archaeology et la figure de proue de l’archéologie française et son approche taxonomique en pierre a permis de mettre en évidence un malaise profond sur la façon dont le passé devrait être interprété. Ce débat est aussi emblématique de traditions scientifiques différentes entre l’Europe et l’Amérique du Nord. C’est dans ce contexte intellectuel que sont nés des départements d’anthropologie associant l’anthropologie culturelle, l’anthropologie biologique, la linguistique et l’archéologie. Ces quatre champs sont apparus à des moments bien précis de l’histoire des universités nord-américaines mais de nos jours, la réalité de l’anthropologie est devenue beaucoup plus complexe (Bruner 2010). Un étudiant en archéologie peut avoir des besoins de formation en géographie, en histoire, en géologie, en botanique, en biologie, en ethnohistoire, en systèmes d’information géographique, en informatique, etc. alors qu’un étudiant en anthropologie pour atteindre un niveau de compétence élevé pourrait avoir besoin de formation en histoire, en science politique, en sociologie, en art, en littérature, en théorie critique, etc. Malgré que les besoins aient grandement changé depuis la création des départements d’anthropologie, les structures académiques sont demeurées statiques. La protection des départements d’anthropologie dans leur configuration actuelle des quatre champs relève le plus souvent des politiques universitaires. Ainsi, même si les professeurs étaient d’accord qu’il serait intellectuellement plus profitable de scinder ces gros départements, la question de diviser les départements d’anthropologie en unités plus petites qui feraient la promotion de l’interdisciplinarité dans les sciences humaines et sociales n’est pas envisagée dans la plupart des universités nord-américaines (Smith 2011). Au milieu de cette tourmente, se sont développés un certain nombre de départements et de programmes d’archéologie en Amérique du Nord. De là est née une discipline émancipée du joug des structures trop rigides et se donnant un ensemble de méthodes de recherche qui lui étaient propres. La trajectoire conceptuelle empruntée par ceux-ci a permis de remonter au-delà du geste et de la parole en retenant une classe cohérente de concepts explicatifs développés, certes en anthropologie, mais raffinés et adaptés au contact de l’archéologie et d’autres disciplines en sciences humaine et sociales et sciences de la nature. Cette indépendance intellectuelle de l’anthropologie s’est notamment affirmée par des collaborations entre l’archéologie et la philosophie des sciences (Kelly et Hanen 1988; Salmon 1982; Wylie 2002; Wylie et Chapman 2015). La croissance de l’intérêt pour les explications processuelles des données archéologiques chez plusieurs archéologues nord-américains fut motivée par le fait que les néo-évolutionistes en anthropologie mettaient trop l'accent sur les régularités dans les cultures. Les concepts utilisés en archéologie processuelle exerçaient une influence significative sur notre discipline et l’adoption de cette approche théorique était d’autant plus attrayante car les variables proposées se présentaient comme des causes majeures de changements culturels et relativement accessibles à partir des vestiges archéologiques. Cette approche s'intensifia et donna de nouvelles directions aux tendances déjà présentes en archéologie préhistorique. Dans ce changement de paradigme qui donna naissance au courant de la Nouvelle Archéologie en Amérique du Nord et à un moindre degré au Royaume-Uni, l’accent était placé sur la vérification d’hypothèses sur les processus culturels comme outils d’explication du passé. De la position qu’elle occupait comme l’un des quatre sous-champs de l’anthropologie ou encore, de celle de servante de l’histoire, l’archéologie est devenue l’un des plus vastes champs du monde académique (Sabloff 2008 : 28). En plus d’avoir trouvé son ancrage théorique dans les sciences sociales et humaines, l’archéologie, attirée par les techniques et méthodes fraie régulièrement avec les sciences physiques et les sciences de la nature. En se donnant ses propres méthodes de collecte et d’analyse pour l’examen de cultures distinctes et en poursuivant avec des comparaisons interculturelles, la discipline cherchait à mieux comprendre les cultures qui se sont développées à travers le temps et l’espace. Puisque l’objet d’étude de l’archéologie porte sur les traces de groupes humains dans leur environnement naturel et leur univers social, les questions qu’elle se pose sont fondamentales à l’histoire de l’humanité et pour répondre à de telles questions elle s’est dotée de méthodologies d’enquête qui lui sont propres. L’utilisation d’équipements sophistiqués pour déterminer la composition chimique des résidus lipidiques incrustés sur un outil en pierre taillée ou encore, les recherches sur la composition physico-chimique de la pâte d’une céramique sont des techniques visant à répondre à des questions d’ordre anthropologique. Le quand et le comment du passé sont relativement faciles à identifier alors que pour découvrir le pourquoi l’archéologue fait souvent appel à l’analogie ethnographique, une méthodologie issue de l’insatisfaction des archéologues à l’endroit des travaux en anthropologie culturelle (David et Kramer 2001). Une autre méthodologie est celle de l’archéologie expérimentale qui s’intéresse à la fabrication et à l’usage des outils (Tringham 1978), méthode similaires à celle de l’ethnoarchéologie. L’expérimentation à partir d’outils fabriqués par le chercheur et les banques de données provenant d’expérimentations contrôlées servent alors d’éléments de comparaison pour interpréter la forme des assemblages archéologiques (Chabot et al. 2014) est au centre de la méthode préconissée. Le développement de l’ethnoarchéologie durant les années 1970 aurait inspiré Binford (1981) lorsqu’il mit de l’avant l’utilisation de théories de niveau intermédiaire pour établir un lien entre ses données archéologiques et les théories de niveau supérieur sur le comportement. Sa décision semble avoir reposé sur les développements de l’approche ethnoarchéologique et ses propres terrains ethnoarchéologiques chez les Nunamiut de l’Alaska (Binford 1978). D’autres orientations théoriques ont vu le jour au cours des années 1960–1970 et ont fait la distinction entre différentes approches matérialistes par rapport à des schémas évolutionnistes antérieurs. Par exemple, Leslie White (1975) adopta une forme de déterminisme technologique très étroit qui reflétait une croyance en la technologie comme source de progrès social. Julian Steward (1955) envisagea un déterminisme écologique moins restrictif alors que Marvin Harris (1968) y voyait un déterminisme économique encore plus large. Pour ces quelques positivistes le rôle que l’archéologie se devait de jouer était d’expliquer la culture matérielle du passé. Quant à l’archéologue Lewis Binford (1987), il soutenait que l’étude des relations entre le comportement humain et la culture matérielle ne devrait pas être le rôle central de l’archéologie puisque selon lui, les données ne contiendraient aucune information directe sur les relations entre le comportement humain et la culture matérielle. Dorénavant, les données archéologiques se devaient d’être comprises par elles-mêmes, sans avoir recours à des analogies ethnographiques. Cette dernière approche voulait clairement établir de la distance entre l’archéologie, l’anthropologie culturelle, l’ethnologie et peut-être les sciences sociales en général ; son mérite était peut-être, justement, d’éviter les réductionnismes et les analogies rapides entre explications anthropologiques et assemblages archéologiques. Dans la même veine, d’autres remises en question sont apparues durant les années 1980 avec les travaux d’Ian Hodder (1982; 1985) sur la validité des certitudes positivistes qui avaient été le fonds théorique et empirique des adeptes de la New Archaeology. Depuis cette réflexion sur l’essence même de l’archéologie, Hodder a reconnu qu’une position critique est fondamentale face à l’objet d’étude; naquit alors le courant théorique post-processuel en archéologie. Dans son cheminement pour découvrir la signification des vestiges qu’elle étudie, l’archéologie post-processuelle s’appuie sur des études détaillées permettant d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques en exploitant la diversité des sources; cette direction du courant post-processuel en archéologie porte le nom d’archéologie contextuelle. Comme tout changement de paradigme apporte avec lui son lot de détracteurs, l’archéologie post-processuelle a été immédiatement accusée d’une trop grande subjectivité interprétative voire, de déconstructionisme. Les autres orientations placées sous le label archéologie post-processuelle incluent : le structuralisme, le néo-marxisme, l’archéologie cognitive, la phénoménologie, et d’autres encore Ainsi l’individu, l’agent ou l’acteur et son intentionnalité devrait être au centre des interprétations dans la théorie post-processuelle. Nous pouvons conclure que l’examen de la relation entre l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord a permis de constater que, depuis ses débuts, l’archéologie dans cette région du monde a vécu une liaison relativement tumultueuse avec l’anthropologie. Cette condition, souvent problématique, a vu naître, au Canada d’abord, des groupuscules d’archéologues avec des intérêts divergents qui se sont distanciés des paradigmes qui dominaient les départements d’anthropologie pour former des départements d’archéologie ou des programmes d’archéologie autonomes des programmes d’anthropologie. Sur les chemins empruntés ces nouveaux départements sont entrés en relation avec les départements de sciences naturelles, notamment, la géographie, avec laquelle les archéologues ont partagé un ensemble de concepts et de méthodes. Il en a résulté un enseignement de l’archéologie nettement interdisciplinaire et faisant appel à des méthodes quantitatives pour comprendre la culture matérielle dans son environnement naturel et expliquer son milieu culturel à partir de concepts empruntés aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences naturelles.
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Dissertations / Theses on the topic "Littérature française – 17e siècle – Histoire et critique"

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Mortgat-Longuet, Emmanuelle. "Naissance de l'"histoire littéraire" française : les représentations, au XVIe et au XVIIe siècle, de l'histoire des lettres de langue française." Paris 3, 1995. http://www.theses.fr/1996PA030049.

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Abstract:
Alors que se perpetue, dans la republique des lettres europeenne, la tradition d'une historigraphie savante et neo-latine des lettres, se constitue en france, au cours du 16e et du 17e siecle, une tradition proprement francaise de l'"histoire litteraire", qui determine, caracterise et juge un patrimoine des lettres en langue vulgaire. Cette histoire litteraire francaise naissante est fondee sur l'idee que les lettres forment un domaine d'excellence du royaume de france. Ainsi, au 16e et au 17e siecle, dans ce retour reflexif des hommes de lettres sur eux-memes, s'elaborent des schemas historiographiques et des representations qui cherchent a consacrer les lettres francaises "modernes" et inventent l'idee d'une identite culturelle nationale
Whereas, in the european republic of letters, the tradition of a learned and neo-latin historiography of letters perpetuates itself, in france, in the 16th and 17th centuries, a purely french tradition of literary history is formed, which defines, characterizes and judges a patrinomy ofletters in the vernacular. This new french literary history is founded upon the idea that letters form a domain of excellence in the kingdom of france. Thus, in the 16th and 17th centuries, in that reflexive soul-searching of men of letters, historiogrpahic schemes and representations are elaborated, which try to consecrate the "modern" french letters and invent the concept of a national cultural identity
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Jourde, Michel. "La voix des oiseaux et l'éloquence des hommes : sens et fonction des manifestations sonores de l'oiseau dans la littérature française des XVIe et XVIIe siècles." Bordeaux 3, 1998. http://www.theses.fr/1998BOR30050.

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Abstract:
Pour determiner les enjeux, en france au xvie et au xviie siecle, des rapprochements entre la voix d'un oiseau et un discours humain, nous nous sommes fonde sur l'etude de discours savants concernant les oiseaux (ornithologie, recits de voyage), de temoignages ou de fictions mettant en scene des oiseaux sonores, ainsi que de diverses operations linguistiques proposant de tels rapprochements (metaphores, periphrases, images savantes. . . ). Dans la premiere partie, nous etablissons le cadre dans lequel ces rapprochements prennent leur sens a l'epoque etudiee : difficulte des definitions (entre voix, chant, discours) ; jeu des (de)valorisations (une meme voix d'oiseau peut servir a louer ou a ridiculiser un discours) ; utilisation des oiseaux dans des processus de figurations, mettant enjeu, pour chaque voix d'oiseau, divers elements empruntes a l'observation comme a la tradition. La deuxieme partie etudie ces processus de figurations successivement dans les discours de louange (le concert des voix d'oiseaux est un eloge ideal, que l'orateur peut evoquer mais auquel il ne peut se joindre), dans les theories et les pratiques du sublime (les oiseaux figurent l'envol du discours mais aussi les risques de cet envol) et dans les elaborations concernant le nom propre de l'homme eloquent : ce dernier, en se rapprochant de l'oiseau par la periphrase, la pseudonymie ou la metaphore, cherche a raconter l'histoire de son eloquence, ses origines et ses desirs. La troisieme partie degage deux aspects majeurs de cette histoire : les oiseaux sont presents dans les apprentissages du discours, en offrant leur plume pour ecrire ou en constituant le modele d'une eloquence primitive et ideale ; par leur affinite avec le processus de la metamorphose, ils figurent une continuite possible entre le discours et ce qui s'oppose a lui (silence, bruit, enfance), entre le temps de l'enonciation, toujours borne, et les temps anterieurs ou posterieurs a cette enonciation.
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Macé, Stéphane. "La pastorale dans la poésie française de l'âge baroque." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040194.

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Abstract:
La poésie pastorale baroque s'affiche comme l'héritière consciente d'une longue tradition littéraire : Virgile et Théocrite, bien sûr, mais aussi les bucoliques mineurs de l'antiquité, les poètes élégiaques latins, puis les grands modèles de la renaissance néolatine. Ces exemples théoriques ou littéraires, enrichis encore par les apports en langue vulgaire des italiens, des espagnols ou de l'école de Ronsard, subissent avec le premier XVIIe siècle une mutation sans précèdent : la frénésie des formes qui s'empare de la poésie bucolique appelait une étude du statut générique de la pastorale. Mais l'analyse des différentes postures énonciatives, de l'approche descriptive ou de la pratique des genres mêlés engage également une réflexion sur la vision du monde baroque : comment expliquer sinon le succès de la poésie pastorale ? Les émules d'honore d'Urfé tentent d'y découvrir le remède à une crise des valeurs aristocratiques, les libertins s'en emparent pour conquérir un espace de liberté, et les poètes dévots de la contre-réforme irriguent le monde bucolique d'une spiritualité nouvelle. Qu'ils cherchent un refuge dans l'imaginaire ou approfondissent leurs blessures au contact d'une Arcadie endeuillée, les pastoralistes baroques investissent la bucolique de leur sensibilité propre, sensibilité dont les habitudes stylistiques sont aussi le plus sur révélateur.
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Esmein-Sarrazin, Camille. "L'avènement d'une poétique romanesque au XVIIe siècle : discours théorique et constitution d'un genre littéraire (1641-1683)." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040232.

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Abstract:
La pratique romanesque connaît d'importantes transformations dans les années 1660 : la forme se simplifie, la matière se fait plus proche du lecteur. Aux grands romans héroi͏̈ques succèdent des formes raccourcies : "petits romans", "histoires", "nouvelles". Au même moment sont publiés de nombreux textes qui cherchent à définir et à codifier le roman. Ils enregistrent ces mutations ainsi que les différences entre grands et petits romans, qu'ils mettent au compte d'un changement de genre (du roman à la nouvelle). Ils fondent ainsi une théorie du tournant. Cette construction orientée invite à s'interroger sur le lien entre la pratique romanesque et la poétique qui se fait jour alors, telle qu'elle apparaît dans l'ensemble des discours théoriques du 17e s sur le roman. Dans la première moitié du siècle, l'entreprise de théorisation est sous-tendue par un dessein apologétique : la nécessité de définir le roman face à ses détracteurs fait de tout écrit un discours pour ou contre le roman. Puis la fortune du roman, la légitimation qu'il acquiert et surtout le genre littéraire qu'il constitue désormais aux yeux des lecteurs engagent une réflexion sur le statut et les enjeux de la fiction. On peut ainsi parler de l'avènement autour de 1660 d'une poétique romanesque. Cette poétique, qui est moins un code qu'une réflexion sur l'effet à produire, envisage pour la première fois le roman en termes génériques. Le genre dans son ensemble connaît donc une mutation rhétorique et éthique plutôt qu'esthétique : l'"art de l'éloignement" en vigueur cède la place à un art de l'illusion qui modifie le statut de l'auteur et du lecteur ainsi que les enjeux idéologiques et moraux de la lecture
Many changes were made to the prose narrative in the 1660s: the structure was simplified and the subject matter was drawn closer to the readers' interests. Shorter forms called "petits romans", "histoires", "nouvelles" replaced long heroic novels. Around the same period, there were numerous attempts at codifying what a novel was. Highlighting the distinctions between long and short novels, these writings noted the changes and construed them as a shift in the genre. The 1660s can be heralded as a turning point in the theorisation of the genre. This interpretation induces an exhaustive study of the texts dealing with the novel form in the 17th c. In order to compare the poetics and the writing of novels. In the first middle of the century, the theory was apologetic in tone, since the aim was to define the novel against its opponents. A notable characteristic of these writings was that they were either in favour or against it. However the French fiction, progressively seen both as a legitimate literary type and, in the eyes of readers, as a genre, triggered a thorough study of the status and the aim of a prose narrative. The years 1660s witnessed the birth of the poetics of the novel, which went well beyond codification to focus on the impact of a narrative. For the first time the novel was considered as a literary genre. As a consequence the change in the novel had more in common with rhetorics and ethics than aesthetics. The "art de l'éloignement", which reigned as the predominant narrative rule in the first period, was superseded by the art of verisimilitude. This deeply modified the status of both the author and reader and transformed the ideological impressions it made
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Orwat, Florence Michèle. "L'invention de la rêverie dans la littérature française du XVIIe siècle." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2003PA040149.

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Abstract:
Inscrite dans le sillage des travaux consacrés à l'imaginaire classique, cette étude se propose de faire connaître le rôle majeur joué par le XVIIe siècle français dans l'invention d'une tradition littéraire, esthétique et philosophique prestigieuse : la rêverie - cette dernière étant appréhendée dans sa réalité linguistique et sémiotique. C'est en effet à cette époque que s'enrichissent les mots rêver et rêverie et qu'ils s'imposent sous la plume des écrivains, des savants, des moralistes et des penseurs. Conjointement se met en place une "poétique", articulée autour d'un signe aisément repérable et de mieux en mieux balisée et codifiée à mesure qu'avance le siècle. L'émergence de l'acception actuelle ; l'intérêt qu'on porte à la notion ; la récurrence du paradigme illustrent en conséquence des pratiques socioculturelles inédites comme l'essor d'une sensibilité nouvelle, qui puisent leurs origines dans l'histoire du vocabulaire et de l'histoire sociale, culturelle et intellectuelle, l'enquête, loin de toute visée téléologique, entend plus largement rendre compte d'une rencontre : celle d'un mot qui entre en résonance et en vibration avec les intimations, les enjeux et l'imaginaire d'une époque.
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Laumaillé-Hache, Sophie. "Rhétorique et passion : le sublime au XVIIe siècle." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040231.

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Abstract:
Les débats provoqués par la notion de sublime sont fructueux en questionnements rhétoriques, riches de paradoxes, croisant les grandes interrogations esthétiques du XVIIe siècle. Introduite dans le monde des lettres par les polémiques qui se nouent autour de Guez de Balzac, abondamment développée par les théoriciens de l'éloquence sacrée, révélée au public par la traduction que publie Boileau du traité de Longin, cette réflexion sur le sublime permet de concevoir le discours comme << une force irrésistible >> ravissant les âmes, au-delà de la hiérarchie des styles. Recourant à des outils lexicaux, logico-sémantiques et stylistiques, cette étude se propose de déterminer quelles sont les exigences théoriques essentielles posées les traites d'éloquence, fondées notamment sur une tension entre la recherche de simplicité et l'art des passions, pour les confronter avec l'exemplification qui lui est parfois associée ; il s'agit de se demander dans quelle mesure la réflexion rhétorique sur le sublime engage un renouvellement de la réception de l'œuvre. Les citations empruntées à des textes français du XVIIe siècle sont alors un lieu privilégié pour l'exploration d'un panthéon classique en voie d'élaboration
Meeting the great aesthetical interrogations of the XVIIith century, the debates about the notion of sublime are rich in paradoxes and raise many rhetorical questioning. Introduced in the literary world by the polemics on Guez de Balzac, amply developed by the theoricians of the holy eloquence, disclosed to the public by the publishing of the Longin's treatise by Boileau, this thought on the sublime considers the discourse as an +irresistible force ; that ravishes the souls beyond the hierarchy of styles. Using lexical, stylistic, logical and semantical aids, this study intends to determine what are the main theorical requirements proposed by the treatises about eloquence. Then, its aim is to confront these requirements, often based on the tension between the quest of unaffectedness and the art of passions, with the exemplification sometimes associated with them. The matter is to ask oneself to which extend the rhetorical thought on the sublime leads to a renewal of the reception reserved to the literary work. In this viewpoint, the quotations derived from texts written in the XVIIith century by French authors further fruitfully the exploration of a classic pantheon on the way to completion
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Requemora, Sylvie. "Littérature et voyage au XVIIe siècle : (récit, roman, théâtre)." Aix-Marseille 1, 2000. http://www.theses.fr/2000AIX10012.

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Abstract:
L'etude des liens entre la litterature et le voyage permet d'analyser la topique de l'homo viator a la fois dans sa realite, a travers des recits de voyage authentiques, et dans ses traitements litteraires, a travers la production romanesque, theatrale et poetique de la meme epoque. Le corpus couvre une periode qui s'etend de la fin du xvieme siecle jusqu'aux premieres annees du xviiieme siecle, depuis montaigne et lery jusqu'a la traduction des mille et une nuits de galland, en passant par de grandes oeuvres comme polexandre, ibrahim, le bourgeois gentilhomme, bajazet ou les aventures de telemaque, et par des oeuvres moins connues (relations de voyageurs, recits de flibustiers, tragi-comedies, ballets, romans baroques, alchimiques, libertins, voyages imaginaires, utopies, etc. ). L'espacegeographique considere couvre les quatre points cardinaux (indes orientales et occidentales, laponie, barbarie, cafrerie) et privilegie l'outremer par rapport au voyage en europe. La premiere partie de la these s'attache a la lettre meme des textes recenses, afin de mettre en valeur la verite litteraire de cette interinfluence entre voyage et litterature en degageant des arts poetiques viatiques mixtes. La seconde confronte l'ecriture a l'imaginaire de l'ailleurs, le texte a la culture de son contexte a travers l'etude des images, de la cartographie allegorique et de notions telles que la curiosite, le merveilleux, le vraisemblable, les stereotypes, pour arriver a preciser les fonctions du voyage. La derniere partie essaie de penser les sens ideologiques que le voyage prend au xviieme siecle (reflexions sur l'autre, soi, l'etat, le droit, la religion, la nature humaine). L'interference des ecritures et des imaginaires s'avere etre le lieu privilegie de la comprehension d'une certaine "modernite" du xviieme siecle, creant et metamorphosant des genres en fonction d'experiences et d'idees nouvelles.
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Smoliarova, Tatiana. "L'inspiration pindarique dans l'ode aux XVIIe-XVIIIe siècles en France et en Russie." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040109.

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Dion, Nicholas. "Sur quelques inflexions élégiaques de la tragédie classique française, 1680-1704." Thesis, Université Laval, 2005. http://www.theses.ulaval.ca/2005/22805/22805.pdf.

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Dion, Nicholas. "Entre les larmes et l'effroi : inflexions élégiaques et horrifiques dans le théâtre tragique, de l'âge classique aux Lumières (1677-1726)." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/27328/27328.pdf.

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Books on the topic "Littérature française – 17e siècle – Histoire et critique"

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Mitterand, Henri. Littérature: Textes et documents. Nathan, 1988.

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Tadié, Jean-Yves. Introduction à la vie littéraire du XIXe siècle. Dunod, 1994.

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3

Launay, Michel. Introduction à la vie littéraire du XVIIIe siècle. Dunod, 1996.

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Angenot, Marc. Le cru et le faisandé: Sexe, discours social et littérature à la belle époque. Ed. Labor, 1986.

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Michel, Launay. Introduction à la vie littéraire du XVIIIe siècle. Dunod, 1996.

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Lestringant, Frank. Littérature française du XVIe siècle. Presses universitaires de France, 2000.

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7

Rohou, Jean. Histoire de la littérature française du XVIIe siècle. Nathan, 1989.

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Mitterand, Henri. La littérature française du XXe siècle. Nathan, 1996.

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Les miroirs du soleil: Littératures et classicisme au siècle de Louis XIV. Gallimard, 1989.

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La Littérature française aujourd'hui: Essai sur la littérature française dans la seconde moitié du XXe siècle. Vuibert, 1997.

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