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Dissertations / Theses on the topic 'Livres illustrés – France – 18e siècle'

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Schnitker, Julia. "La Révolution française et le Premier Empire dans les livres illustrés en France de 1815 à 1870." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/1999PA040125.

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Abstract:
L'objectif de cette thèse est de faire une étude des travaux des principaux éditeurs, historiens et illustrateurs de l'épopée révolutionnaire et napoléonienne au 19eme siècle et d'établir un tableau chronologique et iconographique des images des années 1789 à 1815 dans les ouvrages français publiés de 1815 à 1870. Notre travail s'ouvre sur une brève étude du contexte historique, technique et artistique des illustrations des livres d'histoire. Pour retracer le long chemin menant des éditions de luxe dans les années 1820 aux éditions populaires des années 1860 nous analysons, dans la deuxième partie, l'histoire de principaux livres illustres relatifs à l'époque révolutionnaire et napoléonienne. Notre procédé est chronologique et comprend, entre autres, les différentes éditions des livres, leur critique dans la presse et la biographie de ses auteurs et illustrateurs. Puis, dans la troisième partie, nous étudions l'iconographie des grands évènements historiques de la Révolution, du Consulat et de l'Empire dans les divers ouvrages publiés entre 1815 à 1870. La quatrième partie se compose d'un catalogue chronologique des illustrations des livres relatifs à la Révolution et Napoléon, qui ont été publiés en France entre 1815 et 1870.
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Deloignon, Olivier. "Ut architectura, ars typographica : l'architecture livresque avant la "révolution" aldine." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2008. http://www.theses.fr/2008STR20072.

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Abstract:
Art impur par essence, la typographie est un élément fondamental de la transmission des idées, des images, des connaissances et un formidable outil de construction et de diffusion de l’imaginaire. Nous avons envisagé la longue tradition assimilant l’organisation du texte à la construction d’un bâtiment au prisme d’un lieu commun de la pensée esthétique renaissante. À cette période, la mise en parallèle de l’architecture et du texte s’accompagne de la mise au point de procédés topiques où les lieux du livre sont assimilés aux composantes d’un édifice à l’instar des ars memorativa. Cette matérialisation aboutit à une mise en scène livresque largement empreinte de l’art d’architecture, nous l’avons nommée : ut architectura ars typographica. Elle concourt à l’élaboration de la page de titre, à l’emploi de lettres à l’antique, à l’usage d’éléments architecturaux pour le décor du livre puis au changement de statut de l’image, nous proposons d’en suivre la genèse avant la révolution aldine.
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Terada, Torahiko. "Les procédés photomécaniques et l'illustration des textes littéraires français dans le dernier quart du XIXème siècle." Paris 7, 2001. http://www.theses.fr/2001PA070063.

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Abstract:
L'illustration a triomphé au XIXème siècle. Le bois de bout, la lithographie, l'eau-forte, ayant illustré les publications de la première moitié du XIXème siècle, ont suscité l'admiration du collectionneur. A l'inverse, l'illustration reproduite industriellement par procédé photomécanique a été souvent l'objet du mépris parmi les connaisseurs. Pourquoi une telle disgrâce ? En effet, le livre illustré traditionnel bénéficie du prestige de l'oeuvre d'art, puisque son illustration n'est rien moins qu'une gravure véritable. Le dessin reproduit par le procédé photomécanique a été considéré au contraire comme produit industriel, sans âme, ni valeurs artistiques. Toutefois, l'illustration multipliée indéfiniment grâce au procédé photomécanique devrait-elle être jugée selon les échelles traditionnelles des valeurs esthétiques? Celles-ci sont-elles toujours appropriées à l'ère de la reproductibilité mécanique? L'illustration par procédé photomécanique, identique par apparence à l'illustration traditionnelle, est pourtant intrinsèquement différente de la gravure. L'illustration photomécanique franchit allégrement les frontières tracées pour classer l'oeuvre d'art. Les livres illustrés publiés par les éditeurs Marpon et Flammarion entre 1880 et 1890 en donne un bon exemple. .
The illustration has been a triumphant success in the XIXth century. The woodcut, the lithography, the etching, having illustrated the publications of the first half of the XIXth century, aroused the admiration of the collector. On the contrary, the illustration reproduced industrially by photomechanical process was often the object of the contempt among the connoisseurs. Why such a disgrace ? Indeed, the traditional illustrated book benefits from the prestige of the objet d'art, because its illustration is nothing less than a real work of art. The drawing reproduced by the photomechanical process was considered on the contrary as industrial good, without soul, nor artistic values. However, should the illustration multiplied infinitely by the photomechanical process be considered according to the traditional scales of the aesthetic values ? Are these always suited to the era of the mechanical reproductibility ? The illustration reproduced by photomechanical process, who has exactly the same appearence as the traditional illustration, is nevertheless intrinsically different from the work of art. The photomechanical illustration crosses allégrement the borders drawn to classify the object of art. The illustrated books published by the Marpon and Flammarion between 1880 and 1890 give a good example of it. .
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Le, Men Ségolène. "L'Illustration en France au dix-neuvième siècle : la cathédrale illustrée." Paris 7, 1994. http://www.theses.fr/1994PA070158.

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Abstract:
Ces travaux sur l'illustration (2 livres et 65 articles ou catalogues) considèrent deux ensembles éditoriaux : le livre illustre romantique, restreint à une période et à un style : le livre illustré pour enfants, objet diachronique mais circonscrit à un public spécifique. Les corpus abordés ont été l'abécédaire, la caricature et le livre romantique, puis l'histoire du livre pour enfants, l'histoire de l'affiche et sa reconnaissance comme expression artistique et la critique de la gravure. L'illustration est présentée comme un langage neuf, fondé sur la vignette qui erre de support en support et sur de grandes catégories d'illustrations, le "type", le "site" et la "scène". Ce système romantique de l'image, détermine par la caricature et le dessin de presse autant que par le livre illustré, s'est perpétué dans l'art publicitaire de la fin du siècle, tandis que les formules de l'illustration devenaient celles d'un "art moyen". Pourtant cet art moyen n'est pas sans rapport avec l'invention de la peinture moderne. Lorsque les illustres romantiques commencent à être collectionnés, Manet et Seurat abordent la peinture de la vie moderne par la silhouette de "types" analogues à ceux des français peints par eux-mêmes. L'illustration romantique n'a-t-elle pas été, dans l'histoire de l'art, un lieu d'expérimentation pour les formules nouvelles de l'œuvre d'art qu’accomplissent la peinture impressionniste et néo-impressionniste ? Lui attribuer ce rôle d'avantcourrier revient à s'interroger sur l'alternative entre l'art abstrait et le sujet pictural et à réévaluer la catégorie romantique du pittoresque : tel est le propos de la synthèse inédite, la cathédrale illustrée, qui traite de la symbolique et de la représentation du site de la cathédrale, depuis Hugo jusqu'à Monet. L'ensemble de ma recherche procède de l'histoire de l'art, mais elle se rattache aussi à l'histoire culturelle, et s'intéresse à la sociologie des acteurs du livre, ainsi qu'aux métiers de l'illustration
This research about nineteenth century French illustration (2 books and 65 articles or catalogues) deals mainly with the synchronical system of French romantic illustration and with the diachronical genre of children's book illustration : the case-studies consider abcs, caricature, romantic books and sets of prints, children's picture books, posters and art criticism about prints. . . The art of illustration is presented as a new visual language, based upon the circulation of vignettes and upon conventional categories of images : types, sites and scenes. This romantic visual imagery, which appeared in book illustrations and journal caricatures or cartoons, survived at the end of the century within the art of the poster and other massmedia pictures, packaged in standardized visual formulas. However this turn of the century evolution of commercial imagery appears similarly within high art and thus is linked to the advent of modern art. At the time when romantic illustrated books started to become a market collected by connoisseurs, Manet and Seurat painted social types, sketched as they had appeared in les français peints par eux-mêmes. Thus romantic illustration played the role of an experimental language for nineteenth century artists. This thesis leads us to reconsider the distinction between high and low art in the advent of modernism : the unpublished essay, la cathedrale illustree, addresses the link between abstraction and picturesque romanticism and studies the symbolic site of the cathedral, from Hugo's Notre-Dame de Paris to Monet's series of Rouen cathedrals. My art historical research runs between the history of art and literature and the history of the book, and thus belongs to cultural studies : focusing over the circulation and transmission of images, it covers also the sociology of artistic professions, and the new business of illustrations and posters
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Sinicropi, Gilles. ""D'oraison et d'action"." Clermont-Ferrand 2, 2010. http://www.theses.fr/2010CLF20001.

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Abstract:
Les religieux de l'ordre des Carmes dits déchaussés ou déchaux, pour les distinguer des observants, stricts observants, réformés, conventuels, mitigés, anciens, chaussés, ou grands, sont sinon méconnus du moins très mal connus. La particularité de leur institut, originaire d'Espagne, issu de la réforme d'un ordre médiéval, réside principalement dans un modèle idéal, d'oraison et d'action, affiché dès les premières patentes obtenues en 1567 et repris ensuite en préface des Constitutions. Cette spécificité de l'ordre, cette double vocation qui allie vie mystique et vie apostolique, s'enracine dans l'expérience des primitifs ermites qui, à l'époque des croisades, se sont retirés sur le Mont Carmel. Aussi, les manifestations mais aussi la coexistence et surtout l'évolution de cette identité, de ce double idéal, de cette "vie mixte", depuis l'introduction de l'ordre en France en 1611, jusqu'à sa dispersion en 1792, à une époque et en des lieux bien différents de ceux de sa naissance, méritent-elles d'être analysées. Manifestations et coexistence au sein de l'enclos conventuel tout d'abord, au travers du modèle que proposent les religieux et leurs noms de religion, les "auteurs" et leur production littéraire, les bibliothèques et leurs ouvrages, les bâtiments et leurs "images". Manifestations et coexistence dans le siècle ensuite, à partir du ministère auquel se livrent les disciples de Thérèse de Jésus et de Jean de la Croix, en terme d'encadrement des laïcs, de missions, ou de cérémonies extraordinaires. Manifestations de continuité, d'évolutions, ou de ruptures enfin, à la veille de la Révolution, d'un idéal confronté à la réalité du siècle et à l'épreuve du temps
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Tane, Benoît. "“ Avec figures. . . ”. Roman et illustration au XVIIIe siècle : Marivaux, "La Vie de Marianne", Richardson, "Clarissa", Rousseau, "Julie ou La Nouvelle Héloïse", Rétif de la Bretonne, "Le Paysan perverti"." Montpellier 3, 2004. http://www.theses.fr/2004MON30049.

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Abstract:
Le roman illustré du XVIIIe siècle est une forme particulière de l'illustration et un cas exemplaire du rapport texte/image: les éditeurs-libraires européens commandaient des dessins, gravés sur cuivre au burin et à l'eau-forte puis insérés dans des ouvrages avec figures ou rassemblés en recueils d'estampes. Dépassant la bibliophilie des XVIIIe et XIXe siècles, de même que les approches rhétoriques et linguistiques qui rapportent l'image au texte (allégorie, système de l'image et mise en série des images), l'étude sémiologique du livre illustré met en évidence sa dimension visuelle en articulant le jeu des corps, des regards et de l'espace dans le texte et dans l'image, notamment dans les tableaux et les scènes. Notre approche figurale veut cerner ce qui travaille la représentation romanesque et l'imagination du lecteur-spectateur; sont explorés successivement quatre romans (Marivaux, La Vie de Marianne; Richardson, Clarissa, traduite par l'abbé Prévost sous le titre de Clarisse Harlove; Rousseau, Julie ou La Nouvelle Héloïse; Rétif de la Bretonne, Le Paysan perverti) et les séries d'illustrations publiées dans leurs éditions en français entre 1736 et 1788 (d'après Schley, Chevaux, Cochin, Gravelot, Eisen, Moreau le Jeune, Chodowiecki, Binet. . . ), complétées par d'autres images (Wale, Stothard, Johannot, Staal. . . ); le dispositif de la représentation s'appuie sur un espace double cristallisant les enjeux symboliques de ces œuvres: identité de Marianne, vertu de Clarisse, réunion de Julie et de Saint-Preux, perversion d'Edmond. Lettres et estampes du roman épistolaire participent du montage du texte et de l'image qui fait entrevoir ce que le texte refuse ou échoue à dire
The 18th century illustrated novel is not only a particular feature of illustration, it also reveals text/image relations. Indeed european booksellers and publishers commitionned line engravings and etchings, inserted in books sold avec figures (with plates) or collected in volumes. Without ignoring the 18th and 19th century bibliophily nor the rhetorical and linguistic perspectives comparing image with text (allegory, iconic system, iconic paradigm), the semiotic study underlines the visuel aspect of illustrated books, thus exploring links between looks, bodies and spaces in text and image, especially in tableaux (pictures) and scenes. Our figural study is an attempt to define the issue of representation at stake in those works and to grasp the workings of reader-spectator's imagination. We analyse four novels (Marivaux, La Vie de Marianne; Richardson, Clarissa, translated by the Abbé Prévost as Clarisse Harlove; Rousseau, Julie ou La Nouvelle Héloïse; Rétif de la Bretonne, Le Paysan perverti), the series of illustrations published in their editions in french between 1736 and 1788 (after Schley, Chevaux, Cochin, Gravelot, Eisen, Moreau le Jeune, Chodowiecki, Binet. . . ) as well as other images (Wale, Stothard, Johannot, Staal. . . ). The device of representation is based on a double space focusing on symbolic questions of the novels: Marianne's identity, Clarissa's virtue, reunion between Julie and Saint-Preux, Edmond's perversion. Letters and engravings in the illustrated epistolary novel belong to the montage (setting) of text and image, which shows what the text refuses or fails to express
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Meizel, Laureline. "Inventer le livre illustré par la photographie en France : 1867-1897." Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H045.

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Abstract:
Cette thèse traite des rapports noués entre le livre et la photographie en France au cours du dernier tiers du XIXe siècle. Elle dégage les enjeux recouverts par cette association pour les acteurs collaborant à sa réalisation, à la croisée desquels a été progressivement inventé un objet inédit : un livre dont le discours s’élabore à partir de la combinaison de textes et de photographies entre ses plats de couverture au moins, mais aussi sur ses pages si l’envie ou le besoin le commande. Pour cela, elle circonscrit les contours et les tendances de la production moyenne entre 1867 et 1897, en construisant un corpus qui en reflète l’étendue et les ambitions. De type systémique, son analyse démontre que le livre n’a été ni le berceau, ni le foyer, non plus que le vecteur de diffusion principal des images photographiques en France au XIXe siècle. En révélant l’extrême diversité de la production, elle prouve par contre que le livre a constitué un laboratoire d’expérimentations des modalités de l’association des textes et des images photographiques, dans le but de formaliser un discours pour le pérenniser. Par ce biais, les auteurs et les éditeurs ont progressivement défini les spécificités de la photographie dans le champ des moyens disponibles pour l’illustration. Permettant notamment aux imprimeurs-éditeurs de réaffirmer leur position dominante sur un monde de l’édition en mutation, les processus de cette appropriation se distinguent toutefois par la très faible implication de la communauté photographique. Dès lors, cette thèse propose une périodisation des liens des photographes au livre, lorsque celui-ci est utilisé comme un levier dans leurs réclamations statutaires
This thesis is about the relationship between books and photography in France during the last three decades of the 19th century. It reveals what was at stake in this specific association for the diverse actors involved in its creation. Articulating multiple issues, a new object was gradually invented: the photographically illustrated book, that is a book discursively produced through combining texts and photographic images between its covers, if not on the very pages themselves. To this end, the thesis charts the boundaries and tendencies of the average production of photographically illustrated books between 1867 and 1897, building a corpus that reflects its extent and its ambitions. Through a systemic analysis, it demonstrates that books were neither the breeding grounds nor the main sites nor the main vehicles for the dissemination of photographic images in 19th century France. By showing the extreme diversity of the production, it argues that books have constituted an experimental ground where modalities of texts’ and photographic images’ associations were tested. Through this process, authors and editors progressively defined what would become the specific characteristics of photographic images as means available for illustration. Allowing publishers and printers to reaffirm their dominant position in the world of publishing, the processes of this appropriation is particular because of the very low involvement of the photographic community itself. Therefore, the thesis proposes a periodization of the links of photographers to the book, analysing its role in the statutory claims they made through time
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Marion, Michel. "Collections et collectionneurs de livres au XVIIIe siècle." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040157.

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Abstract:
Essentiellement basée sur le dépouillement des catalogues de vente de livres conservés à la Bibliothèque nationale cette thèse est destinée à reconnaître le milieu des collectionneurs de livres, à étudier leur comportement social, par leurs alliances matrimoniales, la reproduction sociale, leur mode d'habitat, essentiellement parisien, l'état de leur fortune ou de leur revenus. Naturellement, la structure des collections est envisagée, tant de façon globale que par groupes sociaux et par tranches décennales, tout comme sont examinées l'actualité des collections, la part de la production étrangère, et la place des langues vivantes. Les outils de la collection, c'est à dire les bibliographies, la presse périodique, et bien entendu les ventes tant par les libraires que dans les ventes publiques sont examinées. Enfin de prix du livre, neuf et de seconde main est évalué : son importance permet alors de dire que collectionner est un privilège réservé à bien peu
In the Bibliotheque Nationale, in Paris, auction books catalogues are kept and also preserved: they are the basement of the present thesis. Book collectors, in their social condition, marriages, parents and locations, especially in the head town, are presented. Estates and royalties are evaluated too. Collections themselves are also presented, so in their global part than in their secular variations. Foreign editorial production, knowledge of European and nexs, which collectors used to study production are the aim of an analysis, so too the public auctions: books are very expensive. So we may say that collecting books is an advantage that only few could have
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Fulacher, Pascal. "Esthétique du livre de création au XXe siècle : du papier à la reliure." Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010686.

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Abstract:
Le livre de création est apparu dans le dernier tiers du XIXe siècle. Qu'il soit livre d'illustrateur, livre de peintre, voire livre-objet, le livre de création peut être unique ou multiple. Conditionné par un texte - de nature littéraire ou poétique - il se caractérise par un processus artistique engagé dans sa matérialité même, processus intervenant tant au niveau du support que de la typographie, de l'illustration ou de la reliure. Ce sont les différents aspects esthétiques de ces composants et leur évolution au cours du XXe siècle qui sont analysés ici. Le fait que le livre de création ait toujours été au centre des préoccupations des mouvements d'avant-garde confirme que celui-ci, à la jonction de la peinture et de la poésie, a été tout au long du XXe siècle, un moyen d'expression artistique majeur. Son influence sur l'ensemble de la production éditoriale, encore mal cernée, est perceptible dès le milieu du siècle dernier avec l'apparition et le succès du livre-club.
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Seichepine, François. "Livres et cloîtres : les bibliothèques religieuses de Bourgogne au XVIIIe siècle." Dijon, 2007. http://www.theses.fr/2007DIJOL034.

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Abstract:
Ce travail restitue les relations entre religieux et bibliothèques en Bourgogne au XVIIIe siècle. On voit d’abord les acquisitions et la conservation des livres et les aptitudes des bibliothécaires. On s’intéresse aux richesses des bibliothèques et aux conséquences des confiscations révolutionnaires. La deuxième partie est statistique. Les collections sont classées selon leurs vocations et leur réception au projet de réforme des études de Mabillon. Des tableaux restituent leur taille et leur composition. Un troisième volet place les bibliothèques au cœur du siècle des Lumières. On révèle les héritages littéraires à travers la religion et l’histoire. Un point central présente les impacts de la controverse janséniste. On étudie ensuite les efforts de modernisation et d’ouverture des religieux aux savants, au public, aux nouveautés scientifiques et à la littérature philosophique. La conclusion dresse un bilan nuancé de l’état des bibliothèques et mesure les compétences de leurs possesseurs
That study shows the connection between monasteries and their libraries in Burgundy in the Eighteenth century. At first, we check the purchases, the preserving of books and estimate librarians’s aptitudes. Then, we are interested in valuables and understand the consequences of Revolution’s confiscations. The second part is primarily a statistical one. The book’s collections are listed according to their vocations and receptions of Mabillon’s project to reform studies. A lot of lists hand back their sizes and tittles. A third part shows the relations between religious libraries and French Enlightenment’s century. Legacies accross history and religion are expounded. A special part describes the impact of jansenistic controversy. Then we learn the ecclesiastics’s efforts of modernization and openmindedness for erudites, consumers, scientific news and philosophical writings. Finally, we check the balanced results of libraries’s state and take notice of their holders’s skills assessment
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Sarrazin, Véronique. "Les almanachs parisiens au XVIIIe siècle : production, commerce, culture." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010681.

Full text
Abstract:
À côté des almanachs populaires, les plus répandus, paraissent au XVIIIe s. D'autres almanachs, d'abord et surtout édités à Paris. C'est une forme éditoriale caracterisée par un calendrier, une validité annuelle, une vente au nouvel an et un très petit format. Chaque titre se spécialise ; malgré des thèmes variés, surtout de poésie légère, d'histoire et de sciences, ils sont discrédités par leur parenté populaire. Rédigés par compilation, ce sont des oeuvres alimentaires pour des auteurs relativement jeunes, qui gardent souvent l'anonymat. Beaucoup de libraires en ont édité, mais une cinquantaine dominent le marché, souvent des hommes nouveaux dans la communauté. Quelques titres durables et rentables sont transmis de pere en fils dans de riches officines, mais la masse de la production, plus instable, est le fait de libraires assez pauvres. La majorité parait sous permissions tacites ponctuelles. Les privilèges, qui garantissent une durée et un monopole, provoquent des luttes acharnées. Les livrets sont fabriqués à l'économie avec des tirages élevés, vendus à bas prix et écoulés assez vite, jusqu'en province. Le bénéfice intéressant par sa rapidité, peut être important pour les plus répandus. La vente est soutenue par une publicité intensive et par l'impact commercial des étrennes, qui développe aussi la reliure d'almanach. Elle est relayée par les merciers, colporteurs, papetiers, marchands d'estampes et relieurs, qui se font pafois éditeurs. Ces almanachs visent, et atteignent parfois, un public relevé, de la bourgeoise à l'aristocratie. Les uns, annuaires, agendas et manuels, instruisent les enfants et renseignent les adultes. D'autres sont les auxiliaires et les reflets des loisirs, surtout des jeux et du théâtre. Ils s'adaptent au "goût du jour", et amusent par la parole des titres populaires. C'est un secteur éditorial en pleine expansion, qui se maintient en suivant les "modes" culturelles, y compris celle de la politique à la révolution
If popular almanacs are the most sold and read, other kinds are also published in the 18th century, initially and chiefly in Paris. It is a form of publication distinguished by a calendar, the annual term, new year's sales and a very little size. Each one deals with one subject, essentially frivolous poetry, history or science ; but their popular relationship is a discredit for this kind of books. They are often compiled, by rather youg and generally anonymous writers, to earn some money. Many booksellers published one, but only fitty or so are really active ; often, they have joined the trade-company recently and are without family support. Some lasting and profitable almanacs are published by rich printers and handed down from father to son ; but most of them, more precarious, are produced by rather poor booksellers. Most of them have only a yearly tacit permission, and the royal privileges, which assure periodicty and monopole, are eagerly fought for. Almanacs are produced at a low cost, printed in large numbers, sold cheap and rather quickly. The profit is allways interesting, because quickly gained, and can be important for the largest printings. To promote the sale, booksellers make active advertisings and take advantage of new year's gifts, especially with the bookbinding. Other sellers are involved, like "merciers", peddlers, stationers, engravers and bookbinders,who sometimes are themseves publishers. These almanacs are meant for, and sometimes read by, people of middle and upper classes. Some, like directories, diaries and handbooks, are interesting for children and useful for professionnal and practical information. The others assist and reffect spare time activities, especially games and theatre. They follow cultural fashions, and amuse with parody of popular titles. The almanac's production grows fast, its success based on following cultural actuality, including politics after 1789
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Michel-Evrard, Isabelle. "L' image dans le livre d'éducation en France (1762-1789) : instruire et plaire." Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010635.

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Abstract:
L'année 1762 est marquée par l'expulsion des Jésuites et la publication de l'Emile de Rousseau. Dès lors les réflexions littéraires et artistiques sur l'éducation se multiplient. La gravure d'illustration est davantage utilisée et plusieurs éditions prestigieuses participent à son évolution artistique et didactique. La nécessité d'allier l'instructif au plaisant est sans cesse rappelée, en particulier par Berquin qui publie L'Ami des enfants en 1789. Une sélection d'ouvrages a permis d'observer la variété des sujets gravés, d'étudier les échanges entre les discours écrits et visuels par l'intermédiaire d'illustrations nécessaires, allégoriques ou narratives. Le corpus reflète la diversité des destinataires et présente plusieurs facettes de l'éducation, de la formation et de l'instruction, soit le coeur, le corps et l'esprit. Il convenait de mieux définir l'image d'illustration dans le champ de l'histoire de l'art et de l'envisager dans sa complexité vers un réel statut artistique
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Renonciat, Annie. "Les livres d'enfance et de jeunesse en France dans les années vingt (1919-1931) : années-charnières, années pionnières." Paris 7, 1997. http://www.theses.fr/1997PA070107.

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Abstract:
Cette étude explore une période méconnue de l'histoire des livres de jeunesse en France, depuis la levée en 1919 de la censure instituée en 1914 jusqu'à l'année 1931 incluse, qui voit l'aboutissement des efforts entrepris après-guerre pour le renouvellement de ce secteur éditorial avec l'apparition d'ouvrages novateurs tels que les premiers albums du Père castor. La thèse pose et définit un nouvel objet d'étude: non pas l'œuvre considérée dans ses fonctions littéraires, mais le livre conçu comme une totalité unissant texte, image et support. Elle répond à un triple objectif: l'élaboration d'un dossier historique de première main, qui reconstitue, évalue et étudie la production des années vingt dans son contexte économique, éditorial, technique, social, politique, idéologique, culturel et pédagogique. La mise en évidence des dispositifs - textuels, formels, matériels, graphiques et typographiques - conçus spécifiquement pour répondre aux goûts, besoins et capacités supposés des jeunes, et pour les façonner en retour. L'étude particulière des aspects graphiques et artistiques des livres. La première partie de l'ouvrage restitue le paysage éditorial dans ses structures, ses difficultés et ses dynamiques, et présente l'évolution comparée de la production et des catalogues de 35 éditeurs. La seconde partie examine l'éventail des produits - des fascicules aux livres d'étrennes - à partir d'études de cas fondées sur l'examen d'archives et de fonds de conservation, et met en évidence la percée des collections à bon marche. La troisième partie traite de la dynamique des images, marquée, notamment, par l'essor de l'album et le recul du livre illustré. La thèse conclut à l'apport décisif de ces années, à la charnière entre une époque révolue et un monde en mutation, qui voient l'émergence des formes, des formules et des usages modernes - et toujours actuels - des livres d'enfance et de jeunesse
This study explores the little known period of the twenties in the history of french children's books, between 1919, when the 1914 ban was lifted, and 1931, which sees the results of post-war initiatives to revitalise this editorial sector with such leading works as the first Pere castor albums. The thesis proposes and defines a new topic of study: not the work in its literary context but rather the book itself considered as a whole - the text, the visuals, the medium. The study's three objectives are: to create a document compiled from first hand research which evaluates and studies the output of the twenties taking into account the economic, editorial, technical, social, political, ideological, cultural and pedagogical climate of the time. To show how the components parts of the books - texts, shapes, materials, graphics and typography - were designed to meet the needs, tastes and presumed abilities of the young as well as educate them. To study the graphics and artistic merits of the books in detail. The first part of the survey deals with the background of the editorial climate - its difficulties and driving forces - and compares the output and the catalogues of 35 editors. The second part concentrates on the range of products available - from instalments to gift publications - researched from case studies taken from archives and libraries collections, and charts the development of cheap editions. The third part examines the crucial role of the visuals, particularly influential in the increased production of the album, at the expense of the illustrated book. The thesis comes to a conclusion about this critical time between a past era and a changing future, which sees the emergence of the shapes, structures and usages of children's literature, which are the precursors to today's books
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Pernoud, Emmanuel. "Olivier Debré : les estampes et les livres illustrés (1945-1990)." Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010580.

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Abstract:
Forte de 451 numéros, l'oeuvre gravée d'Olivier Debré (né en 1920) partage avec les peintures du même artiste cette quête d'un "signe vivant" qui a donné le jour à deux formes complémentaires : le "signe-personnage" (depuis la fin des années 40) et le "signe-paysage" (depuis le début des années 60). Chez Olivier Debré, l'estampe est plus particulièrement le domaine des phénomènes de matière (aquatinte) et des variantes chromatiques (lithographie) ; elle est aussi le lieu de rencontre avec écrivains et poètes (plus de vingt livres illustrés). Après une introduction, cette thèse présente un catalogue raisonné divisé en quatre parties : 1 eaux-fortes, aquatintes et pointes sèches 2 lithographies et sérigraphies 3 estampes de reproduction 4 principales collaborations au livre (couvertures, illustrations) par des procédés autres que l'estampe
Initiated in 1945 and reaching 451 numbers at the end of 1990, the graphic work of Olivier Debré (born in 1920) has always seeked a "living sign" which has taken two different ways, a "figure sign" (since the end of the 40') and a "landscape sign" (since the beginning of the 60'). In Debré's work, print is characterized by material effects (aquatint) and colour variations (lithography) ; print is also a meeting place with poets and writers (more than 20 illustrated books). After an introduction, this thesis produce a catalogue reasoned with 4 parts : 1 etchings, aquatints and drypoints 2 lithographs and silkscreens 3 reproduction prints 4 covers and illustrations by photomechanical techniques
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Allain-Bernard, Geneviève. "Recherches sur les illustrations de livres édités par Charles-Antoine Jombert (1712-1784)." Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040314.

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Bontemps-Delbard, Claire. "Comment innover dans la continuité ? : les collections Castor Poche (1980-1990) et le renouvellement de la littérature pour la jeunesse à la fin du XXe siècle." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2004. http://www.theses.fr/2004VERS020S.

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Abstract:
Comment innover dans la continuité au seuil des années 1980 pour un éditeur de jeunesse (François Faucher chez Flammarion) spécialisé dans l'album illustré depuis sa fondation en 1931 ? Cette thèse confrontera les objectifs affichés à la réalité du corpus étudié, soit une décennie, pour une collection donnée, Castor Poche, qui a pour vocation d'établir un prolongement entre les albums et la lecture maîtrisée des adultes. Elle analysera le passage pour une maison tournée vers l'album et donc essentiellement l'image, vers une légitimité de contenu textuel : si l'image cède en effet la place au texte, comment le fait-elle ? Le fait-elle bien ? Qu'est-ce que cela signifie pour un éditeur de jeunesse et comment le justifie-t-il ? Cette confrontation sera faite au sein de son environnement concurrentiel à partir des matériaux d'archives et chiffres disponibles, avec pour objectif d'éclairer, au travers d'un exemple d'une maison d'édition, un des enjeux de l'édition contemporaine, le livre de poche pour la jeunesse à la fin du vingtième siècle
How to innovate while maintaning continuity in the early 1980s for a children's books publisher (François Faucher et Flammarion) specialized in picture books since the creation in 1931 ? This thesis aims at confronting the objectives with the reality of the corpus studied, spanning for a decade, centered on a given book series, Castor Poche, whose purpose has been to establish a link between picture books and adult literature. It analyzes the movement towards a legitimate textual content for a publishing house traditionally focused on the album : if image gives way to text, how does it happen ? Is it done well ? What does it mean for the publisher and how does he justify it ? This confrontation is studied within a given competitive environment, on the basis of available archives, data and statisticx, with a wiew to shedding light on one of the principal stakes in today's publishing world, i. E. The paperback destined to the youth in the late XXe century
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Juratic, Sabine. "Le monde du livre à Paris entre absolutisme et Lumières : recherches sur l'économie de l'imprimé et sur ses acteurs." Paris, EPHE, 2003. http://www.theses.fr/2003EPHE4051.

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Abstract:
Fondee sur une etude prosopographique des professionnels du livre et une analyse de leurs pratiques, cette these tente d'evaluer les effets induits sur l'economie de l'imprime et sur la geographie editoriale du royaume par le regime de controle des publications instaure en france au debut du regne de louis xiv et maintenu en vigueur, dans ses grands principes, jusqu'a la revolution. Une premiere partie s'attache a decrire l'organisation et les modes d'encadrement d'une branche d'activite structuree a paris autour de la communaute des libraires et imprimeurs, dont les membres sont seuls autorises a commercialiser les imprimes. La deuxieme partie propose une analyse socio-professionnelle du milieu des maitres libraires, dont la position sociale se trouve confortee par la politique de restriction de l'acces au metier. Les transformations qui touchent aux processus d'edition et a la diffusion de l'imprime sont examinees dans la troisieme partie. L'evolution des conditions de fabrication et l'amorce d'une meilleure reconnaissance de la propriete litteraire modifient les relations etablies entre les auteurs, les professionnels et les agents de l'etat. La distribution des editions irrigue les provinces des publications de la capitale, mais la dynamique propre au marche parisien de l'imprime, entretenue par les debats religieux, philosophiques et politiques, met en concurrence les libraires avec d'autres fournisseurs. Ces intermediaires qui exercent clandestinement dans la capitale ou s'approvisionnent en province et a la peripherie du royaume sont de plus en plus toleres par des autorites qui se reconnaissent elles-me͏̈mes souvent dans les valeurs des lumieres
Based on a study of printed books professionals and their practices, this thesis evaluates the economic impact of the state control over all printed material that king louis the xivth established at the beginning of his reign and that lasted until the revolution. First part looks into printing and publishing organization in paris as driven by booksellers and printers community. Second part details socio-professional aspects of master printers from end of 17th and over a century. The last part highligts the changes in printing labor and how they impact the distribution business
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Guilbaud, Juliette. ""À Paris, chez Guillaume Desprez. . . " : le livre janséniste et ses réseaux aux XVII et XVIII siècles." Paris, EPHE, 2005. http://www.theses.fr/2005EPHE4045.

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Abstract:
Le mouvement janséniste à jusqu'à présent surtout fait l'objet d'analyses dominées par des problématiques relevant de l'histoire littéraire, et limitées à un cadre historiographique national. Par une nouvelle approche relevant de l'histoire du livre, cette thèse montre comment les partisans du jansénisme, en dépit de leur diversité sociale, peuvent être regardés comme un parti dont l'imprimé constitue un véritable élément de cohésion. L'organisation de ce parti est stratégique, car elle s'appuie sur un réseau de relations influentes dans des cercles de pouvoir concurrents. Le livre janséniste, polémique par nature, est rapidement considéré par les autorités politiques et religieuses comme un enjeu de pouvoir qu'il convient de contrôler. Les efforts des jansénistes, avec l'aide d'imprimeurs et de libraires attitrés, pour assurer efficacement la fabrication et la diffusion des éditions du parti, montrent comment le jansénisme se donne aussi à comprendre comme un phénomène de médiatisation moderne, qui fait appel à l'imprimé de façon systématique pour toucher l'opinion publique. Le rôle de l'imprimé est essentiel, puisqu'il permet au mouvement janséniste de se diffuser sous différentes formes à travers l'Europe, notamment dans les territoires germanophones et l'Europe centrale, au dix-septième et surtout au dix-huitième siècle. Le renouvellement des formes imprimées auquelles font appel les jansénistes contribue également à la pérennité de la diffusion des écrits jansénistes entre le dix-septième et le dix-huitième siècle
The Jansenist movement has been primarily, until now, the subject of analyses dominated by issues concerning literary history, limited in national historiographical aspects. The thesis focuses on a new approach related to book history. It aims to demonstrate that the partisans of Jansenism, in spite of their social diversity, can be regarded as a party, utilising printed matter as a basis for cohesion and propaganda. The organisation of this party is, above all, strategic. This is because it relies on a network of influential relations in competing powerful and controversial. The political and religious authorities understood its potential and realised that it was necessary to control the spread of its ideas. The Jansenists, with the help of their printers and book sellers, ensured efficacy of the publication and diffusion of their ideas. The Jansenists, with the help of their printers and book sellers, ensured efficacy of the publication and diffusion of their ideas. This thesis demonstrates precisely how Jansenism used printed matter to influence public opinion and how it can be understood in relation to the modern phenomena of mass media and mass circulation. The role consequently allowed the Jansenist movement to spread throughout Europe, particularly in the German-speaking territories and in Central Europe, in the seventeenth and especially the eighteenth century. Also during this period, the Jansenists made use of innovations in the technology of printed matter to futher perpetuate the diffusion of their literature
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Nuel, Martine. "La préface dans le roman français de la seconde moitié du XVIIIe siècle." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040050.

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Abstract:
L'intérêt de la critique actuelle pour le paratexte n'est plus à démontrer. Il semble légitime de se pencher sur l'ensemble protocolaire destiné à présenter l'œuvre et à en favoriser la réception. Ainsi interrogerons-nous les discours d'accompagnement du roman de la seconde moitié du XVIIIe siècle. S'intéresser a ce type de textes conduit à étudier l'objet livre et les « pratiques de lecture » sous l'Ancien régime. Dans le siècle où il triomphe, en effet, le livre, principalement destiné à une élite, fait l'objet d'une réelle attention de la part de l'acheteur-lecteur : rien n'échappe à sa vigilance, ni le texte, ni ses abords. Les préfaces méritent aussi notre intérêt car elles permettent de suppléer à l'indigence des textes théoriques écrits par les romanciers sur leur art. Certes, relevant de la rhétorique, plus précisément du genre épidictique, elles cherchent avant tout à en imposer au lecteur : il est donc tentant de n'y voir que le signe de la mauvaise foi des romanciers, mais cette parole ritualisée ne peut être réduite à ce point : elle a aussi des accents de vérité et se révèle parfois originale. Bien entendu, le discours préfacier est un discours utilitaire et mystificateur, mais il contient une vérité sur le roman qu'il introduit, vérité dans ce qui est dit sur le texte mais aussi dans ce que l'on en cache. . . Il trahit enfin une personnalité qui se dissimule derrière tous les masques empruntes (ceux de l'éditeur, du traducteur. . . ) et offre une mine de renseignements sur la figure d'auteur qui tente de se construire dans la période étudiée.
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Plu, Christine. "Georges Lemoine : illustrer la littérature au XXè siècle." Rennes 2, 2005. http://www.theses.fr/2005REN20034.

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Abstract:
Depuis les années soixante-dix, le travail d'illustrateur de Georges Lemoine se singularise par la modernité de son accompagnement de " grands " textes littéraires (Le Clézio, Bosco, Tournier, Yourcenar, Roy, Wilde, Andersen, etc. ). Cette recherche se donne pour objet d'étudier comment l'illustration de Georges Lemoine se construit en harmonie avec les œuvres littéraires et quelles sont les spécificités graphiques de ce travail d'élaboration d'images. Cette étude va donc successivement situer l'illustrateur dans le paysage éditorial français, analyser les spécificités du travail de création d'images destinés aux livres, cerner les étapes de la genèse d'une illustration, questionner le travail interprétatif de Georges Lemoine et repérer à quels niveaux sémantiques ses images interviennent, mettre en évidence les préférences thématiques de l'illustrateur et les spécificités de son style qui s'élabore à partir des structures symboliques et allégoriques des œuvres. Ces analyses qui s'appuient sur l'ensemble de l'œuvre illustrée de Georges Lemoine et sur de nombreuses documents inédits, permettent d'approfondir plusieurs questions : qu'est-ce qu'illustrer un texte littéraire ? En quoi cet espace particulier qu'est l'illustration peut-il relever lui-même de la littérature ? A quels niveaux s'élaborent les liens entre la séquence d'images et le texte illustré ?
Since the seventies, Georges Lemoine's work has become noteworthy because of the modern way in which he illustrates great literary texts (Le Clézio, Bosco, Tournier, Yourcenar, Roy, Wilde, Andersen, etc. ). The aim of this thesis is to show how these illustrations develop together with the texts and to show what graphic requirements are needed in the creation of the pictures. This thesis will therefore place the illustrator within the French publishing world, and then analyse the specific requirements for book illustration. It will also look at the various steps needed in the genesis of a picture, question Georges Lemoine's interpretation, and focus on the semantic levels on which the pictures have an influence. Finally, this thesis will point out the illustrator's thematic preferences and the peculiarities of his style, which are developed around the symbolic and allegorical levels of his chosen texts. This research is based on Georges Lemoine's whole repertoire of illustrations and on a large amount of private archives. Several questions arise: what does illustrating a literary text involve? Can the illustration become some form of literature in itself? What are the relationships between text and images?
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Renard, Margot. "Les images du récit national : illustrer l'Histoire de France entre 1814 et 1848." Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018GREAH033.

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Abstract:
Henri IV et son panache blanc, Jeanne d’Arc en armure, Vercingétorix vaincu amené devant César… ces représentations liées à l’histoire de France nous sont aujourd’hui familières. Pourtant leur origine est ancienne : elles apparaissent dès la première moitié du XIXe siècle dans les arts visuels et dans l’historiographie, lorsqu’émerge la vogue de l’histoire, et spécialement de l’histoire nationale. Le médium de l’illustration, alors en plein essor, devient un agent efficace de la création et de la diffusion de représentations liées à l’histoire de France. En effet, les éditeurs en quête de formules éditoriales plus séduisantes commencent à intégrer des illustrations dans les ouvrages historiques savants, lorsqu’une telle association semblait auparavant délicate. Cette thèse se propose donc d’étudier les illustrations produites pour les ouvrages historiques parus entre 1814 et 1848. Les ouvrages historiques illustrés s’adressent à un lectorat de plus en plus large, que nous distinguons en termes de classes sociales (populaire, bourgeois) et d’âges (adultes, enfants). Les discours comme les illustrations tentent donc de s’adapter aux attentes et aux dispositions de ces divers lectorats, ce que nous étudierons dans le premier chapitre. Une part de la vogue pour les ouvrages historiques illustrés vient de ce qu’ils font écho aux préoccupations contemporaines : la question de la fondation de la France en tant que nation, en particulier, soulève de vastes débats. Notre deuxième chapitre examinera donc l’illustration de l’historiographie des périodes considérées comme fondatrices, le haut Moyen-Age et la Révolution française. Enfin, si l’historiographie illustrée de cette période apparaît très francocentrée, certains ouvrages viennent éveiller l’intérêt des lecteurs pour une histoire aux échelles « micro » ou macro », intéressée par l’histoire régionale et par l’histoire transnationale (troisième chapitre). Au fil du temps et des publications illustrées émergent donc des schémas iconographiques récurrents, contribuant à enraciner un récit historique iconotextuel, hybride de texte et d’images, dans l’imaginaire national
Which images pop into the minds of Frenchmen when they recall their national history? Henry IV and his white panache, Joan of Arc in her armor, or Vercingétorix and his long hair. Where do these representations come from? How did they develop and with which narrative? This dissertation aims at studying the origins of these images : the spreading of the illustrated historical narrative in France from 1814 to 1848. Indeed, in these years, a true economy of the illustrated history book emerged. These illustrated narratives – these iconotexts – progressively clarified and strengthened a national history in image on which French identity was leaning on. The illustration of history developed interacting with other historical-focused media: theater, panorama, and especially history painting, standing as a model from which to set apart in order to find its own language. Over the course of time and publications, iconotextual patterns established themselves. Therefore, the illustration of history, spread through a larger and larger audience, contributed to the rooting of a national historical narrative into the collective psyche
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Adam, Claudine. "La production imprimée à Toulouse au XVIIIe siècle (1739-1788)." Toulouse 2, 2009. http://www.theses.fr/2009TOU20036.

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Abstract:
Cette étude présente la production des imprimeurs toulousains entre 1739 et 1788, au moment où leur nombre est réduit à dix. Elle s’est faite à partir du recensement de la production conservée (livres, plaquettes, placards, factums et périodiques) réunie dans un catalogue de 3 700 titres. Une première partie décrit le monde du livre dans son contexte : celui de la législation mise en place par le pouvoir, de son application plus ou moins stricte à Toulouse, de l'organisation de la corporation des imprimeurs et libraires, enfin, de leur « groupe social » (famille, patrimoine, place dans la ville). La deuxième partie analyse globalement la production par catégorie. Quel que soit le type d'imprimés, le nombre de titres et le nombre de pages augmentent et le rythme de la croissance des titres et des pages s'accélère à partir du milieu des années 1770. Seules les plaquettes connaissent un essor plus précoce dès la décennie 1759-1768. Les livres, qui ne représentent que 15,8% de l'ensemble, sont majoritairement des ouvrages religieux dont la part ne s'effondre pas à la fin de l'Ancien Régime, au contraire d'autres villes. Ils sont peu marqués par les idées des Lumières. Les plaquettes, les placards sont pour moitié des actes officiels. La production des factums est mise en perspective avec des affaires célèbres. Les publications académiques, les calendriers et les journaux constituent l'ensemble des périodiques. La répartition de la production par imprimeur est systématiquement abordée. En conclusion, Toulouse apparaît clairement comme un centre français d'impression important au XVIIIe siècle
This study presents the production of Toulouse's printers between 1739 and 1788 when their number was reduced to ten. The study is based on the count of printed articles that have been preserved (books, brochures, posters, legal briefs, periodicals). A catalog including 3700 titles serves as the documentary base. The first part describes the world of book printing in its environment: royal legislation, its more or less strict application in Toulouse, the organization of the printers' and booksellers' guild, the characteristics of their social group (family, fortune, social status in the city). The second part analyzes production by category. Whatever the type of printed matter, the number of titles and the number of pages increased at an accelerating rythme, especially after the 1770s. Only the number of brochures began to increase earlier, from the decade 1759-1768. Books, which represented only 15,8% of the total, were mostly of a religious nature, and the proportion of religious books did not tend to lessen, which is different than in other French cities. They seem little influenced by Enlightenment ideas. More than half of the brochures and posters were public documents. The production of legal briefs is linked to several “causes célèbres”. Academic publications, almanacs and newspapers constitute the category of periodicals. The production by each printer is carefully and systematically studied. In conclusion, Toulouse appears clearly as an important French printing center in the Eighteenth Century
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Robin, Cécile. "Au purgatoire des utilités : les dépôts littéraires parisiens (an II - 1815)." Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010545/document.

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Abstract:
Les dépôts littéraires regroupent des livres nationalisés de corps ou communautés supprimés et ceux confisqués à des émigrés ou condamnés. La thèse se compose de quatre parties: 1 ° Orchestrer les entrées de livres dans les dépôts littéraires: l'importance géostratégique de leur implantation illustre leur rôle d'intermédiaire entre anciens propriétaires et futurs possesseurs. L'organisation matérielle et la segmentation des espaces des dépôts sont conditionnées par la nature des travaux et la hiérarchisation des fonctions. 2° Acteurs et tutelles du projet: le personnel, chargé d'inventorier et de déplacer les livres, est majoritairement constitué d'hommes de lettres, reconvertis dans le nouveau service public de l'Instruction. L'intégration à la fonction publique leur assure un salaire minimum et témoigne de la reconnaissance de leurs compétences. La fonctionnarisation des personnels et l'institutionnalisation des dépôts littéraires reflètent l'importance politique du projet de redistribution des livres acquis à la Nation. 3° Une science en héritage, la bibliographie : les dépôts permettent la transition entre une opération de recensement et un instrument de péréquation. 4° Les destinations des livres des dépôts littéraires : la fonction des dépôts consiste à trier les livres qu'ils contiennent puis à leur donner la meilleure des destinations possibles, soit par la vente des ouvrages inutiles, soit par la mise à disposition des ouvrages utiles auprès d'établissements ou d'organes publics. La répartition s'opère suivant une politique de la demande, fondée sur un principe d'équité et déterminée par le domaine de spécialité et le rang institutionnel des destinataires
The depots are established to put together the books nationalized or confiscated from religious communities after their suppression but also from émigrés and condemned persons. This thesis is composed of four parts: 1 ° Organize the intlux of books in the depots : they are put up in strategic places, to facilitate the movements of books between former owners and future possessors. The types of work and the different functions determine the material organisation and the segmentation of inner spaces. 2° Actors and supervision of the project: former men of letters are employed by the public service of state education to make the inventories and move the books. As employees of the State, the payment of salaries is guaranteed and their skills acknowledged. The institutionalization of the depots retlects the political importance of the project of redistribution of the books. 3° Bibliography, an inherited science : the depots allow the transition between an operation of inventory to an instrument of perequation. 4° The destinations of the books of the depots: the function of the depots is to determine the best purpose possible, either by selling the useless books or by putting the useful ones at the disposaI of public establishments or organs of govemment. The books are shared out according to the institutional position of the future possessors
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Friant-Kessler, Brigitte. ""Tristam Shandy" illustré de 1760 à 1817 : réflexion et déflexion entre l'espace graphique et l'espace textuel." Montpellier 3, 2007. http://www.theses.fr/2007MON30059.

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Abstract:
Tristram Shandy de Laurence Sterne (1713-1768) reste un texte déroutant et original, plus de deux siècles après la mort de son auteur. Cette thèse s’attache à analyser les points de contact possibles entre le texte de Sterne et les gravures qui furent publiées et insérées dans des éditions entre 1760 et 1817. L’illustration puise à la source du texte tout en reflétant l’esthétique des divers artistes. Les gravures dans les éditions illustrées sont également le témoignage de changements dans la culture de l’imprimé et de l’histoire du livre durant les deux dernières décennies du XVIIIe siècle. Une première partie s’articule sur la circularité entre le texte et l’image. L’analyse met au jour des mécanismes de migration et de porosité entre les deux media. La seconde partie s’attache à déterminer les différentes formes que peut revêtir la notion de variabilité. La réflexion et déflexion entre le texte et l’image sont au cœur de cette étude, mais les images et le texte de Sterne sont aussi appréhendés comme le lieu d’une tension, celle qui caractérise l’irréductibilité des deux media. C’est ce qui fait l’objet de l’étude dans la troisième partie. L’étude vise à mieux cerner les jeux et les enjeux qui sous-tendent l’illustration d’un texte aussi foisonnant que Tristram Shandy
Laurence Sterne’s Tristram Shandy remains an oddity, well over two hundred years after the author’s death. This thesis explores the relationship between the text and a corpus of illustrations to Tristram Shandy from 1760 to 1817. Illustrations that are offsprings of Sterne’s text are also rooted in each artist’s aesthetic response. Those images are moreover closely related to the book trade and changes in print culture in the last decades of the eighteenth century. The first part deals with the impact of illustrations, namely how those images migrate from a model to imitations and new creations. A fundamental pattern of circularity is established between the verbal and the visual to see how the images bear traces of text in a variety of ways. The analysis in the second part draws on the notion of variability, whether in format of the book or within the narrative. This thesis argues that prints which accompany the text deflect the reader’s interpretation and reception. Furthermore, there is a mutually mirroring effect on both the text and the images. Although a kind of perfect harmony between the two medium may seem appealing, text and image do not dovetail. The argument aims at pinpointing paradoxical features of that relationship, more so when it comes to illustrating a text as zany and fluctuating as Tristram Shandy
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Felton, Marie-Claude. "Luneau de Boisjermain et l'édition à compte d'auteur à Paris de 1750 à 1791." Thèse, Paris, EHESS, 2011. http://www.archipel.uqam.ca/4149/1/D2199.pdf.

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Abstract:
Au cours de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, la scène littéraire française est témoin d'une transition conceptuelle de l'auctorialité, les auteurs délaissant tranquillement les anciennes institutions du premier champ littéraire - telles que pensions, académies et mécénat - au profit d'une intégration progressive et autonome sur le marché du livre. Alors que la nature de cette transition est toujours débattue, le processus de modernisation de l'auteur semble particulièrement apparent chez un groupe encore méconnu: les auteurs éditant à leur compte. À une époque où les libraires règnent en roi et maître sur le monde du livre dans la capitale française, il est encore bien difficile pour les auteurs de faire reconnaître leurs droits économiques et légaux et de publier de manière autonome. Or, bien que cette entreprise soit périlleuse, coûteuse, voire dangereuse, la publication autonome fait partie du cheminement littéraire de quelques centaines d'auteurs à Paris au cours des décennies précédant la Révolution. En effet, dès l'application des arrêts du 30 août l777 qui permettent enfin aux auteurs de vendre leurs propres livres, plusieurs écrivains se prévalent de leurs nouveaux droits et prennent en charge l'édition ainsi que la commercialisation de leurs ouvrages. Ce faisant, ces auteurs - qui proviennent autant de la « bohème littéraire » que des cercles philosophiques - démontrent une réelle volonté de conserver le contrôle sur la fabrication, l'édition du texte, le financement, la qualité matérielle ainsi que la mise en marché. Cette thèse a pour but d'illustrer comment l'édition à compte d'auteur représente une forme d'évolution bien tangible du processus de professionnalisation et de modernisation de l'auteur, celui-ci s'investissant tant dans la valeur matérielle qu'immatérielle de ses œuvres. De fait, l'auteur qui accepte son statut de professionnel de l'écrit et qui désire vivre, souvent entre autres, du produit de la vente de ses ouvrages, peut intégrer sans conflit les éléments très prosaïques de l'édition et du commerce à sa « profession ». L'écriture devient ainsi, en plus d'une activité de l'esprit et immatérielle, une activité commerciale, artisanale et professionnelle. Les auteurs-éditeurs doivent en effet assumer plusieurs fonctions liées à la publication telles que choisir le format, marchander le papier, veiller à la correction, passer une annonce dans un périodique et en organiser la vente depuis leur domicile. De cette façon, l'auteur s'investit directement sur le marché littéraire et se présente personnellement auprès de son public chez qui il trouve une nouvelle source d'autorité, de légitimité. Par leur défense d'une autonomie tant légale qu'économique, les auteurs qui tentent l'aventure tant risquée que coûteuse de l'édition autonome sont certainement des acteurs privilégiés au centre du processus de modernisation auctoriale. ______________________________________________________________________________
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Meunier, Jean-Louis. "Jean Hugo – Pierre André Benoit : une poétique du désert : contribution à l'étude du dialogue entre les mots et les images." Montpellier 3, 2004. http://www.theses.fr/2004MON30066.

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Abstract:
Dans ce travail est étudiée une poétique du désert, à travers le dialogue entre les mots et les images gravées. Trois textes sont pris pour supports : les Actes présumés de Saint Alban de Nant, gravés et écrits par Jean HUGO en 1967/1968 et réalisés en 1968 par l'imprimeur-éditeur de bibliophilie PAB, "Annoncer l'Amour", un recueil de poèmes écrits par P. A. BENOIT, illustré d'une gravure par Jean Hugo et publié par Rougerie en 1969, et S'arrêter, poème de P. A. BENOIT, gravure de Jean Hugo, placard réalisé par PAB en 1980. Il est aussi fait référence à d'autres œuvres de Jean HUGO et de P. A. BENOIT. Ce dialogue ne juxtapose pas un texte et une ou des image(s), il les met en symbiose, par des références religieuses, légendaires et littéraires, et des codages dans les gravures. Le désert est ainsi vécu dans le retrait spirituel qu'il induit (la fuite du monde perverti par les excès de la civilisation industrielle) et dans l'acte créateur qu'il développe
This work intends to study the poetics of wilderness, as a result of the dialogue between words and engraved pictures. Three selected texts are of major help for this work : the first used as a reference is Actes présumés de Saint Alban de Nant, engraved and written by Jean HUGO during the years 1967/1968 and produced in 1968 by PAB, who is a bibliophilism printer and publisher. The second one is Annoncer l'Amour, which is an anthology of poems written by P. A. BENOIT, illustrated by Jean Hugo with an engraving and published in 1971 by Rougerie. The third one is S'arrêter, poem from P. A. BENOIT and engraving from Jean Hugo. In this text, the illustration was made by PAB 1980. This work also refers to other works of Jean HUGO and P. A. BENOIT. This dialogue does not intend to connect – in a simple way – a selected passage with one or several pictures. It tries to harmonize them by using either religious, legendary and literary references or by underlining some hidden link between an engraving an deselected passage. Thus, wilderness is experienced with the spiritual background expected (escape from the world that has been perverted by the excesses of the industrial civilization) then within the creative act it generates
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Jou, Myongcheol. "Les gens du livre embastillés : (1750-1789)." Paris 1, 1986. http://www.theses.fr/1986PA010649.

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Abstract:
Il s'agit des gens embastillés pour délit de librairie des années 1750-1789. Dans la première partie, 360 personnes sont étudiées avec les archives de la Bastille: elles représentent 62 libraires et imprimeurs, 27 compagnons-imprimeurs, 21 colporteurs, 5 relieurs, un imprimeur en taille-douce, 32 nouvellistes, 111 auteurs et 101 distributeurs. En tant que fabricants et commerçants, les gens de métier et les distributeurs sans qualité à la bastille sont presque victimes de l'ancien régime du livre fondé sur le privilège. Ils sont plutôt "vairons" que "carpes", c'est-à-dire mineurs de la communauté des gens du livre. Comme la source des mauvaises attitudes, les nouvellistes et les auteurs sont aussi mineurs dans la république des lettres, parce que les grands philosophes comme voltaire, Diderot et Rousseau quittent prudemment Paris pour échapper à la prison après avoir lancé l'écrit scandaleux. D'après les activités de ces prisonniers, on constate donc un phénomène du mouvement philosophique sur le plan à la fois économique et idéologique. Dans la deuxième partie, l'étude des livres interdits puisée dans une source policière concernant leur pilon complète celle des embastillés. Elle renseigne sur les marchandises illégales et leur contenu. À travers ce dernier, on constate le changement du gout des lecteurs. Comme on le sait bien, à la fin du dix-septième siècle, la police a saisi les produits dont plus d'une moitié sont de caractère théologique. Mais, le 14 juillet 1789, les vainqueurs de la bastille ont trouvé à son dépôt d'archives une collection d'imprimés saisis dont sur dix titres sept concernent l'histoire et les belles lettres qui n'atteignent que 17% au crépuscule du siècle précèdent. Au total, cette étude a pour but de comprendre le monde du livre à la fin d'ancien régime à travers les activités des prisonniers de librairie et le contenu philosophique des livres prohibés
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Leblond, Françoise. "Madame Roland et son monde intellectuel." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040065.

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Abstract:
Ce travail est l'aboutissement d'une démarche qui m'a conduite à la rencontre de Madame Roland en 1993 pour un mémoire de maîtrise dont le sujet était : Madame Roland et l'éducation, puis pour un diplôme d'études approfondies en 1994 : Madame Roland et son monde intellectuel. Madame Roland, née Marie-Jeanne Phlippon en 1754, a été guillotinée à l’âge de trente-neuf ans en 1793, après avoir été incarcérée à la prison de l'abbaye à Paris. Bien que la terreur se soit chargée de fournir un dénouement tragique à son existence, sa biographie pourrait se résumer à quelques banales indications sur une enfance protégée dans le Paris bourgeois du milieu du XVIIIème siècle : le catéchisme et les amies de couvent, un mariage avec un homme de sa condition, Jean-Marie Roland de la Platière, la naissance d'une fille, Eudora. Son monde intellectuel, que la lecture fébrile des philosophes a développé, fait la part belle à l'imagination et à la sensibilité : son enthousiasme pour les idées révolutionnaires, sa passion secrète pour Buzot, sa frénésie politique des dernières années lorsque Roland devient ministre de l'intérieur, en témoignent. Madame Roland est l'observateur privilégié d'un monde intellectuel qui, dans l'histoire de la pensée occidentale, constitue un moment décisif : la seconde moitié du XVIIIème siècle. Elle est surtout une autodidacte. Le choix que nous avons fait ici d'insister sur le rôle de l'éducation, de la philosophie et de la politique est étroitement lié à son autobiographie comme expression des valeurs bourgeoises, sur le point de s'émanciper d'une société basée sur les privilèges de naissance et de propager des valeurs nouvelles. Ses mémoires mettent en scène son monde intellectuel, et cette source d'information est si riche qu'entre l'histoire des structures et celle de son expérience, elle ouvre la voie à une véritable histoire des enjeux de l'autoformation dans la bourgeoisie féminine en France
This work is the result of a process which has conducted me to meet Madame Roland in 1993 for a memorandum of maitrise whose theme was Madame Roland et l'éducation, then for a diplome d'études approfondies in 1994 : Madame Roland et son monde intellectuel. Madame Roland, born Marie-Jeanne Phlippon in 1754, has been guillotined in the age of thirty-nine in 1793, after a incarceration in abbaye prison in Paris. Although the terreur has given a tragic end to her life, her biography could be summed up with some common instructions on her protected childhood in the middle-class of Paris in the middle of the eighteenth century: catechism and convent friends, marriage with a similar estate man, Jean-Marie Roland de la Platière, birth of her daughter, Eudora. Her intellectual world, developed by reading philosophy, give some importance to imagination and sensibility her enthusiasm for revolutionary ideas, her secret love with Buzot, her politic frenzy during the last years when Roland became minister of the interior, give us evidence Madame Roland is a privileged spectator of an intellectual world which, in the history of occidental thought, constitutes a decisive moment ; the second half of the eighteenth century. She is above all an autodidact. Our choice here is the importance of education, philosophy and politics is very linked with her autobiography, as the expression of middle-class going to free herself from a society based on birth privilege and promulgate new values. Her memoires are the theatre of her intellectual world, and these source of information is so rich that into history of structures and her experience, she opens a way for a real history of auto formation stakes into feminine middle-class in France
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Lesiewicz, Sophie. "Le « livre (typo)graphique », 1890 à nos jours : un objet littéraire et éditorial innommé. Identification critique et pratique." Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2019. http://www.theses.fr/2019SACLV025.

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Abstract:
Cette thèse a pour origine le constat de la non prise en charge des ouvrages se caractérisant par leur seule iconicité scripturale en histoire du livre et de l’édition ainsi que de l’absence de définition d’une catégorie les regroupant aussi bien dans cette discipline qu’en littérature, histoire du graphisme, sémiotique ou histoire de l’art. Notre première hypothèse est que cette catégorie correspond au « livre graphique ». C’est par les littéraires, soit dans une approche par auteur, soit à travers l’étude de la poésie visuelle, que certains de ses ouvrages ont été abordés, avec les lacunes inhérentes à la discipline. Il nous a donc semblé essentiel d’adopter un point de vue pluridisciplinaire, en insistant sur l’histoire des techniques. Cette exigence nous a permis de distinguer au sein du « livre graphique », le livre (typo)graphique, au côté du livre (calli)graphique, (dactylo)graphique, etc., et de choisir de nous consacrer à la première sous-catégorie, afin de défendre notre deuxième hypothèse : le sursaut de la création typographique, réaction à son industrialisation de la fin du XIXe siècle jusqu’aux années 1980. Aux incunabula typographiae répondrait donc cinq siècles plus tard un livre(typo)graphique comme « ultima typographiae ».La première partie consiste en une identification théorique du livre (typo)graphique. Une enquête historiographique analyse les barrières épistémologiques à la considération critique de notre objet tout en dégageant nos outils conceptuels : les thèses de Johanna Drucker et d’Anne-Marie Christin. Suivent une histoire du livre (typo)graphique puis la définition d’un ensemble de traits génériques et typologiques.La deuxième partie consiste dans la recherche des producteurs de livres (typo)graphiques par le prisme des auteurs. Le premier chapitre se fonde sur l’histoire littéraire, et procède donc par mouvement. Cette méthode présente toutefois deux écueils. D’abord, la spécificité de l’objet d’étude - le livre et non pas le texte graphique - implique une approche technique mais aussi génétique sur le plan éditorial que favoriserait plutôt un biais par éditeur.D’autre part, il ressort qu’un certain nombre d’auteurs de livres (typo)graphiques n’ont paradoxalement pas été retenus par ce premier tamis. Ceci nous permet d’énoncer deux nouvelles hypothèses. Premièrement, le livre(typo)graphique semble aussi caractéristique d’auteurs impliqués dans le discours sur l’art et l’évolution de l’appropriation de ce dernier par les poètes, une des causes du développement de notre objet. Il s’agit donc dans le deuxième chapitre de mettre en évidence le fil rouge reliant les productions de Claudel, Segalen, du Bouchet et Tardieu pour conclure au caractère d’« appropriation » littéraire de procédés picturaux de leurs livres (typo)graphiques. Deuxièmement, nous proposons une équivalence entre le livre(typo)graphique de ces auteurs et la « peinture lettrée », en nous fondant sur leurs textes critiques et transpositions d’art et sur la dernière thèse d’A.-M. Christin.Au terme de la deuxième partie, il ressort que la grande majorité des livres (typo)graphiques identifiés n’a pas été embrassée. La troisième partie consiste dans un balayage par le biais des éditeurs. Un résultat beaucoup plus fructueux permet de proposer une cinquième hypothèse : le livre (typo)graphique est principalement un livre d’éditeur.Le premier chapitre met en avant cinq évolutions de ce producteur de 1890 aux années 1980. Dans le dernier chapitre, nous nous penchons sur la production du « poète-typographe ». On établira un lien de causalité entre la maîtrise totale de la chaine de production de cet ouvrier-homme de lettre, et le fait qu’il soit le plus important contributeur de livres (typo)graphiques.Parvenue à son terme, cette thèse vise à constituer une contre-histoire du livre illustré ou un complément à celle du livre de création
This thesis was formulated as an investigation into the lake of works treating of iconic scripturality in trough the history of book and publishing, and also the absence of any definition of the category to regroup them equally within this discipline as in literature, history of graphism, semiotic, history of art. Our initial hypothesis is that this category relates to the “graphic book”. It is trough specialist in literature, either in an approach by writer or passing through a close study of visual poetry, that certain of this works have been treated, with lacunae common to the discipline. In order to usefully complete the research work, it would seem essential to take on board a pluridisciplinary approach, emphasizing the technical history. These criteria allowed us to differentiate within the domain of the graphic book, the (typo)graphic book, around the (calli)graphic, (dactyl)graphic, etc., and to elect to focus upon the first subcategory, so as to justify our second hypothesis, that of a convulsion, in reaction to the meccanization of this industry at the end of the nineteen century through the decade of 1980’s. The incunabula typographiae would find its response five centuries later in the (typo)graphic book as ultima typographiae.The first part consists of a theoretical identification of the (typo)graphic book. An historiographical investigation would analyses epistemological barriers of the critical treatment of our object whilst bringing to light our conceptual tools: the thesis of Johanna Drucker and Anne-Marie Christin. Subsequently, establishing an history of (typo)graphic book and then, the definition of a group of generic traits and typologies.The second section is made up of a research into the producers of (typo)graphic books, as seen through the prism of the authors. The first chapter is based upon history of literature and thus proceeds by literary movement. Bearing in mind, this method is prey to tween dangers. First of all, the strictly specific nature of the study, the graphic book, but not text, implies a technical approach but also genetical in the editorial sense which would rather favour from an editor’s angle. Furthermore, it appears that a certain number of authors of (typo)graphic books, quiet paradoxically were not accounted for in this first selection. So, this allows us to articulate two new hypothesis. Firstly the (typo)graphic book seems also to be typified by authors involved in a discourse around art and the changing nature of the appropriation of the later by the poets, in itself one of the causes of the development of our object. Therefore, in the second chapter it would be a matter of highlighting the common thread uniting the productions of Claudel, Segalen, du Bouchet and Tardieu to conclude with the form of literary appropriation of pictorial processes of the (typo)graphic books. Secondly, we shall propose an equivalence between their (typo)graphic books and the literate painting, basing ourselves upon their critical texts and transposition of art and upon the last thesis of A.-M. Christin. At the clothe of the second section, one is still faced by the same difficulties that the great majority of identified typographical books hasn’t being catalogued.The third part would comprise of an overview from the publishers’ perspective. A much more productive result will allow us to formulate our fifth hypothesis: the (typo)graphic book is above all a publisher’s book. The first chapter will concentrate upon five evolutions of this producer. In the last chapter, we shall examine more specifically the production of the “typographic poet”. We shall establish a causal link between the total mastery of the production chain of this worker man of letters and the fact he became the most important contributor of (typo)graphic book.Reaching its conclusion, the thesis seeks to constitute, a counter-history of the illustrated book or a complement of that of the creative book
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Gauthier, Noëlle. "Les bénédictins de Saint-Michel de Saint-Mihiel de 1689 à 1790." Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSE2117.

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Abstract:
L’abbaye Saint-Michel de Saint-Mihiel est fondée par l’abbaye de Saint-Denis, sur l’ordre du roi Pépin le Bref, après 755 et avant 772, sur les hauteurs boisées de la rive droite de la Meuse, à une trentaine de kilomètres au sud de Verdun. Elle est réinstallée avant 824 au bord de la Meuse et agrégée à l’ordre de saint Benoît, réorganisé par saint Benoît d’Aniane, à la demande del’empereur Louis le Pieux.En 954, l’abbaye est donnée en dot à la fille d’Hugues le Grand qui épouse le duc de Haute-Lorraine Frédéric 1er. Ils sont les ancêtres des ducs de Bar, devenus aussi ducs de Lorraine au XVème siècle. L’abbaye reste barroise jusqu’en 1766, date du rattachement des deux duchés à la France.C’est une des abbayes bénédictines importantes des deux duchés. Elle fait partie de la province de Lorraine de la congrégation bénédictine de Saint-Vanne, créée en 1604, et qui regroupe une cinquantaine de maisons en Champagne, Lorraine et Franche-Comté.Le XVIIème siècle est une période difficile pour la Lorraine et le Barrois, pris dans la terrible guerre de Trente Ans de 1631 à 1661. Les duchés et l’abbaye de Saint-Mihiel se relèvent de leurs ruines et se préparent pour un XVIIIème siècle qu’on pourrait prédire d’épanouissement matériel, intellectuel et spirituel. Semblent en témoigner, pour l’abbaye, ses bâtiments que l’on peuttoujours admirer au XXIème siècle et, en particulier, sa magnifique bibliothèque réaménagée vers 1775 et qui renferme toujours plus de 6 000 livres ayant appartenu aux bénédictins.La réalité est plus nuancée et complexe si l’on s’intéresse à ces religieux de 1689, sommet de leur épanouissement spirituel et intellectuel, à 1790, année de la suppression des ordres religieux en France. Nous avons la chance de disposer de leurs témoignages, le plus important étant celui de leur très savant bibliothécaire, de 1717 à 1756, dom Ildefonse Catelinot
The Saint-Michel monastery of Saint-Mihiel was founded by the SaintDenis abbey, on the request of King Pépin the Younger, after 755 and before 772, on the forested heights of the right bank of the river Meuse, at about 30 km south of Verdun. It was reinstalled before 824 on the edge of the Meuse and aggregated to the Saint Benedict order, reorganized by Saint Benedict d’Aniane on the request of the emperor Louis the Pious.In 954, the monastery is given as a dowry to the daughter of Hugh the Great who marries the Duke of Haute-Lorraine Frederick 1st. They are the ancestors of the Dukes of Bar, who also became the Dukes of Lorraine in the 15th century. The abbey remains linked to the Barrois until 1766, which is the date of attachment of the two duchies to France.It is one of the important Benedictine abbeys of the two dukedoms. It is part of the province of Lorraine of the Benedictine congregation of Saint-Vanne, created in 1604, which comprises about fifty monasteries in Champagne, Lorraine and Franche-Comté.The 17th century is a difficult period for the Lorraine and Barrois, involved in the terrible Thirty Years war from 1631 to 1661. The dukedoms and the Saint-Mihiel abbey recover from their ruins and get prepared for an 18th century that one could predict as a material, intellectual and spiritual blooming. What seems to testify, for the abbey, are its buildings that one can still admire in the 21th century, and particularly its magnificent library refurnished around 1775 and which still comprises over 6 000 books having belonged to the Benedictines.The reality is more balanced and complex if one gets interested in these religious figures from 1689, culmination of their spiritual and intellectual blooming, until 1790, year of the withdrawal of the religious orders in France. We are lucky to have their testimonies, the most important being the one of their scholarly librarian, from 1717 to 1756, Dom Ildefonse Catelinot
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Gil, Linda. "L’Édition Kehl de Voltaire : une aventure éditoriale et littéraire au tournant des Lumières." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040119.

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Abstract:
A la mort de Voltaire, une équipe d’admirateurs du patriarche fonde la « Société Littéraire Typographique » pour réaliser une nouvelle édition complète de son œuvre. Ce projet dissident et pionnier, réalisé sous la direction de Beaumarchais et de Condorcet dans la clandestinité, s’inscrit dans la perspective d’une diffusion militante des textes et des idées des Lumières. Malgré les innombrables obstacles qui s’opposent à cette entreprise subversive, les correspondants de la SLT parviennent à « finir ce cher Voltaire » et livrent à la postérité, entre 1785 et 1790, une édition in octavo en 70 volumes et une édition in-Douze en 90 volumes. Cette édition posthume et intégrale de l’œuvre de Voltaire constitue une première dans le champ éditorial français, à la fois par le luxe et le soin apporté à l’édition « chef d’œuvre de l’art typographique » mais aussi par l’apport de la correspondance, qui livre l’image de l’homme privé et même intime, à côté de l’œuvre littéraire. Le dernier volume, intitulé Vie de Voltaire, est le texte qui relie les deux ensembles. Pour Condorcet, Voltaire a fait de sa vie un chef d’œuvre, qu’il s’agit de livrer à la postérité pour sa valeur morale et politique. Au-Delà de son caractère exemplaire, cette édition pose de nombreuses questions, historiques, philologiques et idéologiques qui touchent à l’histoire du livre, à la connaissance du corpus voltairien, à l’enjeu politique et idéologique majeur que représente l’œuvre de Voltaire dans le contexte très polémique des années pré-Révolutionnaires, au mythe littéraire édifié par cette entreprise éditoriale, et à la réception de l’œuvre ainsi rendue publique
Upon Voltaire’s death, a group of enlightened admirers of the patriarch founded the « Société Littéraire Typographique » with the aim of publishing a new complete edition of his works. This subversive and pioneering project, directed by Beaumarchais and Condorcet in clandestinity, was aimed at disseminating the texts and ideas of the Enlightenment. Despite the innumerous obstacles standing in the way of this subversive entreprise, the correspondents of the SLT were able to complete « ce cher Voltaire » and deliver to posterity, between 1785 and 1790, an edition in-Octavo in 70 volumes and an edition in-12° in 90 volumes. This complete posthumous edition of Voltaire’s works was a first in the French publishing, both for the luxury and the care which caracterized the realization of the book, « a masterpiece of typographical art » and the correspondence, in which we can see an image of the private man and his intimacy, beside his literary writings. The last volume, the Vie de Voltaire, is the textum and the link between these two parts. For Condorcet, Voltaire had transformed his life into a masterpiece, which the editors wanted to show to posterity for its political and moral value. In addition to its exemplarity, this edition raises many historical, philological and ideological questions related to book history, to the knowledge of the Voltairian corpus, to the major political and ideological issues portrayed in Voltaire’s writings in the very polemical context of pre-Revolutionay times, to the literary myth created by this editorial enterprise, and to the reception of his writings thus made public
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Mathis, Véronique. "Louis Lafitte : un peintre d'histoire de la Révolution à la Restauration." Thesis, Normandie, 2020. http://www.theses.fr/2020NORMR081.

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Abstract:
Louis Lafitte (1770-1828) a tenu toute sa vie à se présenter, avec fierté, comme peintre d’histoire, ce que sa formation artistique justifie pleinement. Après un apprentissage chez le graveur Gilles-Antoine Demarteau, il entre dans l’atelier de Jean-Baptiste Regnault, concurrent et rival de celui de Jacques Louis David dans les années 1780. Présenté par ce maître, il est inscrit à l’Académie royale de peinture, sculpture et architecture en 1784 ; son cursus y est honorable : première médaille au quartier d’octobre 1788, et surtout grand prix de peinture, lors de sa première participation au concours en 1791. Ce parcours d’excellence lui vaut une place à l’Académie de France à Rome, mais il ne peut guère profiter de ce privilège, la situation politique de la France ne trouvant pas grâce aux yeux du gouvernement romain. La population supporte de plus en plus mal la présence française et en janvier 1793, c’est l’explosion ; le Palais Mancini siège de l’Académie est incendié, les pensionnaires dispersés. Tous rentrent plus ou moins rapidement en France ; certains comme Lafitte iront se réfugier à Florence jusqu’à la rupture de la neutralité de la Toscane en octobre 1793. De retour en France, commence une période paradoxale : pensionnaire de la République sur le papier jusqu’en septembre 1800, il en perçoit les modestes indemnités, compte peut-être sur un nouveau séjour romain qui ne viendra pas, mais ne parvient pas à « faire la peinture » à laquelle il aspire, faute d’obtenir un atelier, malgré des demandes répétées. Il n’entre pas non plus dans le cénacle des artistes sollicités régulièrement par les gouvernements successifs, mais il donne parfois de timides signes d’assentiment au régime en place, de l’an II jusqu’à l’Empire où il bénéficie alors de commandes officielles plus importantes, comme le simulacre de l’Arc de triomphe de l’Etoile pour le mariage de Napoléon et Marie-Louise. Son ralliement enthousiaste à la Restauration montre sans doute le vrai visage de Lafitte quant à ses affinités politiques. Il en résulte une place très officielle de dessinateur du Cabinet du Roi, qui conclut avec panache une carrière dont le parcours est souvent difficile à reconstituer. La plus grande partie de sa vie, il n’est pas dans la lumière, car faute de clients publics, il s’est tourné très vite vers une clientèle privée, que son titre de peintre d’histoire, inlassablement mis en avant, n’a pas manqué d’attirer et que ses réels talents de dessinateur ont fixé. On lui demande surtout des travaux en rapport avec les goûts du temps, décors intérieurs pompéiens, ou portraits, tous objets qui malheureusement n’ont que très exceptionnellement laissé des traces. Son crayon sûr et incisif travaille pour les graveurs d’estampes, avec des morceaux célèbres comme les figures du calendrier républicain, ainsi que pour les éditeurs de belles éditions illustrées, dont les lecteurs de l’époque sont friands. On pense notamment à la luxueuse édition Didot de Paul et Virginie, orchestré de bout en bout par Bernardin de Saint Pierre lui-même. Il s’est taillé dans ce dernier domaine une réputation telle, qu’il est resté comme un illustrateur de livres pour une part non négligeable d’auteurs du XIXe siècle. Il n’a pas manqué non plus d’être intéressé par les arts appliqués et de fournir des dessins aussi bien pour de l’orfèvrerie que pour des papiers peints ; des objets de luxe, produits en petit nombre certes, mais industriellement quand même, qui montre un artiste ne dédaignant pas les demandes d’une société de consommation exigeante. Comme on le voit, il ne fait pas œuvre de peintre d’histoire ; mais ce parcours très diversifié, faisant feu de tout bois, montre une adaptation originale à la situation nouvelle que rencontrent les artistes dans une période particulièrement troublée. Elle permit à Louis Lafitte, peintre d’histoire, sinon d’atteindre la gloire, au moins de vivre correctement de son art
All his life Louis Lafitte (1770-1828) insisted on introducing himself, with pride, as a history painter, a statement which his artistic training fully justified. After an apprenticeship with the engraver Gilles-Antoine Demarteau, he was the pupil of Jean-Baptiste Regnault, a competitor and rival of Jacques Louis David's in the 1780s. Introduced by his master, he was enrolled at the Royal Academy of Painting, Sculpture and Architecture in 1784; his studies there were honourable: first medal in October 1788, and above all the grand prize in painting, when he first took part in the competition in 1791. This course of excellence earned him a place at the Académie de France in Rome, but he could hardly take advantage of this privilege, as the political situation in France was not acceptable to the Roman authorities. The population could not stand the French presence and in January 1793, it was mayhem; the Mancini Palace, the seat of the Academy, was burnt down and the residents dispersed. All of them returned to France more or less quickly; some, like Lafitte, took refuge in Florence until the neutrality of Tuscany was ruptured in October 1793. On his return to France, a period of uncertainty began: an official resident of the Republic until September 1800, he received modest compensation. His desire to return to Rome was unfulfilled as was his aspiration to become a history painter, as he was unable to obtain a studio, despite repeated requests. Nor did he enter the cenacle of artists regularly solicited by successive governments, but he sometimes gave timid signs of assent to the regime in power, from the year II to the Empire, where he received more important official commissions, such as the simulacrum of the Arc de Triomphe de L'Etoile for the wedding of Napoleon and Marie-Louise. His enthusiastic rallying to the Restoration undoubtedly shows the true face of Lafitte's political affinity. The result was a very official position as draughtsman in the King's Cabinet, which concluded his artistic career which is often difficult to reconstruct. For most of his life, he was not in the limelight, lacking public clients, he very quickly turned to a private clientele, which he obtained by using his title of a history painter. He was mainly asked to paint works in line with the tastes of the time, Pompeian interior decorations, or portraits, which we have little trace of today. A skilled draughtsman, he worked for print engravers, producing famous pieces such as figures from the republican calendar, but also for publishers of refined illustrated editions, very appreciated by the readers of the time. One thinks, in particular, of the luxurious Didot edition of Paul and Virginie, directed from beginning to end by Bernardin de Saint Pierre himself. In the publishing field, he earned such a reputation that he remained a book illustrator for a large number of 19th-century authors. He was also interested in the applied arts and provided drawings for both the goldsmiths and wallpaper trade. These were luxury objects, produced in small numbers but mechanically manufactured. As an artist, Louis Lafitte accepted the demands of consumer society, his eclectic career showed his constant ability to adapt during the revolution and although he is not remembered as a history painter, he succeeded in making a living from his trade
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