To see the other types of publications on this topic, follow the link: Lutte biologique contre les Arthropodes.

Journal articles on the topic 'Lutte biologique contre les Arthropodes'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 journal articles for your research on the topic 'Lutte biologique contre les Arthropodes.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Dibangou, Valentin, Mireille Belle Mbou, Nazaire Loubaki Ntolo, and Grâce Nianga-Bikouta. "Inventaire rapide des principaux entomophages de la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti (Homoptera : Pseudococcidae) en République du Congo." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 7 (December 4, 2020): 2517–27. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i7.12.

Full text
Abstract:
Dès l’année 1970, une baisse de production en tubercules de manioc de l’espèce Manihot esculenta Crantz (Euphorbiacée) a été constatée en Afrique. L’un des principaux ravageurs de cette plante est la cochenille farineuse du manioc. Au Congo, la lutte contre celui-ci s’est organisée dès 1982 par l’introduction d’un parasitoïde hyménoptère, Epidinocarcis lopezi. Mais cet insecte auxiliaire s’est très vite retrouvé à son tour la proie d’hyperparasites qui freinent ainsi son expansion et limitent son efficacité. La présente étude fait un inventaire des entomophages de la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti. Elle s’est déroulée dans trois sites retenus dans la ville de Brazzaville : Kombé, jardin d’essai et Lycée Savorgnan de Brazza (LSB). La récolte des momies a été effectuée sur des feuilles infestées, les arthropodes ayant émergé ont été collectés et identifiés, les taux d’émergence et d’hyperparasitisme ont été déterminés. Les résultats obtenus montrent un taux d’hyperparasitisme élevé (60 et 66,66%) et une faible abondance d’E. lopezi comparé aux hyperparasites (22 hyperparasites pour 13 parasitoïdes). Un autre parasitoïde Acerophagus coccois Smith non encore décrit jusqu’ici au Congo a été découvert. Il pourrait avoir été introduit accidentellement avec les boutures importées et expérimentées dans le but d’améliorer les performances du manioc.Mots clés : Lutte biologique, Auxiliaire, Entomocénose, Momie, Brazzaville, Congo. English Title: Rapid inventory of the main entomophagous species of the cassava mealybug Phenacoccus manihoti (Homoptera: Pseudococcidae) in the Republic of Congo As early as 1970, a decrease in the production of cassava tubers of the species Manihot esculenta Crantz (Euphorbiaceae) was observed in Africa. One of the main pests of this plant is the cassava mealybug. In the Congo, the fight against it was organized in 1982 with the introduction of a hymenoptera parasitoid, Epidinocarcis lopezi. But this auxiliary insect very quickly found itself the prey of hyperparasites, which thus slowed down its expansion and limited effectiveness. The present study makes an inventory of the entomophages of the cassava mealybug Phenacoccus manihoti. It took place in three selected sites in the city of Brazzaville: Kombé, test garden and Lycée Savorgnan de Brazza (LSB). The mummies were harvested from infested leaves, emerging arthropods were collected and identified, rates of emergence and hyperparasitism were determined. The results obtained reached a high rate of hyperparasitism (60 and 66.66%) and a low abundance of E. lopezi compared to hyperparasites (22 hyperparasites for 13 parasitoids). Another parasitoid Acerophagus coccois Smith not yet described in Congo has been discovered. It could have been created accidentally with the imported cuttings and tested in corn to improve cassava performance.Keywords: Biological pest control, Auxiliary, Entomocenosis, mummy, Brazzaville, Congo.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Bourée, P. "Lutte biologique contre la leishmaniose cutanée." Médecine et Santé Tropicales 24, no. 1 (January 2014): 26. http://dx.doi.org/10.1684/mst.2014.0301.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Roy, M. "État actuel de la lutte biologique contre les acariens phytophages par des acariens prédateurs." Phytoprotection 74, no. 1 (April 12, 2005): 41–49. http://dx.doi.org/10.7202/706035ar.

Full text
Abstract:
Au Québec, la stratégie de lutte contre le tétranyque rouge du pommier (Panonychus ulmi) et le tétranyque à deux points (Tetranychus urticae) dans les vergers de pommier (Malus pumila) repose actuellement sur l'emploi d'acaricides coûteux. Par ailleurs, les consommateurs exigent de plus en plus des fruits exempts de pesticides. Dans ce contexte, l'utilisation de méthodes de lutte non chimiques suscite un grand intérêt auprès des pomiculteurs. Depuis plusieurs années, les efforts de recherche et les essais conduits aux États-Unis et en Europe ont donné un large essor à l'utilisation de souches d'acariens prédateurs résistants à certaines classes de pesticides. Au Québec, des expériences de lutte biologique avec l'acarien prédateur Amblyseius fallacis [Acarina: Phytoseiidae] ont été entreprises depuis quelques années. Cet article se propose d'exposer la problématique de la lutte contre les acariens nuisibles dans les vergers québécois ainsi que les perspectives d'avenir de l'utilisation de la lutte biologique contre ces ravageurs.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Boussim, Joseph I., and Nayéré Médah. "Méthodes de lutte contre les Loranthaceae." Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica 12 (January 1, 2009): 27–35. http://dx.doi.org/10.21248/fvss.12.9.

Full text
Abstract:
Les Loranthaceae posent un problème majeur à l’amélioration et à la pérennisation de la production fruitière du karité (Vitellaria paradoxa C. F. Gaertn) en Afrique de l’Ouest. Cet´article présente les resultats des investigations faites en vue d’identifier des méthodes de contrôle des parasites. Deux types d’essais ’’au champ’’ ont été effectués et ont donné des résultats prometteurs: la destruction mécanique et les traitements par herbicides. Additionellement ont été identifiées des variétés résistantes et quelques possibilités de la lutte biologique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Boisclair, Josée, and Bernard Estevez. "Lutter contre les insectes nuisibles en agriculture biologique : intervenir en harmonie face à la complexité." Phytoprotection 87, no. 2 (November 10, 2006): 83–90. http://dx.doi.org/10.7202/013977ar.

Full text
Abstract:
Résumé Les systèmes agricoles en gestion biologique se caractérisent par une grande biodiversité et une forte complexité. La biodiversité est associée à une faune entomophage variée et abondante qui permet une meilleure lutte naturelle contre les insectes ravageurs qu’en agriculture intensive. Cette contribution ne se limite pas à la ferme. Certaines études à l’échelle du paysage démontrent que les zones non cultivées servent de réservoirs à la faune auxiliaire (prédateurs et parasitoïdes). Cependant, la biodiversité ne permet pas de réprimer certains ravageurs en dessous du seuil économique. Par conséquent, la prévention joue un rôle important en visant l’aménagement du système agricole pour qu’il soit favorable aux ennemis naturels et défavorable aux ravageurs. Ainsi, les pratiques culturales telles que la rotation et le choix de cultivars sont au premier plan dans une stratégie de lutte intégrée en production biologique. À un parcours technique qui mise sur le principe de prévention s’ajoutent, en dernier recours, des outils comme les bâches, les biopesticides et les agents de lutte biologique. Malgré ces outils, le défi reste entier. La complexité de « l’agroécosystème biologique » exige un effort de recherche pour mieux comprendre certains mécanismes qui permettraient d’accroître la lutte naturelle aux insectes ravageurs.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Kenis, Marc, Brett P. Hurley, Ann E. Hajek, and Matthew J. W. Cock. "Stratégies de lutte biologique contre les insectes invasifs (Résumé)." Revue Forestière Française, no. 6 (2018): 605. http://dx.doi.org/10.4267/2042/70309.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Uilenberg, Gerrit. "Lutte intégrée contre les parasitoses animales tropicales." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 2 (February 1, 1996): 124–29. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9529.

Full text
Abstract:
Dans le passé, la lutte contre les parasites était essentiellement basée sur l'utilisation de médicaments et de pesticides. La tendance actuelle est vers une approche plus flexible, intégrant divers autres moyens de combattre ces pathologies. Les raisons principales de cette évolution sont les suivantes : - apparition de résistances des parasites aux composés utilisés ; - ralentissement du développement de nouveaux composés pour compenser ce phénomène de résistance (réglementation de plus en plus stricte sur la toxicité et les résidus) ; - accroissement des coûts des nouveaux produits pour l'utilisateur ; - problèmes liés à la toxicité, à la pollution de l'environnement et aux résidus dans les produits d'origine animale. La gestion intégrée des moyens de lutte contre les parasites utilise, dans la mesure du possible, la lutte biologique et mécanique, la résistance acquise et innée de l'hôte du parasite, ainsi que des procédures mécaniques, sanitaires et réglementaires, même si la lutte chimique ne peut que rarement être complètement abolie.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Bawin, T., F. Seye, S. Boukraa, J. Y. Zimmer, F. Delvigne, and F. Francis. "La lutte contre les moustiques (Diptera: Culicidae): diversité des approches et application du contrôle biologique." Canadian Entomologist 147, no. 4 (October 29, 2014): 476–500. http://dx.doi.org/10.4039/tce.2014.56.

Full text
Abstract:
RésuméPlusieurs espèces de moustiques (Diptera: Culicidae) sont des vecteurs de zoonoses d’incidence médicale et vétérinaire considérables. Une modification de la distribution géographique de ces vecteurs majoritairement engendrée par des facteurs anthropiques est actuellement accompagnée de (ré-)émergences de maladies infectieuses en Europe et en Amérique du Nord. Depuis l’avènement des insecticides de synthèse lors de la seconde guerre mondiale, les moustiques font l’objet de recherches de plus en plus étendues et approfondies. Dans une vision de lutte intégrée, les moyens de lutte anti-vectorielle se répartissent aujourd’hui selon quatre axes principaux: (1) la gestion environnementale et le contrôle physique, (2) le contrôle chimique, (3) le contrôle génétique, et (4) le contrôle biologique par le biais d’entomophages et de micro-organismes entomopathogènes. Dans ce contexte, ces derniers ont un potentiel intéressant car ils possèdent la capacité d’infecter et de tuer l’hôte avec une sélectivité plus ou moins prononcée. Cet article se propose de resituer le contrôle biologique parmi les autres techniques dans la lutte anti-vectorielle contre les moustiques, et de faire état des potentialités et des perspectives offertes par les bactéries, virus et champignons entomopathogènes. Leur utilisation sous forme de biopesticides est enfin discutée.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Ladoh Yemeda, CF, R. Mony, M. Tchatat, and S. Dibong. "Contribution des fourmis à la lutte biologique contre les Loranthaceae." International Journal of Biological and Chemical Sciences 7, no. 3 (June 4, 2014): 924. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v7i3.4.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

CAYROL, J. C. "Lutte biologique contre les Meloidogyne au moyen du champignon prédateur Arthrobotrys irregularis." EPPO Bulletin 18, no. 1 (March 1988): 73–75. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.1988.tb00350.x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

COUTEAUDIER, Yvonne, Michel LETARD, Claude ALABOUVETTE, and Jean LOUVET. "Lutte biologique contre la fusariose vasculaire de la tomate. Résultats en serre de production." Agronomie 5, no. 2 (1985): 151–56. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19850208.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Bouyer, Jérémy, Frédéric Stachurski, Abdoulaye Gouro, and Renaud Lancelot. "Traitement insecticide des bovins contre les glossines par pédiluve en conditions expérimentales." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 61, no. 3-4 (March 1, 2008): 161. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9983.

Full text
Abstract:
L’étude du comportement des arthropodes vecteurs peut aboutir à la mise au point de méthodes de lutte innovantes et économiques pour les éleveurs. Ainsi, le traitement ciblé de l’extrémité des membres des bovins par pédiluve acaricide permet-il d’éliminer les tiques Amblyomma variegatum (Acari : Ixodidae) capturées au pâturage avant qu’elles n’accèdent à leurs sites de fixation définitifs. Les auteurs ont récemment montré qu’avec une solution d’α-cyperméthrine, le traitement pédiluve était aussi efficace qu’une pulvérisation intégrale pour lutter contre Glossina tachinoides Westwood, 1850 (Diptera, Glossinidae) et G. palpalis gambiensis Vanderplank 1949. Ils ont comparé ici en conditions expérimentales (cages et étable moustiquaire) l’efficacité d’une formulation de deltaméthrine (Vectocid) administrée par pulvérisation intégrale, partielle, ou par pédiluve, efficacité qui s’est traduite par la paralysie de ces deux espèces et de G. morsitans submorsitans Newstead 1910 lorsqu’elles ont été mises en présence des animaux traités. Lors de l’exposition aux glossines en cage, le taux de paralysie des glossines exposées aux bovins imprégnés par pédiluve a été similaire à celui obtenu par pulvérisation partielle (p = 0,062) mais inférieur à celui obtenu par aspersion complète (p < 10−3). En volières, il a été inférieur à celui des deux autres modalités de traitement (p < 10−3). Malgré cela, la mortalité due au pédiluve, calculée sur 15 jours avec une fréquence de traitement de trois jours, est restée supérieure à celle nécessaire pour obtenir l’extinction d’une population isolée de glossines (3 p. 100 j−1). Cette technique pourrait donc être efficace dans la lutte préventive contre les trypanosomoses bovines transmises par les glossines dans certaines conditions.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

House, James A. "Recommandations pour l’utilisation de vaccins contre la peste équine dans des régions non endémiques." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 1-2 (January 1, 1993): 77–81. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9402.

Full text
Abstract:
La peste équine (PE) est causée par des orbivirus et transmise par des Culicoides; elle détermine une mortalité jusqu'à 95 %. Le but d'un programme de lutte et d'éradication est d'empêcher la propagation du virus par le vecteur biologique. Les mesures de lutte comprennent l'abattage des animaux infectés, la mise en étable étanche aux insectes des animaux suspects d'infection et la vaccination. Le vaccin doit être facilement disponible, soit par une production régulière dans des installations répondant aux normes internationales, soit dans une banque de vaccin. Des banques de stocks de vaccins vivants modifiés ou de vaccins inactivés concentrés permettent de disposer d'un vaccin contre la PE lors d'épizooties futures. Un test diagnostique a été développé récemment pour distinguer les animaux vaccinés d'animaux infectés naturellement, et fournit de l'information utile aux services officiels pour le contrôle de la PE.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

CAMPOROTA, Pierre, Vasile BORDEI, and Marc RICHARD-MOLARD. "Lutte biologique contre Polymyxa betae (Keskin) au moyen de Trichoderma sp. Résultats préliminaires in vivo." Agronomie 8, no. 3 (1988): 223–25. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19880307.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Tia, E. V., P. Lozano, C. Menut, Y. F. Lozano, T. Martin, S. Niamké, and A. A. Adima. "Potentialité des huiles essentielles dans la lutte biologique contre la mouche blanche Bemisia tabaci Genn." Phytothérapie 11, no. 1 (January 4, 2013): 31–38. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-012-0736-8.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Boiteau, Gilles. "État de la lutte dirigée contre les insectes ravageurs en production biologique de pommes de terre." Cahiers Agricultures 17, no. 4 (July 2008): 382–87. http://dx.doi.org/10.1684/agr.2008.0219.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

SCOTT (John K.) and EVANS (Katherine J.). "La Lutte biologique contre la végétation concurrente en forêt : cas particulier de Rubus fruticosus en Australie." Revue Forestière Française, no. 6 (2002): 585. http://dx.doi.org/10.4267/2042/4946.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Taqarort, Naima, Lahcen Bouzerda, Hassan Boubaker, Abdellah Ait Ben Aoumar, and El Hassan Boudyach. "Lutte biologique contre la pourriture verte des agrumes en post-récolte par l'utilisation de levures antagonistes." Acta Botanica Gallica 155, no. 2 (January 2008): 235–44. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2008.10516106.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

GUILLAUMÈS, J., G. HOUDEAU, R. GERMAIN, and J. M. OLIVIER. "Amélioration de la lutte biologique contre Pseudomonas tolaasii par utilisation de bactériophages associés à une bactérie antagoniste." EPPO Bulletin 18, no. 1 (March 1988): 77–82. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.1988.tb00351.x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Vrot, Francelinv, and J. Grente. "Recherche d'un moyen de lutte biologique contre la maladie de l'encre par utilisation de la symbiose mycorhizienng." Forest Pathology 15, no. 5-6 (October 1985): 379–83. http://dx.doi.org/10.1111/j.1439-0329.1985.tb01116.x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Anheuser, Kilian, and Isabel Garcia Gomez. "Trichogramma evanescenscontreTineola bisselliella: expérience de lutte biologique contre la mite des vêtements dans une réserve d'objets ethnographiques." Studies in Conservation 58, no. 3 (July 2013): 269–73. http://dx.doi.org/10.1179/2047058412y.0000000067.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Delobel, A. "Uscana caryedoni [Hym.: Trichogrammatidae]: Possibilités d'utilisation en lutte biologique contre la bruche de l'arachide,Caryedon serratus [Col.: Bruchidae]." Entomophaga 34, no. 3 (September 1989): 351–63. http://dx.doi.org/10.1007/bf02372474.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

D'ERCOLE, N., P. NIPOTI, L. E. FINESSI, and D. MANZALI. "Revue de plusieurs années de recherche en Italie sur la lutte biologique contre les champignons telluriques avec Trichoderma spp." EPPO Bulletin 18, no. 1 (March 1988): 95–102. http://dx.doi.org/10.1111/j.1365-2338.1988.tb00354.x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Diarra, Mama, Michel Havard, and Mamy Soumaré. "La perception des avantages et des contraintes de l’écimage du cotonnier par les producteurs du Mali." Cahiers Agricultures 29 (2020): 10. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020007.

Full text
Abstract:
Au Mali, l’efficacité de la lutte chimique systématique (traitements calendaires) contre les ravageurs du cotonnier est régulièrement remise en cause. Des alternatives à cette lutte, comme la lutte étagée ciblée, l’intervention sur seuil et la culture biologique, visant toutes à réduire les quantités de pesticides utilisées, sont diffusées ; d’autres sont testées chez les producteurs, comme l’écimage du cotonnier. Cette étude analyse la perception de la technique de l’écimage du cotonnier par des producteurs. Elle a été conduite dans quatre villages de la zone cotonnière, à l’aide de focus groups d’hommes et de femmes et d’entretiens avec 40 producteurs ayant pratiqué ou non l’écimage. Les avantages de l’écimage identifiés par la majorité des producteurs interrogés sont : (i) une technique manuelle facile à mettre en œuvre, (ii) la diminution des risques de chute d’organes fructifères, (iii) la réduction de la hauteur des plants, s’étalant davantage (iv) une amélioration du rendement et (v) la réduction de la population des ravageurs et donc de l’utilisation des pesticides, ayant des effets positifs sur la santé humaine et l’environnement, et diminuant les coûts de production. Ses principales contraintes sont le besoin supplémentaire de main-d’œuvre et son coût par rapport à la culture de coton non écimé. Des partenariats avec les sociétés cotonnières et les organisations paysannes et la formation de leurs agents à l’écimage sont indispensables pour une adoption de cette technique à une plus large échelle.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Nénon, J. P. "Bioécologie de Megarhyssa atrata [Hymenoptera : Ichneumonidae], ectoparasite de Tremex columba [Hymenoptera : Siricidae] au Québec." Phytoprotection 76, no. 3 (April 12, 2005): 115–22. http://dx.doi.org/10.7202/706090ar.

Full text
Abstract:
Dans le sud du Québec, Megarhyssa atrata vole de mai à septembre avec un pic nettement marqué durant la première quinzaine de juin; les mâles apparaissent dès le 19 mai, les femelles sont rencontrées jusqu'au 9 septembre. Durant l'été 1992, M. atrata a représenté 50% du peuplement constitué par trois espèces de Megarhyssa sympatriques et inféodées au même hôte, Tremex columba, en développement dans l'orme américain (Ulmus americana). Par contre, M. atrata représentait 60 % de la population totale de femelles des trois espèces. Le taux de parasitisme estimé sur 107 individus-hôtes observés était de 57,9 %. M. atrata se développe en ectoparasitoïde et son cycle, qui est probablement de 2 ans, comprend quatre stades larvaires. M. atrata apparaît comme un élément de régulation des populations de Tremex columba et pourrait être un agent de lutte biologique en foresterie. Ces données sur l'écobiologie de M. atrata sont les premières pour le Canada.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Bateman, Roy. "The Development of a Mycoinsecticide for the Control of Locusts and Grasshoppers." Outlook on Agriculture 26, no. 1 (March 1997): 13–18. http://dx.doi.org/10.1177/003072709702600104.

Full text
Abstract:
Both national authorities and the donor community require methods of locust and grasshopper control that are less insecticide-dependent and more environmentally friendly. The LUBILOSA (LUtte Biologique contre les LOcustes et les SAuteriaux) programme has identified mycoinsecticides, based on aerial conidia of fungal entomopathogens such as Metarhizium, as the most effective biological control technique discovered to date. High (90%) insect mortalities have been demonstrated in the field following the application of oil-based formulations with ultra-low volume spraying equipment normally used for acridid control. The mechanisms of disease transmission in the field are still under investigation and the programme has helped to initiate a re-evaluation of the taxonomic status of the genus Metarhizium. Effective mycoinsecticides can be produced using relatively unsophisticated equipment although the quality of commercial products would need to be carefully controlled. Metarhizium has recently been recommended by the Food and Agriculture Organization (FAO) for use in environmentally sensitive areas, and the programme has now entered an implementation phase.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

GRÉGOIRE, J. C., J. MERLIN, R. JAFFUEL, Ph DENIS, P. LAFONT, and D. SCHVESTER. "Elevage à petite et moyenne échelle du prédateur Rhizophagus grandis Gyll. en vue de la lutte biologique contre Dendroctonus micans Kug." Revue Forestière Française, no. 5 (1986): 457. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25676.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Camara, B., E. Dick, A. Sako, D. Kone, C. Kanko, M. A. D. Boye, S. Ake, and A. Anno. "Lutte biologique contre Deightoniella torulosa (Syd.) Ellis, par l’application des huiles essentielles d’Eucalyptus platyphylla F. Muell. et de Melaleuca quinquenervia L." Phytothérapie 8, no. 4 (July 24, 2010): 240–44. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-010-0568-3.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Mouria, Btissam, Amina Ouazzani-Touhami, and Allal Douira. "Effet de diverses souches du Trichoderma sur la croissance d'une culture de tomate en serre et leur aptitude à coloniser les racines et le substrat." Phytoprotection 88, no. 3 (September 25, 2008): 103–10. http://dx.doi.org/10.7202/018955ar.

Full text
Abstract:
RésuméLes champignons du genreTrichoderma, connus depuis 1887 pour leurs propriétés antagonistes, ont été utilisés comme agents de lutte biologique contre un large spectre de phytopathogènes. Récemment, certaines études ont démontré l'aptitude desTrichodermaà stimuler la croissance de certaines plantes. Ainsi, l'effet de six souches duTrichodermasur les paramètres de croissance et de rendement d'une culture de tomate en serre a été étudié. Les résultats montrent que toutes les souches duT. harzianumont stimulé la croissance de la tomate, notamment les biomasses végétative et racinaire, alors que leT. viriden'a pas eu un effet significativement différent par rapport au témoin. L'effet duTrichodermasur l'incidence des maladies foliaires a aussi été très net pour des souches deT. harzianumqui ont protégé à 100 % les feuilles de tomate. La colonisation des racines par les différentes souches duTrichodermane diffère pas significativement entre les souches duT. harzianum(86 à 100 %), alors qu'elle est significativement plus faible pour la souche TV1duT. viride.De même, les souches duTrichodermaont pu se maintenir à un niveau très élevé dans la rhizosphère par rapport aux témoins.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Hance, T., G. Van Impe, P. Lebrun, P. Nihoul, F. Benoit, and N. Ceusterman. "Comparaison de l'efficacité d'une technique de lutte chimique et d'une technique de lutte biologique pour la protection de la culture de la tomate contre l'acarien tisserand Tetranychus urticae (Acari: Tetranychidae)." Agronomie 11, no. 9 (1991): 799–806. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19910910.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Betbeder-Matibet, M. "Elevage de plusieurs especes du genre Chilo et de certains de leurs parasites pour la lutte biologique contre les foreurs des graminees en Afrique." International Journal of Tropical Insect Science 11, no. 4-5 (October 1990): 617–23. http://dx.doi.org/10.1017/s1742758400021184.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

FARRUGGIA, A., B. MARTIN, R. BAUMONT, S. PRACHE, M. DOREAU, H. HOSTE, and D. DURAND. "Quels intérêts de la diversité floristique des prairies permanentes pour les ruminants et les produits animaux ?" INRAE Productions Animales 21, no. 2 (June 23, 2008): 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.2.3391.

Full text
Abstract:
Les prairies permanentes occupent environ un tiers de la surface agricole utile et présentent un grand potentiel de diversité biologique. L’élevage a de ce fait un rôle majeur à jouer dans la préservation de la biodiversité sur le territoire français. L’objectif de cette synthèse est d’aborder la question de la diversité floristique des prairies et de l’élevage en s’interrogeant sur l’intérêt de cette diversité construite par les éleveurs, pour les ruminants et les produits animaux. Une seule composante de la diversité biologique des prairies est prise en compte&nbsp;: la diversité floristique. Il est réalisé dans cette synthèse un état des connaissances pluridisciplinaires des effets de cette diversité sur la valeur nutritive des fourrages, l’ingestion des animaux, les caractéristiques sensorielles et nutritionnelles des produits laitiers et carnés, enfin sur deux aspects de la santé animale, la lutte contre les infestations par les strongles digestifs et la prévention des processus de peroxydation. Dans chacune des thématiques abordées, des effets liés à la composition botanique des prairies ont été mis en évidence, mais sans qu’il puisse être toujours fait la part entre les effets liés à la présence d’un grand nombre d’espèces dans la parcelle, les effets liés à la présence de certaines espèces et les effets liés au stade phénologique. Le rôle probable important des dicotylédones et notamment des légumineuses a été souligné à plusieurs reprises, en particulier du fait de leur plus grande teneur en métabolites secondaires que les graminées. Enfin, l’intérêt de fournir aux animaux des sources d’alimentation diversifiées a également été évoqué en particulier sur les aspects liés à l’ingestion et à la santé animale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Akessé, Ettien Narcice, San-Whouly Mauricette Ouali N’goran, Yves Magloire Minhibo, Kouassi Misler Koffi, and Daouda Koné. "Efficacité d’une lutte mécanique associée au biopesticide Neco 50 EC dans le contrôle des adultes de Diastocera trifasciata (Coleoptera : Cerambycidae), ciseleur des branches d’anacardier en Côte d’Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (June 19, 2020): 1038–51. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.30.

Full text
Abstract:
En Côte d’Ivoire, les vergers d’anacardiers du centre, centre-ouest et de l’est sont constamment attaqués par le Cerambycidae Diastocera trifasciata. Ces attaques, sans méthodes de contrôle efficaces s’amplifient au fil des années. Cette étude a été réalisée en vue d’évaluer d’une part l’efficacité d’une lutte mécanique contre les larves de D. trifasciata et d’autre part l’efficacité d’un biopesticide Neco 50 EC en comparaison avec un insecticide de synthèse Acétamipride 32 g/l + Lambdacyhalothrine 30 g/l. Les expérimentations ont été effectuées en mars 2017 et en septembre 2018 dans la localité de Brobo (centre de la Côte d’Ivoire). La lutte mécanique a consisté à retirer systématiquement toutes les branches infestées de larves de l’espèce et à les incinérer. Quant aux tests d’efficacité, 10 concentrations, à raison de 5 par produit ont été pulvérisées directement sur les adultes de D. trifasciata en conditions semi naturelles. Les résultats ont montré que la lutte mécanique a fait baisser le niveau des attaques de 100% à 35%. Concernant les insecticides, l’association Acétamipride 32 g/l + Lambdacyhalothrine 30 g/l a occasionné des taux de mortalité compris entre 70 et 100% à toutes les concentrations testées. Avec le biopesticide Neco 50 EC, des taux de mortalité supérieurs à 70% ont été enregistrés avec les concentrations de 3,3.10-4 g/ml et 2,5.10-4 g/ml en 24 h. Ces résultats ont permis de montrer l’efficacité de la lutte mécanique et des produits contre D. trifasciata. La méthode mécanique pourrait être vulgarisée pour permettre une bonne gestion préventive des attaques du ravageur dans les vergers d’anacardier. Quant à la lutte par l’insecticide biologique, des tests de confirmation devront être faits en plein champ pour mieux apprécier son efficacité.Mots clés : Analeptes trifasciata, attaques, Acétamipride, Lambdacyhalothrine, lutte intégrée, Côte d’Ivoire. English Title: Efficacy of mechanical control associated with the biopesticide Neco 50 EC in the control of adults of Diastocera trifasciata (Coleoptera: Cerambycidae), a cashew tree branch girdler in Côte d'IvoireIn Côte d'Ivoire, cashew orchards in the central, western central and eastern parts of the country are constantly attacked by Cerambycidae Diastocera trifasciata. These attacks, without effective methods of control, have been increasing over the years. This study was carried out in order to evaluate on the one hand the efficacy of mechanical control of D. trifasciata larvae and on the other hand the efficacy of a biopesticide Neco 50 EC compared to a synthetic insecticide Acetamiprid 32 g/l + Lambdacyhalothrin 30 g/l. Experiments were carried out on March 2017 and to September 2018 in the locality of Brobo (central Côte d'Ivoire). Mechanical control consisted in systematically removing all branches infested with larvae of the species and incinerating them. As for efficacy tests, 10 concentrations, at a rate of 5 per product, were sprayed directly on adults of D. trifasciata under semi-natural conditions. Results showed that mechanical control reduced the level of attacks from 100% to 35%. The synthetic insecticide caused mortality rates between 70 and 100% at all concentrations tested. With biopesticide Neco 50 EC, mortality rates higher than 70% were recorded with concentrations of 3.3.10-4 g/ml and 2.5.10-4 g/ml after 24 h. These results demonstrated the effectiveness of mechanical control against D. trifasciata. The mechanical method could be extended to allow good preventive management of pest attacks in cashew orchards. As for control by biological insecticide, confirmatory tests will have to be carried out in the field to better assess its effectiveness.Keywords: Analeptes trifasciata, attacks, Acetamiprid, Lambdacyhalothrin, Integrated Pest Management, Côte d'Ivoire
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

H, Yalcouyé. "Evaluation des mesures de biosécurité dans les fermes avicoles modernes du district de Bamako dans le cadre de la lutte contre la grippe aviaire." Mali Santé Publique 10, no. 02 (April 20, 2021): 50–56. http://dx.doi.org/10.53318/msp.v10i02.1797.

Full text
Abstract:
Introduction : La biosécurité peut être définie comme " l'ensemble des mesures de nature préventive mises en œuvre pour éviter de contaminer ou d'être contaminé par un agent biologique". Le passage au mode d'élevage intensif pose avec acuité la question de la biosécurité. Les exploitations avicoles modernes sont les plus concernées car la biosécurité, qu'elle soit externe ou interne, impacte la santé en agissant comme facteur préventif de l'introduction ou de la propagation des maladies en élevage. Méthodes : L'administration du questionnaire a été réalisée par méthode téléphonique compte tenue de la distance et de l'insuffisance des ressources. Le travail reposera sur la synthèse des revues bibliographiques, sur l'élaboration du questionnaire et les enquêtes sur le terrain. Le questionnaire a été testé et validé avant son administration sur le terrain. Résultats : Le nombre d'aviculteurs dont la ferme est localisée à Sénou était de 3/10. Il est suivi de celui à Gouana avec 2/10. Les informations reçues sur les données de l'exploitation font ressortir que les aviculteurs pratiquant la production d'œufs étaient plus nombreux que ceux produisant la chair. 90% des aviculteurs interrogés font de la production d'œufs et 10% de la production de poulet de chair. Les maladies rencontrées dans les poulaillers et qui constituent un problème dans ces fermes sont la maladie de Newcastle pour 90% et la bronchite infectieuse pour 10%. Conclusion : L'aviculture était plus pratiquée à Sénou et Gouana. Les maladies aviaires les plus fréquentes étaient la Newcastle et la bronchite infectieuse. Les employés ne trempaient pas leurs bottes en accédant aux bâtiments d'élevage.Mots clés : Evaluation, biosécurité, grippe aviaire, Bamako, Mali
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Boussienguet, J., P. Neuenschwander, and H. R. Herren. "Essais de lutte biologique contre la Cochenille du manioc au Gabon: I. — Établissement, dispersion du parasite exotiqueEpidinocarsis lopezi [Hym.: Encyrtidae] et déplacement compétitif des parasites indigènes." Entomophaga 36, no. 3 (September 1991): 455–69. http://dx.doi.org/10.1007/bf02377952.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Benjama, A., A. Redwane, M. El Gadda, L. El Medraoui, M. Ouzrit, L. Boussad, R. El Ouard, and X. Nesme. "Premiers résultats de lutte biologique par les souches K84 et K1026 contre Agrobacterium radiobacter var. tumefaciens , agent du crown-gall des rosacées fruitières et du rosier au Maroc." EPPO Bulletin 32, no. 3 (December 2002): 509–14. http://dx.doi.org/10.1046/j.1365-2338.2002.00606.x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Conedera, Marco, Nicola Bomio-Pacciorini, Pietro Bomio-Pacciorini, Stéphane Sciacca, Lindo Grandi, Amadou Boureïma, and Anna Maria Vettraino. "Reconstitution des écosystèmes dégradés sahéliens." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 304, no. 304 (June 1, 2010): 61. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.304.a20448.

Full text
Abstract:
La longue période de déficit hydrique dont a souffert la région sahélienne depuis les années 1970 et la sédentarisation progressive des tribus nomades ont localement causé une dégradation et une surexploitation de ces écosystèmes fragiles et notamment de la savane arbustive. Les écosystèmes sont considérés comme dégradés lorsqu'ils perdent leur résilience en subissant des modifications difficilement réversibles ou totalement irréver - sibles. Les caractéristiques des écosystèmes dégradés sont la raréfaction ou la disparition de la flore arborée et herbacée, la réduction de l'activité biologique du sol et l'augmentation des phénomènes de ruissellement superficiel et d'érosion. La réhabilitation de la couverture végétale des surfaces dégradées représente un passage clé dans le contrôle et la lutte contre la désertification. L'article présente les résultats d'un suivi sur six ans de la récupération d'écosystèmes dégradés dans le nord du Burkina Faso (province de l'Oudalan). Les résultats démontrent l'importance de l'approche basée sur la création de demi-lunes pour la récolte des eaux de pluie dans la restauration des paysages sahéliens et cela même dans les zones les plus dégradées. Sur les surfaces traitées sont constatées une production soutenue de biomasse herbacée (en moyenne environ 1 000 à 1 200 kg de matière sèche par hectare et par an) et une couverture forestière significative (de l'ordre de 350 arbres par hectare), avec des arbres en mesure de pousser spontanément, même sous la pression du pâturage extensif traditionnel et des années de stress hydrique. (Résumé d'auteur)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Ngom, Saliou, Toffène Diome, Bocar Diop, and Mbacké Sembene. "Effet des extraits aqueux de Calotropis procera sur les principaux ravageurs du chou en culture au Sénégal." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 5 (September 14, 2020): 1600–1610. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i5.9.

Full text
Abstract:
Au Sénégal, le chou est l’un des légumes les plus cultivés et consommés, de par son cycle relativement court (60-90 jours après repiquage) et sa possibilité d’être cultivé toute l’année. Cependant il est attaqué par plusieurs ravageurs tels que Plutella xylostella (L.) (Lepidoptera, Plutellidae), Hellula undalis (F.) (Lepidoptera, Pyralidae) et Spodoptera littoralis (B.) (Lepidoptera, Noctuidae). L’objectif de cette étude était de contribuer à la lutte contre ces ravageurs du chou en culture dans la zone des Niayes en utilisant les extraits aqueux à base de feuilles de Calotropis procera (Apocynaceae). L’étude a été menée sur 28 parcelles élémentaires dans la zone des Niayes (durant la période du 3 janvier au 22 mars 2019). Les formulations d’extrait de feuilles de C. procera utilisant comme solvant l’eau de robinet et l’eau de puits (ER et EP), appliquées à des temps différents le matin (ERM, EPM) et le soir (ERS, EPS) ont montré leurs efficacités sur les larves de P. xylostella et H. undalis. Par contre, les extraits ne sont pas efficaces sur S. littoralis (P-value= 0,672). En plus de leurs effets biocides, les extraits à base de feuilles de C. procera semblent accélérer la croissance des plants de chou. La nature du solvant et la période du traitement n’ont pas montré une différence significative.Mots clés : Biocide, Brassicassée, Niayes, lutte biologique English title: Aqueous extracts effect of Calotropis procera on the principal cabbage pests in culture in Senegal In Senegal, the cabbage is one of the most cultivated and consumed vegetables, from its relatively short cycle (60-90 days after road repair) and the possibility of being cultivated all the year. However it is attacked by several pests such as Plutella xylostella (L.) (Lepidoptera, Plutellidae), Hellula undalis (F.) (Lepidoptera, Pyralidae) and Spodoptera littoralis (B.) (Lepidoptera, Noctuidae). The objective of this study was to contribute on protect against cabbage pests in culture in the zone of Niayes by using the aqueous extracts containing sheets of Calotropis procera (Apocynaceae). The study was undertaken on 28 elementary pieces to in the zone of Niayes (during the period of January 3 at March 22, 2019). The formulations of extract using as solvent the water of tap and the water of well (ER and EP), applied to different times morning (ERM, EPM) and evening (ERS, EPS) showed their effectiveness on larvae of P. xylostella and H. undalis. On the other part S. littoralis was resistant to treatment (P=0,672) confirms it. In addition to their biocides effects, the extracts containing sheets of C procera seem accelerated the cabbage patches growth. The nature of solvent and the treatment period did not show a significant difference.Keywords: Biocide, Brassicasseae, Niayes, biological control
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Mpadi, Nkwe Charles, and Daniel-Bienvenu Mada Bangala. "Utilisation du champignon Pleurotus sajor-caju pour la délignification d’un substrat à base des hampes florales de bananiers (Musa spp.) et la production des carpophores comestibles." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 12, 2020): 3164–76. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.16.

Full text
Abstract:
Les hampes florales des bananiers, riches en lignocelluloses, font parties des résidus végétaux largement impliqués dans la pollution environnementale à Kinshasa. C’est dans ce contexte que cette recherche a utilisé les champignons lignolytiques Pleurotus sajor-caju dans l’objectif de bio-délignifier des hampes florales des bananiers et de produire des carpophores comestibles de ce champignon. Dans la méthodologie employée, lesdites hampes florales ont été utilisées pour la préparation de quatre types de substrats dans lesquels elles ont représentée 52% (A1), 95,5% (A2), 79,4% (A3) et 45,9% (A4) de la masse sèche totale. Toutes ces préparations ont été inoculées par des mycéliums de Pleurotus sajor-caju, incubées à 28 °C jusqu’à la production des carpophores dudit champignon en vue de déterminer (1) le mélange le plus efficace du point de vue de la durée d’incubation, (2) le rendement en carpophores comestibles et (3) l’efficience biologique des substrats. Les résultats obtenus sont : les durées d’incubation des cultures jusqu’à la production des carpophores ont varié de 45 jours (A4) à 83 jours (A2) ; le rendement en carpophores comestibles et l’efficience biologique obtenus à partir des substrats A1, A3 et A4 ne sont pas significativement différents, tandis que A2 donne les plus faibles valeurs. Cette recherche confirme que les champignons lignolytiques comestibles, dont le Pleurotus sajor-caju fait partie, sont des agents efficaces pour valoriser les déchets d’origine végétale, à la base de la pollution environnementale, dans une perspective de production alimentaire et de lutte contre la malnutrition et l’insécurité alimentaire à Kinshasa.Mots clés: fongique, lignolytique, efficience biologique, valorisation, biodégradation.English Title: Use of the fungus Pleurotus sajor-caju for the delignification of a substrate based on banana flower stalks (Musa spp.) and the production of edible fungiThe floral stalks of the banana trees, rich in lignocelluloses, are parts of the agricultural residues extensively implied in the environmental pollution in Kinshasa. It is in this context that this research used the lignolytic fungus Pleurotus sajor-caju in the objective of bio-delignification of these residues of banana harvest and the production of edible mushroom. As methodology, the floral stalks of banana trees have been used for the preparation of four types of substrate in which they represented 52% (A1), 95.5% (A2), 79.4% (A3) and 45.9% (A4) of the total dry mass. All these four preparations have been inoculated by spawns of Pleurotus sajor-caju, incubated at 28 °C until the production of the carpophores of the aforesaid mushroom in order to determine the most efficient mixture concerning (1) the length of carpophore production, (2) the output in edible carpophores and (3) the biological efficiency of the substrates. The gotten results are: the lengths of incubation of the cultures until the production of the carpophores varied of 45 days (A4) to 83 days (A2); the output in edible carpophores and the biological efficiency gotten from the substrates A1, A3 and A4 are not meaningfully different, while A2 gives the weakest values. This research confirms that the lignolytic edible fungi, whose Pleurotus sajor-caju belongs to, are efficient agents to valorize the vegetable wastes which cause the environmental pollution, in a perspective of food production and struggle against the malnutrition and the food insecurity in Kinshasa.Keywords: fungal, lignolytic, biological efficiency, valorization, biodegradation.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Lakehal, Rédha, Soumaia Bendjaballah, Farid Aimer, Rabeh Bouharagua, Khaled Khacha, and Abdelmalek Bouzid. "Hydatic cyst of the interventricular septum. A case report." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 6, no. 2 (December 30, 2019): 139–41. http://dx.doi.org/10.48087/bjmscr.2019.6215.

Full text
Abstract:
Introduction. La localisation cardiaque de la maladie hydatique est rare (< 3%) même dans les pays endémiques. C’est une affection caractérisée par une longue tolérance fonctionnelle et un grand polymorphisme clinique et paraclinique. L’hydatidose cardiaque est grave à cause du risque de rupture imposant une chirurgie semi urgente. Le diagnostic repose sur la sérologie hydatique et l’échocardiographie. Le but de ce travail est de montrer une localisation cardiaque rare au niveau du septum interventriculaire de cette affection. Observation. Nous rapportons l’observation d’un homme âgé de 48 ans asthmatique présentant un kyste hydatique cardiaque de découverte fortuite lors d’une TDM thoracique demandée pour un bilan de pneumopathie. En préopératoire : dyspnée stade II de la NYHA. Radiographie pulmonaire : ICT : 0,60. ECG : RRS. Echocardiographie : Masse kystique intra septale grossièrement arrondie homogène mesurant 30,4 sur23, 5, VG : 50 /34 mm, VD : 26mm, FE : 60 %. Sérologie hydatique positive. TDM thoracique : nodules pseudo-kystiques des 2 pyramides basales avec nodule kystique en projection du VD. L’exploration peropératoire par voie transtricuspide montre un bombement du SIV sous la valve tricuspide septale. Le geste a consisté en une ponction du kyste a ramené liquide eau de roche puis la septotomie a permis de retirer la membrane et les vésicules filles et enfin stérilisation par du SSH a 30 % et le capitonnage de la cavité résiduelle. Les suites post opératoires étaient simples. Conclusion : Les progrès de l’imagerie font de l’échographie l’examen de choix dans la détection du kyste hydatique du coeur. L’indication opératoire est formelle dans tous les cas de kyste du coeur car l’évolution spontanée est mortelle à plus ou moins brève échéance. En fait, le véritable traitement de la maladie parasitaire et sa prophylaxie, la lutte contre l’échinococcose, repose sur des mesures de prévention qui visent à interrompre le cycle biologique à l’intérieur des hôtes et entre l’hôte définitif et l’hôte intermédiaire, sur une éducation sanitaire et sur une législation.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Lakhdari, W., B. Doumandji Mitich, and A. Dahliz. "Essai de Lutte Biologique Contre Brachytrupes Megacephalus, Lefebvre, 1827 (Orthoptera, Gryllinae) par l’Utilisation des Champignons Entomopathogenes = Effect of the Incubation (Biological Digestion) of Seeds of Some Saharan Pastoral Plants in the Rumen of the Dromedary on Their Germination." Revue des Bioressources 5, no. 1 (June 2015): 37–49. http://dx.doi.org/10.12816/0045873.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Kone, Yaya, Tobdem Gaston Dabire, Hamadoun Amadou, and Irénée Somda. "Evaluation in vitro du potentiel antagoniste de Trichoderma harzianum du Burkina Faso contre Magnaporthe grisea, l’agent causal de la pyriculariose du riz, isolées au Mali." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (April 11, 2020): 3053–65. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.7.

Full text
Abstract:
Magnaporthe grisea, pathogène du riz est cosmopolite et cause d’énormes dégâts au Mali. L’utilisation de variétés résistantes et de fongicides chimiques sont efficaces pour son contrôle, mais présentent des limites objectives avec le contournement des gènes de résistances par l’agent pathogène, ainsi que les risques sanitaires et environnementaux que présentent les fongicides. Avec cette information de base, cette étude s’est proposée de développer une stratégie de lutte biologique utilisant des antagonismes naturels afin de contrôler M. grisea. Dix souches de M. grisea du Mali ont été caractérisées morphologiquement et moléculairement pour confirmer leurs identité et variabilité. L’action antagoniste in vitro de 05 souches de T. harzianum a été évaluée sur ces souches pathogènes. M. grisea et T. harzianum ont ainsi été mises en confrontation directe dans des boites de Petri pendant 06 jours. Les croissances radiales du pathogène ont été évaluées et les coefficients d’antagonisme calculés. L’analyse moléculaire a indiqué que toutes les souches appartiennent à M. grisea et présentent de fortes homologies avec les souches de références du NCBI. L’analyse des séquences a indiqué trois groupes légèrement distingués. Toutes les souches de T. harzianum ont inhibé la croissance du pathogène avec des coefficients d’antagonisme compris entre 0,50 et 0,78.Mots clés: Riz, Magnaporthe grisea, In vitro, Trichoderma harzianum, antagonisme. English Title: In vitro evaluation of the antagonistic potential of Trichoderma harzianum from Burkina Faso against Magnaporthe grisea, the causative agent of rice blast disease, isolated in MaliMagnaporthe grisea, a rice pathogen, is cosmopolitan and causes enormous damage in Mali. The use of resistance cultivars and chemical fungicide are generally effective control methods. However, the durability of genetic resistance is often short-lived because of the pathogen’s ability to rapidly evolve to overcome resistance gene, and then environmental and toxicity threat of chemicals employment. With this basic information, this study proposed to develop an alternative strategy to control M. grisea with T. harzianum. M. grisea from Mali has been characterized morphologically and molecularly to confirm their identity and variability. The in vitro antagonistic action of 05 strains of T. harzianum was tested. M. grisea and T. harzianum were thus confronted with a direct confrontation in the Petri dishes during 06 days. The radial growths of the pathogen were evaluated and the coefficients of antagonism calculated. Molecular analysis with all strains corresponds to M. grisea and strong assertions with NCBI reference strains. Sequence analysis indicated three slightly distinguished groups. T. harzianum strains inhibited growth of the pathogen with antagonistic coefficients between 0.50 and 0.78.Keywords: Rice, Magnaporthe grisea, In vitro, Trichoderma harzianum, antagonism
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Uwandu, M. O., F. A. Ige, A. P. Okwuraiwe, C. K. Onwuamah, and R. A. Audu. "Communication: Implementation of biosafety in infection control: a 10-year review." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, no. 2 (April 8, 2021): 290–93. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i2.23.

Full text
Abstract:
Biosafety is an important issue globally, as a line of defence that protects health personnel, public and the environment from exposure to hazardous agents. Most developing nations have weak health systems and consequently weak biosafety. Engaging in an external quality program such as an accreditation process will help build capacity and competence in all areas. The Centre for Human Virology and Genomics (CHVG) laboratory of the Nigerian Institute of Medical Research, Lagos, Nigeria started its biosafety program in compliance to international standards stipulated by ISO 15189:2012, in its journey towards laboratory accreditation. Accreditation is widely used to attest for laboratory competence. In the quest for laboratory accreditation, several processes were implemented to ensure compliance, one of which was biosafety. Simple remedial actions and policies that have worked in other climes were applied over a 10-year period in the CHVG laboratory. A significant drop in nonconforming incidences and laboratory accidents was seen while biosafety audits showed improvement in safety practices. Keywords: Biosafety, Infection control, audit French Title: Mise en œuvre de la biosécurité dans la lutte contre les infections: un examen décennal La biosécurité est une question importante à l'échelle mondiale, en tant que ligne de défense qui protège le personnel de santé, le public et l'environnement de l'exposition à des agents dangereux. La plupart des pays en développement ont des systèmes de santé faibles et, par conséquent, une faible sécurité biologique. S'engager dans un programme de qualité externe tel qu'un processus d'accréditation aidera à renforcer les capacités et les compétences dans tous les domaines. Le laboratoire du Centre de virologie humaine et de génomique (CHVG) de l'Institut nigérian de recherche médicale de Lagos, au Nigéria, a commencé son programme de biosécurité conformément aux normes internationales stipulées par ISO 15189: 2012, dans son parcours vers l'accréditation des laboratoires. L'accréditation est largement utilisée pour attester la compétence du laboratoire. Dans la recherche de l'accréditation des laboratoires, plusieurs processus ont été mis en œuvre pour assurer la conformité, dont l'un était la biosécurité. Des mesures correctives simples et des politiques qui ont fonctionné sous d'autres climats ont été appliquées sur une période de 10 ans dans le laboratoire du CHVG. Une baisse significative des incidents non conformes et des accidents de laboratoire a été observée tandis que les audits de biosécurité ont montré une amélioration des pratiques de sécurité. Mots clés: Biosécurité, Contrôle des infections, audit
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

di M’balu Joachim, Umba, Masimango N. Thaddée, and Mvumbi Lelo. "Inhibition du développement de l’Aspergillus flavus par l’acide acétique: Analyse de trois expériences réalisées à Kinshasa- RD Congo." Journal of Animal & Plant Sciences 45, no. 1 (July 31, 2020): 7809–21. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v45-1.5.

Full text
Abstract:
L’Aspergillus flavus est un champignon cosmopolite, très répandu dans la nature et susceptible de contaminer plusieurs aliments. C’est un champignon qui fait beaucoup parler de lui depuis qu’on a découvert qu’il secrète de métabolites hautement toxiques, les aflatoxines, cancérigènes et exerçant d’autres effets nuisibles sur la santé des hommes et des animaux. En effet, les aflatoxines sont de métabolites toxiques secondaires biosynthétisés par certaines souches de micromycètes, notamment Aspergillus flavus. (En fait le terme est un moyen mnémotechnique pour dire : toxines d’Aspergillus flavus).Elles sont produites lorsque les champignons se trouvent dans des conditions de forte humidité relative (80-90%) conjointement à une température élevée (20-30°C).Les dégâts imputables aux aflatoxines sont nombreux aussi bien sur le plan de la santé (humaine et animale) que sur l’économie. En considérant que les mycotoxines ne peuvent jamais être complètement absentes ou éliminées des denrées alimentaires, divers moyens de lutte biologique, chimique ou physique empêchant le développement du champignon produisant l’Aspergillus flavus ont été essayés. L’objectif de ce travail est de faire connaître trois expériences de lutte des aflatoxines par l’acide acétique et de comparer si les résultats obtenus avec les extraits de caieux d’Allium sativum et d’écorces racinaires de Diospyros heterosictricha utilisé comme biopesticides pour inhiber la croissance mycélienne d’Aspergillus flavus. Il ressort des analyses que l’acide acétique exerce effectivement un pouvoir inhibiteur à des pourcentages différents sur le développement de l’Aspergillus flavus. La dose minimale efficace varie d’un auteur à un autre même lorsque les essais sont effectués dans de conditions comparables mais surtout en fonction de dilution. La dose minimale efficace d’inhibition d’Aspergillus flavus est située à 400 ppm (0,04%) estiment certains auteurs. Par contre, d’autres pensent qu’elle est comprise entre 0,02 ml à 15 ml. ABSTRACT Aspergillus flavus is a cosmopolitan fungus, widely distributed in nature and capable of contaminating several foods. It is a mushroom that has been talked about a lot since it was discovered that it secretes highly toxic metabolites, the aflatoxins, carcinogens and having other harmful effects on the health of humans and animals. Aflatoxins are secondary toxic Umba et al., 2020 Journal of Animal & Plant Sciences (J.Anim.Plant Sci. ISSN 2071-7024) Vol.45 (1): 7809-7821 https://doi.org/10.35759/JAnmPlSci.v45-1.5 7810 metabolites biosynthesized by certain strains of micromycetes, notably Aspergillus flavus. (In fact the term is a mnemonic means to say: toxins of Aspergillus flavus). They are produced when the mushrooms are in conditions of high relative humidity (80-90%) together with a high temperature (20-30°C). The damage attributable to aflatoxins is numerous both in terms of health (human and animal) and in terms of the economy. Considering that mycotoxins can never be completely absent or eliminated from food, various means of biological, chemical or physical control preventing the development of the fungus producing Aspergillus flavus have been tried. The objective of this work is to make known three experiences of aflatoxin control by acetic acid and to compare if the results obtained with the extracts of cloves of Allium sativum and root barks of Diospyros heterosictricha used as biopesticides to inhibit the mycelial growth of Aspergillus flavus. Analyses show that acetic acid effectively exerts inhibitory power at different percentages on the development of Aspergillus flavus. The minimum effective dose varies from one author to another even when the tests are carried out under comparable conditions but especially according to dilution. The minimum effective inhibition dose of Aspergillus flavus is located at 400 ppm (0.04%) believe some authors. On the other hand, others think that it is between 0.02 ml to 15 ml.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

Full text
Abstract:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Silva, Agnaldo Plácido da, Eloá Jessica Mendes dos Santos Plácido, and Walber Breno de Souza Moraes. "Les impacts du moustique transgénique sur l’homme et l’environnement." Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, November 15, 2020, 158–76. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/biologie/moustique-transgenique.

Full text
Abstract:
L’un des plus grands défis actuellement pour la santé publique au Brésil et dans le monde sont les maladies à transmission vectorielle, et les mesures de lutte actuelles sont inefficaces. Les moustiques sont parmi les vecteurs de diverses maladies, parce qu’ils sont hématophagous, les femelles ont besoin de sang dans la période d’ovulation pour la reproduction et une fois contaminés, le moustique peut contenir des bactéries, protozoaires et virus qui sont alloués dans leurs glandes salivaires, infectant ainsi l’individu directement dans la circulation sanguine. Aedes aegypti est responsable de ces maladies : dengue, zika, chikungunya et fièvre jaune. Les formes de lutte contre les moustiques vecteurs jusqu’à présent sont inefficaces, et avec cela plusieurs technologies ont été développées comme alternatives dans la lutte et la lutte contre le moustique Aedes aegypti. Avec les approbations récentes pour la libération d’insectes génétiquement modifiés, il est nécessaire d’avoir des études plus détaillées pour évaluer leur potentiel écologique et leurs effets évolutifs. Ces effets peuvent se produire en deux phases : une phase transitoire lorsque la population focale change de densité, et une phase d’état stable lorsqu’elle atteint une densité nouvelle et constante. Avec les innovations dans la lutte antivectorielle par le biais d’insectes génétiquement modifiés nous donner une nouvelle perspective par rapport à la manipulation génétique. Cette étude vise à évaluer les effets potentiels d’un changement rapide de la densité du moustique Aedes aegypti lié à la lutte biologique par le moustique génétiquement modifié. Nous nous demandons donc si la biotechnologie peut être une solution aux problèmes de santé publique dans le cas du moustique Aedes aegypti ou un problème? Puisque la transformation ou les modifications de ces êtres vivants dans les laboratoires sont de nouvelles techniques qu’il est impossible jusqu’à présent de savoir quelles seront les conséquences à long terme.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Allou, K., M. Doumbia, and AH Diallo. "Influence de trois facteurs sur le peuplement d\'oecophylles dans la lutte biologique contre la punaise du cocotier en basse Côte d\'Ivoire." Agronomie Africaine 18, no. 1 (February 25, 2009). http://dx.doi.org/10.4314/aga.v18i1.1677.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Samaké, H., Aissata boubacar Cissé, Ibrehima Guindo, S. Ongoïba, M. Abdou, Seydou Diarra, M. Berthé, et al. "Les enjeux de la mise en œuvre des activités conjointes tuberculose et VIH dans les districts sanitaires de Bamako (Mali)." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie, no. 1 (June 8, 2018). http://dx.doi.org/10.53597/remim.v0i1.976.

Full text
Abstract:
Introduction : Au Mali, le rapport du programme national de lutte contre la tuberculose (PNLT) révèle en 2015 que 541/4035 soit 13% des cas de tuberculose toutes formes dépistées sont infectées par le VIH. Le but de cette étude est de décrire le suivi biologique des patients co-infectés par le VIH et la tuberculose dans les communes de Bamako en période de crise et d'évaluer le niveau actuel de réalisation des activités conjointes TB/VIH recommandées au Mali. Méthodologie : Nous avons réalisé une étude rétro-prospective d'évaluation du niveau de réalisation des activités conjointes TB/VIH recommandées au Mali. La phase rétrospective a eu lieu de janvier 2012 à juin 2013 et celle prospective de Janvier à mars 2015 dans les communes de Bamako. Résultats : L'étude rétrospective a montré que la tuberculose est survenue chez 124 patients sur 4026 dépistés positifs au VIH soit un taux d'infection à tuberculose parmi les patients VIH+ de 2,95% de janvier 2012 à juin 2013. Le suivi biologique a été plus réalisé pour la tuberculose que le VIH chez les patients co-infecté avec un taux très faible de réalisation de la charge virale. L'étude prospective montre que le niveau de réalisation demeure faible pour la plupart des activités conjointes. Mais au plan pratique, seuls 2/10 agents enquêtés faisaient la prise en charge des deux pathologies selon les protocoles en vigueur en se basant sur les directives des chargés correspondant. Conclusion : Les mécanismes de collaboration des services intégrés de TB/VIH nécessitent d'être renforcés pour une meilleure réalisation des points inscrits dans le cadre stratégique des activités conjointes TB/VIH recommandées au Mali.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

"Impact des fourmis rouges Oecophylla longinoda Latreille (Hymenoptera : Formicidae) sur la dynamique des populations de Coelaenomenodera lameensis Berti & Mariau (Coleoptera : Chrysomelidae), principal ravageur du palmier à huile Elaeis guineensis JACQ. en Côte d’Ivoire." Journal of Animal & Plant Sciences, July 31, 2019, 6757–66. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v41-1.3.

Full text
Abstract:
1 RESUME Objectif : Le palmier à huile, source d’huile végétale, est sujet aux attaques de ravageurs dont la mineuse des feuilles, Coelaenomenodera lameensis BERTI ET MARIAU (Coleoptera : Chrysomelidae, Hispinae). Ce ravageur cause d’importants dégâts dans les palmeraies en Côte d’Ivoire. Dans un contexte actuel d’agriculture durable et de préservation de l’environnement, l’on se tourne de plus en plus vers la lutte biologique en réduisant l’utilisation de produits chimiques. Cette étude a donc été initiée, avec pour objectif de contribuer à la lutte intégrée contre C. lameensis par l’utilisation d’un ennemi naturel, les fourmis Oecophylla longinoda Latreille (Hymenoptera : Formicidae). Méthodologie et Résultats : L’étude a été conduite sur des parcelles d’âges différents (4 ans, 10 ans et 12 ans) à la station CNRA de la Mé où la dynamique des populations de C. lamensis a été suivie en relation avec la présence de O. longinoda. Les résultats révèlent qu’il existe une forte corrélation négative entre la densité des larves et des adultes de C. lameensis et le taux de présence de O. longinoda. Les populations de C. lameensis sont réduites avec la présence de O. longinoda sur les palmes. Conclusion : Les fourmis oecophylles sont donc de potentiels agents de lutte biologique pour le contrôle des populations de C. lameensis. Impact of red ants Oecophylla longinoda Latreille (Hymenoptera: Formicidae) on the population dynamics of Coelaenomenodera lameensis Berti & Mariau (Coleoptera: Chrysomelidae), the main pest of the oil palm Elaeis guineensis JACQ. in Côte d'Ivoire. ABSTRACT Objective: Oil palm, a source of vegetable oil, is prone to pest attacks, including the leaf miner, Coelaenomenodera lameensis Berti And Mariau (Coleoptera: Chrysomelidae, Hispinae). This pest causes significant damage in the palm groves in Côte d’Ivoire. In a current context of sustainable agriculture and preservation of the environment, we are turning more and more towards biological control by reducing the use of chemicals. This Kouassi et al., 2019 Journal of Animal & Plant Sciences (J.Anim.Plant Sci. ISSN 2071-7024) Vol.41 (1): 6757-6766. https://doi.org/10.35759/JAnmPlSci.v41-1.3 6758 study was therefore initiated, with the aim of contributing to the integrated control of C. lameensis by the use of the natural enemy, the ants Oecophylla longinoda Latreille (Hymenoptera: Formicidae). Methodology and Results: The study was conducted on plots of different ages (4 years old, 10 years old and 12 years old) at the CNRA station in La Mé, where the population dynamics of C. lamensis were monitored in relation to the presence of O. longinoda. The results reveal that there is a strong negative correlation between larval and adult density of C. lameensis and the rate of occurrence of O. longinoda. The populations of C. lameensis are reduced with the presence of O. longinoda on the palms. Conclusion: Oecophyllous ants are therefore potential biological control agents for the control of C. lameensis populations.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Gnankiné, Olivier, Doulaye Traoré, Antoine Sanon, Remi Dabire, and Patoin Albert Ouedraogo. "Contribution à l'évaluation des potentialités d'Encarsia sp. (Hymenoptera: Aphelinidae) comme agent de lutte biologique contre la mouche blanche du cotonnier, Bemisia tabaci (Homoptera: Aleyrodidae) au Burkina Faso." International Journal of Tropical Insect Science 25, no. 04 (December 2005). http://dx.doi.org/10.1079/ijt200586.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography